#CONCERT GÉNÉRIQUE
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FALLY IPUPA - PARIS LA DÉFENSE ARENA CONCERT GÉNÉRIQUE SEBEN (CONCERT OFFICIEL) 🔥💪🏾
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Hier, en voyant le concert sublime de Maria Callas de 1958 à L'Opéra, me suis souvenue avoir demandé à Victoria de chanter sur le générique Gaumont, pour faire comme sur Bohemian Rhapsody où ils avaient Mercurysé de générique MGM... Elle m'avait envoyé cette maquette, c'est elle qui chante ! On ne va pas toujours au bout de ses idées et c'est dommage
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1er février
ok mais revenons-en à g. vers la fin il m'a dit lara je vais te dire quelque chose de personnel et je me suis dit ok donc c'était vraiment un rdv pro, je dois vraiment arrêter de me dire que des gens puissent être intéressés par autre chose que par ma production artistique. au moins r. voulait être mon ami. je vise toujours un niveau de trop. et donc il m'a dit que son ex avec qui il venait tout juste de se dépacser était assise au fond de la salle et que ça lui faisait bizarre. je me suis demandé si elle m'avait vue et si elle s'était dit putain déjà il date? il vient de déménager dans une ferme avec des amis. une ferme avec des animaux. il dit que ça décélère la vie. j'ai envie d'aller leur rendre visite dans leur ferme et de caresser des ânes. en partant il m'a dit de le tenir au courant et de lui envoyer des trucs si j'avais besoin de feeback, qu'on pourrait se revoir pour discuter si je voulais. je me demande si je peux lui écrire pour lui dire que j'ai besoin de venir caresser des animaux dans sa ferme. est-ce que ça rentre dans le cadre de ce qu'il me propose?
hier soir en fixant notre rdv je lui avais demandé si je pouvais l'accompagner au concert de flavien berger avec son pote après, mais finalement j'y suis pas allée parce que je me sentais un peu bête de payer trente euros pour voir flavien berger (bof) alors qu'ils avaient gagné des places gratuites. je lui ai dit que j'aimais pas trop son dernier album parce que le son était un peu générique truc vaguement électro qu'on entend partout et je me suis dit oh non ça y est r. commence à déteindre sur moi. j'ose pas lui dire que j'ai parlé de son groupe à g. je lui ai parlé d'et caetera et de la maison poème aussi parce qu'il me disait qu'il cherchait des idées pour développer l'offre d'évènements littéraires au luxembourg et attirer un public plus jeune, et je suis en train de me dire que j'aurais du réagir plus vivement et lui dire de m'impliquer dedans parce que j'ai des idées moi, par exemple les soirées diary slam de berlin. je suis vraiment la reine de pas savoir saisir les opportunités quand elles se présentent. peut être qu'on pourrait organiser des soirées open mic dans sa ferme.
putain je suis tellement deg de pas avoir eu la résidence. je déteste ne pas être la meilleure. la préférée. je vis pour être la préférée. et quand je suis pas la préférée ça me fait un trou dans le coeur.
2 février
léa seydoux vient de dire à la radio qu'avoir peur de tout c'est un peu comme avoir peur de rien. j'ai envie de dire que le 2 février 2024 léa seydoux a changé ma vie en disant sur france inter qu'avoir peur de tout c'est avoir peur de rien.
maintenant que je sais que j'aurai pas cette résidence et donc pas d'encadrement pour mon livre j'ai peur de jamais arriver à m'y mettre. j'ai juste envie de recopier mes journaux sur tumblr et de publier ça tel quel, en tant que journal posté sur tumblr, avec la mise en page de mon blog, avec ce contexte. j'ai plus envie d'aller à la sortie de résidence à la kufa cet après-midi, je suis fâchée avec eux et j'ai peur de revoir tout le comité de sélection et de vouloir me cacher dans un trou. j'ai envie de rester à la maison avec ma musique douce et de manger des crêpes avec maman. je crois que j'aimerais habiter dans une ferme moi aussi. vu que j'ai jamais envie de sortir ça me conviendrait bien. j'en profiterais. g. il en profite pas, il a pas le temps, il a une vie trop trépidante. il a son travail de programmateur, son groupe, son projet solo, son projet de festival de performance, son festival d'art de la rue à la campagne, sans parler de sa vie sociale foisonnante. je sais pas comment il fait. il disait qu'il avait une vie tellement débordante qu'il adorait les moments entre les choses, dans les transports par exemple, parce que c'était des moments rien que pour lui où il pouvait se retrouver et réfléchir. il a utilisé le mot temps mort mais je déteste cette expression parce qu'elle fait aucun sens pour moi. ça existe pas un temps mort, ou alors tous les temps sont des temps morts. les temps morts dans les transports c'est juste une continuation du temps mort de la maison. je vis dans un temps mort perpétuel. normal, je suis morte.
c. m'a raconté la suite de ses aventures à travers divers pays européens et ses milliards de nouveaux projets. il me disait qu'il se sentait rempli d'énergie et gourmand de la vie et d'autres trucs écoeurants, alors je lui ai dit que j'étais contente de savoir qu'il était heureux mais c'est pas vrai, je suis juste jalouse parce qu'il a rencontré une fille à budapest et qu'il l'a suivie jusqu'à stuttgart et depuis il flotte sur son nuage et évidemment que je suis pas jalouse de la fille mais jalouse de lui à qui la vie sourit parce que lui quand il décide de partir, il part, et quand il tombe amoureux ça se transforme en truc romantique international et non en psychodrame infernal.
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MARDI 18 JUIN 2024 (Billet 1 / 4)
« L’AMITIE »
Pour nous, une des plus belles chansons de Françoise Hardy. Nous vous en avions déjà parlé sur le Blog, en vous rappelant même qu’on l’entendait dans le générique de fin des « Invasions barbares » de Denys Arcand (2003), un film aussi émouvant que désespérément drôle.
Parcourez les paroles ci-dessous puis regardez Françoise Hardy les chanter, dans une mise en scène très minimaliste, juste un plan serré sur son visage.
Elle se serait adressée à vous à l’époque, sans la moindre hésitation vous lui aurez proposé de la réchauffer auprès de votre cheminée, non ?
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Beaucoup de mes amis sont venus des nuages Avec soleil et pluie comme simples bagages Ils ont fait la saison des amitiés sincères La plus belle saison des quatre de la Terre
Ils ont cette douceur des plus beaux paysages Et la fidélité des oiseaux de passage Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse Alors, ils viennent Se chauffer chez moi Et toi aussi Tu viendras
Tu pourras repartir au fin fond des nuages Et de nouveau sourire à bien d'autres visages Donner autour de toi un peu de ta tendresse Lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse
Comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne Il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne J'oublierai à la fois mes larmes et mes peines Alors, peut-être Je viendrai chez toi Chauffer mon cœur À ton bois
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Lors d’un concert au « Jazz’Opale Festival » de Neufchatel-Hardelot ce jeudi soir, le chanteur a rendu hommage à sa mère, décédée en début de semaine.
« Impossible pour moi de chanter une de ses chansons. Dès que je commence, j’ai la gorge qui se noue... »
C'est par ces mots remplis d'une intense émotion que Thomas Dutronc commençait son concert ce jeudi 13 juin. Le fils de Françoise Hardy et Jacques Dutronc a laissé ses musiciens jouer ensemble l'un des morceaux phares de sa défunte mère, « L'Amitié ». À la fin de la chanson, l'artiste a réussi à chanter ces paroles émouvantes :
« Parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse,
Tu pourras partir au fin fond des nuages... »
(Source : « weo.fr »)
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Artiste vedette de mars : Sunday (1994) | Article par setlistkitchen.com
Sunday (1994) est un tout nouveau groupe indépendant qui vient de sortir son premier single, "Tired Boy". Composé de Paige Turner, Lee Newell et X, la musique de Sunday (1994) mijote sur Tik-Tok depuis huit mois, et "Tired Boy" évoque une nostalgie pas trop lointaine, mélancolique et rêveuse de la romance des années 1990 avec les films et les possibilités de vie, sans exclure la beauté de la banalité. J'ai parlé avec Sunday (1994) lors de leur première interview en tant que groupe pour en savoir un peu plus sur qui ils sont, où ils vont et leurs projets de domination mondiale.
Parlez-moi un peu de Sunday (1994). 1994, c'était il y a 30 ans ! Que représente pour vous cette période ?
L’un de nous est né cette année-là, pouvez-vous deviner lequel ? Lorsque nous avons trouvé le nom du groupe, nous avons toujours eu l'impression que nos chansons sonnaient comme au cinéma, comme au générique. C’est pourquoi nous avons stylisé le nom de notre groupe comme celui d’un film. Sixteen Candles (1984), Trainspotting (1996), Sunday (1994).
Félicitations pour la sortie de "Tired Boy!" Il vient d'être publié vendredi. Parlez-moi de ce que cela vous a fait de sortir votre premier single au monde.
Merci! C'était exaltant, en fait. Je recommande à tout le monde de le faire. C’est un sentiment très étrange de voir les gens être véritablement émus par quelque chose que vous avez créé. C’est une sensation particulière. Injectez-le dans mes bras. Nous étions très reconnaissants de recevoir la réaction que nous avons eue.
Ces paroles de Tired Boy m'ont sidéré : "Nous sommes toujours chez toi même si c'est une porcherie/mais ta vie et ton esprit aussi/mais je t'ai dit que je mourrais pour toi encore et encore." Cela ne peut pas être plus honnête que cela, et je pense que beaucoup d’auditeurs s’identifieraient probablement à ce sentiment de résignation amoureuse sur une musique si rêveuse.
C'est très gentil merci. Je pense qu’il s’agit moins d’une résignation que d’une acceptation. L'amour est subjectif bien sûr, mais pour moi, quand il est réel, les sentiments ne peuvent pas faire de mal. Eh bien, dans la limite du raisonnable. Dire que vous mourriez pour quelqu’un est la déclaration ultime. Surtout s'ils vivent dans un trou à merde.
Votre musique évoque une vision tellement viscérale de la pop et de la romance indie. J'adore tous les superbes extraits de films sur votre Tik-Tok comme Clueless, 500 Days of Summer et Lady Bird. Parlons un peu de l'influence du cinéma sur votre musique.
Eh bien, c'est en quelque sorte arrivé par accident. Nos paroles sont très visuelles, donc vous voyez le film dans votre esprit. Nous avons associé nos chansons à des films qui avaient du sens, et cela a fonctionné. C'est très amusant de changer la bande originale de vos films préférés ! Mais cela peut aussi être assez pénible.
En écoutant « Tired Boy » et en regardant le clip, je suis frappé par les scènes de la vie quotidienne, souvent de banlieue. Je pense qu'il y a beaucoup à dire sur la beauté de ces moments de vie domestique, de silence, de tranquillité et de nostalgie. Parlons un peu de la façon dont votre musique trouve la beauté dans la vie de tous les jours.
Il ne trouve pas seulement la beauté, il trouve souvent aussi la bête… Ce que vous verrez dans les prochaines chansons. Mais nos chansons sont toutes nos expériences, et nous ne sommes que des gens ordinaires en fin de compte. Il faut donc trouver la beauté quelque part ! Autant commencer à la maison. De plus, nous n’avions pas le budget nécessaire pour embaucher Christopher Nolan pour ce clip. Peut-être le prochain ?
Sur Setlist Kitchen, j'aime parler pour me connecter aux artistes à travers la musique live. Quel a été le premier concert auquel vous avez assisté ? Le meilleur ? Le dernier ?
Lee - Mon premier véritable concert a eu lieu au Reading Festival 2002, un baptême du feu pour un tout petit garçon.
Paige - Mon premier souvenir était de voir mon grand-père Joe jouer de la batterie dans un club de jazz appelé Charlie O's.
X - Paul McCartney au Hollywood Bowl.
Enfin, quelle est la prochaine étape ? Quand pouvons-nous espérer vous voir sur la route, et pouvez-vous nous dire quelque chose sur la sortie de l’album ?
Nous avons deux autres singles à venir, puis un EP de 6 titres. Nous travaillons actuellement sur le spectacle en direct, donc cela ne devrait pas tarder avant que nous soyons là, en chair et en os, devant vous. Gardez un œil sur nos réseaux sociaux pour les annonces ! Merci!
Traduction française par : XYLØ Fansite.
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Bonjour. J'ai 4 semaines devant moi et j'ai envie de reprendre ma vie en main. Je cherche à guérir mon système nerveux en faisant beaucoup de yoga et de méditation car je souffre de crises d'anxiétés importantes. Je cherche également à me remettre à des activités créatives, à lire davantage, à faire des activités culturelles, à établir un 5-year-plan, à établir un budget pour l'année, et tout ce qui pourrait rentrer dans la définition "reprendre sa vie en main". Pourrais-tu me faire un planning journalier sur les 4 prochaines semaines d'activités de personne équilibrée avec sa vie en main s'il te plaît ?ChatGPT
Bien sûr, je serais ravi de t'aider à élaborer un planning pour les prochaines quatre semaines. Garde à l'esprit que c'est un exemple générique, et il est important d'ajuster en fonction de tes propres besoins et préférences.
Semaine 1-2: Établir les Fondations
Matin:
7h00 - 7h30: Réveil, étirements légers, respiration profonde.
7h30 - 8h30: Séance de yoga ou méditation.
8h30 - 9h30: Petit-déjeuner sain.
Matinée: 4. 9h30 - 11h30: Planification du 5-year-plan et des objectifs à court terme.
11h30 - 12h30: Activité créative (dessin, écriture, musique, etc.).
Après-midi: 6. 12h30 - 13h30: Déjeuner équilibré.
13h30 - 15h30: Lecture ou apprentissage (choisis un sujet qui t'inspire).
15h30 - 16h30: Temps libre ou promenade.
Soir: 9. 16h30 - 17h30: Activités culturelles (film, exposition, concert, etc.).
17h30 - 18h30: Méditation ou relaxation.
18h30 - 19h30: Dîner sain.
19h30 - 20h30: Temps pour les loisirs personnels.
Semaine 3-4: Mise en Pratique et Consolidation
Continue avec le même schéma, mais ajoute des éléments pour mettre en pratique tes plans :
Implémente des pas concrets vers tes objectifs à court terme.
Intègre des activités sociales ou en groupe pour maintenir l'équilibre.
Révise et ajuste ton 5-year-plan en fonction de ton expérience des deux premières semaines.
Consolide tes activités créatives et culturelles dans une routine régulière.
Conseils:
Inclus des pauses régulières pour éviter la fatigue mentale.
Assure-toi de bien dormir (7-8 heures par nuit).
Reste flexible et ajuste le planning selon tes besoins.
N'hésite pas à demander du soutien à des amis, à la famille ou à un professionnel si nécessaire.
Ce planning vise à équilibrer le bien-être physique, mental, et émotionnel tout en poursuivant des objectifs personnels. Adapte-le en fonction de tes propres préférences et circonstances.
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Made in Asia 2023 - Spring aura lieu du 3 au 5 mars 2023 à Bruxelles (BE) : pour les passionnés de cosplay, YouTube et culture asiatique Embarquez dans l’aventure au pays de la pop-culture à Brussels Expo et découvrez toutes les nouvelles expériences de cette édition Parcours thématisés, shows et jeux avec les invités, jeux vidéo japonais, escape room, karaoké de génériques d’animés, tournois de cartes Dragon Ball, modélisme Gundam, exposition Ghibli…: tous vos héros vous attendent à Bruxelles sous différentes formes! Alors, embarquez sur votre nuage magique et découvrez Konoha aux côtés de Sailor Moon et de Ken le Survivant! (Si, si, c’est possible à Made in Asia 2023) Lieu Place de Belgique, 1 1020 Bruxelles Belgique (On voulait faire ça à Bourg Palette mais la team Rocket y sévit à cette période…) Brussels Expo se transforme durant trois jours en un véritable temple asiatique où la magie des mangas et des animés vous emportera. Entre les différents halls qui composent Made in Asia, vous pourrez profiter d’un immense marché geek, des espaces dédicaces, des scènes dédiées aux concerts, aux concours cosplay et Kpop, et aux tournois gaming mais aussi, découvrir des spécialités culinaires asiatiques ou encore admirer l’une des superbes expositions prévues. Brussels Expo, situé au cœur de l’Europe, bénéficie d’une position centrale. Il est facile d’y accéder en voiture, en train ou en avion. Grâce au vaste réseau de transports en commun (tram, bus et métro), Brussels Expo est facilement accessible de partout en ville. Les bus, trams et métros disposent de haltes proches de nos infrastructures (200 m). Devenir exposant au festival
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Né Stéphane Sirchis le 22 juin 1959 à Antony, dans les Hauts-de-Seine (France) et mort le 27 février 1999 à Paris, est un guitariste français, connu pour avoir joué entre 1982 et 1999 avec le groupe Indochine. Il est le frère jumeau du membre fondateur de celui-ci, Nicola Sirkis.
Biographie:
C'est en 1982 qu'il rejoint officiellement le groupe de son frère jumeau Nicola Sirkis après avoir participé à la vie du groupe dans l'ombre (il s'occupait des instruments et de leur programmation à l'arrière de la scène). Il a composé plusieurs chansons pour le groupe, dont : Un grand carnaval (1987), Alertez Managua (1990), La guerre est finie (1991), She Night, Atomic Sky, Manifesto et Stef 2 (1999). Il a également composé la musique du film Les Keufs en 1987.
Intéressé par l'audiovisuel, il fut aussi le compositeur du second générique de la célèbre émission musicale Platine 45 et co-présentateur avec Alain Chabat de l'émission 4C+ sur Canal+ en 1985.
Sa fille Lou naît le 8 août 1990.
Il meurt d'une hépatite foudroyante le 27 février 1999 [1] alors que son frère Nicola Sirkis est à Bruxelles pour l'enregistrement d'un morceau de l'album Dancetaria. Il est enterré au cimetière parisien de Bagneux.
Pour le premier anniversaire du décès de Stéphane, le 27 février 2000, un concert acoustique est donné en sa mémoire. Ce qui inspirera l'idée de la tournée acoustique Nuits intimes, cloturée par la sortie de l'album éponyme, en 2001.
Paradize, neuvième album studio d'Indochine, sorti en 2002, lui est dédié : "In the memory of Stef", peut-on lire sur la dernière page du livret. La chanson Electrastar sur ce même album lui est également dédiée.
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Stéphane Hirschi Esthétique de la chanson française depuis 1980 Un petit traité (extrait concernant Léo Ferré)
Le cas de LÉO FERRÉ n’est pas moins paradoxal. Installé depuis 1975 en Toscane, il est à la fois une référence reconnue dans le monde de la chanson, mais son refus des cloisons étanches l’a brouillé avec les critères marchands qui régissent le monde de la distribution discographique, et il a quitté la maison de disques de ses plus grands succès (Barclay) pour des questions de liberté artistique. Il signe en 1980 avec la maison RCA dont il accompagnera le directeur dans l’aventure d’une nouvelle maison, les éditions EPM – officiellement Éditions Paroles et Musique, mais dont la légende lui attribue le sens acronyme originel et provocateur en diable : “Et puis merde”... De fait, après l’énorme succès du début des années 1970 qui a vu l’ancien chanteur de Saint-Germain-des-Prés rencontrer le public du rock et des Moody blues grâce à Avec le temps et C’est extra, le goût de Ferré pour les formations symphoniques et sa volonté de ne pas se cantonner dans les canons trop étroits pour lui de la chanson formatée l’éloigneront des feux de la diffusion médiatique que son aura aurait laissé attendre. Ferré ne perd pas son public, jeune et très impliqué dans les mouvances libertaires, mais a tendance à fuir les gages de reconnaissance que Trenet a reçues durant la même période. Ferré ne vient pas recevoir les distinctions, garde ses distances avec François Mitterrand, auto-édite ses textes, mais remplit le Théâtre des Champs-Élysées en 1984, puis, à chaque passage parisien, à la fin des années 1980, le Théâtre Libertaire de Paris (TLP Déjazet), et accepte l’hommage de ses pairs lors d’une fête en son honneur aux troisièmes Francofolies de La Rochelle, en 1987. Ferré enchaînera concerts et tournées jusqu’en 1992, avant de s’éteindre, ironiquement pour l’anarchiste qu’il fut, le 14 juillet 1993. Durant cette douzaine d’années, Ferré enregistre pas moins de sept albums pour RCA puis EPM, où il manifeste à la fois sa fécondité permanente, et une cohérence artistique dont le fil rouge est précisément d’échapper à tous les classements génériques : de même qu’il fait alterner les formules musicales en jouant sur scène accompagné soit d’un seul piano soit d’une bande-son symphonique (après avoir expérimenté les réticences des producteurs aux concerts des années 1970 où il dirigeait un orchestre tout en chantant), de même, en créateur inclassable et inlassable, il enregistre aussi dans de multiples registres. Durant notre période paraît la version enrichie d’un ballet lyrique, La Nuit, qu’il avait composé en 1956 et qui devient en 1983 L’opéra du pauvre – dans lequel il incarne les voix de plus de vingt protagonistes. Dans d’autres directions, il publie une version, entre déclamation, psalmodie et oratorio, de La Saison en Enfer de Rimbaud (son ultime album, en 1991) ; ainsi qu’un disque entier consacré à des textes de Jean-René Caussimon (son vieil ami auteur de Comme à Ostende et Monsieur William). Il enregistre aussi, bien sûr, plusieurs albums consacrés à ses pures chansons en tant qu’auteur-compositeur-interprète (auxquelles se greffent, ça et là, quelques mises en musique de Rimbaud, encore, ou Apollinaire), et enfin, peut-être son sommet discographique de ces années-là, son album de 1982, Ludwig – L’imaginaire – Le Bateau ivre, où il affiche, jusqu’au titre, son compagnonnage revendiqué avec Beethoven et Rimbaud comme sources de rencontres poétiques et musicales. C’est donc avec constance qu’il s’ingénie à dépasser toutes les frontières du genre chanson pour le marier aussi bien à la poésie qu’à la musique dite classique. Un style s’épanouit alors, dans un romantisme d’imprécations, de formules flamboyantes, d’envolées litaniques et de tendres candeurs souvent blessées. Un panache baroque, parfois grandiloquent, mais toujours libre et sincère, qui peut achever ainsi en 1982 les plus de neuf minutes de Ludwig : “Depuis, Egmont me remonte comme une source bienheureuse et coulant comme une génération tout entière de bienfaits uniques Parce que tu es l’Unique Parce que je t’ai donné l’Unique Et ce Temps qui s’est arrêté au bord de la seule invention de l’homme : la douleur !” Lui qui, inspiré déjà par Beethoven, pouvait, dans son album de 1976 Je te donne, brouiller les registres et les tonalités en composant Muss es sein, es muss sein, chanson placée dans le disque juste avant une interprétation de Coriolan, où il mêle, comme en condensé de son œuvre, humour et vitupération : Ludwig ! Ludwig ! T’es sourdingue ? Ludwig la Joie Ludwig la Paix Ludwig ! L’orthographe c’est con ! Et puis c’est d’un très haut panache Et ton vin rouge a fait des taches Sur ta portée des contrebasses Ludwig ! Réponds ! T’es sourdingue ma parole ! MUSS ES SEIN ? ES MUSS SEIN ! Cela doit-il être ? Cela est ! Un tel parcours s’avère donc paradoxal car, si elle manifeste le foisonnement d’une originalité créatrice qui ne cesse d’inventer de nouvelles formes de rencontres entre poésie, musique et interprétation vocale, cette œuvre trace, durant ces dernières années, un sillon dont les échos, du fait même de cette inventivité débridée, se limiteront aux purs admirateurs de Ferré. En somme, cette incontestable force de bouillonnement s’avère aussi la limite de Ferré dans sa capacité à inspirer des émules, à susciter un héritage lisible dans le monde de la chanson. Ferré sera repris après sa disparition. Un groupe rock comme Noir Désir créera même un inédit de lui, Des armes – mais la part symphonique de son imaginaire (c’est lui qui durant toutes ces années doit louer l’Orchestre de la RAI, qu’il dirige sur tous ses derniers albums sous le nom d’Orchestre de Milan) restera limitée à ses propres interprétations. Si cette œuvre s’est donc prolongée durant son ultime décennie en feu d’artifice créatif, avec d’indéniables réussites esthétiques, un renouvellement constant et des prises de risque assumées, ce fut au détriment de son impact sur une mémoire collective : les morceaux qui sont restés associés à son nom relèvent de formats plus classiques et ont été composés soit lors de sa période Saint-Germain-des-Prés comme Jolie môme, soit à la fin des années 1960, comme La mémoire et la mer, C’est extra et bien sûr Avec le temps. Le contraste est donc patent, sur le terrain du succès de masse, avec celui qu’ont connu lors de ces mêmes années deux de ses anciens compagnons de l’époque des cabarets Rive Gauche : Barbara et Gainsbourg. CB Hirschi prePDF - Revue critique de fixxion française ... Joël July La métachanson de Léo Ferré - Hal Joël July – Pascal Pistone Introduction - Archive ouverte HAL La collection Chants Sons - Site de lesondesdumonde ! : Ferré... vos papiers!, direction Joël July et Pascal Pistone, 2018 site de Pascal Pistone Les enfants terribles de la chanson française - Sud Ouest.fr A Bordeaux, une licence de chanson française | www.cnews.fr Les chansons de maintenant sont les châteaux d'autrefois ... Douai et la chanson :aux origines d'un patrimoine | Cairn.info VALENCIENNES «La Chanson française depuis 1980», le ... Léo Ferré. - Droit cri-TIC Séminaire doctoral : Déplacements dans l'espace-temps ... Stéphane Hirschi : « Une chanson, c'est une agonie » La chanson bâtarde de Stromae et Abd al Malik - ATeM Archiv ... À la recherche d'une poétique ou comment lire une chanson ...
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A tous les garçons qui, j’ai cru, mon aimé, mais que en fait, non #3
Pourquoi s’embarquer dans de grands projets collectifs ? Parfois par motivation personnelle, parfois par solidarité, parfois pour rencontrer du beau monde. Ce projet-ci, je m’y suis engagée pour prouver à ma nouvelle belle-sœur que j’étais quelqu’un d’autre que cette fille qui ne parle pas aux repas de famille. Il s’agit d’un projet de sensibilisation sur le monde marin, sujet dans lequel je n’ai, en plus, aucune expérience. C’était sans compter que nous devions construire la structure qui allait habiter l’exposition. J’avais encore moins d’expérience dans le travail du bois, mais je voulais bien essayer. Rien ne peut briser ma détermination.
C’est la première fois que je me rends sur le chantier, je rencontre beaucoup de gens que je ne connais pas. La fille très sociable que je suis se renferme dans un silence pour fait croire à de la concentration. Je fais ce qu’on me demande, j’exécute. Je prends le temps pour observer les gens que je vais côtoyer jusqu’à la fin du projet, jusqu’à la fin de l’exposition, du rangement, du démontage, des réunions de retour. Bordel.
Un des mecs les plus dynamiques était ouvrier de métier. Il en regroupe aussi quelques clichés, dont le machisme et le sexisme. Il est toujours fourré avec son acolyte préféré, Adrien. Ils ont tous les deux 35 ans, rigolent beaucoup, fument beaucoup, écoutent beaucoup de musique, aiment beaucoup les femmes blondes. Ils vivent dans le beaucoup. Adrien est grand, toujours un peu bronzé de ses voyages, et joue du jazz dans deux groupes différents. Il joue de la contrebasse. Il fait régulièrement le tour d’Europe pour jouer dans des bars, sur des terrasses, dans des salles de concert. Il y porte son vêtement de concert : un veston noir sur une chemise rouge, pantalon noir, et chapeau noir. Adrien étant le seul personnage que je décris jusqu’à présent, vous déduisez qu’il est le sujet de la nouvelle.
Après chaque journée de chantier, ma belle-sœur nous prépare un repas chez elle. Apéro, repos, soleil et sourires. Je suis surprise qu’Adrien me parle aussi souvent. Il me pose des questions sur ma vie, si ça va sur le chantier, et me lance des blagues pendant le repas. Je me dis, tiens c’est marrant, tiens pourquoi pas, tiens c’est pour moi ? Je les entends aussi, lui et son ami, parler des femmes qu’ils tentent de rencontrer, qu’ils rencontrent des fois. On regarde les photos de la journée, puis le digestif, on fait claquer des bises, on est tactile, au revoir.
Je ne vais pas beaucoup sur le chantier. J’espère pourtant le revoir, chaque fois. Mais c’est déjà fini, la structure est prête, et il part faire un clip pour son prochain album. C’est déjà fini. Je m’attends à ne plus le revoir. Mais je me dis, est-ce que ?
Toujours dans cette volonté de vouloir prouver que je suis une meuf drôle /utile /dévouée /sur-qui-on-peut-compter, je passe les 10 premiers jours de mes vacances à faire l’animation de l’exposition. Pour le premier jour, je suis en avance, je n’ai pas mon badge pour rentrer, je supplie l’accueil de m’en refaire un, j’arrive en retard, stressée de ma première imperfection. J’arrive dans le premier hall, notre structure est belle. Je souffle de soulagement, elle n’est pas là. Elle est en retard. J’attends, sans elle, sans les clés, je ne peux rien faire. Elle arrive dix minutes plus tard, essoufflée, stressée, déjà énervée, en nous criant dessus. J’exécute ses ordres au pas de courses. Il y a des portes à enlever et emporter, les ordinateurs, le projecteurs, les questionnaires, Adrien. Adrien ? Adrien, désolé, il est en retard ? Adrien mais et ta vie faite de soleil, de bières et de jazz ?
« Salut toi ! Comment tu vas ? »
Comment ça ‘’toi’’ ? Adrien qu’est-ce que tu fais là ? Je m’attendais à ne plus te revoir. Tout était déjà fini. Il met sa main sur mon bras. Ça y est, tout s’écroule. C’est comme si j’avais cédé à la panique depuis une éternité déjà.
« On arrête de papoter là, les gens rentrent, on va être débordés aujourd’hui ! ON-SE-BOUGE !! »
Oui m’dame ! Je me remets à courir partout. Je donne toute mon énergie à partir de cet instant puis 10 heures chaque jour, mais je crois que ma belle-sœur ne comprend pas. Au bout du troisième jour, je sombre dans cet état de fatigue permanente, je plane, je ris nerveusement, et je redouble d’énergie pour faire le même speech aux visiteurs :
« Nous essayons de questionner les gens sur leur rapport à la mer. D’abord, vous nous racontez votre histoire à travers les questions que l’on a affiché, puis elle, la mer, va vous raconter sa relation avec vous, à travers la voix de Jeannot le Kraken.»
Même quand je n’ai plus de voix, même quand c’est la 200tième fois. Je donne tout. Surtout quand Adrien le fait avec moi. Quand c’est lui qui parle, je souris très fort. Il dit « On a invité un grand ami à nous, c’est un Kraken, Jeannot le Kraken, vous savez ce que c’est un kraken ? ». Là où moi je parlais deux minutes, lui étalait son discours sur dix. Et quel discours ! Il le vit, se marre, il raconte des histoires. Je m’occupe des précisions, de distribuer le matériel, de guider. Je le complète.
Parfois, je m’occupe de la séance de projection. J’accueille les visiteurs dans la salle, je leur dis merci, merci d’être venus si nombreux, Jeannot va prendre la parole, soyez attentifs. Pendant la séance, je fais en sorte que les curieux attendent la prochaine projection. Et quand j’entends la voix grave de Jeannot « Vous voyez que je peux encore faire peur. Bon allez, j’y vais, le ptit m’attend. » je sifflote, écarte les rideaux de velours et fait sortir la vague humaine maintenant puante et suintante. Je sifflote en arrangeant les bancs. Je sifflote sur la musique du générique « Je suis MARIN (…) ».
Les jours passent, les matins sont moins difficiles quand il est là. Je propose le croissant, il propose le thé. Il me dit « quoi ? mais si c’est moi qui joue la musique de fin du film de Jeannot ! », il me parle de Tinder, on se taquine, il me parle de cette fille, je le fais rire, elle est joli, on se soutient, il me dit « je la vois ce soir », je ne suis pas dans le déni, on se sourit.
8ème jour. Il n’est pas là. Il est 9h30 il n’est pas là. Ma belle-sœur est furieuse. Moi je me doute. Je me dis qu’il est peut-être encore sous la couette, qu’il n’est peut-être pas seul. J’essaye de prendre sa défense, c’est le seul bénévole qui ose vivre sa vie ces derniers jours. Nous autres, nous restons croupir dans ce hangar avec un kraken imaginaire et nos gueules de déchets. Nous croulons une fois de plus sous le nombre de visiteurs, sous les cris de ma belle-sœur. Je ris intérieurement. Elle ne comprend pas.
12h. Je suis trop occupée par mon corps qui crie repos et famine, par mon discours que j’articule de moins en moins, et par le fait qu’il faut faire belle figure car un ministre arrive. Je suis trop occupée pour ne pas voir arriver Adrien. Il arrive comme une fleur, une fleur épanouie, il a cette démarche de fleur épanouie. Il me demande à quel point la belle-sœur est énervée, me confie que, olala, hier quand même, cette belle blonde hier soir, c’était bien. Je ne suis pas dans le déni, mais je ne suis pas blonde. On se sourit.
Je ne suis pas dans le déni, je me dis elle ce n’est qu’une parmi d’autres, elle, elles n’ont pas la main sur le bras, les grand sourire, Jeannot le Kraken, le marin, elles, elles n’ont rien. Je ne suis pas dans le déni, je suis la seule qui importe.
16h, Adrien est tout heureux. Vous reconnaitrez mon intérêt grandissant pour cet homme par le fait qu’il prenne désormais plus de place que ma fatigue, ma belle-sœur, et tout le reste. Je ne veux rien savoir, il n’y a rien à savoir, mais en même temps : vont-ils se revoir ? Pense-t-il à moi le soir ? Vous noterez mon utilisation de la rime riche pour un effet drama plus appuyé, et pour donner à Adrien un côté romantique, même si c’est moi qui écrit. Mais vous avez aussi compris que je me trompais, depuis le début. Je ne suis pas blonde, je suis déni.
16h. Il nous reste encore trois heures à tenir. Adrien, tout heureux, sort prendre l’air. Je m’occupe des projections. Je reste derrière la structure, j’entends le générique de fin « Je suis MARIN (…) », je m’en vais chercher le prochain groupe de visiteurs. Entre mes geste mécanisés, j’aperçois Adrien et ce que je pense être la blonde, la fameuse. Adrien est tout heureux, et il part ce même soir en tournée. Laissant sa blonde et le Déni derrière lui. Sa main sur mon bras, un sourire et des bises. Je m’attends à ne plus le revoir. Mais moi aussi, je suis marin.
#textes#nouvelles#nouvelle#jeannot le kraken#to all the boys i've loved before#à tous les garçons#le déni t'as vu#atlg
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London Macadam : Blitz, la Guerre Eclair, est-ce-vous aujourd’hui ? Racontez.
Etienne Daho : Il y a plusieurs significations ; l’éclair c’est mettre la lumière sur vous. J’habitais à Londres quand j’ai écrit ce disque, je sentais qu’il y avait une certaine nervosité autour du climat, du Brexit, de certains attentats ; à Londres, il y avait le mot Blitz partout : dans tous les magazines, à la télévision, dans les News etc. Le mot Blitz revenait tellement souvent ! J’étais parti sur un autre titre d’album « Canyon » ce qui n’a rien à voir. Il y avait un côté assez pur : le rocher, quelque chose d’assez tranchant et en fait Blitz m’est apparu comme le titre générique de ce disque à cause justement du climat, de la dangerosité du monde dans lequel on est aujourd’hui et en France particulièrement en ce moment, c’est très compliqué. Donc c’était comme une anticipation. J’ai une chanson qui s’appelle « l’étincelle » extrêmement proche du climat ambiant.
London Macadam : « L’étincelle », c’est aussi ce que l’on peut avoir en soi, dans vos paroles c’est ce que l’on entend.
Etienne Daho : Oui, c’est une manière de dire : on ne nous regarde pas parce que nous sommes les exclus mais on brille de l’intérieur.
London Macadam : Vous dites qu’avec cet album, vos premiers amours sont remontés à la surface. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Etienne Daho : Oui, bien sûr. Le premier disque de pop que j’ai acheté c’est le premier album de pink floyd qui s’appelle « The Piper at the Gates of Dawn » qui a été écrit entièrement par Sud Barrett qui pour moi est Dieu. Et donc on m’a offert une biographie de Syd Barrett au moment où j’avais commencé à écrire. J’avais fait déjà les musiques mais pas de textes encore. Je me souviens que j’avais la grippe ce jour-là. Et j’ai lu que l’appartement ou vivait Syd Barrett était juste à côté de l’endroit que je loue à Londres quand je viens habiter ici près de Earl’s Court. J’étais sidéré de la proximité. Et je me suis levé malgré la fièvre et le côté fébrile, je suis allé voir ou était cet appartement qui pour moi est un appartement mythique que l’on voit dans son premier album « the Madcap Laughs », on le voit dans cette chambre. Et donc j’ai appris aussi que la personne avec qui il partageait cet appartement, Duggie Fields, qui est un peintre post-moderniste extrêmement intéressant et passionnant, vivait là. Je me suis promené donc dans le coin et je suis tombé sur Duggie Fields. On a parlé, on est devenu amis. Il a compris à quel point cet endroit était important pour moi. Il m’a invité dans la chambre de Syd Barrett et là c’était pour moi extrêmement émouvant et fort et… j’ai commencé à écrire la première chanson de mon disque qui est « Chambre 29 », car c’était le numéro 29 de la rue.
London Macadam : Sur Blitz il y a également une chanson à votre sœur disparue. Est-ce que vous pouvez nous parler de cette chanson, comment elle est née…?
Etienne Daho : Je l’ai écrite en allant à Rennes dans le train et je voulais qu’elle soit à la hauteur de qui était ma sœur c’est-à-dire une personne bonne, la gentillesse même, la pureté même. Et j’avais envie que cette chanson au lieu que ce soit une chanson pleurnicharde qui serait comme une chanson triste sur le manque du départ, je voulais au contraire que ce soit une chanson très joyeuse comme un hymne à la vie, à la joie et l’espérance qu’elle soit dans un monde merveilleux avec des fleurs, de bonnes odeurs, des fruits, une espèce d’Eden. C’était une manière de lui rendre hommage. Je n’avais pas du tout parlé de ça. C’était une chose assez secrète.
London Macadam : Vous êtes à Electric Brixton le 19 janvier. Londres pour vous, qu’est-ce que c’est ?
Etienne Daho : Je suis venu jouer quelques fois au Marquis, à la S.E.A., il y a 3 ans j’ai joué au Coco, et là je reviens à Electric Brixton. Je suis content de venir jouer à Londres, de ne pas être cloisonné.
London Macadam : La tournée ?
Etienne Daho : La tournée est finie. J’ai joué de Juin à Décembre à raison de 4 à 5 concerts par semaine ce qui explique l’état de délabrement dans lequel vous me voyez aujourd’hui. J’ai encore 2 concerts à Londres et à Berlin puis je vais recommencer à écrire.
London Macadam : Qui a-t-il de prévu pour 2019 ?
Etienne Daho : En 2019 je vais tourner avec un album qui s’appel Eden qui est un album que j’avais aussi enregistré à Londres en 1996 à Olympique Studio. C’est un album qui est très important pour moi, je l’avais enregistré ici, j’avais vécu 4-5 ans ici dans les années 90 et cet album marque pour moi un nouveau chapitre, une nouvelle vie. Symboliquement il est important et donc il va ressortir en version Deluxe avec pleins d’inédits, de Lives de maquettes, et je vais tourner avec cet album.
London Macadam : My London Macadam par Etienne Daho ?
Etienne Daho : Il y a pleins d’endroits que j’adore à Londres. J’adore Shoreditch, j’aime beaucoup South kensington aussi parce que j’habite à côté et je trouve que Londres est très exotique comme ville donc chaque fois que je viens ici c’est pour travailler mais je prolonge parce que je trouve que cette ville est à la fois exotique et familière, j’ai passé toute mon enfance et mon adolescence à Rennes donc la Bretagne c’est pas loin comme comportement à savoir une réserve mais une fois qu’on a partagé quelques bières, on est debout sur la table.
London Macadam : Merci Etienne Daho !
Etienne Daho : Merci.
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La série TV Desperate Housewives (2004-2012) avec l’acteur James Denton interprétant lr personnage masculin Mike.
Les acteurs de la série Le Caméléon. à la distribution de la série : - James Denton - Marisa Petroro (Ep. 5.10) - Andrea Parker (Saison 8) ...
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Créateur : Marc Cherry, avec qui l’acteur James Denton retravaillera dans la série Devious Maids.
Nb de saison : 8 Statut : terminée en 2012 1ère épisode U.S. : 04 octobre 2004 sur ABC
Réalisation : Fred Gerber ( Ep. 1.06, 1.08 et 1.10) qui avait déjà réalisé l’Ep. 1.02 de la série Agence Matrix
Production : Larry Shaw, qui avait déjà réalisé l’Ep. 1.06 (2003) de la série Agence Matrix ...
Département artistique : Nathan Chew (Ep. 1.03, 3.18 et 5.18) déjà croisé en tant qu’acteur dans l’Ep. 1.01 de la série Agence Matrix
Distribution principale : - Teri Hatcher, qui montera ponctuellement sur scène l’accompagner au micro pour les concerts caritatifs des Band From TV, et qu’il retrouvera dans les TVfilms Coup de Foudre Avant Noël (2021), Christmas on Cherry Lane (2023) ainsi que dans un épisode de la saison 2 de la série TV Fantasy Island (2023) ! - Doug Savant, qu’il retrouvera dans l’Ep. 4.24 de la série NCIS Nouvelle Orléans (2018); - Kim Delaney, que l’acteur avait déjà rencontrée dans Philly - Shawn Pyfrom, que l’actrice avait déjà croisé dans l’Ep. 8.04 de la série Les Experts : Miami - David Fabrizio, vu dans l’Ep. 1.03 dans Le Caméléon.
Il est également resté en contact avec l’acteur Kyle MacLachlan, qui possède un commerce de vin à Seattle, et chez qui il achète régulièrement des bouteilles pendant les vacances.
Distribution secondaire : - Jay Harrington (Saison 2) vu dans l’Ep. 3.03 de la série Le Caméléon; - Tony Plana (Ep. 7.21 à 7.23, 8.01 et réalisation du 8.06) vu dans l’Ep. 1.08 de la série Le Caméléon;
Ils n’ont eu aucune scène en commun mais avec Andrea Parker sa partenaire de la série Le Caméléon, ils se sont quand même croisés sur le plateau de tournage.
Le 22 septembre 2004 sur la même chaîne était également lancée la série culte LOST avec un certain Jon Gries au générique...
Photos promo 1 - 2 - de Mike. Sa relation avec Susan : photos. Photos de tournage. Saison 8 : captures des Ep. 8.08 - 8.09
Programme-TV
Revoir les épisodes sur M6. Disponible sur Disney+ Star
Twitter officiel.
Participations exceptionnelles - Saison 1 : - Lorna Scott, déjà croisée dans Primary Colors et recroisée dans Un Intrus dans ma Maison; - Gregg Daniel (Ep. 1.06 et 1.09) déjà croisé dans l’Ep. 1.01 de la série Agence Matrix - Marlee Matlin (Ep. 1.17), recroisée dans Un Intrus dans ma Maison; - Arnell Powell, recroisé dans Un Intrus dans ma Maison; - Hira Ambrosino (Ep. 1.18), que l’acteur avait déjà croisé dans l’Ep. 1.05 de la série Agence Matrix - Kevin E. West, vu dans l’Ep. 1.08 de la série Le Caméléon ; - Steve Tom (Ep. 1.23) déjà croisé dans l’Ep. 1.04 de la série Agence Matrix
Participations exceptionnelles - Saison 2 : - Mark Arnold (Ep. 2.05 et 2.06) déjà croisé dans l’Ep. 1.06 de la série Agence Matrix ; - M.C. Gainey (Ep. 2.20), vu dans l’Ep. 2.14 de la série Le Caméléon ; ...
Participations exceptionnelles - Saison 3 :
- Anthony Azizi (’Ep. 3.04 et 3.05) déjà croisé dans la série Agence Matrix - Ian Paul Cassidy (Ep. 3.08) déjà croisé dans l’Ep. 1.02 de la série Agence Matrix et vu dans l’Ep. 4.06 de la série Le Caméléon. - Thomas Crawford (Ep. 3.18) vu dans l’Ep. 2.04 de la série Le Caméléon.
Participations exceptionnelles - Saison 4 :
- Julia Campbell (Ep.4.01) déjà croisée dans l’Ep. 3.04 de la série Le Caméléon. - Melora Walter (Ep. 4.08 et 4.09) déjà croisée dans la série Agence Matrix - Kortney Manns, (équipe technique dans les Ep. 4.09, 5.08 et 6.01) déjà croisé en tant qu’acteur dans l’Ep. 1.02 de la série Agence Matrix - Lee Lourdes (Ep. 4.09), que l’acteur avait déjà croisé dans l’Ep. 1.06 de la série Agence Matrix ;
La saison 4 ne comporte que 17 épisode au lieu des 24 prévus à cause de la grève des scénaristes qui a concerné toute l’industrie hollywoodienne. Les intrigues de cette saison ont également dû être modifiées pour tenir dans ce nombre raccourci d’épisodes.
Participations exceptionnelles - Saison 5 :
- Matthew Jones (Ep. 5.10) déjà croisé dans l’Ep. 1.03 de la série Agence Matrix - Marina Palmier (Ep. 5.23) déjà croisée dans l’Ep. 1.04 de la série Agence Matrix
Participations exceptionnelles - Saison 6 :
- James McDonnell (6.01), vu dans l’Ep. 4.03 de de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender). - Dennis Cokrum (6.05), vu dans l’Ep. 1.02 de de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender). - Paul Ganus (Ep. 6.18) déjà croisé dans l’Ep. 1.02 de la série Agence Matrix
Participations exceptionnelles - Saison 7 :
- Derek Webster (Ep. 7.11, 7.13 et 8.16) déjà croisé dans l’Ep. 1.03 de la série Agence Matrix
Participations exceptionnelles - Saison 8 :
- Leslie Jordan (8.08 et 8.09), vu dans l’Ep. 1.17 de la série Le Caméléon, et qui croisera dans le film Undead or Alive (2017); - Roselyn Sanchez (Ep. 8.23) qu’il recroisera dans l’Ep. de la série Devious Maids .
Grace à cette série, l’acteur a remporté des prix collectifs, et continuent d’être associé à ce rôle/son duo avec Teri Hatcher dans ses interview pour Danse Avec les Stars !
Presse : - 26 mars 2021 : The Morning Show ...
Actualité 2020 de la série : Stars in the House
Du même créateur : Devious Maids.
Son goût pour l’art musical, que son personnage se découvre dans la saison..., est visible, outre pour Band From TV, dans : - Perfect Harmony (2022) - Ma Seule Famille - Grace Unplugged - Good Witch
photos : imdb, tvshowscouples, desperatehousewives.fan, dh-central.sosugary.com sources : imdb et ouest-france.fr
Alias Lyle dans Le Caméléon. Alias John Kilmer dans Agence Matrix. Alias Peter Hudson dans Devious Maids . Alias le Dr Sam dans Un Soupçon de Magie.
alias Linda Farrell dans Urgences. alias Caitlin ‘Kate’ Pike dans JAG alias Mlle Parker dans Le Caméléon alias Lydia Weston dans Less Than Perfect. alias Sarah Souders dans Red Band Society alias Jessica Di Laurentis dans Pretty Little Liars.
#desperatehousewives#jamesdenton#M6#mike#james denton#desperate housewives#marc cherry#ian paul cassidy#paul ganus#Kortney Manns#melora walters#anthony azizi#fred gerber#nathan chew#andrea parker#marlee matlin#arnell powell#lorna scott#derek webster#matthew jones#marina palmier#steve tom#roselyn sanchez#disney + star#shawn pyfrom#Teri Hatcher#Marisa Petroro#hira ambrosino#guitare#chant
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Il y a des lundis soirs de novembre froids & pluvieux qui tournent bien. Quand Thomas m’appelle à la nuit tombée pour me proposer une place pour The Cure, comme ça, là, au débotté. Par exemple. Et on se retrouve lui & moi en fringants quarantenaires (et non quinqua comme ironisait mon frangin, rageux) frétillants dans la fosse comme des poissons dans l’eau, bienheureux. Ça faisait si longtemps que j’avais pas cassé ma voix (& les oreilles d’un voisin étrangement impavide)… La voix de Bob, elle, ne change pas & permet le voyage dans le temps (pourvu qu’on ferme les yeux…). Parce qu’il y en a eu des concerts de The Cure dans ma vie… Mais aussi quelques tables de lycée gravées avec cette écriture "Kiss me Kiss me Kiss me", entretenant ainsi une correspondance mystico-absurde avec un fan d’une autre classe… Et le générique des "Enfants du rock”, avec ces paires d’yeux rockeux “Just Like Heaven" comme le T-shirt de Sionann (jalousie). Et ces manifs où je suivais les mecs avec la tête de Chabat dans "Prête-moi ta main" (objectivement très ressemblants)… Et l’affiche de "Boys don’t cry" qui m’a accompagnée jusqu’au prochain déménagement… Gamine, j’avais demandé à mon père ce que voulait dire "boys don’t cry" : "garçons ne pleurez pas" ? Moué, presque. Voilà en tout cas une chanson qui vieillit bien & je me faisais d’ailleurs la réflexion que Robert était en fait très fleur bleue (quand il ne parle pas d’araignée)… Cute Cure. Et puis Thomas & moi nous espérions "Charlotte sometimes"… Moi pour faire une spéciale dédicace à l’amie Françoise, la "Charlotte" de son amoureux curiste : j’ai filmé vite vite un petit bout (parce que c’est chiant de se retrouver "lost in a forest" of phones) : this one is for you, Françoise. Et pour Thomas. Et pour moi. Et pour nous. Avec ce petit goût vintage de y a longtemps. "The people seemed so close So many other names Sometimes I'm dreaming Where all the other people dance Sometimes I'm dreaming Charlotte sometimes" #bluemonday #whenwewereyoung #closetous #boysdontycry #thecure #charlottesometimes #lesenfantsdurock https://www.instagram.com/p/ClmleF4tEyj/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Je vais voir La bande des quatre à la cinémathèque avec W. , un film incroyable, nous sortons renversés, sonnés, glacés aussi maudite clim. Je veux rentrer écrire toutes les idées que le film a levées comme les lapins d’une partie de chasse. A la place, j’écoute Rivette à la radio en préparant le souper. J’ai aussi proposé à B. de regarder Caro diario, elle en a envie à cause je crois des correspondances que je lui ai racontées avec son grand-père. Nous pédalons jusqu’à mon bureau, attraper l’ordinateur, de retour, le brancher hdmi, les réglages et voilà: Rome, la drôlerie, la danse, Pasolini, le köln concert, mon père à l’hôpital, les îles, moi qui marche au botanique pour prendre de l’air, Nanni qui se gratte, mon père qui vire le curé de sa chambre, Nanni qui se gratte et ne dort plus, les médecins, les médecins, les médecins, j’ai oublié ceux qu’on a vus à l’époque, Nanni reste calme il a un cancer quand même, je me sentais terriblement vivante alors. Pendant le générique de fin je me souviens que mon hypocondrie me vient de ce film, précisément et ça fait 29 ans. Ce soir je lutterai contre l’idée que mon eczéma récent et inédit me raconte encore la même histoire.
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