#Bourg-Tibourg
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Place du Bourg-Tibourg, Paris 4e, 8 mai 1945
Photo: Jean-Philippe Charbonnier
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Place du Bourg-Tibourg, Paris 4e, 8 mai 1945
Photo: Jean-Philippe Charbonnier
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... rĂȘve dâune nuit dâĂ©tĂ© 2020 ... et dâune soirĂ©e dâautomne un samedi soir sur la terre ... oĂč je nâaurais peut-ĂȘtre pas dĂ» aller ...
đ€ La Goulette, rue de la Verrerie , presque Ă lâangle de la rue du Temple . Restaurant gargote tunisienne oĂč jâai traĂźnĂ© pendant des annĂ©es ... entre LâImprĂ©vu cafĂ© rue Quincampoix, Mariage FrĂšre rue du Bourg Tibourg, Le Comptoir de lâĂ©criture rue "je ne sais plus" ... et les diverses boutiques dâartisans de ce carrĂ© ... câĂ©tait il y a pas loin de vingt-cinq ans...
Quâest-ce que je fais ici ? Aujourdâhui ?
Ou cette nuit ? Il fait nuit ... je marche, je me vois tourner Ă lâangle et remonter vers le centre du Marais , je passe trottoir de droite et jâarrive Ă hauteur dâune entrĂ©e ouverte sur la rue, une musique coule dâune volĂ©e de marches qui montent Ă un lieu appelĂ© le Bistrot Latin accolĂ© intĂ©grĂ© au cinĂ©ma le Latina ... Pourquoi suis-je entrain de revoir cette scĂšne ?
đ La nuit sous un autre jour ...
"Ballada por un loco"
VoilĂ ... La nuit... c'est beau une ville la nuit, au moment oĂč les ombres s'allongent. Une rĂ©alitĂ© en demi-teinte rĂ©duite aux sphĂšres de lumiĂšre des lampadaires, repĂšres et tĂ©moins de nos pas incertains dans une atmosphĂšre aux couleurs mĂȘlĂ©es aux parfums de la rue.
Mais, au croisement de celles-ci, les villes se rencontrent et nos pas donnent la mesure de nos passions partagées.
Une lumiĂšre Ă©clabousse le trottoir, une musique enveloppe nos corps.
Pour cette "ballade pour un fou", je vous emmĂšne jusqu'au bout de la nuit ... đ
CâĂ©tait en 1995 ... Pourquoi suis-je Ă nouveau dans cette rue oĂč jây rattache rĂ©ellement mes premiers pas de danseur au sens dâapprendre, de poser mes pas dans ceux de mes maĂźtres que je me suis choisi ... La scĂšne est je crois la mĂȘme, lâatmosphĂšre a quelque chose de "diffĂ©rent" ... les silhouettes des gens dans la rue, elles sont presque sans teintes de couleurs, en demi-teintes fades dâun Ă©clat passĂ©, ils sont pressĂ©s les passants comme si je dĂ©rangeais ; les regards de reproches de me dire que je nâai pas lieu dâĂȘtre lĂ . Des visages grimaçants dĂ©formĂ©s dâĂ©motions obscures et limites malsaines ... ils ont forme humaine... juste forme ...
Je ne comprends pas ce que je fais lĂ , pourquoi ces visages caricature dâinstinct animal ? Je monte les marches du Bistrot Latin, que de souvenirs sây rattachent ... lâendroit est presque tel quel, câest Ă©trange on dirait un mĂ©lange dâautres lieux que jâai connu, voire de scĂšnes de films ... Ă moitiĂ© en couleurs et en noir et blanc ... Il semble nây avoir personne, juste les silhouettes brumes fantomatiques esquissĂ©es du souvenir de gens qui un jour ont Ă©tĂ© sur cette piste de danse ou au comptoir ...
Et au milieu de la piste, il y a un corps .
Face contre terre . Le visage en sang . Il y a du sang rouge sur le plancher de la piste de danse autour et sous lui . Le visage est abĂźmĂ© tout autant que chaque partie de cet homme . Pourquoi suis-je par terre ? Pourquoi suis-je entrain de voir ce corps lĂ au milieu ? En sang ? Pourquoi nâai-je pas mal ? Je devrais hurler de douleur si jâen crois lâĂ©tat des blessures . Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ? Ce nâest pas normal !
Il y a trois formes silhouettes qui regardent ce corps . De deux dâentres elles se dĂ©gage une sensation malsaines de plaisir jouissif... de la troisiĂšme irradie lâexacte opposĂ©e ...
Pourquoi nâai-je pas la conscience vrillĂ©e par la douleur, cela devrait ĂȘtre intolĂ©rable ... Qui sont ces silhouettes personnes qui regardent, me regardent ? Pourquoi tout ce sang ? Pourquoi suis-je dans cet Ă©tat lĂ ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi revenir ici ? Pourquoi ce lieu est-il plusieurs ? Pourquoi la sensation des passants dĂ©figurĂ©s dans la rue Ă©tait signal de danger ? Pourquoi y a-t-il face contre terre mon corps baignant dans du sang que je crois ĂȘtre le mien et lĂ maintenant une Ă©vanescente bleutĂ©e superposĂ©e reflet/silhouette sur/dans ce corps mais face vers le ciel ? ... ... ... đ€
RĂ©veil ... ... ... ... ... ...
đ On peut mourir de multiples façons ...
Oui câest aussi simple je nâai plus mal pour la toute simple raison que je suis mort . AprĂšs tout, câest assez logique... trois vies ... jâai tenu trois vies ... la premiĂšre a tout pris ou peu sâen faut...
la seconde a tout détruit et a abßmé tout ce qui était beau ...
La derniĂšre mâa donnĂ© lâespoir et ensuite mâa enlevĂ© mes derniĂšres illusions dâhomme ...
je pouvais mourir ...
Toi, la derniĂšre car ce sera "toi sinon personne", toi qui mâa dit Oui ,qui fĂ»t ce petit lapin blanc dans mes tĂ©nĂšbres, ne pas te voir est une Ă©preuve, te voir lâest tout autant ... et lĂ ce soir, cette soirĂ©e đ dâun samedi soir dâautomne me donne Ă relire ce rĂȘve dont je nâavais dans la symbolique pas toutes les clĂ©s ... ...
il me reste ce chemin oĂč je suis ... " du cap de la colĂšre jusquâau bout du monde " ...
Je sais que je suis seul depuis lâĂąge de quatre ans , câĂ©tait un jour de carnaval, un jour de mardi gras ... je sais que je nâai jamais Ă©tĂ© dans cette foutue caverne , je sais que je me suis Ă©vertuĂ© Ă y rentrer, je sais que je nâaurai jamais dĂ» ouvrir certains livres, je sais que je nâaurai jamais dĂ» chercher Ă entendre le bruit de la plume dans le cheminement de la pensĂ©e de ses esprits , Ă regarder entre lâencre et le papier ... Je sais je lâai appris on me lâa posĂ© sur la table, que ma mĂ©moire affective est Ă©tonnement dĂ©veloppĂ©e et que mes souvenirs archaĂŻques sont au-delĂ du commun, jâai arrĂȘtĂ© de douter dâeux aprĂšs pas loin de plus de quarante annĂ©es ... je sais que je nâaurai pas dĂ» plonger ... On ne revient pas inchangĂ© de certains voyages ... ni indemne.
Adieu toi que jâaime, puisque tu as "choisi" ... je me sais avoir encore plein dâencre dans lâencrier de mes yeux pour Ă©crire, alors pardonne-moi si de loin en loin je te rappelle Ă mon souvenir... peu savent et quant Ă la morale de la chanson elle me fait sourire car hĂ©las pour moi je connais les coulisses ... et nous aurions pu inventer notre vie ...
Tu fus et tu resteras ma plus belle danse .
Jâaurai aimĂ© ĂȘtre toi si jâĂ©tais nĂ© femme... jâaurai aimĂ© partagĂ© ta vie ... je ne voulais somme toute que peu de choses voire presque rien , jâaurai aimĂ© danser avec toi jusquâau bout ... et non ĂȘtre ma danseuse nâimplique pas dâĂȘtre ma femme obligatoirement comme tu me lâa jetĂ© au visage ... jâavais trouvĂ© en toi,hĂ©las pour moi, ce que je ne me savais pas cherchĂ© ... je lâai trouvĂ© et je lâai perdu ...
sâil paraĂźt que les dieux quand ils veulent vous punir exaucent nos vĆux alors je peux savourer ce que jâai trouvĂ© au prix de ce que jâai perdu .
Il est rare de trouver en lâautre la vibration qui rĂ©sonne sur la mĂȘme frĂ©quence ... je le sais pour la simple raison que tu fus la clĂ© qui me donna Ă aller lĂ oĂč normalement le chemin en est Ă jamais perdu ... je sais pourquoi jâai dansĂ© ... je te laisse ces lieux je nây reviendrai plus ...
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Chic in Paris: Hotel Bourg Tibourg
Explore the allure of Parisian charm at Hotel Bourg Tibourg, where every detail tells a story of effortless elegance. Indulge in the hidden treasures of this chic haven, where timeless beauty meets contemporary luxury.
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Place du Bourg-Tibourg, Paris 4e, 8 mai 1945
Posiblemente mi outfit favorito hasta el momento; me atrevĂ a jugar con los colores y mi personaje es un payaso-stripper-de blade runner 2049 y le he hecho justicia ese dĂa.
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#Galerie Thierry Bigaignon#EXPOSITION COLLECTIVE âą PERSPECTIVES RADICALES#EXPOSITION : 31 MARS - 14 MAI 2022#Galerie Bigaignon#18 Rue du Bourg Tibourg#75004 Paris#Quâest-ce que la photographie ? Câest de cette question#simple de prime abord et Ă laquelle tout un chacun semble avoir une rĂ©ponse toute trouvĂ©e#que nous sommes partis pour construire cette exposition collective dâenvergure. Dix artistes#hommes et femmes de tous horizons#qui par leur pratique et les piĂšces quâils et elles produisent#tordent le cou aux idĂ©es prĂ©conçues que lâon pourrait avoir de la photographie.#perspectivesradicales#radicalperspectives#expositioncollective#groupshow#Photography#artcollection#photographie@annecamilleallueva @vincentballard @lbayolthemines @vittoriagerardi @morvaridk.art @fernandomarante @thomaspaquet_ @aleksandra#alisonrossiter#yannighedel @galleriesnow @marais.guide @slash.paris @agencedezarts Bigaignon#experimentalphotography
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Vernissage ce soir Ă la Galerie Sakura, 21 rue du Bourg-Tibourg dans le Marais Ă Paris, de 18h Ă 21h !!
#ads libitum#floating worlds#galerie sakura#pop culture#mashup#ukiyoe#ukiyo#woodblock print#japan#illustration#japan culture#nike#air jordan
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Jean-Philippe Charbonnier - Marin endormi, Place du Bourg-Tibourg, Paris, 1945.
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Jean-Philippe Charbonnier - Couples enlacés au lendemain de la libération de Paris, Place du Bourg-Tibourg, Paris, 14 juillet 1945.
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Jean-Philippe Charbonnier   Le marin endormi sur le piano du bal, Place du Bourg-Tibourg, Paris 4e    c.1945
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La rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie vue depuis le coin de la rue Bourg-Tibourg, en face de la rue Aubriot, au coeur du Marais, Paris, vers 1905.
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Envie dâune petite crĂ©ature codexienne Ă mettre chez soi? Direction la Galerie Sakura, rue du Bourg-Tibourg dans le Marais, Paris 4... profitez-en pendant quâon peut encore se balader le weekend!
#streetart#graffiti#codex#street art#arturbain#picoftheday#paris graffiti#streetartparis#codexurbanus#creatures#trompe l'oeil
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Audrey Rivet | HĂŽtel Bourg Tibourg, Paris.Â
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... rĂȘve dâune nuit dâĂ©tĂ© 2020 ... et dâune soirĂ©e dâautomne un samedi soir sur la terre ... oĂč je nâaurais peut-ĂȘtre pas dĂ» aller ...
đ€ La Goulette, rue de la Verrerie , presque Ă lâangle de la rue du Temple . Restaurant gargote tunisienne oĂč jâai traĂźnĂ© pendant des annĂ©es ... entre LâImprĂ©vu cafĂ© rue Quincampoix, Mariage FrĂšre rue du Bourg Tibourg, Le Comptoir de lâĂ©criture rue "je ne sais plus" ... et les diverses boutiques dâartisans de ce carrĂ© ... câĂ©tait il y a pas loin de vingt-cinq ans...
Quâest-ce que je fais ici ? Aujourdâhui ?
Ou cette nuit ? Il fait nuit ... je marche, je me vois tourner Ă lâangle et remonter vers le centre du Marais , je passe trottoir de droite et jâarrive Ă hauteur dâune entrĂ©e ouverte sur la rue, une musique coule dâune volĂ©e de marches qui montent Ă un lieu appelĂ© le Bistrot Latin accolĂ© intĂ©grĂ© au cinĂ©ma le Latina ... Pourquoi suis-je entrain de revoir cette scĂšne ?
đ La nuit sous un autre jour ...
"Ballada por un loco"
VoilĂ ... La nuit... c'est beau une ville la nuit, au moment oĂč les ombres s'allongent. Une rĂ©alitĂ© en demi-teinte rĂ©duite aux sphĂšres de lumiĂšre des lampadaires, repĂšres et tĂ©moins de nos pas incertains dans une atmosphĂšre aux couleurs mĂȘlĂ©es aux parfums de la rue.
Mais, au croisement de celles-ci, les villes se rencontrent et nos pas donnent la mesure de nos passions partagées.
Une lumiĂšre Ă©clabousse le trottoir, une musique enveloppe nos corps.
Pour cette "ballade pour un fou", je vous emmĂšne jusqu'au bout de la nuit ... đ
CâĂ©tait en 1995 ... Pourquoi suis-je Ă nouveau dans cette rue oĂč jây rattache rĂ©ellement mes premiers pas de danseur au sens dâapprendre, de poser mes pas dans ceux de mes maĂźtres que je me suis choisi ... La scĂšne est je crois la mĂȘme, lâatmosphĂšre a quelque chose de "diffĂ©rent" ... les silhouettes des gens dans la rue, elles sont presque sans teintes de couleurs, en demi-teintes fades dâun Ă©clat passĂ©, ils sont pressĂ©s les passants comme si je dĂ©rangeais ; les regards de reproches de me dire que je nâai pas lieu dâĂȘtre lĂ . Des visages grimaçants dĂ©formĂ©s dâĂ©motions obscures et limites malsaines ... ils ont forme humaine... juste forme ...
Je ne comprends pas ce que je fais lĂ , pourquoi ces visages caricature dâinstinct animal ? Je monte les marches du Bistrot Latin, que de souvenirs sây rattachent ... lâendroit est presque tel quel, câest Ă©trange on dirait un mĂ©lange dâautres lieux que jâai connu, voire de scĂšnes de films ... Ă moitiĂ© en couleurs et en noir et blanc ... Il semble nây Ă avoir personne, juste les silhouettes brumes fantomatiques esquissĂ©es du souvenir de gens qui un jour ont Ă©tĂ© sur cette piste de danse ou au comptoir ...
Et au milieu de la piste, il y a un corps .
Face contre terre . Le visage en sang . Il y a du sang rouge sur le plancher de la piste de danse autour et sous lui . Le visage est abĂźmĂ© tout autant que chaque partie de cet homme . Pourquoi suis-je par terre ? Pourquoi suis-je entrain de voir ce corps lĂ au milieu ? En sang ? Pourquoi nâai-je pas mal ? Je devrais hurler de douleur si jâen crois lâĂ©tat des blessures . Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ? Ce nâest pas normal !
Il y a trois formes silhouettes qui regardent ce corps . De deux dâentres elles se dĂ©gage une sensation malsaines de plaisir jouissif... de la troisiĂšme irradie lâexacte opposĂ©e ...
Pourquoi nâai-je pas la conscience vrillĂ©e par la douleur, cela devrait ĂȘtre intolĂ©rable ... Qui sont ces silhouettes personnes qui regardent, me regardent ? Pourquoi tout ce sang ? Pourquoi suis-je dans cet Ă©tat lĂ ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi revenir ici ? Pourquoi ce lieu est-il plusieurs ? Pourquoi la sensation des passants dĂ©figurĂ©s dans la rue Ă©tait signal de danger ? Pourquoi y a-t-il face contre terre mon corps baignant dans du sang que je crois ĂȘtre le mien et lĂ maintenant une Ă©vanescente bleutĂ©e superposĂ©e reflet/silhouette sur/dans ce corps mais face vers le ciel ? ... ... ... đ€
RĂ©veil ... ... ... ... ... ...
đ On peut mourir de multiples façons ...
Oui câest aussi simple je nâai plus mal pour la toute simple raison que je suis mort . AprĂšs tout, câest assez logique... trois vies ... jâai tenu trois vies ... la premiĂšre a tout pris ou peu sâen faut...
la seconde a tout détruit et a abßmé tout ce qui était beau ...
La derniĂšre mâa donnĂ© lâespoir et ensuite mâa enlevĂ© mes derniĂšres illusions dâhomme ...
je pouvais mourir ...
Toi, la derniĂšre car ce sera "toi sinon personne", toi qui mâa dit Oui ,qui fĂ»t ce petit lapin blanc dans mes tĂ©nĂšbres, ne pas te voir est une Ă©preuve, te voir lâest tout autant ... et lĂ ce soir, cette soirĂ©e đ dâun samedi soir dâautomne me donne Ă relire ce rĂȘve dont je nâavais dans la symbolique pas toutes les clĂ©s ... ...
il me reste ce chemin oĂč je suis ... " du cap de la colĂšre jusquâau bout du monde " ...
Je sais que je suis seul depuis lâĂąge de quatre ans , câĂ©tait un jour de carnaval, un jour de mardi gras ... je sais que je nâai jamais Ă©tĂ© dans cette foutue caverne , je sais que je me suis Ă©vertuĂ© Ă y rentrer, je sais que je nâaurai jamais dĂ» ouvrir certains livres, je sais que je nâaurai jamais dĂ» chercher Ă entendre le bruit de la plume dans le cheminement de la pensĂ©e de ses esprits , Ă regarder entre lâencre et le papier ... Je sais je lâai appris on me lâa posĂ© sur la table, que ma mĂ©moire affective est Ă©tonnement dĂ©veloppĂ©e et que mes souvenirs archaĂŻques sont au-delĂ du commun, jâai arrĂȘtĂ© de douter dâeux aprĂšs pas loin de plus de quarante annĂ©es ... je sais que je nâaurai pas dĂ» plonger ... On ne revient pas inchangĂ© de certains voyages ... ni indemne.
Adieu toi que jâaime, puisque tu as "choisi" ... je me sais avoir encore plein dâencre dans lâencrier de mes yeux pour Ă©crire, alors pardonne-moi si de loin en loin je te rappelle Ă mon souvenir... peu savent et quant Ă la morale de la chanson elle me fait sourire car hĂ©las pour moi je connais les coulisses ... et nous aurions pu inventer notre vie ...
Tu fus et tu resteras ma plus danse .
Jâaurai aimĂ© ĂȘtre toi si jâĂ©tais nĂ© femme... jâaurai aimĂ© partagĂ© ta vie ... je ne voulais somme toute que peu de choses voire presque rien , jâaurai aimĂ© danser avec toi jusquâau bout ... et non ĂȘtre ma danseuse nâimplique pas dâĂȘtre ma femme obligatoirement comme tu me lâa jetĂ© au visage ... jâavais trouvĂ© en toi,hĂ©las pour moi, ce que je ne me savais pas cherchĂ© ... je lâai trouvĂ© et je lâai perdu ...
sâil paraĂźt que les dieux quand ils veulent vous punir exaucent nos vĆux alors je peux savourer ce que jâai trouvĂ© au prix de ce que jâai perdu .
Il est rare de trouver en lâautre la vibration qui rĂ©sonne sur la mĂȘme frĂ©quence ... je le sais pour la simple raison que tu fus la clĂ© qui me donna Ă aller lĂ oĂč normalement le chemin en est Ă jamais perdu ... je sais pourquoi jâai dansĂ© ... je te laisse ces lieux je nây reviendrai plus ...
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