#Bombardier léger
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Bombardier léger et avion de reconnaissance Breguet 19 'Istanbul Eminönü' de l'armée de l'air turque – 1930's
©Turkish Air Force
#Avant-guerre#Pre-war#Armée de l'air turque#Turkish Air Force#Aviation militaire#Military aviation#Bombardier#Bomber#Bombardier léger#Medium Bomber#Avion de reconnaissance#Reconnaissance aircraft#Breguet 19#Breguet XIX#Istanbul Eminönü#1930's
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28 c'est…le nombre d'avions bombardiers et légers (24) et d'hélicoptères (4) mobilisés par dix États membres de l'Union européenne (dont la France) en prévision des incendies de forêt qui pourraien...
C'est le nombre d'avions bombardiers et légers (24) et d'hélicoptères (4) mobilisés par dix États membres de l'Union européenne (dont la France) en prévision des incendies de forêt qui pourraient se produire durant l'été prochain. Ce plan d'action intitulé RescEU comprend également la promesse de mobiliser au moins 450 sapeurs-pompiers afin d'être « prépositionnés en France, en Grèce et au Portugal ». Pour rappel, les feux de forêt de l'été 2022 ont brûlé 837 212 hectares de végétation dans 26 des 27 pays de l'Union européenne. Un record depuis le lancement en 2000 du Système européen d'information sur les feux de forêt (Effis) du programme Copernicus.
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[C]les civilisations cosmiques
[IMG=EIN]
En 990 suite à la découverte des civilisations extérieures l'empire céleste se lance dans une course à la découverte de civilisations célestes et cosmiques sous l'impulsion des explorateurs cosmiques et des astronomes célestes un observatoire est fondé avec le mécénat de l'empereur céleste à Alcesia la capitale de l'empire céleste c'est le plus grand observatoire au monde il regroupe les savoirs des siècles précédent dans son immense bibliothèque impériale céleste les astronomes lancent la constitution des premiers vaisseaux d'exploration ces vaisseaux sont plus long que les bombardiers célestes et ont une plus grande légèreté et autonomie que ces derniers le premier vaisseau céleste est capable de traverser le nuage d'Orion et fais un orbite complet autour du nuage il atterit dans le Royaume de Obrefort près de Obrebourg dans les forêts de sapins géants réputée les plus denses de l'empire céleste de janvier à octobre 990 les explorateurs cartographies l'extérieur du nuage d'Orion ils créés des nuages gigantesque les nuages cardinaux qui leur permettent de fonder des bases aériennes et ont pour principal usage d'être un repère pour se retrouver dans le ciel et trouver l'emplacement du continent céleste
[C]l'empire céleste
L'empire céleste est la première civilisation céleste son continent est à 100 000 miles de hauteur orbitant sur l'océan polaire sa civilisation est une union de royaumes vassaux d'un empereur
La capitale est Alcesia la population est de huit milliards le climat est polaire c'est l'un des plus froid du ciel les celestiens sont les premiers à explorer le ciel suivi par l'observation de boreal
[IMG=9HZ]
l'empire céleste est découvert en 977 par un moldröve ayant réussi par un moyen inconnu à fouler le pieds sur ce continent céleste ce même moldröve aurait aussi découvert l'istraï de siberth ou royaume au dessus des nuages un royaume situé sur la montagne noire en Mercia la plus haute du monde lancée en pique vers le ciel le royaume dispose de villes creusée à même la montagne l'explorateur ne serait pas revenu de ce royaume et les rares à avoir atteint le sommet de la montagne noire indique que le royaume au dela des nuages est considéré comme la toute première civilisation extérieure à l'humanité un royaume au plafond
En 987 un bombardier novgor est emporté par un typhon céleste et se fait propulser à travers le nuage d'Orion et s'écrase dans le Royaume de l'empereur ces novgor ont trouvé le moldröve et ont même sympathisé avec celui ci les novgors et moldröve ennemis sur le continent ont construit une amitié dans le ciel et ont fait le premier contact entre les humains du continent et les humains céleste
[C]Continent
Le continent grouille de ressources naturelles et est suffiscient pour que la civilisation céleste perdure le continent est à l'abri des typhons il est à une hauteur culminante de 100 000 miles environt trois fois la distance entre le continent polaire et le continent du Nord le continent céleste est en orbite circulaire autour de l'océan polaire ses saisons coïncident avec les cycles lunaires et selon où se trouve le continent si le continent est au dessus du continent polaire c'est la saison des neige
[IMG=OHQ]
[C]Les vaisseaux Maple I II III IV et V
En 990 les astronomes se mettent en lien avec les chantiers de construction des bombardiers céleste et mettent en oeuvre la création de vaisseaux capable d'atteindre le cosmos et pouvant durer plusieurs siècles en réservoir les moteurs serait quarante fois plus puissant que ceux des bombardiers céleste et aurait une propulsion à accélération de particule intégrée au moteur à nuage faisant que le vaisseau serait plus léger et maniable les astronomes créés dans l'observatoire d'Alcesia une lancée dans le cosmos et l'exploration les astronomes lance la mission Maple I et II en 990 en 991 Maple III IV en 1017 Maple V
[C]Cap des rêves
Le cap des rêves est découvert en 990 par le vaisseau Maple II qui explore l'ouest et les environs de l'empire céleste il se situe à une altitude de 70 000 miles et à 9 000 miles du continent céleste c'est le seul cap visible depuis le continent du Nord Maple II fait un orbite pour photographier le nuage c'est la première fois que les astronomes célestiens peuvent montrer l'extérieur du nuage d'Orion
[C]Maple I et II
Le vaisseau Maple I est lancé le 16 juillet 990 sa trajectoire est en ascension haute de 90 degrés il doit traverser le typhon d'Orion et devenir le premier vaisseau à le faire son ascension se passe avec plusieurs secousses et turbulences causée par le typhon le vaisseau est fabriqué pour résister à cette étape les calculs de trajectoire ont pris en compte que la trajectoire est indéfinie et ont mis un calcul leur permettant de recentrer le vaisseau à sa trajectoire le vaisseau communique par radiographe à la base de Pedelfort choisi comme site de lancement pour ses prairies de fleurs et de tulipes le 16 juillet 990 Maple I traverse le nuage d'Orion et découvre le ciel extérieur pour la première fois les membre d'équipage prennent en photo le nuage d'Orion et décrive comme tel à quoi ressemble le ciel "c'est un océan de nuage qui s'étend à l'infini dans toute les directions on voit une large masse de terre en bas le nuage d'Orion est gigantesque vu d'ici le ciel est ensoleillé bleu et chauffe le vaisseau nous sommes en orbite" Maple I entame un orbite dont le cercle entier est de 53 heures soit deux jours et 5 heures et commence son exploration du ciel le 19 juillet Maple se dirige vers l'ouest et reste en contact permanent avec le continent céleste il doit atterir le 5 août 997 pour rendre ses conclusions
[IMG=TG9]
Le vaisseau Maple II est lancé le 2 août 990 il à pour mission d'explorer le ciel austral qui se trouve 500 000 miles au dessus de l'empire céleste son observation relève plusieurs découverte les typhons céleste ont des trajectoire aléatoire et sont influencée par les vents du ciel Maple II prend la première photo d'un typhon céleste le 2 décembre le 3 le vaisseau aperçoit un glacier gigantesque qui plane et émet une brume qui forme des stalactites sur le vaisseau celui ci envoie une sonde avec à son bord quatres astronomes qui découvre qu'un engin inconnu s'est écrasé l'épave de ce vaisseau est encastrée dans la glace dû à une collision frontale à haute vitesse les survivant ont creusé à même la glace les astronomes relève que des champignons ont poussé dans la socoupe volante les astronomes explorent les entrailles du glacier et s'enfonce dans une niche creusée par les survivants ils découvrent des squelettes dans une combinaison et des instruments inconnus d'où se poursuit une expédition propre de Maple II pour élucider le mystère de ce glacier et de cette soucoupe volante
[IMG=JDW]
[C]Maple III et IV
Maple III est lancé le 4 mars 991 il se démarque de ses prédécesseurs eux étant cantonné à une exploration libre Maple III à pour mission de faire une orbite circulaire autour de la planète entière c'est à dire faire le tour de la terre il décolle le 4 mars 991 et se dirige vers l'est c'est la mission ayant le plus impliqué l'astronomie céleste plus du double de calculs pour tracer la trajectoire que Maple III devait suivre celle ci à était calculée à une constante qui est au millimètre près Maple III fait des découvertes majeure la mer de nuage est découverte le 5 octobre 992 après plus de un an de voyage dans le ciel le vaisseau atteint le ciel du bas monde qui se trouve en dessous de la montagne où est le monde connu la mer de nuage est décrite comme des nuages noir opaque les crépuscules sont quotidiens et les journées sont rallongée les nuits le vaisseau gèle mais le moteur étant imperméable Maple III continue le 20 janvier 993 le vaisseau fait une découverte majeure les aurores boréales célestes elle serait située aux confins du monde et apparaissent selon les astronomes à bord dans de rare conditions de nuit glaciale et de cumulus vide ces astronomes décrivent les aurores boréales céleste comme semblable à celle qui sont visible sur le continent polaire mais en cent fois plus grande de taille colossale Maple III conclu que le ciel au-delà du monde garde en secret des créations naturelle célestes massive
[IMG=C6M]
Maple IV est lancé la 9 décembre 991 sa mission est d'explorer le continent du Nord en orbite sans savoir que la quatrième guerre de l'humanité est en cours malgré l'histoire Maple IV se stationne en orbite et photographie pour la première fois de l'histoire l'humanité vue du ciel le vaisseau doit ensuite poursuivre sa mission et explorer les océans et le continent polaire le 23 décembre 991 Maple IV se pose sur le continent polaire les astronomes foule le pied de cette terre de glace et de neige ils sont les premiers humains céleste à avoir touché un continent terrestre Maple IV entre dans l'histoire le vaisseau décolle le 27 décembre après des excursions célestes dans les tempêtes de neige constante Maple IV lance son ascension vers sa deuxième mission atteindre le point culminant le plus haut possible c'est à dire explorer le plafond un lieu hypothétique qui marque la fin du ciel et le début du cosmos infini Maple IV néanmoins n'a pas la technologie pour entamer cette mission le 4 août 992 le vaisseau est contraint d'atterrir sur le continent céleste mais demeure le plus haut record d'altitude pendant des décennies
[C]Maple V
Maple V est le dernier vaisseau d'exploration il est lancé le 1 juillet 1017 les astronomes ont progressé dans leur recherches et la découverte des transfert de matière électrique qui permet de transporter un vaisseau en le propulsant dans un éclair permet de faire des bond de plusieurs centaine de millier de miles Maple V à pour mission d'explorer le cosmos le vaisseau entame une ascension et lance l'hypothèse que des lueurs dans le ciel serait l'origine d'une civilisation extra stellaire sa trajectoire se lance vers ces cinq lumières
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French vocabulary
L'avion - aircraft
l'accoudoir (m) - armrest
l'aile (f) - wing
l'aileron (m) - aileron
l'altitude (f) - altitude
l'avion de ligne (m) - airliner
l'avion léger (m) - light aircraft
l'avion supersonique (m) - supersonic jet
les bagages à main (m) - carry-on bags
le bombardier - bomber
la cabine - cabin
le casier à bagages - cargo area compartment
la ceinture de sécurité - safety belt
le chasseur - fighter plane
la classe affaires - business class
la classe économique - economy class
le cockpit - cockpit
le/la copilote - co-pilot
le couloir - aisle
la dérive - fine
l'empennage (m) - tailplane
le fuselage - fuselage
l'hélice (f) - propeller
l'hélicoptère (m) - helicopter
le hublot - window
l'hydravion (m) - sea plane
le jet privé - private jet
la liseuse - reading light
la montgolfière - hot-air balloon
le nez - nose
le/la pilote- pilot
la queue - tail
la rangée - row
le réacteur - engine
la roue de nez - nosewheel
le siège - seat
la sortie - exit
la sortie de secours - emergency exit
le steward/l'hôtesse de l’air (f) - flight attendant
la tablette - table tray
le train d'atterrissage - landing gear
l'ultra léger motorisé (ULM) (m) - microlight
le ventilateur - air vent
atterir - to land
décoler - to take off
voler - to fly
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Bravo! C’est un chef d’oeuvre!
Modestement Professeur, a réaliser en bois de chêne Canadien par des ébénistes Canadiens, c’est leur chef d’oeuvre a eux véritablement j’y ai simplement donné forme
C’est un bel hommage a Joseph Armand Bombardier
C’était le but Professeur
Les rayons font quelle taille?
9.90 mètres
De coté?
De coté, 19.8 mètres de bout en bout
Moquette blanche?
Moquette blanche et banc noir monopièce en mousse termoformée qui s’allonge mécaniquement
Du polyuréthane?
Exact, issu du recyclage et qui a l’avantage d’être léger, les places assises sont sculptées a l’intérieur du banc, et quand il s’allonge il présente des repose pieds sur les ailes, la section centrale est déjà en configuration lounge
Et aussi 9.90 mètres de large!
C’est quasiment un triangle équilatéral Professeur
Pour la hauteur?
En fait ce sont deux meubles superposés pour une hauteur totale de 2.7m sans doute, chaque meuble fait 1.35m de haut, les 2 constituent une séparation entre les 2 parties de l’upperdeck
Nous avons donc une bibliothèque Joseph Armand Bombardier sur chaque embarcation de haut standing?
Et pour le spatial, je salue votre idée Professeur, une bibliothèque Joseph Armand Bombardier a bord est notre trademark
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De la motoneige
La motoneige est certainement un véhicule incroyable
Tout comme le récepteur du système de positionnement global ainsi que la bombe aérosol, la motoneige a ses origines dans l'innovation technologique militaire. Les moniteurs en silicone adaptés aux voitures militaires hors route étaient pragmatiques pendant les mois d'hiver, et Joseph-Armand Bombardier, du Québec, a d'abord adapté ce style pour générer d'énormes voitures à plusieurs personnes. Au fil du temps, Bombardier a transformé sa conception et son style. Son premier «Ski-Doo» acheté en 1959 et les secteurs du marché Bombardier continuent d'être un pionnier dans le secteur de la motoneige aujourd'hui. ¬Dans cet article informatif, nous examinerons le fonctionnement des motoneiges et apprendrons dans quelle direction elles fonctionnent comme loisirs et transport dans des environnements froids. Les moteurs de motoneige sont très similaires aux moteurs des motomarines. Les types de tourisme plus lourds utilisent souvent le générateur d'év��nements cérébro-vasculaires à 4, tandis que les modèles plus légers et plus sportifs utilisent le deux temps. Un générateur de voiture fournit de l'énergie via un arbre de transmission, qui fait spécifiquement tourner l'essieu et les jantes de votre automobile. Néanmoins, un moteur de motoneige est relié à votre poussée de chenille, qui fait tourner les chenilles. Les roues de la motoneige sont fondamentalement de gros équipements dont les dents sont réparties de manière cohérente avec les ouvertures dans les chenilles. Chaque rotation de votre équipement habilite les pistes et les disques durs de la motoneige devant. Plus le moteur est rapide, plus l'équipement tourne rapidement et plus les chenilles se déplacent rapidement. Les motoneiges ont également un processus de système d'embrayage qui est certainement généralement un type de CVT (transmission à variation continue) à structure par poulie. Ce système comprend deux poulies, ou embrayages, motoneige attachés au moyen d'une courroie d'entraînement. L'embrayage primaire est placé dans le vilebrequin du moteur. Un ressort de tension maintient les deux moitiés du primaire séparées une fois que le régime du générateur est réduit. Au fur et à mesure que le générateur commence à accélérer, les poids de l'embrayage créent une pression centrifuge suffisante pour fermer l'embrayage, permettant à la boucle d'avancer librement et d'envoyer de la force. Le système d'embrayage secondaire se joint pour la poussée de chemin, qui fait tourner les roues et les capacités des moniteurs. Un ressort précoce dans le système d'embrayage supplémentaire fait fonctionner les cames (cales), ce qui peut être une compréhension du couple. Lorsque le régime du moteur augmente et que le principal transmet de l'énergie, ces cames se pressent ensemble et tendent la courroie. Ce processus se déroule au fur et à mesure que la motoneige accélère. Une fois qu'il atteint sa vitesse nominale maximale, le système d'embrayage principal s'arrête, transférant la boucle dans un plus grand "engrenage". Comme la motoneige demande moins de capacité pour augmenter que pour démarrer, l'embrayage secondaire démarre. Contrairement à un guide ou à une transmission automatique, ce produit est continu et pourrait efficacement aller et venir entre une quantité illimitée d '«équipement» en fonction du rythme et de la quantité d'énergie requise. Pour en savoir plus, jetez un œil à Comment les CVT fonctionnent.
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La motoneige: cet engin qui va partout
Tout comme le récepteur du système Gps avec l'aérosol, la motoneige a ses origines dans les technologies militaires. Le caoutchouc caoutchouté garde la trace des voitures utilisées sur les voitures de l'armée hors route et s'est avéré pratique pendant les conditions hivernales, et Joseph-Armand Bombardier du Québec, le Canada a principalement adapté cette conception et ce style pour fabriquer de grandes voitures à plusieurs personnes. Après un certain temps, Bombardier a très bien traité sa conception et son style. Son premier «Snowboarding-Doo» acheté en 1959 et Bombardier Businesses demeure aujourd'hui un pionnier du secteur de la motoneige. ¬Dans cet article, nous examinerons le fonctionnement des motoneiges et verrons comment elles servent de divertissement et voyagent dans des environnements froids. Les moteurs de motoneige ressemblent beaucoup aux moteurs des motomarines personnalisées. Les modèles de visite plus lourds ont tendance à tirer parti du moteur à plusieurs accidents vasculaires cérébraux, car les types plus légers et plus sportifs utilisent le coup à deux cœurs. Un moteur de véhicule envoie de la force via un arbre de transmission, qui fait tourner en ligne l'essieu ainsi que les jantes de l'automobile. Néanmoins, un moteur de motoneige est relié à certains déplacements du moniteur, ce qui fait tourner les moniteurs. Les pneus de la motoneige sont essentiellement des engrenages énormes avec des dents réparties également avec des fentes dans les chenilles. Chaque rotation de l'équipement permet aux moniteurs et aux disques durs de faire avancer la motoneige. Plus le moteur est rapide, plus les engrenages tournent rapidement et plus les chansons se déplacent rapidement. Les motoneiges ont en outre un système d'embrayage qui est essentiellement une sorte de CVT (transmission à variation continue) dépendant de la poulie. Cette méthode comprend deux poulies, ou embrayages, motoneige liés par une courroie de déplacement. L'embrayage principal est situé autour du vilebrequin du moteur. Une saison de printemps de stress prend en charge les deux moitiés du primaire séparément si le régime du générateur est faible. Lorsque le moteur commence à booster, les haltères du système d'embrayage créent une puissance centrifuge suffisante pour fermer l'embrayage, laissant la courroie se déplacer facilement et envoyer de la puissance. Le système d'embrayage supplémentaire se connecte pour le voyage sur piste, ce qui convertit les pneus et les capacités des chansons. Un ressort précoce dans le système d'embrayage supplémentaire fait fonctionner les cames (cales), qui comprennent le couple. Puisque le régime du moteur s'améliore et que le principal transmet la puissance, ces cames se pressent ensemble et resserrent la boucle. La procédure persiste car la motoneige accélère. Quand il atteint son rythme maximal, l'embrayage principal se ferme, déplaçant la boucle dans un meilleur «produits». Comme la motoneige a besoin de moins de puissance pour booster qu'elle n'a réussi à démarrer, le système d'embrayage secondaire démarre. Contrairement à un guide ou une transmission intelligente, cette méthode est continue et va facilement aller et venir entre une variété illimitée d '«équipements» en fonction de la vitesse et de la quantité de force essentielle. Pour plus d'informations, consultez Comment fonctionnent les CVT.
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French Navy to Operate Four Airbus H160 Helicopters
The French Armament General Directorate (DGA) is to supply four H160 helicopters to the French Navy for search and rescue missions through a partnership between Airbus Helicopters, Babcock, and Safran Helicopter Engines. The French Navy will start operating the helicopters in 2022 for a period of ten years. This interim fleet of H160s will enable the French Navy to ensure the continuity of critical missions as the Alouette III retires from service and the pending Guépard deliveries. Airbus Helicopters, and its partners, will also be responsible for supporting the fleet with a high level of availability and performance commitments. In addition, French Navy operational feedback will be monitored to benefit the design of the military version of the H160 and its support system.
“We are proud that the French Navy will be operating the H160 for their search and rescue missions. We are sure that the improved situational awareness, increased pilot assistance, and visibility that the H160 provides will prove to be a valuable asset for their critical and demanding missions”, said Bruno Even, Airbus Helicopters CEO. “Our industrial partnership with Babcock and Safran Helicopter Engines will allow us to ensure the highest level of availability for the French Navy and we are honoured to have been entrusted with this mission”. The medium twin engine H160, powered by Arrano engines, is scheduled for entry into service later this year. First deliveries of the equally modular military version, the H160M, or Guépard as it known in the French armed forces are planned in 2026. A total of 169 H160Ms are foreseen in the frame of the Joint Light Helicopter programme (Hélicoptère Interarmées Léger: HIL) to replace five types of helicopters in service in the French armed forces. See latest Travel News, Interviews, Podcasts and other news regarding: H160, Airbus, Helicopters, France. Headlines: HK7s and Singapore Sevens Rescheduled Quay Hotel & Spa in Deganwy, North Wales - Interview with Brid Collins Royal Thai Air Force Orders Six Airbus H135 Helicopters CWT Appoints Laura Watterson as SVP - Global Talent & Rewards Yee Pin Tan Joins Six Senses as Head of Design Boeing Forecasts Southeast Asia to Need 4,500 New Airplanes Over Next 20 Years Bombardier Completes Strategic Exit from Commercial Aviation British Airways to Launch Flights Between London Heathrow and Newquay Six Senses Appoints Bryan Gabriel as CCO Piotr Madej Joins The Andaman Langkawi as GM Sustainable Inspiration from Farmer Gareth Wyn Jones in North Wales PNG Air Orders Three ATR 42-600S Aircraft Japan Airlines Joins Amadeus NDC Program BBAM to Convert Three Boeing 737-800s into Freighters John Woolley Joins The Ritz-Carlton Bali as GM French Navy to Operate Four Airbus H160 Helicopters British Airways Extends Suspension of Flights to Beijing and Shanghai Air France Extends Suspension of Flights to Beijing and Shanghai Welsh Wine from the Gwinllan Conwy Vineyard - Interview with Colin Bennett Vietjet to Launch Three New Routes to India WTTC's 20th Global Summit to Take Place 22-23 April in Cancun, Mexico Keio Plaza Hotel Tokyo to Open Renovated Rooms on 29 March 2019-nCoV - Arbitrary Restrictions and Blanket Travel Bans Cause Confusion China and Mandarin Airlines Make Further Changes to Cross-Strait Services Premier Inn to Add 735 Beds to Scotland Portfolio in 2020 Valentino Longo Wins North America's Most Imaginative Bartender Competition Aviation: Slower But Steady Growth in 2019 Three Countries to Participate in Singapore Airshow 2020 Flying Displays 2019 Worst Year for Air Cargo Since End of Global Financial Crisis in 2009 Korean Air to Sell Land and Assets ibis Styles Hotel Opens in Bekasi, Indonesia Air France Takes Delivery of Airbus' 350th A350 United Airlines to Buy a Flight Training Academy Bombardier to Double Size of Service Centre at London Biggin Hill LA7s to Take Place at Dignity Health Sports Park in Los Angeles 29 Feb - 1 Mar Singapore Airshow 2020 Still On; SAALS Cancelled IHG Signs 61-Key InterContinental Resort in Khao Yai, Thailand Fusion Suites Opens in Vung Tau, Vietnam Aeroviation Expands Flight Training in Singapore with DA-20 Simulator CWT Appoints Nick Vournakis as MD - Global Customer Group SEHT Aviation Donates Six SH40-10 Headsets to Aerobility China Airlines Adds 2019-nCoV Service Information Centre to Website Four Seasons Resort Lanai Appoints Bradley Russell as Resort Manager Leading Yachts of the World Appoints Anthony Brisacq as CEO Second Four Seasons Hotel in Tokyo Starts Accepting Reservations Korean Air to Launch Passenger and Cargo Flights to Budapest, Hungary Aviation: Alliance Established to Investigate Use of Blockchain in MRO Chain SAS Closes Sale of Beijing and Shanghai Flights Until 15 March North Face 100 Thailand Attracts Over 4,000 Runners from 20+ Countries Hong Kong Air Cargo Renews IOSA Registration Swiss-Belhotel to Open Over 2,000 Rooms in 12 Hotels in Indonesia Elena Nazarovici Joins The Sanchaya Bintan as Director of Sales Amadeus Joins Mastercard's City Possible Network Asia Pacific Airlines Carried 375.5m Int. 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L’armée de l’air algérienne modernisée
L’armée de l’air algérienne modernisée
Profitant de l’expérience de l’utilisation des forces aériennes russes par de nouveaux systèmes de bombardement de précision lors du conflit en Syrie, l’armée de l’air algérienne a modernisé sa flotte (une quarantaine d’avions) de bombardiers légers Su-24 MK au format M2, rapporte un media d’armement. Selon cette source le format M2 est en théorie, un format uniquement réservé à la Russie et…
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Lieutenant Johansen et Fern Hulmen dans un de Havilland Mosquito HP864 du 333e Escadron de la Royal Norwegian Air Force attaquant le U-998 au large des côtes norvégiennes – 16 juin 1944
©Artwork by Mark Postlethwaite
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#Repost @bombardier_jets with @make_repost ・・・ Don’t settle for less. The #Learjet75 aircraft’s wing design and best-in-class wing loading offer the smoothest ride in the light jet category. Ne vous contentez pas de moins. La conception de l’aile et la meilleure charge alaire de la catégorie des avions légers procurent aux passagers de l’avion #Learjet75 le vol le plus en douceur de cette catégorie. #SmoothRide #Bombardier #businessjets #corporatejets #privatejet #bizjet #businessaircraft #avgeek #privateaviation https://www.instagram.com/p/B-3BEQhAxEs/?igshid=u51butzszq0c
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La Russie remanie ses avions de combat
D’où la présence du Su-x7. L’aspect commercial: on le sait, le Su-57 est « le » chasseur de 5ème génération russe. ’atteindre. Certes c’est de la rhétorique et on peut discuter longtemps de sa pertinence ou non, mais toujours est-il que le programme s’il veut s’exporter doit s’adapter aux contraintes du monde « moderne » et de sa logique commerciale. D’où le Su-5x, le 5 symbolisant la 5ème génération. L’aspect logique: on a tendance à l’oublier mais les dénominations de l’OKB Sukhoï suivent un ordre beaucoup plus strict qu’on ne le pense. Nous avons signalé ci-dessus l’existence de nombreuses variantes du Su-27 et des dénominations liées mais le Su-57 ne fait que suivre l’arithmétique. Toujours dans le domaine des prototypes: le célèbre Su-47 « Firkin » (« Berkut » en Russie). Ce prototype, basé sur le Su-27, présente une configuration aérodynamique particulière avec des ailes à flèche inversée. Ayant effectué son premier vol en date du 25 septembre 1997; il fut principalement employé pour la mise au point des commandes de vols électriques et des matériaux composites. Au diagonal, toujours sans les hélices, il fait 56.5 cm. Chaque hélice fait 33cm de diamètre pour 22.6 g. Elles sont de couleur blanche. La forme est presque en rectangle. Pour éviter de les monter à l’envers, il y a des indications écrites sur les hélices et le moteur. Elles sont faciles à monter et à démonter. Le Typhoon Q 500 est livré avec un outil qui permet d’immobiliser le moteur pendant qu’on y fixe les hélices auto bloquantes. Pour plus de facilité encore, le sens de la rotation est indiqué sur les hélices et les moteurs. Le train d’atterrissage fait 27 cm de longueur pour 16cm de hauteur. De la mousse rigide placée en dessous sert à amortir les chocs pour les atterrissages sur sol dur. Ils sont fait avec du plastique flexible. La caméra à l’avant fait 11,5 cm de hauteur, 13,5cm de profondeur et 7,4 cm de largeur. Elle est fixée à la coque sur un adaptateur en caoutchouc. La version biplace correspondante est le F-15D. Le F-15E Strike Eagle est un F-15D modifié, créé en 1986 pour donner à l'appareil une capacité multirôle, et d'attaque tout temps. Cette version reprend 60% de la cellule du F-15D, et emporte également les réservoirs FAST. Il est également équipé d'une nouvelle motorisation : deux General Electric F110-GE-129 ou deux Pratt certains Su-24M furent modernisés au standard Su-24M2 en vue de leur permettre de rester en première ligne plus longtemps vu le retard encouru par le programme Su-34. Cette modernisation étant en partie financée par la vente à l’export d’appareils stockés. Ce retard aura un autre impact sur l’appareil, les technologies ont fortement évolués entre 1990 et 2003; les VKS ont demandés en décembre 2003 une mise à jour des équipements de l’appareil. Les « 46, 47 et 48 Blanc » recevront de nouveaux équipements (notamment au niveau de l’avionique) avant de suivre une nouvelle campagne de tests d’homologation. Le dernier prototype de Su-34, le « 48 Blanc ». Ces derniers se termineront le 30 septembre 2006. Ils seront suivi en octobre 2006 par l’acte officiel de finalisation de la première étape d’évaluation de l’appareil; ce qui autorise de facto les VKS à débuter les opérations avec le Su-34. C’est en date du 23/12/2016 que les quatre derniers Su-34 de 2016 ont été livrés par l’usine NAPO au 277ème BAP de Khurba (près de Komsomolsk-na-Amour, Krai de Khabarovsk). L’arrivée de ces appareils clôt donc le programme de livraison 2016 comportant 16 Su-34. De plus, avec la mise en service de ceux-ci: on dénombre 98 Su-34 (7 prototypes/pré-séries et 91 de série) actifs en Russie. Si cette hypothèse se confirme; le 100ème Su-34 rejoindra les rangs des VKS sous peu, marquant ainsi une étape symbolique dans le renouvellement de la flotte de bombardiers tactiques des VKS. Ces livraisons sont l’occasion de revenir sur cet appareil et sur son historique. C’est en 1977, au tout début de la mise au point du Sukhoï T-10 (futur Su-27), que germe l’idée d’un nouvel appareil capable de remplacer le Su-24. Suppression des défenses anti-aériennes (SEAD). Le Su-24 (Code OTAN: Fencer) effectua son premier vol le 2 juillet 1967 (sous le nom de projet T-6) avec Vladimir Ilyushin aux commandes. Les Russes ont très rapidement voulu tester l’efficacité de l’appareil et de ses équipements; ils vont même aller jusqu’à employer certains des prototypes pour évaluer l’efficacité des systèmes de brouillage en zone de guerre. Des rumeurs persistantes - bien que jamais vérifiées - font état de l’emploi du prototype « 45 Blanc » en 1999 au-dessus de la Tchétchénie. Il semble qu’à deux reprises (en 2000 et 2002), le « 45 Blanc » a été employé pour couvrir avec son système Khibiny un raid de Su-24M engagés au-dessus de la Tchétchénie. A défaut de confirmation officielle et devant le côté « léger » de la rumeur; ces informations sont à prendre avec de grosses réserves. Mais c’est à la fin de septembre 2015 que le Su-34 va connaître son véritable « baptême du feu ». Suite à un décret du gouvernement Russe datant du 30 septembre 2015, celui-ci décida de prendre une part active dans la guerre civile en Syrie en apportant un soutien aérien au gouvernement de Bachar el-Assad. Pour plus d'informations, allez sur le site de ce baptême en avion de chasse.
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Trudeau, in Trouble in Much of Canada, Still Has Fans in Quebec
OTTAWA — When Canadians decide this fall whether to return Prime Minister Justin Trudeau to office, Quebec’s votes will be critical.
So it’s a good thing for Mr. Trudeau that many in the province have stood by him this year even as his former justice minister accused him of bullying her over her handling of a criminal bribery case. On Wednesday, the country’s ethics commissioner found that the prime minister’s behavior violated the ethics law.
The reason Quebecers have been so loyal is that the case involved a major Quebec-based engineering company, SNC-Lavalin, which is a household name in the province, a source of pride, and a symbol of success.
Mr. Trudeau wanted the company to pay a fine, not face a criminal conviction. And he has steadfastly maintained that he was only trying to save jobs in Canada because a criminal conviction would bar the company from government work.
“I was supportive of Trudeau and what he did,” said Karl Moore, a business professor at McGill University in Montreal. “If the prime minister of Canada can’t help out one of Canada’s global companies, something’s wrong. I think they’ve been treated unfairly.”
The controversy over Mr. Trudeau’s behavior has been brewing since February, when the accusations by his former justice minister and attorney general, Jody Wilson-Raybould, became public.
In most of Canada, the accusations and unrelenting news coverage have significantly dented the prime minister’s popularity, said Jean-Marc Léger, the chief executive of the Léger polling firm. But, he said, support for Mr. Trudeau in Quebec hasn’t wavered.
“From the beginning, there has been solidarity with the company in Quebec,” he said.
He added that Mr. Trudeau’s battle to help save SNC-Lavalin jobs could pay political dividends in the upcoming election. Combined, Quebec and its larger neighbor Ontario have about two-thirds of Canada’s population, making them a linchpin to the prime minister’s re-election hopes.
Like Mr. Trudeau, Quebec politicians also rallied on behalf of SNC-Lavalin. “I don’t think we should penalize the thousands of employees who work for SNC-Lavalin,” Premier François Legault of Quebec said in February.
The company has about 3,600 employees in Montreal and other 5,400 elsewhere in Canada. But for Quebecers, the significance of SNC-Lavalin goes well beyond the numbers of workers.
It is one of a group of companies informally known as Quebec Inc. and includes the airplane and train maker Bombardier. During the 1960s and ’70s, the companies became the first large corporations in Quebec with French-speaking management. That’s important because at the time, French speakers faced discrimination in other Quebec companies.
The two companies that merged to form SNC-Lavalin designed and built hydroelectricity projects in the northern part of the province that are now an important component of Quebec’s economy. It also built iconic structures like Montreal’s Olympic Stadium.
Although many Quebec firms fled to Toronto after the election of a separatist government, SNC-Lavalin stayed put. And it became a global player with offices in dozens of countries and 50,000 employees worldwide.
“The company is symbolic of Quebec’s engineering prowess on the global stage,” said François Cardinal, the editorial page editor of La Presse, a leading French-language newspaper. “The company is part of Quebec’s mythology.”
Despite its iconic status, SNC-Lavalin’s legacy also includes repeated incidents of corruption. In 2013, the World Bank banned it from bidding on its contracts for a decade to settle a corruption inquiry into its activities in Bangladesh.
Separately, an Indian government investigation found in 2011 that the company paid bribes there to build a major hydroelectric dam.
And in SNC-Lavalin’s own backyard, Pierre Duhaime, its former chief executive, pleaded guilty in February to paying tens of millions of dollars in bribes to build a hospital complex in Montreal.
A public official has also pleaded guilty to taking bribes from SNC-Lavalin in exchange for a contract to renovate a landmark bridge in Montreal.
Michel Girard, a business columnist at Le Journal de Montréal, is among many in Quebec who note that the company long ago purged senior management of those responsible for the corruption. “They cleaned house,” he said. “To put the company in prison is not fair.”
In the case that Mr. Trudeau got involved in, the company was charged with bribing and defrauding the Libyan government when Muammar el-Qaddafi, the Libyan dictator, was in power. Mr. Trudeau argued that under a new law, the justice minister could have pushed for a civil penalty of a substantial fine, rather than a criminal conviction.
To press its argument for a civil penalty, the company engaged an array of lobbyists and others.
The ethics commissioner’s report shows that among them were Kevin Lynch, the company’s chairman who was previously head of the civil service in Canada; the chairman of the Bank of Montreal, one of the five banks that dominate financial services in Canada; and two retired justices of the Supreme Court of Canada.
And then there was Mr. Trudeau, whose aides also argued in favor of a civil penalty.
In the end, however, it was fruitless. The justice minister allowed the criminal prosecution to go forward. The company is awaiting trial.
Professor Moore said that while a conviction would bar SNC-Lavalin from bidding on government work, it wouldn’t wipe it out.
“But I think that its future is being smaller in Canada and being smaller over all,” he said. “They’ve done wrong but I think they’re being treated poorly.”
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C’est 4.5 mètres de plus en longueur Professeur
Ce qui porte la taille de notre navire a 89.5 mètres!
Et 2 mètres de plus en largeur
Cette coque Blueskin remplie de mousse a haute teneur en hélium représente donc un volume important
C’est le cas Professeur et avec nos ballast qui sont également conséquents je pense que le compte y est pour réaliser notre submersible
Léger et maniable
Sans doute Professeur, c'est a ma connaissance le seul soumarin qui dispose d'une double coque a mousse expansible a base d’hélium
La coque est plus volumineuse a l’arrière
La ou sont les machines Professeur
Et moins volumineuse a l’avant
Nos ballast avant sont plus conséquents Professeur
C’est exact, le travail a Moulinsart promet d’être passionnant!
Absolument Professeur, vectoriser les dessins, réaliser un modèle 3D, le faire exécuter en maquette et le tester dans notre bassin que nous avons prévu d’installer sur place
La maquette ne sera pas motorisée je suppose?
C’est peu probable, nous voulons surtout tester l’hydrodynamisme du navire
L’hydrodynamisme?
Oui le comportement des fluides sur sa surface, nous allons faire appel a un Maître maquettiste pour réaliser la maquette la plus réaliste possible car nous voulons l’emmener au siège de Bombardier pour la montrer, il est possible cependant qu’on installe les phares, spots, et lumières de signalisation sur la coque ce serait un plus pour la montrer de nuit
Par la suite une autre maquette devra être réalisée cette fois ci par Westhill qui sont en charge de la motorisation, celle la devra inclure des volumes de carburant, d’oxygène liquide, et d’eau potable pour être la plus exacte possible, avec des ballasts également sans oublier nos gouvernails motorisés sur la tour du navire, quant a la notre nous la lesterons de manière équivalente uniquement
Bravo!
Merci Professeur
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Piloter le véhicule autonome au service de la ville
Je ne résiste pas à l’envie de vous signaler la parution d’un livre explorant toutes les questions concernant les véhicules autonomes. Jean-Pierre Orfeuil et Yann Leriche*, deux spécialistes de la question, ont publié le 7 mars 2019 l’ouvrage « Piloter le véhicule autonome au service de la ville » aux éditions Descartes & Cie, collection Cultures Mobiles. Les deux auteurs y font le point des connaissances actuelles dans ce domaine, discutent chaque hypothèse de développement, et passent en revue les conditions concrètes qui devront être fixées pour l'arrivée du véhicule autonome dans les villes .Enfin, ils développent un outil d'analyse : TRUST, dont l'objectif est de mieux cerner les interactions des phénomènes complexes, et éviter le piège des analyses partielles.
*Yann Leriche, directeur Amérique du Nord chez Transdev, en charge des véhicules autonomes pour l'ensemble du Groupe, et de la Business Line BtoC (les activités non conventionnées avec les collectivités). Polytechnicien, ingénieur des Ponts et chaussées, titulaire d'un executive master en ingénierie fiscale et financière de l'ESCP Europe, il a été directeur de la division services en Europe des systèmes de transit guidé légers chez Bombardier avant de rejoindre Transdev en 2008.
Jean-Pierre Orfeuil, ingénieur et docteur en statistiques a dirigé l'équipe économie de l'espace et de la mobilité à l'Inrets (devenu Ifsttar) avant de rejoindre l'Ecole d'Urbanisme de Paris de l'Université Paris Est dont il est professeur émérite. Il a étudié la mobilité sous l'angle des enjeux économiques, financiers, sociaux, environnementaux, urbains et territoriaux. Auteur de nombreux livres sur ces questions, il collabore depuis sa création aux activités de l'IVM (aujourd'hui Institut pour la ville en mouvement-Vedecom).
A commander ici : https://livre.fnac.com/a13196247/Yann-Leriche-Piloter-le-vehicule-autonome
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Source : Proche & Moyen-Orient, Richard Labévière, 25-06-2018
Beyrouth, 24 juin 2018.
Chacun de souvient de l’une des photos les plus célèbres de la guerre du Vietnam : ce 8 juin 1972 – dans le village de Trang-Bang – une effroyable bavure est commise par l’aviation sud-vietnamienne, qui combat les forces communistes du Nord aux côtés des Etats-Unis. Mal renseignés, les bombardiers Skyraider se trompent de cible et larguent des bombes au napalm sur un temple qui abrite non pas des Viêt-Congs, mais leurs propres soldats et de nombreux civils.
Kim Phuc – neuf ans – figure parmi les victimes de cette erreur tragique. Alertés par le passage préalable d’un avion de reconnaissance, « Phuc » (c’est son prénom qui signifie « bonheur ») et sa famille voient s’abattre sur eux les bombes incendiaires. Le déluge de napalm – pouvant atteindre les 1 200 degrés Celsius – inflige à la fillette de terribles brûlures. Ses vêtements soufflés, Phuc s’extirpe des flammes, laisse derrière elle ses parents et se retrouve à fuir sur la route 1 de Trang Bang.
À quelques centaines de mètres, le photographe Nick Ut a assisté à toute la scène. Avec un groupe de reporters, il voit des civils surgir de la fumée. Parmi eux, il photographie la grand-mère de Kim Phuc portant dans ses bras le corps inerte d’un petit garçon. Lorsque la fillette parvient à sa hauteur, Nick Ut tire de son sac un quatrième et dernier appareil encore chargé, un Leica M3. Il immortalise la détresse de la petite fille qui répète sans cesse les mêmes mots : « trop chaud ! Trop chaud ! »
« On les massacrait avant de les soigner… », paradoxe des guerres occidentales modernes que Francis Ford Coppola fait dire au capitaine Willard, son héros d’Apocalypse Now, palme d’or au Festival de Cannes en 1979.
Toute proportion gardée, c’est un peu ce que la France éternelle fait au Yémen et s’apprête à faire à la fin du mois à Paris. L’initiative a été annoncée le 10 avril lors d’une visite en France du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane : l’organisation – à Paris – d’un « sommet humanitaire » rassemblant les donateurs susceptibles de se mobiliser au service… du Yémen, les deux co-organisateurs (la France et l’Arabie saoudite), chacun dans sa catégorie étant des co-bélligérants directement impliqués dans cette guerre particulièrement meurtrière, occultée par la propagande quotidienne déversée sur la guerre civilo-globale de Syrie : Bachar al-Assad est un boucher sanguinaire, Mohammed ben Salmane et son homologue émirien étant de joyeux humanistes réformateurs. Défense de sourire !
On croyait être définitivement sorti des inepties néo-coloniales de Bernard Kouchner. Erreur, profonde erreur ! Comme en Syrie, les pays occidentaux aident et arment les jihadistes engagés au Yémen (recrutés par l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis/EAU), sous prétexte d’aide humanitaire et de lutte contre « l’impérialisme iranien ». Nouvelle défense de sourire !
Bref, le 27 juin prochain à Paris, autant dire que cette conférence « humanitaire » risque de tourner au ridicule, comme un congrès de sapeurs-pompiers avec pyromanes comme invités d’honneur, comme un sommet de diabétiques enfermés dans une pâtisserie…
GUERRE CLANDESTINE
Et pourtant, les bombardements de la coalition saoudienne s’apparentent à des crimes de guerre selon les propres critères des Nations unies. Cela dit, Riyad est parvenu – jusqu’à maintenant – à empêcher l’ONU d’enquêter sur les quelques 15 000 civils tués depuis janvier 2017, tout bilan officiel restant impossible à établir. L’ONU et plusieurs ONGs évoquent des épidémies de famine, de choléra, ainsi que des milliers de blessés et déplacés. Une « catastrophe entièrement causée par l’homme », souligne le dernier rapport du Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCR) de l’ONU. À cela s’ajoutent la destruction partielle de la vieille ville de Sanaa, patrimoine mondial de l’humanité et l’expansion de la Qaïda dans la péninsule Arabique (AQPA) : « AQPA est plus puissant que jamais. Alors que la destruction de l’organisation « État islamique » fait les gros titres (…), la Qaïda reste un modèle de réussite ». L’organisation a notamment « su exploiter une économie de guerre florissante », écrit la chercheuse d’International Crisis Group April Longley Alley. L’Arabie saoudite a inondé le Yémen de fusils d’assaut Steyr-AUG, une partie d’entre eux a atterri entre les mains d’AQPA !
« La France a octroyé pour un peu plus de 16 milliards d’euros de licences pour la seule Arabie saoudite en 2015 et livré à ce pays pour 900 millions d’euros d’équipements militaires la même année (…) À aucun moment, le gouvernement n’a indiqué ces deux dernières années qu’il avait refusé, révoqué ou suspendu des autorisations d’exportation », commente pour sa part Amnesty International.
Depuis plus de deux ans, une guerre menée par les plus riches pays du Proche-Orient – voire du monde – contre le plus pauvre se poursuit, dans une large indifférence politique et médiatique. Le 26 mars 2015, l’Arabie saoudite – suivie de dix pays sunnites – lance une opération militaire aérienne au Yémen contre les Houthis du Nord. Les partisans d’Abdel Malek Al-Houthi avaient forcé la démission le président de la transition Abd Rabbo Mansour Hadi en s’alliant avec leur ancien opposant, Ali Abdallah Saleh. Au début de l’offensive, les Houthis occupent militairement la capitale Sanaa et la principale ville du sud, Aden. Sollicités par Hadi, les Saoudiens et leurs alliés prétendent vouloir le rétablir et contrer l’« avancée iranienne ». Le Conseil de sécurité de l’ONU donne son aval et la France, le Royaume-Uni et les États-Unis fournissent les fusils !
« DIPLOMATIE ECONOMIQUE »
Dès son arrivée à l’Elysée, Nicolas Sarkozy a commencé à mettre en œuvre l’une de ses promesses de campagne : rééquilibrer la politique étrangère de la France au Proche-Orient en faveur d’Israël. L’un des corollaires de cette volonté signifiait d’appuyer le rapprochement des monarchies du Golfe avec Tel-Aviv. Ainsi, l’Elysée s’emploiera à faire du Qatar l’un de ses premiers partenaires dans la région : le petit émirat paiera la libération des infirmières bulgares pour que Cécilia vienne faire un show « humanitaire » à Tripoli (Libye). Ensuite, il paiera aussi le divorce de la même Cécilia avec le président de la République française qui exonèrera – en retour – le Qatar de toute espèce de fiscalité sur ses transactions immobilières en France.
En juillet 2007, à la suite d’une demande émirienne, Nicolas Sarkozy s’engage à développer une présence militaire permanente dans ce pays. Elle est annoncée en janvier 2008, lors d’une tournée dans le Golfe du président de la République. La base française d’Abou Dhabi est officiellement inaugurée le 26 mai 2009 dans l’espoir de voir les Emiriens acheter le Rafale français. La promesse de vente tournera court, mais François Hollande ne reviendra ni sur l’existence de la base émirienne, ni sur les privilèges fiscaux accordés au petit Qatar. Au contraire, il accentuera le trait avec la fameuse « diplomatie économique » portée par son ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius.
Avec Emmanuel Macron, la politique étrangère néo-conservatrice de la France va se poursuivre et s’accentuer : soutien inconditionnel à Israël et aux monarchies pétrolières sunnites avec lesquelles les affaires vont s’intensifier. Selon les meilleures sources, on peut relever que :
dès le déclenchement de la guerre au Yémen, l’armée française « a effectué des vols de reconnaissance au-dessus des positions houthis pour le compte du client saoudien et continué à former ses pilotes de chasse »;
la France a également transféré des nacelles Thalès Damocles XF de désignation de cible et de guidage de bombes, que les forces saoudiennes placent sous leurs avions de chasse – ce qui n’empêche pas les « bavures » ;
trois mois après le début du conflit, un avion ravitailleur Airbus 330-200 MRTT a été livré à l’Arabie saoudite. C’est le dernier d’une flotte de six. En avril 2017, deux de ces avions étaient déployés au Yémen. Indispensables à la guerre en cours, ils ravitaillent en vol les F-15 saoudiens ;
des canons Caesar 155 mm de l’entreprise française Nexter, des hélicoptères de transport Cougar du groupe EADS et des drones de renseignement militaire SDTI de l’entreprise française SAGEM sont livrés à la coalition saoudienne ;
en 2016, la France a livré 276 blindés légers indique son propre rapport de juillet 2017 au secrétariat du TCA. Ce lot est composé de blindés légers Renault Sherpa light et Vab Mark 3 du groupe Renault Trucks Defense, originellement destinés au Liban. Dès février 2016, face à l’échec des campagnes de bombardements, la coalition s’appuie sur des milices locales équipées de véhicules légers émiratis Nimr pour tenter de déloger les forces houthis. L’arrivée des blindés légers français, qui se faufilent sans difficulté dans les rues étroites des villes arabes, s’inscrit pleinement dans cette stratégie de contre-insurrection déployée au sol. Et les Sherpa light sont équipés de capteurs de dernière génération offrant une protection contre les engins explosifs improvisés ;
la coalition fait également usage de petits patrouilleurs, en soutien aux navires de guerre, pour assurer le blocus du Yémen. Si l’entreprise française Couach bloque à quai deux patrouilleurs rapides à destination du Yémen en raison de l’embargo, elle débute ses livraisons d’intercepteurs rapides à l’Arabie saoudite dès août 2016 ; 39 nouveaux exemplaires de ce type d’unités sont destinés à Riyad ;
pour assurer le blocus qui affame la population, la coalition utilise des Corvettes Baynunah livrées aux EAU. L’artillerie et les marines de la coalition sont, par ailleurs munies de systèmes électroniques de navigation vendus par SAFRAN, des équipements essentiels à la logistique des tirs ;
enfin, 745 fusils de précision ont été livrés à Riyad en 2015 et 500 en 2016 selon les rapports au Parlement sur les exportations d’armes de 2016 et 2017.
Dernièrement, plusieurs parlementaires français – accompagnés de l’ambassadeur de France à Riyad et de son épouse – sont allés se féliciter bruyamment, dans la province de Mareb contrôlées par les Saoudiens, de l’excellence des efforts humanitaires de leurs hôtes… Fallait oser, mais c’est fait ! Et le pompon, c’est bien-sûr, la dernière affaire du déminage du port d’Hodeïda ! Le 15 juin, Le Figaro affirme : « alors que les forces progouvernementales ont annoncé s’être emparées vendredi de l’aéroport d’al-Hodeïda, la France entend s’impliquer dans le déminage du port, la véritable cible de la bataille lancée il y a trois jours par les troupes yéménites, appuyées par les EAU et l’Arabie saoudite, pour chasser les rebelles houthis pro-iraniens de cette ville stratégique sur la mer Rouge. Mais comme l’engagement français dans cette guerre oubliée est source de contestation, le ministère des Armées avance sur des œufs… » On ne saurait mieux dire !
UNE FUITE LACANIENNE
Le 13 juin, le Quai d’Orsay a indiqué que le président Emmanuel Macron, après s’être entretenu avec Mohammed ben Zayed, prince héritier d’Abou Dhabi, avait « évoqué la situation politique et militaire au Yémen, et notamment à Hodeïda » et « appelé les parties prenantes à la retenue et à la protection des populations civiles. » « La France rappelle que seule une solution politique négociée, y compris à Hodeïda, permettra de mettre fin de manière durable à la guerre au Yémen et d’arrêter la dégradation de la situation sécuritaire et humanitaire dans ce pays », a souligné le porte-parole du Quai.
Mais sous cette langue d’acajou, il s’agit de bien autre chose ! Un responsable émirien a déclaré à l’agence de presse Reuters, que la France aurait « accepté d’apporter une assistance en matière de déminage dans le cadre de l’opération militaire lancée par la coalition sunnite pour reprendre le port d’Hodeïda. » Et d’ajouter : « Les États-Unis ont rejeté pour leur part la requête d’Abou Dhabi qui leur demandait des moyens de renseignement, de surveillance aérienne, de reconnaissance et de déminage ».
Quelques heures plus tard, le ministère des Armées a confirmé qu’une telle opération était dans les tuyaux. « Il n’y a pas d’action militaire française aujourd’hui dans la région de Hodeïda, et la France ne fait pas partie de la coalition qui est engagée sur ce théâtre », a-t-il commencé par préciser. Toutefois, Le Figaro affirmait que des membres des forces spéciales françaises étaient déjà présents au Yémen, aux côtés des troupes émiriennes.
Ainsi, « deux sources militaires contactées par Le Figaro révèlent également que des forces spéciales françaises sont présentes aux côtés des Émiriens au Yémen », affirme le journaliste Georges Malbrunot dans l’édition datée du 16 juin 2018. La ministre de la Défense Florence Parly dément aussitôt et elle a raison. Les soldats français présents dans le port d’Hodeïda ne font pas partie des Forces spéciales françaises, mais sont des plongeurs-démineurs du Service-action de la DGSE (nos services extérieurs), dédiés aux opérations clandestines. Par conséquent, circulez, y’ rien à voir et c’est bien normal ! La dissociation entre Forces spéciales destinées aux opérations extérieures publiques et le Service-Action, spécialisé dans des actions clandestines – devant restées classifiées « confidentiel » ou « très confidentiel » – demeure l’apanage légitime de n’importe quelle démocratie. La carabistouille est ailleurs et révélatrice d’un nouveau dysfonctionnement de la communication présidentielle !
Depuis plusieurs mois, Saoudiens et Emiriens se plaignaient auprès de leurs interlocuteurs français, leur tenant à peu près ce langage : « on vous achète quantités de matériels et d’armements alors que vous ne nous apportez pas le moindre soutien politique public et ça commence à bien faire ! » Les communicants de l’Elysée ont alors imaginé le montage d’une fuite émirienne à Reuters qui serait reprise par notre cher Georges national du Figaro. En effet, celui-ci n’aurait jamais exploiter une telle information sans obtenir le feu vert, sinon l’encouragement de ses sources du ministère de la Défense !
En France, les anciens otages ont un statut tout à fait particulier. Non seulement immédiatement érigés au statut d’expert multifonctions, ils doivent se souvenir quotidiennement comment ils ont retrouvé la liberté. En l’occurrence, la libération de Georges et de son collègue Christian Chesnot a coûté plusieurs millions d’euros environ sept) prélevés dans les fonds spéciaux de la DGSE, c’est-à-dire de l’argent public et cela mérite bien quelques renvois d’ascenseurs…
Par conséquent, l’information de l’engagement yéménite des armées françaises aux côtés de la coalition saoudo-émirienne est bien sortie, même si toute la vérité n’est pas dite. Héroïne lacanienne, Florence Parly dit toujours, toujours la vérité, mais pas toute… parce que les mots y manquent ! Et c’est même par cette impossibilité qu’elle participe au réel !
Et le psychanalyste Jacques Lacan aurait certainement ajouté que le réel, c’est quand on se cogne… Quoi qu’il en soit, la France et ses armées sont – aujourd’hui – engagées au Yémen, aux côtés des EAU et de l’Arabie saoudite (deux grandes démocraties bien connues), en train de massacrer l’un des pays les plus pauvres de la terre. Un jour, ces gens auront des comptes à rendre, les responsables français qui ont pris la responsabilité d’engager notre pays aussi !
Autrement dit, et excusez notre familiarité Monsieur le président de la République : « au Yémen Manu, t’es nul, complètement nul ! Arrête de déconner… » Bonne lecture néanmoins et à la semaine prochaine.
Richard Labévière 25 juin 2018
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