#Bidon Bleu
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voyage-et-vacances · 6 months ago
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Bidon Bleu, Camping gaz, 1970s.
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publicite-francaise · 6 months ago
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Bidon Bleu, camping gaz, 1950.
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ditesdonc · 10 months ago
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Les étés à Curtin
Texte écrit par Jean-Claude Long
Fin des années cinquante. La grande maison est divisée en deux, louée en partie l’été par les sœurs Rochet, Berthe et Denise, mariées plus tard à Robert Magaud et Georges Guichert.
Dans le coin cuisine, un grand évier noir, en pierre, sert aussi à se laver. Le réchaud fonctionne avec une bouteille de butane ; au fond de la maison, une pièce fraîche sert de cellier. Un garde-manger à grille , suspendu, dissuade les mouches et les fourmis .
Dehors, une pompe, qu’il faut « amorcer », c’est un jeu ; un puits, dont on ne se sert pas, des granges, des hangars, des greniers, des machines et des outils mystérieux, des odeurs de paille et de grain, des poules en liberté. La vraie vie est là, pas en ville.
Un chien noir, Jimmy, est attaché à une grande chaîne, en permanence. Il a creusé un chemin sur son passage. Robert le lâche parfois, Jimmy part courir dans la campagne, si vite qu’on dirait un dessin animé : il a douze pattes. Quelques heures après, il revient en lambeaux, boitant, saignant d’une oreille. Cinquante ans après, on aurait dit « il s’est mis minable ».
Lorsque Robert revient sur sa moto, Jimmy s’agite avant que les humains aient entendu le moindre bruit ; Berthe dit alors : « voilà Robert ».
A gauche en sortant de la maison, un pré, dont l’enfant rêve l’hiver, comme une préface à des récits d’explorateur. On le traverse pour aller à la boulangerie à Thuellin.
Souvent vient brouter un troupeau de vaches. L’enfant aime les vaches, à la robe marron et blanche, cette odeur à la fois sauvage et rassurante, leur chaleur épaisse et grasse, maternelle . Elles font un peu peur avec leurs gros yeux, mais sont paisibles, c’est fascinant !Aujourd’hui encore, l’odeur des vaches me met les larmes aux yeux.  "Voilà  les vaches ! " est un cri de fête, un alléluia païen. Avec les enfants qui mènent le troupeau, je crois qu’il y avait une Mireille, on va jouer à cache- cache , à Colin Maillart, à Mère veux-tu. On mangera la tarte aux pommes de ma mère, on boira du Pschitt, l’après-midi ne sera que féerie. La Dent-du-Chat est une frontière au loin, les dieux juchés nous observent.
Fête aussi les commerçants ambulants, qui arrivent en klaxonnant ; galopade ! Dehors en pyjama ! Ducard, petit monsieur chauve aux yeux vifs, sa camionnette bleue aux odeurs de sucre et de bonbons chimiques. Fontana, fruits et légumes, sa camionnette verte, « l’Increvable », ses grosses lunettes. Le boucher a une fourgonnette deux-chevaux, grise .
L’enfant aime la campagne ; la liberté est totale. Sa mère, si craintive en ville, le laisse pendant deux mois divaguer parmi les faux, les herses, les tracteurs, dont un jour il desserra un frein à main dans une pente, bourde réparée d’urgence. Il aime l’errance, nez dans les nuages, la rêverie dans les odeurs. Il est shooté au foin, au fumier, à la pluie, aux animaux, coqs, renards toujours lointains mais dont le glapissement est proche, témoin d’un monde secret qui nous entoure, le comprendra-t-il plus tard ?
Le soir, les chiens discutent de loin en loin, que se racontent-ils ? Il pose un jour la question, un adulte répond : « ils ne racontent rien, ce sont des bêtes ». L’enfant pense que le grand se trompe, je le crois encore aujourd’hui.
On peut prendre des bâtons tant qu’on en veut, pourfendre les ennemis ; les plantes, les herbes sont des légumes pour jouer à l’épicier ; infinie profusion de cailloux pour lancer et construire. Deux shorts, deux chemises pour tout l’été suffisent pour fouler l’herbe menue par les soirs bleus d’été et sans avoir lu Rimbaud. Ma sœur et moi allons chaque soir acheter le lait à la ferme Teillon, dont les bâtiments existent encore. Quand le soir tombe au retour, et que les hirondelles se rassemblent sur les fils électriques en prévision de la migration, c’est que la rentrée des classes est proche. On transporte le lait dans un bidon en aluminium, qu’on appelle une berthe. Je suis gêné que le bidon porte le même nom que la propriétaire, gentille et aimable. Je n’ose prononcer le mot de peur de la froisser.
Après la pluie, au retour, début septembre, l’ombre monte des fossés dans des odeurs de trèfle et d’orties.
Ma mère achète parfois un lapin vivant chez Mme Guetta (Guettat ?) Mon père pourtant plutôt doux et pacifique, mais initié par ses vacances enfantines ardéchoises, assomme, suspend, saigne, écorche et éviscère l’animal sous le regard de l’enfant.
Nous rendons parfois visite à la Génie, vieille dame moustachue qui habite une sorte de chaumière dans une cour herbue et intarissable pourvoyeuse de potins de village. Tonton Maurice vient aussi parfois, il y a toujours une bouteille de vin dans la pièce fraîche.
L’église et la procession du 15 Août font un peu peur.
Mais le plus étonnant c’est le bruit fracassant des métiers à tisser. Comme c’était étrange, ce bistanclaque pan (on dit tchique tchaque pan) parmi les chevaux de trait, les vaches, et l’odeur des charrettes de foin.
Merveilleuse époque : les locataires lyonnais devinrent amis avec les propriétaires, particulièrement Berthe et Robert, qu’ils fréquentèrent jusqu’ à la mort de ma mère, en 1979 ; celle-ci allait voir aussi Denise Rochet, installée à St Sorlin. Le pluvieux été 1958, la belote, les tartes aux pommes, les gâteaux de riz au caramel favorisèrent sans doute le rapprochement. Mon père et Robert, le citadin et le campagnard, « se chambraient » amicalement, ma mère et Berthe riaient en faisant la lessive, parfois au lavoir. L’on prêtait un vélosolex. Avec Denise les conversations étaient plus sérieuses ; Georges était taciturne.
Aujourd’hui, Curtin sort parfois des brumes et ressuscite l’enfant, dont les sens et la pensée s’ouvraient au monde : quelle place y prendrait-il ?
Je voudrais avoir des nouvelles de Brigitte et Jean-Claude Magaud, les enfants de Berthe et Robert. Michel Guichert, fils de Denise et Georges ; il habite encore la maison, me permettrait-il d’y entrer ? La famille Teillon ; j’ai vu qu’il y a un boulanger, un plaquiste, un décorateur. Tonton Maurice buvait rituellement un canon avec Victor, en embarquant la provision de pommes de terre de ma mère dans la quatre-chevaux. Mireille Rochet (existait-elle, est-elle encore en vie ?) Une jeune fille aujourd’hui vieille dame, Hélène, qui était horrifiée par mes acrobaties en trottinette : « je vais le dire à ta mère ! »
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D'autres soirs bleus, par Irène, août 2023.
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summer-vibes-com · 4 months ago
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Bouteille d'eau Kambukka Elton Tropical Bleu Plastique Tritan 500 ml
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dimensionsvelo · 8 months ago
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Les Merckx 525 de Team Flanders-Baloise 2024
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L'équipe belge Flanders-Baloise utilise toujours les Eddy Merckx 525. Certains aux couleurs Panasonic, la fameuse finition Retrosonic. Nostalgie quand tu nous tiens... Entre le Team Flanders-Baloise et Eddy Merckx c'est une collaboration qui dure depuis des décennies et en 2024 on retrouve les 525 Disc aux couleurs habituelles mais aussi en finition Retrosonic. En début d'année il y avait quelques vélos bleus et blancs dans l'effectif, supplanteront-ils les vélos noirs cette saison ou resteront-ils l'exception ? Côté montage le vélo du Team Flanders-Baloise ne sort pas des sentiers battus. Il est équipé d'un groupe Shimano Dura-Ace Di2 (transmission, pédales et capteur de puissance), associé aux roues FFWD Riot 44 en version boyau. Car l'équipe reste l'une des dernières utilisatrices de ce type de pneumatiques et monte donc des boyaux Vittoria Corsa. Le guidon est un Deda Elementi Alanera, la selle une Italia Flite ou SLR Boost et le GPS un Garmin. On pourra voir à l'œuvre les Eddy Merckx 525 du Team Flanders-Baloise sur les Flandriennes 2024 bien sûr. Fiche technique Eddy Merckx 525 Team Flanders-Baloise La décoration habituelle des vélos est plutôt sobre. Les Merckx 525 mixent confort, performance et aérodynamique. Crédit Frédéric Iehl L'association avec le maillot de l'équipe est moyenne certes, mais cette finition est réussie, non ? Crédit Frédéric Iehl - Cadre :  monocoque carbone HM Unidirectionnel - Fourche : carbone HM Unidirectionnel - Leviers : Shimano Dura-Ace Di2 hydrauliques - Dérailleurs : Shimano Dura-Ace Di2 - Pédalier : Shimano Dura-Ace avec capteur de puissance 54-40 - Pédales : Shimano Dura-Ace - Cassette : Shimano Dura-Ace 11-30 - Chaîne : Shimano Dura-Ace - Freins : Shimano Dura-Ace hydrauliques 160 mm/140 mm - Guidon : Deda Alanera - Tige de selle : Eddy Merckx 525 Carbon - Selle : Italia Flite Boost - Roues : FFWD Ryot 44 - Boyaux : Vittoria Corsa - Porte-bidons : Tacx Ciro - Compteur : Garmin - Tailles : XXS - XS - S - M - L - XL - Prix : 9 200 € modèle commercialisé 7 800 € Les autres vélos du peloton pro 2024 Contact : Team Flanders-Baloise, Eddy Merckx Read the full article
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grompf3 · 1 year ago
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Qui sont les "tafioles de merde" ? - Une certaine conception du débat public
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Ils le font le signent et se le mettent de le cul profond. Cette bande de tafioles de merde.
Qui sont ces "tafioles de merde" ? Et qu'ont-elles fait pour se faire traiter ainsi ?
Il y a la question de l'insulte, de la grossièreté et de l'homophobie.
Mais j'aimerais aussi vous faire réfléchir à la conception du débat public qu'il y a derrière cette anecdote.
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Reprenons depuis le début.
Nous apprenons donc que "Complément d'enquête" consacre leur prochaine émission à Sophia Chikirou, actuellement députée pour La France Insoumise, et qui avait dirigé "Le Média" une webTV proche de son parti.
En 2018, des journalistes de Le Média avaient voulu publier un mea culpa suite à l'affaire du blessé de Tolbiac, une histoire de violences policières diffusée par la webTV qui s'était avérée être 100% bidon.
Et l'on apprend donc que celle qui était directrice avait réagit à l'époque en qualifiant ces journalistes (ses subalternes donc) de "bande de tafioles de merde".
Ce qui suscite certaines remous.
J'ai vu passer sur l'ex-Oiseau Bleu ce magnifique tweet d'un élu du même parti que Sophia Chirikou, dont je vous laisse apprécier la pertinence (précision : j'ironise).
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Donc, bien-sûr qu'il y a de l'homophobie là-derrière. Même si ça ne visait pas spécifiquement des personnes LGBT.
Et en fait, surtout parce que ça ne vise pas des personnes LGBT.
Parce qu'ici, le mot "tafioles" sert à qualifier les personnes visées de faibles, de lâches, de veules, de nuls. L'assimilation à des personnes LGBT est ici utilisée pour dénigrer, rabaisser des gens. La question a été parfois traitée dans des médias, et je ne vais pas développer ici.
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Sophie Chikirou regrette peut-être ses paroles tenues il y a 5 ans. Peut-être même qu'elle s'en est excusée depuis. Je ne sais pas. Par contre les arguments utilisés par certains pour la défendre aujourd'hui, là, c'est assez difficile à excuser.
Je vous renvoie au tweet cité plus haut, impressionnant de mauvaise foi.
Et je ne peux pas ne pas vous montrer aussi ce tweet-ci, de J-L Mélenchon, qui cite S Chikirou parmi d'autres femmes connues et engagées en politiques :
Pour trop de journalistes, les femmes engagées sont toujours des sorcières, des marionnettes ou des manipulatrices.
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Ah...
Sûr.
C'est parce que c'est une femme.
C'est juste une attaque masculiniste.
Circulez, y'a rien à voir.
L'idée que certaines personnes devraient peut-être parfois se remettre en cause et songer à s'excuser, c'est inenvisageable.
Je précise qu'il n'y a pas que cette histoire de messages insultants qui pose problème ici. Et de loin pas.
Mais je voulais vous parler d'une certaine conception du débat public.
Revenons au départ. Qu'ont fait les journalistes visés pour s'attirer ainsi les foudres de leur directrice et se faire qualifier de "tafioles de merde" ?
Des journalistes ont voulu publier un mea culpa. Parce le média pour lequel ils travaillaient avait totalement merdé, avec un faux scoop.
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J'avais consacré un article de blog à cette histoire. Et à ce que ça nous disait d'un certain rapport à la vérité. Et par là, ce que ça implique sur le débat public.
Le Média avait fini par rétropédaler. Enfin. Pas trop quand-même. Pour dire qu'ils avaient quand-même bien fait.
Vous voyez ce que je veux dire ? On a un gros scoop. Publié par une web TV qui se présente comme une alternative aux gros médias mainstream. Gros scoop qui ne colle pas avec les infos que recueillent les journalistes qui enquêtent sérieusement. Au point que ça devient évident : tout était bidon.
Et on a certains journalistes qui semblent avoir un problème avec leur déontologie, qui se disent qu'ils ont merdé et qu'ils faut de vraies excuses.
Et cette idée de s'excuser, vraiment, de faire un vrai mea culpa, c'est assimilé à une marque de faiblesse. Et ces journalistes se font traiter de "tafioles de merde" pour ça.
Parce que, oui, pour certains, et pour certaines, s'excuser lorsqu'on a publiquement dit une grosse connerie, c'est de la faiblesse, de la lâcheté, de la veulerie, de la nullité.
Il n'y aurait pas de place pour ça dans le débat public.
Reconnaître qu'on a merdé, ce serait un truc de tafioles.
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Remarque :
L'auteur de ces lignes a lui aussi dans sa vie utilisé des termes de ce genre en tant qu'insulte. Oui, il m'est arrivé de m'exclamer "mais quel enculé celui-là" pour dire qu'un gars me semblait détestable. Ou de dire "ça c'est pas pour les tafioles" en décrivant un tord-boyaux artisanal qui brûlait le gosier.
Ouais.
Je dois l'avouer. J'en suis pas fier.
Je me permets d'implorer votre indulgence, en précisant que c'était il y a longtemps et que j'étais jeune.
Et j'ai de la peine à comparer des paroles prononcées par un ado ou un jeune adulte au siècle passé, avec un message écrit par une directrice d'un média, une personnalité publique affichant des valeurs bien à gauche, une professionnelle de la communication, parlant de certains de ses subalternes, dans un cadre professionnel, en 2018.
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blogueericdescarries · 1 year ago
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Honda Pilot TrailSport, Tremblant et JacHOBBY
Le 31 mai 2023
Me voici donc avec le cinquième véhicule des six que Honda m’a confiés pour ce blogue. Cette fois, il s’agit du VUS Pilot dans sa finition TrailSport la plus spectaculaire. Au départ, je dois vous dire que le Pilot a été complètement redessiné pour 2023. Il faut avouer que le constructeur japonais ne l’aura pas facile s’il veut concurrencer les véhicules de ce créneau présentement sur le marché. Parmi ceux-ci se trouvent de véritables gagnants dont les Kia Telluride et Hyundai Palisade, les Ford Bronco, le nouveau Mazda CX-90, le Jeep Grand Cherokee et j’en passe. Vous aurez compris qu’il est question d’un VUS intermédiaire capable d’accueillir sept ou huit passagers (selon la finition choisie).
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Le Honda Pilot 2023 a fait peau neuve et la finition TrailSport en est impressionnante. (Photo Éric Descarries)
Comparativement au modèle de l’année dernière, le Pilot de 2023 est certes plus agréable à l’œil. Il est aussi un peu plus grand et gros. Mais, c’est dans sa nouvelle version TrailSport qu’il se distingue le plus. Mon modèle d’essai était d’un bleu plutôt voyant avec des carénages noirs. Sa suspension légèrement relevée, ses jantes noires et ses pneus plus agressifs ajoutent à ce style agressif qui devrait plaire aux amateurs d’excursion hors-route. Mais le TrailSport est-il vraiment un véhicule tout-terrain? On verra cela plus loin.  
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Même la partie arrière du Pilot a été complètement redessinée. (Photo Éric Descarries)
Évidemment, l’intérieur a également été redessiné. Toutefois, vous ne serez pas surpris de constater qu’une majeure partie du tableau de bord est typiquement Honda en ce sens que le design de l’instrumentation est identique à celui des autres Honda incluant l’écran central de dimensions raisonnables. Il est pratique lorsqu’on y combine les cartes d’Apple CarPlay. La large console centrale contient plusieurs commandes dont celles qui remplacent le levier de vitesses et celle qui permet au conducteur de changer de type de suspension qui peut passer de «normale» à «sportive» ou à un des choix hors-route (sable, roche ou neige). Cette fois, je dois avouer que les sièges avant sont plus confortables que prévu. Ce confort est plus évident au centre où les deux baquets peuvent facilement accepter de grands passagers en tout confort. Évidemment, il y a une troisième banquette tout à l’arrière. Elle peut accepter trois passagers (mais on y est mieux qu’à deux si on est des adultes légèrement costauds). On y accède relativement facilement en repliant les baquets du centre mais, encore une fois, comme c’en est souvent le cas pour des VUS intermédiaires, les grands adultes y seront un peu à l’étroit.
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Le tableau de bord du nouveau Pilot reprend le bloc d’instruments que l’on retrouve dans presque tous les Honda. (Photo Éric Descarries)
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Les places du centre sont vraiment très invitantes! (Photo Éric Descarries)
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Celles tout-à-l’arrière peuvent surprendre par leur confort et surtout l’espace qu’elles procurent…jusqu’à un certain point! (Photo Éric Descarries)
Bien entendu, les acheteurs de VUS tiennent à un espace de chargement acceptable, ce que le Pilot permet surtout si l’on replie la banquette toute à l’arrière (ce qui est souvent le cas) et plus encore si l’on replie les sièges du centre aussi. J’ai aimé les quelques touches pratiques (comme ce petit compartiment qui accepte facilement un bidon d’essence) et le plancher tout à l’arrière qui se soulève pour accepter quelques petits objets que l’on veut tenir à l’abri de la vue des curieux.
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Le grand coffre (un peu sale ici démontrant qu’il a été utilisé) est ce que les acheteurs de VUS recherchent (la banquette arrière a été repliée ici). (Photo Éric Descarries)
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J’ai apprécié quelques détails pratiques dont ce petit compartiment où placer le bidon d’essence pour la tondeuse. (Photo Éric Descarries)
Pour les mordus de mécanique, sachez que le tout nouveau Pilot repose toujours sur une plateforme partagée avec la camionnette Ridgeline et la fourgonnette Odyssey (quoique cette dernière ne soit pas livrable avec la traction intégrale). Sous le capot se cache un V6 à essence de 3,5 litres qui développe 285 chevaux, soit cinq de plus que le Pilot de l’année dernière. Ce V6 est désormais combiné à une boîte automatique à dix rapports (contre neuf l’année dernière). Bien entendu, le Pilot TrailSport est à traction intégrale alors que la version de base peut être à traction avant seulement. La traction intégrale du Pilot a été révisée avec ses options électroniques lui permettant d’attaquer divers types de terrains. La version Trailsport vient avec une suspension spéciale relevée d’un pouce (2,5 cm) avec des plaques de protection (skid plates) et des jantes de 18 pouces incluant des pneus Continental TerrainContact A/T. La direction et le freinage ont certes été revisés mais il faut vraiment essayer l’ancien modèle pour le comparer avec la nouvelle version.
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Le V6 de ce Pilot a déjà mis à l’épreuve comme en témoigne la poussière sur le moteur! (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Évidemment, la finition TrailSport du Pilot est la réponse de Honda à cette récente «mode» où les constructeurs automobile «transforment» leurs VUS plus «civilisés» en machines d’excursion hors-route plus robustes…alors que peu d’automobilistes mettront vraiment ce genre de véhicule à rude épreuve. C’est une approche pratique au Québec lorsque vient l’hiver surtout grâce à la traction intégrale mais sachez qu’elle est plutôt destinée au sud-ouest américain (Californie, Arizona, Nevada, Utah, Colorado, Texas et autres) où la pratique des excursions hors-route (surtout dans les déserts) est aussi courante que les randonnées en motoneige peuvent l’être chez nous.
Honda aimerait bien que son Pilot TrailSport soit un véritable tout-terrain capable de rivaliser avec les Ford Bronco, les Jeep Wrangler Rubicon, les Toyota 4Runner et autres mais ce n’en est pas le cas. Toutefois, ce Pilot est quand même capable d’attaquer certains sentiers assez exigeants sans subir de dommages au même titre qu’un Explorer Timberline, un Nissan Pathfinder Rock Creek ou tout autre VUS légèrement modifié en conséquence.
Sur les routes plus régulières, ce Honda Pilot se conduit comme un charme. Non, ce n’est pas la camionnette la plus rapide, ses accélérations de 0 à 100 km/h demandant environ huit secondes. Mais la boîte de vitesses à dix rapports le rend très confortable à conduire, les changements se faisant avec douceur et souplesse. Autrement, les reprises sont plus convaincantes. Encore une fois, la direction est relativement précise mais un peu tendre. Elle permet, toutefois, une tenue de cap rassurante. Sur une route sinueuse, le système de contrôle du partage du couple (vectoring control) peut venir en aide au conducteur plus téméraire. Le freinage peut sembler puissant, il faut toutefois se rappeler que l’on a affaire ici à un VUS et qu’avec ses plus de 4700 livres, c’est un véhicule lourd. Par contre, c’est un VUS facile et agréable à conduire avec des surfaces vitrées qui permettent une belle visibilité. À noter qu’il y a un certain silence de roulement malgré les pneus relativement agressifs. Avec l’équipement de remorquage approprié, ce Pilot peut tirer jusqu’à 5000 livres (3500 avec la traction avant seule).
Question consommation, on ne peut s’attendre à des miracles avec un VUS de ce gabarit. J’ai obtenu une moyenne de 12,08 l./100 km en conduite moitié urbaine, moitié autoroutière. Mais, l’ordinateur de bord indiquait 10,1 à la fin de mon essai! Le réservoir fait environ 70 litres ce qui peut vous faire «grimacer» si vous ravitailler avec un réservoir presque vide (surtout au prix où est l’essence au moment d’écrire ces lignes!).  
Un Honda Pilot débute à 50 650 $. La version TrailSport commence, elle, à 57 450 $ plus les quelques options (dont la peinture spéciale bleue de mon modèle d’essai), les frais de transport et préparation et les taxes applicables. Si vous êtes plus intéressés par la luxueuse version Touring, sachez qu’elle débute à 62 850 $. À savoir si le Pilot, surtout dans sa finition TrailSport est recommandable…certainement!
Un circuit du Mont-tremblant plus…silencieux
Le weekend qui vient de se terminer ne manquait pas d’action automobile. Il y avait des rencontres et des compétitions partout au Québec. Dans mon cas, j’ai choisi, le vendredi, de me rendre au Circuit du Mont-tremblant où se déroulaient les premières épreuves de la saison pour les courses en circuit routier au Québec incluant la première épreuve du championnat national Nissan Sentra.
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Malgré les silencieux, ces Mustang «Vintage» ont continué à impressionner. (Photo Éric Descarries)
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Toute Ferrari semble à sa place sur un circuit routier (Photo Éric Descarries)
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Tout comme une Lamborghini…(Photo Éric Descarries)
La plus importante différence cette année, c’est qu’il y a eu des changements de règlements à cause des plaintes pour le bruit! (Me semble que, quand tu choisis de t’établir tout près d’une piste de course, tu devrais t’attendre à cela, non?). Afin de satisfaire tout le monde et continuer d’offrir un intéressant spectacle aux amateurs d’automobile, les dirigeants du Circuit du Mont-Tremblant exigent désormais qu’un maximum de bruit émanant des échappements soit imposé, quelque 92 décibels dans ce cas!
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Ce prototype était intéressant à suivre au Circuit du Mont-Tremblant. (Photo Éric Descarries)
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Que serait le Circuit sans ses légendaires Formules ? (Photo Éric Descarries)
Résultat?  Ce n’est pas si mauvais! Il y a un petit vrombissement atténué sortant des échappements ce qui conserve une note d’authenticité aux courses automobile mais, pour la majorité des amateurs de compétition automobile, il restait suffisamment d’action et de «son» pour «aimer les courses». En espérant que les irréductibles du silence parfait ne cherchent pas encore des poux pour faire fermer ce lieu historique qu’est le Circuit du Mont-Tremblant. Ils devront alors se mettre à la poursuite des groupes de motos, des hydravions et hélicoptères qui volent dans la région et…pourquoi pas…le vol des moustiques!
Une petite rencontre amicale réussie chez JacHOBBY
Jacques Legault, le dynamique propriétaire de la boutique de modèles réduits JacHOBBY à Laval ne manque pas d’idées. Cette fois, avec l’aide du club Les Bolides du Nord, il a réussi à organiser une rencontre de voitures anciennes et exceptionnelles dans le stationnement de son commerce de la rue Renaud ce dimanche dernier.
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Jacques Legault (à droite avec le chapeau) a dirigé de main de maître sa première rencontre chez JacHOBBY. (Photo Éric Descarries)
La belle température et le besoin de se retrouver dans une atmosphère plus intime a incité une soixantaine de propriétaires de voitures toutes plus exceptionnelles les unes que les autres à s’y retrouver, certains avec leur petite famille, ce qui n’a pas manqué d’attirer plusieurs curieux et amateurs de belles autos et ce, malgré les multiples évènements du genre qui se produisaient dans la région métropolitaine ce week-end.
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Les belles voitures incitaient aux discussions… (Photo Éric Descarries)
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De beaux véhicules, il y en avait pour tous les goûts. (Photo Éric Descarries)
Fort de ce succès, Legault compte bien reconduire ce même évènement au cours de l’année prochaine. On vous en reparlera!
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ochoislas · 2 years ago
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Con tu sombrilla azul y ovejas sucias, vestido con tu ropa oliente a queso, subes al cielo del alcor, hincando tu cayado de acebo, roble o níspero. Sigues al can de pelo duro, al rucio con las cántaras mates en la espina. Las fraguas pasarás de las aldeas, recobrarás el monte embalsamado donde tu hato pacerá tal blancas matas. Allá ocultan las cimas vaharadas. Allá vuelan descolletados buitres, prenden al lubricán fumatas rojas. Allá contemplarás serenamente el hálito de Dios sobre lo inmenso.
*
Avec ton parapluie bleu et tes brebis sales, avec tes vêtements qui sentent le fromage, tu t’en vas vers le ciel du coteau, appuyé sur ton bâton de houx, de chêne ou de néflier. Tu suis le chien au poil dur et l’âne portant les bidons ternes sur son dos saillant. Tu passeras devant les forgerons des villages, puis tu regagneras la balsamique montagne où ton troupeau paîtra comme des buissons blancs. Là, des vapeurs cachent les pics en se traînant. Là, volent des vautours au col pelé et s’allument des fumées rouges dans les brumes nocturnes. Là, tu regarderas avec tranquillité, L’esprit de Dieu planer sur cette immensité.
Francis Jammes
di-versión©ochoislas
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n-a-colia · 2 years ago
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Dernier Baiser avant la Fin
Nouvelle du : 09/10/22
Défi : Créer une nouvelle à partir d'une photographie aléatoire.
         Ils marchaient depuis des jours dans le silence. Le vent venait parfois leur donner des sons, mais il était mauvais présage de l’entendre, alors même lui n’était plus un réconfort. Sur leur chemin, ils avaient trouvé des villes, des villages, des voitures, d’autres personnes… Morts. Tout n’était plus. Rien était tout.
         L’espoir chutait aussi vite que les oiseaux s’amusant autrefois à faire de la chasse une passion. Le malheur résidait dans le fait qu’aussi vite que l’espoir dégringolait, un nouveau prenait sa place. La vie n’était plus que cela : une boucle absurde, autour du cou.
         Devaient-ils s’estimer heureux d’être encore là ? Après tout, ils faisaient partie des rares à avoir eu cette chance. La vie humaine était-elle à ce point si précieuse que la perdre était le plus sombre des cauchemars ? Louis se le demandait parfois ; Julie, elle, en était persuadée.
         Comme ils devaient économiser leurs forces, ils ne parlaient pas souvent. Ils se contentaient de marcher, côte à côte. Ils marchaient encore, jusqu’à ce que leurs pieds les fassent suffisamment souffrir pour que s’arrêter soit la seule solution. Puis, après une courte pause, ils marchaient de nouveau. La force était nécessaire, certes. Mais ils oubliaient qu’un esprit malade ne pouvait garder un corps en bonne santé…
         Ce silence assourdissant les rendait fous. Marcher… Marcher encore… Encore marcher !? Toujours marcher ! Et pourquoi ? Pour marcher toujours ?! Cette vie, Louis n’en voulait plus.
         Le jour suivant, après avoir campé à la belle étoile dans un champ stérile, ils reprirent leur route. Ils marchèrent toujours, mais cette fois, Julie fredonna l’air d’une musique oubliée que Louis appréciait dans le temps. Elle était abattue par leur voyage, les épaules tombantes et les pieds frottant le sol, mais elle chantonnait encore. Louis, perturbé par ce silence interrompu, lui demanda :
« Pourquoi fredonnes-tu ? As-tu perdu l’esprit ? »
Les yeux perdus sur l’horizon de cette route de bitume interminable qui séparait deux champs jaune terne, elle sourit alors :
« Je voulais seulement te donner une raison de marcher encore… »
Ces mots eurent l’effet d’une bombe dans le cœur de Louis. Il comprit alors que, malgré le silence, il était avec elle. Elle, qui lui donnait encore une raison de marcher malgré le rien qui infectait le tout. Seule, garderait-elle cette envie d’avancer ? Reverrait-elle sa philosophie ? Il ne pouvait se résoudre à l’abandonner dans ce monde.
         Julie, quant à elle, commençait à se demander si Louis n’avait pas raison. S’il n’était pas préférable d’en finir avec ce monde, de tourner la page… Rien n’avait plus de sens et tout était rien.
         Elle leva les yeux au ciel, comme pour en attendre un miracle. Il était parsemé de nuages blancs qui volaient à toute allure. Parfois, un trou bleu se montrait pour lui faire entrevoir l’espoir tant détesté. Elle se demanda alors : « Que se passerait-il si les nuages décidaient de choir ? » Est-ce que le monde en serait plus joli ?
         Mais Louis s’arrêta de marcher. Immobile, il regardait l’horizon, soulagé. Julie se figea à son tour, redescendant sur terre. Quand elle baissa sa vision vers l’horizon de Louis, elle dut chercher son soutien en s’emparant de la main de son aimé.
         Devant eux, au bout de la route décrépie de graviers et de bitume, quelques arbres avaient été plantés en ligne horizontale. Les sentiers d’herbe verte des deux côtés de la route n’étaient que de quelques mètres de largeur, avant de laisser place aux grandes étendues d’épis de blé morts. Mais quelque chose de bien plus beau que ce funeste paysage donnait l’envie aux deux voyageurs de s’étreindre… Devant eux, une multitude innombrable de bidons jaunes renversés sur le sol, un symbole de danger radioactif dessiné sur la face de chacun.
         Une brise vint leur caresser le visage, tel un dernier souffle, et les deux voyageurs s’embrassèrent. Ils s’embrassèrent encore… Encore. Ils s’embrassèrent toujours… Ils ne voulurent plus, dès lors, qu’un dernier baiser avant la fin…
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laroueavoile · 3 years ago
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Vélos et bikepacking
Salut tout le monde c’est Squeezie !
Désolé je ne savais pas comment commencer donc c’est la seule idée qui m’est venue pour pas créer un énième blog qui parle de bikepacking ultra sérieusement. Déjà je suis nulle en WordPress donc désolé c’est hébergé sur Tumblr.
En me relisant j’ai réalisé qu’il manquait une partie sur avant que j’ai un vélo plutôt potable. Un an avant l’achat du Triban 100 j’avais un vieux vélo de route acheté 100€ sur Le Bon Coin alors qu’il devait en valoir 50, il avait sûrement été volé et repeint 3 fois, la plus longue distance que j’avais faite avec c’était du centre ville de Montpellier jusqu’à la Cathédrale de Maguelone et ensuite le retour jusqu’au tram, autant dire que toutes les personnes qui connaissent le coin risquent de rigoler en lisant que j’avais eu l’impression d’avoir réalisé un exploit sportif. C’est d’ailleurs suite à la casse du cadre de ce vélo que j’ai acheté le Triban 100.
Pour commencer j’ai clairement aucune légitimité pour parler de vélo, j’ai acheté mon premier vélo neuf (un Triban 100 mais en bleu parce que c’est swag) il y a un peu plus de 2 ans peu avant que Fiona Kolbinger gagne la TCR et enchaîné sur un 100 kilomètres quelques jours après avec une alerte orange au vent sur la moitié de la sortie (parce que je suis particulièrement stupide et que Fiona avait gagné la TCR donc si une femme réussissait un exploit incroyable je pouvais faire 60 km pour aller voir la mer), enfin quitte à se faire victimiser par le vent, autant en profiter pour l’avoir dans le dos au retour.
Quelques mois après j’ai fait une autre sortie de 100 km entre Nantes et Angers en finissant encore une fois en PLS, fait pas mal de sorties avec un groupe de filles, puis il y a eu le premier confinement et c’est ensuite que tout a un peu dérapé grâce à des amis géniaux qui étaient en manque de kilomètres et avec qui j’ai fait mes premières grosses distances, au début en baskets et toujours en Triban 100 (tu peux pas test, il n’existe sûrement pas transmission plus nulle dans la gamme Shimano que celle qui est sur ce vélo). Le plus stupide étant sûrement le 300km fait en une journée avec ce vélo, pas loin devant les 2 journées à 250 km en prenant les roues des potes et en prenant des relais uniquement dans les descentes (désolé encore).
Avec ce vélo j’ai un jour décidé de mettre des sacoches Zefal rachetées à un pote et d’aller à St Malo depuis Nantes en une journée parce que c’était la canicule dans le coin, spoiler alert : c’était la canicule partout et je me suis arrêtée au nord de Rennes à côté d’un lac et je n’ai jamais fait les 40 derniers kilomètres jusqu’au monument emblématique des [insérez la nationalité que vous voulez entre Normands et Bretons, je ne veux pas de problèmes]. Ensuite j’ai littéralement longé toutes les côtes jusqu’à Morlaix parce que la mer c’est beau et mangé des kouign-amann en haut de chaque côtes (oui la Bretagne c’est vallonné par rapport à la Loire Atlantique et j’avais pas d’entrainement des montées, je savais juste enchaîner les journées de 100 km). Bref voici une photo de mon vélo à l’arrivée, c’est cool la Bretagne, allez en Bretagne, mangez des kouign-amann et faites du vélo et si possible faîtes 2 ensemble en Bretagne.
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Un an plus tard j’ai racheté le super Triban 520 gravel d’un ami et qui est le vélo avec lequel je roule actuellement. De manière non exhaustive ce vélo m’a permis de faire Nantes/Vannes pour aller boire des coups avec des potes suite à la création d’une asso fondée à cause d’un meme, quelques sorties gravel bien grasses, peut-être de trouver un boulot (pas en traversant la rue mais en pédalant), de faires quelques sorties entres amis, d’aller de la Baie de Somme à l’embouchure de la Seine et de rentrer à Paris, de retourner à double prénom city (aka Edouard Philippe, aka la ville du Havre) jusqu’à Cherbourg puis ensuite de ne pas finir devant la météo absolument nulle qui était annoncée (et la flemme de faire 250km sous la pluie pour ensuite faire du camping sauvage et prendre un TGV à 6h) et dernièrement d’aller dans les Alpes pour réaliser que j’ai zéro cardio et entrainement pour monter des cols. Il a déjà eu beaucoup trop de shitpost sur twitter concernant ces voyages donc je ne vais pas abuser ici.
Concernant le vélo, tout est d’origine dessus, à part :
Les pneus pour pouvoir changer les chambres à air (des Continental 4 saisons, le pneu avant étant un de ceux que j’avais mis sur le Triban 100 et l’arrière a fait le tour du Japon avec un ami). J’espère ne jamais croiser l’ingenieur des roues tubeless ready des vélos Triban parce que j’ai quelques trucs pas sympa à lui dire.
La guidoline à 15€ de chez D4, après avoir validé le confort des cocottes sur un cintre nu pendant 130 km à enchainer les pavés des Monts des Flandres par un chaude journée de fin d’été, c’était un réel plaisir.
La selle, une SMP dont j’ai oublié le modèle mais elle plutôt confortable
Les prolongateurs Btwin qui sont passées par 2 propriétaires qui les trouvaient inutiles. Aujourd’hui ils servent plus à transporter des cartons de pizzas, des ballons gonflés à l’helium ou à servir de support pour que la sacoche de cintre ne tombe pas qu’à ce que réellement mes bras soient dedans.
Des portes bidons de chaque côté de la fourche montés avec des chambres à air et des serflex parce que c’est toujours utile d’avoir deux bidons quand il fait trop chaud.
Le top tube recouvert de chambre à air pour ne pas rayer la peinture mais avec la sacoche de cadre qui reste toujours là c’est juste une grosse galère de locker ce vélo.
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Je détaillerai dans un autre article tout ce qui est matériel de bikepacking (sacoches et choses qui se trouvent dedans), le tarif auquel j’ai acheté ce que j’emmène, l’évolution entre mon premier trip et les derniers et mon avis s’il y a des choses à dire.
Merci beaucoup de m’avoir lu, désolé pour toutes les fautes, le style et l’absence de memes, prenez vos vélos et allez vous balader
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basilepesso · 4 years ago
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Charmant... >>>>> "Deux femmes, des sœurs âgées de 22 et 26 ans, ont été mises en examen à La Roche-sur-Yon pour tentative d’assassinat, c’est-à-dire tentative d’homicide volontaire avec préméditation, et ont été placées en détention provisoire. Elles sont soupçonnées d’avoir voulu tuer un homme de 38 ans en incendiant sa maison. C’était le 27 mars, vers 21h30, aux Herbiers. L’homme avait pu sortir sain et sauf de l’habitation. La procureure de la république de La Roche-sur-Yon, Emmanuelle Lepissier, confirme les informations publiées par Ouest-France.fr : il y a préméditation car une des deux jeunes femmes avait préalablement acheté des bidons. Ces derniers, qui avaient été rempli d’essence, avaient été retrouvés sur les lieux du sinistre.  Les deux sœurs nient les faits. C’est l’homme qui habitait la maison qui les a dénoncées, ainsi qu’un ami qui était avec lui, ce soir-là. Quelques instants avant de mettre le feu, les deux femmes auraient pénétré dans la maison pour menacer son occupant avec une petite hachette. D’après le parquet, une des deux sœurs habite dans le voisinage, l’autre dans une commune proche. "Elles ont rencontré leur future victime au cours d’une soirée commune, quelques temps auparavant", indique Emmanuelle Lepissier. Mais les raisons de cet acte ne sont pas encore connues."
Article de France-Bleu : “Vendée : deux sœurs soupçonnées de tentative d’assassinat“
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lamergelee · 5 years ago
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 51]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50] Le jour 51, Gustave buvait. Gustave buvait beaucoup, enfin pas mal, des quantités difficilement mesurables le lendemain quand il y pensait, et il y pensait peu, à partir d’un cubi qui durait plusieurs jours cependant, deux, parfois trois, et qui versait par son petit bec intarissable et miraculeux un excellent chinon à la suave robe rubis. Il y avait les canettes de 16 aussi, certaines nuits, la bière glacée qui donne soif et il serait bien allé en chercher d’autres s’il avait osé, s’il avait pu, près de la gare, mais il n’osait pas braver le couvre-feu probable – promulgué, annulé, repromulgué, réannulé, il ne savait plus. Dans l’appartement, l’espace se segmentait autrement, il découvrait de nouvelles associations. L’abat-jour vert de la lampe de la cuisine avait une affinité profonde avec le radiateur électrique, il la sentait profondément à certaines heures de la nuit. Il regardait une fissure sur le mur de sa chambre, des éclats, des traces. Il examinait les rapports de proportion entre les murs et le parquet, les fenêtres et le plafond. Des tornades de sens se soulevaient dans le soir, il ouvrait grand les yeux. Il se demandait ce qu’il resterait de lui. Il se souvenait de ses rêves. Il continuait les parties contre la charogne informatique mais avec moins d’allant qu’autrefois, comme on regarde un porno sans entrain, un peu par acquit de conscience, comme pour dire adieu aux actrices et aux acteurs qui ne nous intéressent plus, et on est désolés, Gustave en tout cas était désolé, disait à la machine, disait aux acteurs/trices qui se démenaient pourtant : adieu, adieu, ce n’est pas de votre faute, vous ne m’êtes plus rien, et je peux même vous le dire à présent, puisque vous ne m’écoutez pas, je me demande bien comment vous avez pu m’intéresser un jour. Il pensait à la qualité de ses chaussettes. La qualité de ses chaussettes était un désastre. Son gros orteil le narguait sans cesse, bizarrement obscène, rose et desséché. Une seule paire franchissait sans peine les années, une sorte de coton bleu strié de haut en bas dont il ignorait tout, la fibre, la marque, le lieu d’achat. Quand, où, et pourquoi avait-il su acheter une seule fois des chaussettes indestructibles, imperçable même par le plus tenace des gros orteils (le tien, Gustave) ? « Tu ne sais pas thésauriser », lui disait souvent son père. « Sauf ma belle paire bleue », répondrait-il aujourd’hui. Gustave se coupait les ongles, réfugié dans son cagibi derrière le frigo, accroupi sur le carrelage, épiant les bruits du couloir. La période était trouble, tout devenait possible, le Premier ministre à l’énigmatique barbe blanchissante finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire. Il était inéluctable que, tôt ou tard, il fasse cette déclaration sans ciller. Un contrôle inopiné d’attestation à domicile pouvait survenir, ou une « équipe mobile chargée de casser les chaînes de contagion jusqu’au sein des familles », fussent-elles imaginaires. Il rêvait de deux fils, il leur octroyait un prénom, il devrait donc s’en expliquer si nécessaire, et répondre de leurs actes. Il était fatigué, il se souvenait mal, il avait peut-être deux fils pour de bon qui ne respectaient pas les consignes de distanciation et crachaient sur les surveillants. Alors qu’il pensait à ses rejetons putatifs, il imagina que le coupe-ongles dans sa main, arme par destination, était une circonstance aggravante, une preuve matérielle d’activités subversives. Est-ce qu’il avait eu des pensées subversives cette nuit ? ou la nuit d’avant ? Comment savoir ? Avait-il douté du bien-fondé du couvre-feu en doutant de sa réalité même ? Avait-il sans le savoir rejoint la cinquième colonne que commençait à former l’opposition bolchevique en remettant en cause l’Union sacrée ? Sur quelle ligne de front se situait-il ? Pas la première sans doute, ni la seconde, mais où commençait la troisième ? Dans le doute, il valait mieux guetter l’avenir derrière le frigo et rester sur ses gardes. Ramassant soigneusement les coupures d’ongles pour les jeter sur un début de compost sous l’évier (nouveau projet commencé la semaine dernière, et pourquoi pas ?), Gustave examina ses anciennes passions. Il avait aimé l’histoire de Charles le Téméraire, dit le Hardi, dit le Travaillant, violent et magnifique, qui s’opposa à Louis XI, l’Universelle Aragne, et fut retrouvé à demi dévoré dans la neige ; il avait aimé Bobby Fischer qui triompha du champion russe des échecs Boris Spassky et finit à demi fou en Islande ; il avait aimé tous ces désastres tapageurs, ces grandes vies fastueuses exposées sobrement, impeccablement dans les volumes de son encyclopédie, à côté de planches en couleur, qui étaient comme des émerveillements soudains au milieu des pages. Il aimait tenir ces vies entre ces doigts, indubitables. Elles l’emmenaient très loin de son quotidien confiné, débarrassées qu’elles étaient des mille détails affreux de son corps �� nourrir et entretenir (les ongles, les salades de pâtes au thon, les choses à acheter, etc.). Ayant appris qu’il guérissait scrofules et écrouelles, Gustave s’était plongé dans la vie de l’actuel président, l’ancien banquier d’affaires devenu roi thaumaturge depuis la nouvelle ère. Les témoignages variaient considérablement et il était difficile de démêler le vrai du faux, comme toujours pour les phénomènes surnaturels ou religieux. Christophe Barbier et Alain Duhamel, les deux principaux chroniqueurs du règne, rapportaient qu’aux jours du toucher, comme aux temps des Plantagenêt, des foules de citoyens s’approchaient d’Emmanuel, dont le nom théophore signifie : « Dieu avec (ou parmi) nous ». Tout ce peuple pressant et plein d’adoration obligeait parfois le jeune président à fuir sous la protection de sa garde, comme dans un théâtre parisien en janvier dernier. Comme les pieux guérisseurs dont le père de Gustave lui avait raconté l’histoire, Emmanuel touchait de la main les malades, le plus souvent, semble-t-il, sur les parties infectées elles-mêmes, aussi honteuses et dissimulées soient-elles. Il répétait ainsi un très antique usage, contemporain des plus anciennes croyances de l’humanité : le contact de deux corps, obtenu d’une façon ou d’une autre et plus particulièrement par l'intermédiaire de la main, n’avait-il pas toujours paru le moyen le plus efficace pour transmettre d'individu à individu les forces invisibles ? À ce vieux geste magique, il en ajouta un autre, spécifiquement gaulliste : le signe de la croix lorraine fait sur les patients ou sur leurs plaies. De même que les rois en accomplissant l’acte thaumaturgique ne gardaient pas le silence, Emmanuel prit l’habitude d’accompagner le double geste traditionnel de quelques mots consacrés. Geoffroy de Beaulieu nous rapporte de Saint Louis qu’en touchant les parties malades il prononçait certaines paroles « appropriées à la circonstance, et sanctionnées par la coutume, parfaitement saintes d'ailleurs et catholiques ». Le président quant à lui disait habituellement : « Il n’y a pas d’argent magique ». Un exégète expliquait que cette formule sibylline reprenait le fameux « Rendez à César ce qui appartient à César » des Évangiles. Si l’argent, dépendant de ce monde-ci, était triste et légèrement répugnant comme toutes les choses sublunaires qui n’ont pas été touchées par la grâce, le toucher et le verbe présidentiels dispensaient un autre pouvoir, une autre puissance, car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de l’Emmanuel. Il soupçonnait que ces amoncellements pieux de savoir dans les volumes de son encyclopédie, qui l’avaient tant ému adolescent, et où il se replongeait depuis qu’il tournait dans ses murs, n’étaient pas si neutres qu’ils le prétendaient (et le prétendaient-ils seulement ?). Les vies donc, les vies splendides jusque dans leurs désastres, en quoi le concernaient-elles, au fond ? C’était une question profonde et lourde de conséquences, qui nécessitait un temps de réflexion. Elles ne l’aidaient en rien, conclut-il bien vite. Je vais y aller là, je vais m’habiller et je vais y aller. Il le répéta plusieurs fois. Je vais y aller là, je vais m’habiller et je vais y aller. Ses enfants imaginaires lui disaient : Oh ça va papa, ça fait un milliard de fois que tu l’as dit là, ça va hein, vas-y donc. Il décida qu’il serait dans un roman américain, un roman noir, avec un personnage accomplissant des actions brèves et efficaces, un sujet défini par ses seuls actes visibles et mesurables qui ne s’embourbe pas toutes les cinq minutes à chercher son âme. Un personnage qui marche dehors, debout ou couché, jamais affalé entre deux stations corporelles, qui regarde bien franchement, qui décrit les « marquises délabrées des anciens entrepôts » et les « vieux bidons rouillés près des appontements, les camions, les pelleteuses, les grues » avec une « voiture banalisée qui roule vers le nord dans Hudson Street ». Hop, hop, une deux, une deux. Deux pages plus loin il croiserait la voisine qui rit du cinquième et il lui dirait un truc technique et précis d’abord, énigmatique et fascinant ensuite. Ils feraient l’amour avec une sorte de détermination, leurs deux souffles conjugués. Il serait mince et agile. Elle se surprendrait à lui griffer les épaules, animée d’un mouvement étrangement intense. Il commencerait à transpirer légèrement, à respirer plus profondément, et ses joues piquantes lui laboureraient le visage et le cou. Il y aurait de nombreux adverbes dans les phrases. Étroitement imbriqués l’un dans l’autre, compacts, ils s’activeraient en cadence. Qui est ce salaud, se demanderait-elle ? Il sortit, marcha sans but, longtemps, vers la gare. Rejoignit la mairie, sillonna le centre-ville, sans rien voir. Il respirait à pleins poumons le vent qui se levait par intermittences. Des nuages lourds passaient dans le ciel, ne crevaient pas, Gustave sans parapluie marchait droit devant. De cela il se souvenait, il avait respiré à pleins poumons. Il était entré dans un supermarché, pour acheter un pack de 16, une bouteille de Volvic, un sandwich poulet-mayonnaise qu’il avait donné au clochard qui attendait devant. Sinon rien, il ne se souvenait de rien. Il avait de vagues repères visuels dans la ville mais il ne faisait attention à rien. Etait-il donc trop occupé des fantômes du Téméraire, du champion américain, du jeune psychopathe photogénique élu président ? Il s’interrogeait. Il n’avait rien vu, il ne se souvenait de rien ou presque : le vent léger qu’il aspirait à pleins poumons, la course absurdement minimale dans le supermarché de la rue des Fontaines. Une fois revenu chez lui, il réfléchit un moment, assis à la table de sa cuisine. Il avait envie de regarder mais il lui manquait les mots, pas tous mais quand même beaucoup. Alors il prit son téléphone, un appareil assez moderne qui, outre les communications vocales, permettait de prendre des photos et indiquait l’heure avec une grande fiabilité, lui avait garanti le vendeur. Il allait faire des relevés dans la ville, peut-être même essayer d’imaginer les vies des gens qu’il croisait. Ce n’était pas si simple, les passants passaient vite, se laissaient à peine décrire, le visage recouvert de masques. Des propriétaires de chiens regardaient avec tendresse leur animal respectif se lécher le cul. C’était amusant quoique un peu pénible, mais quoi en dire de plus ? Alors Gustave examina les vitrines. À côté d’une boutique de lingerie, « Mon corps, mon soleil », il lut un graffiti : l’Amour court les rues. Mais la plupart étaient vides, et les enseignes énigmatiques. ORIS avait pour slogan : Go your own way, qu’il préféra traduire en japonais sur son logiciel de traduction, une fois rentré : 己の道を行け. Une autre, THE KOOPLES, vendait des couples apparemment. Au-dessus d’un rideau de fer abaissé, il lut « Other stories ». Puis successivement, les photographiant l’une après l’autre pour y réfléchir plus tard :
Atelier de haute parfumerie sur mesure Espace Kiliwatch Store Hours Bonobo, puis bonobo-days : – 50% Cercle/résidence de chefs La part des ours Templon OFFO LAUV – I’m feeling Espaces atypiques (À suivre).
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summer-vibes-com · 4 months ago
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plaisirdecrire · 5 years ago
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Rappel des faits
Petit récapitulatif (pour ceux qui n'auraient pas tout suivi) Ça a commencé quand Fillon a refusé de se retirer des élections présidentielles après sa mise en examen, même s'il avait promis de le faire. On s'est retrouvé à devoir choisir entre la peste noire et un banquier qui a inventé son parti de toutes pièces. Parti avec un nom bidon et qui mourra sûrement avec lui. Quitte à choisir entre la peste et le choléra, on a choisi le choléra. Voilà le Manu qui parade au Louvres le jour son élection, avec sa prof qu'il a chopé en terminal. Sauf qu'il est dépensier et adepte de la start-up nation. Du coup il fait de L’Élysée un business, fait construire une piscine pour ses vacances et s'offre une vaisselle qui coûte un bras. Arrive alors un autre scandale. Son copain Benalla, qui adore la castagne et qui nous a privé des Bleus, se fait salement choper. C'est là qu'on découvre, entre autres, que le plus haut sommet de L’État protégeait ce gars et couvrait d'autres saloperies de ce genre. "Venez me chercher" scandait-il bien planqué et entouré de fidèles. Loin de se démonter, le petit Manu gifle un gamin pour faire le dur et décrète qu'il suffit de traverser la rue pour trouver du boulot. Puis il décide d'augmenter le prix du carburant. Et là c'est la goutte d'eau qui fait déborder toute la Seine. Ni une ni deux, le peuple se met en colère et commence à faire grève tous les samedis. C'est là que le festival de la mauvaise foi commence. Castaner envoie la police, puis l’armée quand les LBD ne suffisent plus, et s’attaque même au droit de manifester. On découvre que les médias ne savent pas faire la différence entre manifestants, casseurs et fachos. Le mouvement prend de l’ampleur dans le pays et ailleurs, malgré les inlassables "ça s’essouffle" martelés par les infos les jours de manifs. Pendant que nous on regarde le nombre de blessés et d'œils éborgnés se multiplier par dix, les Champs-Élysées se faire saccager, des vitres se faire péter et des voitures cramer, Manu se planque, ignore superbement la populace sans bouger une oreille et ne veut rien lâcher.
Pour clamer le jeu, il se lance en campagne et organise un "débat national" qu'il termine en apothéose avec un monologue sous forme de conférence de presse. Comme prévu, il n'annonce rien de nouveau et martèle inlassablement son fameux "garder le cap" qui ne convainc personne. Loin de calmer la populace, le Castaner fait interdire les manifs pour dissuader les réfractaires. Tout devient un prétexte pour durcir le ton et on fait chialer les commerçants à la télé.
Alors qu'un gamin disparaît mystérieusement après une intervention policière pendant la fête de la musique, on découvre que DeRugy mange du homard, organise des dîners sous couverts de repas d'affaires et retape son appart de fonction aux frais du contribuable. Cette affaire fait un scandale en moins de deux jours. Après une superbe démonstration de ses talents de comédien en guise d'explications, DeRugy refuse de démissionner, mais finit par le faire quand il voit que ça chauffe de plus en plus. À peine sorti du DeRugy Gate, le corps de Steve, 24 ans, est repêché 38 jours après sa disparition, pile à l'endroit où l'opération policière avait dégénéré et précipité une quinzaine de jeunes dans la Loire. Évidemment les mensonges et les manipulations se succèdent pour expliquer ce terrible drame et dédouaner totalement ces pauvres policiers. On assiste donc à une instrumentalisation à peine déguisée où tout est bon pour décrédibiliser le camp d'en face.
Et maintenant on se retrouve en pleine guerre civile, au milieu d'un conflit entre des combattants en jaune qui ne lâcheront pas et des mecs en costards qui ont le pouvoir de changer les choses mais qui ne veulent rien savoir. On parlait souvent d'anniversaire de Mai 68. Là c'est plus que réussi.
En bref, merci Penelope !
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dimensionsvelo · 8 months ago
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Les Merckx 525 de Team Flanders-Baloise 2024
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L'équipe belge Flanders-Baloise utilise toujours les Eddy Merckx 525. Certains aux couleurs Panasonic, la fameuse finition Retrosonic. Nostalgie quand tu nous tiens... Entre le Team Flanders-Baloise et Eddy Merckx c'est une collaboration qui dure depuis des décennies et en 2024 on retrouve les 525 Disc aux couleurs habituelles mais aussi en finition Retrosonic. En début d'année il y avait quelques vélos bleus et blancs dans l'effectif, supplanteront-ils les vélos noirs cette saison ou resteront-ils l'exception ? Côté montage le vélo du Team Flanders-Baloise ne sort pas des sentiers battus. Il est équipé d'un groupe Shimano Dura-Ace Di2 (transmission, pédales et capteur de puissance), associé aux roues FFWD Riot 44 en version boyau. Car l'équipe reste l'une des dernières utilisatrices de ce type de pneumatiques et monte donc des boyaux Vittoria Corsa. Le guidon est un Deda Elementi Alanera, la selle une Italia Flite ou SLR Boost et le GPS un Garmin. On pourra voir à l'œuvre les Eddy Merckx 525 du Team Flanders-Baloise sur les Flandriennes 2024 bien sûr. Fiche technique Eddy Merckx 525 Team Flanders-Baloise La décoration habituelle des vélos est plutôt sobre. Les Merckx 525 mixent confort, performance et aérodynamique. Crédit Frédéric Iehl L'association avec le maillot de l'équipe est moyenne certes, mais cette finition est réussie, non ? Crédit Frédéric Iehl - Cadre :  monocoque carbone HM Unidirectionnel - Fourche : carbone HM Unidirectionnel - Leviers : Shimano Dura-Ace Di2 hydrauliques - Dérailleurs : Shimano Dura-Ace Di2 - Pédalier : Shimano Dura-Ace avec capteur de puissance 54-40 - Pédales : Shimano Dura-Ace - Cassette : Shimano Dura-Ace 11-30 - Chaîne : Shimano Dura-Ace - Freins : Shimano Dura-Ace hydrauliques 160 mm/140 mm - Guidon : Deda Alanera - Tige de selle : Eddy Merckx 525 Carbon - Selle : Italia Flite Boost - Roues : FFWD Ryot 44 - Boyaux : Vittoria Corsa - Porte-bidons : Tacx Ciro - Compteur : Garmin - Tailles : XXS - XS - S - M - L - XL - Prix : 9 200 € modèle commercialisé 7 800 € Les autres vélos du peloton pro 2024 Contact : Team Flanders-Baloise, Eddy Merckx Read the full article
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rooxymun · 6 years ago
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✦ DÉFI BARBE BLEUE ✦
Oyez ! oyez ! Sortez les mouchoirs ! Oh non excusez moi, je me suis trompée (ça commence mal n'est-ce pas ?!).
Vous connaissez sans doute le conte d'un certain Barbe Bleue et l'histoire tragique de ses 6 (parfois 8) épouses dont on ignore ce qu'elles sont devenues. On l'ignore ? Vraiment ?
Le challenge n'est pas compliqué en soit mais demande une rigueur dans les actions réalisées. Les règles sont répertoriées en 6 catégories (oooh est-ce réellement une coïncidence ?).
Règles générales
Barbe Bleue
Terrain
Objectifs
Descendance
Épouses
N’hésitez pas à essayer ce challenge de votre côté ! Et si vous souhaitez me partager votre avancée c’est avec plaisir ! (Facebook/twitter/tumblr). Si vous partagez cette aventure sur les réseaux sociaux, je demanderai un respect pour le travail, et de ne pas vous attribuer ce challenge. Pensez à créditer s’il vous plait, la vidéo/cette article / ou celui du blog. Pour partager ce challenge sur tumblr, n’hésitez pas à utiliser le #defibarbebleue ;) Je réalise ce challenge sous forme de vidéo, si cela vous tente, c’est par ici (on Youtube)
✦ Règles générales
Aucun code de triche n'est autorisé, mais à part le bb.moveobjects et le resetsim si nécessaire. Tous mods pouvant vous apporter un avantage est interdit. Les récompenses ainsi que les traits de terrain favorisant le déroulement du challenge sont bannis ! (adieu petite fée généreuse et bien d'autres).
✦ Barbe Bleue
Base du personnage
Votre sim devra être un homme (et oui ici le sexe du sim est défini ! Parce qu'il faut se le dire, les femmes à barbe ne courent pas les rues quand même !). Il devra être jeune adulte, parce que nous allons passer du temps avec lui (et à ses différentes tranches d'âge !). Forcément ce dernier devra avoir une barbe ou un début de barbe de couleur bleue, soyons logique sinon d'où lui viendrait son surnom ?!
Niveau caractère il sera : malveillant, snob et imprévisible, mais malgré tout, il rêve d'amour vrai (aspiration : âme sœur)
Chronologie
L'un des points important de ce challenge est la modification du physique de Barbe Bleue tout au long de sa vie.
La durée de vie sera réglée sur normale, toutefois, pour plus de difficultés (et de fun) vous pouvez tenter l'expérience en version courte. /!\ La maison ne saurait être tenue responsable des cheveux blancs que cela vous occasionnerait !
Au début de sa vie Barbe Bleue (nommé pas la suite BB) est digne d'un prince charmant. Son physique sera attirant tout comme sa bouille ! Au fil des ans et des épouses il s'enlaidira.
Lors de sa rencontre avec ses 1ère, 2ème et 3ème femme BB sera jeune adulte et bel homme.
Il fêtera son anniversaire (jeune adulte vers adulte) aux côtés de sa 3ème épouse et deviendra adulte. L'âge commencera alors en l'enlaidir. Le physique d'hercule laissera doucement place à celui de  Dionysos (un bidon bien remplit).  Adulte : 3ème, 4ème et 5ème épouses.
Son dernier anniversaire c'est aux côtés de sa 5ème épouse qu'il le fêtera (adulte vers personne âgée) et il sera alors vraiment très loin du beau jeune homme du passé !   Vieux : 5ème et 6ème épouses.
Compétence
Barbe Bleue devra immortaliser ses 6 femmes avant de mourir. Pour cela il devra réaliser un (et un seul) portrait unique de chacune ! Il devra alors développer assez rapidement la compétence peinture afin de pouvoir les peindre ! la compétence peinture devra être acquise via et uniquement via les livres que l'on peut acheter à la bibliothèque !  Barbe Bleue ne pourra pas tirer de bénéfice des peintures qu'il peindra !
Les poses (CC) sont autorisées si vous souhaitez réaliser de belles peintures de vos épouses. Le moment de la prise de portrait est libre tant qu'il ne s'agit pas d'une épouse fantôme.
Métier & Argent
Barbe n’a pas le droit de travailler ! Il devra se faire un butin uniquement grâce aux dotes de ses épouses !
Toutefois, il vous faudra le nourrir au début du challenge, c’est pourquoi la pêche est autorisée et la revente des poissons également. Mais la cagnotte devra être supprimée avant que la 1ere épouse emménage.
Utilisation de codes : “Testingcheats on” puis “money 0″.
✦ Terrain Installez sur le terrain de votre choix la maison de BB. La maison se trouve dans la galerie ID Origin : mokuseix ou avec le #barbebleuechallenge.
Le terrain devra avoir comme traits : maudit, hanté et domicile privé (on évite ainsi les curieux !).
La maison qui est au début une starter devra évoluer au fil des années pour finir en manoir avant que BB ne rende l'âme. Une version jeu de base uniquement de la maison est disponible : https://goo.gl/SRbnda
Améliorations
A la fin du challenge la maison devra avoir une valeur de 500.000$ (1.000.000$ si vous vous en sentez l'audace !)
Pour cela vous pourrez faire des agrandissements mais attention interdiction formelle de toucher aux murs extérieurs existants ! Je m'explique.
Vous ne pouvez pas détruire les murs extérieurs déjà existants. Vous pouvez raser tous les murs à l'intérieur de la maison mais pas ceux qui lui donne sa forme initiale. Du coup, les améliorations tourneront autour de ces murs déjà battis. Si vous avez cru pour tout raser pour lui créer une belle villa c'est cramé !
✦ Objectifs
Devenir richis'sim cela grâce aux dotes de vos épouses ! On vise les 1.000.000$ en réunissant l'argent que vaut la maison (500.000$) et ce qu'il doit y avoir dans le porte monnaie de BB.  ** conditions de sélection dans catégories "vos épouses"
Avoir un "simetière" (ouuh le jeu de mot nul) avec 5 tombes au minimum bah oui ! Ce sont bien évidemment celles de ces dames.
Avoir un fils ! L'unique héritier digne de ce nom.
/!\ Échec /!\
La chronologie du challenge n'a pas pu être respectée.
BB meurt avant l'heure, c'est-à-dire avant d'avoir effectués tous  les objectifs.
BB n'obtient pas l'enfant désiré avec l'épouse en question ** voir cela dans catégorie épouses
✦ Descendance
Certaines épouses devront donner un enfant à BB. Mais attention, le sexe est prédéfini ! Pour chaque naissance ne correspondant pas au souhait (au sexe attendu), l'enfant devra être abandonné ou disparaître par enchantement ... (Libre court à votre imagination !).
Oh et j’oubliai ! Interdiction de faire vieillir les mômes avant d'avoir eu la notification de l'anniversaire !
Pour savoir qui donne quoi à BB reférez vous au tableau "épouses" ci dessous.
✦ Épouses
Je vous encourage à choisir des PNJ et familles de base du jeu. Toutefois, il n'est pas interdit de créer des épouses (pour le peu qu'elles correspondent aux attentes), mais BB devra les croiser aléatoirement et par hasard au croisement d'une rue. En gros, monsieur ne s'invite pas chez elle(s) et n'épie pas ces dames à leur fenêtre.
Le but est d’avoir un maximum d’argent à la fin du challenge uniquement via le mariage, pour cela interdiction d’aller voir les fonds du foyer, cela doit être une surprise !
L'épouse emménage avec BB dès le mariage et quittera immédiatement son emploi si elle en avait un ! 1ère épouse
Particularités : Adulte - Riche (Assurez-vous que cette dernière soit veuve ! Afin d’empocher le pactole en même temps que madame !)
Circonstances : Barbe Bleue devra être fou amoureux avant de lui demander sa main ! (Barre de romance à 100%). Et le mariage devrait être grandiose ! (récompense d’argent minimum !).
Enfants : elle devra lui donner une fille
Disparition : madame ne pouvant plus donner d’enfants (elle se fait vieille Germaine) à Barbe Bleue, elle finit sa vie dans sa cellule. Mère faucheuse viendra-t-elle la chercher, quand et comment, libre à vous !
2ème épouse
Particularités : Jeune adulte - pauvre - froide
Circonstances : Barbe Bleue devra courtiser sa 2nd épouse durant 6 rendez-vous (1j d’intervalle à chaque fois). A chaque rendez-vous, un cadeau devra être offert à la future épouse. Le mariage aura lieu directement après la fin du 6ème rendez-vous ou le lendemain.
Lors de cette relation, barbe bleue devra fréquenter une autre femme en parallèle, cette dernière sera sa 3nd épouse. Donc pensez à regarder les critères de la 3ème épouse !
Enfants : elle devra lui donner une fille
Disparition : après la naissance de sa fille, la 2nd épouse devra devenir l’ennemie de Barbe Bleue ! Tout cela à cause de sa jalousie et de son caractère colérique ! Une fois véritablement ennemie, cette dernière disparaitra.
3ème épouse
Particularités : Jeune adulte - Riche - Chic - Séduisante
Circonstances : Barbe Bleue a rencontré cette femme lors de son idylle avec sa 2nd épouse. Il l’épousera immédiatement après la mort de la 2nd épouse.
Une fois marié, Barbe Bleue devra perdre son physique attirant, et laisser place à un gros bidon.
Enfants : Bingo ! C’est un garçon, l’héritier est né !
Disparition : Suite à la naissance de son fils, la 3nd épouse tombe malade, et décède dans les jours qui suivent.
4ème épouse
Particularités : jeune adulte - mince - esthétiquement pas une princesse.
Circonstances : Avant de rencontrer physiquement sa 4ème épouse, Barbe Bleue devra correspondre avec elle (via l’ordinateur = trouver des correspondants / discuter/ appeler via le téléphone / écrire des Sms. Une fois la barre d’amitié à 50% il l’invitera pour les rendez-vous. Mariez-vous dès que possible ! Mais à peine après avoir passé la bague au doigt de la demoiselle, il regrette ! C’est alors directement le divorce ! “Ne passez pas par la case départ, vous n’êtes pas épargnée”. 
Enfants: Aucun nom de dieu !
Disparition: A peine mariés qu’il est déjà temps qu’ils se quittent.
5ème épouse
Particularités : jeune adulte
Circonstances : Barbe bleue étant las, il se marie rapidement avec cette épouse.
Enfants: Aucun
Disparition: Malheureusement, la 5ème épouse aime s’amuser et particulièrement avec d’autres sims. Elle organisera des fêtes aux domiciles et batifolera avec 10 autres prétendants ! Forcément Barbe Bleue fou de rage la punie !
6ème épouse
Particularités : adulte - veuve
Circonstances : le mariage est rapide, car barbe bleu  est maintenant âgé et il lui faut une aide ménagère.
Enfants : Aucun, Barbe Bleue est bien trop vieux (et laid !)
Disparition : avant ou après Barbe Bleue c’est à vous de décider !
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un bon jeu !
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