#Baptiste & Pierre Colleu
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Tracklist
David Shrigley - I Am Good (Late Night Tales) Last Waltz - Beholden (Part 1) (Tusk Wax) Roots Unit - Learn To Love (Vibrations) Darkside - Paper Trails (Other People) Drvg Cvltvre - Moment 01 (New York Haunted) Coyote - Silver Ghosts (Tusk Wax) Gil Scott-Heron - A Toast To The People (Arista) Roy Ayers - For Once In My Life (Atlantic) Fatima - Red Light (Eglo) Maricopa - Soul Lite (Fools & Fables / Copa) David Shrigley - Loathsome (Late Night Tales) Baptiste & Pierre Colleu - Dolphin Kid (Coyote's Intense Mix) (Nuearth Kitchen) The Two Mamarrachos - Trip To The Light (Is It Balearic?) Kalidasa - Cosmic Dance (Tusk Wax) John Talabot - Last Land (Permanent Vacation) David Bowie - Love Is Lost (Hello Steve Reich Mix by James Murphy for the DFA) (ISO Records) Steve Cook - Self Control (Tusk Wax) Commodity Place - Ahura Mazdà (Electronique.it) Lake Mary - White River (Scissortail) Ambientsketchbook - By Camp Fires We'll Remember & Forget (Self Released) Led Zeppelin - Baby I'm Gonna Leave You (Unknown Remix) (White Label) Ruth Copeland - Play With Fire (Demon Records)
Download available at [HEARTHIS]
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20210515001: SANPO 018 - BAPTISTE & PIERRE COLLEU
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L’incroyable histoire du facteur Cheval
FILM. «L’incroyable histoire du facteur Cheval»
Réalisation : Nils Tavernier. Scénario : Laurent Bertoni, co-scénariste de Nils Tavernier depuis une quinzaine d’années, Fanny Desmarès et Nils Tavernier, d’après une idée originale de Fanny Desmarès. Principaux acteurs : Jacques Gamblin, Laetitia Casta, Natacha Lindinger, Bernard Le Coq, Florence Thomassin. Durée : 105 minutes.
Ce film a été tourné dans de magnifiques paysages du département de la Drôme, où naquit et vécut Joseph Ferdinand Cheval (1836-1924), plus connu sous le nom de facteur Cheval, constructeur d’un «Palais idéal» (entre 1879 et 1912), puis de son tombeau (entre 1914 et 1922), deux édifices tout aussi géniaux que, par exemple, ceux du célèbre architecte catalan Gaudí (1852-1926). Servi par une somptueuse musique des frères Baptiste et Pierre Colleu et par un beau travail du directeur de la photographie, Vincent Gallot, le film raconte l’extraordinaire aventure humaine, solitaire, que fut l’édification de ces deux édifices par Cheval. Pour composer ses images, le réalisateur du film, Nils Tavernier, explique s’être inspiré des œuvres du peintre Henri Fantin-Latour (1836-1904), autre contemporain de Cheval. Tavernier indique que, dans les plans de son film, fut introduit «de plus en plus d’ocre» au fur et à mesure que la vie du facteur Cheval devenait «un peu plus douce et lumineuse». Pendant plusieurs décennies, chaque jour, Cheval fit pendant dix heures sa tournée de facteur (soit plus de trente kilomètres à pied !), avant de consacrer dix autres heures à la construction de son Palais, et ce avec des pierres qu’il ramassait au cours de sa tournée. Pour bâtir ce Palais, il s’inspira, en particulier, des paysages qu’il traversait quotidiennement, ainsi que d’images de temples lointains, cambodgiens, mayas, etc. Cheval fut pendant longtemps la risée du voisinage, avant de devenir célèbre ; Pablo Picasso et le théoricien du surréalisme André Breton, par exemple, saluèrent son œuvre.
«Interpréter un taiseux qui n’extériorise rien, c’est exténuant !»
Le film s’intéresse également à la vie sentimentale de Cheval, qui, après le décès de sa première épouse, qui lui avait donné un fils (qu’il n’avait pas su aimer), se remaria en 1878 avec Claire-Philomène Richaud, qu’interprète la sensuelle Laetitia Casta. Avec cette seconde épouse, il eut une fille, Alice, qu’il apprit à aimer et à qui il dédia son Palais. Mais, après la mort d’Alice en 1894, Cheval voulut d’abord mettre fin à ses jours, avant de décider finalement d’achever la construction de son Palais, pour sa fille décédée, ainsi que pour la fille de son fils, également prénommée Alice. Jacques Gamblin, qui interprète Cheval d’une façon remarquable, explique que Nils Tavernier voulait raconter comment, grâce à l’amour, Cheval - homme un peu «border line», selon Gamblin - «se sociabilise» peu à peu. Gamblin parvient à donner vie à son personnage, non pas par la parole (car Cheval était un taiseux), mais par ses yeux, par des mouvements de tête, par sa démarche... Habité par le personnage de Cheval, Gamblin dit aussi que, quand il a enfilé pour la première fois l’uniforme du génial facteur, il fut «submergé d’émotion». < Je me suis identifié d’un seul coup à Cheval, ajoute-t-il. Mais j’ai terminé le tournage sur les genoux à cause de la concentration que demandait le rôle, car Cheval reste toujours de marbre. Ne rien extérioriser est exténuant ! >
LE RÉALISATEUR : Nils Tavernier, né en 1965 à Paris, est le fils du cinéaste Bertrand Tavernier. Egalement acteur (depuis 1977), il a tourné à ce titre dans une vingtaine de films. Il a commencé à réaliser des films au début des années 2000. Il a déjà réalisé deux longs métrages de fiction, «Aurore» (2006) et «De toutes nos forces» (2013). Dans ce dernier film, le rôle principal est déjà interprété par Jacques Gamblin.
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Ils ont composé la musique du film réalisé par Nils TAVERNIER, Ecoutez l'interview de Baptiste et Pierre COLLEU les artistes aux commandes de la... http://bit.ly/2QZJzSZ
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