#Babiole
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Art Fight Attack (revenge) for @lavender-tea-dragon of their OC Babiole !!!! Her design stuck out to me in the best way, I seriously love it!!! The colors are so good too!!! > u <
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The disco ball is calling, and you must go🕺🏻💃 Join us in the skies and get ready for a night of disco magic as we ignite the dancefloor with sizzling moves and fizzy beats with DJ Gaby on decks! ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ I Babiole | Each and every Saturday starting August 5th
Night Brunch from 8 PM to 11 PM We keep the party going till 3 am 📱: +971 56 5154665 📧: [email protected]
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Être Cristallin – Il est Nécessaire d’avoir une Connexion avec Nous
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Chers frères et sœurs de cette belle planète ! JE SUIS UN ÊTRE CRISTALLIN ! J’existe sur presque tout le territoire de la planète. Nous sommes immenses. Nous sommes petits. Plus nous nous approchons de la surface, plus nous nous désintégrons, afin de pouvoir émerger et vous permettre de nous avoir, de nous posséder. Je ne…
#comme des êtres évolués et puissants. Car nous sommes puissants.#De nous considérer uniquement comme des cristaux#Ne nous utilisez pas comme une babiole.#Nous sommes des êtres hautement évolués.#Nous sommes là pour unir#pour être un devant Dieu le Père/Mère.
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"Le reste du temps qu'est-ce qu'il fabrique le peuple [...] Entre les déluges ? Rien ! Il s'écoute causer, roter, il se fait reluire avec des conneries, comme des vraies gonzesses, des futilités, des babioles [...] jamais il parle du fond des choses." - Louis-Ferdinand Céline
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déité de charité, god complex; volent les plus riches, font don à une cause choisie; larrons justiciers; trainent leur corps et leur or à la déchetterie.
loin des verdures autrefois contées, au coeur des usures non réclamées; à l'ombre des grands, dans les décombres d'une SHORETRAIL au goût ferreux, ils errent. parmi les carcasses dont on se lasse, à la DÉCHETTERIE se terrent faux chérubins. sous foule de jailles, dissimulent biens usurpés; car beaux LARCINS recèlent richesses d'autrui, arrachées aux jouisseurs sans mérites. quand après avoir monnayé babioles aux mille éclats, coeurs justiciers se réunissent en apôtres des plus démunis. et sous les rais de l'olympe sacré, baignés de l'astre amouré par les icares, s'octroient l'autorité divine. c'est ainsi qu'ils s'adoubent déités des nécessiteux; qu'ils se gargarisent d'être envahisseurs des cieux. mais la cire saigne déjà, et les plumes ne demandent plus qu'à être pleurées.
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Je ne lis plus ces jours-ci malheureusement. À la place, j’écris. Des babioles qui ne sont lues que par moi mais j’adore ces histoires qui me réconfortent quelque part, à l’aube de mes trente ans, âge où je me demande si certaines choses sont bel et bien finies ou si je peux encore rêver pour longtemps. Houellebecq a écrit la possibilité d’une île, moi je dirais la possibilité d’une vie
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pub intempestive
Oui bonjour je viens vous spammer d'une petite pub intempestive. J'suis un peu joueuse (et suicidaire) donc j'vous propose un petit prélien pas piqué des hannetons sur une base de ✨crush✨. Forum de type créatures avec identités secrètes, lien majoritairement doux entre casses-cous où ça pue les paillettes, ça parle de tout de rien, fais des bêtises et des paris stupides (petite vibe "jeux d'enfants" en moins dramatique), rps drôles avec un peu d'humour noir, de préférence pl féminin, mais possibilité de le passer au masculin avec ajustements s'il vous plait de fou, mais que le genre vous rebute. Y a du plot caché et des p'tits secrets 👀 Personne investie et active qui fait vivre le personnage et ne déserte pas après deux rp svp 🙏 Teasing : Nuances pastelles et bigarrées. ● Risettes perpétuellement au teint, bon public. ● Jeux d'enfants qui lance constamment des défis, "hot combien", "tu préfères" à la langue. ● L’œil attiré par des trésors de plastiques, collectionne les babioles dans un appartement caverne d'Ali-baba. ● Casse-cou qui n'a peur de rien. ● L'esprit vif, particulièrement intelligente, douée avec les chiffres. ● Astronome à ses heures, le télescope dégainé la nuit. ● Fait des bracelets d'amitié avec des mots incongrus qu'elle refourgue aux inconnus. (...) Par ici pour en lire plus
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«Le reste du temps qu’est-ce qu’il fabrique le peuple bibineux, pêcheur d’ablettes ? Entre les déluges ? Rien ! Il s’écoute causer, roter, il se fait reluire avec des conneries, comme des vraies gonzesses, des futilités, des babioles. Il compte les verres sur la table… jamais il parle du fond des choses. Jamais. C’est une vraie affaire pour la Mort, le peuple. Un coup de clairon, il s’apporte, y a pas besoin de lui expliquer. Il est toujours là. Il attend. »
Louis-Ferdinand Céline - L’École des cadavres (1938), Éditions Denoël, 1938.
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"La vie Ça tient dans une paume Ça résonne comme un psaume Mais ce n'est qu'une java La vie À peine est-elle éclose On dirait une rose Mais ce n'est qu'un dahlia La vie Même si tu la bourres De rêves et d'amours Qui n'en finissent pas La vie Même si pour l'enfance C'est plus beau que Byzance C'est toujours Carpentras
La vie Ça n'a pas de ressources C'est pas coté en Bourse Comme l'or-étalon La vie Ça se débine en douce À la vie comme j'te pousse Au détour d'un avion La vie Si tu la perds pas b'soin De d'mander le chemin D'la rue des Morillons La vie On croit que c'est pépère Bien planqué l'arrière C'est toujours sur le front
La vie Pas l'temps d'faire des projets À peine même si j'ai Le temps d'être rossignol La vie On t'la donne on t'la r'prend Comme un jouet d'enfant Une divine babiole La vie C'est un bout de répit Qui couve au bain-marie Dans une drôle de cass'role La vie C'est la supercherie D'un Jupiter aigri D'un dieu à camisole
La vie Ça ne tient qu'à un fil Ca s'joue à face ou pile Pour des profits et pertes La vie Ça se sauve ça s'épargne À la caisse d'Épargne Des guerres qu'on déserte La vie Moi je la revendique Pour le moindre moustique Pour la bête de somme La vie C'est la fleur sans fusil C'est la Terre sans patrie C'est le berceau des hommes La vie"
Henri Tachan
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La lettre G
Gang
(Féminin, prononcée « gagne »)
Groupe d’amis, de collègues.
Garnotte
-> gravier, pierre concassée
-> lancer puissant
-> bague avec une grosse pierre
(Ça c’est d’la grosse garnotte!)
Garocher
-> lancer, jeter
-> se précipiter
-> ne plus savoir où donner de la tête
Germaine
Personne autoritaire et contrôlante. Jeu de mot crée par la combinaison des mots « gérer » et « mener ».
Gnochon
Personne stupide, imbécile.
Gogosse / gugusse
Babiole, objet sans valeur
Gossant
Ennuyant, agaçant
Gosse
Testicule (aucun Québécois ne veut voir de photos de vos gosses.)
Gosser
-> tailler un morceau de bois avec un canif
-> exaspérer quelqu’un, l’ennuyer, l’embêter
Gougounes
🩴 sandale de plage
Goût
Certes ce mot sert à définir le sens du goût, mais s’utilise aussi dans le sens de « avoir envie de »
Exemple: j’ai le goût d’aller au cinéma
Grafigne
Égratignure, éraflure, blessure dans gravité
Gratteux
-> Personne avare
-> billet de loterie à gratter
Gravelle
Gravier, pierre concassée
Greyer
-> Équiper, munir de tout le matériel
-> s’habiller, se vêtir
-> (être greyé) femme: avoir de gros seins, homme: avoir un gros penis
Expressions
Grand fanal/grand Jack/grand slaque
Quelqu’un de grand et maigre.
Gras comme un voleur
Au sens propre il désigne quelqu’un ayant de l’embonpoint. Au sens figuré il désigne l’abondance.
Gras dur
Chanceux, heureux, bien
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– Vous souvenez-vous des Fêtes de Noël au château, du temps de la douairière, ma chère grand-mère ? – Si je m’en souviens, Monsieur le Comte ! C’était, avec Pâques, le moment le plus important de l’année. Tout le domaine préparait l’évènement des semaines à l’avance. Les gens disaient “tiens, garde donc cela, mets-le de côté, nous en profiterons à la Noël”. Toutes les fermes sélectionnaient à partir de la mi-novembre ! Les viandes, les foies, les beaux légumes, les conserves... – Et les vins ! Nous visitions les caves avec mon père et mon oncle. Joseph suivait avec son chariot et disposait les cols choisis avec science. Jamais une de brisée ! – Oui, les vins... et les champagne, et les liqueurs pour ces dames ! Vous savez, Monsieur le Comte, le moment le plus émouvant c’était quand toute les familles du domaine, les fermiers, les métayers, les ouvriers des ateliers de Monsieur Charles et même certains journaliers, se rassemblaient dans la cour d’honneur, neige ou pas. – Combien pouvions-nous être alors ? Une cinquantaine ? – C’est monté à plus de quatre-vingt, Monsieur le Comte. – Le discours toujours bienveillant de mon père, ma grand-mère distribuant des babioles aux plus jeunes enfants, l’archevêque qui venait bénir tout le monde, même les communistes ! – Il y avait encore du respect de ce temps, Monsieur le Comte. Les gens avaient leurs idées mais les codes étaient respectés. De l’ordre, de la cohérence, aucune familiarité, juste de la bienveillance. Voilà ce qui tenait le domaine. – Vous avez raison. Il y avait cette équité par delà les opinions, les ambitions, les contrariétés... Le sentiment d’appartenir à une communauté, à une terre, à un monde qui gardait du sens, entre le calendrier chrétien et les saisons, le rythme de l’agriculture, les mariages aussi. Et les décès. Plus personnes ne vient se faire enterrer chez nous, vous avez remarqué ? – Je ne sais pas si l’on a encore le droit, Monsieur le Comte. En tout cas moi... – Et moi aussi, soyez-en sûr. – Bien. Je vous attends vers 19h30 pour l’apéritif avec votre épouse ? – Ce sera une joie et un honneur, Monsieur le Comte. – Puis nous dînerons avec mes autres invités et ce sera la messe de minuit avancée à 22h30 par commodité. Ce nouveau curé est déplorable. Il a une photo de François à la sacristie. Posée à côté de La Croix et Télérama. Ça ressemble de plus en plus à une kommandantur, son gourbi. – Oh, Monsieur le Comte... Paix aux hommes de... – De bonne volonté, oui, je sais.
J.-M.-M.
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Je continue à vous montrer ce que je fais 😉 ici, une petite babiole pour vos clés ou sacs à main.
Toujours trouvable sur le site de la Guilde des Crafteurs !
https://guildedescrafteurs.fr
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I want to talk about a question that has been raised already in this post (not by me): https://www.tumblr.com/fictionadventurer/706718915447963648/its-so-interesting-to-me-that-the-hero-saves-the?source=share
A post I had reblogged - but my reblog/answer got drowned and ignored among everything else (again, I do not know why but Tumblr seems determined to make my posts disappear from the searches). So I will make a separate post to bring forward a bit more light on the topic.
The question is: The “archetype” and “stereotype” of the fairytale as “ a prince charming or a knight on a beautiful horse saves a damsel trapped in a tower and guarded by the dragon”. It is in many people’s mind one of the “basic” of fairytales, and when you want to write a fairytale pastiche it is the scenario that comes first in people’s minds.
However... When you look at the fairytales of the brothers Grimm, or at traditional Norwegian fairytales, or at Andersen’s... you realize this scenario is not at all typical or recurring in fairytales. So where does this idea comes from?
The average person answer will be either 1) It is Disney that popularized it, with their Sleeping Beauty for example or 2) This is a projection of medieval romances and chilvary tales onto the genre of the fairytales. Both explanations which are true, indeed... But they are missing a key element that is the true solution to the “mystery”.
French fairytales. An entire century of French fairytales written by a dozen of different authors (or rather two dozens). Everybody knows Perrault (whose tales also do not fit the archetype described above), but the truth is that all the other authors of fairytales of the “century of fairy tales” in France used and re-used this formula again and again. The French literary fairytale IS the fairytale where knights in shining armors kill dragons, the French literary fairytales ARE the fairytales where the prince charming has to rescue the damsel in distress.
To merely take madame d’Aulnoy, the “mother” of French fairytales and Perrault’s equally famous co-writer, we have:
# The Yellow Dwarf, where the King of the Gold Mines (helped by a mermaid) has to rescue his wife from the titular Yellow Dwarf who imprisoned her in a castle of burning steel.
# In Babiole (more of a mock-fairytale), the main prince of the story has to rescue his beloved from a giant bottle guarded by giants and dragons.
# In The Benevolent Frog, a king has to rescue both his wife and daughter from the underground lair of the Lion-Fairy. Later, the prince to be wedded to the princess has to save her from a dragon trying to eat her.
# In The Pigeon and the Dove, a prince has to save a princess from a tower of diamond in which a giant imprisoned her.
And that’s just a few of her stories. Mind you, she also wrote numerous stories where it is the princess or the woman that goes to rescue her lover/prince, but she also wrote the classical stories of “the prince in shining armor rescues the damsel in distress” - a scenario that will be taken back for a whole century by all the other fairytale writers of France.
So no, it is not a scenario taken out of a different genre and projected “by mistake” on fairytales. Rather it is a key part of the history of fairytales - but given people do not remember the whole “French” part of the history of fairytales, they are confused as to where this scenario comes from.
#fairy tales#fairytales#fairy tale#fairytale#history of fairytales#french fairytales#prince charming#knight in shining armor#damsel in distress#knight saves the damsel in distress#dragon#fairytale dragons#madame d'aulnoy#d'aulnoy fairytales
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"J’oublie parfois combien tu t’attaches à ces riens, une couleur, quelques mots, une intonation, une babiole, et pourtant tu as l’impression que c’est dans ces détails-là que sont nichés les esprits de ceux que tu as aimés."
Nathacha Appanah (-Rien ne t'appartient-)
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Link ou BEN ? x Reader
Hey hey hey ! Si vous aimez cette histoire et qu'elle n'avance pas assez vite à votre goût, vous pouvez toujours en lire d'autres tout aussi palpitantes sur mon compte Wattpad <3 :
______________________________________________________________
IMPORTANT :
Ça fait une éternité que je n'ai pas joué aux jeux Zelda et NON je n'ai pas joué au nouveau :') Me bâchez pas pliz-
Parcontre, si -> Je dis de la merde <-
Reprenez moi sans vergogne XD
Bonne lecture ! ____________________________________________________________
[Narrateur à la 1e pers.] [Dans notre monde.] [Pov : ???]
Il y a de ça quelques années, les premiers jeux de Zelda ont fait un carton.
Notamment Zelda Majora's Mask, sur la Nintendo 64, sorti en l'an 2000. Bien que le jeu et les graphismes pouvaient parfois être simplistes voire laisser à désirer, l'histoire et le gameplay ont séduit bon nombre de joueurs.
Dont moi.
Lorsque je n'étais encore qu'un gamin, j'avais l'une de ces fameuses Nintendo 64. Elle m'avait été offerte par mon grand père. Je ne possédais pas beaucoup de jeux à l'époque, mais je ne m'en plaignais pas. Mon favoris était, oui, Zelda Majora's Mask.
Ce ne sont que des années plus tard, à présent grandis, que j'ai cours à l'Université. Au début de mon parcours universitaire, j'avais appris que mes parents avaient emménagés dans une petite banlieue tranquille. Alors, un 28 août, j'ai décidé de leur rendre visite.
Au moment de prendre le chemin du retour, après un bon 3 heures à converser autour d'une tasse de café, c'était à ma grande joie que mon père m'avait redonné ma vieille Nintendo. Heureux de pouvoir rejouer aux jeux de mon enfance, durant le trajet alors que j'étais entrain d'y penser, j'apperçu une rue différente des autres. Dans celle-ci, plusieurs maisons s'adonnaient à des ventes de garage. Une idée avait alors germée dans un coin de mon esprit, celle de pouvoir trouver d'anciennes cartouches de jeux.
En parcourant diverses de ces ventes de garage, j'en étais arrivé à tomber sur le fameux jeu de Zelda. Il était dans une boîte avec d'autres jeux, mais aucun autre sur la même console. Cette boîte se trouvait entre quelques tableaux à l'art douteux et d'autres babioles toutes aussi étranges. Et alors ?
Eh bien, vous n'imaginez pas ma joie à ce moment-là. La cartouche de jeu était mise à la vente par un vieil homme qui avait tout bonnement le même aura que ceux dans les films d'horreur. Mais un aura étrangement généreux et sympathique, car au lieu de me la vendre, il me l'avait donné gratuitement.
Ainsi, je l'avais juste remercié poliment sans me poser d'avantages de questions. À cette époque, les films d'horreur n'avaient pas tous ce même début de piège.
Puis je me suis rendu à mon dortoir universitaire, hâtif de pouvoir rejouer à Zelda Majora's Mask.
Et...
C'était donc là que mon pire cauchemar... Mon ébat contre les ombres, eut commencé. Comme Il le dit si bien... Je n'aurais pas dû faire ça.
Ce n'est que plus tard, les mains crispées sur la manette en étant couvert d'un profond malaise, que je fixai mon Link brûler sur place dans une posture glitchée. La statuette de BEN, se trouvait devant moi, positionné à côté du vendeur au sourire effrayant. Qui est BEN ? Je ne savais pas, et je ne suis toujours pas sûr. Il m'avait juste dit qu'il était mort noyé, et qu'il voulait être libéré.
Je pense... Je ne sais plus... Avoir donné plus d'informations sur mon blog... Il fallait que j'en parle. J'ai essayé d'en parler. J'ai vraiment essayé...
Mais BEN me contrôlait et me guidait malsainement peu importe ce que je voulais faire, surtout sur le net. Il prenait contrôle de tout objet électronique avec lequel j'utilise. Lorsqu'il veut me parler plus clairement, on tchatte sur un site appelé CleverBot. Si je refuse, il me tourmente, encore et encore.
I have something to show you. Go play (J'ai quelque chose à te montrer. Va jouer)
Avait-il dit une fois. Je lui ai donc répondu.
I don't want to... (Je ne veux pas...)
Sur ce, j'avais arrêté de lui parler et je n'avais pas été jouer comme il me l'avait ordonné. Mais comme je l'ai précisé, il avait continué de me tourmenter, par vengeance ou bien par manipulation. Je voyais son image, celle de Ben, dans des endroits où il n'était pas supposé être. Si je faisais une recherche internet, il apparaissait, avec ce sourire dérangeant.
Je... Je n'en peux plus... Je n'arrivais plus à dormir, les nuits. Je le voyais même dans mes cauchemars. Lorsque j'étais seul dans ma chambre de campus universitaire, j'avais l'impression qu'il était là. Je sentais... Son aura. Depuis que j'ai joué à la cartouche de jeu, et qu'Il me manipule, je sens cette aura horrifiante n'importe où. N'importe quand. Et le pire. C'est que je ne sais toujours pas quand est-ce qu'il compte en finir...
J'avais besoin de sortir de ma boîte à terreur et à solitude, où j'allais devenir complètement fou. Ça faisait quelques jours déjà que je sentais les mêmes symptômes que celles de la dépression. Je ne sais pas si c'était parce que je ne voulais pas, ou si c'était car je pensais que je ne pouvais pas aller en cours, mais j'ai commencé à créer des excuses pour ne plus y aller. Déjà car je n'en avais plus la force, mais ensuite car je n'en avais plus la concentration ou la motivation.
J'avais alors décidé de revenir au nid familial, quand je sentais que j'allais craquer... J'avais besoin de réconfort, de visages rassurants. J'avais finalement envisagé cette idée uniquement après deux putains de mois d'hantises sans donner de nouvelles à personne.
Je n'avais pas préparé des centaines de valises, seulement une et un sac à dos suffisaient. J'avais zieuté ma Nintendo 64, et en avait avancé la main vers elle, mais je me suis stoppé dans mon élan.
Et décidé de la laisser là-bas.
Face à ma requête, mes parents étaient à la fois inquiets mais heureux, que je vienne. Ils ignoraient tout de ma situation actuelle, et je ne comptait pas la leur dire. Je veux juste me bercer d'illusions d'espoir, en retrouvant mes proches.
Ils m'ont installé dans une chambre d'invitée qui était assez simpliste. Ils ont gardé quelques uns de mes anciens meubles, comme le lit, mon bureau ou les commodes, mais la décoration m'était étrangère. Même si au fond, peu importe.
J'ai donc installé mon ordinateur portable sur mon ancien bureau, et ai placé ma Nintendo 64...
Et... Ai placé ma Nintendo 64...
À peine la console prit, je la relâcha en me crispant et elle retomba dans le sac. Ce n'est pas possible... CE N'EST PAS POSSIBLE.
"- Je... Je ne l'ai pas amenée avec moi..." Murmurais-je pour moi-même en tremblant...
J'entendis des pas lourds dans le couloir, ainsi que les craquements du plancher. C'était mon père, à coup sûr. Vu que j'ai laissé la porte ouverte, j'entendis sa voix rauque et calme.
"- Tout va bien, bonhomme ? Bon je sais que tu n'es plus un p'tit gars, mais sache que ta mère et moi, nous sommes vraiment heureux que tu sois à la maison."
J'étais ensuite resté, planté là, à observer la console pendant quelques secondes silencencieuses. Puis je lui répondit que j'étais également heureux.
La nuit tombée, de nouveau, je ne pu m'endormir. Mais cette fois, ce n'était pas à cause de ma conscience, ou de mes nombreuses visions cauchemardesques. Mais c'était littéralement de Sa faute.
Il faisait exprès ; Il me spammait de messages sur CleverBot. Même en mettant mon phone à silencieux, même en l'éteignant, même en sachant que normalement CleverBot ne peut pas envoyer de notifs, bordel. Le son des notifications qu'il m'envoyait étaient agaçant. Il voulait clairement que j'allume ma Nintendo. Il voulait jouer.
Do it. (Fais-le.)
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
LEAVE ME THE FUCK ALONE (LAISSE MOI PUTAIN DE TRANQUILLE)
Last chance. (Dernière chance.)
Or what? (Ou quoi?)
Or you'll be the one who meet a terrible fate. (Ou tu seras celui qui rencontrera une terrible fin.)
Cette dernière phrase me fit trembler d'un coup sordide. J'ai froid, et je suis déjà mort de peur. Donc je peux vraiment mourir ? Et comment il va faire, pour me tuer ? Produire une décharge électrique ? ET PUIS QUOI ENCORE ?
Je suis venu ici pour échapper à ça, et me voilà encore en face de lui.
Go fuck yourself.
Sur ce, je me redresse brusquement sur mon lit. Le phone se remet à faire des bruits de notifications. Dans une poussée d'agressivité, je fracasse le portable de toute mes forces contre le mur. L'écran se brise en morceaux et quelques bouts mécaniques s'effondrent n'importe où sur le sol. Pourtant, de ma position, je constate l'écran qui est toujours allumé.
Sans savoir pourquoi, mon cœur se met à éclater dans ma poitrine. Tellement que j'ai peur de frôler la crise cardiaque. Mon souffle s'accélère et tremble sous la peur. Même en l'ayant éclaté sur le mur, il demeure fonctionnel. Ce bordel...
"- Laisse-moi tranquille... Ben..."
Soudain, du téléphone, un enclenchement vocal se fait entendre. Un son comme lorsqu'on fait "Dit Siri". Puis un rire méchaniquement enfantin sort de l'écran. C'est insupportable. Cette voix est malsaine et malveillante. Le rire tourne en boucle comme si c'était un sombre enregistrement. Ça ne s'arrêtera pas, non, tant que je ne ferai rien. J'ai toujours les foies. Mais c'est grâce à ça, que je réussis à empoigner ma couverture bleue, de la dégager de sur moi, de me lever et de marcher d'un pas non assuré vers la petite machine électronique.
Le rire est toujours en cours, lorsque je le prends. L'écran est si craquelée que je ne vois pas quelle application a employée Ben. À bout de nerf, je serre les dents. La peur et la frustration se font violence en moi. Les heures de sommeil manquées commencent à se faire sentir. Mes cernes témoignent de ma fureur. Ça fait... Deux mois.
Le rire continue de se moquer de moi. De se moquer de ma frustration, de mon désespoir. Une idée aussi sombre que Sa personnalité me surgit dans la tête. Sans me soucier du plancher qui craque comme un appel à l'aide, je n'ai qu'un endroit en tête.
J'arrive dans la salle de bain et allume aussitôt la lampe torche du téléphone. Et écrase celui-ci sur la surface de la cuvette de toilette. Dans le bain, je met le bouchon et active la chapelure d'eau. La baignoire se remplit peu à peu.
Je l'observe avec amertume et satisfaction, avant de prendre le téléphone, puis mettre la caméra bien en joue sur l'eau sombre : l'éclat de la lampe du téléphone fait un reflet semblable à la lune sur la mer.
"- Et ça, ça t'amuse, p'tit con ?"
Le rire se tût instantanément et un silence de mort arrache la place. Un rictus mauvais appara��t au coin de mes lèvres. Cependant, le silence glacial se brisa par quelque chose de plus inquiétant, encore. Cette fois, au lieu d'un rire machiavélique, se fait entendre... Un halètement. Une respiration lourde mais remplie de glitchs, à l'autre bout du fil.
"- T'as les foies, là, hein ?" Murmurais-je avec agressivité. "Alors ça fait quoi ? T'as du fun ?"
"- Tu n'aurais pas dû faireça."
À peine sa phrase prononcée, je lâche sans remords le téléphone dans l'eau et tout bruit ainsi que source de lumière se meurtrie instantanément. Je pousse un soupir de relâchement.
Ce doit être mon cerveau qui est saturé, mais mon sentiment d'apaisement fut vite interrompu, une fois le pied mis dans ma chambre. La télévision était ouverte sur la lune de Majora's Mask, avec la musique de Healing qui se joue avec les mauvaises notes.
La Nintendo n'est absolument pas connectée. En fait, rien n'est connectée à cette télévision, je ne l'avais jamais ouverte depuis ma venue.
"- ... Ben..." Prononçai-je plus comme un appel qu'un effroi.
La bouche de la lune se mit à bouger :
"- Won--- der-- ful-- Moon. Congra---tulations, He---rrr--o." (Merveilleuse lune. Félicitations, héros.)
Les mots avaient plusieurs intonations comme si BEN pigeait ces mots sur... Le Web...?
"- No-ot. Won---der--ful----en--o-o-ough." (Pas assez merveilleuse.)
Je me pinça l'arrête du nez. Depuis plusieurs minutes déjà, mon corps s'était habitué à remplacer la terreur par la colère et l'impatience. Mes nerfs allaient lâcher et ça me prit tout pour ne pas hurler ces mots :
"- Que. Me. Veux. Tu. À la fin ?"
"- Pl--aaa-y. Wit--h y--yo--u." (Jouer avec toi.)
"- Et ce n'est pas ce que tu fais depuis 2 mois !?"
"- W-wh--y b-b-b-bee--ing--so --st-ubbo--rrn ? I---I on-ly wan--t a f--rrriend. Co-nnn-ect your N-n-n-nint-t-tend--o." (Pourquoi être si têtu ? Je veux seulement un ami. Connecte ta nintendo.)
En soupirant sombrement, je la sortit de mon sac. Pourquoi est-elle là ? J'entends déjà mes lecteurs écrire "moi, je l'aurais brûlé, mis au chemin, donnée même". Et croient-ils que je n'ai pas essayé ? Croient-ils que je ne me suis pas arraché mes cheveux lorsque je me rendais compte que la Nintendo trouvait le moyen de réapparaître comme par magie ? Et la cartouche, même ?!
Je m'asseyai devant la TV, posant la nintendo en face. Je précisa que je n'avais amené aucun fil et qu'aucun, exactement comme la console, n'était apparu des enfers.
"- Y--ouu- Do--nnt--NEED--it." (Tu n'en as pas besoin.)
(C'est ainsi que Ben créa le Bluetooth- XD (Pardon.))
Lorsque j'appuyai sur le bouton de démarrage de ma console, rien ne se passa. Après tout ce qui se passait, je m'attendais à ce qu'elle s'allume tout aussi magiquement que les autres situations improbables.
"- Ça ne marche pas." Maugréais-je.
Les yeux encore sur la console, le même rire insupportable que tout à l'heure raisonna et lorsque je regarda l'écran de la télé, la lune avait disparu. Elle avait fait place à un jeune garçon plutôt réaliste, au sourire malfaisant. Ses yeux étaient saignants et sa peau était grise bleutée.
BEN drowned...
"- I-I-I don't NEED i-it t---to b-b-be t---urn--ed O-on. I-I-I ju--ust NEED y---yo-u to b-b-be neeear i-it." (Je n'ai pas besoin que ce soit allumé. J'ai juste besoin que tu en sois proche."
"- Qu--"
Soudain, je ne su absolument pas si j'étais devenu fou. Mais...
Ben tira les bras vers moi avant que des doigts ne sortent de la télévision, allant s'appuyer à son rebord. À partir de là, tout se passa bien trop vite. Et dans cet ordre :
Son sourire figé. Sa forme réaliste sortant de la télévision. Mon cri d'horreur.
Puis le noir.
Et enfin... Le bruit du vent.
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Arrivée à Santiago au Chili
Il nous fallait quitter la chambre à 7 h 30 ce matin. Le réveil a été dur, car je n’ai pas très bien dormi. Je suis encore malade, mal de gorge, toux, nez qui coule et ça perdure malgré les Tylenol extra-fort que je prends.
Après un débarquement sans anicroche, nous avons tenté de commander un Uber avec le cellulaire de Susan. Le premier chauffeur a refusé la course, et lors de la deuxième tentative, la transaction a échoué, car le système pensait que quelqu’un faisait de la fraude avec la carte de crédit, car on avait encore changé de pays. Baire est arrivé à la rescousse, et pour la première fois de sa vie, il a commandé un Uber. On a fait l’aller-retour entre le derrière du bureau de douane et le devant avant de localiser l’auto. Ça a pris 1 h 30 pour arriver à Santiago.
Nos amis sont venus déposer leurs valises à notre appartement, puis nous sommes allés manger dans un restaurant vénézuélien où on sert toutes sortes de viandes grillées. Poulet, bœuf, porc, c’était une assiette de cochon, mais vraiment très très bon. Il était 15 h quand nous sommes sortis de l’endroit où il n’y avait que des gens du coin, un très bon signe.
Revenus à l’appartement, j’ai fait une sieste et Susan et Daniel sont partis explorer la ville. Robert est allé acheter du pain, du café, des confitures et du lait pour le déjeuner.
Vers 19 h, nous sommes allés prendre un verre dans un quartier très chouette, entouré d’arbres, de restaurants et de vendeurs de babioles. Nous y retournerons souper, c’est certain.
Nos amis sont partis à l’aéroport vers 21 h, car ils ont un premier vol de Santiago à Bogota, à 1 h 30 du matin. En fait, nous partirons comme eux à la même heure dimanche.
Demain, nous avons prévu de visiter plein de choses. Espérons que je serai en meilleure forme.
Lever de soleil à Valpairaiso à 8 h ce matin.
Les petites maisons colorées de Valparaiso, du pont du bateau.
Tous les drapeaux des pays d’où proviennent le personnel du navire. Ils ont été hissés sur le pont du bateau pour une première fois aujourd’hui.
Assiette de viande rôties ce midi, ou plutôt cet après-midi. On a pas eu besoin de souper.
Dernier verre avant que nos amis repartent en direction de San Diego, aux États -Unis.
Nous, à Santiago.
Au coin de la rue où se trouve l’appartement. On est en plein centre-ville.
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