#Bétonisation
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Ces nuages, là, tu les vois ? Comme des poings serrés, prêts à dégueuler leur rage. Et ces engins, foutus monstres d'acier… Ils s'acharnent, salauds, sur les ossements des vieilles baraques. Tout y passe, tout ! Les souvenirs, les cris, les rires… tout bouffé, digéré par ces bêtes sans cœur. Ça dévore, ça ravage, ça s'en fout… La fin, tu sens ? Tout s'effondre. Le clocher, lui, stoïque, il regarde ça, impassible, comme un vieux témoin fatigué d'une éternelle rengaine. Il voit le massacre, le tumulte, la sauvagerie de ces foutus monstres de fer. Et le bruit, ah le bruit ! Ça grince, ça hurle, ça déchire… On dirait le monde qui s'effrite, qui craque de partout. Mais c'est la vie, non ? Tout crève, tout renaît. La vieille peau s'efface, la nouvelle s'étire au soleil. Tristesse et beauté, la valse éternelle de la life. Ces images, elles te crachent tout ça en pleine gueule, sans un chuchotis. C'est le monde, ma vieille, ce foutu monde qui s'agite, qui se meurt, et qui pourtant, se fout royalement de nous.
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le-journal-catalan · 2 years ago
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"Les Argelésiens se mobilisent contre la folie d'Antoine Parra de bétonner l'ensemble de la commune"
“Nous appelons les Argelésiens/nes à se mobiliser contre la folie d’Antoine Parra de bétonner l’ensemble de la commune.” lance le mouvement #Agissons. A Argelès-sur-Mer, c’est ce qu’on fait les résidents de la commune qui se sont rassemblé ce lundi 24 juillet à 15 heures afin de protester contre l’évolution du Plan Local d’Urbanisme. En effet, la mairie d’Argelès-sur-Mer et son maire Antoine…
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entomoblog · 2 hours ago
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Festival d’Angoulême : plongée dans l’effervescence de la BD espagnole
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
L’Espagne est à l’honneur pour la 52e édition du Festival de la bande dessinée d’Angoulême. Plongée dans la BD espagnole, de Franco aux romans graphiques.
  Virginie GIULIANA
Professeure des Universités en Études Hispaniques, Université Clermont Auvergne (UCA)
  Publié: 27 janvier 2025, 16:42 CET
  "... De la fiction à l’autofiction, en passant par la biographie, l’autobiographie, le reportage, l’histoire ou la science, la bande dessinée espagnole puise ses sources dans son patrimoine historique, culturel et géographique et en révèle l’idiosyncrasie. C’est sur ce substrat que s’appuie la création contemporaine, qui connaît actuellement une période d’éclosion, grâce à la nouvelle génération d’auteurs et d’autrices.
  L’émergence de nouveaux talents sur la scène espagnole et internationale, aussi bien au plan de la narration que de l’esthétique, va également de pair avec la reconnaissance des artistes féminines qui se sont fait une place dans le milieu.
Dans cette nouvelle génération s’inscrivent des autrices telles que María Medem avec À cause d’une fleur ou Zénith ; Nadia Hafid avec Le Bon Père ; Núria Tamarit avec La Louve boréale et Toubab ; Yeyei Gómez dans Au bord du naufrage ; Marta Cartu avec Hola Siri. Et, des auteurs tels que Marc Torices avec Cornelius ou Antonio Hitos dans Ruido, entre autres."
(...)
  image : Illustration d’Ana Penyas, artiste primée au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême, en 2023. Ana Penyas
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NDÉ
En lien avec les thématiques d'EntomoNews :
  Ana PENYAS : Sous le soleil | Actes Sud https://www.actes-sud.fr/catalogue/bande-dessinee/sous-le-soleil
  Sous le soleil dépeint les effets de la politique touristique espagnole entre 1969 et 2019 dans les alentours de Valencia, sur la Costa Blanca.
A travers l’histoire d’une famille sur trois générations, de l’ère franquiste jusqu’au triomphe du néolibéralisme, on y voit la disparition des activités traditionnelles telles que la pêche et l’agriculture, et les conséquences dévastatrices de la bétonisation des côtes, de la spéculation immobilière et du développement du tourisme de masse.
Avec ce drame humain, Ana Penyas s’impose comme une autrice de premier plan, portant un regard acéré sur notre monde. Original et très élaboré, le traitement graphique mêle plusieurs styles et techniques.
  María Medem : À cause d’une fleur – Rackham
https://www.editions-rackham.com/catalogue/a-cause-dune-fleur/
  Antonia vit dans un bourg habité uniquement par des chiens et des geckos. Tous les hameaux voisins se sont vidés de leurs habitants et toutes les terres autour semblent stériles. Dans le village d’Antonia, ou moins dans ce qu’il en reste, pousse une fleur qui lui rappelle des temps meilleurs, le souvenir de la gaieté de ce lieu et la fertilité des champs. Prendre soin de cette fleur, la maintenir en vie à tout prix, devient le but principal de l’existence d’Antonia. Mais une visite inattendue va l’aider à entreprendre un voyage initiatique au cours duquel elle va redécouvrir une vie qu’elle croyait avoir perdue et apprendre à cultiver la fleur de ses désirs.
Avec légèreté et délicatesse, María Medem nous entraîne dans son monde de couchers de soleil orangés, de paysages aux couleurs éclatantes, de gouttes de rosée et de pluie suspendues aux brins d’herbe, d’oiseaux flottant dans un ciel déchiré par les panaches des nuages, de nature qui s’exprime en toute liberté. Dans À cause d’une fleur, María Medem construit un univers dont les images continuent de nous habiter longtemps après avoir renfermé son livre ; un poème visuel remarquable de créativité et cohérence, hymne à la douceur de la solitude et à la chaleur des rencontres.
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artia13 · 19 days ago
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Bétonisation de terres agricoles et étalement de la ville : pourquoi ces habitants s'opposent à la construction d'un nouveau quartier
https://tinyurl.com/2cu3q8ve Artia13 - Innovation et Créativité 655 logements doivent être construits sur des terres agricoles à Pézenas près de Béziers (Hérault). Le projet, hérité de l’ancienne ...
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charlottalaregion · 3 months ago
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Austérité budgétaire, formation professionnelle
mon compte-rendu subjectif du conseil régional du 26 novembre 2024
Concernant les questions d’actualité, le PC pose la question du fiasco de la mise en concurrence des bus en grande couronne. Valérie Pécresse défend son formidable “dialogue social” et ce en pleine grève des chauffeurs de bus de Cergy Pontoise. Bof.
Nous posons la question de la prévention des inondations, en interpellant la présidente sur sa politique de “non adaptation” aux dérèglements climatiques, et d’artificialisation des sols encore permise par le récent SDRIF. Elle répond que la compétence sur la gestion des inondations revient aux intercommunalités. Quant à une véritable politique de résilience et de prévention, elle dit encore son satisfecit alors que les écolos (élus et associations) sommes unanimes sur la bétonisation catastrophique de notre région. Face à une catastrophe du type de celle de Valence, nous ne sommes pas prêts.
Le PS demande à la région de réagir face au “racket budgétaire” du gouvernement. V. Pécresse se plaint (un peu) mais est bien contente de jouer la bonne élève de l’austérité du gouvernement Barnier.
La droite et le RN parlent de laïcité et de sécurité. Petite surenchère malaisante.
A une question de l’UDI, elle annonce une aide exceptionnelle aux agriculteurs pour 5 millions d’euros. Elle travaille son électorat (mais en même temps, soutient la destruction de terres agricoles)
Vient le débat d’orientation budgétaire, V. Pécresse parle de la baisse des crédits de 320 Millions d’euros, alors elle décide de baisser le budget de plus de 700 millions ! Elle dénonce “le coup de rabot” de l’Etat qui baisse drastiquement les recettes. Le budget de la région c’est 390 € par habitant, soit 100 € par an de moins que les autres régions. En réalité cette baisse, ca va être une nouvelle casse du service public, notamment pour les organismes associés, qui se voient amputer de 15 à 20% de leur budget : Institut Paris Région, Airparif, Bruitparif, CRIPS (qui lutte contre le Sida), IDF Nature... alors qu’elle continue sa politique sécurité (alors que ce n’est pas la compétence de la région) et anticipe la baisse sur les 3 prochaines années, rabote encore plus le budget et nous propose une cure d’austérité inédite.
Intéressant ; le PC propose par un amendement la suppression de la Métropole du Grand Paris. On se donne la liberté de vote, certains votent pour, d’autres s’abstiennent. Mais le débat est lancé !
Avec les groupes de gauche, on propose d’ajouter une taxe sur la livraison de colis du e-commerce, pour financer les transports en commun. Rejeté. 
Le PC propose plusieurs amendements intéressants, comme la gratuité des cantines des lycées pour les tranches de revenus basses, de nouvelles taxes et recettes pour les transports en commun, le maintien de la tarification sociale des transports.
La Mission d’Information et d’Evaluation sur la formation professionnelle est présentée par la majorité. Après 6 mois d’auditions, l’opposition exprime sa frustration sur le manque de réponses notamment sur la fraude, le manque de démocratie et de pluralité de la MIE. En fait c’est même le prétexte pour réduire les dispositifs de formation, et carrément supprimer le dispositif AIRE (aide régionale pour les chômeurs et les reconversions professionnelles).
Le bilan des aides aux entreprises est présenté. Hélas toujours aucun critère sociaux ou environnementaux. On note une baisse des aides de 22% pour les entreprises de l’audiovisuel, et une baisse concernant les politiques environnementales. 
La droite présente un voeu pour faire des écoles primaires privées (ah non pardon on dit “libres”) régionales : c’est vrai que c’est bien de sélectionner l’élite dès 3 ans et d’aider le secteur privé !
Les socialistes présentent un voeu sur la lutte contre les troubles du comportement alimentaire.
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zehub · 3 months ago
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Derrière les inondations en Espagne, l'urbanisation à outrance et l'artificialisation des sols
Les terribles inondations de Valence illustrent à quel point l'urbanisation et la bétonisation des espaces rendent nos villes vulnérables.
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aieaiemeimei · 10 months ago
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bonheur pur, bonheur simple d'une mer là, accessible en un saut. pas de limites au jeu, pas d'espace circonscrit, lissé, régulé, surveillé, jugulé. pas d'adulte pour policer, dire "non, vous n'avez pas le droit", "non ce n'est pas le lieu pour ça" parce que les adultes (hommes), en ont fait bien plus quand ils étaient jeunes -- non, juste quelques mamans qui regardent sourire aux lèvres, yeux dans le vague, envieuses d'une liberté qu'elles n'ont pas eu et n'auront jamais; liberté d'une mise à découvert du corps dans l'espace public. Alors elles baissent les yeux sur les petites "quand tu sauras nager, toi aussi tu pourras sauter". … L'île entière comme terrain de jeux aux facettes multiples. Collines, angles, arbres, bancs, barrières sont autant d'invitations à inventer des formes d'être -- des formes vieilles et nouvelles, éphémères, évolutives, qui existent au gré du temps, des saisons, des participants. Pas besoin d'outils autres que des têtes pour réfléchir et un corps pour se mouvoir, pas besoin de plastiques à tenir dans les mains pour évaluer, mémoriser une quelconque performance. mise à disponibilité du corps et de l'esprit, mise au diapason: être dans le moment présent. si simple, le jeu. … et puis surtout, la mer, l'eau, accessible en un saut. Pas besoin d'aller loin, pas besoin de bétoniser la terre, créer des cuvettes, les remplir d'eau javélisée, changer cette eau toujours. L'eau est là, salée, elle nous porte; on flotte et joue encore mieux. Elle joue, elle aussi, ressac, écume. Et les poissons qui passent parfois, curieux, à quelques brasses de là. .. Et quand vient la fin, quand vient l'heure de rentrer diner, tout se dissipe--joueurs, énergie, mouvement-- tout retombe, il ne reste plus qu'un calme parsemé d'échos de cris et de rires. La nuit tombe, les températures chutent, la seule trace qui reste dans le coeur des participants et observateurs, c'est une image mentale qui s'active in-situ, une petite bulle de bonheur pour ce moment partagé de liberté qui plop et re-plop à chaque passage sur ce bord de mer, spot improvisé de saut à l'eau, entre les bateaux, ferrys au départ et kaitos à l'arrêt, au milieu des vagues parfumées à la gazoline.
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terrecorse · 11 months ago
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La Corse a un besoin urgent de justice sociale, pas d’un reflux de la solidarité nationale.
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Déclaration du Conseil national du Parti communiste français
Ce 11 mars, le ministre de l’Intérieur, au nom du président de la République, et une délégation de la Collectivité de Corse ont fini de s’accorder sur une « écriture constitutionnelle » visant à modifier le statut de ce territoire. Un « statut d’autonomie » lui serait reconnu dans la Loi fondamentale, tenant compte de « ses intérêts propres liés à une insularité méditerranéenne, à sa communauté historique, linguistique, culturelle ayant développé un lien singulier à sa terre ».
Il en découlerait un projet de loi organique prévoyant un « pouvoir d’adaptation » des normes législatives et réglementaires de la République, ainsi qu’un « pouvoir normatif propre ».
La spécificité de la Corse est une réalité et nous la soutenons. Elle est issue de son insularité, née de sa culture propre, et de sa longue histoire, forgée dans la construction de la République (dont la Corse est cofondatrice, depuis le 30 novembre 1789 dans l’esprit même des Lumières et de Pascal Paoli, jusqu’à l’insurrection patriotique du 9 septembre 1943 qui se fixait pour objectif de libérer « un premier morceau de France »).
Les communistes de Corse, de la Résistance jusqu’à leur engagement dans les collectivités corses ont largement contribué à faire vivre la spécificité corse et continuent de le faire aujourd’hui. Ils ont été à l’origine de l’apprentissage de langue corse dans les écoles publiques, comme ils ont été à la pointe du combat pour protéger le littoral de la bétonisation et de la spéculation immobilière. Ils sont toujours là, aussi, pour promouvoir des services publics efficaces en matière de santé ou d’Éducation nationale, et pour protéger l’île de l’inflation et des monopoles patronaux.
Les gouvernements ont fait le choix, ces dernières années, d’inscrire quatre réformes institutionnelles en quelques années, pour doter le territoire de compétences fortes dans des domaines essentiels pour la vie de nos compatriotes de Corse. Est-ce que cela a changé la vie quotidienne des Corses ?
La Corse se retrouve à chaque fois dans le haut du tableau des tristes records : pauvreté, chômage, inflation, déserts médicaux, logement, transports… C’est le fruit des politiques libérales, faites de désengagement massif de l’État envers ses services publics, d’absence de propositions d’avenir construites avec les élus et les forces vives de l’île.
Les dernières annonces du gouvernement n’apporteront pas de réponses à ces questions. Elles peuvent, de plus, conduire à briser l’unité et l’indivisibilité de la République, car la loi organique prévoit de transférer les compétences législatives et fiscales à la collectivité.
L’égalité entre les citoyennes et les citoyens est inséparable de l’existence de lois nationales garantissant à tous et toutes l’accès aux mêmes droits fondamentaux et aux mêmes règles fiscales. La solidarité entre régions métropolitaines découle elle-même des mécanismes en vigueur de péréquation et de redistribution de la richesse nationale. Remettre en cause ces principes menacerait donc de creuser les inégalités et d’entraîner dans une compétition violente les populations sur l’ensemble du territoire national, aggravant de ce fait les logiques néolibérales dont les Françaises et les Français souffrent depuis trop longtemps.
La Corse a aujourd’hui surtout besoin de justice sociale, pas d’un reflux de la solidarité nationale qui la rendrait plus dure à vivre pour l’immense majorité de ses habitants. L’urgence est d’abord au blocage des prix, à l’augmentation des salaires, à un soutien massif à l’Éducation nationale et à la santé, au lancement d’un vaste plan de construction de logements sociaux et au respect de la loi SRU, à un soutien massif au développement des services publics. Elle appelle au renforcement de la solidarité nationale, en veillant à ce que celle-ci, comme c’est le cas avec les réfactions de TVA, ne soit pas accaparée par les principaux acteurs économiques, regroupés au sein du Consortium des patrons corses qui contrôlent des secteurs névralgiques de l’île, tels que les transports, la grande distribution, ou le BTP.
Les questions soulevées par l’accord du 11 mars ne sauraient être évacuées par la procédure parlementaire à la hussarde que semblent souhaiter Emmanuel Macron et son gouvernement. Elles doivent faire l’objet d’un débat de toute la nation.
Les Corses, en premier lieu, doivent pouvoir se prononcer par référendum sur une réforme qui prétend répondre à leurs attentes. Plus généralement, les Françaises et les Français dans leur ensemble ne peuvent être tenus dans l’ignorance des conséquences possibles de dispositions qui pourraient lourdement impacter l’avenir de leur République. Déjà, s’engouffrant dans la brèche ouverte, des présidents de région revendiquent d’être à leur tour bénéficiaires de changements institutionnels du même type.
Nous ne voulons pas que la Corse serve ainsi à l’expérimentation d’une dynamique de fédéralisation du pays, débouchant sur la mise en concurrence des régions françaises appelées à s’insérer dans une Europe des régions, au risque d’une régression démocratique et sociale sans précédent. Dans le contexte d’une globalisation capitaliste cupide, elle s’opérerait inévitablement, en France aussi, au détriment des régions les plus pauvres et les moins compétitives, à commencer par la Corse.
Le Parti communiste français entend, par les propositions qu’il portera dans le débat public, contribuer à cette indispensable mobilisation citoyenne pour que la République reste la République.
Parti communiste français,
Paris le 18 mars 2024.
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choses-dingen · 11 months ago
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Image du 21ème siècle. La bétonisation. Pierre Ballouhey, illustrateur
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ezechiel5172 · 1 year ago
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gerarddupin · 2 years ago
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abbyew20 · 2 years ago
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le-journal-catalan · 2 years ago
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Anti-bétonisation : des croix pour des morts silencieuses à Saint-Jean-Pla-de- Corts
Au matin du 9 février, les habitants de St-Jean-Pla-de-Corts ont pu découvrir des croix blanches plantées sur la pelouse du rond-point à l’entrée du village. Le maire conseiller départemental minimise le signal donné par cet acte, en indiquant que celui-ci serait le fruit d’itinérants de la contestation. Sans doute, n’entend il pas les protestations des […] from Le Journal Catalan https://ift.tt/XhxLPd6 via IFTTT
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entomoblog · 1 year ago
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La dépollution par les plantes, une technique émergente pour décontaminer les sols
La restauration de la qualité des sols et des eaux grâce aux v��gétaux, notamment dans les anciens sites industriels, devient une alternative sérieuse aux méthodes traditionnelles.
  Par Lola Dubois
Publié aujourd’hui à 04h30, modifié à 06h21
  "Avec l’objectif « zéro artificialisation nette des sols » inscrit dans la loi depuis le 21 juillet, les quelque 10 000 friches industrielles que compte la France apparaissent comme de potentiels eldorados. Autant d’espaces laissés à l’abandon par le déclin industriel, qui pourraient à la fois servir d’îlots de biodiversité, permettant aux municipalités de compenser la bétonisation de leur ville, ou bien de réserves de foncier pour de nouvelles constructions. Reste un problème de taille : la contamination de leurs sols, durablement pollués par l’accumulation de produits chimiques et de métaux lourds."
(...)
  [Image] La zone tampon humide artificielle de Rampillon (Seine-et-Marne), en juin 2014. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. Dispositif naturel, la zone tampon permet d'intercepter les flux de pesticides sur les végétaux, et de les épurer, grâce à l'activité microbienne du milieu. CYRIL FRESILLON / IRSTEA / CNRS IMAGES
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mali-umkin · 1 year ago
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Quelques updates
Take Action Now: Crackdown on youth environmental defenders (Cambodia)
Six youth environmental activists have been wrongfully imprisoned in retaliation for their peaceful environmental activism. The activists are members of Mother Nature Cambodia, a well-known environmental group that campaigns against environmental destruction and related human rights abuses
. In Cambodia, environmental activists face severe threats and repression from private companies and the authorities, in retaliation for protecting the environment, advocating for climate justice, and promoting the rights of Indigenous communities.
Long Kunthea, Phuon Keoraksmey and Thun Ratha were arrested and have been detained since September 2020, simply for announcing their plan to undertake a peaceful march to raise concerns over the planned privatization of the Boeung Tamok lake. They were later convicted under Articles 494 and 495 of the Criminal Code on May 5, 2021 and sentenced to between 18 to 20 months in prison.
Sun Ratha, Ly Chandaravuth and Yim Leanghy were arrested on June 16, 2021 while two of them were investigating river pollution in the Tonle Sap river. They were charged variously with “plotting” and “insulting the King”, under articles 453 and 437 (bis) of the Criminal Code, which carry maximum prison sentences of 10 years and 5 years, respectively, and sent to pre-trial detention.
All six are now being held in overcrowded prison cells in which their human rights, health and safety continue to be put at risk.
Take action now - call on the Cambodian authorities to release these environmental activists. Please ensure you write before August 25, 2021. 
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charlottalaregion · 1 year ago
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Les promesses intenables et non tenues de JO populaires et écolos
Tribune parue le blog de Médiapart le 8 février 2024
En 2017, quand Paris est désignée ville hôte des JO de 2024, elle présente la promesse de jeux écolos, voire même sobres, et de grande fête populaire célébrant l’idéal olympique de paix. Alors que la Ville était dirigée par la gauche socialiste alliée aux écologistes depuis plus de 15 ans, c’était bien le minimum pour donner du sens à cet événement gigantesque, ayant plutôt la réputation de ruiner les villes hôtes que de laisser un héritage autre que celui d’un bilan carbone désastreux et d’une publicité touristique planétaire - publicité dont Paris n’avaient pas particulièrement besoin.
Donc la promesse, c'était une grande rénovation urbaine pour la Seine St Denis, des emplois et logements, une grande cérémonie d’ouverture dans l’espace public, des transports nombreux et gratuits, très peu de constructions de stades et autres équipements qui ne servent qu’aux jeux, et même une neutralité carbone.
En ce début 2024, on découvre que cette promesse initiale a du plomb dans l’aile.
Populaire ? Avec des billets à 500 € pour voir les compétitions, on est loin d’avoir des jeux populaires. Quant à la question du logement, on en est plutôt à battre des records de prix. Au point que bon nombre de propriétaires ont fait le calcul : mieux vaut fuir et louer son logement à 500 € par nuit. Mais tout le monde n’a pas cette “chance”, les locataires eux n’auront pas cette opportunité. Et les étudiants logés au CROUS sont même priés de vider leur chambre ! Sans parler des profits de AirbnB, engendrés précisément là où ses méfaits ont vidé certains quartiers de leurs habitants, là  A l’heure où nombre de personnes dorment dans la rue ou la précarité augmente, les plus riches s'enrichiront. Et les plus pauvres, devront-ils attendre le ruissellement ?
Rénovation urbaine en Seine St Denis ? La construction du village olympique s’est faite au pas de charge, avec des dizaines de milliers de mètres carrés qui ont surgi de terre,  mais avec quelles conséquences pour les habitants du 93 ? Les acquéreurs des logements olympiques créés ne se pressent pas pour acheter, il faut dire qu’à 7000 € du m2 c’est inaccessible pour un smicard. 
Emplois ? La plupart des emplois créés ont été ceux du BTP ou dans la sécurité, donc par essence temporaires et dans certains cas, occupés par des sans-papiers particulièrement vulnérables. Le comité d’organisation fait appel aux bénévoles pour l’encadrement et l’organisation de ces jeux - on ne peut associer le bénévolat à l’emploi, même si certains profiteront de l’expérience et de la formation. Au final, les JO ne créeront que très peu d'emplois durables.
Des transports pour tous et toutes ? Pendant la période des JO, le prix du ticket de métro sera doublé, bien loin de la promesse initiale de transports gratuits pour les visiteurs. En termes de développement de l’offre de transports, nous aurons droit à une extension de la ligne 14 du métro et du RER E (projets qui auraient vu le jour sans les JO), et des fréquences égales à celles durant l’année, soit une saturation vécue quotidiennement par les Franciliens. Pas plus de RER B ou D que d’habitude, pas plus de fiabilité non plus, alors qu’il faudra vider un stade de France plusieurs fois par jour. Par conséquent, les Franciliens contraints de rester à Paris sont priés par le Préfet de télétravailler ou d’éviter les déplacements, pour laisser la place aux milliers de visiteurs. Un petit air de confinement olympique.
Impact environnemental zéro ? En dehors de la bétonisation, on ne peut que déplorer la destruction des jardins ouvriers d'Aubervilliers, la gabegie de la piscine de Taverny, les dégâts causés à Tahiti sur les coraux, le délire des taxis-volants… Plus largement, les JO génèrent un déluge publicitaire peu compatible avec l’écologie : sponsors de la malbouffe et du plastique, surconsommation, dégradation des paysages urbains. En soi, les très grands événements internationaux ne fonctionnent qu’avec un trafic aérien intense, peu compatible avec nos engagements climatiques. La pollution de l’air sera, elle, toujours présente car les restrictions de circulation seront trop minimes pour avoir un impact.
Idéal de paix olympique ? La participation de la Russie, de la Biélorussie montrent qu’on peut bombarder les populations civiles sans être trop privé de jeux. Et les besoins de surveillance et de sécurité vont imposer des restrictions des libertés individuelles sans précédent. Reconnaissance faciale, QR Code, vidéo-surveillance partout, les innovations se multiplieront dans une ambiance de contrôle permanent de la population et de la rue.
En 2017, les écologistes parisiens avaient voté contre les JO, prévoyant certaines de ces dérives. Nous ne sommes pas particulièrement heureux de savoir qu’on avait raison.
En 2024, nous voyons que les Franciliens suivront les jeux sur leurs écrans, que les dégâts sociaux et environnementaux et les expérimentations sur les libertés individuelles resteront. 
Heureusement, le tableau est moins sombre du côté sportif. En particulier pour le handisport. Les jeux de Paris voient déjà leurs effets sur l’inclusivité des clubs qui commencent à accueillir des personnes porteuses de handicap. Le regard change aussi, ce qui est important. Mais le bilan sportif ne pourra être évalué qu’après coup : est-ce les Français seront inspirés par la compétition et décideront de chausser des baskets et d’être moins sédentaires ? Espérons le, car pour beaucoup les jeux olympiques seront juste un spectacle télévisuel. Espérons aussi que des vocations naîtront chez les jeunes et moins jeunes.
Au-delà de cette critique des JO, saine en démocratie, nous voulons bien évidemment aller plus loin politiquement : que faire de ces gigantesques événements mondiaux ? D’abord, ne jamais considérer que leur accueil va de soi : un référendum local est bien le minimum démocratique et ce devrait être un préalable avant toute candidature. Les Ecologistes l'avaient d’ailleurs demandé, en vain, en 2017. Ensuite, la vérité et la transparence devraient être de mise, au moment de faire des promesses. Enfin, nous ne devrions pas nous embarquer avec des organisations qui ne se fixent pas un minimum de règles éthiques, sociales et environnementales. 
Voilà la contribution des écologistes parisiens au débat..
Charlotte Nenner, Antoine Alibert 
Co-secrétaires Les Écologistes EELV Paris
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