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#Bétonisation
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Ces nuages, là, tu les vois ? Comme des poings serrés, prêts à dégueuler leur rage. Et ces engins, foutus monstres d'acier… Ils s'acharnent, salauds, sur les ossements des vieilles baraques. Tout y passe, tout ! Les souvenirs, les cris, les rires… tout bouffé, digéré par ces bêtes sans cœur. Ça dévore, ça ravage, ça s'en fout… La fin, tu sens ? Tout s'effondre. Le clocher, lui, stoïque, il regarde ça, impassible, comme un vieux témoin fatigué d'une éternelle rengaine. Il voit le massacre, le tumulte, la sauvagerie de ces foutus monstres de fer. Et le bruit, ah le bruit ! Ça grince, ça hurle, ça déchire… On dirait le monde qui s'effrite, qui craque de partout. Mais c'est la vie, non ? Tout crève, tout renaît. La vieille peau s'efface, la nouvelle s'étire au soleil. Tristesse et beauté, la valse éternelle de la life. Ces images, elles te crachent tout ça en pleine gueule, sans un chuchotis. C'est le monde, ma vieille, ce foutu monde qui s'agite, qui se meurt, et qui pourtant, se fout royalement de nous.
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aieaiemeimei · 6 months
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bonheur pur, bonheur simple d'une mer là, accessible en un saut. pas de limites au jeu, pas d'espace circonscrit, lissé, régulé, surveillé, jugulé. pas d'adulte pour policer, dire "non, vous n'avez pas le droit", "non ce n'est pas le lieu pour ça" parce que les adultes (hommes), en ont fait bien plus quand ils étaient jeunes -- non, juste quelques mamans qui regardent sourire aux lèvres, yeux dans le vague, envieuses d'une liberté qu'elles n'ont pas eu et n'auront jamais; liberté d'une mise à découvert du corps dans l'espace public. Alors elles baissent les yeux sur les petites "quand tu sauras nager, toi aussi tu pourras sauter". … L'île entière comme terrain de jeux aux facettes multiples. Collines, angles, arbres, bancs, barrières sont autant d'invitations à inventer des formes d'être -- des formes vieilles et nouvelles, éphémères, évolutives, qui existent au gré du temps, des saisons, des participants. Pas besoin d'outils autres que des têtes pour réfléchir et un corps pour se mouvoir, pas besoin de plastiques à tenir dans les mains pour évaluer, mémoriser une quelconque performance. mise à disponibilité du corps et de l'esprit, mise au diapason: être dans le moment présent. si simple, le jeu. … et puis surtout, la mer, l'eau, accessible en un saut. Pas besoin d'aller loin, pas besoin de bétoniser la terre, créer des cuvettes, les remplir d'eau javélisée, changer cette eau toujours. L'eau est là, salée, elle nous porte; on flotte et joue encore mieux. Elle joue, elle aussi, ressac, écume. Et les poissons qui passent parfois, curieux, à quelques brasses de là. .. Et quand vient la fin, quand vient l'heure de rentrer diner, tout se dissipe--joueurs, énergie, mouvement-- tout retombe, il ne reste plus qu'un calme parsemé d'échos de cris et de rires. La nuit tombe, les températures chutent, la seule trace qui reste dans le coeur des participants et observateurs, c'est une image mentale qui s'active in-situ, une petite bulle de bonheur pour ce moment partagé de liberté qui plop et re-plop à chaque passage sur ce bord de mer, spot improvisé de saut à l'eau, entre les bateaux, ferrys au départ et kaitos à l'arrêt, au milieu des vagues parfumées à la gazoline.
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charlottalaregion · 8 months
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Les promesses intenables et non tenues de JO populaires et écolos
Tribune parue le blog de Médiapart le 8 février 2024
En 2017, quand Paris est désignée ville hôte des JO de 2024, elle présente la promesse de jeux écolos, voire même sobres, et de grande fête populaire célébrant l’idéal olympique de paix. Alors que la Ville était dirigée par la gauche socialiste alliée aux écologistes depuis plus de 15 ans, c’était bien le minimum pour donner du sens à cet événement gigantesque, ayant plutôt la réputation de ruiner les villes hôtes que de laisser un héritage autre que celui d’un bilan carbone désastreux et d’une publicité touristique planétaire - publicité dont Paris n’avaient pas particulièrement besoin.
Donc la promesse, c'était une grande rénovation urbaine pour la Seine St Denis, des emplois et logements, une grande cérémonie d’ouverture dans l’espace public, des transports nombreux et gratuits, très peu de constructions de stades et autres équipements qui ne servent qu’aux jeux, et même une neutralité carbone.
En ce début 2024, on découvre que cette promesse initiale a du plomb dans l’aile.
Populaire ? Avec des billets à 500 € pour voir les compétitions, on est loin d’avoir des jeux populaires. Quant à la question du logement, on en est plutôt à battre des records de prix. Au point que bon nombre de propriétaires ont fait le calcul : mieux vaut fuir et louer son logement à 500 € par nuit. Mais tout le monde n’a pas cette “chance”, les locataires eux n’auront pas cette opportunité. Et les étudiants logés au CROUS sont même priés de vider leur chambre ! Sans parler des profits de AirbnB, engendrés précisément là où ses méfaits ont vidé certains quartiers de leurs habitants, là  A l’heure où nombre de personnes dorment dans la rue ou la précarité augmente, les plus riches s'enrichiront. Et les plus pauvres, devront-ils attendre le ruissellement ?
Rénovation urbaine en Seine St Denis ? La construction du village olympique s’est faite au pas de charge, avec des dizaines de milliers de mètres carrés qui ont surgi de terre,  mais avec quelles conséquences pour les habitants du 93 ? Les acquéreurs des logements olympiques créés ne se pressent pas pour acheter, il faut dire qu’à 7000 € du m2 c’est inaccessible pour un smicard. 
Emplois ? La plupart des emplois créés ont été ceux du BTP ou dans la sécurité, donc par essence temporaires et dans certains cas, occupés par des sans-papiers particulièrement vulnérables. Le comité d’organisation fait appel aux bénévoles pour l’encadrement et l’organisation de ces jeux - on ne peut associer le bénévolat à l’emploi, même si certains profiteront de l’expérience et de la formation. Au final, les JO ne créeront que très peu d'emplois durables.
Des transports pour tous et toutes ? Pendant la période des JO, le prix du ticket de métro sera doublé, bien loin de la promesse initiale de transports gratuits pour les visiteurs. En termes de développement de l’offre de transports, nous aurons droit à une extension de la ligne 14 du métro et du RER E (projets qui auraient vu le jour sans les JO), et des fréquences égales à celles durant l’année, soit une saturation vécue quotidiennement par les Franciliens. Pas plus de RER B ou D que d’habitude, pas plus de fiabilité non plus, alors qu’il faudra vider un stade de France plusieurs fois par jour. Par conséquent, les Franciliens contraints de rester à Paris sont priés par le Préfet de télétravailler ou d’éviter les déplacements, pour laisser la place aux milliers de visiteurs. Un petit air de confinement olympique.
Impact environnemental zéro ? En dehors de la bétonisation, on ne peut que déplorer la destruction des jardins ouvriers d'Aubervilliers, la gabegie de la piscine de Taverny, les dégâts causés à Tahiti sur les coraux, le délire des taxis-volants… Plus largement, les JO génèrent un déluge publicitaire peu compatible avec l’écologie : sponsors de la malbouffe et du plastique, surconsommation, dégradation des paysages urbains. En soi, les très grands événements internationaux ne fonctionnent qu’avec un trafic aérien intense, peu compatible avec nos engagements climatiques. La pollution de l’air sera, elle, toujours présente car les restrictions de circulation seront trop minimes pour avoir un impact.
Idéal de paix olympique ? La participation de la Russie, de la Biélorussie montrent qu’on peut bombarder les populations civiles sans être trop privé de jeux. Et les besoins de surveillance et de sécurité vont imposer des restrictions des libertés individuelles sans précédent. Reconnaissance faciale, QR Code, vidéo-surveillance partout, les innovations se multiplieront dans une ambiance de contrôle permanent de la population et de la rue.
En 2017, les écologistes parisiens avaient voté contre les JO, prévoyant certaines de ces dérives. Nous ne sommes pas particulièrement heureux de savoir qu’on avait raison.
En 2024, nous voyons que les Franciliens suivront les jeux sur leurs écrans, que les dégâts sociaux et environnementaux et les expérimentations sur les libertés individuelles resteront. 
Heureusement, le tableau est moins sombre du côté sportif. En particulier pour le handisport. Les jeux de Paris voient déjà leurs effets sur l’inclusivité des clubs qui commencent à accueillir des personnes porteuses de handicap. Le regard change aussi, ce qui est important. Mais le bilan sportif ne pourra être évalué qu’après coup : est-ce les Français seront inspirés par la compétition et décideront de chausser des baskets et d’être moins sédentaires ? Espérons le, car pour beaucoup les jeux olympiques seront juste un spectacle télévisuel. Espérons aussi que des vocations naîtront chez les jeunes et moins jeunes.
Au-delà de cette critique des JO, saine en démocratie, nous voulons bien évidemment aller plus loin politiquement : que faire de ces gigantesques événements mondiaux ? D’abord, ne jamais considérer que leur accueil va de soi : un référendum local est bien le minimum démocratique et ce devrait être un préalable avant toute candidature. Les Ecologistes l'avaient d’ailleurs demandé, en vain, en 2017. Ensuite, la vérité et la transparence devraient être de mise, au moment de faire des promesses. Enfin, nous ne devrions pas nous embarquer avec des organisations qui ne se fixent pas un minimum de règles éthiques, sociales et environnementales. 
Voilà la contribution des écologistes parisiens au débat..
Charlotte Nenner, Antoine Alibert 
Co-secrétaires Les Écologistes EELV Paris
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terrecorse · 6 months
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La Corse a un besoin urgent de justice sociale, pas d’un reflux de la solidarité nationale.
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Déclaration du Conseil national du Parti communiste français
Ce 11 mars, le ministre de l’Intérieur, au nom du président de la République, et une délégation de la Collectivité de Corse ont fini de s’accorder sur une « écriture constitutionnelle » visant à modifier le statut de ce territoire. Un « statut d’autonomie » lui serait reconnu dans la Loi fondamentale, tenant compte de « ses intérêts propres liés à une insularité méditerranéenne, à sa communauté historique, linguistique, culturelle ayant développé un lien singulier à sa terre ».
Il en découlerait un projet de loi organique prévoyant un « pouvoir d’adaptation » des normes législatives et réglementaires de la République, ainsi qu’un « pouvoir normatif propre ».
La spécificité de la Corse est une réalité et nous la soutenons. Elle est issue de son insularité, née de sa culture propre, et de sa longue histoire, forgée dans la construction de la République (dont la Corse est cofondatrice, depuis le 30 novembre 1789 dans l’esprit même des Lumières et de Pascal Paoli, jusqu’à l’insurrection patriotique du 9 septembre 1943 qui se fixait pour objectif de libérer « un premier morceau de France »).
Les communistes de Corse, de la Résistance jusqu’à leur engagement dans les collectivités corses ont largement contribué à faire vivre la spécificité corse et continuent de le faire aujourd’hui. Ils ont été à l’origine de l’apprentissage de langue corse dans les écoles publiques, comme ils ont été à la pointe du combat pour protéger le littoral de la bétonisation et de la spéculation immobilière. Ils sont toujours là, aussi, pour promouvoir des services publics efficaces en matière de santé ou d’Éducation nationale, et pour protéger l’île de l’inflation et des monopoles patronaux.
Les gouvernements ont fait le choix, ces dernières années, d’inscrire quatre réformes institutionnelles en quelques années, pour doter le territoire de compétences fortes dans des domaines essentiels pour la vie de nos compatriotes de Corse. Est-ce que cela a changé la vie quotidienne des Corses ?
La Corse se retrouve à chaque fois dans le haut du tableau des tristes records : pauvreté, chômage, inflation, déserts médicaux, logement, transports… C’est le fruit des politiques libérales, faites de désengagement massif de l’État envers ses services publics, d’absence de propositions d’avenir construites avec les élus et les forces vives de l’île.
Les dernières annonces du gouvernement n’apporteront pas de réponses à ces questions. Elles peuvent, de plus, conduire à briser l’unité et l’indivisibilité de la République, car la loi organique prévoit de transférer les compétences législatives et fiscales à la collectivité.
L’égalité entre les citoyennes et les citoyens est inséparable de l’existence de lois nationales garantissant à tous et toutes l’accès aux mêmes droits fondamentaux et aux mêmes règles fiscales. La solidarité entre régions métropolitaines découle elle-même des mécanismes en vigueur de péréquation et de redistribution de la richesse nationale. Remettre en cause ces principes menacerait donc de creuser les inégalités et d’entraîner dans une compétition violente les populations sur l’ensemble du territoire national, aggravant de ce fait les logiques néolibérales dont les Françaises et les Français souffrent depuis trop longtemps.
La Corse a aujourd’hui surtout besoin de justice sociale, pas d’un reflux de la solidarité nationale qui la rendrait plus dure à vivre pour l’immense majorité de ses habitants. L’urgence est d’abord au blocage des prix, à l’augmentation des salaires, à un soutien massif à l’Éducation nationale et à la santé, au lancement d’un vaste plan de construction de logements sociaux et au respect de la loi SRU, à un soutien massif au développement des services publics. Elle appelle au renforcement de la solidarité nationale, en veillant à ce que celle-ci, comme c’est le cas avec les réfactions de TVA, ne soit pas accaparée par les principaux acteurs économiques, regroupés au sein du Consortium des patrons corses qui contrôlent des secteurs névralgiques de l’île, tels que les transports, la grande distribution, ou le BTP.
Les questions soulevées par l’accord du 11 mars ne sauraient être évacuées par la procédure parlementaire à la hussarde que semblent souhaiter Emmanuel Macron et son gouvernement. Elles doivent faire l’objet d’un débat de toute la nation.
Les Corses, en premier lieu, doivent pouvoir se prononcer par référendum sur une réforme qui prétend répondre à leurs attentes. Plus généralement, les Françaises et les Français dans leur ensemble ne peuvent être tenus dans l’ignorance des conséquences possibles de dispositions qui pourraient lourdement impacter l’avenir de leur République. Déjà, s’engouffrant dans la brèche ouverte, des présidents de région revendiquent d’être à leur tour bénéficiaires de changements institutionnels du même type.
Nous ne voulons pas que la Corse serve ainsi à l’expérimentation d’une dynamique de fédéralisation du pays, débouchant sur la mise en concurrence des régions françaises appelées à s’insérer dans une Europe des régions, au risque d’une régression démocratique et sociale sans précédent. Dans le contexte d’une globalisation capitaliste cupide, elle s’opérerait inévitablement, en France aussi, au détriment des régions les plus pauvres et les moins compétitives, à commencer par la Corse.
Le Parti communiste français entend, par les propositions qu’il portera dans le débat public, contribuer à cette indispensable mobilisation citoyenne pour que la République reste la République.
Parti communiste français,
Paris le 18 mars 2024.
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choses-dingen · 6 months
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Image du 21ème siècle. La bétonisation. Pierre Ballouhey, illustrateur
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zehub · 7 months
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Une sécheresse historique ébranle la Silicon Valley de l’Inde
Bangalore, mégapole du sud de l’Inde, vit la pire sécheresse de son histoire. La bétonisation des sols prépare depuis des décennies ce scénario catastrophe. Face aux pénuries, le gouvernement dégaine des mesures d’urgence. Bangalore (Inde), reportage IBM, Capgemini, Infosys… En périphérie de Bangalore, de grands parcs informatiques pour multinationales ont poussé ces dernières années, et avec eux des résidences destinées à la classe supérieure. Ce miracle du boom des nouvelles technologies à Bangalore se (...)
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ezechiel5172 · 9 months
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entomoblog · 1 year
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La dépollution par les plantes, une technique émergente pour décontaminer les sols
La restauration de la qualité des sols et des eaux grâce aux végétaux, notamment dans les anciens sites industriels, devient une alternative sérieuse aux méthodes traditionnelles.
  Par Lola Dubois
Publié aujourd’hui à 04h30, modifié à 06h21
  "Avec l’objectif « zéro artificialisation nette des sols » inscrit dans la loi depuis le 21 juillet, les quelque 10 000 friches industrielles que compte la France apparaissent comme de potentiels eldorados. Autant d’espaces laissés à l’abandon par le déclin industriel, qui pourraient à la fois servir d’îlots de biodiversité, permettant aux municipalités de compenser la bétonisation de leur ville, ou bien de réserves de foncier pour de nouvelles constructions. Reste un problème de taille : la contamination de leurs sols, durablement pollués par l’accumulation de produits chimiques et de métaux lourds."
(...)
  [Image] La zone tampon humide artificielle de Rampillon (Seine-et-Marne), en juin 2014. Les champs alentours sont drainés pour évacuer les eaux de pluie excédentaires. Dispositif naturel, la zone tampon permet d'intercepter les flux de pesticides sur les végétaux, et de les épurer, grâce à l'activité microbienne du milieu. CYRIL FRESILLON / IRSTEA / CNRS IMAGES
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gerarddupin · 1 year
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abbyew20 · 1 year
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nolwennbernierbook · 2 years
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BABY BOOM - des naissances qui bétonisent nos forêts - un système de vie aseptisé
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antikorg · 3 years
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Les énormes besoins en sable de l’industrie du ciment font peser une pression délétère sur les écosystèmes
Les énormes besoins en sable de l’industrie du ciment font peser une pression délétère sur les écosystèmes
https://www.bastamag.net/ 2021-06-29 06:00:00 Source Une semaine de blocages du secteur de la construction s’ouvre en Île-de-France, ce 29 juin. Elle vise à mettre en lumière « tous les maillons de la chaîne de cette industrie, la pollution et la destruction qu’elle engendre », expose Leah, coordinatrice des Soulèvements de la Terre, une campagne nationale regroupant une centaine d’organisations…
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La belle rouge abandonnée. Du moins je le suppose, je ne l'ai jamais vue ouverte. C'est toujours énervant de voir ces belles maisons rester vides pendant que les constructeurs raflent tous les terrains environnants pour leurs lotissements de pacotille. Entre la bétonisation et la sauvegarde de la biodiversité, il va falloir choisir. Et pour l’instant, la balance semble pencher du côté de l’artificialisation des sols qui progresse plus vite que la croissance démographique et économique. La France a perdu un quart de sa surface agricole sur les 50 dernières années. Si l'État reste dans l'inaction, d'ici 30 ans, l'artificialisation des sols aura augmenté de 44 % au détriment de la biodiversité. Une situation qui pose question quand à la souveraineté alimentaire de la France et sa capacité à résister au changement climatique.
Corveissiat, Ain.
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mirrorontheworld · 4 years
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La catastrophe écologique n’est pas à venir, elle est déjà là. Nous ne nous résoudrons pas à la contempler, impuissants, isolés et enfermés chez nous. Nous avons besoin d'air, d'eau, de terre et d'espaces libérés. Les causes et les responsables de la destruction des sols nous entourent : bétonisation, industries polluantes, et accaparement des terres vivrières par l’agro-industrie. Nous voulons cibler et bloquer ces responsables. Nous voulons aussi occuper et cultiver les terres qui nous ont été arrachées. Parce que tout porte à croire que c’est maintenant ou jamais nous avons décidé de jeter nos forces dans la bataille.
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grenobleagglo · 5 years
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“Vous n’avez pas le monopole du pavé !” : dans l’agglo, actuellement, la communication est très disproportionnée. Il faut être de l’ultra gauche pour protester. 20 “rebelles” contre la croissance bloquent l’A 480 un samedi. Quelques milliers de défenseurs des régimes spéciaux de retraites bloquent la ville entière. La Métro a même le droit d’acheter des encarts publicitaires sur des réseaux sociaux quand c’est en principe interdit pour tout le monde sauf pour ... elle manifestement (opération métro-mobilité en cours actuellement) ? Dans une Commune de la Métro, pendant des mois, une affiche a été posée pour protester contre une déchetterie fermée mais hier une affiche (posée par qui ?) contre une affaire immobilière a tenu une seule petite matinée .... Tout est à deux vitesses. Et si en janvier 2020, l’agglo existait enfin non pas comme mécène des villes de la majorité sortante mais comme point de rencontres des citoyens libres désireux de protester contre la
 bétonisation garantie si les élus sortants sont reconduits ? L’idée n’est pas de nous. Elle nous a été suggérée hier. Elle nous plait beaucoup. Depuis 68, manifester se dit aussi “battre le pavé”. Probablement en rappel à une double signification : le fouler et le lancer. Et si pour une fois des citoyens LIBRES indiquaient aux professionnels de la manifestation : “vous n’avez pas le monopole du pavé !”. Sujet à bien étudier.
7 décembre 2019
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zehub · 9 months
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Wateringues débordés, météo, bétonisation : quelles sont les causes des inondations du Pas-de-Calais ?
Les inondations exceptionnelles dans le Pas-de-Calais sont dues à plusieurs causes, dont la première est le record de pluies en octobre-novembre, qui ont gorgé les sols
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