#Bâtiment Haussmannien
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Style haussmannien à Cannes ✨
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Le Paris d’Haussmann
Georges-Eugène Haussmann (1809-1891), était un fonctionnaire français choisi par l’empereur Napoléon III pour rénover et renouveler une grande partie du centre de Paris afin de le rendre plus au goût du jour.
Le premier projet visait à améliorer l’assainissement, l’approvisionnement en eau et la circulation routière à Paris. La population de la Ville Lumière ayant doublé, les améliorations comprenaient une nouvelle division de la carte pour inclure huit arrondissements, ou districts, supplémentaires, et de nouveaux égouts ont été installés. Deux nouvelles gares, un marché, un hôpital et l’Opéra de Paris ont été construits et quatre autres parcs ont été créés. Les bâtiments anciens ont été détruits pour être remplacés par un style spécifique d’architecture néoclassique, tous de même hauteur et revêtus de pierre de couleur crème, pour créer une apparence uniforme sur les boulevards parisiens. Il a traité les bâtiments non pas comme indépendants, mais comme des éléments d’un paysage unifié. Ce style d’architecture est devenu connu sous le nom de style haussmannien.
Le rez-de-chaussée est généralement réservé aux commerces, tout comme la mezzanine. Les deuxième, troisième et quatrième étages sont des unités résidentielles et le cinquième étage dispose d’un seul balcon continu. Le toit mansardé, incliné à 45°, était occupé par des locataires à revenus plus modestes et des concierges.
À l’extérieur, des portes cochères pavées de pierre qui communiquent avec une cour servaient d’entrées à la noblesse pour entrer avec ses calèches.
Les cheminées qui servaient à l’origine au chauffage symbolisent désormais les toits emblématiques de Paris dans les films. À noter également que les minuscules balcons offrent certaines des plus belles vues de Paris.
Les intérieurs présentent généralement des parquets à chevrons, des moulures en plâtre élaborées, de hautes fenêtres, des armoires et des étagères intégrées, des cheminées en marbre et des portes françaises. C’est l’appartement par excellence du style parisien.
Comment reproduire ce style néoclassique typiquement parisien
Si jamais vous désirez ajouter un peu de charme haussmannien à votre propre appartement, pensez à investir dans un miroir au cadre doré. Il est généralement placé au-dessus de la cheminée en marbre, mais vous pouvez choisir un miroir pleine longueur pour votre vestiaire dans votre chambre. Ajoutez également des chandeliers dorés ou des plafonniers assortis. La plupart des murs sont généralement blancs, ce qui peut rendre les choses un peu plus faciles pour les locataires soumis aux restrictions de leurs propriétaires.
Si votre budget le permet, introduisez une cheminée en marbre ornementée dans votre salon, ainsi que des moulures en plâtre élaborées et des parquets en bois chaleureux. Cela donne une touche européenne à la pièce et augmente la valeur potentielle de la propriété sur le marché immobilier. Associez la cheminée en marbre à un vase en porcelaine avec vos fleurs préférées pour une touche romantique.
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Rénovation appartement à paris
Imaginez un appartement haussmannien classique, rénové pour allier l’élégance parisienne intemporelle et le confort moderne. L’appartement se trouve dans un immeuble iconique, au cœur d’un quartier chic de Paris, et conserve ses caractéristiques historiques tout en intégrant des éléments contemporains qui subliment son charme.
Caractéristiques architecturales et détails historiques
Les appartements haussmanniens, construits sous le Second Empire français, sont reconnus pour leur grandeur, leurs hauts plafonds et leurs fenêtres imposantes qui baignent les pièces de lumière naturelle. Ce projet de rénovation a pris soin de respecter et de restaurer les éléments architecturaux d’origine, tout en y ajoutant des touches modernes pour répondre aux attentes actuelles en matière de confort et de design.
Les moulures ornées au plafond, si typiques de l’époque, ont été méticuleusement restaurées. Chaque détail raconte l’histoire du bâtiment, que ce soit les corniches finement sculptées ou les rosaces au centre des plafonds, où pendent des lustres élégants. Ces détails sont en parfaite harmonie avec les choix de design modernes, comme les suspensions minimalistes en métal brossé qui illuminent les espaces de vie.
Les parquets en point de Hongrie, en bois massif, ont été poncés et vernis pour retrouver leur éclat d’origine. Leur teinte dorée ajoute chaleur et élégance à l’espace, tout en restant une pièce maîtresse du style haussmannien. Chaque pas dans cet appartement vous rappelle l’histoire et le raffinement du patrimoine parisien, tout en vous enveloppant dans le confort d’un espace moderne et fonctionnel.
L’art de marier ancien et moderne
La rénovation de cet appartement a mis l’accent sur l’équilibre parfait entre les éléments anciens et modernes. Dans le salon, par exemple, les grandes fenêtres à guillotine avec leurs volets intérieurs en bois s’ouvrent sur une vue imprenable de Paris. Les ferronneries d’origine des balcons ont été restaurées et rappellent le charme classique des immeubles haussmanniens. À l’intérieur, un mélange de mobilier moderne en lignes épurées et de touches de décoration plus classiques crée une ambiance à la fois sophistiquée et accueillante.
La cuisine est un excellent exemple de cette fusion des styles. Autrefois une petite pièce fermée, elle a été transformée en un espace ouvert et lumineux, avec des comptoirs en marbre blanc et des armoires sans poignées qui apportent une touche contemporaine. Le contraste entre le marbre élégant et les détails d’origine, comme les carreaux de céramique de la cheminée dans la salle à manger adjacente, crée un effet visuel saisissant. L’éclairage LED sous les armoires ajoute un aspect pratique, tout en soulignant la beauté du marbre.
L’apport de la lumière naturelle et des miroirs
L’une des forces des appartements haussmanniens réside dans leurs grandes fenêtres, qui inondent les espaces de lumière naturelle. Ici, cette lumière est mise en valeur par de grands miroirs stratégiquement placés dans tout l’appartement. Le miroir doré au-dessus de la cheminée est une pièce centrale du salon, reflétant à la fois la lumière et le style raffiné de l’espace.
Dans les chambres, des miroirs contemporains aux lignes géométriques modernes créent une impression d’espace et amplifient la luminosité. La salle de bain, en particulier, bénéficie de ce jeu de lumière. Le marbre blanc utilisé pour les murs et le sol, combiné à des miroirs surdimensionnés, donne l’illusion d’une pièce encore plus vaste et luxueuse.
Une salle de bain luxueuse et fonctionnelle
La salle de bain de cet appartement rénové est un chef-d’œuvre en soi. Les propriétaires ont opté pour un mélange de matériaux nobles et d’éléments modernes. Le carrelage en marbre, une finition classique, se marie à des éléments de robinetterie chromée et minimaliste. Une douche à l’italienne spacieuse occupe une place centrale, avec des parois en verre sans cadre qui renforcent l’impression d’espace.
Le meuble vasque, en bois naturel avec des tiroirs à fermeture douce, rappelle la chaleur et l’authenticité des matériaux d’époque. Le miroir circulaire au-dessus, avec éclairage intégré, ajoute une touche contemporaine tout en assurant une fonctionnalité optimale pour la routine quotidienne. Un mélange de beauté classique et de praticité moderne, qui fait de cette salle de bain un véritable havre de paix.
Chambres à coucher : élégance et simplicité
Les chambres de l’appartement offrent un refuge calme et élégant, dans une palette de couleurs neutres et apaisantes. Les murs sont peints dans des tons doux, comme le beige ou le gris clair, qui mettent en valeur les moulures blanches et les hauts plafonds. Les fenêtres sont habillées de rideaux légers en lin, qui laissent entrer la lumière sans obstruer la vue sur les toits parisiens.
Le mobilier des chambres, bien que contemporain, reste sobre pour ne pas détourner l’attention des détails architecturaux. De grands lits avec des têtes de lit tapissées et des commodes en bois sombre apportent une touche de confort et de luxe.
Optimisation de l’espace et rangement discret
La rénovation a également mis l’accent sur l’optimisation de l’espace. Les appartements haussmanniens sont souvent caractérisés par de grandes pièces, mais avec des rangements limités. Ici, les rénovateurs ont intégré des solutions modernes de rangement, sans compromettre l’intégrité historique de l’espace. Des placards encastrés avec des portes miroir se fondent dans les murs des couloirs et des chambres, maximisant le rangement tout en gardant l’esthétique épurée.
De plus, un système de domotique a été discrètement installé, permettant de contrôler l’éclairage, la température et la musique à travers l’appartement. Ce mélange de technologie moderne et de design classique permet aux habitants de profiter du confort de la vie contemporaine tout en préservant l’élégance du passé.
Conclusion : un joyau intemporel au cœur de Paris
Cet appartement haussmannien rénové incarne à la fois la richesse du patrimoine architectural parisien et le luxe moderne. Chaque élément, des moulures élégantes aux choix de design contemporain, a été soigneusement pensé pour créer un espace qui respire le raffinement et la sophistication. C’est un lieu où le passé et le présent cohabitent en harmonie, offrant à ses occupants le meilleur des deux mondes.
En combinant des éléments historiques soigneusement restaurés et des équipements modernes, cet appartement représente l’idéal de vie parisienne pour ceux qui recherchent un lieu à la fois fonctionnel, esthétique et imprégné d’histoire. C’est un espace où chaque détail a été pensé pour améliorer à la fois l’esthétique et la qualité de vie.
BTP-Design's insight:
Imaginez un appartement haussmannien classique, rénové pour allier l’élégance parisienne intemporelle et le confort moderne. L’appartement se trouve dans un immeuble iconique, au cœur d’un quartier chic de Paris, et conserve ses caractéristiques historiques tout en intégrant des éléments contemporains qui subliment son charme.
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SAMEDI 20 JUILLET 2024 (Billet 2 / 3)
Que vaut le « Pathé-Palace », cinéma de luxe à 25 euros la séance ?
Source : « telerama.fr »
Après cinq ans de fermeture pour travaux, l’établissement a rouvert en ce mois de juillet. Métamorphosé en un cinéma de grand standing, le Pathé-Palace promet une expérience de visionnage inédite… et onéreuse. On a testé.
Jamais un cinéma n’avait proposé des tarifs aussi démesurés ! Au Pathé-Palace, magnifique bâtiment haussmannien situé à l’angle du boulevard des Capucines et de la rue de la Chaussée-d’Antin (Paris 9e), le billet coûte 25 € avec, à la clé, la promesse d’une séance unique. Que justifie un tel prix ? Le cinéma, qui ouvre enfin après cinq années de travaux, se targue de proposer un service de luxe, avec des vestiaires, une conciergerie, un bar et la possibilité de se faire servir ses confiseries directement en salle. Dans les sept salles, dont la plus spacieuse (431 places), les sièges ont été conçus pour offrir un confort optimal : doubles accoudoirs pour certains, revêtement de cuir pour d’autres, fonction inclinable pour d’autres encore.
Nous y sommes donc allés, pour visionner « Le Comte de Monte-Cristo », un soir de semaine pluvieux. La superproduction est à l’affiche au milieu d’une programmation « à dominante généraliste et familiale », comme l’indique Pathé Cinémas.
L’appellation de Palaceévoque le velours rouge, les balustrades ornées et les lustres. Mais l’ancien Gaumont Opéra n’offre pas d’emblée cette vision puisque l’entrée et les étages sont plutôt dépouillés. Néanmoins, on peut admirer la belle verrière végétalisée qui en impose dans le hall et les escaliers de marbre pensés par l’architecte italien Renzo Piano. Bluffants également, les luminaires d’inspiration Art déco du bar, à l’étage, imaginé par le décorateur Jacques Grange. Mais plus généralement, la décoration tend davantage vers le minimalisme que vers le faste.
Il est 21 heures et dans le hall d’un blanc immaculé, les portiers accueillent les visiteurs, qui – en pleine semaine de réouverture – n’affluent pas tant que ça. Le film est projeté dans la plus grande salle. Sur 431 places, à peine une cinquantaine est occupée. Les lumières s’éteignent, le film peut commencer. La qualité visuelle est au rendez-vous. L’écran de 18m de large offre une définition à la pointe. Le son est d’une limpidité totale. Mais plus qu’ailleurs ? Rien n’est moins sûr.
Les spectateurs sont, d’ailleurs, plutôt dubitatifs. « L’écran n’est pas mal, pour autant je ne sais pas si je reviendrais », commente Laura, 34 ans, cadre bancaire. « Le cinéma est beau, le son et l’écran sont dingues, mais ça existe déjà au Pathé-Beaugrenelle et au Pathé-Montparnasse », ajoute Édouard, 43 ans, qui travaille dans le secteur de la finance. Certes, le Pathé-Palace offre un visionnage de qualité, mais le tarif suppose une séance exceptionnelle, or, celle-ci semble presque ordinaire. « Je n’y retournerai pas, c’est catégorique », conclut Olivier, 63 ans, consultant dans le secteur de l’énergie, qui trouve le prix exagéré par rapport au service proposé.
D’ailleurs, ce tarif est valable pour tout le monde, même les abonnés au Pass illimité Pathé-Gaumont qui s’offusquent sur X (anciennement Twitter), car leur carte ne leur permet pas d’accéder au cinéma du boulevard des Capucines. Seuls les moins de 14 ans paient un tarif réduit (9,50 €). De quoi en agacer plus d’un…
Finalement, cette virée au Pathé-Palace se révèle plutôt décevante. La séance n’est pas foncièrement plus qualitative que dans un autre grand cinéma. Les services annexes, qui pourraient justifier le prix, semblent superflus. Pour quelques heures en salle, un bar, une conciergerie et un vestiaire sont-ils vraiment indispensables ? D’autant que le parking et le bar ne sont pas compris dans le prix.
En France, le tarif moyen d’une séance en 2023 s’établit à 7,20 € d’après le CNC. Avec le sien, à 25 €, le Pathé-Palace fait un pari risqué, en période de crise où l’affluence en salles est en baisse.Parviendra-t-il tout de même à trouver son public ? En tout cas, en matière de démocratisation de la culture, on repassera.
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Après avoir lu cet article, nous n’irons jamais voir un film dans cette salle !
Une petite suggestion à faire si par hasard un des dirigeants de Pathé nous lisait : nous serions prêts au contraire à payer un peu plus cher notre place de cinéma pour pouvoir choisir une salle où les pop-corn sont interdits !
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Le secret des commerces de centre-ville : pourquoi cartonnent-ils ?
Vous vous demandez sûrement pourquoi les commerces de centre-ville ont tant de succès, et comment les Galeries Lafayette ont réussi à s'imposer comme une référence en la matière ? Cet article vous dévoile les secrets de cette réussite et vous donne des conseils pratiques pour en profiter pleinement. L'attrait du cadre historique et architectural Un environnement préservé et charmant Les centres-villes ont souvent un cachet historique et architectural qui attire les visiteurs. Les rues pavées, les bâtiments anciens et les monuments emblématiques confèrent un charme indéniable à ces quartiers. Les Galeries Lafayette, par exemple, sont situées dans de magnifiques bâtiments haussmanniens qui séduisent autant les touristes que les habitués. Une ambiance unique et conviviale En plus de leur beauté, les centres-villes offrent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les commerces de proximité, les terrasses de café et les marchés contribuent à créer cette atmosphère agréable. Les Galeries Lafayette, avec leurs espaces de restauration et leurs animations, renforcent cette convivialité. La diversité des offres et des services Un large choix de produits et de marques Les commerces de centre-ville proposent une grande variété de produits et de marques, ce qui permet aux consommateurs de trouver facilement ce qu'ils recherchent. Les Galeries Lafayette sont un parfait exemple de cette diversité, avec leurs rayons mode, beauté, maison et bien d'autres. Des services exclusifs et personnalisés Pour attirer et fidéliser leurs clients, les commerces de centre-ville offrent des services de qualité et personnalisés. Les Galeries Lafayette proposent, par exemple, des ateliers beauté, des conseils en image et des services de retouches. Ces prestations rendent l'expérience d'achat encore plus agréable et unique. La facilité d'accès et les transports Des commerces accessibles à pied ou en transports en commun L'un des avantages des centres-villes est la facilité d'accès aux commerces. La plupart des magasins sont accessibles à pied ou en transports en commun, ce qui facilite grandement les déplacements. Les Galeries Lafayette sont souvent situées près des stations de métro et des arrêts de bus, pour le plus grand bonheur des shoppers. Un stationnement facilité Même si se garer en centre-ville peut parfois être compliqué, de nombreuses villes mettent en place des solutions pour faciliter le stationnement. Les parkings souterrains, les zones bleues et les vélos en libre-service sont autant d'options pour se rendre facilement aux Galeries Lafayette et autres commerces du centre-ville. A lire également : Agence de location de voiture : les offres les plus pratiques pour vous L'engagement en faveur du développement durable Des commerces responsables et éco-respectueux Les commerces de centre-ville sont de plus en plus soucieux de leur impact environnemental. Les Galeries Lafayette ont par exemple mis en place des initiatives pour réduire leur empreinte écologique, comme le tri des déchets et la promotion de marques éthiques. Un soutien au commerce local En privilégiant les commerces de centre-ville, vous soutenez l'économie locale et participez à la dynamisation de votre quartier. Les Galeries Lafayette, en accueillant des créateurs et des artisans locaux, encouragent également le développement du tissu économique local. Vous l'aurez compris, les commerces de centre-ville, et notamment les Galeries Lafayette, ont de nombreux atouts pour séduire les consommateurs. Alors, pourquoi ne pas profiter de votre prochaine sortie shopping pour (re)découvrir les charmes et les avantages de ces commerces ? Read the full article
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Résidence Schickhardt Montbéliard : création de 13 logements dans les locaux de l’ancienne sous-préfecture
Suite au transfert des services de l’Etat dans le nouveau bâtiment construit avenue Joffre, il restait à imaginer un avenir pour les locaux de l’ancienne sous-préfecture. La Ville de Montbéliard désireuse de développer l’offre de logements au centre-ville a lancé à cet effet un appel à projets auprès de promoteurs immobiliers. Pour cela, elle s’est portée acquéreuse de l’ancienne bâtisse, propriété du Conseil Départemental du Doubs, par l’intermédiaire de l’Etablissement public foncier. C’est le projet présenté par la société seloncourtoise Welcome Habitat, dirigée par Ali Gumus, qui a été retenu. La Ville a ensuite acquis la pleine propriété de l’ancienne sous-préfecture afin de pouvoir la céder au promoteur. Une nouvelle résidence de 13 logements au centre-ville Datant du 17ème siècle, le bâtiment qui a accueilli jadis l’auberge des Trois rois et plus récemment les services de la sous-préfecture est en passe de connaître une nouvelle vie. Le promoteur immobilier Welcome Habitat prévoit d’y aménager treize logements (T3 et T4) d’ici la fin 2024, allant de 60 à 137 m². La bâtisse de 1 193 m² va être ainsi réaménagée et dotée de tous les équipements de confort. Un projet ambitieux puisque les locaux, occupés jusqu’en 2016 par les services de l’Etat, étaient partiellement aménagés pour recevoir du public et donc inadaptés pour du logement. La société Welcome Habitat, expérimentée dans la rénovation d’immeubles anciens, va donc devoir abattre quelques cloisons, notamment au premier étage où étaient délivrés les cartes grises et autres documents administratifs, avant de réaménager l’espace et d’y créer les logements. Les anciens bureaux du sous-préfet, de type haussmannien, seront eux reconvertis en conservant au maximum ce qui les distingue et fait leur charme. A savoir, les boiseries décoratives, les parquets et les huisseries. Ces éléments, que l’entrepreneur a souhaité conserver, seront mis en valeur et accompagnés de matériaux contemporains. Ceci en accord avec l’Architecte des Bâtiments de France. Une résidence moderne portant le nom de l’architecte Heinrich Schickhardt Afin de répondre aux standards actuels en matière de logement, et à l’exception de l’un d’entre eux aménagé dans les combles, chaque appartement sera traversant et équipé d’une terrasse ou d’un balcon-terrasse. Ils disposeront de tous les éléments de confort modernes dont un ascenseur installé côté cour. Celui-ci desservira les quatre niveaux de la résidence qui portera le nom de l’illustre architecte Heinrich Schickhardt (1558-1635), auquel l’on doit de nombreuses réalisations à Montbéliard (Temple Saint-Martin, Logis des Gentilshommes, Souaberie, Collège universitaire…). L’aspect des façades ne changera pas côtés rues, hormis le crépi. Celles donnant en revanche sur la cour intérieure seront totalement modifiées pour accueillir les terrasses et balcons-terrasses. La résidence disposera de deux accès. L’un par la porte principale donnant rue de la sous-préfecture, le second par la cour intérieure. D’une surface de 600 m², cette dernière sera également réaménagée pour accueillir dix places de stationnement plus une pour personnes à mobilité réduite et une pour les visiteurs, ainsi qu’un abri à vélos. Elle sera agrémentée d’un jardin paysager surmonté d’une fresque représentant Montbéliard au 17e siècle faisant écho au portrait d’Heinrich Schickhardt situé, lui, sur le mur d’enceinte de la résidence, au niveau du portail. La commercialisation lancée La commercialisation des logements de la future résidence Schickhardt démarre ce mercredi 17 mai. Le promoteur Welcome Habitat tiendra le bureau de vente dans le hall d’entrée de l’ancienne bâtisse tous les mercredis à partir de cette date et ce jusqu’au démarrage des travaux prévu cet été. Marie-Noëlle Biguinet, Maire de Montbéliard : "La future résidence Heinrich Schickhardt répond à tout point de vue à nos souhaits. En nous portant acquéreur de l’immeuble en 2018, l’idée était de profiter du départ de la sous-préfecture pour y réaliser des logements. Restait à trouver l’investisseur et le projet intéressant. Nous les avons trouvés avec Welcome Habitat qui présente un programme de qualité, tourné vers le résidentiel, et qui répond à notre volonté de développer l’offre de logements au centre-ville". infos > 03 84 28 97 58 ou [email protected] Read the full article
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🇫🇷Les choses de la vi(ll)e... ARCHITECTURE ou OBJET URBAIN 🇪🇦Cosas de la vida urbana... ARQUITECTURA u OBJETO URBANO 🇯🇵都市生活のこと... 建築(物)または都市物 (7) "REFERENCIA 03" 🇫🇷 Tel les édifices haussmanniens qui marquent l'angle d'îlot, ce bâtiment, aux allures de tour, est un "centre commercial" et d'activités. A Tokyo, légion sont les immeubles qui visent l'attention des passant.e.s. 🇪🇦 De la misma manera que lo haría un edificio del siglo XIX, este inmueble cuya apariencia de torre, es un centro comercial y de actividades. Corrientes en Tokyo, esto edificios marcan tanto la calle que la mente de los paseantes. Epoque : #Toyko2019 Lieu : #東京の通り Vue sur : #MGセンター #Avantpremière #Estreno #プレミア #expositionphotos #centrocívicolassirenas #saturationurbaine #saturationphoto #immeublehybride (à Tokyo,japan) https://www.instagram.com/p/Ck3XftztLqN/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#toyko2019#東京の通り#mgセンター#avantpremière#estreno#プレミア#expositionphotos#centrocívicolassirenas#saturationurbaine#saturationphoto#immeublehybride
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Jour 14 : Pokémon Gore
Cyprien s’ennuyait profondément dans son petit village. Les récents travaux pour raccorder sa maison au réseau fibré avait pour conséquence de faire sauter son débit internet. La semaine, il arrivait à pallier ce problème, téléchargent films et séries quand il était au bureau. Mais le week-end, lui qui était habitué à jouer en ligne avec ces amis, il s’ennuyait fermement. Au détour d’un post sur Facebook, il vit une pub pour le jeu Pokémon. Sans réfléchir, il téléchargea le jeu. Il ne remarqua pas que ce n’était pas la version Nintendo qu’il avait téléchargé, mais une version pirate, dont les designs se ressemblait. Le nom du jeu aurait dû attirer son attention : Nekomata. Il ne se donna pas la peine de lire les conditions d’utilisations, autorisa l’application à accéder à toutes les fonctionnalités de son téléphone et commença à chercher. Dans sa maison, il trouva rapidement un Salamèche et un Chemipan ! Excité par le jeu, il s’habilla et se prépare pour une petite marche. Il réfléchi à l’idée de prendre une gourde, de quoi grignoter et une batterie de secours, puis examina la carte : le Pokéstop le plus proche était en ville, et il n’vait pas envie de prendre sa voiture. Il y avait néanmoins un Pokémon rare à proximité. Sans se douter que le design qu’il regardait n’étais pas le bon, il partit de chez lui.
Après une bonne heure de marche, il se retrouva proche de l’ancien château d’eau. Il était en marge du village, dans un endroit reculé. Il se demanda ce qui avait poussé les développeurs à placer un item si intéressant dans un lieu si isolé et peu accueillant : contrairement à la mode française des tours surmontées d’une soucoupe, il s’agissait d’un drôle de bâtiment de style haussmannien, profondément enfonça dans un monticule de terre. Les années et le manque d’entretien avait recouvert la façade du bâtiment. Devant ce dernier, une voiture grise était stationné. Cyprien se dit qu’il allé enfin rencontrer un autre fan de Pokémon dans son village ! Devant le bâtiment, il scruta son téléphone. L’application commençai à avoir des ratés, l’image sauté, mais lui intimer de continuer en direction de l’intérieur du bâtiment. L’imposante bâtisse avait pourtant été muré des années auparavant, dans un souci désespéré d’empêcher les gens jeunes de s’y adonné à des fêtes orgiastiques, disait-on. Il contourna le bâtiment, et avisa une porte entrouverte sur le côté, probablement une porte de services, se dit-il. Il poussa la porte et entra tout était sombre à l’intérieur. Alors qu’il allait allumer le flash de son téléphone, il reçu un violent coup à l’arrière du crâne. Il tomba immédiatement.
Une douleur lancinante et pulsatile le réveilla. Il avait la bouche pâteuse. Non. Plutôt quelque chose dans la bouche. Paniqué, Cyprien ouvrit les yeux ; il ne sait pas où il été. Une pièce, en sous-sol d’après l’absence de fenêtre, entièrement carrelé. Il regarda autour de lui ; une petite servante en métal était posée non loin de lui. Il ne pouvait pas voir ce qu’il y avait dessus. Il était nu, attaché sur un fauteuil en métal, dont le fond été percé. Il commençait à saisir l’horreur de ce qui se passait.
Quelqu’un entra dans la pièce. Rien ne permettait d’identifier l’individu : d’épaisses cuissardes de pêches recouvrait une combinaison Hazmat. Le visage dans la combinaison portait un masque de Pikachu. Cyprien commença à hurler, mais le bâillon l’en empêcher. La personne tenait dans ces bras une caméra avec un trépied dessus. Il installa l’appareil en face de Cyprien, qui ne pouvait qu’observer. Il appuya sur le bouton d’enregistrement et s’approcha de la servante ; il saisit une tablette dessus, et y pianota quelque chose. Puis, il s’avança vers lui, lui tourna le dos et fit un signe de la main en direction de la caméra. Il tendit la tablette devant l’objectif avant de la retourner vers lui. Ce qu’il vit lui donna envie de vomir ; un visage ensanglanté était couvert de brulures en formes de pokéball. La personne, bien que les yeux ouvert sur la photo, avait l’air morte. Son tortionnaire alla reposer la tablette, et attrapa un scalpel. Cyprien recommença à hurler et essaya de s’enfuir. Mais il était trop tard.
Dans sa chambre, Baptiste s’ennuyait. Il surfait sur un forum sur le darknet. Un forum spécialisé dans l’échange d’informations sur comment commettre un meurtre, qui contacté, etc. Son regard fut attirer par un titre alléchant dans ce lieu : un live. Il cliqua sur le lien. Sur son écran, en bonne qualité, quelqu’un était en train de dépouiller une autre personne. Les cris de ce dernier, quoiqu'étouffé par un bâillon, était couvert par la BO de Pokémon, en référence au masque du bourreau. Batiste s’installa plus confortablement pour assister à la barbarie : dans le chat, nombreux était ceux qui félicitaient le sadique, pour sa maitrise du couteau, l’opération relevant apparemment d’un grand savoir-faire. La vidéo s’arrêta, lui demanda de payer une certaines sommes en cryptomonnaie pour accéder à la suite du live. Baptiste paya immédiatement, et reçu un message : un lien l’invitant à essayer la version Master du piège Nekomata. Sur l’écran principale, le massacre avait repris, en HD, avec la possibilité d’ajuster le volume de la musique, et un bandeau explicatifs de l’œuvre du jour ; la confection de figures et d’un masque, qui serait mis en vente. Sur son second écran, il lui les conditions de l’utilisation de l’application : pour un prix très élevé, l’application permettait de chasser des proies et de les amener dans un lieu donné. En s’installant sur le téléphone des victimes, elle émettait des données brouillés qui rendaient la recherche du corps d’autant plus difficiles, et assurer ainsi une meilleure chance de passer entre les mailles du filet pour les utilisateurs Maitres. L’application reproduisait même le comportement de la victime sur les réseaux sociaux, via une IA, afin de ne pas éveiller les soupçons de l’entourage de la victime. Et, lorsque les recherches était lancées, on recevait un message d’alerte, avec une arche à suivre pour se débarrasser de l’objet, entrant dans le même temps la suppression de l’application et des traces éventuelles de cette dernière. Batiste réfléchissait. Tout ceci lui donnait des idées fortes, excitantes.
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Mon univers
Je suis passionnée par la mode, qui selon moi est un art aussi technique et complexe qu’une sculpture ou une peinture. La précision dans la réalisation d’un vêtement que ce soit au niveau de la coupe ou du choix du tissu me fascine. J’aime particulièrement les créations de chez Dior, et les collections de leur directrice artistique actuelle Maria Grazia Chiuri. J’aime surtout voir le travail qu’il y a derrière la création d’une robe haute couture : les détails, la finesse, et la complexité de sa réalisation. Je regarde souvent des vidéos où l’on peut voir la fabrication de leurs vêtements et sacs, mais également des reportages sur les maisons de coutures. Je vais également à des expositions, j’ai eu la chance d’aller à l’exposition Christian Dior au musée des arts décoratifs en 2017, je suis aussi allée au musée Yves Saint Laurent. J’apprécie de voir le décor et l’ambiance choisis pour les défilés de mode, qui reflètent l’univers de la collection. Cela se ressent également sur les photographies que l’on peut voir dans les magazines de mode comme celles de Peter Lindbergh. Les vidéos présentées par le journaliste de mode Loïc Prigent m’intéressent beaucoup. Je lis des journaux de décoration et de mode comme Elle décoration où j’aime voir les lieux décorés par des décorateurs d’intérieurs qui ont des univers différents et Vogue où j’en apprend toujours plus sur la mode. Je recherche de l’inspiration pour de la décoration ou des looks sur Pinterest.
Je porte beaucoup d’intérêt à la décoration, parmi les meubles de grands designers, j’aime particulièrement la chaise Wire et le fauteuil Diamant crées par Harry Bertoia. J’aime les matières comme le lin, le raphia, le grès, le bois, et la pierre. J’aime certains projets de l’architecte d’intérieur Laura Gonzalez. Je m’intéresse à l’architecture des bâtiments, j’ai une attirance pour les appartements parisiens de style haussmannien et les maisons en pierres ou les villas plus modernes que l’on peut trouver en bord de mer dans le sud. Lors de mes voyages j’ai pu visiter quelques endroits comme la Villa Kerylos à Beaulieu-sur-mer sur la côte d’Azur, et la Casa Batllo à Barcelone.
J’ai une attirance pour la beauté des paysages Corses, qui mixent mer et montagne, et les couchés de soleil. J’aime découvrir de nouveaux endroits où il y a de belles vues. J’aime beaucoup la mer et la plage.
Côté art j’ai une préférence pour les collages plutôt de style pop art.
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Une note que j'ai écrite la semaine dernière, un matin après une drôle de nuit où il n'arrêtait pas de pleuvoir.
Cette nuit mon père a fait un cauchemar et nous a réveillées ma mère et moi. Je me suis réveillée en entendant mon père répéter "me lâche pas ! Me lâche pas!" Ma mère lui tenait la main en répétant "Nicolas tu fais un cauchemar" puis il a hurlé très fort. Heureusement on dormait dans le van et pas dans une tente donc peut-être que ça ne s'est pas trop entendu. Puis il est reparti dans son sommeil en marmonnant des choses, d'un souffle un peu paniqué. Je ne sais pas vraiment ce que sont les terreurs nocturnes mais ça arrive souvent dès qu'il se sent un peu plus angoissé que d'habitude (mon père est quelqu'un de très angoissé qu'il camoufle très bien sous des dehors de détente et d'humour). Il fait beaucoup de cauchemars (en fait souvent le même : il est genre au bord d'une falaise et quelqu'un le tient pour qu'il ne tombe pas (ça coïncide d'ailleurs avec le fait qu'il ait le vertige)), il parle (moi aussi 🤭), se réveille la nuit totalement paniqué et désorienté (il ne sait plus où on est ou qui je suis, qui est maman) et parfois même chante dans son sommeil (il faisait du somnambulisme enfant).
Je me suis rendormie et j'ai rêvé à mon tour. J'étais dans le RER et je descendais dans une station avec un nom en C qui n'était pas la mienne (peut-être Cormeilles-en-Parisis ? Bizarrement j'avais l'impression que c'était Houilles ou alors Maisons-Laffitte mais je me souviens d'un nom en C). Je prenais un bus (le 31, je me suis après faite la remarque qu'il n'y avait pas de bus 31 à Cergy). Il faisait très sombre et on s'enfonçait dans des rues humides. Je me suis rendue compte que ça n'était pas le bon bus alors je suis descendue. À mon arrêt il y avait beaucoup de monde, et j'ai vu Clara. Elle ne m'a pas vue au début. Puis, je ne sais plus comment mais elle m'a aperçue et on s'est mises à parler. Elle était très belle avec un éclat étrange dans le regard. Elle m'a dit qu'il fallait que j'aille au lycée pour récupérer un papier par rapport au bac. J'ai repris le bus puis le RER pour aller au lycée mais, alors que mon lycée est normalement rouge à l'extérieur avec une forme d'usine du XIXe siècle, il y avait à la place un espèce de bâtiment haussmannien avec des pierres en calcaire un peu noircies mais je savais que c'était mon lycée. Il y avait une petite fenêtre ouverte et je savais que c'était dans cette salle qu'il fallait que j'aille récupérer mon papier. J'ai commencé à escalader la façade du bâtiment jusqu'à ce que j'arrive à la fenêtre et que je me glisse dans la petite salle grâce à la fenêtre ouverte. Je ne sais plus s'il y avait quelqu'un dans la salle, probablement que oui. J'ai récupéré mon papier qui était posé sur une pile. La pièce était tout en pierres un peu noircies et il y avait une petite source de lumière mais je ne me rappelle plus si c'était un feu ou une lampe. Pas de porte. Je voulais repartir mais j'avais peur de devoir descendre par la façade alors je suis un peu restée. Puis trois personnes que je connaissais sont arrivées. Je crois qu'il y avait Ambre ou peut-être Émeline. On a commencé à parler. Ils devaient brancher un ordinateur. Un garçon a commencé à s'occuper de l'ordinateur mais il devait faire plusieurs branchements et quand il a fait le dernier branchements (on aurait dit Rick dans Rick et Morty le savant fou ahah) tout a un peu pris feu. L'ordinateur, la table et mon bonnet. C'était comme s'il y avait du feu dessus mais ça ne faisait rien. On a réussi à arrêter le feu mais j'arrivais pas à éteindre mon bonnet et quand il a finalement été éteint, c'était comme si la laine avait toujours une forme de bonnet mais ça ressemblait aussi un peu à des frites ahah (je ne me souviens plus du reste).
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Bâtiment Hausmannien, Paris.
#Paris#France#Bâtiment Haussmannien#Hausmannian building#Bâtiment Hausmannien#Paris 20ème#20ème arrondissement
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Sujet 4e le plis #la maison plissée#architecture #4e #artsplastiquesaucollège deux immeubles haussmanniens dans le Quartier Pernéty du XIVe arrondissement à Paris, et à seulement quelques encâblures de la Tour Montparnasse, une construction magique de Vladimir Doray et son agence WRA (Wild Rabbits Architecture) nommée La Maison plissée issue des rêves les plus fous de cet architecte poète. Un origami architectural d’une légèreté magique sur quelques six étages qui nous séduit et qui a pris naissance sur le terrain d’une ancienne petite maison ouvrière, autrefois écrasée par les bâtiments mitoyens. https://www.instagram.com/p/Bvwu_lJA8vz/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=eiqmxobwoww3
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Khân el Khalili, La Caire - Égypte
Le Caire moderne
Le Caire moderne inclut les deux îles de Roda et de Gezira, et au sud-est, Mounira.
Le secteur autour de jardin de l'Ezbekiyya était autrefois un vaste lac qui fut asséché en 1837. Le secteur a été construit selon un plan strict, fait sous les instructions du Khédive, qui aimait les divertissements ; il y avait à l'origine un cirque, un théâtre et un opéra dans les jardins méridionaux, où subsiste de nos jours un théâtre de marionnettes. La poste centrale, place Ataba, comporte un musée postal au 1er étage. À l'est de la place Ataba, la rue Muski mène dans le Khân al-Khalili.
Au nord de la place Ataba s'ouvre la rue Clot Bey (rue Khulud), du nom d'un médecin français, Antoine Clot, qui fut l'un des fondateurs de la médecine moderne en Égypte. Plus au nord, on distingue le minaret de la mosquée Al-Fath. Cette rue passe sous des voûtes en pierre avant d'arriver à la place Ramsès devant la gare, construite en 1856, transformée selon le modèle arabe en 1892 et restaurée pour la première fois en 1955. C'est l'un des quartiers du Caire moderne qui furent urbanisés le plus tôt après la seconde moitié du XIXe siècle. Le secteur est connu sous le nom « Bab el-Hadid » (porte ferroviaire) avec une statue colossale de Ramsès II, laquelle a été déplacée vers le Grand Musée égyptien à Gizeh. Dans le musée national égyptien des chemins de fer, à l'extrémité est de la gare, on trouve quelques vieilles locomotives en excellent état de conservation. Vers 1870 le khédive Ismaël fait construire ce qui est appelé aujourd'hui le Centre-ville du Caire à l'imitation du Paris haussmannien.
L'île de Gezira, demeurée inhabitée jusqu'au milieu du XIXe siècle, s'urbanise et Mohammed Ali y construit un palais ; son quartier sud s'appelle maintenant Zamalek. Plus tard, le khédive Ismaïl y construit un grand palais au centre de l'île avec un immense jardin, et une jetée pour en faciliter l'accès. À cette époque, les jardins étaient riches d'une flore exotique et d'une collection d'animaux africains. Durant l'époque pharaonique, Rhoda faisait partie de l'ancienne Héliopolis. À l'époque romaine, ce fut une forteresse qui resta inchangée jusqu'au VIIe siècle. Après la conquête islamique, les arabes y ajoutèrent des tours et des arsenaux.
Le dernier sultan ayyoubide transfère le siège du gouvernement sur l'île et construit une nouvelle forteresse avec palais et casernes aux environs de 1240, mais les Mamelouks ramènent par la suite le gouvernement à la citadelle. À l'extrême sud de l'île se trouve le palais Manasterli, construit à côté d'un nilomètre, édifié au VIIIe siècle pour mesurer la crue annuelle du Nil. En remontant vers le nord, on traverse les jardins Manyal qui couvraient la majeure partie de l'île et qui sont désormais un quartier résidentiel. Plusieurs des bâtiments datent d'entre 1925 et 1935, l'époque Art déco.
Au nord de l'île, se trouve le palais Al-Manyal, musée renfermant une collection d'objets ayant appartenu au prince Mohammed Ali Tawfig, l'oncle du dernier roi d'Égypte, Farouk.
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Dans un article agréable à lire, Tristan Claret-Trentelivres, se livre dans le figaro à un exercice de style périlleux : une critique esthétique de l’époque. « L’ancien est esthétiquement bien supérieur au contemporain » : voilà une assertion bien définitive, qui doit conforter son cœur de cible du lectorat du Figaro, confortablement installé dans ses charentaises, mais qui appelle néanmoins quelques remarques.
D’abord notons que pour un château d’Ancy-le-Franc construit en 1540, chef d’œuvre absolu de la renaissance Française, il est très difficile de savoir combien de châteaux de l’époque, minables, mal bâtis, horriblement construits ont été démolis, remaniés à d’autres époques, ou déconstruits. Affirmer que ce château représente la production architecturale du 16éme siècle Français serait complétement faux. A l’époque de la construction des bâtiments haussmanniens célébrés dans l’article de Claret-Trentelivres, la « Zone » était un bidonville géant qui entourait Paris sur 30km de profondeur, sur la zone non-aedificandi de l’enceinte de Thiers. Est-ce que ces constructions de bric et de broc, trouverait la même grâce auprès de l’auteur de l’article que les bâtiments haussmanniens bourgeois du centre de Paris ? Est-ce que, pour pouvoir clamer en société « moi, j’habite dans un bâtiment 19éme siècle», ça vaudrait vraiment le coup de faire sauter son PEL pour avoir un petit cabanon en bois et tôle d’une pièce, non isolé, sans adduction d’eau et sans égouts ? Ce qu’il nous reste du passé c’est ce qui a résisté au temps, le monumental, l’exceptionnel, ou au contraire l’immuable, le type à révolution lente des constructions vernaculaires, souvent à vocation agricole. Peut-on se fier à ces restes pour définir les qualités esthétiques d’une époque ? Rien n’est moins sûr.
D’autre part la piste de l’« indifférence fonctionnaliste » moderne et contemporaine, au cœur de l’accusation me semble une fausse piste. Ce fonctionnalisme qui préside à bon nombre de nos constructions et en réalité strictement la même que celle qui conduisait le paysan lotois à construire sa ferme en pierre. Le vernaculaire contemporain des bureaux de la gendarmerie de Mont-de-Marsan, en plafond 30x30, au sol intégrant plinthe en PVC lustré, éclairé au néon, est probablement aussi fonctionnaliste qu’une magnanerie gardoise en pierre de vers et charpente massive en châtaigner des Cévennes du 19éme siècle.
En revanche il semblerait que ce soit moins beau, et c'est un point que l'on peut accorder à l'auteur de l'article. Ce qui a vraiment changé au cours du XXéme siècle, ce sont les conditions de production de l’espace bâti : aujourd’hui extraire une pierre dans la carrière au fond de son jardin, est beaucoup plus compliqué, plus long et plus cher, que d’aller chez BricoTruc chercher un parpaing et de la pierre de parement chinoise. Si votre voisin a un tropisme le poussant vers la pierre de parement chilienne ou finnoise, ça sera toujours moins compliqué que d’aller au fond du jardin débiter une pierre de carrière locale. Dans notre système d’économie mondialisé il n'y a plus de lien entre le territoire et l’espace bâti.
Cette rationalisation des filières, cette industrialisation des procédés des constructions commencé 19éme siècle et complétement achevé avec le processus de normalisation (Norme, Eurocode..) standardise les mises en œuvre, les assemblages, les jonctions entre éléments architectoniques. Plus de décors, de savoir-faire locaux, les artisans toujours moins nombreux abandonnent progressivement le savoir-faire transmis par la tradition au profit des tutos youtube universel, et deviennent des « poseurs » de produits, au risque de ne pas pouvoir assurer leur ouvrage. Ce que l’on ne voit plus dans les bâtiments, c’est la main de l’homme, son travail, sauf quand il y a un défaut. C'est probablement une des premières pistes de l’absence de beauté manifeste du vernaculaire contemporain. Pour le monumental, le grandiose, les architectes en charges des bâtiments contemporain ne sont ni plus mauvais ni meilleurs que leurs prédécesseur. Le problème pourrait résider dans cette phrase : « nous sommes collectivement plus riche qu’en 1900 ». Nous avons, au moment de construire, trop de choix, trop d'option. L'intelligence des hommes se perd dans cette gymnastique épuisante de la réinvention permanente des procédés constructifs, au risque de perdre une qualité : la simplicité évidente de la mise en œuvre, qui reste un des manière les plus simple de conduire à la beauté.
Si vous passez sur l’autoroute à Montpellier, et que vous voyez apparaitre le nouveau quartier de Port Marianne, vous avez la même sensation que quand vous traversez la ZAC Massena à Paris, la ZAC Confluence à Lyon, ou encore Cardiff Bay au Pays de Galle. Vous faites l’expérience inédite de la déterritorialisation. Vous êtes plongé dans le « nulle part », dans le standard absolu, le marasme moderne et libéral d’une architecture de catalogue. En fait vous êtes projeté mentalement Portes de Versailles, au salon BATIMAT, dans la vaste salle des exposants des catalogues de matériaux. Ce qui est paradoxal, et qu’oublie de mentionner l’auteur de l’article, c’est que cette architecture de catalogue à bel et bien commencé avec l’haussmannien qui était déjà une proto-industrialisations des décors (balustre, corniches..), des manières de faire, appliqués indifféremment à Paris, Niort ou Toulouse.
Mais contrairement à ce qu'affirme notre auteur, cela ne veut pas dire que cette beauté n’existe plus aujourd’hui : elle s’est simplement déplacée. Malheureusement elle n'est plus beaucoup dans les villes, qui sont produites comme des objets de consommation courante. L’auteur de l’article mentionne les bouches de métro Art Nouveau de Paris. Il est normal que Paris, quasi-centre du monde intellectuel en 1900, fasse des bouches de métro des petits monuments à la mesure de la nouveauté que représente ce nouveau mode de transport. Aujourd’hui, le métro c’est banal. En revanche le terminal 1 de Charles de Gaulle, construit par Paul Andreu en 1967, est un chef d’œuvre d’architecture absolu, un monument contemporain, de béton d’acier et de verre, qui n’est ni froid ni insipide, qui est une remarquable combinaison entre la commodité d’usage, la solidité de l’édifice, et la beauté de la mise en œuvre.
Alors quand, en bon énarque, Claret-Trentelivres nous explique qu’il faudrait établir des règles d’urbanisme « d’exigences esthétiques », au-delà du fait que c’est heureusement impossible, je ne peux lui souhaiter que bon courage pour en définir les critères ! Qui est légitime à pouvoir définir ce qui est beau ? En revanche l’État devrait avoir un rôle d’exemplarité, et cela ne peut passer que par la pédagogie, par la formation des élus. Avoir des architectes, des paysagistes à tous les niveaux administratifs, et dans tous les territoires, doté d’une formation solide, permettrait d’éviter bien des écueils contemporains.
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Le secret des commerces de centre-ville : pourquoi cartonnent-ils ?
Vous vous demandez sûrement pourquoi les commerces de centre-ville ont tant de succès, et comment les Galeries Lafayette ont réussi à s'imposer comme une référence en la matière ? Cet article vous dévoile les secrets de cette réussite et vous donne des conseils pratiques pour en profiter pleinement. L'attrait du cadre historique et architectural Un environnement préservé et charmant Les centres-villes ont souvent un cachet historique et architectural qui attire les visiteurs. Les rues pavées, les bâtiments anciens et les monuments emblématiques confèrent un charme indéniable à ces quartiers. Les Galeries Lafayette, par exemple, sont situées dans de magnifiques bâtiments haussmanniens qui séduisent autant les touristes que les habitués. Une ambiance unique et conviviale En plus de leur beauté, les centres-villes offrent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les commerces de proximité, les terrasses de café et les marchés contribuent à créer cette atmosphère agréable. Les Galeries Lafayette, avec leurs espaces de restauration et leurs animations, renforcent cette convivialité. La diversité des offres et des services Un large choix de produits et de marques Les commerces de centre-ville proposent une grande variété de produits et de marques, ce qui permet aux consommateurs de trouver facilement ce qu'ils recherchent. Les Galeries Lafayette sont un parfait exemple de cette diversité, avec leurs rayons mode, beauté, maison et bien d'autres. Des services exclusifs et personnalisés Pour attirer et fidéliser leurs clients, les commerces de centre-ville offrent des services de qualité et personnalisés. Les Galeries Lafayette proposent, par exemple, des ateliers beauté, des conseils en image et des services de retouches. Ces prestations rendent l'expérience d'achat encore plus agréable et unique. La facilité d'accès et les transports Des commerces accessibles à pied ou en transports en commun L'un des avantages des centres-villes est la facilité d'accès aux commerces. La plupart des magasins sont accessibles à pied ou en transports en commun, ce qui facilite grandement les déplacements. Les Galeries Lafayette sont souvent situées près des stations de métro et des arrêts de bus, pour le plus grand bonheur des shoppers. Un stationnement facilité Même si se garer en centre-ville peut parfois être compliqué, de nombreuses villes mettent en place des solutions pour faciliter le stationnement. Les parkings souterrains, les zones bleues et les vélos en libre-service sont autant d'options pour se rendre facilement aux Galeries Lafayette et autres commerces du centre-ville. A lire également : Agence de location de voiture : les offres les plus pratiques pour vous L'engagement en faveur du développement durable Des commerces responsables et éco-respectueux Les commerces de centre-ville sont de plus en plus soucieux de leur impact environnemental. Les Galeries Lafayette ont par exemple mis en place des initiatives pour réduire leur empreinte écologique, comme le tri des déchets et la promotion de marques éthiques. Un soutien au commerce local En privilégiant les commerces de centre-ville, vous soutenez l'économie locale et participez à la dynamisation de votre quartier. Les Galeries Lafayette, en accueillant des créateurs et des artisans locaux, encouragent également le développement du tissu économique local. Vous l'aurez compris, les commerces de centre-ville, et notamment les Galeries Lafayette, ont de nombreux atouts pour séduire les consommateurs. Alors, pourquoi ne pas profiter de votre prochaine sortie shopping pour (re)découvrir les charmes et les avantages de ces commerces ? Read the full article
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