#Anse Banane
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Reece James uppträdande tid är ännu inte fastställd
Reece James är en ung spelare som spelar som högerback och kan även fungera som mittfältare. Han spelar för närvarande för Chelsea. Reece James, klädd i en billiga fotbollströjor, anses för närvarande vara en av de bästa högerbackarna i världen. Hans skytte har en chockerande precision, vilket är fantastiskt.
Efter att Reece James blev skadad förra säsongen uppdaterades inte hans data mycket. I augusti i år, efter att Reece James återvänt från den amerikanska försäsongsmatchen i augusti, blev han skadad igen, vilket gjorde att han inte spelade för Chelsea den här säsongen. En bra spelare bör ha en Chelsea tröja på banan. I dagsläget har Reece James återvänt till laget för att delta i den gemensamma träningen, men det finns ännu ingen klar tid för hans debut den här säsongen.
Reece James nuvarande skada har påverkat hans karriärplanering. För att återhämta sig från sin skada så snart som möjligt har Reece James för avsikt att gå till andra lag, vilket är oundvikligt.
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COLLECTIVITÉ DE DUMONT
La collectivité de Dumont est une entité locale qui est reliée à la commune de Port-Salut. Elle se situe sur la main gauche en longeant la route du centre-ville de Port-Salut. Dumont est une collectivité à vocation agricole qui se situe entre Debouchette, 2e section de la commune de Saint-Jean-du-sud et 4e section Barbois de la commune de Port-Salut. Sa limite territoriale s’étend depuis carrefour Masson vers la commune centenaire jusqu’à la rivière de Scipion.
Les habitants de Dumont cultivent le maïs, le petit mil, la patate, le vétiver, la manioc, l’artisanat et les mangues. Ils pratiquent aussi l’élevage et la pêche qui constituent leur principale activité économique. Elle possède de vastes pleines cultivables et la plage de Petite Anse qui est située à Scipion peut attirer des touristes et des vacanciers.
La collectivité de Dumont contient aussi des vestiges archéologiques et historiques qui demeurent inexploitées. Depuis plus de 12 ans, Dumont est devenue une collectivité de référence pour les vacanciers sur la côte sud-ouest à cause de son championnat de football d’été initié par l’organisation réunion sportive d’Haiti. Cet organisme est dirigé par Me Jean-Michel Voltaire, frère de Wilson Dena, ancien Maire principal de la ville de Port-Salut.
Pendant des années, cette organisation finance des camps d’été pour des jeunes en difficultés résidant dans la collectivité de Port-Salut. On y trouve aussi la fondation Margarette Tarte qui œuvre à aider des jeunes démunis sur le plan psychosocial, éducatif et émotionnel afin d’encourager l’excellence dans le milieu scolaire.
On ne peut pas oublier le « Groupe de réflexion pour le développement local (GREDEL) » qui est une organisation de développement communautaire qui vise à travailler en synergie avec les communautés paysannes pour promouvoir la production agricole et encourager la consommation des produits locaux en élaborant des projets socio-économiques pour améliorer les conditions de vie de la population locale. Pour de plus amples renseignements, il est important de cliquer sur la page de GREDEL.
Dumont Inter 103.1 FM est la station radiophonique qui rallie les citoyens de la collectivité de Dumont autour d’un projet collectif: CONSTRUISONS ENSEMBLE DUMONVILLE AVEC UN CENTRE D’AFFAIRES…
Lisez La voix de Dumont, journal des citoyens de la diaspora et Solidarité paysanne, journal officiel des citoyens de la collectivité de Dumont. Le site Web d’information de la collectivité de Dumont et Radio Dumont Inter pour découvrir cette communauté. Dumont News | Dumont Inter| Télé de Dumont | La voix de Dumont
DUMONT INTER 103.1 FM STÉRÉO
RDI 103.1 FM est la fréquence radiophonique qui transporte la voix d’une collectivité de citoyens à l’autre extrémité de la planète terre.
Faites vos choix de listes présélectionnées : SoundCloud.com/lavoixdedumont
QUELLES SONT LES POTENTIALITES ÉCONOMIQUES DE DUMONT?
Par Jean-Marie Mondésir
Depuis très longtemps, on affirme sur toutes les tribunes que la localité de Dumont constitue le grenier de la commune de Port-Salut. Plus d’un se doutait de ses nombreuses plaines fertiles où l’on cultive le petit mil, le mais, la patate, le vétiver, le manioc, les mangues, les avocats, les haricots et les figues bananes. Les hommes de cette collectivité locale pratiquent l’élevage des animaux et les femmes font le commerce de détails et l’artisanat confectionné avec sisal.
On entend très souvent parler de Roche-Jabouin, lieu d’origine de Wilson Dena, actuel Maire de Port-Salut. Cet endroit est reconnu pour le phare maritime installé par le Service maritime nationale d’Haïti (SEMANAH) qui sert de guide aux marins de la côte sud-ouest. On y trouve aussi un fruit juteux « cachiman », des arachides, des pêcheurs de poisson et de belles femmes aux longs cheveux noirs qui font le bonheur des courtisans venant de partout dans les soirées dansantes et les activités culturelles de Dumont.
Cependant, on oublie fort souvent d’invoquer le charme de Petite-Anse, un endroit très prisé par les pêcheurs des produits maritimes de Dumont qui offre une vue resplendissante sur la mer des Antilles. C’est un joyau méconnu par la majorité des habitants de la collectivité Dumont qui est relevée au rang de paroisse par les autorités de l’église catholique du département du sud le 3 février 2013. Les images de ce littoral vierge et époustouflant véhiculées sur les réseaux sociaux par un citoyen du centre-ville de Port-Salut (Hugues Stevens) inspirent beaucoup d’espoir pour les habitants de la paroisse de Dumont.
La majorité des citoyens de Dumont ne connaissent pas exactement la délimitation de cet espace géographique dépendant de la commune de Port-Salut. À bien remarquer, on y compte 3 écoles nationales sur ce territoire (Marcabée, Dumont, et Roche-Jabouin). Très peu de gens savent que le carrefour Masson est le point central établissant la frontière entre la collectivité Dumont et la 4e section Barbois en direction de Port-Salut. Il en est de même pour Débouchette, 2e section Saint-Jean du Sud en direction du marché vers Balustre. Dans les faits, la limite territoriale de Dumont s’étend sur la main gauche depuis (Ka Bouri, Ka Emile, Ka Mithièse, Ka Bolonin, Ka Richard) en allant à Roche-Jabouin jusqu’à Scipion (Lafosse).
Les habitants de ces localités profitent des services de la commune de Port-Salut en matière d’État civil, de juge de paix et autres. Les autorités communales de Port-Salut et de Saint-Jean du Sud doivent s’asseoir ensemble pour trouver une solution à ce problème de délimitation. La raison qui justifie une telle démarche consiste à recevoir sa juste part des subventions du pouvoir central pour le nombre d’habitants et l’espace territorial desservis dans le cadre de la mise en œuvre de la loi 1996 visant la décentralisation des collectivités territoriales.
Il est utile d’envisager une exploitation minutieuse de cet espace maritime pour attirer les touristes afin que les paysans de Dumont puissent écouler les produits de leurs champs agricoles. Il est à se demander s’il existe des moyens de transport pour se rendre à Petite-Anse afin d’inviter les investisseurs étrangers à découvrir le milieu pour la création de la richesse en faveur de la population locale.
Après le passage de l’ouragan Mathieu dans la nuit du 4 octobre 2016 qui a dévasté les plantations vivrières et a détruit les animaux d’élevage des paysans; les pluies diluviennes ont provoqué de l’inondation et ils ont perdu leurs maisons d’habitation et leurs biens personnels. Les temps sont durs pour les habitants de cette localité qui ne reçoivent pas de l’assistance financière des autorités publiques pour subvenir aux besoins des familles sinistrées. C’est la désolation qu’on peut lire dans les yeux des paysans, les jeunes ont décidé de quitter leur localité pour aller vivre dans les grands centres urbains et y trouver du travail afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Dans un contexte où les gens du milieu comptent beaucoup sur l’aide des autorités du pouvoir central pour la mise en place des infrastructures locales; on doit encourager la participation citoyenne aux actions collectives et communautaires. On constate, par manque d’éducation ou de conscientisation, ils refusent de s’impliquer activement dans le développement de leur environnement. À notre avis, il est important de responsabiliser la population locale pour qu’elle contribue au développement et à l’amélioration de ses conditions de vie. On doit nécessairement passer par l’éducation populaire pour qu’il y ait un changement de mentalité durable dans cette communauté.
On est conscient que les gens de la paroisse sont très pauvres, mais ils doivent manifester leur volonté de travailler ensemble pour trouver des solutions aux multiples problèmes de leur communauté. Avec le développement de la zone de Petite-Anse, la paroisse de Dumont pourrait espérer un aller mieux. Les ucitoyens de cette localité vivant dans la Diaspora doivent assumer leurs responsabilités en mettant en commun leur savoir-faire de manière à donner l’espoir à des habitants de la collectivité Dumont, une entité de la commune de Port-Salut.
https://portsalutmagazine.wordpress.com/2023/11/23/quelles-sont-les-potentialites-economiques-de-dumont-3/
Jean-Marie Mondésir est l’éditeur et rédacteur en chef de Port-Salut Magazine | La voix de Dumont | Solidarite paysanne
PDG de Dumont Inter 103.1 FM
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#paroissededumont#radiodumontinter.com#collectivité de dumont#Port-Salut Magazine#lavoixdedumont#solidarité paysanne#rdi103.1FM stéréo
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34. J+17 : journée off
Pas de rugby live au programme. Anse Magaud à La Garde. L'accès se mérite. Baignade matinale pour @MichelMorin et bain de pieds pour 2 autres TDJ2023 (@GO et @LeDoc).
Le reste de la team TDJ2023 (sauf @DocRCT) travaille le swing, le backspin, le putt... Un seul travaille vraiment en fait.
Départ imminent pour la presqu'île de Saint-Mandrier, déjeuner entrée-plat-dessert en terrasse puis tour de la rade de Toulon en bateau pour 3 d'entre nous. C'est la banane accrochée au visage qui est assurée.
Quand nous disons "off", c'est vraiment "off".
Demain, départ pour Theys (30 km nord-est de Grenoble) et rendez-vous avec un gigot de 7h chez Marie & Pierre pour @DocMidol, @FilsdeDocMidol, @VPUSS, @GO). Les 3 autres (@MichelMorin, @LeDoc, @DocRCT) nous rejoindront à Lyon après-demain (nouvelle journée rugby live).
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On n'a pas eu une journée pleine d'aventure, mais on a eu une journée pleine d'échanges !
La dame qui gère notre hostel (22 ans, déjà un enfant, gère une auberge ... Fiou!) m'a très gentiment conduite en moto à la poste, puis a décidé qu'elle allait m'emmener faire le tour de son village. On s'est donc arrêtées chez sa maman en coup de vent (qui a quand même pris le temps de courir à l'intérieur pour m'offrir des bananes), puis on est passées sur la ferme familiale, où ils élèvent des poissons.
Toute une équipe était justement en train de creuser un bassin !
Ça fait une jolie petite équipe les pieds dans la gadoue, tous de la famille ! Elle en a profité pour me faire goûter les mûres locales, qui poussent donc ... Sur un arbre. Elles sont noires quand elles sont mûres, et pas mauvaises du tout, c'est un peu plus acide et aqueux que chez nous.
On repart ensuite prendre le bus, en longeant les rizières, toujours aussi belles...
On a ensuite passé une heure dans le bus à papoter avec une femme, docteur militaire partant dans deux mois pour le Soudan du Sud, qui nous a ensuite invitées à discuter autour d'une boisson en arrivant sur Hanoï. On a d'ailleurs nettement mieux vécu le voyage (3h de bus au total) que la gamine d'à côté, malade comme un chien, qui avait carrément accroché un sac plastique à son visage (une oreille dans chaque anse, comme un masque) pour vomir ...
En prenant un autre bus, pour aller jusqu'à notre hôtel, on a cette fois discuté avec un jeune homme en études, qui s'était plus ou moins endormi sur l'épaule de Clémentine ! Ça brise la glace haha
Le soir, on a eu l'occasion de goûter un nouveau fruit, nommé "củ ấu", potentiellement du cypérus. C'est très marrant, ça a un peu la texture de la pomme, mais un peu plus aqueux, et qui laisse un léger dépôt dans les dents, comme une barbe à papa, avec un léger goût de noix de coco. Vachement bon !
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La Digue 24.Februar 2023 - zweeta Freitach
Heute werd‘n wa mal mit unsere Drathesel eene etwas größere Runde dreh‘n. Hoch zur Nordspitze und denn die Strände an der Nord-Ost Küste besuch‘n. Ditt allet erst nach‘m Frühstück. Eia sind hia imma frisch . . . und ditt jegagga jeht echt früh los.
Noch een Wecka jib‘s hia, den Rotschnanelbülbül. Schöne Nam traj‘n ooch die Strände, wo wa heute hin woll‘n. Anse Banane, Anse Severe oda Anse Grosse Roche zum Beispiel. Haben aba alle een ähnlichet Ausseh‘n. Merkst ja nich, wenn den Strand wechselt‘s.
Am Strand liej‘n fülle zerstörte Korallenstücke rum. Zu jed‘m Strand gehört ooch mindestens eene Fahne und eene Bar. Am Anse Severe war beedet leicht zu find‘n.
Weita jing‘s mit Fahrrad bis zum Anse Banane. Een tolla Name.
Mit schwimm jeh‘n wa da nich so. Aba die Sammla von Andenk‘n war‘n untaweg‘s
Muscheln kleen und etwas größa
Nach een kurz‘n horch‘n am Strandtuch jing’s mit Fahrrad zurück. Küst‘nstraße hatte ooch Berguff und Bergab.
Kurz mal anhalt‘n füa een Bild durch die Hecke durch. Immahin 5 kleene Insel zu seh‘n.
Uff‘m Rückwech sind wa am Haf‘n und dea Schoppingmeile von La Digue vorbei jefah’n.
Na denn langsam hoch zum Hotel. Um 17uha werd‘n wa abjeholt zum Sunset Dinner in een Restaurant, ob‘n uff‘n Berg.
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#Anse Banane#La Digue#Seychelles#Félicité#Grande Soeur#Petite Soeur#Islands#Fishing#Fisherman#Palm Trees#Beach#White Sand#Island Life#Cerulean#Ocean#Street Photography#New Topographics#Documenting Space#Landscape
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View from Nid d’Aigle La Digue
My day trip to La Digue Island was marred by torrential rain that didn’t let up… Several photos in this post are media shots, as it was difficult to bicycle and take photos, and poor visibility made it even more challenging.
Picasso Triggerfish
The rain began during the one-hour ferry ride from Mahé to Praslin and continued when we switched to a small connecting ferry for a fifteen-minute ride between Praslin and La Digue. When the ferry arrived in La Digue around 9am, people were huddled under palapas clutching their umbrellas. Sections of the street were flooded.
Weather, Population, History
Weather in the Seychelles is temperate year-round, but its proximity to the equator results in frequent, unpredictable storms. The area has microclimates, so it can be raining on one island and sunny on another. Some storms are violent but brief and clear in a few minutes. Unlucky for me, that wasn’t the case the day I visited La Digue. December and January are off-season and known for heavy downpours. The least rain occurs in July. I was fortunate, as most of the month spent on the islands was clear and beautiful.
Anse Marron
La Digue is the third largest inhabited island of the Seychelles and the fourth in size. The population of around 3,000, live mostly in two small west coast villages – La Passe, where the ferry docks, and La Réunion. La Digue is linked to the other islands by ferry. There is no airport.
Butterfly Fish
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Year-round temperatures fluctuate between 75 and 90 degrees, during all seasons, day and night.
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Three Masted Schooner La Digue
Sailboat La Digue
Ships La Digue Harbor
Praslin Harbor
La Digue was named after a ship in the fleet of French explorer Marc-Joseph Marion du Fresne, who visited the Seychelles in 1768. French colonists settled on the island in 1789, bringing their African slaves with them.
Endangered Black Paradise Flycatcher
Inhabitants of La Digue are called Diguois. “The first French who settled the island were exiled from Bourbon for taking part in a political rebellion. They were to be sent to the East Indies, but bribed the captain to sail them to Seychelles where many had relatives.” Later, liberated slaves and Asian immigrants joined the original French inhabitants and settled on the island. La Digue’s population is mostly Catholic.
Emperor Angelfish
Wildlife, Nature Reserves, Beaches
La Digue’s main industry is tourism, and it’s known for stunning beaches, especially Anse Source d’Argent and Grand Anse. The bicycle tour was not guided, and I encircled most of the island in the rain and visited Veuve Nature Reserve, home to the rare black paradise flycatcher. I was disappointed in the Reserve and heard, but never saw, birds and exotic-sounding animals. Many of the Reserve’s muddy, flooded trails were almost impassable.
Red Fody
In addition to the endangered flycatcher, La Digue is home to several rare endemic species. There’s a significant population of giant tortoises from Aldabra Island. Coconut crabs and a variety of geckos and tropical birds – fodys, sunbirds, terns, fruitbats, and sheath-tailed bats – inhabit the island.
Cocos Island National Park
Green sea turtles live on the edges of La Digue’s coral reefs, and butterfly fish, eagle rays, and murray eels flourish there. I didn’t snorkel this trip but saw colorful fish, eels, and a small blacktip reef shark snorkeling a few days earlier near Cerf Island.
Anse Marron
“Animals that have traditionally lived on La Digue are threatened by those brought there by the first inhabitants. The rat population was probably the first animal introduced to the Seychelles. It quickly made many birds extinct by their eating eggs and disturbing nests. Dogs and cats are not as much of a menace.”
Grand Anse
La Digue’s beaches are some of the most photographed in the world. They glow with soft white sand, translucent turquoise waters, and spectacular granite boulders. If you’re adventurous, you can discover small, hidden beaches on isolated parts of the island. Some of the larger, well-known beaches include:
West Coast Beaches – best for swimming
Anse Source d’Argent – accessed via World Heritage Site L’Union Estate
Anse La Réunion
Anse Sévère
Anse Patates
East Coast Beaches
Anse Gaulettes
Grand Anse
Petit Anse
Anse Banane
Isolated Beaches
Anse Marron
Anse Fourmis
Anse Cocos
Anse Bonnet Carré
Anse Sévère West Coast
The southeast coast has a series of “adjoining bays with picturesque beaches separated by granite boulders and backed by lush tropical forests”. The beaches along the south coast have big waves and powerful undertow. They’re dangerous for swimmers. The hike through the jungle to isolated Anse Cocos is said to be a challenging “rock-hopping” experience. During my short trip, the hiking trails were too wet and muddy to hike.
Anse Bonnet Carré
Transportation
The primary means of transportation on La Digue is bicycle. At one time, cars were not allowed. Today, there are a few vehicles, most of them belong to hotels and resorts.
Map La Digue
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“Driving a car on La Digue can be a hard task. Roads were originally designed for bicycles. Two cars going against each other must slide off the road with two wheels in the sand. Another method of transport on La Digue is ox-cart.”
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Breadfruit
Cuisine
Diverse ethnic groups inhabit La Digue, and the food is a mix of world cuisines. Ginger is a primary ingredient for many dishes. With abundant fish on the island, the locals prepare fish hundreds of ways, including grilled, steamed, sautéed, curried, and raw with lemon and spices. Other local food includes Jamalac, breadfruit, rum, octopus, lobster, and the “biggest specialty – bat curry ” made with Seychelles Fruit Bat meat!
Fruit Bat
Seychelles Fruit Bat
The island has interesting restaurants. While waiting for the rain to calm, I had espresso at The Fish Trap in the centre of La Passe. Later in the day, I returned for lunch. Their specialty is fresh, simply cooked seafood.
Snorkeling and Hiking
The best snorkeling is in “the crystal-clear waters of the Ile Marine National Park north of La Digue”. The Park is a group of three small coral-fringed islets off the northern tip of Félicité Island. It’s said to be the most spectacular snorkeling in the islands. Snorkelers swim with Hawksbill turtles, Blue Surgeonfish, Parrotfish, Moorish Idols, Emperor Angelfish, Batfish, and stunning Picasso Triggerfish.
Moorish Idol
The uphill hike to La Digue’s highest peak – Nid d’Aigle (Eagles Nest) – is challenging, especially in the heat. When you reach the top, panoramic views of the nearby islands make it worth the effort. I didn’t make the hike. If I return to the Seychelles, I will spend more time hiking, snorkeling, and exploring La Digue – hopefully in better weather. For hikers, a guide is recommended – tourists have been lost for days on hidden trails in the dense jungle.
Blue Surgeonfish
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“Since the Seychelles are detached from the rest of Africa, many animal species are endemic to La Digue”.
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La Digue Cemetery
Flooded Streets La Digue
Fogged In Mahe
Fishtrap Beach
Back in Durban
I arrived back in Durban and am happy to be in a more “connected” environment again. The Seychelles are amazing, but I found them a bit too isolated and am still reflecting on the month in Seychelles, a unique experience.
The weather here in Durban is divine – clear and low humidity. I’ll stay in South Africa for the month of January, and then, it’s on to Mozambique. Hope to do some snorkeling in Durban and visit nearby game reserves!
Seychelles Coconut Crab
HAPPY 2018!
La Digue Island Seychelles My day trip to La Digue Island was marred by torrential rain that didn’t let up… Several photos in this post are media shots, as it was difficult to bicycle and take photos, and poor visibility made it even more challenging.
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Bananes Flambées (Flambée Bananas)
And to end a Caribbean barbie on a high not, there’s nothing as indulgent and yet simple as Bananes Flambées. They’re comforting too. When, we were in Guadeloupe for a wonderful fortnight two Summers ago, Jules and I walked a steep road under a burning sun, and then were soaked by a bunch of tropical showers! The view was more than worth it, though! We then met our parents for lunch, and this is what I had for dessert!
Ingredients (serves 2):
3 tablespoons Spice Butter
2 generous pinches saffron threads
2 bananas
3 tablespoons good quality dark rum (like Guadeloupe’s Bologne)
2 tablespoons pure cane sugar
In a medium, heavy-bottomed skillet, melt 2 tablespoons Spice Butter over medium-high heat. Stir in saffron threads.
Peel bananas and cut in halves. Add bananas to the skillet when Butter is just foaming, and cook, about 45 seconds on each side. Reduce heat to medium, pour in 2 tablespoons Bologne Dark Rum, and immediately and carefully ignite with a match. Flambé until flames die. Sprinkle in cane sugar, and add remaining dark rum and Spice Butter. Cook, a couple of minutes, until sauce thickens slightly.
Serve Bananes Flambées immediately, with a scoop of Sorbet Coco, Rum and Raisin Ice Cream or yogurt.
Mum and Jules on Grande-Anse beach, Les Saintes, Guadeloupe (August 2017)
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Consuming places.
I remember the time, when my family and I went on a one week holiday to Rodrigues Island.
The first thing we did before the trip was to organize our days to visit each famous places of the island. We went to Roche Bon Dieu, Cavern Patate, River Banane, Anse Bouteille, ...ect. We planed each day so that we could go to those places that we could only see in images.
After the trip we went to the souvenir shop and bought a small coral sculpture in the shape of a House. The sculpture is still here today and every time we look at it, we all recall our good time over there, even after a decade.
When I look at it now, We went there to consume the places, the local food, and the overall experience of visiting a new place. Even the souvenir we bought was part of consumption. It acts like a token of memory for us. In a way, we were lead to consume what the trip offered which was great, but now I wish that we did a little bit more of exploring on our own.
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Verkligt, overkligt och allt däremellan – i samtal med John Jakobsson, konstnär (publicerad i Tidningen Kulturen, 2/10 2014)
John Jakobsson är konstnären från Gotland som inspirerad av skräckfilm gärna kittlar omgivningen med sin inte alltför subtila konst. Vi möts i hans nya ateljé vid Telefonplan, “söder om söder” i Stockholm. Av en tillfällighet ligger lokalen bara något kvarter från hans gamla skola, Konstfack.
Hybrider mitt ibland oss I sitt skulpturala examensarbete på Konstfack 2012, installationen “Den vidrige”, försökte John undersöka vad som uppfattas som verkligt och ej. Nu gör han samma sak fast med humanoider i stället för kryptozoologiska arter. Han visar mig två byster: en kvinna med hundmun och en man som likt en cyklop har ett tredje öga i pannan. De ser inte särskilt läskiga ut, bara annorlunda. I en stad som Stockholm är distansen mellan människor extra påtaglig, menar John. Han säger sig vilja “defragmentera verkligheten” med sin konst och beskriver den moderna, urbana människan som automatiserad, en varelse som inte reflekterar över var den är på väg. Angående kvinnan med hundmun ställer han en retorisk fråga: “Skulle folk ens märka om hon steg på t-banan? Jag tror inte det, jag tror att folk är för upptagna med att vara på väg till sitt.”
En stor del av inspirationen hämtas från böcker om abnormaliteter och fysiska defekter, närbilder på vattkoppor och andra åkommor. Även 1800-talets “freakshows” kommer på tal. John är noga med att betona att han “vill inte göra snask av det, det vore osoft”, men är intresserad av vad som anses vara normalt respektive onormalt och vad man laddar det begreppet med.
Det otåliga ögat På ett arbetsbord ligger ett jätteöga i en burk och stirrar på mig. John tar ut ögat och vrider på något i dess innandöme. Plötsligt börjar den att skaka frenetiskt och buffla omkring inuti den stängda burken, som om den desperat vill ut. John demonstrerar planen för ett kommande verk, ett bord som har lika många burkar med ögon i som bordet är stort. Tanken är att burkarna ska vara så pass stora att när ögonen rör på sig så flyttas burkarna av kraften och stöter in i varandra.
När John tar ut ögat från burken och placerar det på golvet rullar det iväg i full fart, snabbt och okontrollerat. När det stöter in i ett hinder tar det en ny riktning. Själva konstruktionen bygger på en leksak, “en sån där man köper på marknader och liknande”, som John har modifierat. Det är inte utan att man får splatterfilmsvibbar, där lemlästade kroppsdelar är legio. Även tecknade filmer är konstnärlig förlaga för John. I den animerade filmens värld är allt är möjligt. Föremål som plötsligt får liv; stolar som börjar hoppa omkring, vatten som rinner uppåt, tak som smälter och så vidare. Som han uttrycker det: “besjälade och levande ting”.
John vet inte när han kommer att realisera installationen. Arbetsgången brukar vara att jobba parallellt med flera olika projekt på samma gång, utan att alltid vara alltför systematisk. “Det kan vara stressigt med deadlines, särskilt om det blir för tidiga avslut och känns påtvingat”, säger han. Det ensamma ögat får bida sin tid i burken ett tag till.
Miniatyrmänniskorna För närvarande lägger John mest tid på vad han kallar ett portabelt projekt – lerfigurer i miniatyr. Materialet han använder är plastbaserad lera, något han tycker är smidigt att jobba med: “Jag bär med mig gubbarna i en påse och kan sitta och tälja var jag vill.” Figurerna byggs av ståltrådsarmering och lera, sedan karvar man fram kroppsformen med små knivar, förklarar han.
Den första färdiga skapelsen är ett litet podium som rymmer två mycket små män och en kycklig i naturlig storlek. Männen ser ut att ha en hetlevrad diskussion om något. Huruvida kycklingen har något att bidra med, är oklart. Kycklingens medverkan är dock ingen slump. John gillar tanken på att göra ett helt landskap där han blandar sina lerfigurer med saker han samlat på sig genom åren, exempelvis djurdelar. Entusiastiskt visar han bitar av den kommande rekvisitan: ett fågelben, en skunkskalle, ett kobrahuvud samt en hajunge som är konserverad i en burk.
I detta sammanhang vill John leka med tanken på oss människor som pyttesmå i en postapokalyptisk värld, där resterna av en civilisation blir början på något nytt. Man tager vad man haver, likt myror. Till exempel genom att samla på sig (normalstora) människonaglar och bygga bo av dem. Ja, naglar är massproducerade för ändamålet.
Inspirationen till minimänniskorna kommer från alkemin, där de kallas för homunculus – små hjälpredor att framställa på kvasibiologisk väg:
“Enligt myten kunde man ta sperma och lägga i djurhud under en tid. Man trodde nämligen att det i varje spermie fanns en pytteliten, vuxen människa. När spermien växte och personen nått en viss storlek så kunde man avbryta processen.”
Med konstens hjälp har John för avsikt att väcka dessa gynnare till liv. Med en domedagstwist, i bästa filmiska anda.
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Banana smoothie at the beach. Anse Banane, La Digue.
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Equateur, Playa de los Frailes (Jour 27) et Agua Blanca (Jour 29).
Entre nos sessions de plage et de surf à Puerto Lopez, nous nous échappons d´abord une journée à la plage de Los Frailes, une des plus belles de la côte, et une autre journée visiter la communauté de Agua Blanca.
On accède à la playa de Los Frailes en prenant un bus qui nous dépose à l´entrée du parc national de Machalilla où nous nous enregistrons pour pouvoir accéder au sentier menant à la fameuse plage.
Deux bonnes heures de marche en passant par la forêt puis sur différentes autres plages ou encore un joli mirador nous amènent à la grande anse ensablée, qui se recouvre partiellement d´eau salée qui déferle de façon violente à chaque vague.
Ici, nous croiserons le plus de plagistes que nous n´en verrons le reste du séjour sur la côte mais parce que la playa de Los Frailes est très étendue, nous n´aurons pas l´impression d´être envahis, bien au contraire!
Après quelques heures à profiter de l´endroit, nous regagnons l´entrée en tuk-tuk pour 2 $ ce qui soulagera les jambes de nos marcheurs en herbe...
Le surlendemain, direction de l´autre côté de la route, quelques kilomètres avant l´entrée à Los Frailes, pour visiter la communauté indigène du village de Agua Blanca qui organise une visite jumelant un musée bien fait, une marche à travers celle-ci et un bain dans un piscine d´eau soufrée.
Pour 5 $ par adulte, les enfants ne payant pas, nous profitons assez bien de cette sortie pour nous relaxer et ce malgré un temps qui n´est pas des plus ensoleillés aujourd´hui. Le bain dans le bassin de température tempérée s´agrémente d´un masque de boue dont nous nous recouvrons avec Dorothée.
Après ce soin très agréable, nous dégustons un léger repas à base de spécialités locales comme le corviche, un beignet de poisson à base de banane plantain verte, ou encore l´empañada de verde, une rissole remplie de fromage et confectionnée là encore à base de banane verte. Succulent et dépaysant!
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#Anse Banane#La Digue#Seychelles#Félicité#Grande Soeur#fishing#Fisherman#Tourists#Palm Trees#Beach#white sands national monument#Island Life#Cerulean#Ocean#Street Photography#New Topographics#Documenting Space
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Visiter la Guadeloupe en une semaine
Quelle chance d’avoir eu l’opportunité de visiter la Guadeloupe ! C’est un voyage qui reste gravé dans mon esprit tellement la beauté de cette terre est incroyable.
D’ailleurs, ma femme et moi souhaitons renouveler l’expérience dans un futur proche !
En attendant, je vous dévoile mon itinéraire lorsque j’ai visité la Guadeloupe en une semaine et vous aide à organiser votre séjour.
Jour 1 : Pointe-à-Pitre
Pointe-à-Pitre est évidemment la première étape de votre séjour. En effet, le seul aéroport de l’île se trouve à Pointe-à-Pitre. Vous commencerez donc votre visite dès votre arrivée et serez émerveillés par les paysages !
Avant toute chose, je vous conseille de réserver une voiture de location avant votre départ. Vous en aurez besoin à votre arrivée sur l’île. Louez une voiture en Guadeloupe, et partez l’esprit tranquille. Vous serez ainsi libre de parcourir l’île selon votre propre itinéraire. Et c’est génial cette liberté pour découvrir et explorer un nouvel endroit.
À Pointe-à-Pitre, je vous conseille de déambuler dans la ville et d’en profiter pour visiter ses monuments. Vous retrouverez l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, qui est classée monument historique. Non loin de là se trouve le musée Saint-John Perse. En vrai amoureux de l’architecture, j’ai adoré le style de cette maison coloniale du 19ème siècle. Puis, en longeant la rade du port de Pointe-à-Pitre, vous tomberez directement sur le Memorial ACTe (Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la Traite et de l’Esclavage). Il s’agit donc d’un musée qui relate l’histoire de l’esclavagisme. Très intéressant et instructif !
Jour 2 : Port-Louis
Puis, nous sommes partis en direction du Nord de Grande-Terre. C’est ici que nous avons découvert Port-Louis, un très joli village de pêcheurs qui semble être resté figé dans le temps. Port-Louis est, à l’origine, une ancienne ville sucrière. En nous promenant, nous en avons très vite pris plein les yeux ! La zone de l’Anse du Souffleur est, justement, à couper le souffle. L’eau y est si pure, si transparente, que les lieux paraissent irréels. À cet endroit se trouve également un cimetière marin aux tombes décorées avec des coquillages en fer blanc.
Puis, n’hésitez pas à partir explorer les zones de champs de cannes à sucre. Vous vous trouverez rapidement à la pointe Nord de l’île et pourrez ainsi découvrir la Grande Vigie.
Si vous avez le vertige, gardez vos distances ! Cette zone est riche de falaises vertigineuses. C’est ici d’ailleurs que vous pourrez apercevoir la Porte d’Enfer. Il s’agit une faille qui a été creusée par la mer. Il y a souvent beaucoup de touristes, mais c’est un spectacle à ne pas manquer.
Dans le même genre, je vous conseille de garer votre voiture et de prendre le sentier qui rejoint le littoral. Vous découvrirez le Trou de Madame Coco. Creusé par la mer, il donne directement sur une grotte marine incroyable.
Jour 3 : Basse-Terre
Si vous souhaitez découvrir Basse-Terre, je vous conseille de partir assez tôt le matin. En effet, au départ de Pointe-à-Pitre, il vous faudra environ 1 heure de route en longeant la côte. En arrivant, profitez pour faire un tour dans le grand marché (ouvert seulement le matin). Puis, vous pouvez visiter le Champ d’Arbaud, la Cathédrale Notre-Dame-de-Guadeloupe, ainsi que la Distillerie Bologne. S’il vous reste du temps, le Fort Delgrès est également un monument historique à voir !
Jour 4 : Sainte-Anne, Saint François
Partez en direction de la zone Sud-Est de Grande Terre. Nous avons commencé par visiter Sainte-Anne et son joli marché. Puis, nous avons décidé de nous détendre sur l’une des magnifiques plages de la ville. Après un bon déjeuner, nous avons repris la route vers Saint-François. Nous voulions visiter son joli port de pêche, qui est très fréquenté par les locaux, et par les touristes. Le temps de prendre un bon verre en terrasse, nous décidons ensuite de partir vers la Pointe des Châteaux. Ce superbe site se situe sur la Péninsule Est, et est classé.
Puis, sous les conseils d’un ami, nous sommes partis faire une belle balade d’environ 2 km, qui fait le tour de la Pointe et vous permet de l’admirer sous différents points de vue. D’ici, vous pourrez apercevoir les îles de la Désirade ainsi que Marie-Galante.
Finissez votre journée par l’Anse à l’eau, qui se trouve au nord-ouest de la Pointe des Châteaux.
Jour 5 : L’ascension de la soufrière
Cela fait partie des incontournables à faire si on vient visiter la Guadeloupe en une semaine !
Certes, c’est un peu plus sportif que la détente sur la plage, mais c’est magnifique.
Il est conseillé de partir tôt pour pouvoir bénéficier d’une vue dégagée lorsque vous serez au sommet.
Garez votre voiture de location aux Bains Jaunes. C’est une piscine naturelle (si vous souhaitez vous y baigner à votre retour, réservez votre place !).
Puis, c’est parti pour une ascension d’environ 2 heures. Les paysages sont sublimes. Et, une fois que vous serez arrivés au sommet, je vous garantis que vous ne regretterez pas l’effort. La vue panoramique à 360° est magnifique !
Jour 6 : Une plongée dans la réserve Cousteau
L’endroit idéal pour faire son baptême de plongée sous-marine ! On vous propose de découvrir les fonds marins sur environ 1 000 hectares. De quoi voir de superbes poissons tropicaux, des tortues, ou encore, de magnifiques coraux. J’en garde un souvenir incroyable !
Si vous souhaitez faire cette activité, je vous conseille vivement d’effectuer une réservation à l’avance. Dans la réserve Cousteau, vous pouvez également louer un Zayak (une planche, type paddle, dont la partie supérieure est transparente pour vous laisser admirer les fonds-marins.
Jour 7 : Les Trois-Rivières
Dernière étape de notre séjour : la ville de Trois-Rivières. Une fois sur place, nous avons visité la ville, mais aussi le musée de la Banane. Puis, nous souhaitions nous détendre une dernière fois avant notre départ le lendemain.
Direction : la plage de Grande Anse ! Célèbre pour son sable noir, elle est également l’une des plus belles plages guadeloupéennes.
Et voilà notre itinéraire lorsque nous sommes partis visiter la Guadeloupe en une semaine !
Bien entendu, cet article est fait pour vous inspirer. Il n’est donc pas nécessaire de le suivre à la lettre. Je tenais simplement à vous partager les endroits clés de l’île.
La Guadeloupe est un endroit merveilleux. Elle mérite d’être visitée dans ses moindres recoins. Vous ne serez pas déçus !
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INVITATION À DÉCOUVRIR DUMONT : UNE COMMUNAUTÉ DE PORT-SALUT...
Dumont est une collectivité locale dépendante de la commune de Port-Salut, située sur la côte sud-ouest d’Haiti. Cette communauté rurale possède toutes les ressources nécessaires pour se développer sans tenir compte de l’assistance du gouvernement central. À Dumont, on a des terres cultivables, les gens pratiquent l’agriculture, l’élevage, la pêche et l’artisanat. On cultive du
Petit-mil, du maïs, des haricots, de la patate, de la manioc, des bananes, des mangues, des arbres véritables, des cocotiers et des racines de vétiver servant à la production de l’huile essentielle pour les avions et les parfumeries.
On y trouve une plage de sable fin, des vestiges de sites historiques à Petite-Anse, un phare maritime à Roche-Jabouin. Chaque été, il y a un championnat de football pour les équipes féminines et masculines et des camps d’été pour les jeunes de la commune. Une initiative d’une organisation a but non lucratif dirigée par des citoyens de Roche-Jabouin. Il suffit de planifier vos vacances estivales à Port-Salut pour découvrir une communauté à une forte potentialité économique. La collectivité de Dumont peut attirer des investisseurs intelligents pour créer des emplois bien rémunérés dans la production agricole et l’industrie touristique. Travaillons ensemble pour développer Dumont
Gracieuseté de : ASDED, Radio-Dumont.com, radioDumontinter.com, radio.port-salut.net
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INVITATION À DÉCOUVRIR DUMONT : UNE COMMUNAUTÉ DE PORT-SALUT...
Dumont est une collectivité locale dépendante de la commune de Port-Salut, située sur la côte sud-ouest d’Haiti. Cette communauté rurale possède toutes les ressources nécessaires pour se développer sans tenir compte de l’assistance du gouvernement central. À Dumont, on a des terres cultivables, les gens pratiquent l’agriculture, l’élevage, la pêche et l’artisanat. On cultive du
Petit-mil, du maïs, des haricots, de la patate, de la manioc, des bananes, des mangues, des arbres véritables, des cocotiers et des racines de vétiver servant à la production de l’huile essentielle pour les avions et les parfumeries.
On y trouve une plage de sable fin, des vestiges de sites historiques à Petite-Anse, un phare maritime à Roche-Jabouin. Chaque été, il y a un championnat de football pour les équipes féminines et masculines et des camps d’été pour les jeunes de la commune. Une initiative d’une organisation a but non lucratif dirigée par des citoyens de Roche-Jabouin. Il suffit de planifier vos vacances estivales à Port-Salut pour découvrir une communauté à une forte potentialité économique. La collectivité de Dumont peut attirer des investisseurs intelligents pour créer des emplois bien rémunérés dans la production agricole et l’industrie touristique. Travaillons ensemble pour développer Dumont
Gracieuseté de : ASDED, Radio-Dumont.com, radioDumontinter.com, radio.port-salut.net
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