#Acteur de cinéma
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fidjiefidjie · 3 months ago
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Alain Delon répond au questionnaire de Proust dans l'émission de Bernard Pivot.. 🖤🌹
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carbone14 · 2 months ago
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Humphrey Bogart dans le rôle du chef de char Sergent Joe Gunn dans le film de guerre Sahara réalisé par Zoltán Korda - 1943
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darkmovies · 10 months ago
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Longlegs (2024) Date de sortie : Courant 2024 Réalisateur : Oz Perkins Scénario : Oz Perkins Avec : Nicolas Cage, Maika Monroe, Alicia Witt
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thierry1970 · 3 months ago
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vagabondageautourdesoi · 27 days ago
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L'histoire de Souleymane
Présentation du film de Boris Lojkine, L'histoire de Souleymane, qui raconte 48 heurs de la vie d'un livreur à vélo sans papier. Meilleur acteur au Festival de Cannes 2024
De Boris Lojkine Prix du jury à Un certain regard Meilleur acteur à Abou Sangare Festival de Cannes Bienvenue chez les ultras précaires Avec L’histoire de Souleymane, impossible de détourner les yeux tant la détresse, l’hypocrisie du système et les exploiteurs de misère sont parfaitement illustrés dans ce film, qui aurait pu, aussi, avoir pour titre “48 h dans la vie d’un…
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genelvavirtualstudio-blog · 9 months ago
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Michel Ange TSAFACK : L'Ascension d'une "Gueule d'Ange" dans le Cinéma Camerounais
De ses premiers pas timides devant les caméras à son irrésistible ascension dans le cinéma camerounais, Michel Ange TSAFACK, plus connu sous le pseudonyme “Gueule d’Ange”, tisse une carrière singulière et captivante. Un destin dessiné par la passion Né à Dschang en 1991, l’aube de la vie de Michel Ange TSAFACK ne laissait présager en rien la trajectoire exceptionnelle qui allait suivre.…
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mel-et-ses-histoires · 30 days ago
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J'ai été surprise comme ça m'arrive rarement car je discutais cinéma et il se trouve que la personne avec qui je parlais connaissait le film que j'évoquais a savoir "mémoire d'un zombie".
Et j'étais sur le cul parce que ce film est sortie directement en DVD, complètement amateur, sans vrai boîte de prod avec le réalisateur qui est en même temps monteur, scénariste, acteur, producteur....
Pour vous dire c'est un DVD que j'avais acheté dans une station service !
Et la boum je tombe sur une des 14 personnes au monde qui on du voir le film.
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justforbooks · 3 months ago
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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cinecritik · 3 months ago
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La France a perdu son plus beau visage et un acteur mondialement reconnu. De Visconti à Melville, il aura joué tous les personnages ! Il entre dans la légende du cinéma français et européen. Il avait 88 ans.
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joselito28-1 · 2 months ago
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Film Of an age. Eté 1999. Un danseur de salon serbe vit une romance inattendue et intense de 24 heures avec le frère aîné d'une amie.
Un film rare, une image, une réalisation, un scénario parfaits. Un mélange entre Wong Kar-Wai (Happy together) et les meilleurs films de Xavier Dolan. La qualité des dialogues est impressionnante, comme le jeu des acteurs qui les portent. L'histoire d'un coup de foudre comme il en arrive rarement dans la vie des hommes... et au cinéma. Bouleversant ! A découvrir assurément. Je recommande fortement. 💙👍
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empiredesimparte · 1 year ago
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Opening speech of the Cannes Film Festival by His Imperial Majesty Emperor Napoleon V
Only the pronouncement is authentic.
Cinema is part of the Francesim. Francesim saw, in 1895, the first public projection organized by the Lumière brothers at the Salon Indien of the Grand Café in Paris, projection which attracted 33 spectators at 1 Franc the place. In Francesim, one can see simultaneously all the new works, French as well as foreign, a panorama of creativity.
Yes, ladies and gentlemen, the Festival is a time of meetings and exchanges. During two weeks, all the professionals of the cinema, actors, directors, technicians, come daily to share their passion with the public. It is also a time of opening on the foreign very precious.
The Cannes International Film Festival was born from a will to fight against a fascism that had distorted European cinema, and it has never stopped welcoming, protecting and bringing together the greatest filmmakers of their time and from all horizons.
Cinema is a dream that we all share. We all have the feeling that there is, on the map of the universe, one more country, where cities all over the world where stories are told, where images are invented, where children's dreams become adults' dreams.
Thank you @officalroyalsofpierreland and @nexility-sims for sharing your fantastic sims :)
⚜ Traduction française
Discours d'ouverture du Festival de Cannes par Sa Majesté Impériale l'Empereur Napoléon V :
Seul le prononcé fait foi.
Le cinéma fait partie de la Francesim. La Francesim a vu, en 1895, la première projection publique organisée par les frères Lumière au Salon Indien du Grand Café à Paris, projection qui attira 33 spectateurs à 1 Franc la place. En Francesim, l'on peut voir simultanément toutes les oeuvres nouvelles, françaises comme étrangères, un panorama de créativité. Oui, Messieurs Dames, le Festival est un temps de rencontres et d'échanges. Pendant deux semaines, tous les professionnels du cinéma, acteurs, réalisateurs, techniciens, viennent quotidiennement partager leur passion avec le public. C'est également un temps d'ouverture sur l'étranger très précieux. Le Festival International du Film de Cannesest né d’une volonté de lutte, contre un fascisme, qui avait dénaturé le cinéma européen, et il n’a cessé d’accueillir, de protéger et de réunir les plus grands cinéastes de leur temps et de tous les horizons. Le cinéma, c'est un rêve que nous partageons tous. Nous avons tous le sentiment qu'il y a, sur la carte de l'univers, un pays en plus, où les villes partout dans le monde où se racontent des histoires, où ils s'inventent des images, où les rêves d'enfants deviennent des rêves d'adultes.
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fidjiefidjie · 1 month ago
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Michel Blanc répond au journaliste Simon Laigle en 1987 pour Brut.
Hommage à l'acteur et réalisateur Michel Blanc 🖤🌹🎈R.I.P🙏🕊
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Quelques scènes cultes de ses films :Le Monde
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jacquesdor-poesie · 11 months ago
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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darkmovies · 1 year ago
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Hell Of A Summer (2023) Date de sortie : Prochainement Réalisateur : Billy Bryk, Finn Wolfhard Scénario :  Billy Bryk, Finn Wolfhard Avec : Finn Wolfhard, D’Pharaoh Woon-A-Tai, Fred Hechinger Pays : États-Unis / Canada
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vagabondageautourdesoi · 11 months ago
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Paul Newman - La vie
Extraordinaire d’un homme ordinaire Pour écrire ses mémoires, Paul Newman a choisi le scénariste Stewart Stern pour raconter ses mémoires. Ce dernier avait signé, entre autres, le scénario de la fureur de vivre. Entre 1986 et 1991, les deux amis se rencontrent régulièrement. Même si en 1998, Paul Newman s’en débarrasse, son ami en a gardé une copie. Les enregistrements de ses rencontres ont été…
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o-link · 5 months ago
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Arnold Schwarzenegger, né le 30 juillet 1947 à Thal, en Autriche, est un culturiste, acteur, réalisateur, producteur de cinéma et homme politique austro-américain.
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