#ACTUELLEMENT EN VACANCES
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superiorkenshi · 1 year ago
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Je suis pas là ils font comment casto en faite? Car c'est normal que je me retrouve seul de 6h à 12h en déco + peinture??? Et Vas-y que ceux qui arrive à 12h on une reu de 13h à 14h donc j'ai du attendre celle qui arrive à 13h20 alors que je finis à 13h??? C'est quoi ça casto ??
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tenrose · 4 months ago
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Voilà j'ai voté, je veux qu'on me foute la paix le dimanche maintenant. Même les assesseurs ils étaient au bout de leur vie, ils n'ont pas prononcé un seul nom de famille comme il faut 😭
Je vais maintenant prétendre que rien de tout cela n'existe jusqu'à 20h... Et ensuite crise de panique, probablement...
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ineffable-gallimaufry · 1 year ago
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moi quand je parle français:
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ordalya · 9 months ago
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J'ai posé ma démission 💃🎶
Et j'ai été contactée par un chasseur de tête pour un autre boulot. Il y a encore beaucoup de "si", mais ça va sérieusement me faire réfléchir...
Job 1 :
Avantages : Différents procédés industriels, c'est une délégation de service public, évolution de carrière possible car c'est dans la culture de la boîte, département conception/étude, proche de Paris, proche des parents, faciles d'accès
Inconvénients : salaires qui pourrait être mieux, le coin est moche, proche de Paris, je m'éparpille en terme de carrière...
Job 2 :
Avantages : Mêmes procédés industriels que le boulot que je quitte, boîte privée, salaire beaucoup plus confortable, cadre plus sympathique, loin de Paris
Inconvénients : difficile d'accès (autoroute, train ? Connaît pas), loin de Paris, loin des parents, même procédés industriels, le type d'industrie que fait la boîte (😬), évolution de carrière ?
J'ai posé ma démission 💃🎶
Et j'ai, par la même occasion et par l'intermédiaire de "untel m'a dit que untel lui avait dit", appris que je faisais partie de "la bande de nuls" des managers 😬. Sauf que mon service a vu une amélioration continue de ses résultats depuis 3 ans... Bref, je suis partie dans 2 mois, bon courage pour me remplacer, je suis la seule à connaître par cœur mon service.
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adropintheocean-rpg · 6 months ago
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༄ A DROP IN THE OCEAN ⁠
forum city, époque actuelle ༄ Il y a dans l'air une odeur spéciale, un parfum fleuri de vacances paradisiaques en plein cœur de la côte est. L'exotisme des palmiers s'entremêle à la grandeur des buildings, le bruit de la ville se mélange aux vagues qui s'entrechoquent contre les rochers. Les teintes colorées des planches de surf se perdent dans l'eau bleutée. Les rayons omniprésents du soleil se reflètent sur les façades des gratte-ciels. Le temps ne s'arrête jamais, pas même dès que la lune apparaît. Dans la nuit, les lumières et la pénombre se mélangent pour former la beauté de cette ville où les espérances peuvent devenir réalité ou être emportées par la marée. Parfois, le bleu de l'océan se transforme, comme une menace lointaine que l'orage peut approcher, que tout peut changer. Dans la ville magique, les âmes aussi ont des couleurs différentes. Les esquisses de sourires sur les visages n'ont jamais la même saveur, les accélérations du cœur dans la cage thoracique, les lueurs dans le regard ont toutes une raison spéciale. Une raison unique. Car tout est unique ici. Tout est unique à Miami.
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Nous avons le plaisir de vous présenter le contexte d'un projet qui nous tient à cœur et qui, nous espérons, vous plaira. ♡
༄ Ce qu'il faut retenir : forum ancré dans la ville de Miami, en Floride; un rp par mois vous sera demandé; aucun minimum de lignes; city simple avec la possibilité de jouer tous types de personnages.
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Le forum est déjà bien avancé, il nous reste seulement quelques petits détails à fignoler, mais l'ouverture est prévue très prochainement.
༄ Vous pouvez dès à présent réserver un fc, la liste de ceux déjà réservés se trouve par ici. Vous pouvez également demandé à être prévenu.es.
A bientôt ! ☼
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chifourmi · 3 months ago
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[La suite de mon périple d'été]
Après être revenue d'Italie, j'ai eu un jour de repos où j'ai juste vu ma famille. Ça m'a fait du bien. On est allés au resto et on était tous hyper heureux. Y avait pas d'énergie négative comme d'hab, on s'effritait pas pour rien comme d'hab. C'est là que je me suis rendu compte qu'il était vraiment temps que je parte. Si on se voit une fois de temps en temps, ça se passe très bien. Le lendemain, ils sont partis en Crête. J'en ai profité pour inviter le musicien chez moi. Il m'avait trop trop manqué. Depuis mon retour, je suis à 100% à l'aise avec lui. Je saurais pas expliquer mais y a un truc qui a changé par rapport à avant que je parte. On a fait l'amour plusieurs fois et on a mangé des pizzas en regardant The last of us. Oui, j'avais toujours pas regardé la série. Honte à moi, je sais. Le lendemain je suis allée chez lui cette fois et comme sa chambre est bien plus pratique pour faire l'amour, on en a énormément profité mdr. On a fait que ça en fait, on s'arrêtait pas. On continuait même quand on en pouvait plus. C'était dingue. Et le lendemain, rebelotte.
Puis je suis rentrée chez moi pour faire mon sac parce que le musicien m'avait proposé d'aller à la mer pendant 3 jours avec lui et sa mère et j'avais accepté. Les 3 jours se sont bien passés. Je me suis trop bien entendue avec sa mère. Elle est admirable. C'est une business woman qui a perdu son mari quand ses enfants avaient 14 et 18 ans. Dans son boulot, c'est la patronne. Et pourtant elle est très chill.
Sinon ce petit voyage nous a encore plus rapprochés avec le musicien. Il était en sevrage de beuh donc il était extrêmement aigri. Ça n'a pas toujours été facile mais on arrivait à communiquer. On ne s'est jamais disputés parce que c'est quelqu'un qui arrive à se remettre en question, hallelujah. Quand on parle, on arrive tous les deux à comprendre le point de vue de l'autre et on finit toujours par s'entendre sur un avis final nuancé. Y en a jamais un qui a complètement raison et un qui a complètement tort.
Sinon, tout était trop chouette. Il a réinstallé Pokemon Go pcq à chaque fois qu'il allait à la mer avec son frère c'était un peu un rituel. Du coup il m'a convertie et je suis toujours à fond dedans actuellement. Puis les balades sur la plage, la nourritureeee avec les fruits de mer bien frais omg, notre habituelle séance de dessin, les jeux d'arcade impayables, le petit mojito en terrasse, la glace en bord de mer, l'envie de le faire dans une cabine d'essayage,... D'ailleurs on l'a même pas fait du voyage pcq on l'avait tellement fait chez lui que je me suis chopée une infection urinaire.
Puis on est rentrés chacun chez soi et j'avoue que ça m'a fait du bieeeeen d'être enfin un peu seule. Pendant tout le mois, j'étais h24 avec des gens. J'ai rangé ma chambre, fait mes petites lessives, puis je me suis posée devant les sims en écoutant le podcast de Chloé Gervais. Et le soir, rebelote, j'ai vu une pote et on a organisé nos prochaines vacances en France début septembre. Et on arrive à aujourd'hui où cette fois j'ai vraiment rien de toute la journée, je suis trop contente. Pendant ce temps, le musicien s'envole en Espagne avec sa meilleure pote et la famille de sa meilleure pote. Là c'est le moment où tout le monde m'applaudit d'avoir autant évolué niveau jalousie. Merci, merci. J'ai totalement confiance en lui.
Et la semaine prochaine je fais du pet sitting où il y aura un chien, un chat et c'est pas tout parce qu'ils sont famille d'accueil pour chats donc y aura aussi une mère et ses chatons 😭😭😭😭😭 Je vais mourir d'amour!!!
Bref, tout va bien en ce moment!
(05/08/2024)
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sabinerondissime · 4 months ago
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Depuis que je suis en vacances, dans la maison où j'ai grandi, je n'ai plus aucune angoisse avant de dormir ! C'est incroyable ! Je ne sais pas à quoi cela est du mais je me demande si l'endroit où je vis actuellement, ne serait pas nuisible à mon sommeil et à ma tranquillité d'esprit. C'est vrai que je songe à déménager depuis longtemps mais que le travail que me donnerait ce déménagement m'angoisse ! Je suis depuis bientôt 17 ans dans le même appartement, c'est l'endroit où j'ai vécu le plus longtemps et où j'ai accumulé un tas de choses qu'il faudra triller et se séparer pour la plupart car mon appartement est grand et que si je déménage ce sera pour plus petit. Mais je crois qu'il est temps d'y songer un peu plus sérieusement si cela m'apporte une qualité de vie bien meilleure.
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perduedansmatete · 6 months ago
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j’ai rêvé que je demandais à chatgpt d’écrire mon mail pour dire à mon directeur de mémoire que j’avais besoin de plus de temps et que j’aimerais passer en deuxième session, que le cadeau que je vais actuellement chercher en click and collect coutait 66€ au lieu de 25€ et qu’on me demandait de payer alors que je l’avais déjà fait et la nuit d’avant j’ai rêvé que je fonçais en vélo vers une plage chez ma mamie avec des gens que je ne connaissais pas mais qui étaient avec moi et qui me ralentissaient et je n’arrivais pas à aller jusqu’à la rive j’étais comme coincée je voyais l’océan mais je ne pouvais jamais l’atteindre bref j’ai besoin d’argent et de vacances
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unempirepourtonsourire · 2 months ago
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C'est difficile de me rendre compte que mon corp ne suit pas. On a beaucoup marché, et dès le premier jour j'ai eu des énormes brulures et coupure entre les cuisses, donc ensuite chaque pas était difficile. Pour m'asseoir aussi il fallait que je trouve une position qui ne me fasse pas mal. J'ai aussi eu des brûlures sous la poitrine à cause du frottement de mon soutien-gorge, j'étais obligé de coincer mon tee-shirt pour que ça ne me fasse pas trop mal. Il faisait chaud, j'étais obligée de m'arrêter pour boire souvent, et j'étais toute rouge. J'avais aussi peur des coups de soleil.. En fait c'était surtout difficile de voir les autres avancer plus rapidement que moi, et ne pas être exténué le soir... Je m'en veut beaucoup car j'ai l'impression que mes ami.e.s se sont privés de faire des trucs pour moi, genre aller à des endroits où il y avait beaucoup de marche etc... On faisait environ 8km par jour, et j'ai bien conscience que ce n'est pas énorme, mais qu'est-ce que j'ai galéré ! J'en ai trop marre d'être comme ça, ça a un peu gâché mes vacances, j'arrivais pas à profiter... D'un autre côté je suis contente car j'avais peur que socialement aussi ça soit difficile, j'ai pas l'habitude d'être 24h/24h avec des gens, mais ça c'est bien passé :) me baigner m'a fait un bien fou, genre moralement c'est un truc de fou comme la mer m'apaise ! et aussi sur les photos je me trouve pas horrible, alors que l'année dernière j'arrivais pas à regarder les photos de moi ! Donc il y a du mieu, mais j'ai bien conscience que mon corps dans cet etat actuel me limite beaucoup... Mes copains copines parlent déjà de repartir l'année prochaine, et j'appréhende beaucoup :( alors que c'est sensé être fun les vacances !
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petit-atelier-de-poesie · 1 year ago
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Quelques trucs bien. Novembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Apprécier de dormir du sommeil du juste 
Dire au revoir à ma sœur en pleurant et en se serrant dans les bras. En tout, 10 jours de séparation comme une éternité de solitude pour moi et un séjour de vacances pour elle 
Apercevoir un renard détaler et se planquer dans la nuit des fourrés 
Participer avec les jeunes à l’atelier de peinture. Laisser libre cours à la couleur 
Ramener maman à la maison après quelques jours d’hospitalisation. Savoir qu’elle sera bientôt soignée 
Fêter l’anniversaire de ma sœur dans une soirée folle avec des plumes, des paillettes et du champagne ! Retrouver les amis qui ont joué le jeu déguisé et s’amuser ! 
Voir un faisan dans le jardin, près de l’olivier. Penser que l’oiseau a trouvé là un espace de sécurité pendant la chasse qui est de saison
Valider l’inscription à une formation professionnelle. Sentir s’ouvrir une fenêtre dans la routine 
Craquer pour deux décos de Bambi pour mon petit M. : « mon premier Noël »
Prêter une robe toute neuve à ma sœur afin qu’elle soit à son aise et à son avantage lors d’une fête familiale par alliance, et qu’elle se sente « magnifaïque », moi qui ne suis pas la reine du shopping 
Aller dans les bimbeloteries avec ma meilleure amie pour acheter des décos de Noël pour elle, des décos d’anniversaire pour ma sœur : il y a de la paillette, de l’or et de l’argent. Tout ce qui fait chaud au cœur 
Savourer la douceur de l’automne porté par le vent chaud du Sirocco. Enlever des couches de vêtements au fil de la journée 
Entendre chanter le rouge-gorge dans le froid du matin 
Constater que les jours raccourcissent à vue d’œil et avoir quand même du plaisir à allumer la lampe de chevet pour bouquiner 
Recevoir un message élogieux sur ma poésie. Ressentir de la reconnaissance et le regret du silence actuel 
Aller à l’atelier de peinture. Retrouver le plaisir du geste au pinceau et la joie de la couleur pure. Partager ces ressentis avec les jeunes 
Entendre hurler la chouette dans la nuit puisque je me lève de très bonne heure chaque matin 
Discuter avec ma cousine au téléphone en buvant du vin blanc. La sentir plus forte et indépendante. Lui confier quelques conseils de ma grand-mère pour continuer à avancer 
Passer du temps avec maman. Préparer de la soupe et des tenues vestimentaires pour la semaine. Être là, juste là 
Accueillir une amie qui se sépare. Écouter et accompagner la prise de conscience. Faire confiance avec de la tisane 
Échanger des ouvrages avec un auteur. S’essayer à la critique littéraire. Attendre aussi son retour sur mes poèmes 
Envoyer un message amical à un collègue en arrêt de travail. Lui dire qu’il manque 
Savoir que maman m’attend pour aller se coucher. Prendre le temps pour elle aussi 
Voir et câliner mon petit M. quasi quotidiennement. Bonheur 
Constater les énormes progrès de deux de mes jeunes patients. Me sentir si fière pour eux désormais apaisés pour pouvoir scolarité presque normalisée 
Accompagner maman pour la visite de l’appartement de ma fille. La sentir heureuse de cette sortie exceptionnelle 
Apprécier comme une grâce les étoiles scintillantes du petit matin dans le ciel lavé par la pluie et nettoyé par le vent. Trouver de bons côtés à l’insomnie
Aller au cinéma avec mon fils pour voir le dernier Miyazaki en VOSTFR
Manger des gaufres ensemble. Monter et/ou descendre d’un ou deux étages dans la maison pour partager avec la famille et les amis présents. Se régaler ensemble 
Bricoler avec mon fils. Améliorer la possibilité d’aérer sa chambre pendant l’hiver puisqu’il aime le froid 
Envoyer à une amie virtuelle une enveloppe avec un de mes bouquins dedans. Donner de la matière et du concret par les mots 
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impossiblyholyparadise · 2 months ago
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Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
"sur la route de l’Espagne..".
Une autre soirée avec Ana, peu de temps après avoir quitté Toulouse et notre adorable amie Elena (je vous raconterai prochainement nôtre dernière soirée commune avant notre départ, mais aussi la suite de cette soirée préhispanique) fut aussi propice a réellement me conforter dans mon attirance, que dis-je ma conversion et ma future dévotion au Candaulisme...
Nous avions promis à Elena de passer au retour sur Toulouse.
Elle était déjà impatiente de nous retrouver et surtout, au vu de nos inclinaisons actuelles, elle comme nous, qu’on puisse se raconter et partager nos aventures de vacances. Ce serait assurément un moment grandiose.
Nous nous mîmes en route tôt pour Perpignan et plus exactement Paulilles, une petite anse de bord de mer magnifique sur le littoral, entre le cap Béar et le cap Oullestrell.
Un site classé en réserve naturelle avec un paysage à couper le souffle et l’immensité d’un parc très agréable d’une ancienne usine désaffectée (Usine Nobel, fabricant de dynamite).
Des plages magnifiques. Bref un petit coin de paradis à côté des immenses et parfois trop impersonnelles stations de la côte Catalane.
L’un de mes amis proches, Robert, y avait été affecté pour l’été à la surveillance des plages.
Je lui avais promis de passer lui dire bonjour et Ana qui avait fait sa connaissance quelque mois plus tôt l’avait beaucoup apprécié.
Aussi avions-nous convenu d’un rendez-vous le soir même en bord de plage où il y avait depuis peu un restaurant et une petite boite de nuit.
Nous avons déjeuné et passé une partie de l’après-midi dans la superbe ville de Perpignan et j’étais réellement fier de m’y promener avec Ana qui pour l’occasion s’était vêtue d’une très belle et courte robe d’été...
Elle était réellement superbe...
Tous les hommes la remarquaient et j’avoue que cela me rendait heureux tout comme elle, qui semblait si heureuse et épanouie. Encore plus me semblait-il depuis l’épisode de sa dernière rentrée universitaire et le fait qu’elle se sache avec moi maintenant complétement libre, libérée et en peine confiance...
C'était ça et aussi surtout ça le Candaulisme pour moi.
Nos dernières soirées Toulousaines et son séjour chez Elena, avaient amplement confirmé nos choix de style de vie : Hot-Wife pour elle et Candaulisme certifié pour moi.
Comme déjà évoqué, nous ne portions jamais de sous-vêtements et si pour moi ce n’était pas si flagrant de le remarquer, pour Ana qui s’amusait si subtilement et savamment à en jouer c’était beaucoup plus évident et nous donna l’occasion de « teaser » un jeune serveur du restaurant où nous avions déjeuné.
Ana bien que ne portant absolument rien avait gardé par habitude et précaution un string blanc et minuscule dans son sac à main.
Aussi lui vint l’idée de faire semblant et d’être surprise à le retirer lorsque le serveur vint prendre la commande...
Elle le fit si bien qu'il en rougit et cela amusa Ana.
J’étais spectateur et si heureux en l’instant de l’être.
Là aussi le Candaulisme me l'avait appris...
À chacun de ses passages à notre table, elle s’amusait à prendre en main ostensiblement ce tissu affriolant mais aussi à en parler suffisamment fort pour qu’il entende (je pense même que les tables voisines entendaient...) quelques phrases du genre :
« Tu vois Chéri, je l’ai fait...Je l’ai enlevé comme tu le souhaitais... Tu sais que je ne peux rien te refuser mon coquin...Tu me veux salope...je suis ta salope... ! »
Mais aussi :
« Il était si mouillé – elle avait versé dessus de l’eau de la carafe avant l’arrivée du serveur à notre table- j’ai tellement toujours envie de toi, tu sais mon Amour... »
Elle termina par lui laisser comme pourboire, bien en évidence sous un billet de cinq Euros...
« Tu crois qu’il va bander, me dit-elle en m’embrassant et tout en le fixant du regard et lui adressant un sourire de vraie chienne... ? Peut-être même aller se branler de suite dans les toilettes... ? Non... ? »
Bref, ça plus quelques autres provocations dans la rue en remontant négligemment sa robe sur ses fesses altières et autres audaces vestimentaires déboutonnant de plus en plus sa robe que ce soit en bas ou en haut, rendaient l'après-midi très savoureux et délicieusement chaud et coquin...
Ses seins magnifiques débordaient d’amour et offraient le vertige aux passants tandis que son déhanché naturel accentuait irrémédiablement l’ouverture du bas de sa robe et la vue quasi immanquable de la naissance du galbe de ses fesses mais également parfois de sa vulve...
Sans trop s’en rendre compte (?), c’est aussi et surtout moi qu’elle avait « teasé » tout au long de l'après-midi... !
Aussi, le reste du parcours après avoir repris la route, je ne pu m’empêcher de la doigter...
Son sexe largement ouvert était d’une chaleur, d’une douceur et d’une moiteur absolument folles...
Elle jouit... Je bandais...
J’avoue que j’aurais aimé et même sûrement mérité qu’on aille plus loin et qu’on fasse l’amour...Mais je n’étais pas si impatient...Je savais que nous en aurions la possibilité très rapidement et j’aimais beaucoup aussi, tout comme elle, à jouer à nous « chauffer » et à rester dans une « zone d’attente », tout à la fois coquine et frustrante mais si délicieuse pour qui sait guetter et attendre l’instant paroxysmique qui en découlait immanquablement à chaque fois...
Nous adorions en jouer l’un et l’autre...C’était trop bon...
 Robert, Bob pour nous, ravi de nous revoir, venait de terminer son service et nous invita au café restaurant de la plage pour nous désaltérer. Il était beau, bronzé, charmant et très attentionné.
Il nous fit part de son idée et de ses projets pour la soirée, nous indiquant qu’il serait vain de vouloir se reposer avant deux heures du matin vu la proximité et les horaires de la boite de nuit jouxtant la cahute où nous devions passer la nuit. Il nous informa également, si cela ne nous embêtait pas, que deux de ses récentes amies se joindraient à nous.
Nous lui avons indiqué, pardon, Ana lui a indiqué que nous étions à sa disposition et que plus il y avait de fous, plus il y avait de plaisirs...
Ana était ainsi et ce dont on aurait fait comme reproche de sans gène à d’autres personnes et dont on aurait pu se moquer, Ana faisait passer cela avec un si beau sourire et avec une telle candeur, qu’on la pardonnait volontiers tous ses lapsus...
Elle avait une mémoire assez approximative et souvent « arrangée » des maximes et interprétait souvent à sa façon les citations...
Parfois même elles se transformaient en suggestions quasi explicites de ses sentiments et cela pouvait être torride...
Je pense que Bob en avait plutôt été amusé et le connaissant, ravi...
Je poussais parfois des petits « oh... ! » devant ses répliques spontanées et dynamiques, mais j’en était absolument toujours amusé et bien souvent même, au final, très heureux.
On ne s’ennuyait jamais avec Ana !
Dans l’attente de l’arrivée de ses amies, Clara et Laura, nous avait-il annoncé, Bob nous emmena faire une balade en zodiac avant de diner.
 Nous en avons apprécié la fraicheur après cette longue journée de route due aux bouchons des vacanciers et touristes – nous étions un samedi - jour des arrivées et départs des locations-
Cependant être bloqué et retardé sur une des plus belles routes en corniche de bord de mer desservant de très nombreux et pittoresques villages, n’avait pas non plus constitué un enfer insurmontable, ce d’autant que je j’avais pu ainsi doigter Ana tendrement et très longtemps.
Nous pûmes, et Ana apprécia réellement, prendre un bain un peu plus au large où la fraicheur de l’eau nous requinquât facilement de cette journée passée dans la ville et la voiture.
Personne n’avait prévu de maillot mais aucun d’entre nous ne fut en peine de se mettre nu pour se baigner.
Je remarquais qu’entre Ana et Bob les regards corporels étaient réciproques et je m’en amusais délicieusement.
Bob était généreusement doté par la nature et son physique entretenu sur un bronzage parfait le rendait réellement sexy...
Je les connaissais tous les deux intimement, j’avais fait beaucoup de sport avec Bob, et si nous devions aller plus avant dans nos échanges, je savais que cela serait plaisant pour tout le monde...
Peut-être même l’espérais-je secrètement...
C’était aussi cela mon Candaulisme...
Oser faire profiter ses amis de ses "trésors" et les partager... !
En serais-je capable ?
Bob était un ami... ! Un très bon ami !
Nous n’en avions pas parlé avec Ana mais depuis cette histoire de la rentrée universitaire passée et tout ce que nous avions vécu à Toulouse, ce n’était pour moi qu’un détail que mes pensées même les plus osées soient parfois devancées par les audaces et l'imprévisibilité d'Ana, tant notre relation avait évolué favorablement vers nos désirs les plus profonds et secrets entre elle et moi.
Il s’était instauré une si belle et tendre complicité, parfois même sans concertation et tout en provocation ou test (l’expérience du serveur de ce midi m’en était la preuve...)
Nous n’en avions nullement discuté. Nous étions sur la même longueur d’ondes et même si ses audaces, que j’appréciais au plus haut point chez Ana et que j’apprécie chez les femmes en général, me surprenaient souvent, je ne tardais jamais à la rejoindre tant cela correspondait à ma nature profonde...Mon éducation m’avait parfois retenu ...Elle, elle savait me toucher au plus profond de mon être, me faire réfléchir et sortir, pour mon bonheur, le sien et celui de notre couple, de ma zone de confort...
Je ne l’ai jamais regretté...
Les amies du moment de Bob, charmantes, étaient arrivée à la cahute à notre retour de Zodiac.
Maître-nageur facilite manifestement les contacts et intérêts, et nous préparâmes pour aller au restaurant avant que la boite de nuit n'ouvre vers 23 heures.
 Elle fermait vers 2 heures du matin, arrêté municipal oblige, Bob nous l’avait indiqué mais les échanges entre les fêtards se produisaient en amont et surtout après sur cette même plage...
Il y avait déjà beaucoup de monde qui attendait...Il devait être un peu plus de vingt et une heures.
Ana était vraiment charmée par Bob, je le voyais. Je m’en réjouissais même.
Bob était vraiment un ami.
Ce que nous avions vécu à Toulouse que ce soit dans le restaurant Tex-Mex et surtout après (je vous le raconterai plus tard) avec Elena et quelques-uns de ses amis m’avait conforté dans mes désirs et envies Candaulistes tandis que je remarquais qu’Ana s’y retrouvait tout autant sinon plus encore que moi ...
Elle aimait être belle et elle l’était, être au centre des attentions, parfois même provoquer...
Elle était belle radieuse, lumineuse, détendue, heureuse...
Je la voyais en permanence rire, sourire et cela me convenait parfaitement. Cela m’enchantait et me faisais en retour le plus grand bien...
Je me sentais tellement heureux, en confiance, encore plus homme... !
C’est assez paradoxal de dire cela tandis qu’on autorise d’autres mâle à courtiser sa femelle et même parfois à la saillir, mais cela me rendait dix fois plus sûr de mon attrait, ce qu’Ana me confirmait jour après jour en me revenant quoiqu’il arrive encore plus et toujours amoureuse.
Je ne doutais plus de moi...Je ne doutais plus d’elle...On partageait tout en confiance et en bonheur...Et même les partages en devenaient plus intenses et s’inscrivaient dans le temps de par les souvenirs tendres qu’ils nous laissaient immanquablement...C’était comme si, au lieu de les vivre une fois, de « consommer » un ou des plaisirs, ils s’additionnaient sans cesse et se potentialisaient.
J’avoue alors que j’étais maintenant sans cesse curieux, voire excité, tant je connaissais les regards de mon amie, ses attitudes, ses envies qui rejoignaient, voire anticipaient, bien souvent les miennes... Je les vivais avant, pendant, après...
Le candaulisme avait pour moi cette vertu de catalyser, d’exacerber nos relations et les rendaient irrésistibles, divines, mille fois plus intense...
C’était comme savoir perdre ou lâcher pour gagner plus encore...Plus encore même que l’on peut imaginer...Oui c’était réellement un bénéficie tel que même nos imaginaires ou plutôt nos habitudes s’en trouvaient chamboulées, rendues caduques devant tant de jouissances et réjouissances proposées et surtout vécues...
Oui, c’était tout cela qui se manifestait à moi et devant moi maintenant, devant Ana, devant nous.
Un espace incommensurable de libertés, de bonheurs, de récompenses...
Mon ami Bob, mâle assuré et extraverti n’avait aucune peine à voir que nous étions heureux.
Il était également heureux que nous nous soyons arrêtés...
Il nous avait indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un grand confort dans ce qui lui servait de logement, en fait le local SNSM du site, et s’en était par avance excusé nous disant que nous n’aurions que des matelas gonflables dans un espace exigu pour trois pour toute couche et que la douche ne serait que celle de la plage une fois les vacanciers partis où avant qu’ils ne reviennent.
Je connaissais auparavant les lieux car j’y avais moi-même été Maître-Nageur quelques étés auparavant et Ana avait trouvé que cela serait sûrement une expérience intéressante et sympathique, en tout cas certainement un agréable souvenir...
La soirée fut assez arrosée et les esprits ne tardèrent pas à s’échauffer...
Bob nous proposa à l’issue du restaurant et dans l’attente que la boite n’ouvre de goûter un petit Banyuls qu’une charmante plagiste qu’il avait parfaitement comblée et sautée lui avait récemment offert...
Bob était un « chaud-lapin » et un insatiable baiseur.
C’est d’ailleurs ce qui nous avait fait nous rencontrer et même détester dans un premier temps au sein de notre club de musculation puisque nous avions jeté notre dévolu sur la même et accorte jeune femme....
Nous avions à terme sympathisé et fini par proposer à la belle de l’époque un plan à trois qu’elle n’avait pas accepté, nous traitant publiquement et en peine séance de cardio dans une salle pleine, de dépravés, pervers et autres amabilités...
Elle ignorait que c’est ce qui nous fit devenir encore plus amis et même, si elle avait su la belle, nous offrit de multiples occasions de trios et autres parties fines avec quelques femmes ayant assisté à l’esclandre mais qui elles, loin de nous juger, profitèrent pleinement de nos désirs, saisissant l’opportunité de savoir que deux libertins gaillards pouvaient proposer ce genre de chose...
Ce qui me rassurait aussi de lui.
Je savais qu’il était tout autant partageur que moi et que seul le sexe l’intéressait...
Il aurait pu faire un parfait Candauliste s’il n’avait pas accordé trop d’importance au challenge, à la compétition et donc aussi souvent au jugement et à la jalousie...
Un trop plein d’égo jouait aussi en sa défaveur ainsi qu’une culture « machiste » exacerbée par une éducation stricte à l’Italienne donnée par son beau-père pour admettre un instant que d’autres que lui puissent toucher celle qui serait sa « Madonne »).
Dans l’attente de l’ouverture de la piste de danse, il nous invita à nous installer sur une petite digue bétonnée surplombant l’anse un peu à l’écart et permettant d’admirer le coucher de soleil...
Chacun d’entre nous s’installa ainsi sans ordre pré-établi mais pour autant, c’est en quinconce que nous nous retrouvâmes : une femme, un homme (moi), une femme (Ana en l’occurrence), un homme (Bob) et enfin sa seconde amie ...
Nous nous étions serrés du fait de l’angle de vue du soleil couchant à cet endroit et nous étions très proches les uns des autres...
Bob déboucha la bouteille de vieux Banyuls à la couleur mordorée.
Nous admirions la beauté du site et la descente lente et majestueuse du soleil dans la mer... On aimait ainsi toutes et tous la beauté et le charme du lieu. La soirée était vraiment très agréable.
La gourmandise du vin gorgé de sucs et de soleil, d’un bonheur et une douceur incroyable, ne tarda pas à nous enjouer plus encore...
Ana m’embrassait de temps à autre et se lovait tendrement contre mon épaule...
Bob n’était pas en reste avec sa voisine de droite...
À un moment celle-ci osa même caresser et taquiner Bob, d’abord sur ses cuisses fuselées et musclées, puis par-dessus son short au point de le rendre assez visiblement bandant...
Ana s’en aperçu aussi et me demanda à l’oreille si, et c’était son péché mignon que de caresser un sexe offert et tendu près d’elle ou vers elle, elle pouvait se joindre à la belle pour profiter pleinement de l’instant :
« On est là aussi pour ça, non, c’est les vacances ? me dit-elle en me glissant un clin d’œil... ça t’ennuie si c’est avec Bob ? Profite aussi mon chéri...L’autre amie de Bob, Clara je crois, serait déçue de ne pas participer...Tu as vu comment elle te dévorait des yeux pendant le dîner ? Elle est belle non, me dit-elle en riant ? Je sais qu’elle te plait tout comme tu sais que Bob me plait... ! »
Que lui répondre, je n’en eu pas le temps d’ailleurs, si ce n’est qu’en lui adressant un vrai regard complice et un baiser tendre et passionné, lui signifiant entre autres :
« Va ma belle, sois belle...Sois heureuse, fais-toi plaisir...Prends et donne du plaisir...Je suis si amoureux et fier de toi...Que puis-te refuser... ? »
« T’inquiètes...dit-elle partant d’un éclat de rire que tout le monde put entendre, je m’occupe de lui et reviens vers toi aussi, tu connais ma gourmandise... ! »
Aussi, Ana saisi de sa main gauche mon membre qui n’avait pas lui non plus tardé à gonfler au travers de mon léger pantalon de soirée, le sortit de son écrin (on ne portait ni elle ni moi aucun sous-vêtement en été...) et commença à me masturber adroitement et plaisamment.
Dans le même mouvement et alors que l’amie de droite de Bob avait elle aussi dégagé le splendide sexe de Bob de son short trop moulant pour le caresser plus aisément, Ana se pencha et engloutit avidement l’engin de mon ami, grillant un peu la priorité à Laura en impatiente gourmande...
Laura, l’amie audacieuse de Bob ne s’en offusqua pas et caressa même tendrement les cheveux ondulés d’Ana tout en encourageant son initiative en aidant le mouvement de tête de ma belle prenant à pleine bouche l’engin majestueux de mon ami...De son autre main elle dégagea habillement les pointes déjà hautes et acérées des seins sublimes d’Ana pour les caresser en les effleurant...Ana émettait déjà de doux et si plaisants gémissements qui ravissaient tout le monde...
La nuit nous avait fort heureusement déjà légèrement couverte de sa discrétion et peu de personnes malgré le monde présent sur la plage pouvait nous voir ou nous entendre...
Aurait-ce d’ailleurs été un drame tant il me semble que le spectacle que l’on offrait pouvait être assez sensuel et beau...
Ana étant néanmoins de nature partageuse, ne tarda pas à laisser et partager le sexe de Bob qui devenait turgescent et impatient...
Ana revint ainsi comme promis vers moi et m’engloutis à mon tour tout en attrapant la main de Clara, l’autre amie de Bob assise à ma gauche, pour la diriger vers la base de mon sexe complétement sorti et accessible. Elle lui signifia de me caresser les couilles que j’avais par nature fermes et développées...
Pendant ce temps, mes mains avaient elles aussi pris le chemin de la chatte de ma voisine que je trouvais entrouverte et déjà humide sans aucun sous-vêtement sous sa courte jupe d’été...
Ses seins dardaient également sous le mini haut qu’elle portait et mes lèvres furent irrépressiblement attirées par ses pointes majestueuses...
Nous formions alors un îlot et une chaîne d’amour.
Je crois que c’est aussi réellement cette capacité de partage absolu et d’amour du beau qui définissent le Candaulisme...J’en suis convaincu.
Le soleil s’était maintenant éclipsé en grande partie tandis que nous ne commencions qu’à nous élever vers nos plaisirs et jouissances partagées et à nous engouffrer dans une pleine et entière nuit d’amour...
C’était certain...
Bob osa un : « On n’est pas bien là... ? », et la nuit débuta...
Bob s’était levé et les deux belles, Ana et Laura s’étaient mises à genoux devant son mat « bordé » à mort pour l’emboucher et le partager savamment tour à tour...
Il les accueillait dignement et de ses mains les encourageait à venir au plus loin de son bout...
De son côté Clara, à peine Ana m’avait-elle délaissée pour goûter pleinement au fier mât de Bob, s’était directement empalée sur mon dard le recouvrant de son cul et l’insérant adroitement dans sa fente déjà brûlante et inondée...
Je l’aidais délicatement en prenant à pleines et douces mains ses fesses charnues en la levant selon ses désirs et les rythmes qu’elle souhaitait...
Ana se redressa et se mit debout, laissant Bob se laisser dévorer par sa copine et vint placer au plus près de ma bouche sa chatte impatiente : « Dévores-moi mon Amour...Bouffes-moi la chatte comme tu sais si bien le faire...Chauffes-moi...Rends-moi liquide et chaude comme cet après-midi dans la voiture...Je veux que Bob quand il aura joui une première fois dans la bouche de sa copine me prenne en levrette devant toi... Je te sucerai aussi en même temps quand Clara aura bien fini de t’exciter...
Nos copines nous caresserons alors de partout avant que chacune d’elle vienne prendre ma place, que vous les honoriez, les baisiez et qu’on vous fasse jouir comme jamais vous n’avez joui vous les hommes... »
Souvent, les audaces et envies d’Ana dirigeaient les ébats...Il en fut encore le cas ici...
Les deux amies de Bob s’exécutèrent comme captivées et envoûtées par les désirs d’Ana qui venait les encourager tout à tour de ses mots crûs et choisis qu’elle leur glissait à l’oreille et des caresses adroites et précises de ses mains...
Ce fut une apothéose de jouissances avant qu’Ana, une nouvelle fois directrice, nous invite à la suivre dans le noir bleuté de la mer si proche, pour un bain de minuit revigorant...
J’ai pu la prendre tendrement un instant dans mes bras tout en la perforant de mon sexe de nouveau bandant et partageant nos « je t’aime » tout aussi vrais qu’intenses...
Bob s’occupait de ses deux amies pas très loin de nous dans cette mer si belle et accueillante...
Nous nous rhabillâmes tranquillement au milieu d’autres personnes dont la nuit maintenant tombée pouvait à peine nous cacher les ébats et nous dirigeâmes vers la cahute de la SNSM pour tous nous refaire un visage humain à la lumière d’une frontale avant de rejoindre la boite et sa piste bondée où nous nous mirent à danser et de nouveau à picoler...
La soirée n’était visiblement pas terminée...
Il devait être une heure du matin maintenant...
Un peu avant et pendant qu’Ana se refaisait une beauté, elle était incroyable d’aisance dans ce domaine tant en peu de temps et avec peu de chose elle semblait sortir tout droit d’un magasin chic, fashion et à la mode..., je discutais avec Clara et Laura de leurs vacances dans cet endroit...
Elles y étaient pour une semaine et avaient rapidement fait connaissance de Bob qui les avait déjà invitées dans la boite de nuit et s’étaient retrouvées à le câliner à deux, une première pour elles m’avouèrent -elles, dans cette même cahute que nous devions occuper ce soir avec Ana et Bob, un ancien casot de la vigne proche où nous aurions à passer la nuit.
« Ne t’inquiète pas me dit Clara avec son franc sourire et sa confiance tout en adressant un clin d’œil à Laura, il y a de la place pour trois...Il faut juste être comme nous partageurs et visiblement vous l’êtes, me dit-elle, en me caressant l’avant-bras... C’est bien...Ana est superbe, tu as beaucoup de chance »
« Est-elle réellement bi, me demanda innocemment Laura (?) ou est-ce juste par jeu qu’elle nous a caressée ? Clara et moi le sommes. Nous vivons aussi en couple, comme vous, et nous autorisons à draguer les hommes, souvent le même, ce soir étant une exception car vous êtes deux avec une si charmante femme, nous nous ressemblons tellement dans nos goûts... 
Oui, je te demande ça car Ana est vraiment douée pour caresser les femmes...on en a parlé avec Laura et on ne sait pas si elle est bi...Quand nous dragons une femme bi, ce qui est très rare car il faut vraiment qu’elle nous plaise à toutes les deux, nous nous demandons la permission avant et il faut que toutes les deux on accepte...C’est notre code et notre conduite ...Là, vous nous avez un peu surpris et nous ne savions pas toutes les deux si nous pouvions nous lâcher avec elle... Bob ne nous avait parlé que d’amis venant le rejoindre... ! On n’en avait pas parlé avant, Bob et toi étaient là et nous ne savions pas si vous aussi vous aimiez voir et regarder des femmes entre elles...On ne connaissait pas Ana et ne savions pas si elle aimait les femmes... ? Il semble que oui...ou en tout cas ce serait dommage qu’elle ne soit pas bi... Vraiment dommage... !
Elle est si attirante, belle, radieuse et lumineuse...Laura est d’accord aussi pour la draguer et aller plus loin avec elle...Tu penses que c’est possible ?
Que répondre à ces gourmandises ?
Il y a quelques mois, j’aurais pu hésiter mais là non...
Plus du tout même après tout ce qui s’est passé à Toulouse avec Elena et d’autres encore ...
« Oui, oui et oui les filles, mais attention, elle est aussi douée avec et pour les femmes que pour les hommes...C’est à vos risques et périls...Tu as vu tout à l’heure comment elle est capable de prendre les choses en main... »
Cette expression la fit éclater de rire tandis qu’Ana apparaissait effectivement magique et envoûtante...
« On parle de moi..., dit-elle d’un sourire faussement jaloux...Attention, j’aime ou je pourrais aimer !
Tu peux y aller mon Chéri...
Venez les filles, pendant qu’ils se préparent à leur tour, on va dire du mal de nos hommes, de la soirée et pourquoi pas se faire un plan cul entre filles vu qu’on les a déjà sûrement pas mal usés...Et pourquoi pas aller mâter d’autres mecs... ? Il doit bien y en avoir des canons dans cette boite... Et les nôtres sont certainement déjà fatigués », ajouta-t-elle, fidèle à son goût de la provocation...
Laura et Clara étaient rassurées, riaient aux éclats, déjà séduites et impatientes du reste de la soirée...
Oui, c’était vrai que j’étais chanceux d’être le partenaire d’Ana et plus encore depuis cette soirée estudiantine et le début de nos vacances de cette année...
Ana avait franchi un cap vers son épanouissement sexuel dont je profitais et me ravissais avec délectation et gourmandise tant c’était également ce à quoi j’aspirais depuis toujours...
Mon Candaulisme longtemps refoulé et surtout mal cerné m’apparaissait aujourd’hui au grand jour, et vu qu’il était pleinement et entièrement partagé par Ana, que pouvais-je demander de mieux... ?
J’étais aux anges et sur mon petit nuage depuis quelques jours et l’avenir, déjà cette soirée, s’annonçait réellement radieux.
Suite prochaine...
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claudehenrion · 6 months ago
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Démocratie / religion : un couple inséparable ?
Pendant ces dernières vacances, j'ai eu la chance de lire un livre récent de Hartmut Rosa, ''Pourquoi la démocratie a besoin de la religion''. Ce bouquin m'a transporté au septième ciel (Petit rappel, pour sourire : les astrologues babyloniens avaient découvert que six étoiles semblaient hors de l'organisation de la ''voûte céleste'' (alors dite ''fixe'') : Soleil, Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne avaient donc été associées, chacune, à un ''ciel'' spécifique. Cette image a été reprise par Ptolémée, et jusqu'à Copernic... Puis les sexologues ont détourné ce ''septième ciel'' vers d'autres cieux…).
Hartmut Rosa est un des sociologues majeurs de la modernité. Largement inconnu en France (il n'est pas assez ''de Gauche'' pour l'être, puisqu'il a formulé de grandes réserves sur la modernité –qu'il critique, ce qui est un péché mortel contre la doxa, ceci expliquant cela !), c'est un disciple de Habermas dont Il partage la vision d'un capitalisme prédateur. Mais s'il poursuit des rêves de justice et d'émancipation, il refuse la mode qui voit la solution à tous les problèmes dans la seule critique du catholicisme, qui était si ''prégnant'', il y a 250 ans, que les Lumières en avaient fait l'ennemi à abattre (''Ecrelinf'', écrasons l'infâme, écrivait Voltaire...). Au moment où il ne représente plus aujourd'hui que 2 % de la population française, les fils des prétendues ''Lumières'', définitivement éteintes, ne voient même pas l'anachronisme de toutes leurs prises de position ! Mon Dieu (si j'ose dire ça en leur présence) ! Sont-ils périmés !
Les lecteurs réguliers de ce Blog ont tout de suite compris pourquoi ce livre m'a tellement séduit : depuis notre n°1, le 15 novembre 2013, je n'ai jamais caché ma croyance profonde que le retour aux fondamentaux chrétiens –sources profondes de la civilisation dite occidentale, fille d'Athènes, de Rome et de Jérusalem-- pouvait encore sauver le monde de sa chute vertigineuse actuelle.. idée dans laquelle je persiste, même si je me sens souvent bien seul et en opposition avec ''ce qui est à la mode et que les pouvoirs officiels font croire vrai'', càd. avec cette doxa-du-jour qui égare tant de braves gens, contaminés par cette pathologie tellement plus mortifère que les ''fake-pandémies'' (genre covid) dont nous gavent les médias ''main stream'' (ce terme désignant les destinataires des subventions de l'Etat, donc les suppôts de la mensongère ''vérité officielle''). Vous imaginez mon bonheur devant cet ''essai'' stimulant, à contre-courant de toute la pensée officielle (donc dépassée, par définition : le temps que leur fatras conceptuel atteigne leur lobe droit... l'info est obsolète !).
Le ''script'' est d'une simplicité... biblique : face à une accélération sociale toujours plus agressive pour les individus comme pour les groupes humains, Hartmut Rosa affirme que la religion offre une sorte d'antidote à ce mouvement de destruction de l'individu qui est une tendance lourde de notre monde en marche vers sa fin programmée --et apparemment voulue par certains. Pour lui, la religion –et plus particulièrement son rameau chrétien (nous y reviendrons)-- favorise une manière ''d'être au monde'' qui rejette les excès de contrôle, de domination et de normes inutiles, pour ''se tenir comme un cœur qui écoute...'' comme le dit la prière de Salomon...
Son point de départ est la constatation du mécontentement (en voie de généralisation) qu'engendre notre mauvaise habitude de ne plus voir, juger et évaluer le monde qu'en termes et en fonction de critères économiques (en France, nous en vivons un exemple permanent : nous sommes condamnés à survivre dans un monde où le discours de Macron et de Le Maire sont les références prépondérantes. Quel désastre !). Rosa explique :''Le sentiment que ''ça ne peut pas continuer comme ça'' est devenu culturellement dominant... et il ne débouche sur rien que la violence et le chaos...''.
(NB : on le vit ''H 24'', avec l'appel à l'aide de nos paysans qui demandent respect, considération, écoute, fin des idées absurdes (donc de l'emprise néfaste des malfaisants de Bruxelles) et restitution de leur dignité volée... et à qui on répond : 50 millions d'Euros ici, 30 millions là et 20 ailleurs... en leur vantant les beautés de l'Europe et de la Norme.. comme ne peuvent s'empêcher de le faire Macron et Attal, jetant ainsi de l'huile sur le feu, en plein drame civilisationnel... ).
Devant ce grand doute collectif, H. Rosa parie que ''la religion peut aider à retrouver ce dont nous avons vraiment besoin'' et veut quitter les modalités de l'agression-seule-solution-possible, en retrouvant un iso ''pari de Pascal'' : ''Qu'est-ce que j'y gagne, moi ?'' Et ''Qu'est-ce que cela me coûte / me rapporte'' ?... ce qui invite et incite à la redécouverte d'une attitude résolument ''autre'', tournée vers le bien-être inhérent à se laisser parcourir par un autre souffle. Dans cet essai audacieux, le sociologue nous invite à envisager volontairement que la voie que nous avons choisie et privilégiée n'est sûrement pas la seule, et sans doute loin d'être la meilleure. Lui, offre, en un mouvement contraire, la ''face lumineuse'' de la religion –en espérant la guérir de ses pathologies, qu'il estime plus facilement guérissables que … tout ce qui ne va pas dans le bon sens dans le système actuel.
En tout état de cause, son analyse ouvre la porte à de nouvelles possibilités de dialogue entre croyants et non-croyants... et rien que l'espoir de ce seul authentique progrès justifierait qu'on donne sa chance à ce ''on ne l'a plus essayé depuis des siècles... On dit Chiche ? Il y a, depuis peu, tant de pays qui s'ouvrent enfin à un retour de l'intelligence dans les systèmes politiques que si on ouvrait cette porte hermétiquement interdite par des idéologies dont pas une seule n'a réussi, jamais, même un peu... ça n'irait sans doute pas plus mal, et peut-être même mieux. Après tout, tout va si mal qu'on n'a pas grand chose à perdre ! Il suffit de voir à quelle vitesse le rouge et le rose disparaissent de notre ciel –et ''c'est pas trop tôt !''-- pour avoir envie de se remettre à croire à nos lendemains...  Merci, Monsieur Rosa !
H-Cl.
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ditesdonc · 7 months ago
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Emma, son Django, son vélo… et que ça roule!
Texte d’Emma Montillet
Emma est une voyageuse invétérée, il faut que ça bouge, à droite, à gauche, en haut, en bas, en diagonale aussi surtout, mais pas sans son vélo ni, surtout, son adorable Django. Lors de ses aventures, elle prend le temps d’écrire un petit journal, en ligne. En voici un extrait!
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Llanes, Espagne, 23 Mars 2022, 17°C
Etape 1: 62 km et des patates, 1086 m de dénivelé.
Je suis partagée entre vous faire transpirer ou mettre les formes.
Plantons le décor. Un voyage à vélo peut avoir des moments fabuleux et d'autres complètement galère ! C'est pas vraiment des vacances, mais plutôt un dépassement de soi et un challenge.
Oui, j’aurais pu passer des vacances pépère tranquillou mais j'ai choisi d'aller à la rencontre de moi- même. Désolée pour cette philosophie “femme actuelle” mais je suis complètement KO! A l’heure où je vous écris, je m'apaise un peu. Une demi-heure plus tôt, je voyais mes affaires se faire emporter par l’océan, le chien en train d’essayer de nager et moi pousser le vélo en pleurant.
Petit aperçu de la journée : je l’ai passée avec l'impression d'être un saucisson oublié dans une voiture en plein mois de juillet ! Trempée !!!!!! C'est hyper vallonné… Ma difficulté vient de mon patapouf Django qui boîte et a de grandes difficultés à marcher. Ça me fait de la peine pour lui. Demain je vais chercher un véto. Et me reposer un peu car j'ai tellement transpiré que… j’ai un fessier de babouin!!!! Demain, c’est danseuse je crois bien!!! J’essaye de tourner avec humour ce qui s'est passé ce soir, prendre du recul, mais je vous avoue que j'en ai plus que bavé. Ben oui… je suis tombée car je n’arrivais pas à soutenir le poids du vélo, plus la remorque, plus le chien. J'étais en train de me dire “ c'est une belle plage pour mourir mais ça fait chier, j'ai pas rangé ma maison avant de partir!”
Et là.... miracle… je croise deux randonneurs! Mes sauveurs!!!!! Tous les trois, on a poussé le vélo pendant plus de 30 minutes. Grâce à eux, j'ai pu rejoindre le haut de la colline. J'étais tellement reconnaissante, j’en avais les larmes aux yeux.
Je suis dans ma tente, complètement tordue, car le sol n'est pas droit; mais avec mon cerveau tordu ça va compenser… Comme un oiseau qui apprend à voler. Là, j'aurais eu une riche expérience! Parfait pour du “REX”!!!! Traduction: du Retour d’expérience. Comme quoi ce qu'on apprend au boulot peut nous servir dans la vie perso ! Demain je tirerai les enseignements de ma journée, pourquoi je vais grandir grâce à ça etc… Et je vous parlerai des magnifiques paysages que j'ai découverts. Mais là... place à la méditation, à la guitare… Un câlin au chien et dodo.
PS: dans quelque temps ça deviendra mon anecdote préférée. Je vais m'en sortir et faire appel à mon moral d'acier. Même si j'ai pleuré, je sais que je vais rebondir !
PS2 : tout va déjà mieux, je passe la soirée avec mes anges!!!!!! Je vous raconte demain. Je suis trop chanceuse!!!
Ribadesella 23 Mars 2022 18°C
Étape 2 : 35.6km 455 m dénivelé et… mes anges gardiens!
J'ai fait toutes les erreurs de primo-intervenants. Pourtant, c'est loin d'être mon premier voyage à vélo. Bref. Alors, en “REX”: - nourriture: prendre plus à bouffer. Je ne sais pas ce qu'il m’arrive mais je mange comme
4!!!!! Du coup hier j'ai tout englouti en mode boulimique. Résultat, comme les bars où je suis passée étaient fermés j'ai failli manger las croquetas del perro…
Oulalala pinaise (façon Simpsons), j'ai encore plein de choses à raconter sur hier. Déjà il faut que je m'engueule. Si j’avais été patron, je me serais virée !
- préparation : je crois que quand une personne me recommande en espagnol un endroit pour dormir, je n’écouterai plus car je ne comprends rien aux consignes!!!! Hier c'était juste impossible comme endroit!
-hydratation: quand c'est trop pentu, tu ne peux pas boire en roulant car tu vas tellement doucement que tu tombes. Et si tu t’arrêtes et ben, tu ne repars plus! Dilemme cornélien !!!! Pousser ou se déshydrater????
Ni l'un ni l’autre, banane! Si tu prépares ton parcours un peu plus, tu peux anticiper. En tous cas, là, je ne pouvais pas boire. C'est comme si vous essayiez de prendre un verre en faisant du trampoline....
- minute d'arrêt ! Quand tu vois un obstacle qui te semble quasi insurmontable ben… peut-être qu'il l'est vraiment ! Arrête-toi, boudu. Réfléchis deux minutes et fais demi-tour si besoin!!!! Ne fais pas ta tête brûlée : ça passe large !
Revenons à la soirée. Hier j'ai vraiment eu le "cul bordé de nouilles"!!!! (C'est au sens figuré car au sens propre, c'est plutôt des ampoules… pas de dessin.) Mes anges gardiens sont revenus pour m’amener des bonnes pâtes chaudes et une bière. J'ai hésité, j’avais peur de faire un coma éthylique vu mon état ! Or la soirée a été incroyable !!!! Tellement inattendue. José et Christina, les petits anges, donc, ont joué de la guitare et chanté. J'ai eu tellement de chance de les rencontrer… J’en ai eu les larmes aux yeux. Il faut croire que j’avais une belle étoile.
Ce matin je me suis réveillée en haut des plages, c'était trop beau. Puis véto pour Django. Et, vous savez quoi: José est mécanicien vélo !!! Si si, je vous jure!!! Incroyable non? Il m’a tout réparé le vélo !
Là, je surplombe la mer. Je vais me laisser bercer par le chant des vagues. "Oulalala tu fais ta poète pouet pouet pouet;-)"
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alexar60 · 1 year ago
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Le gouffre (histoire réécrite)
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(J'ai supprimé la précédente histoire parce qu'elle ne me plaisait pas)
Pendant les vacances, je suivais constamment mes potes. On faisait des tours de vélos dans le village ainsi que dans la campagne ou dans les bois. On allait loin, à dix kilomètres de chez mes parents. J’avais dix ans et personne ne s’en souciait. Certainement parce que dans les années quatre-vingt, l’insécurité n’avait pas la même définition. Surtout pour un groupe de garçons.
Ce jour-là, nous suivîmes Christophe dans la forêt. Il avait écouté sa grand-mère parler d’un lieu maudit mais oublié. Il s’agissait d’une grotte au cœur de la forêt, inaccessible par les chemins actuels. Et d’après elle, cet endroit serait maudit. Durant son enfance, il y vivait un ermite qu’on suspectait être un mangeur d’enfants. Alors, il voulait savoir si cette caverne existait réellement.
Nous passâmes une bonne demi-journée à chercher le lieu perdu. On privilégiait les anciennes carrières. Il y en avait quatre, sans trouver d’entrée pouvant correspondre. Je n’avais jamais autant fait de vélo de ma jeune vie, avant cette recherche. Malgré la fatigue, nous continuâmes jusqu’à un lieu appelé le chantoir.
L’endroit n’avait rien d’incommodant. Il n’existait aucune route pour y accéder, pas même de sentier officiel. C’était juste un creux entouré d’arbres. Cependant, une partie était composée de roches formant une sorte de falaise. Nous longeâmes les parois jusqu’à découvrir une faille caché par quelques plantes grimpantes.
C’est là ? demanda Mehdi.
Personne ne répondit. Christophe s’amusait à débarrasser le lierre pendant qu’Arnaud partit pisser contre un arbre. De mon côté, je restais assis sur mon vélo à attendre ce qu’on devait faire. Je regardais la brèche s’agrandir lentement après le nettoyage de mon copain. Il était évident qu’un adulte de taille moyenne pouvait entrer par cet endroit.
Les yeux de Christophe pétillaient devant l’entrée de ce qui ressemblait à une grotte. Nous restâmes derrière lui à attendre la suite. Il surprit le groupe en sortant de son sac à dos une lampe torche. Certain qu’on trouverait le site, il avait tout prévu. Il commença par allumer la lampe, la dirigeant vers la faille afin de voir au plus loin.
Et si l’ermite arrive ? intervint Mehdi.
Il doit être mort, répondit Christophe. Ma grand-mère m’a dit qu’il habitait ici quand elle avait notre âge.
Mais tu es certain que c’est ici ? rétorqua Arnaud.
On a trouvé une grotte, non ?
Puis, il avança. Il toucha du bout des doigts les parois avant de se retourner dans notre direction et d’ajouter :
Alors, vous venez ?
Je descendis de ma bicyclette. Par contre, Arnaud et Mehdi restèrent assis. Ils n’étaient pas convaincus par l’aventure qui s’offrait à nous. Dès lors, Arnaud expliqua qu’il commençait à se faire tard, préférant repartir et éventuellement revenir le lendemain. Je restais donc avec Christophe qui, trouva les mots pour me convaincre :
On entre cinq minutes, puis on revient demain avec les copains.
Ainsi nous pénétrâmes l’entrée de cette grotte inconnue. Nous étions comme Tom Sawyer et Huckleberry Finn à la recherche du trésor des pirates. L’idée de la présence de Joe l’indien titilla mon esprit, avant de disparaitre comme elle était venue.  Ce n’était qu’un dessin animé inspiré d’un livre, après tout.
Nous quittâmes le jour pour entrer dans la nuit. Seule la lampe torche permettait d’avoir un peu de lumière. Elle éclairait faiblement mais suffisamment pour entrevoir une distance de  quelques pas. Nous marchâmes lentement dans un court passage aux parois rugueuses. Je sentais les bords coupants de la roche presser contre mes vêtements. Enfin, nous arrivâmes dans ce qui parut être une salle.
C’est ici ! On a trouvé la grotte ! Cria de joie mon ami.
Je riais, heureux de notre découverte pendant qu’il sautait dans tous les sens. Nos clameurs résonnaient laissant croire que nous étions une centaine de personnes. Je proposais ensuite de rentrer. Soudain, mon pote découvrit un nouveau passage. Dès lors, il m’invita à le suivre.
Juste pour voir et après, promis, on fera demi-tour.
Résigné, je le suivis en pénétrant dans un petit couloir. Je devais légèrement m’accroupir pour éviter au plafond d’essuyer une couche moite sur mes cheveux. Nous marchions dans le noir complet, éclairé uniquement par un faisceau de lumière, lorsque je sentis le sol s’effondrer brutalement.
La chute fut, à la fois, rapide et longue. Nous n’avions pas eu le temps de hurler. Je me retrouvais étendu sur le dos au bord d’un précipice, une jambe pendant dans le vide. J’étais coincé sans savoir à quelle hauteur je me trouvais. Ma hanche ainsi que mon épaule droite faisaient horriblement mal. Chaque mouvement était insupportable.
A ce moment, je regrettais d’avoir suivi Christophe. Perdu dans le noir, je pensais à mes parents, à ma sœur. Je hurlais appelant à l’aide. Mais seul l’écho répondait. Tout à coup, une voix vint à mon oreille.
Ne panique pas, dit calmement Christophe.
Où es-tu ?
En dessous de toi.
Effectivement, sa main toucha mon bras gauche jusqu’à agripper mes doigts pour les serrer. Ce geste rassura mon esprit. Nous parlâmes de mes blessures et de leurs douleurs. Il me dit qu’il ne pensait n’avoir rien de cassé, quelques contusions. Mais il avait perdu la lampe et il ne pouvait nous éclairer. Puis il s’excusa de m’avoir emmené dans ce gouffre. De temps en temps, sa main serrait la mienne dans un geste fraternel.
Pendant des heures, nous restâmes à attendre, sans rien voir de ce qui nous entourait. Parfois, je m’endormais. Seulement au moindre mouvement, l’atroce douleur me réveillait. Christophe ne parlait jamais à moins de répondre à mes appels. Il attendait sagement, persuadé qu’une expédition viendrait pour nous secourir. C’était évident, on allait venir.
Quelle heure est-il ? questionnais-je.
Je ne sais pas… Deux heures, trois heures…
Il fait nuit ?
Oui.
J’ai peur, dis-je.
Il ne répondit qu’en serrant ma main encore une fois. Je ne savais pas où il trouvait cette force à croire en l’espoir. Il était toujours le premier à faire les conneries, on le suivait. Et finalement, on s’en sortait toujours. Il me rassura une dernière fois. Puis je m’endormis en l’entendant dire :
J’aimerais revoir ma mère.
Des murmures nous réveillèrent. Des échos perdus dans la cavité se rapprochaient de nous. Mon pote serra ma main lorsqu’une lumière éclaira mon visage. J’aperçus au loin, à une dizaine de mètres au-dessus de moi, des têtes casquées. Ils crièrent. Deux hommes descendirent en rappel pour me secourir. Je pus souffler. Aussi je fus surpris d’entendre une troisième personne demander si j’étais seul.
C’est trop profond pour continuer de descendre, annonça en criant un des sauveteurs. Il y a au moins cents mètres.
Mais Christ est juste là.
Désolé mais il n’y a que du vide. Tu as eu énormément de chance de tomber sur ce bord.
Comprenant son erreur, il ajouta : T’en fais pas, on va retrouver ton copain.
Il avait raison. Le corps de Christophe était bien plus bas.
J’ai mis plus d’un an à me remettre de mes blessures et dix ans à retrouver le moral sans penser à mon ami. J’ai gardé contact avec Mehdi et Arnaud pendant longtemps. Après cette tragédie, nous avions arrêté nos conneries. Cependant, Je ne les ai jamais remerciés d’avoir donné notre position. Sans eux, je serai aussi mort. De même, je n’ai jamais parlé de nos discussions dans le gouffre avec Christophe. Parce qu’elles n’étaient pas possibles d’après les secours. Le précipice était trop lisse pour qu’il puisse se tenir. Mais il était avec moi pendant tout ce temps, à attendre qu’on vienne me sauver.
Alex@r60 – novembre 2023
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thomas-querqy · 5 months ago
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François Sureau, la liberté passionnément
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L’interminable crise sanitaire du Covid aura au moins eu l’utilité de me conforter sur deux points : notre système politique « présidentiel », indigne d’un vieux pays démocratique, est au bout du rouleau, et la privation des libertés individuelles et publiques, qui a pu ainsi nous être imposée, très au-delà du nécessaire, m’a révélé combien, par dessus tout, j’y étais attaché, à la différence de la très grande majorité de mes concitoyens. Comme les journalistes relayaient avec conviction la propagande de peur du gouvernement et chacune de ses mesures liberticides, sans qu’aucune critique ne puisse s’exprimer, j’ai dressé l’oreille lorsque j’ai entendu pour la première fois la voix grave et l’élégant phrasé d’un homme que je ne connaissais pas : François Sureau.
Merveille de la mise en ligne des archives radiophoniques du service public, je crois avoir retrouvé son intervention sur le 7-9 de France Inter du 21 Mars 2021, peu avant le 3e confinement. L’homme était invité à l’occasion de la sortie de son livre « Ma vie avec Apollinaire ». Nous pûmes ainsi avoir le plaisir de l’entendre dire :
On a l’impression d’assister en réalité à un effondrement, qui est un effondrement de 10 ou 20 ans de la gestion technocratique de la société. […] J’ai eu bien des fois au cours de l’année qui vient de s’écouler l’impression fâcheuse [d’un] transfert [de responsabilité], c’est-à-dire qu’au fond un gouvernement raisonnablement coupable s’en prenait à un peuple innocent, ça ne veut pas dire non plus à l’inverse que nous puissions être facilement tenus quitte de notre assentiment, puisque en réalité nous collaborons tous à ce transfert de responsabilité. La presse par exemple a été dans la première partie du confinement étonnamment lamentable, dans son absence d’esprit critique. L’analyse critique de l’effondrement de la gestion technocratique du monde reste en deçà de ce qu’on pourrait attendre des contrepouvoirs. […] Je parle de la presse mais je pourrais parler du Parlement qui s’est mis pratiquement en vacances […]
En farfouillant sur le web, dans une archive de « C à vous » du 19 juin 2020, en sortie du 1er confinement, il énonce clairement « le blocage institutionnel » dans lequel se trouve notre système politique et ce qui fait de la France une démocratie défaillante :
Cette période a révélé des choses qui étaient à l’œuvre avant et qui se sont continuées de manière extrêmement spectaculaire […] Pour moi le blocage institutionnel auquel nous assistons à l’heure actuelle, [c’est] que nous n’avons que peu d’exécutif, peu de législatif et une justice constitutionnelle qui s’est mise en vacances, quelque chose que nous avons vu se développer au cours des années précédentes, qui a été révélé de manière éclatante avec le confinement, et ça c’est un vrai sujet beaucoup plus que le confinement lui-même. [...] On est la seule démocratie occidentale qui confond les fonctions de chef de l’État et de chef de gouvernement, c’est très emmerdant tout de même, ou bien le chef de l’État est chef d’État et incarne toute la nation, et dans ce cas il est accusé d’être un « roi fainéant », ou bien il se met à agir pour défendre un programme et dans ce cas là il y a la moitié ou les deux tiers des gens qui le déteste très vite, donc la popularité qui advient au président de la république actuellement, procède d’un vice constitutionnel total. Quant au premier ministre, lui il se transforme progressivement en secrétaire général du gouvernement + et ministre responsable des relations avec le Parlement. En fait vous n’avez ni gouvernement, ni chef de l’État avec la confusion, c’est tout de même fascinant. Nous n’avons pas non plus de législatif puisque le législatif ne contrôle pas, n’évalue pas, et empile des normes. Et la justice constitutionnelle, et une large part de la justice civile, s’est mise en vacance. C’est-à-dire que sur les trois pouvoirs de la déclaration des droits, nous les avons vu disparaître simultanément -j’exagère un peu bien sûr. […] Ce système met en face un peuple peu représenté, convaincu qu’en réalité le pouvoir n’est pas réellement responsable devant lui pendant une période de 5 ans, ce qui est énorme, et condamnant tout chef d’État élu à une impopularité radicale après une période de 3 ou 4 ans, ce qui est très dangereux pour la démocratie libérale.
Lorsque j’ai appris qu’il venait de publier un nouveau livre, « S’en aller », j’ai eu envie de le lire. C’est ainsi que j’ai découvert que l’homme avait eu plusieurs vies, notamment celle de s'’être engagé dans la réserve de la Légion étrangère. J’en lirai d’autres car il mérite bien son épée d’Académicien.
Je me suis aperçu très tard que j’avais de longtemps peur de la mort. L’agonie de mon père a fait venir au jour ce sentiment enfoui, qui depuis le début de l’âge adulte me faisait me réveiller trois fois par nuit pour m’assurer que j’étais bien vivant. […] Cette peur n’était pas la peur du néant. J’ai toujours eu la prescience de l’autre côté. […] Si j’aime la vie, si l’angoisse m’étreint à l’idée qu’elle s’achève, ce n’est pas tant pour le plaisir de voir se prolonger les émotions immédiates qu’elle dispense, que pour pouvoir continuer à la ressentir en partie double, pour ce qu’elle est et pour ce qu’elle annonce, cette interrogation étant ce qui me fait écrire.
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sushis4kalyo · 1 year ago
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Nintendo nous a quand même bien eu avec Animal Crossing News Horizons ... 🏖
Hypée par Pocket Camp
J'imagine aisément que j'étais loin d'être la seule à avoir téléchargé l'application Animal Crossing Pocket Camp (ACPC pour les intimes) alors qu'on attendait impatiemment la sortie d'Animal Crossing New Horizons sur switch.
J'imagine que comme moi, vous avez été plus que séduits par les contenus super originaux de l'appli. Des perruques, des tenues originales, des meubles magnifiques ... dommage que le système nous incitait à investir de l'argent réel pour finir les collections. M'enfin, ça annonçait du rêve pour ACNH car bien qu'ACPC n'était pas développé par Nintendo, on s'attendait à une réutilisation des contenus ... ça semblait logique.
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Des nouveaux contenus ... à la place de l'ancien
Et on a eu de nouveaux contenus ! J'étais contente au début lorsque je débloquais les meubles au fur et à mesure ... et j'ai déchanté quand j'ai compris tardivement que je n'allais plus revoir certaines séries de meubles. Notamment les séries disponibles chez Carla ... Cela s'est vu pour les meubles, les vêtements, la personnalisation du personnage (disparition pure et simple de la couleur châtain pour les cheveux, t'as le choix entre blond/jaune ou brun ...) que dans la boutique de Méli et Mélo ... (les galeries, grandes absentes ...)
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La comparaison inévitable avec Pocket Camp
Du coup, étant donné que le jeu faisait des mises à jours assez régulièrement, je me disais que ça allait venir progressivement... hehe non. On a eu quelques mises à jour sympas, faut l'admettre ... mais Pocket Camp nous a induit en erreur. Je pense qu'on s'attendait à avoir le contenu actuel d'ACNH + les points forts d'ACNL (Animal Crossing New Leaf, sur 3DS) + du contenu d'ACPC ... et on a pas compris quand en fait ... non.
2 ans de mises à jour, les événements sont devenus répétitifs ... et Nintendo n'a pas suivi ... enfin ... n'a pas voulu suivre.
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Le DLC ou "Azy tiens voilà tes meubles et laisse nous tranquille"
Enfin si Nintendo nous a annoncé le DLC Happy Home Paradise. De mémoire, ils nous ont annoncé le DLC comme étant le seul et unique en même temps que la fin des mises à jours du jeu. Personnellement, j'ai pris ça comme un "tenez et faites plus chier !" ... d'accord tu as d'autres jeux à développer mais étant donné le succès de l'opus, j'arrive pas à croire qu'il était impossible de faire vivre le truc plus longtemps. À croire que développer des jeux, ça peut emmerder Nintendo ... mais juste les jeux. Notons qu'ils n'ont même pas été foutus de modéliser un gâteau pour les 2 ans ou même de ressortir le même avec chaque fois une année de plus comme ça a été fait pour l'arche du nouvel an.
Revenons en au DLC, il nous permet de décorer les maisons de vacances des habitants, d'avoir quelques nouveautés concernant la construction et plein de nouveaux meubles, un petit scénario ... ok, c'est bon. Sauf que bon, pour moi, on aurait dû, dès le départ pouvoir décorer nous même les bâtiments et pouvoir en créer comme ceux présents dans le DLC : Café/restaurant, hôpital, boutiques etc ... et peut-être permettre à nos personnages de choisir entre différents métiers. Ça aurait vraiment pu redynamiser le jeu et permettre toute une dimension RP. Bémol : Est ce que la console l'aurait supporté ? Ça ... j'ai pas la réponse mais j'imagine aisément que s'aurait été un gros problème.
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Des goodies partout
Le jeu est clairement laissé à l'abandon et pourtant je n'ai jamais vu autant de goodies. Ils étaient plus que rares en Europe lors des anciens opus ! Nintendo a choisi de vendre des goodies, qui doivent coûter certainement moins cher en design (surtout si les mecs sont payés à coup de lance-pierre) qu'à développer des DLC. En gros, on nous prend pour des vaches à lait et on en redemande. Honnêtement ça me rend aigrie. J'ai l'impression qu'on nous a vendu du rêve pour qu'après Nintendo se débarrasse de la communauté Animal Crossing avec un DLC dans lequel tu peux chopper tous les meubles comme ça ...et ça me pique de voir qu'on s'arrache les goodies alors qu'ils ont "abîmé" la licence. J'entends par là que ce qui n'a pas été fait avec Animal Crossing le sera peut-être avec DDLV (Disney Dreamlight Valley) ou un autre cosy game ... et si la hype d'Animal Crossing n'est plus, il n'est peut-être pas impossible que la licence puisse rejoindre Nintendogs ou La maison du style (oui lui c'est pas Nintendo ... mais vu le succès on aurait pu avoir un opus sur Switch !).
Personnellement en terme de goodies, je préfèrerais faire vivre des créateurs sur Etsy ... je suis franchement déçue de Nintendo.
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