#600 mots
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i hate driving i hate having a car i hate it i hate it i hate it
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𝑵𝒆𝒖𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆𝒕𝒕𝒆 | Valse
*↷◌ Info:
||Personnage : Neuvillette ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 2 600 ||Inspiration musicale : Gramophone waltz de Eugen Doga et C'est ça l'amour de Cendrillon ||Synopsis : [T/P] et Neuvillette sont des amis de longue date. Alors qu'un passe ses journées à son bureau, l'autre est une aventurière aguerrie qui ne rêve que de nouveaux paysages et de nouvelles contrées à explorer cachant en leur sein de nombreux contes et histoires. Mais que ce cache-t-il derrière ce visage toujours impassible?
⁎↣♡↢⁎
3 mois.
3 mois d'attente.
3 mois de silence.
3 mois était la duration du voyage de sa chère amie, [T/P]. 3 mois durant lesquelles Neuvillette ne pourrait avoir de nouvelle de cette dernière, ni du dérouler de ses péripéties. 3 long mois à exercer sa fonction de juge; L'iudex infaillible de Fontaine. À passer cas après cas, à analyser crime après crime, jour après jour. Il s'agit là de sa fonction et de son rôle au sein de la société fontainoise, alors pourquoi, pourquoi durant ces 3 mois la tâche lui paraissait plus longue et laborieuse, plus lente et ennuyeuse? Ne remplissait-il pas cette fonction depuis bientôt trop longtemps pour qu'un changement de sentiment face à sa position ne soit visible?
Pour un être de son envergure, 3 mois ne représentait qu'un bref instant, et pourtant, l'absence de sa chère amie lui était douloureuse. L'enthousiasme que son doux visage arborait lui manquait, ses récit interminables détaillant le moindre instant de ses péripéties lui manquait terriblement. Ce silence qui régnait autour de lui, attabler derrière son large bureau, devenait assourdissant et oppressant. N'entendre que le simple bruit des pages tourner et la plume de son stylo écrire lui rappelait constamment cette solitude qui le suivait à longueur de journée.
Voyant la grandissante solitude du juge, son entourage le convia à plusieurs reprise à des après-midi thé où le but étant de le faire sortir de cette macabre solitude qui couvrait son visage et ternissait ses traits. Mais ce dernier rejetait l'invitation prétextant qu'un homme de la justice tel que lui ne pouvait laisser son jugement être influencer par quelconque activité futile. Et cette après-midi encore, Neuvillette avait décider de ce retirer afin de rester seul derrière sa paperasse administrative.
Néanmoins, il pouvait peut-être réussir à convaincre son entourage, lui-même était conscient que cette excuse était plutôt un bien nécessaire quant à cacher cette mélancholie et inquiétude qu'il ne cessait de nourrir à l'égard de son amie [T/P], partie bien trop longtemps en voyage. Et aujourd'hui encore, son esprit ne pouvait se concentrer correctement, divaguant constamment.
Assis derrière son bureau, Neuvillette poussa un soupir, voyant très clairement qu'il n'arriverait pas à terminer le dossier sur son bureau. Fermant les yeux, il soupirant de nouveau, se leva et se plaça face à la grande fenêtre derrière son large pupitre. Dehors, le ciel était gris et nuageux, annonçant très certainement une pluie prochaine. Le fait de savoir que le temps se joignait à ses complaintes silencieuses le fit sourire tristement. Le vide qu'installait votre absence le rongeait de l'intérieur. Pour personne auparavant n'avait-il eu de telles pensées ou sentiments, ce qui les rendaient d'autant plus proéminant et de plus en plus difficile à contenir à votre égard, mais il le devait. Son jugement ce devait de rester neutre et impassible face à toute éventualité; la justice n'admettait point les sentiments humains. Et pourtant, il ne pouvait nier cette tendresse qui grandissait en lui envers votre personne. Il pouvait tant bien que mal essayer de se convaincre qu'il n'en était rien, son cœur en avait décidé autrement.
Ses yeux violets parcoururent la cité qui se dévoilait sous lui, ombrager par les nuages. Observant le quotidien des fontainois comme il en avait pris l'habitue récemment, un sentiment de mélancholie l'envahit alors, assombrissant ses yeux. Cette tendresse qu'il éprouvait devait-elle rester interdite de tous? Devait-il se taire et garder à tout jamais ce doux penchant pour vous sceller de ses lèvres? Mais, cette option lui paraissait douloureuse, mais le prix d'avouer son doux pêché lui laisserait probablement un goût d'amertume en bouche. Pour rien au monde il voulait se résoudre à s'éloigner de votre tendre personne.
« Ma chère amie, voyez dans quel état vous me rendez à disparaitre durant 3 mois. Moi qui ne doit être qu'impassible, me voilà à laisser mon cœur dicter mes actes vous concernant. »
Il soupira de nouveau, décidemment, votre absence le tracassait plus qu'il ne voulait l'admettre. De sa main gauche, à l'aide de l'élément hydro, il représenta dans le creux de sa main une petite statue de vous, le sourire aux lèvres. Il regarda avec amour et bienveillance cette représentation de vous, avant de ne refermer sa main dans un point, faisant disparaître cette petite illusion de vous. Neuvillette ne savait pas s'il pourrait garder ce fardeau plus longtemps avant qu'il n'en devienne fou.
« Ma tendre [T/P], à tournoyer dans mes pensées, vous aller me faire perdre l'équilibre. »
Neuvillette murmura cette dernière parole avant de ce décider à revenir derrière son bureau, se remettant au travail.
Alors qu'il approchait de la fin de son dossier, il put entendre les pas décisifs d'une personne se dirigeant vers son bureau. Cela l'ennuyait légèrement, lui qui avait spécifier au garde qui se trouvait de l'autre côté de la porte de ne laisser entrer personne, à part en cas d'extrême urgence. De ce fait, il espérait ne pas être déranger. Seulement, un léger vacarme se fit entendre de l'autre côté de la porte et les voix montèrent en puissance. Depuis son pupitre, Neuvillette ne pouvait que distinguer des bribe de conversation ça et là sans trop comprendre la raison de ce qui semblait être une dispute. L'irritation monta tranquillement lorsque soudain, la porte s'ouvrit brusquement avant de ne se refermer dans un même vacarme sonore. Levant les yeux afin de savoir de qui il s'agissait, son cœur se serra automatiquement à la vue de sa tendre amie [T/P]. Il aurait voulu se lever afin de pouvoir vous serrer dans ses bras, mais le simple fait d'enfin revoir ce visage au trait si familier le rassura tout autan, faisant disparaître cette inquiétude qui le rongeait depuis trop longtemps.
PDV [T/P]:
« Quelle tête de mule celui-là! Plus têtu serait difficile à trouver, franchement! AH, Neuvillette, mon cher ami, comme vous m'avez manquer durant ce voyage! Mais ne vous inquiété pas, cette petite aventure est riche en rebondissement, vous ne serez pas déçu! »
- Je suis ravi d'apprendre que votre voyage c'est bien passé ma chère amie. »
Neuvillette répondit tout en gardant les yeux rivés sur ses dossiers, ne m'adressant que de très bref regards ça et là.
- Et vous toujours impassible à ce que je vois. Mon cher ami, à quand aurons-nous droit à un sourire de votre part? C'est à croire si les rumeur ne disent pas juste à votre sujet mon ami. dis-je en m'appuyant contre son bureau, lui tournant le dos.
- Et que disent les rumeurs à mon sujets?
- Aaaaahhh, soupirais-je, si vous saviez le nombre de petits ragots que l'on raconte sur votre personne afin d'animer nos petits après-midi thé, vous n'en reviendriez pas. Les gens se demandent même parfois si vous êtes bien un humain tant vos émotions sont indéchiffrables! Même moi qui vous connaît depuis maintenant assez longtemps, j'ai toujours un certain mal à vous cerner mon ami. Mais, je dois admettre que cela fait partie de votre charme.
- Hmmm, et bien soit, si ces divers récits amusent les gens, alors il en est ainsi. répondit-il, le nez toujours plongé dans ses documents.
- N'y a-t-il donc rien qui ne puisse ébranler cette impassible et stoïque façade qu'est la votre, monsieur Neuvillette? »
En posant cette question, le ton de ma voix se fit plus doux et curieux, presque taquin. Me retournant pour maintenant lui faire face, je remarquai qu'il fit une pause, d'un bref instant, certes, mais assez visible pour casser la fluidité de ses mouvements. Cette question l'avait-elle déstabilisé? Et ce pourquoi?
De son côté, le cœur de Neuvillette se serra, ne connaissant que trop bien la réponse à cette question. Toutefois, il préféra rester interdit, de peur qu'émettre une réponse ne révèle son amour interdit.
Face à lui, son regard toujours plongé dans ses écrits, je pris un instant pour observer son visage. Ses cheveux blancs parsemés de teintes bleu, ce visage composée de traits fins, et pourtant, prononcés, arborant une certaine austérité. Cette peau blanche comme de la porcelaine, ses yeux couleur améthyste qui vous dévisageait aux moindre regard. Je pourrais m'y noyer si je m'aventurais à y plonger mon regard trop longtemps. Et puis, il y avait cette bouche. Ah, le nombre de fois o�� mon esprit s'était égarer à imaginer la baiser tendrement! Hélas, je ne pouvais souhaiter une telle chose, un soupir s'échappant de ma bouche face à cette triste réalité qu'est la mienne. Aurais-je un jour le droit de lui avouer mon doux amour?
Ne voulant continuer à ruminer ces pensées noires, je décidais qu'il s'agissait du bon moment pour me changer les idées. Je m'éloignais du bureau afin d'aller chercher dans mon sac un objet que j'avais trouver lors de mon voyage. Je sortis la pochette d'un vieux vinyle dont le titre avait complètement disparu, ne donnant aucun indication sur le contenu de ce dernier.
« Neuvillette, regardez donc ce que j'ai trouvé lors de mon voyage: un vieux vinyle! Voudriez-vous bien en découvrir son contenu avec moi? »
Alors que je sortais le vinyle afin de le placer sur la platine du gramophone, je lançais quelques regards en direction de mon ami qui, à mon désarroi, n'avait pas bouger d'un poil ni énoncer une quelconque réponse. Plaçant la pointe sur le bord du vinyle, la mélodie commença alors à raisonner à travers toute la pièce. L'air y était doux et calme, comme un secret que l'on vous murmure à l'oreille à l'abris des regards. D'un pas léger, je me dirigeais vers Neuvillette, m'imprégnant du rythme de la valse que jouait le gramophone. Puis, me plaçant à son côté, je fis une révérence, lui présentant ma main droite, plongeant mes yeux dans les siens.
« Me ferriez-vous le plaisir de m'accorder cette danse, Monsieur Neuvillette? »
Je pus voir le bout de ses oreilles se teinter très légèrement d'un rose pâle avant d'acquiescer à ma requête, se levant avant de ne prendre ma main dans la sienne. Puis, d'un geste vif et remplis de délicatesse, il nous rapprocha à l'aide de son autre main, la posant ainsi délicatement dans mon dos. J'eus le souffle coupé l'espace d'un bref instant face à cette prise de risque soudaine, non pas que cela puisse me déplaire. Ensuite, c'est les corps collés l'un contre l'autre que Neuvillette se mit à mener la valse, suivant le rythme lent de la musique.
Pendant ce moment d'intimité, mon cœur battait la chamade contre ma poitrine, et mes joues arboraient probablement désormais une teinte rosée. Nous ne nous quittions pas du regards, oubliant complètement l'environnement qui se trouvait autour de nous. Seule la musique et le mouvement de nos corps était important, tout le reste pouvait bien disparaître.
Alors que je savourais cette valse, les traits de Neuvillette s'assombrirent, cachant une peine inconnu. Un sentiment désagréable s'empara alors de moi, une inquiétude, ou peut-être la sensation d'avoir compris, d'avoir enfin eu la réponse que je redoutais le plus. Mes émotions se chamboulèrent dans ma tête, et mon cœur se serra. Malgré cette proximité, j'avais l'impression qu'un gouffre se formait entre nous, une plaie ouverte qui ne se refermerait jamais. Mes pas se firent alors plus hésitants, douteux, ne sachant comment finir cette valse qui plus tôt, avait un goût sucré.
Alors que la valse touchait à sa fin, je me retrouvais appuyé dos à son bureau, la respiration légèrement saccadée. Le visage de Neuvillette, à peine à quelques centimètres du mien, je pouvais sentir sa respiration lente et chaude sur mon visage. Le silence avait repris sa place dans la pièce, ajoutant une certaine lourdeur à l'atmosphère qui nos entourait.
« Pourquoi cette mélancolie sur votre visage, Monsieur Neuvillette? dis-je dans un souffle. Le simple fait de murmurer ces quelques mots me plongeait dans une tristesse profonde, connaissant déjà le dénouement de cet amour interdit.
- Car je porte un lourd secret. Un secret qui me ronge de l'intérieur tel une gangrène qu'il faut arracher. Hélas, je n'ai pas la force de le faire moi-même, ayant peur des conséquences de cet acte. »
Sa voix était plus douce que d'habitude, à peine plus haute qu'un murmure. Elle paraissait assurée, et pourtant, elle était tremblotante et fébrile, remplis d'émotions poignante, lui qui d'ordinaire avait un timbre neutre. Cette humanité nouvelle dans sa voix me fit chavirer tel un bateau pris dans une tempête en haute mer. Je restais muette, ne pouvant émettre aucune parole de peur que ma tristesse ne se fasse entende. Était-ce la fin? La rupture d'une relation qui n'avait même pas eu la chance de fleurir au grand jour? Non, ce n'était pas possible, pas maintenant, pas après avoir partager un moment d'intimité tel que celui-là.
Sans m'en rendre compte, le vinyle avait déjà silencieusement entamé la prochaine piste qui avait été graver dessus. Un rythme lent et suave enveloppa alors doucement la pièce, la réchauffant par la même occasion. Pourquoi un tel changement d'ambiance, c'est comme si l'air autour de nous se soumettait aux complaintes de Neuvillette. En effet, se dernier me regardait avec plus de tendresse et de pudeur que jamais, les joues rosées, comme un enfant embarrasser de dévoiler son petit secret.
« Ma chère amie [T/P], pardonnez mon jugement hâtif, mais mon cœur ne serait en décider autrement. »
À peine avait-il fini de prononcer cette phrase qu'il prit délicatement mon visage dans ses mains avant de ne poser ses lèvres contre les miennes dans un baiser rempli d'amour et de tendresse. Mes yeux se fermèrent automatiquement au contact, et je sentis une explosion d'émotion dans mon cœur, frémissant de bonheur. Les joues chaudes et le cœur battant, j'enlaçais Neuvillette de tout mon être. Le temps semblait s'être arrêté, et en cet instant, rien ne comptait plus que de sentir nos cœurs vibrer l'un contre l'autre et nos lèvres danser l'une contre l'autre. Puis, après de longues minutes, nous nous séparâmes à contre cœur, la respiration encore chaude et légèrement haletante de ce baiser passionnel.
« Alors c'est ça, l'amour»
Il murmura ces quelques mots qui lui étaient encore nouveaux, une excitation nouvelle brillait maintenant dans ses yeux violets. Il esquissa un léger sourire, ses yeux ne quittant jamais les miens. L'émotion nouvelle d'enfin pouvoir vivre cet amour me fit monter les larmes aux yeux, ne pouvant les retenir plus longtemps. Face à ce spectacle, nous ne pûmes nous empêcher de rire avec légèreté de la situation, soulager d'avoir enlever un poids de nos cœurs amoureux.
« Je vous aime [T/P]. Voudriez-vous bien rester à mes côté encore quelques temps?
- J'avais peur que jamais vous ne me le demandiez. Moi aussi je vous aime Neuvillette. »
𝓗𝓾���� 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓛𝓮 𝓰𝓻𝓪𝓷𝓭 𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
𝓛'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓺𝓾𝓲 𝓯𝓪𝓲𝓽 𝓬𝓱𝓪𝓷𝓽𝓮𝓻 𝓵𝓪 𝓿𝓲𝓮. 𝓛𝓪̀ 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓽𝓮𝓼 𝓫𝓻𝓪𝓼, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓙𝓮 𝓼𝓪𝓲𝓼 𝓭𝓮́𝓳𝓪̀... 𝓠𝓾𝓮 𝓶𝓸𝓷 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓮𝓼𝓽 𝓲𝓷𝓯𝓲𝓷𝓲!
𝓜𝓸𝓷 𝓬𝓸𝓮𝓾𝓻 𝓼'𝓪𝓯𝓯𝓸𝓵𝓮, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶...
𝓔𝓽 𝓳𝓮 𝓶'𝓮𝓷𝓿𝓸𝓵𝓮.
𝓙𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼𝓮 𝓼𝓸𝓾𝓼 𝓾𝓷𝓮 𝓹𝓵𝓾𝓲𝓮 𝓭'𝓮̨𝓽𝓸𝓲𝓵𝓮. 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓳'𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓪𝓲𝓼, 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓶𝓸𝓷 𝓻𝓮̂𝓿𝓮 𝓯𝓸𝓾!
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪, 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
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#genshin fanfic#genshin impact#genshin x reader#neuvillette#neuvilette genshin#neuvillete x reader#fontaine#romance#fr#fanfic#imagine#oneshot
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More than 10 600 000 people voted for fascism this sunday in France. I need a playlist to soothe me a bit because this is getting dangerous as hell. I share it here because I've obviously put french songs.
"La jeunesse emmerde le Front National."
(The youth screws the National Front.)
Le Front National est l'ancien nom du Rassemblement National, parti politique fondé par des anciens nazis et collabos de Vichy. C'est un parti xénophobe, raciste, antisémite, homophobe, transphobe et j'en passe. Son fondateur et président, Jean-Marie Le Pen, était assez direct devant les médias pour que personne ne puisse penser qu'il n'est pas raciste.
Mais depuis que c'est sa fille, Marine Le Pen, qui a pris la tête du parti, elle a entamé une campagne de communication incroyable pour faire croire que son parti n'est plus raciste et n'a plus de lien avec le nazisme. Bref, qu'il n'est plus d'extrême-droite. Tout ça dans le but de pouvoir passer dans les médias et gagner des électeurs. Changer le nom en Rassemblement National fait partie de sa stratégie de communication.
Et ça a fonctionné. Aujourd'hui, beaucoup trop de personnes pense qu'elle et son parti ne sont pas d'extrême-droite. Pourtant ce sont toujours les mêmes idées, le même programme. Ils sont juste enrobés dans une couche rose bonbon de communication. Les mots sont bien choisis. Ils sont lissés. Elle a gagné des électeurs. Elle est au deuxième tour des élections présidentielles depuis 2017. On est obligés de réélire ce fichu Macron parce qu'elle se retrouve en face de lui.
Et là, élections législatives provoquées par la dissolution de l'Assemblée Nationale par Macron le 9 juin 2024.
Le Rassemblement National fait 33% des votes, plus de 10 millions de votes. Plus de 10 millions de personnes ont choisi le racisme.
Les 18-25 ans ont voté à 50% pour la gauche. Et à 25% pour le RN... Mais pour les 50% de jeunes qui ont voté à gauche, ce slogan existe toujours bel et bien : LA JEUNESSE EMMERDE LE FRONT NATIONAL !
#french#france#french culture#french politics#frenchblr#french langblr#fuck fascism#frpol#musique#music#Spotify
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Please post anonymusly if its not on anon. I recently started to watch a show and i felt inspired by it to write fic. I even started to write the fic bit stopped because i got intimidated by just the sheer bigness of the fandom. I haven't fully caughr up with canon yet, it has more than 1000 episodes and been ongoing for 25 years. I only watched around 600 episodes. Idk it's just so...overwhelming? Not sure how the fandom would react to my fic as it might contradict canon, and i'm mot confident enough in my writing skills to think i could write the fic and stay completely in character. It's also a genre i rarely seen in that fandom as i briefly scrolled through that tag on ao3. So, do you have any advice how can i convince myself to finish writing my fic? How can i get confidence to finish and post it?
Honestly, I know it's easier said than done, but just pushing aside the fear of what people think.
You could write the best fic in the history of fics and there'll still be people that hate it. You could write the worst fic in the history of fics and there'll be people that love it.
There's no reason not to write it if you're excited by it and want to write it. Even if you write it with the idea of not posting it first. You don't have to write with the end goal of posting it. You can just write it because you love the concept and want to write it for you.
Sometimes the best fics don't have canon characters quite written "right." Accuracy does not = good writing. Some terrible fics write the characters spot on. I think for now, you just need to focus on you and how you feel about the writing. Don't worry about posting it. Don't worry about what others will think. Maybe as you write more of it, you'll feel better about it.
Maybe one day you'll post it. Maybe you never will. That's up to future you, but for now, just work on the confidence and actually getting the words down. <3 Sometimes it's the fear of what'll happen after we post writing that prevents us from getting it done in the first place.
#ugh this post is all out of order#but you get the point#focus on the writing for now#worry about posting it later#asks#anonymous#advice#writing tips#writing advice
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Ça paraît très con comme question mais... C'est quoi une réponse courte ? 200-350 mots ? 400-600 mots ? Parce que quand on me dit "fait court", je sais jamais faire car je ne sais tout simplement pas ce que c'est "court".
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Puzzle
La brocante occupait tout le quartier. Il y avait tellement de monde que Maël n’arrivait pas à avancer. Lui qui détestait les brocantes, il devait la traverser pour rentrer chez lui. Il marchait lentement, trop lentement, au pas des visiteurs en quête d’un achat débile. Par moment, il regardait le ciel en se demandant quel crime avait-il commis pour mériter cela. Le temps semblait long alors que d’habitude, la distance était courte, très courte.
Soudain, Il s’arrêta subitement. Ses yeux fixèrent une image sur une boite. Elle attirait Maël comme un pot de miel sur une mouche. Il approcha du stand tenu par un homme âgé d’une soixantaine d’années. Malgré le temps automnal, il portait un débardeur blanc. Le jeune homme s’attarda sur la boite. L’image représentait une partie d’un tableau du peintre Jérôme Bosch. Plus précisément l’Enfer.
Il est complet. Il est à vous pour cinq euros.
Maël ne regarda pas le vendeur. Il demeurait obnubilé par l’image des corps subissant mille tortures au milieu d’instruments de musique. Il sortit son portefeuille et sans chercher à négocier, donna la somme convenue. Puis il partit, le puzzle sous le bras, en marchant au rythme de la foule toujours lente. Derrière lui, l’homme en marcel marmonna quelques mots : « Content de m’en être débarrassé ».
Lorsqu’il entra dans son appartement, il posa la boite sur la table basse, avant d’aller sur son ordinateur pour lire et répondre à quelques mails professionnels. Ce n’est qu’après le diner qu’il se souvint du puzzle. Le jeune homme regarda la boite en se demandant pourquoi avoir acheté cette chose, surtout qu’il n’aimait pas les puzzles. C’est trop chiant, trop pénible. Cela demande énormément de patience et même s’il ne contenait que 600 pièces, il ne le ferait jamais. Cependant, le dessin de Bosch l’intriguait. Il le regarda une nouvelle fois, observa quelques détails morbides, une flute dans un rectum, un démon dévorant un homme... Il se sentit hypnotisé par le puzzle quand une sonnerie retentit. Dès lors, il oublia la boite sur la table basse et rejoignit quelques amis l’attendant dans la rue.
A son retour, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la boite ouverte. En effet, le couvercle était posé à côté de la boite, ainsi que deux morceaux comme si quelqu’un avait commencé le puzzle. Maël fouilla son logement à la recherche d’individus, mais il ne trouva personne ni ne découvrit d’infraction. Dès lors, il s’assit dans son canapé et observa le jeu. Il prit le couvercle, regarda le tableau avant de le reposer. Par curiosité, il attrapa deux pièces, et chercha à quel endroit de l’image elles correspondaient.
Il ne remarqua pas la nuit se finir ni le jour se lever. Maël continua de compléter le puzzle, morceau par morceau. Il se débattait, perdait une demi-heure rien que pour trouver où placer telle tête. Ici, c’est du noir, là de l’ocre. Ses yeux ne se fermaient pas, continuant, oubliant la fatigue. Enfin, la sonnerie d’un réveil sortit Maël de sa concentration. Il devait aller travailler. Il se leva, prit une douche, un café puis il quitta l’appartement.
De retour après 18H, Il retrouva ses habitudes jusqu’à ce qu’il réalise que le puzzle était toujours sur la table basse. Toutefois, Il eut l’impression qu’il manquait la moitié des pièces déjà placées. Il s’assit, observa la boite et sans attendre, comme envouté, il repartit dans la construction du jeu.
Il manipulait les pièces, cherchait à les emboiter correctement. Il demeurait concentré si bien qu’il ne répondit pas à un SMS ; il ne chercha même pas à s’intéresser à l’expéditeur. Maël ne se rendit pas compte du temps non plus. Il retrouva ses esprits en entendant le réveil sonner. Encore une fois, il repartait travailler sans avoir dormi.
Plus les journées passaient, plus le puzzle lui prenait la tête. Après une semaine, il réalisa que ce jeu de société n’était pas normal. En fait, il découvrait des pièces manquantes, rangées dans la boite au lieu d’être sur le plateau. Il ne comprenait plus jusqu’au ras-le-bol. A ce moment, d’un geste de colère, il remit les morceaux dans la boite. Cette nuit, Maël put enfin dormir.
Le soleil venait de se lever lorsqu’un bruit fort réveilla le jeune homme. Sur le coup, il pensa à un meuble tombé. Il se précipita dans le salon. Maël fut stupéfait de trouver la boite du puzzle, normalement rangée au-dessus d’une armoire, sur la table basse. Son couvercle était ouvert, de même, deux pièces posées invitaient Maël à continuer de finir le tableau.
Il resta un instant à observer l’enfer dessiné sur le couvercle. Tout à coup, il recommença le puzzle. La détermination envahit son regard, il avait envie de le terminer. Il installa les pièces les unes après les autres. Il ne pensait que pour ce puzzle. Le téléphone sonna, il ne répondit pas. Le dimanche passa sans qu’il ne puisse en profiter. Il demeura concentré à vouloir installer tel ou tel morceau correspondant. Le tableau commençait à prendre forme. Toutefois, lorsqu’il partit réchauffer une boite de conserve, il fut déçu de trouver des pièces manquantes au puzzle. Quelqu’un ou quelque-chose s’amusait à défaire son œuvre.
Maël ne comptait plus les journées. Le puzzle le rendait fou. Il voyait les briques bouger, les couleurs s’envoler. Il sentit une brulure lorsqu’il toucha le dessin d’une flamme. Il entendit des voix, des lamentations, des hurlements et des crépitements entrecoupés de rires. D’ordinaire sympathique et détaché, Maël ne dormait plus, il ne mangeait plus. Il essaya de ne plus cligner des paupières quand il vit une pièce disparaitre subitement après deux secondes d’inattention.
Puis il entendit de la musique, flutes et harpes accompagnait de la viole et un tambour. Ce dernier frappait en cadence au rythme de son cœur. Il se sentait épuisé, seulement c’était devenu plus fort que lui : il devait finir ce puzzle !
Un message de son patron ainsi que de quelques amis signalaient leur inquiétude à son égard. Mais rien n’y fait, il ne les écouta pas. Il persistait à vouloir finir le puzzle qui parut sans fin. « Seulement 600 pièces ? Non, il en fait bien plus ! » Réalisa-t-il. Puis il se concentrait encore et encore sur le jeu de société. Il essaya d’imbriquer deux morceaux en vain, il trouva enfin le corps d’un damné. Il avait faim, il avait soif, pourtant il continuait comme un désœuvré.
Le tambour battait toujours au rythme de son cœur. Il ne resta plus que dix morceaux à installer. Maël trouva leur emplacement facilement les uns après les autres. La musique s’essouffla lentement, les cris ne résonnèrent plus. Le tambour frappait avec une cadence plus lente. Plus que trois…Enfin l’avant-dernier. Puis, il ferma les yeux…le tambour s’était tu.
En entrant dans l’appartement, après avoir fracassé la porte à coup de hache, les pompiers se doutèrent de ce qu’ils allaient trouver. A cause de l’odeur qui empestait les escaliers de l’immeuble. Le corps putréfié de Maël restait étendu sur le canapé. Une volée de mouches sortit lorsqu’un des pompiers ouvrit la fenêtre. Les autres ne purent qu’attendre la police pour faire constater la mort du locataire des lieux.
Stéphane avait vingt ans d’expérience. Il était habitué à ce genre de situation. Son regard croisa le puzzle sur la table. Il remarqua la pièce encore installée dans la boite. Dès lors, il l’a pris et la plaça terminant ainsi le tableau.
Le pauvre, dit ironiquement un de ses collègues. Il n’a pas pu finir son puzzle.
Le pompier se pencha pour mieux regarder le jeu. Il pointa l’index vers un petit personnage à la droite d’une harpe.
C’est marrant, il a le même visage grimaçant que notre client.
Ils sortirent pour respirer autre chose que la mort. Pendant ce temps, un souffle comme un long râle sortit du tableau. Le puzzle réclamait une nouvelle victime.
Alex@r60 – août 2023
Peinture : Détail de L’Enfer (volet de droite du triptyque du Jardin des Délices) par Jérôme Bosch
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H.M. The King's speech at the state banquet in connection with the state visit from the Republic of Finland
Herr Republikens president, Fru Innes-Stubb, Herr talman, Herr statsminister, Statsråd, Excellenser, Mina damer och herrar,
Det är med stor glädje som Drottningen och jag välkomnar Er, Herr president och Fru Innes-Stubb, till Sverige. Traditionen bjuder att den finländska presidenten avlägger sitt första statsbesök i vårt land. Den tycker jag att vi fortsätter värna om – liksom våra nära och goda relationer!
Herr president,
Ni är det sjätte finländska statsöverhuvudet som jag nu har nöjet att möta. Mitt första statsbesök till Finland ägde rum redan år 1974. Som ung Kung hade jag då äran att tas emot av den finländska presidenten, Urho Kekkonen.
Ärade gäster,
I dag står våra länder närmare varandra än någonsin tidigare i modern tid. Vi är geografiskt, historiskt och kulturellt sammanflätade. 600 år av gemensam historia har satt sina spår.
De starka och täta kontakterna mellan Finland och Sverige tar sig uttryck på många olika sätt. Natoprocessen är ett utmärkt exempel på när våra länder samarbetat mycket nära och förtroligt för att slutligen bli fullvärdiga medlemmar i alliansen.
Nu inleds en ny säkerhetspolitisk era efter många år av alliansfrihet. Våra länders relationer fördjupas härmed ytterligare. Det nordiska försvarssamarbetet förstärks också av att hela Norden ingår i Nato. Man får nog gå tillbaka till Kalmarunionen för att hitta så starka band mellan de nordiska länderna.
Vi står också enade i vårt stöd till Ukraina. Rysslands anfallskrig är en stor tragedi och ett hot mot vår frihet och säkerhet. Det fortsatta stödet till Ukraina är avgörande för en fredlig utveckling även i vår region.
Ärade gäster,
Högteknologiska innovationer och vidsträckta skogar – båda viktiga faktorer för en hållbar framtid – förenar Finland och Sverige. Liksom vår vilja att samarbeta kring Arktis och att rädda Östersjöns havsmiljö. Allt detta bottnar i vår kärlek till naturen – till skogen, sjöarna och havet. Tove Jansson sätter ord på denna gemensamma känsla, som även delas av Mumintrollet, i boken ”Kometen kommer.”
”Han tänkte på hur förfärligt mycket han älskade allting, skogen och havet, regnet och vinden, solskenet och gräset och mossan och hur omöjligt det vore att leva utan alltsammans.”
Herr president,
Det finländska folket har mycket att vara stolta över. Och då har jag inte nämnt alla era framgångsrika kompositörer, konstnärer, formgivare, arkitekter och idrottare. Eller att ni är världens lyckligaste folk – för sjunde året i rad! Faktum är att alla nordiska länder befinner sig på topp 10. Det säger väl ändå något om Norden!
Jag skulle även vilja lyfta fram den nyligen genomförda finska presidentvalskampanjen som kännetecknades av god anda och respektfull ton. Här är Ert land en förebild för många andra länder.
Herr president,
Finland har alltid en plats i svenska folkets hjärtan. Vi är grannar, vänner och familj, med så mycket som förenar oss. Låt oss hålla hoppet levande och möta omvärldens utmaningar – tillsammans!
För Er, herr Republikens president, för Republiken Finland, för banden mellan våra länder och folk – då som nu och in i framtiden – föreslår jag en skål.
Speech held by H.M. King Carl XVI Gustaf at the Royal Palace in Stockholm on April 23, 2024.
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Scroller sur Leboncoin m'en fait voir des choses.
Vous connaissez la dynamisation de l'eau ? C'est faire tourner l'eau sur elle-même pour qu'elle ait un meilleur goût. Ou alors lui dire des mots doux avant de la boire, ou alors de la remuer avec un aimant... Juste ça... Il t'a des charlatans qui vendent des appareils à 600-900€ pour ça !
Quand tu marques ça sur ton site pour vendre tes machins à 600€... Ca n'a pas de bases scientifiques 🎶 mesurables et reproductibles.
Petit florilège de bêtises :
Je ne vais empêcher personne de dire des mots doux ou de passer de la musique (pastorale !) à son verre d'eau avant de le boire, ça coûte rien, mais qu'est ce que c'est con !
#quand je dis qu'il y a un manque d'éducation en terme de chimie...#la mémoire de l'eau... j'avais déjà entendu parler de cette théorie fumeuse il me semble
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Úc sẽ tăng lệ phí một số loại visa từ ngày 1/7/2023
Úc sẽ tăng lệ phí một số loại visa từ ngày 1/7/2023
Từ ngày 1/7/2023 Úc sẽ tăng lệ phí xin visa du lịch, du học và lao động kết hợp kỳ nghỉ; ngoài ra du khách rời Úc cũng sẽ phải trả thuế xuất cảnh (Passenger Movement Charge) cao hơn…
Theo đó, phí nộp đơn xin visa du lịch (visa 600) sẽ tăng từ 150 lên 190 AUD, phí visa du học (visa 500) sẽ tăng từ 650 lên 715 AUD, phí visa lao động kết hợp kỳ nghỉ (visa 462) sẽ tăng từ 510 lên 640 AUD.
Chương trình Pacific Engagement Visa và Pacific Australia Labour Mobility sẽ không bị ảnh hưởng.
Chính phủ Úc cho biết sẽ sử dụng 665 triệu AUD thu được từ việc tăng phí trong 5 năm để cải thiện thời gian xử lý visa và các ưu tiên khác của chính phủ.
Dự kiến từ ngày 1/7/2024, thuế xuất cảnh (Passenger Movement Charge) áp dụng cho các du khách rời Úc bằng máy bay hoặc tàu biển sẽ tăng từ 60 lên 70 AUD.
Ngoài ra, từ ngày 1/7 năm nay sinh viên quốc tế sẽ được phép ở lại Úc làm việc thêm 2 năm sau tốt nghiệp với một số bằng cấp nhất định, đồng thời sẽ được tăng giới hạn số gi��� làm việc mỗi hai tuần từ 40 giờ lên 48 giờ.
Riêng các sinh viên làm việc trong lĩnh vực chăm sóc người cao niên sẽ không bị giới hạn giờ làm tới hết năm 2023.
Quý vị quan tâm tới các chương trình du học, đầu tư hoặc định cư Úc vui lòng liên hệ Hotline 0911.899.595 – 0911.899.597 để được cung cấp thêm thông tin và tư vấn miễn phí.
Nguồn: https://datvangchauuc.com/tin-tuc/uc-se-tang-le-phi-mot-so-loai-visa-tu-ngay-1-7-2023.html
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Chevrolet Blazer EV, Honda Civic Hybrid et le Festival des Essais
Le 3 novembre 2024
Il y a de ces semaines où…il y en a trop! Trop de quoi? Trop d’histoires automobile, trop d’évènements… mais pas assez de temps pour tout couvrir. C’est ce qui vient de m’arriver. Deux véhicules à analyser et surtout le Festival des Essais où il m’a fallu rouler jusqu’au nord de Toronto pour conduire plus de quinze véhicules en marge du concours du Véhicule de l’année de l’Association des Journalistes Automobile du Canada (AJAC).
Bon, assez chiâler! Commençons par le premier véhicule de la semaine, le VUS intermédiaire Blazer à propulsion électrique de Chevrolet. Au départ, je dois vous avouer que j’ai été favorablement impressionné! OK, il m’a fallu quelques minutes pour me retrouver lors de ma prise de contact. Mais, il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour apprécier mon expérience au volant!
Le Blazer EV RS dans toute sa splendeur. (Photo Éric Descarries)
Il faut avouer que ce Blazer est un peu plus gros qu’il semble être. Son redesign est réussi, du moins à mes yeux. Je vous laisse juger de vous-même à partir des photos publiées ici. Quant à l’intérieur, j’ai encore une fois été impressionné par ses vastes dimensions.
Même de l’arrière, ce Blazer électrique démontre un styling agréable. (Photo Éric Descarries)
Le portillon de la prise de courant est plutôt…grand! (Photo Éric Descarries)
Le tableau de bord est impressionnant, surtout au niveau de l’instrumentation qui est incluse dans un grand écran horizontal. Il faut une courte étude pour tout comprendre mais la majorité des commandes est facile à deviner. La carte routière apparaissant à cet écran est grande et précise mais il me semble qu’il n’y ait pas de connexion avec Apple CarPlay ou Android? Bizarre. Semble-t-il que ce soit une question de… « sécurité »…Incidemment, le système d’infodivertissement est de Google. Les multiples buses rondes de la planche de bord ne sont pas sans nous rappeler celles des Camaro maintenant abandonnées.
Voici comment les designers de GM voient le tableau de bord…d’aujourd’hui! Simple mais fonctionnel! (Photo Éric Descarries).
J’ai réussi à charger la batterie complètement…448 km de réserve…(Photo Éric Descarries)
La sellerie est agréable à l’œil mais il n’y a que cinq places à bord. Toutefois, l’espace réservé au compartiment cargo est suffisant voire même caverneux si l’on baisse le dossier des sièges arrière. On y accède par le grand hayon mais je n’y ai pas vu d’opération provoquée par le passage du pied sous le parechoc.
Les places arrière sont vraiment généreuses. (Photo Éric Descarries)
Évidemment, il est presque impossible d’y voir la « mécanique » (électrique) même si le capot avant se soulève. La version qui m’a été confiée était un Blazer à traction intégrale. Il y avait donc deux moteurs. Celui d’avant fait 241 chevaux, celui d’arrière 90 pour une puissance combinée de 288 chevaux et 333 li-pi de couple. Il existe une version à traction avant seulement et une version de performance avec moteur arrière seulement (de 340 chevaux). Bien entendu, il n’y a pas de boîte de vitesses sur un tel modèle électrique. La batterie du nom (maintenant abandonné) d’Ultium est de 85 kW. Quant aux pneus, mon véhicule d’essai était équipé de Bridgestone Alenza 275/45 R21 d’été. J’ai regardé le prix de ces pneus en version Hiver et j’y ai constaté des chiffres qui peuvent dépasser 600 $ chacun donc quelque 2500 $ le jeu de quatre ? Vaut mieux magasiner…
Décidemment, il ne manque pas de place pour les bagages... (Photo Éric Descarries)
...mais à l'avant (ce que les Américains appellent "frunk" combinant les mots "front" et "trunk")... (photo Éric Descarries)
Sur la route
Rouler avec un Blazer à traction intégrale demande un peu d’ajustement. D’abord, selon la nouvelle « mode », lorsqu’on monte à bord…il n’y a pas de contact où insérer la clé. Le seul fait de mettre le pied sur la pédale de frein anime toute l’électricité dans l’habitacle. Pour « avancer », on tourne la manette à D et voilà, tout se met en action ! On accélère tout doucement et le Blazer se déplace alors que le moteur électrique (ou quelque chose du genre) émet un son bizarre du style électronique jusqu’à quelque 30 km/h. Ensuite, il disparaît. Était-ce pour avertir les piétons autour du véhicule?
Dire que le Blazer serait un « foudre de guerre » comme le veut l’expression consacrée ne serait pas tout-à-fait exact. Oui, les moteurs électriques sont rapides mais passer de 0 à 100 km/h en environ sept secondes n’est pas vraiment sujet pour écrire à sa mère. Les reprises sont bonnes mais toujours pas excitantes.
Il faut dire que j’ai dû débrancher le véhicule avant de prendre la route. Or ce faire, il faut déverrouiller le Blazer et refermer l’imposante « trappe » dans l’aile d’avant (ce qui peut se faire tout simplement en mettant le véhicule en D). Le câble est sensiblement de la même longueur que celui des autres VÉ mais j’aimerais qu’il soit un peu plus long d’environ deux pieds…Le freinage contribue à la régénération de la batterie.
J’ai donc utilisé le Blazer EV RS surtout en conditions urbaines. Malgré les dimensions imposantes de ce Chevrolet, j’ai apprécié non seulement sa conduite mais aussi le confort de son habitacle. Toutefois, le plus que j’ai pu obtenir de la batterie est une autonomie de quelque 450 kilomètres (et ce durant une période climatique plutôt chaude…je n’ose pas imaginer cette autonomie en plein hiver durant une période très froide!). Je n’ai aucune idée de la « consommation » avec une remorque à l’arrière mais avec la version à traction intégrale, le Blazer EV RS ne peut tire que 1500 livres. Pour tirer plus (3500 livres), il faut opter pour la version de performance avec la propulsion arrière seulement!
Toutefois, cette « économie de carburant » vient à un prix. Son prix de base étant de 63 998 $, mon Blazer VE RS était équipé d’options comme une peinture rouge éclatante de 695 $ avec une taxe d’accise de 100 $ pour le climatiseur et les frais de transport de 2500 $ ce qui fait gonfler la facture à 67 294 $...plus les taxes!
Loin de moi l’idée de critiquer négativement ce Blazer car j’en ai apprécié le confort et le rendement. Un jour, je devrai adopter l’auto électrique car j’ai bien l’impression que cette configuration dominera le marché. Si c’est un véhicule comme le Blazer, je crois que je serai convaincu…en autant que l’autonomie soit plus près de 1000 km et que le temps de recharge soit vraiment minime (en passant, j’ai eu l’auto avec 40% de réserve de batterie mais j’ai choisi de la brancher sur mes prises de 120 volts dans mon entrée de garage et, au bout de quelques jours, j’ai fini par obtenir les 100 %)…
Une Honda Civic hybride pour un voyage en Ontario
Parmi mes obligations du début de la semaine, je devais me rendre à une petite ville pittoresque au nord de Toronto. Son nom? Mono (pas de farce) en plein cœur d’une région vinicole qui s’appelle Hockley Farms. Pour m’y rendre? Sept heures de route. Heureusement, je ne l’ai pas fait seul. J’étais accompagné de mon vieux compagnon Denis Duquet et nous avions obtenu une toute nouvelle berline Honda Civic Hybrid pour faire ces quelques 650 kilomètres (en moins de sept heures) en plus de 650 autres kilomètres pour revenir!
La version hybride de la Civic est toute nouvelle pour 2024. Mais dans notre cas, il était plutôt difficile d’exploiter la fonction hybride vu notre déplacement presque strictement sur autoroute. (Photo Éric Descarries)
C’est fou. Je connais les Honda Civic depuis les années soixante-dix quand elles sont apparues sur notre marché. Qui plus est, chez nous, mon frère courait sur Honda durant l’époque du Volant Québécois et, plus tard, durant la populaire période des courses sur glace (une discipline qui a presque disparu de nos calendriers de sport automobile locaux). Enfin, j’avais trouvé une Honda Civic 1975 légèrement usagée pour ma femme, un superbe petit bolide à boîte manuelle (il n’y avait pas d’automatique à cette époque) avec de belles roues d’alu et des pneus Bridgestone de performance. La carburation avait été remplacée par une unité Weber alors que les tubulures d’échappement de performance passaient par-dessus le bouclier avant (ce qui n’a pas résisté à la rouille bien longtemps).
Même de l’arrière, la nouvelle livrée de Civic semble s’adresser aux amateurs de voitures intermédiaires plus imposantes. (Photo Éric Descarries)
La nouvelle Honda Civic que je viens de conduire n’a plus rien à voir avec les petites autos de cette époque. La version Hybride de 2025 est tellement plus grande et elle présente une ligne des plus modernes. Il en va de même pour l’intérieur. Je n’aurais pas osé attaquer un voyage de sept heures au volant de nos anciennes Civic mais, avec la nouvelle version, je n’ai eu aucune hésitation.
Sous le capot se cache un puissant quatre cylindres combiné non pas qu’à un seul mais deux moteurs électriques. (Photo Éric Descarries)
Sous le capot de cette auto dite « compacte » à traction avant se trouve un puissant quatre cylindres de 2,0 litres combiné à deux moteurs électriques qui, ensemble, produisent 200 chevaux et 232 li-pi de couple, le tout avec de l’essence régulière! Ce qui est intéressant, c’est que la boîte de vitesses à variation continue (CVT) est réglée par électronique ce qui en fait une eCVT qui ne fait pas appel à un convertisseur de couple régulier pour transmettre la puissance du moteur à la boîte (une explication technique qui vaudrait la peine d’être développée). Évidemment, il s’agit ici d’une auto à traction avant. Autre détail, les pneus étaient d’imposants Continental 235/40 R18.
La Civic a un tableau de bord modeste mais de conception plutôt moderne. (Photo Éric Descarries)
L’intérieur de la nouvelle Civic est certes plus cossu que celui des autos que j’ai connues dans le passé. Le tableau de bord est d’un design traditionnel mais agréable à l’œil. J’ai surtout apprécié la mince calandre en son centre où se logent les buses d’aération. Belle touche de finition! L’instrumentation est bien disposée et surtout très claire à lire. Quant au petit écran au centre du tableau de bord, je n’ai eu aucune difficulté à la faire fonctionner alors que j’ai fait appel à son système de navigation qui m’a superbement bien servi! J’ai eu un peu peur que les sièges soient trop dur pour de longues distances (ce que j’ai déjà reproché à sa cousine Acura Integra) mais ce n’en fut pas le cas.
Ironiquement, il y a beaucoup de place à l’arrière pour une voiture dite « compacte ». (Photo Éric Descarries)
Regardez les photos du compartiment arrière et vous y verrez une banquette aussi confortable pour les passagers. Ce n’est peut-être pas l’espace que l’on verrait dans une limousine mais on peut y voir suffisamment de débattement pour les jambes des occupants ce que j’ai déjà reproché à une des versions précédentes de cette berline. Quant au coffre, il est suffisant pour les bagages de deux personnes mais pas plus que cela.
Évidemment, le coffre d’une « compacte » ne peut être trop grand. Mais dans le cas de la Civic, il devrait suffire pour deux personnes en voyage. (Photo Éric Descarries)
Enfin, pour la visibilité, cette Civic passe le test haut la main. La finition y est irréprochable avec aucun bruit de carrosserie audible. Par contre, je conseillerais à Honda de porter un peu plus d’attention à l’insonorisation. Le bruit des pneus pénètre plus facilement à l’intérieur si le revêtement de la route est rugueux…
Sur la route
Il faut que je sois honnête ici. Mes impressions de conduite se sont résumées presque seulement sur autoroute. Normalement, j’aurais dû couvrir au moins une distance semblable en situation urbaine (là où la Civic Hybrid prouverait, selon moi, encore plus son efficacité énergétique!). J’aurai donc à demander à Honda Canada un autre prêt pour compléter mon essai!
Mais qu’importe, sur grand-route, cette auto (qui n’est certes plus aussi petite que celles que j’ai connues à ses débuts) s’est avéré une excellente routière. Son comportement routier était irréprochable sur autoroute (les 401, 407 et 412 ontariennes) et toute aussi satisfaisant sur les quelques portions de routes de campagne que nous avons empruntées.
La Civic Hybrid Touring est capable d’atteindre le cap des 100 km/h en mois de sept secondes alors que ses reprises (auxquelles j’ai fait appel plusieurs fois) sont nettement à la hauteur de mes attentes ce qui est appréciable pour une berline de quelque 3300 livres. Question consommation, avec deux personnes à bord, j’ai obtenu une consommation observée de 4,75 l./100 km et ce, malgré le fait que nous avons dû conduire à des vitesses dépassant souvent la limite permise (sachez que la route ontarienne 401 affiche désormais une vitesse limite de 110 km/h…qu’il est difficile de respecter car on risque de se faire emboutir si l’on roule à des vitesses avoisinant cette limite…vous observerez qu’autour de soi, les automobilistes ne craignent pas de rouler bien au-delà de 125 km/h!).
À combien se détaille cette berline Honda haut de gamme (construite à Alliston en Ontario) ? Elle commence à 36 800 $ alors que notre voiture d’essai incluait 892 $ d’options (incluant les 300 $ supplémentaires pour la peinture choisie). Ajoutez à cela 1948 $ de frais (dont 1830 $ pour le transport et la préparation, 100 $ de taxes pour le climatiseur et 18$ pour diverses petites taxes supplémentaires dont celle pour les pneus) et on en arrive à un total de 36 630 $.
Pas nécessairement née pour être une grande routière, la Honda Civic Hybrid Touring y tire quand même bien son épingle du jeu. De plus, on connaît maintenant la réputation de fiabilité et l’image sportive que cette petite auto transporte ce qui aide à la recommander à ceux qui recherchent à la fois une auto abordable mais aussi luxueuse. Il faudra certes que je la redemande!
Le Festival des Essais de l’AJAC
Vous comprendrez qu’avec tout ce que je dois couvrir de ces temps-ci, j’ai un peu moins d’espace (et de temps) pour tout couvrir. Je vais donc repousser à la semaine prochaine un premier reportage sur le Festival des Essais de l’AJAC où je me suis rendu la semaine dernière. Il y avait tellement de véhicules intéressants à conduire…
Un petit échantillon de ce que j’ai pu conduire à l’AJAC. (Photo Éric Descarries)
Le monde est-il devenu fou?
Non, je ne parle pas de la situation politique chez nos voisins du sud mais des gens qui nous entourent. On dirait que plus personne ne respecte les lois, même celles du gros bon sens.
Par exemple, comme je l’écrivais plus haut, les automobilistes ne se gênent pas pour dépasser largement la vitesse limite affichée sur nos autoroutes (même sur la 401 où plusieurs conducteurs québécois redoutent la surveillance policière). Rouler à 135 km/h et se faire dépasser à tour de bras n’est pas inusité.
Et les piétons de chez nous seraient-ils devenus inconscients? Combien de gens (surtout des jeunes) traversent les rues sans se préoccuper des véhicules qui viennent. Ils sont plutôt préoccupés par leur téléphone ou ils se moquent éperdument du poids du véhicule qui peut les frapper…ils ne les regardent même pas en marchant à un pas lent et léger…4500 livres contre 150 ?
Et je ne parle pas des automobilistes qui « forcent » les feux de circulation…ou se stationnement dans des espaces réservés aux handicapés ou encore aux places réservées aux autos électriques en recharge…même avec des véhicules à moteur à essence! Mais, où sont les policiers? Y en a-t-il suffisamment pour tout surveiller? Où cela nous mènera-t-il?
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A Call for Mercy and Help 😢💔
My name is Alaa From Gaza, I am 35 years old and a mother of three children. Our home in khan yonis was bombed and destroyed, forcing us to flee nine times, living in a weak tent amidst the sounds of war. In the intense summer heat, we suffer from insects that make our lives even more difficult, and my children are struggling with malnutrition and illnesses.😔
My ten-year-old son, Ahmad, suffers from severe allergies in his eyes, and I cannot provide him with the necessary treatment. My fifteen-year-old daughter, Raghad, has extreme allergies and needs special food that I cannot afford. Meanwhile, my fourteen-year-old son, Ismail, was an excellent student, but he has lost the chance to realize his dreams due to these painful circumstances. 😢💔
I plead with you, with my broken heart; I need your help in securing our basic needs and treating my children. Your assistance can bring hope back to our lives.
🙏 For those who can give, please don’t hesitate to lend a helping hand. My campaign has been verified through beesandwatermelos@, and you can find the GoFundMe link here: https://gofund.me/6bdcd329. Together, we can revive hope in our hearts. 💖✨
Alaa
Alaa's campaign has made about $600. She still has a long way to go to reach her goal.
Please donate and share her campaign. Every donation no matter how small can help her reach her goal.
Vetted
#palestine#free palestine#from the river to the sea palestine will be free#gaza#free gaza#fuck israel#end israeli occupation#end israeli apartheid#israeli apartheid#israel is a terrorist state#palestine donation#donations needed#donate#donations#gofundme#crowdfunding#boosting#boost#please boost#signal boost
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C’est en forgeant qu’on devient forgeron !
Estampage, Matriçage et Usinage : Pièces forgées en tous types d'aciers et superalliages à base de nickel, produites en petites séries.
La Forge KB est située à Hagen (Westphalie), en Allemagne de l'Ouest, entre Solingen (la région historique des couteaux) et Dortmund (la ville du football), à deux heures de route des frontières belge et néerlandaise.
Pour découvrir les détails de la région, cliquez sur « ALT » sur la carte !
KB est spécialisée dans les pièces forgées pour équipements sous pression et ainsi que pour les applications maritimes, nucléaires et industrielles, certifiée selon des normes strictes.
Spécialisée dans le forgeage à chaud par estampage et matriçage en matrice fermée, KB fabrique des pièces forgées en petites séries à partir de matériaux de qualité européenne.
Schmiedetechnik [prononciation : Chmyd(e)technique] est le mot allemand pour désigner la technologie de forgeage. « Schmied » signifie « forgeron » en français.
L'entreprise fabrique des composants pesant entre 200 g et 130 kg par unité, avec une longueur maximale de 600 mm, dans toutes les nuances d'acier.
Cela inclut les aciers inoxydables tels que le F316L et le duplex, ainsi que les alliages à base de nickel, notamment les superalliages Monel®, Incoloy®, Inconel® et Hastelloy®, sans oublier le titane.
Profondeur de Fabrication
KB maîtrise en interne tous les processus : conception, ingénierie, simulation, fabrication d'outillages, forgeage, traitement thermique et trempe, ainsi que les essais destructifs en laboratoire, contrôle des fissures, usinage mécanique et contrôle dimensionnel.
Applications dans des Secteurs Critiques
Robinetterie industrielle, notamment des corps de vannes cryogéniques, hydrogéniques et nucléaires, des raccords et brides de tuyauterie pour la chaudronnerie et la construction navale, des ébauches d’engrenages, ainsi que des supports et crochets forgés, destinés également aux secteurs agricole, maritime et de la défense.
Toutes les productions sont conformes aux normes, standards et certifications suivants :
ISO 9001 et ISO 14001
Equipements sous pression et énergie nucléaire :
DESP 2014/68/UE, AD 2000-W0, ASME, KTA, RCC-M
Chaudronnerie : Alstom, Babcock, CNIM, MHPS
Construction navale et génie océanique :
American Bureau of Shipping (ABS)
Bureau Veritas Marine & Offshore
Nippon Kaiji Kyōkai (ClassNK)
Det Norske Veritas (DNV)
Lloyd’s Register (LR)
Source (sous-marin): DCNS - Free Media Kit
Les certificats de qualité peuvent être téléchargés ici (en anglais) :
https://kb-schmiedetechnik.de/quality.html
Article Info
Un de mes articles sur le flux de grains et la stabilité des pièces forgées. « Fibrage » n'est pas le terme exact, mais il illustre bien le concept (EN: grain flow) !
Des photos, des textes complémentaires et des vidéos sont hébergés sur le site suisse suivant :
https://waisch.ch/firma/la-forge-kb-schmiedetechnik-gmbh-hagen-nrw
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"Eén boom mot kunn’n" actie in de gemeente Lochem
Grondeigenaren, inwoners, ondernemers, scholen en verenigingen in de gemeente Lochem kunnen gratis een boom aanvragen tijdens de actie “Eén boom mot kunn’n.” De gemeente Lochem stelt maximaal 600 bomen beschikbaar.In het buitengebied levert en plant Agrarische Natuurvereniging ’t Onderholt de boom in overleg met de aanvrager. In de bebouwde kom haalt de grondeigenaar de boom op en plant hem…
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LECTURES DE 2024 : La roue du temps, tome 1 "L'œil du monde" partie 1/2 - Robert Jordan
Lecture terminée le 2 octobre 2024 (88/90)
Nombre de pages : 600 pages
"[...] Si vous voulez survivre, Sage-Dame, n'oubliez pas que certains secrets sont trop dangereux pour être dits à voix haute, même quand on croit que personne n'écoute. [...]"
Il y a un an, j'ai découvert la série, La roue du temps, que j'ai trouvé très cool! J'ai appris qu'il y avait un roman, j'ai demandé les premiers tomes (format poche parce que même si ça en fait plus, ils reviendront à moins cher au final et l'économie, c'est bien), et j'ai lu le tout premier! Alors La roue du temps, l'œil du monde 1/2 par Robert Jordan a été ma 88ème lecture de l'année!
Résumé: À Deux-Rivières, le souci principal des habitants semble être l'hiver qui s'éternise, surtout que la sage-dame est, cette année, incapable d'en déterminer la fin. Pourtant, lorsqu'une horde de monstres violents et meurtriers fond sur la ville, quatre adolescents à l'aube de leur âge adulte se voient contraints de fuir, suivant malgré leurs craintes l'Aes Sedai Moiraine et son champion Lan. Car, si des monstres ont attaqué leur village, c'est bien l'un d'entre eux qui est visé tout particulièrement, mais qui? Rand? Mat? Perrin? Egwene? Seule la roue du temps le sait, mais les fils qu'elle fabrique sont mystérieux pour tous.
CW/TW: maladie, meurtres, agressions, tentatives de meurtres, manipulations psychologiques, sang, folie (mention), armes blanches, sexisme, etc...
J'ai énormément aimé la série La roue du temps. Deux saisons sont déjà sorties (adaptant les trois premiers tomes dans leur format de base) et une troisième semble bientôt arriver. Alors j'ai voulu donner sa chance aux romans! Si la série est si cool, et que dans l'intégralité des cas, l'adaptation n'est pas à la hauteur de l'œuvre originale, comme on dit, alors les romans doivent être géniaux!
Eh bien, ce roman est cool :) une bonne introduction, une présentation des personnages très bien amenée, qui les rend vivants, faillibles, attachants dans leurs défauts et leur bonne volonté, etc... J'ai vraiment passé un chouette moment! La traduction moderne a le défaut, à deux endroits (au moins) d'être trop moderne et non adaptée à l'univers fantasy de la saga (j'ai notamment noté l'utilisation du mot "must" qui me semble inadapté, à titre purement personnel), mais elle est complète, bien faite, et ne m'a pas perturbé outre mesure.
Rand est exactement comme dans la série, peut-être un peu plus sympathique? Je sais qu'il est celui que j'aime le moins du quatuor dans la série (je l'aime! mais pas autant que les autres), et il est super attachant. Mat est encore très flou à percevoir, mais je sens un bon potentiel en lui, j'ai hâte d'en savoir plus. Egwene est en colère contre les hommes, on ne sait pas encore pourquoi, je me demande si on le découvrira! Peut-être une colère adolescente. Et Perrin! Perrin qui est mon coup de cœur dans le roman (là où c'est Mat dans la série), parce qu'il est juste attachant, et très bien pensé. Je l'aime beaucoup. Les autres personnages sont aussi très chouettes!
L'histoire a quelques longueurs, mais rien de trop ennuyeux, on se laisse porter malgré tout, et vraiment, j'aime la tension qui grimpe lentement mais sûrement!
Enfin bref, je recommande totalement La roue du temps! Livre, série, peu importe votre préférence, je suis certain que vous passerez un super moment si vous aimez la fantasy! En tout cas, moi je passe un chouette moment.
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Massacres au Liban : une nouvelle vague de violence
Dans la nuit du 23 septembre, Israël a lancé des frappes massives sur des cibles du Hezbollah au Sud Liban. Le bilan humain est lourd : 492 morts, dont 35 enfants, et plus de 1 600 blessés. Cette nouvelle escalade soulève des questions sur la légitimité de ces attaques. L’hypocrisie des États-Unis face à la tragédie de Gaza : les mots de Biden masquent la réalité Les réactions internationales :…
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600 gängkriminella svenskar i utlandet
Polismyndighetens nationella operativa avdelning, Noa, har identifierat runt 600 gängkriminella svenskar i utlandet som bedriver organiserad brottslig verksamhet riktad mot Sverige. De befinner sig i 57 olika länder över hela världen. Karta som visar vilka länder gängkriminella svenska befinner sig i. – Vi har en allvarlig och ständigt föränderlig brottsutveckling i Sverige där en stor del av…
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