#1969 L'Alibi
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L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969)
#Tina Aumont#actress#Vittorio Gassman#Adolfo Celi#Luciano Lugicnani#L'Alibi#1969 L'Alibi#my screencaps
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Tina Aumont
🎥 L'alibi (1969)
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Tina Aumont
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L'uomo, l'orgoglio, la vendetta 1967
Partner. 1968
L'alibi 1969
Satyricon 1969
L'urlo 1970
Necropolis 1970 !
Arcana 1972
Racconti proibiti… di niente vestiti 1972
I corpi presentano tracce di violenza carnale 1973
Lifespan 1975
La principessa nuda 1976
Giovannino 1976
Il Casanova di Federico Fellini 1976
Holocaust parte seconda: i ricordi, i deliri, la vendetta 1980 ti
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SAMEDI 14 OCTOBRE 2023 (Billet 1 / 3)
« LE PROCÈS GOLDMAN » (1h56)
Un film de Cédric Kahn, avec Arieh Worthalter, Arthur Harari, Stéphan Guérin-Tillié…
Cela faisait longtemps que nous voulions le voir car autour de nous tout le monde nous en avait dit du bien. Et nous n’avons pas été déçus.
La caméra ne quitte quasiment jamais la salle d’audience. Le procédé pourrait être étouffant. Il l’est parfois d’autant plus que le film dure près de deux heures. Mais les joutes oratoires qui opposent l’accusation, l’avocat des parties civiles et la défense sont d’une telle intensité, les témoignages qui se succèdent offrent l’occasion de tant de retournements, le suspense qui, jusqu’au prononcé du verdict, est si intense qu’on sort de la salle, totalement épuisés mais conquis.
La question que nous nous sommes posés dans le bus, en rentrant : si nous avions été jurés lors de ce procès, quelle aurait été notre intime conviction : coupable ou non coupable ?
Marina l’aurait acquitté, JM, non. Ce qui bien sûr n’enlève rien au talent de l’acteur qui l��incarne : excellent du début à la fin.
Lisez ci-dessous un article paru dans Le Monde qui risque de déstabiliser vos certitudes puis, si vous voulez en savoir plus, questionnez Google : « Goldman coupable ou non coupable ? », vous verrez que la réponse est plus que complexe.
Nous avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,5 sur 5 à ce film.
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Un livre remet en cause l'alibi de Pierre Goldman, acquitté pour un double meurtre en 1969
La vie de Pierre Goldman s'est brutalement arrêtée, le 20 septembre 1979, à l'âge de 35 ans. Sur une place de Paris, des tueurs ont mis fin à l'histoire complexe et tourmentée de ce militant d'une révolution impossible. « Pierre, c'était l'être et le néant à lui seul », proclame son ami vénézuélien Oswaldo dans la première biographie consacrée à Pierre Goldman, écrite par Michaël Prazan (« Pierre Goldman, le frère de l'ombre », éd. du Seuil - 2005). Retraçant avec sympathie le parcours d'un héros ambivalent, à la fois révolutionnaire et gangster, passionné de l'Amérique latine et du monde noir, habité par son judaïsme et la mémoire de la Shoah, l'auteur remet en cause son innocence sur les faits les plus graves qui lui furent reprochés.
Le 19 décembre 1969, deux pharmaciennes sont tuées lors du braquage de leur officine, boulevard Richard-Lenoir, dans le 11e arrondissement de Paris. Pierre Goldman est condamné pour ce double meurtre à la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est ensuite cassé, ouvrant la voie à un second procès. Il est cette fois reconnu innocent. Les jurés lui infligent bien une peine de douze ans de prison, mais pour trois autres hold-up, qui n'ont pas fait de victime, et qu'il a lui-même revendiqués.
Pierre Goldman a obtenu cette décision favorable grâce à l'alibi que lui a fourni un ami, Joël Lautric. Celui-ci confirme à la barre que l'accusé était chez lui peu avant 20 heures et en était reparti vers 21 heures, une chronologie incompatible avec une participation à l'attaque meurtrière de la pharmacie.
Retrouvé des années plus tard par l'auteur, le témoin fait une révélation surprenante : « Pour moi (...), l'heure à laquelle Goldman est venu chez moi, c'était 18 heures, et pas 20 heures... » M. Prazan en déduit que Pierre Goldman pouvait être boulevard Richard-Lenoir. Ce même Joël Lautric affirmera dans « Mémoires d’un parjure » que Goldman était coupable, qu’il n’était pas chez lui au moment des meurtres, et qu’il n’aura maintenu sa déposition qu’en raison de « la crainte de se faire lyncher par les gauchistes venus en masse soutenir leur héros révolutionnaire ».
[…]
Au Venezuela, il aurait participé à l'attaque de la Banque nationale, au sein d'un commando de révolutionnaires. Elle rapporta à ses auteurs un butin considérable, 2 661 838 bolivars, soit la plus grosse somme des hold-up de l'année 1969 dans le monde ! A Paris, Pierre Goldman flambe. Il dépense sans compter pour ses amis, ses connaissances. Il écoute de la musique latino, fréquente un groupe de Guadeloupéens. Il boit du Rhum lors de nuits passées à refaire le monde.
Ses deux procès lui valent une vague de sympathie dans les milieux de l'extrême gauche, voire au-delà. Il reçoit le soutien d’un collectif d’intellectuels et de personnalités de gauche comme la comédienne Simone Signoret, les écrivains Jean-Paul Sartre et Simone Beauvoir, mais aussi François Mitterrand. Maxime Le Forestier compose même pour lui « La vie d’un homme », en 1975.
Ci-dessous le lien vers l’article du Monde que nous avons reproduit. Pour l'ouvrir, cliquez sur la phrase :
Un livre remet en cause l'alibi de Pierre Goldman, acquitté pour un double meurtre en 1969 (lemonde.fr)
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Ennio Morricone - R.I.P., Maestro
Ennio Morricone - Once upon a time in America - Nuovo Cinema Paradiso - Piano & Bandoneon Gli spartiti di Morricone sono completamente disponibili nella nostra LibreriaEnnio Morricone, il compositore italiano le cui colonne sonore sinfoniche hanno accompagnato di tutto, dagli spaghetti western ai film romantici, horror e di fantascienza, è morto all'età di 91 anni, nel 2020. Elenco di composizioni di Ennio Morricone Classic (absolute) music Live albums Studio albumswith Gruppo di Improvvisazione di Nuova Consonanza with Chico Buarque other Selected compilations
Ennio Morricone - Once upon a time in America - Nuovo Cinema Paradiso - Piano & Bandoneon
Gli spartiti di Morricone sono completamente disponibili nella nostra Libreria
Ennio Morricone, il compositore italiano le cui colonne sonore sinfoniche hanno accompagnato di tutto, dagli spaghetti western ai film romantici, horror e di fantascienza, è morto all'età di 91 anni, nel 2020. https://youtu.be/dt3yMDPi4n0 Track Kist: 1. This Kind of Love (Questa Specie D'Amore) 2. Love Theme for Nata (Cinema Paradiso) 3. La Califfa 4. Romanza Quartiere (Quartiere) 5. Chi Mai (Maddalena & Le professionel) 6. Ninna Nanna per Adulteri (Cuore di Mamma) 7. Silvie - Momento D'Amore (Via Mala) 8. La Messicana (Vamos a matar compañeros) 9. Once Upon a Time in the West (with. Edda Dell'Orso) 10. Irene (Gli intoccabili) 11. La Donna e la Campagna (La Califfa) 12. Lei Mi Ama (D'amore si Muore - For Love One Dies) 13. Cinema Paradiso - Main Theme 14. Una Fotografia (L'Alibi) 15. Poesia di una Donna - Version 3 (Veruschka) 16. In ogni casa una storia (Quartiere) 17. Le Foto Proibite di una Signora per Bene 18. La Scoperta dell'America - Love Theme 19. Tema di Dunja (Il Fiore delle Mille e una Notte - Arabian Nights) 20. A Lidia (Scusi Facciamo l'Amore ? - Listen, Let's Make Love) 21. De Copalamo (La Cugina) 22. Viaggio con Anita 23. Eros Profondo (La Donna Invisibile - The Invisible Woman) Ennio Morricone (10 novembre 1928-6 luglio 2020) è stato un compositore, orchestratore, direttore d'orchestra ed ex trombettista italiano che ha scritto musica in una vasta gamma di stili. Morricone ha composto oltre 400 colonne sonore per il cinema e la televisione, oltre a oltre 100 opere classiche. Ha iniziato come calciatore di talento per l'A.S. La Roma però ha lasciato lo sport per seguire la sua passione per la musica. La sua colonna sonora per The Good, the Bad and the Ugly (1966) è considerata una delle colonne sonore più influenti della storia ed è stata inserita nella Grammy Hall of Fame. La sua filmografia comprende oltre 70 film pluripremiati, tutti i film di Sergio Leone da Per un pugno di dollari, tutti i film di Giuseppe Tornatore da Cinema Paradiso, La battaglia di Algeri, La trilogia degli animali di Dario Argento, 1900, L'esorcista II, I giorni del paradiso, diversi grandi film nel cinema francese, in particolare la trilogia comica La Cage aux Folles I, II, III e Le Professionnel, oltre a La cosa, La missione, Gli intoccabili, Mission to Mars, Bugsy, Disclosure, Nel centro del mirino, Bulworth, Il gioco di Ripley e The Hateful Eight. Dopo aver suonato la tromba in gruppi jazz negli anni '40, divenne arrangiatore in studio per la RCA Victor e nel 1955 iniziò a scrivere fantasmi per film e teatro. Nel corso della sua carriera ha composto musica per artisti come Paul Anka, Mina, Milva, Zucchero e Andrea Bocelli. Dal 1960 al 1975, Morricone ha guadagnato fama internazionale per aver composto musica per western e, con una stima di 10 milioni di copie vendute, C'era una volta il West è una delle colonne sonore più vendute al mondo. Dal 1966 al 1980 è stato uno dei membri principali de Il Gruppo, uno dei primi collettivi di compositori sperimentali, e nel 1969 ha co-fondato il Forum Music Village, prestigioso studio di registrazione. Dagli anni '70, Morricone eccelleva a Hollywood, componendo per prolifici registi americani come Don Siegel, Mike Nichols, Brian De Palma, Barry Levinson, Oliver Stone, Warren Beatty, John Carpenter e Quentin Tarantino. Nel 1977, ha composto il tema ufficiale per la Coppa del Mondo FIFA 1978. Ha continuato a comporre musica per produzioni europee, come Marco Polo, La piovra, Nostromo, Fateless, Karol e En mai, fais ce qu'il te plait. La musica di Morricone è stata riutilizzata in serie televisive, tra cui I Simpson e I Soprano, e in molti film, tra cui Bastardi senza gloria e Django Unchained. Ha anche scritto sette western per Sergio Corbucci, Ringo duology di Duccio Tessari e The Big Gundown e Face to Face di Sergio Sollima. Ennio Morricone ha lavorato a lungo per altri generi cinematografici con registi come Bernardo Bertolucci, Mauro Bolognini, Giuliano Montaldo, Roland Joffé, Roman Polanski e Henri Verneuil. La sua acclamata colonna sonora per The Mission (1986) è stata certificata disco d'oro negli Stati Uniti. L'album Yo-Yo Ma Plays Ennio Morricone è rimasto 105 settimane nella classifica Billboard Top Classical Albums. Le composizioni più note di Morricone includono 'The Ecstasy of Gold', 'Se Telefonando', 'Man with a Harmonica', 'Here's to You', il singolo numero 2 nel Regno Unito 'Chi Mai', 'Gabriel's Oboe' e 'E Più Ti penso'. Nel 1971, ha ricevuto una 'Targa d'Oro' per vendite mondiali di 22 milioni, e nel 2016 Morricone aveva venduto oltre 70 milioni di dischi in tutto il mondo. Nel 2007 ha ricevuto l'Academy Honorary Award 'per i suoi magnifici e sfaccettati contributi all'arte della musica da film'. È stato nominato per altri sei Oscar. Nel 2016, Morricone ha ricevuto il suo primo Oscar competitivo per la colonna sonora del film di Quentin Tarantino The Hateful Eight, diventando all'epoca la persona più anziana a vincere un Oscar competitivo. I suoi altri successi includono tre Grammy Awards, tre Golden Globe, sei BAFTA, dieci David di Donatello, undici Nastri d'Argento, due European Film Awards, il Golden Lion Honorary Award e il Polar Music Prize nel 2010. Morricone ha influenzato molti artisti da colonne sonore per altri stili e generi, tra cui Hans Zimmer, Danger Mouse, Dire Straits, Muse, Metallica e Radiohead. Gli spartiti di Morricone sono completamente disponibili nella nostra Libreria.
Elenco di composizioni di Ennio Morricone 1950sYearTitleDirector1955AbandonedFrancesco Maselli1959La Duchessa di Santa LuciaRoberto Bianchi MonteroDeath of a FriendFranco Rossi1960sYearTitleDirector1960Run with the DevilMario CameriniLipstickDamiano DamianiL'AvventuraMichelangelo AntonioniLe Pillole Di ErcoleLuciano Salce1961The FascistThe Last JudgmentVittorio De Sica1962L'italiano ha 50 anniFrancomaria TrapaniGli Italiani e le vacanzeFilippo Walter RattiI motorizzatiCamillo MastrocinqueCrazy DesireLuciano SalceIl SorpassoDino RisiI due della legioneLucio FulciEighteen in the SunCamillo MastrocinqueA Girl...and a MillionLuciano Salce1963Violenza segretaGiorgio MoserIl SuccessoDino RisiLe monachineLuciano SalceEl GrecoGunfight at Red SandsRicardo Blasco Mario CaianoI basilischiLina Wertmüller1964Una Nuova fonte di energiaDaniele G. LuisiMalamondoPaolo CavaraI maniaciLucio FulciI marziani hanno 12 maniFranco Castellano Giuseppe MocciaIn ginocchio da teEttore FizzarottiBullets Don't ArgueMario CaianoA Fistful of DollarsSergio LeoneI due evasi da Sing SingLucio FulciBefore the RevolutionBernardo Bertolucci...e la donna creò l'uomo Camillo Mastrocinque1965A Pistol for RingoDuccio TessariNightmare CastleMario CaianoAgent 077: Mission Bloody MarySergio GriecoHighest PressureEnzo TrapaniSlalomLuciano SalceMenage all'italianaFranco IndovinaFists in the PocketMarco BellocchioThrillingCarlo Lizzani Gianni Luigi Polidori Ettore ScolaNon son degno di teEttore FizzarottiSe non avessi più teIdoli controluceEnzo BattagliaFor a Few Dollars MoreSergio LeoneThe Return of RingoDuccio Tessari1966The Bible: In the BeginningJohn HustonSeven Guns for the MacGregorsFranco GiraldiWake Up and DieCarlo LizzaniAgent 505: Death Trap in BeirutManfred R. KöhlerThe Hawks and the SparrowsPier Paolo PasoliniThe Battle of AlgiersGillo PontecorvoThe Hills Run RedCarlo LizzaniUn uomo a metàVittorio De SetaHow I Learned to Love WomenLuciano SalceFor a Few Extra DollarsGiorgio FerroniFlorence: Days of DestructionFranco ZeffirelliNavajo JoeSergio CorbucciThe Big GundownSergio SollimaThe Good, the Bad and the UglySergio Leone1967Il giardino delle delizieSilvano AgostiDalle Ardenne all'inferno / Dirty HeroesAlberto de MartinoThe RoverTerence YoungThe WitchesLuchino Visconti Mauro Bolognini Pier Paolo Pasolini Franco Rossi Vittorio De SicaThe HellbendersSergio CorbucciChina is NearMarco BellocchioO.K. ConneryAlberto De MartinoMatchlessAlberto LattuadaGrand SlamGiuliano MontaldoThe Girl and the GeneralPasquale Festa CampanileArabellaMauro BologniniFace to FaceSergio SollimaHer HaremMarco Ferreri1968Danger: DiabolikMario BavaTepepaGiulio PetroniThe MercenarySergio CorbucciEat-itFrancesco CasarettiCome Play with MeSalvatore SamperiA Sky Full of Stars for a RoofGiulio PetroniEcce HomoBruno GaburroRun, Man, RunSergio SollimaEscalationRoberto FaenzaDeath Rides a HorseGiulio PetroniGuns for San SebastianHenri VerneuilComandamenti per un gangsterAlfio CatabianoTheoremPier Paolo PasoliniPartnerBernardo BertolucciRoma come ChicagoAlberto De MartinoMachine Gun McCainGiuliano MontaldoOnce Read the full article
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A la suite de complications dont la narration serait longue et ennuyeuse, Monsieur Jacques se réveillai seul au Hilton de l'aéroport de Manchester (qui est ce Monsieur Jacques?). Le sémillant vieillard qui allait comme chacun sait, sur ses 79 ans, exécuta dans la chambre les mouvements de "culture physique" auxquels il était accoutumé depuis... depuis un certain temps. Après une bonne suée, Jacques Van Tricht (de Bruxelles) ragaillardi retira ses vêtements, passa en salle d'eau dont il sortit dix minutes plus tard dûment douché, rasé, parfumé. Il passa des vêtements, noua une cravate, descendit au breakfast room. Un anglais n'est jamais servi au petit-déjeuner, nous enseigne Gosford Park. Jacques Van Tricht se servit lui-même quatre assiettes de tous les buffets disponibles car bien qu'il sut grâce au stoïciens que l'homme libre mange autant qu'il veut mais l'esclave autant qu'il peut, il comptait sur ce seul repas pour faire sa journée, car l'on approchait du carême. Après avoir disposé devant lui, après moult allers-retours, des assiettes de charcuterie, des omelettes, des oléagineux, des fruits et des laitages, le tonique vieux monsieur belge se mit à l'ouvrage et conclut l'affaire par un demi-litre de thé vert. Rasséréné il prit conscience du monde alentour. Il observa les clients. Plus de cravate non, même chez les quinquagénaires. Tout le monde en sweat-capuche, de 10 à 60 ans, bourgeoisie à barbe et casquette, les filles bouchonnées d'écouteurs figées devant leur écran mobiles suivaient apparemment des séries Netflix, leur main droite allant et venant de la bouche au bol de porridge. Monsieur Jacques réprima une apostrophe à sa voisine (il est on le sait, coutumier des scandales publics, des leçons de morale et des réprimandes envers les inconnus, et il n'en garde jamais garde ni regret ni gêne), une jeune femme vraisemblablement american born chinese dont la tête butée fixant un GSM ne lui revenait pas. Les anglais vieillissent plutôt bien, ils deviennent ces bœufs rasés terribles. Leurs femmes hélas tournent grosses, raccourcies, rougeaudes et rigolardes, elles tiennent le bonhomme à l’œil, lui serrent la vis par toutes sortes de remarques acerbes ("How come Rupert do you dare walking away from me in front of those people? - But I was going to have a refill of sausages, dear!" etc). Quelle tristesse que les business hotel lobbies le weekend! Plus d'enfants qui courent dans les coins comme jadis, et la cabine de téléphone, la pauvre cabine de téléphone, enfoncée dans un recoin cossu capitonné de cuir et ronce de noyer attend vide depuis quinze années. Train pour Liverpool. Monsieur Jacques observe la campagne. La Merry England apparaît préservée comme en ses jeunes années (son père l'envoyait adolescent chaque été dans une famille du Herefordshire en "immersion totale", comme on appelait). Les cataclysmes accablant le monde francophone ont extraordinairement épargné Albion. Ni barre d'immeuble, ni éolienne, ni étranger, ni immigré, ni racaille, ni dépotoir, ni aucun nuisible à perte de vue... Le cottage en briques rouges prédomine comme il y a 60 ans, alternant avec les bois et les parcs, ces derniers toujours nets et ras comme un crâne de retraité local. De loin en loin on aperçoit des tâches mouvantes s'agiter sur les prairies, en effet c'est samedi jour de match pour les clubs amateurs, et sous le ciel gris le monde s'égaye, tout épanoui d'enfants de familles indigènes, comme si la terre portait ses arbres et les arbres leurs fruits. Monsieur Jacques compare mentalement ce spectacle au misérable barbouillage de l’Europe continentale. Tournant la tête, il repère une jeune anglaise sans doute montée lors d'un arrêt récent dont il n'avait pas noté l'arrivée. La jeune personne assise en diagonale sur la rangée opposée étale sur la table un impressionnant attirail de cosmétiques et entreprend devant tout le monde de répandre sur sa face le contenu de 7 récipients. Entrée blanche elle ne sortira du train, note Jacques Van Tricht, qu'au terminus de Liverpool Lime Street, qu'après une heure exacte de travail forcené, se rajustant, insistant, effaçant, reprenant, étalant, saupoudrant, mouchetant, pointillant, égalisant, disséminant... Monsieur Jacques regarda horrifié l'avancée du massacre, et la fille toujours attentive ne prêtant nulle attention au monde extérieur c'est à dire au wagon bondé, s'observant dans un miroir de poche par au-dessus, battant des cils, appliquant en rond sur ses joues à l'aide d'un plumeau toutes sortes de poudres jaunes et beiges et toujours très consciencieusement, avec l'application du psychotique étalant ses excréments sur les murs de la cellule (pratique courante: toutes les infirmières en témoignent). Après soixante minutes de peinture forcenée au rouleau, telle la Yuzu de Sérotonine, la demoiselle ressemblait à quelque chose entre Chewbacca et la Nuit des morts-vivants, elle était parvenue à force de persévérance à oblitérer totalement la pureté de son teint qui semblait irrémédiablement corrompu désormais, crotté et cireux, bref la brave fille ressemblait à ces statues dans les châteaux transformés en musée, censés aider le visiteur à imaginer les lieux "tels qu'ils étaient habités". Mais c'est bien une fin de fin d'Occident-musée que nous vivions paraissait-il. Monsieur Jacques haussa les épaules, empoigna son bagage à main et sortit, c'était Liverpool.
Jacques Van Tricht descendit au Hard Day's Night hotel, posa les bagages, retrouva dans le hall Mike S. avec qui il avait rendez-vous. Ne sachant même plus pourquoi, Monsieur Jacques avait convenu avec Mike que ce dernier lui ferait le guide au cours d'une journée de visite "spéciale Beatles". A vrai dire Monsieur Jacques bien que natif comme John Lennon, de 1940 (Mike était de 1953), n'avait jamais aimé ce groupe auquel allait depuis trop longtemps une dévotion presque obligatoire. Certes il y avait un génie de la mélodie, certes. Mais les paroles étaient par trop grotesques et putassières, et surtout Monsieur Jacques avait toujours senti quelque chose de suspect chez John Lennon ; cet individu lui avait toujours déplu d'instinct, tant par l'esprit de ses textes que par son habillement, et même par son physique. A y regarder d'un petit peu près, John Lennon devenait même tout à fait désagréable. Son allure, son parcours, ses phrases sibyllines, tout cela annonçait de mauvais présages qui d'ailleurs s'étaient tous accomplis. John Lennon avait figuré avec trente années d'avance ce que serait la bourgeoisie: le culte du fric seul sans l'alibi de haute culture, le débraillé, le snobisme, le mot "amour" rabâché mille fois par jour dans une bouche qui ne vit que de manipulation et de mensonge, la haine des Blancs pour mieux les dominer par syndrome de Stockholm, cette posture de moraliste immoral, ce quelque chose visqueux et faux écrit en toutes lettres sur la gueule de Lennon à partir de 1969 avec ses immondes lunettes derrières lesquelles juger le monde. Mais c'est aux fruits que l'on reconnaît l'arbre, et tout comme les amateurs de Bob Marley, les inconditionnels de Lennon s'étaient toujours distingués auprès de Monsieur Jacques par leur muflerie, leur inculture, leur goût du fric. Toutefois ce dernier suivit Mike dans un musée dédié aux Beatles, puis dans une cave à l'autre bout de la ville, le Casbah Club, lieu de leurs débuts. Enfermé dans ces sous-sols alors qu'il faisait grand ciel bleu Monsieur Jacques enrageait de se laisser une fois de plus voler son temps par politesse, mais il écouta vaguement le guide ventru, barbu et chevelu réciter toutes sortes d'anecdotes dans ce globbish dont il avait horreur, "c'est ici que tout a commencé" etc.Beaucoup plus tard, attablé dans un pub irlandais avec Mike, les télévisions diffusaient un match entre le Celtic et les Hibernians. le club supporté par Renton dans Trainspotting. Les Hibs sont le club du quartier prolétaire catholique d'Edimbourg, alors que les Hearts furent fondés par les classes aisées et maçonniques. Qu'en était-il à Liverpool? Mike répondit que le LFC était historiquement le club des maçons et des bourgeois alors que l'autre grand club de la ville, Everton, était celui de la minorité catholique et ouvrière. Le derby avait d'ailleurs lieu le lendemain. Jacques Van Tricht en fut fort troublé car pour lui le LFC dont les initiales étaient les mêmes que celles du plus grand écrivain français (et incidemment ou non, l'inverse du funeste sigle LCF), revêtait un charisme de vertu sobre dans un paysage anglais accaparé par la synagogue (Tottenham, Chelsea), et la mosquée (Arsenal, Manchester City). La conversation roula sur le thème de la religion mais Monsieur Jacques examinait mentalement la pertinence d'un report d'affection sur les Toffees désormais, et médita cette phrase de Trainspotting, "supporter un club qui ne fait que de perdre". Mais un coup de tonnerre brisa net ces prospections car le vieux monsieur belge venait de déceler un mot tabou dans le sabire globbish de son interlocuteur. "Pardon Mike, pouvez-vous répéter?". L’anglais venait de s'avouer franc-maçon. Le belge fit répéter trois fois Mike, s'ensuivirent quelques haussements de ton, doigts pointés, regards par en-dessous, et Monsieur Jacques prit congé.
Dimanche à l'église Monsieur Jacques se laissa tomber sur un banc dans une alcôve transversale au chœur. Cette place convenait bien à son humeur maussade, et s'il éprouvait parfois une vague sympathie pour ses frères en Christ, la déception lui avait dès l'entrée dans cette crypte fait désespérer de toute joie surnaturelle. Il croyait trouver le charme feutré d'une belle liturgie à la britannique, il trouvait le même débraillé, aigu et froid, à prédominance féminine, que dans n'importe quelle masure consacrée de Wallonie. Mais au moment du signe de paix une petite fille vint vers lui, une toute mignonne petite fille, lui annoncer dans un bel anglais d'enfant avec ces diphtongues qui tintent comme un carillon, "Peace be with you". Monsieur Jacques fut d'un coup tout rasséréné de ce qu'il voulait prendre pour un présage, ou peut-être pour un îlot de grâce au milieu d'un océan de solitude, les paroles d'Alain Soral lui revinrent en mémoire, "parfois c'est juste une petite chose la grâce: le regard franc d'un vrai gars, le sourire d'un enfant, et il faut tenir avec ça pendant des mois". Les accords de l'orgue se firent plus beau, il y eut un petit moment d'incertitude. Le vieux monsieur belge se leva, parcourut lentement une allée de la crypte, s'arrêta devant une représentation de saint-Antoine de Padoue (ou était-ce Saint Dominique?). L'expression parfaitement apaisée que l'artiste avait donné au saint, la noblesse de cette figure, ébranl��rent puissamment Monsieur Jacques, il se trouva vil et eut honte. Il pleura. La laideur, la brutalité et la méchanceté devaient recouvrir la terre. De la beauté, pudeur, courtoisie de son enfance il ne restait plus rien, car le bien est passif mais la mal est actif, car il est plus facile de détruire que de protéger, car le débraillé vit au dépens du boutonné qui le tolère, car il faut que tout soit détruit, c'est au fond ce que tout le monde veut. Ce monde blanc, "fixé comme un poisson dans sa friture, somnambule des volontés" haineuses, violé dans son âme colonisée, ne veut plus rien d'autre que d'être souillé, sali, pourri, comme une femelle qui se rend, qui réclame sa souillure et sa honte. Monsieur Jacques se fit la réflexion, alors qu'il quittait les lieux à la fin de l'office, qu'il passait toujours aussi facilement qu'enfant de la tristesse à la colère, car le second vice est la réponse vitaliste à la langueur première. Il n'y aurait de paix que dans la victoire, ou le renoncement. Mais entre le combat des derniers honnêtes hommes d'une part, et le "exerce ta volonté à renoncer" de Maître Yoda résumant en une phrase tous les stoïciens d'autre part, il y avait un abîme infranchissable. Pourtant, à y regarder de près, on pouvait trouver ce que Dantec appelait en son temps "synthèse disjonctive", en effet l'on savait que les oppresseurs des Blancs se croient toujours très forts à l'instant T puisqu'ils savent n'encourir aucune rétorsion, pourtant dans un intervalle de 15 années environ, on avait souvent observé que tel ou tel auteur de méchanceté était puni par la où il avait péché, via des Némésis inattendues. Monsieur Jacques lisait à l'occasion Riad Sattouf, regardait Bassem, parlait avec les clients des cafés de la place Dailly... Monsieur Jacques entendait jusqu'à la fin garder contact avec le terrain.
A l'hôtel Monsieur Jacques fit sa gymnastique, ses ablutions, sa toilette, s'habilla et sortit. Affamé il chercha un restaurant de poulet frit, et y fit bombance. Repu, la culpabilité aux seins de suie l'entoura d'une nuée funeste. Le vieux monsieur entra dans de noires pensées. L'élevage en batterie des poulets demeurait une honte, mais les restaurants comme celui que Monsieur Jacques honorait de sa présence rencontraient du succès on le sait, surtout chez les immigrés. A bien y réfléchir, la courbe exponentielle de l'ouverture des KFC suivait exactement la courbe de l'invasion migratoire sur l'Occident, qui elle même présentait de troublantes résonances avec la courbe ascendante de l'effectif total du cheptel de poulets de batterie. Il fallait à ses immigrés exigeants leur petit confort bourgeois, leur petit papier toilette, leurs petites ailes de poulets élevés en batterie qui devaient souffrir pour eux, il fallait pour chauffer ce monde davantage d'éoliennes, pour les loger davantage de pâtés de ciment, pour les favoriser davantage de lois liberticides et d'impôts, une société toujours plus maternelle, menteuse et violente, où tout se nivelait par le bas. Il était étrange qu'aucun groupuscule vegan n'ait jamais saisi la cause profonde de l'élevage en batterie. Il était étrange qu'aucun groupuscule d'érudits pro-européen n'ai jamais saisi la symbolique obscène des non-Blancs venant chez les Blancs y manger de la chair blanche pour gonfler leur chair non-blanche, et s'agrandir de ce que leurs hôtes se rétrécissaient. Monsieur Jacques en était là de ses réflexions quand il aperçut par la vitre une fille chaussée de bottes montant à mi-cuisses pleurer en se tapant la tête contre une vitre sous l'auvent d'un pub. Une autre fille venait la consoler, mais elle était pieds nus. Elles partirent sous la pluie. Nous étions dimanche midi, se souvint Jacques Van Tricht, et les fameux samedi soirs anglais duraient parfois tard la journée suivante. Monsieur Jacques pour son dessert descendit une glace et un milk-shake vanille, puis sortit. Les deux folles traînaient dans les parages, criant et tapant contre des vitres, mais, c'est un point à souligner, ne vomissant point. Monsieur Jacques entra dans un pub, un beau pub vaste et bien fignolé avec caissons de bois, papier-peint damassé, moquette et mobilier sombre, tout rempli de ces familles anglaises venues manger le sunday roast. Il commanda au comptoir un thé, observa à sa droite une très jolie aryenne dont la beauté jurait avec le ragoût qu'elle sauçait dans une écuelle en plastique à l'aide d'un pain épais et blanc comme du plâtre d’intestins.
M. Jacques héla un taxi à la sortie du pub, direction Stanley Park. Cet espace vert situé sur les hauteurs de la ville sépare de 500 mètres le stade d'Anfield Road avec son club Liverpool FC, du stade Goodison hôte d'Everton FC, or c'était aujourd'hui jour du grand derby à Goodison. Bien que monsieur Jacques se fut toujours méfié des jeux du cirque (qu'était-ce que le spectacle du football sinon des Blancs prolos sédentaires payant pour encourager des non-Blancs bourgeois nomades qui les méprisent ?), il souhaitait voir les abords, palper l'ambiance. Rien n'avait changé : pintes de bière par centaines dans des gobelets, frites et saucisses fumantes sous des auvents, foule vêtue de bleu et blanc ton sur ton avec leur teint et leurs yeux, police équestre montée sur des chevaux gigantesques qui fendent la populace, pères au crâne rasé et leurs enfants déguisés en joueurs, bistrots bondés jusqu'aux trottoirs, le tout sous une pluie battante qui sévissait par accélérations ponctuelles et détrempait hommes, bêtes, routes, pelouses, vêtements, tout cela était luisant et ruisselant à n'en plus pouvoir et puis encore re-trempé encore et encore. Monsieur Jacques fit un tour du quartier d'Everton car en Angleterre les stades hauts comme des tours sont bâtis au milieu de ces zones résidentielles typiques avec leurs maisons accolées les unes aux autres. En longeant un jardin il fit face soudain à deux vigiles gardant une porte, il demanda à entrer, c'était une orgie de bière et de gueulards sous la pluie qui regardaient au loin par les portes grandes ouvertes de la maison les pronostics d'avant match sur une télévision fixée en hauteur. Comme à la fin de la Bête Humaine, la guerre n'avait pas encore commencé que déjà ils étaient déjà ivres et chantaient. Monsieur Jacques alla suivre le match au Arkle's Pub vanté par son guide de voyage.
Lundi matin monsieur Jacques intrigué par le spectacle de la veille reprit un taxi pour Stanley Park. On pouvait visiter cette fois au calme le stade d'Anfield, y admirer toutes sortes de choses étonnantes dont des doubles pancartes à l'entrée de chaque tribune rappelant que ce lieu était tellement voué à l'inclusion et à la tolérance (textuel) qu'il était demandé à chaque spectateur de rapporter la moindre parole proférée à l'encontre de l'inclusion et de la tolérance. Ainsi même Liverpool FC dont le nom connotait les plus toughs des supporters européens s'était soumis à la pédalerie métisseuse mondiale. Monsieur Jacques eut une grimace, et en quittant les lieux il longea Arkle's Pub, obliqua sur Stanley Park et marcha résolument vers Goodison. Dans la boutique des toffees, il opéra une razzia de cadeaux, souvenirs et vêtements de sport par ailleurs moitié moins cher que ceux du LFC, paya puis sortit chercher où déjeuner dans le quartier prolétaire d'Everton. Un restaurant de poulet frit était en vue: allait-il encore pêcher ? Il demanda toutefois à la caissière pour quelle raison le comptoir était grillagé. C'était dit-elle pour se protéger des clients mécontents du temps d'attente, qui parfois leur sautaient à la gorge. L'astucieux dispositif laissa longtemps monsieur Jacques rêveur, et bien après qu'il ait achevé son dessert il ne fut tiré de la méditation que par la vision des mentions Salop Sreet et Salop Church, quelques rues plus loin. Un type lui apprit bientôt qu'il n'y avait presque pas d'anglais à Liverpool, qu'en réalité la plupart des habitants étaient irlandais, et qu'il en était ainsi depuis le début du vingtième siècle. Dans un sabire globbish rendu presque impossible à comprendre par l'accent local, le type évoqua apparemment l'extinction complète du culte religieux, la haine des journaux et notamment du Sun depuis l'affaire Hillsborough en 1989 et une quantité d'autres choses que Monsieur Jacques ne put discerner avec certitude. Le vieux monsieur belge remarqua à plusieurs reprises de jolies très jeunes femmes locales poussant des landaus. Vérifiant à la dérobée le contenu des couffins il ne vit qu'enfants blancs comme neige. C'est par là que l'Angleterre tient peut-être bon encore, par un vrai prolétariat caucasien dur, con, nombreux, et qui se reproduit jeune. Monsieur Jacques faillit rendre ses fritures de midi en pensant au cataclysme en cours dans le monde francophone, extermination dont personne de ses proches ne s'offusquait ni même ne semblait avoir conscience. Mais ici aucun immigré. Monsieur Jacques avait donc vu exactement ce qu'il était venu vérifier, et c'est ragaillardi qu'il entama le retour au bercail. En descendant vers Liverpool, des bandes d'enfants en uniforme peuplaient soudain les rues, ils sortaient tous d'un établissement au nom de femme qui semblait par un pouvoir mystérieux garder le quartier incorrompu : "Our Lady Immaculate".
Beaucoup plus tard, dans le train du retour qui le menait à l'aéroport, Monsieur Jacques constata sur plusieurs écriteaux, affichettes, pictogrammes de rappels et autres supports de prévention l’omniprésence britannique de la loi, du respect de la loi, du souci de l'application de la loi (the law). Seules les filles avaient ici tous les droits, les rares immigrés filaient doux, sachant que dans un pays libre la fanfaronnade rapporte peu et coûte beaucoup au contraire des pays colonisés comme la France ou la Belgique. Et méditant la dialectique du pays libre et du pays colonisé, Monsieur Jacques se souvint d'un texte sur E&R qui, faisant l'exégèse d'un chapitre d'Hegel, rappelait qu'un frigo, pour garder le froid à l'intérieur, produit de la chaleur à l'extérieur.
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new arrivals 9-14-17
stormy records13306 michigan avedearborn, mi 48126 313-581-9322 next week we will have the new godspeed you black emperor record and a number of other fun new releases on captured tracks and trouble in mind!! those are sept 22nd titles . lots of great new used vinyl this week - tom petty, sparks, heavy metal soundtracks, muppets, and several boxes of newly processed used 45s. new items in on THURSDAY sept 14th, 2017 VA: Devil Got My Woman LP $25.99"This unique LP vinyl record album contains 16 classic blues songs from the 1920s and 1930s including the title track 'Devil Got My Woman' by Skip James and 15 more songs by other great blues singers including Charley Patton, Willie Brown, Blind Blake, Ma Rainey and others. 12 of the 16 songs on the album have the original artwork promoting these songs when they were first released included on an insert. All tracks are newly re-mastered from the finest copies of the original 78 rpm records. Reissued on red & yellow starburst vinyl in a limited edition of a 1,000." Rainforest Spiritual Enslavement Jungle black magic LP $24.99Released on vinyl for the time, Jungle Black Magic And Highlands Green Sorcery is the most substantial and disorientating release in the Rainforest Spiritual Enslavement vinyl series yet, clocking in at 40 minutes and deploying some of the most uncomfortably humid productions in Dominick Fernow's arsenal. Jungle Black Magic marks the third in a series of first-time vinyl editions of early RSE material. It was originally released as a double cassette release in 2012 in an edition of 49. Stalking phantom apparitions and infrasonic illusions from the dankest sectors of his imagination, Fernow plays voodoo tricks on charred opener "The Case Of The Male Witch From Goroka" -- a tropical downer underpinned by larger than life sub-bass rumblings and what sound like field recordings of YouTube rainforest nightscapes rendered in abstract, digital form. "The Verdict Handed Down By A Kangaroo Court" furthers trance induction with a more tribal alignment of drums, before "For The Next Three Days There Was An Eerie Silence In The Village" ends the set with a completely bewildering alignment of synthetic sounds designed to play tricks on your senses; somewhere between a dark meditation aid and a reworked soundtrack to Predator (1987) -- the vibe exceptionally heatsick and paranoid. These pieces operate in paradoxical dimensions where the calls of exotic birds convey a denseness that's at odds with acres of negative space. It feels like standing in a deforested land at the edge of thick jungle, the effect is uncannily transportive; your mind constantly grappling with contrasting sensory triggers. How can something this ice cold also convey such suffocating heat? It makes for an incredible, pretty much unique listening experience; like fourth world ambience but in some kind of Lynchian above-the-convenience store dimension. Remastered by Paul Corley; Cut at Dubplates & Mastering. RIYL: Coil, Demdike Stare, Prurient, Brian Eno & Jon Hassell's 1980 album Fourth World (GB 019CD/LP). Edition of 500. TENNISCOATS: Music Exists Disc 3 LP (N 060LP) $19.99The third release in Alien Transistor and Tokyo-based label Afterhours' series of four vinyl-only releases documenting the Tenniscoats' four part masterpiece, Music Exists. Disc 3 was originally released on CD in 2016.Disc 3 reunites the couple with their old friends and colleagues, the Swedish musicians from Tape, and sees them concentrate once more on their very own language of making music, offering another collection of essential Tenniscoats songs. Tenniscoats have devoted followers all over the world, but their releases were always hard to find outside of Japan. Except for their album Tokinouta (2011), which saw a very limited run on vinyl, and the seminal Two Sunsets, their collaboration with the Pastels(and a small handful of 7"s), there were never any vinyl-releases, and also the CDs were hard to get for anyone who doesn't speak or read Japanese. In their 20 years, the band has collaborated with the Pastels,Jad Fair, Norman Blake, and others. This set of vinyl releases provides a chance to dive deep into the beautiful, unique world of the Tenniscoats and their opus magnum Music Exists. "It may even be their greatest ever music, essential plus" --Monorail Music, Glasgow. "Whatever's ailing you, Tokyo's Tenniscoats have got something for that" --Boomkat, Manchester. The eventual Disc 4 release will come with a limited box, either for putting the other previously purchased three records in, or as a glorious four-LP package. Includes a double-sided fold-out insert. PALESTINE, CHARLEMAGNEThe Lower Depths 3CD $58.99Alga Marghen introduce a historical event, the publication of The Lower Depths, a three-CD set of previously unreleased unique piano sonorities by Charlemagne Palestine. In 1977, Charlemagne Palestine was regularly performing in his red and gold loft on North Moore Street in Tribeca, down the street from Magoos bar where all the local artists hung out back then. He was working on a trilogy called The Lower Depths, a work conceived during the crucial moment when he experienced one of the peaks of his creative power. The trilogy takes its name from the potentials of his Bösendorfer weapon which had lower notes than any other piano. The first section starts in the middle of the piano keyboard and the second section two octaves below, while the third section arrives till the very bottom of the instrument. It's a deep, thunderous, rumbling world that we experience. An extreme immersion in the depths of the dark side of strumming music. The Lower Depths is a central work within the history of musical minimalism, stretching and expanding what is understood and expected of an already singular voice. Edition of 300 (numbered). TURRONERO, ELNew Hondo LP $29.99LP version. Pharaway Sounds present a reissue of El Turronero's New Hondo, originally released on Belter in 1980. There were two labels in Spain during the '70s which were essential to understand the birth of the rumba-flamenco-pop genre: Belter and Discophon. Thanks to the work of adventurous in-house producers and sound engineers like Josep Llobell, Joan Barcons and Lauren Postigo, funk, rock, disco and jazz arrangements were incorporated to recordings of folkloric flamenco singers and rumba bands. The result was explosive and the Spanish market was flooded with "gipsy-rock" or "rumba pop" 45s and LPs, some of them highly sought-after today by international DJs looking for exotic beats. New Hondo is an otherworldly mix of cosmic disco, funk, boogie, and traditional flamenco styles by Spanish "cantaor" El Turronero. New Hondo features the legendary Josep Llobell (Oliver's Planet, Enterprise) at the controls. Including "Las Penas" and more. Remastered sound from the master tapes; Includes insert with photos and liner notes by Txarly Brown (Achilifunk). "A flamenco singer with pedigree like El Turronero lost in Studio 54 on a hangover day" --Txarly Brown. TRIGALBaila Mi Rumba LP $29.99LP version. Pharaway Sounds present Baila Mi Rumba, a compilation of recordings by Trigal. There were two labels in Spain during the '70s which were essential to understand the birth of the rumba-flamenco-pop genre: Belter and Discophon. Thanks to the work of adventurous in-house producers and sound engineers like Josep Llobell, Joan Barcons and Lauren Postigo, funk, rock, disco and jazz arrangements were incorporated to recordings of folkloric flamenco singers and rumba bands. The result was explosive and the Spanish market was flooded with "gipsy-rock" or "rumba pop" 45s and LPs, some of them highly sought-after today by international DJs looking for exotic beats. Baila Mi Rumba compiles gypsy rumba-funk & flamenco pop courtesy of Trigal, the grooviest and funkiest band from the Spanish '70s rumba scene. 13 tracks taken from their sought after LPs and 45s, originally released on the legendary Belter label from 1976-77. Heavy drums, percussion, deep bass, wah-wah, electric guitar, horns, funk/Blaxploitation touches, and gypsy female vocals. Master tape sound; Includes insert with photos and liner notes by Txarly Brown (Achilifunk). MORRICONE, ENNIOL'Alibi LP $31.99Dagored present a reissue of Ennio Morricone's soundtrack for the 1969 film L'Alibi. Written and directed by and starring Vittorio Gassman, Adolfo Celi, and Luciano Lucignani, L'Alibi is a 1969 comedy drama about a trio of friends who reunite after many years apart. The score brims with '60s cool, lots of cheerful tunes, pop arrangements, lounge jazz, and dazzling vocals, all of them featuring that unmistakable Morricone air. It's light music that is highly entertaining, listenable throughout, and full of delightful little touches. "Canzone Della Libertà'" is an unusual piece performed by the legendary Sergio Endrigo and the I Cantori Moderni Di Alessandro Alessandroni, which includes snippets from famous speeches about freedom; its moody, catchy main theme, with an unusual instrumentation and percussive accompaniment style, make a great combination. This marks the first time the complete score has appeared on vinyl. Green vinyl; Edition of 500. FERRARI, LUCComplete Music For Films 1960-1984 3CD $22.99Complete Music For Films 1960-1984 is a three-CD set that gathers Luc Ferrari's complete works for films from 1960-1984, including electronic pieces, concrete music made in GRM, and some hybrids including traditional instruments. Very rare pieces, most of which are unpublished (including collaborations with Jean Cocteau and Jean Tinguely), are presented here for the first time, offering a complete scope of the innovative 20th century composer's foray into film music. Complete Music For Films 1960-1984 is released as a part of Sub Rosa's Early Electronic series. Includes two texts by Philippe Langlois, author of Les Cloches d'Atlantis (2012), and Guillaume Contré, rare photograms from films, and some handwritten notes by Ferrari himself. COLE & OREN AMBARCHI, CRYSHotel Record 2LP $33.99Hotel Record is the second release from the duo/couple of crys cole and Oren Ambarchi, following on from Sonja Henies vei 31 (PLANAM 031LP, 2014). Where their debut recording presented a disquieting portrait of the erotic dimension of romantic intimacy, the follow-up continues to explore the pair's simultaneously musical and romantic relationship in a more subtle fashion, presenting four long-form pieces that touch on the variety of forms the life of this couple takes: as a musical duo, as a pair of travelers to exotic locations, as opponents in a game of cards... Each of the double LP's four sides presents a distinct sound-world, yet each manages to attain the same suspended, half-sleeping feeling, outlining a space where improbable combinations of the electronic and the acoustic, of extreme closeness and amorphous distance, occurring with the gentle insistence of a dream. The opening "Call Myself" calmly unfolds a fabric of long tones from electronic organ and guitar, combining the sliding, aleatoric effects of classic David Behrman with a more hands-on feel. Over the top of this slowly shifting tonal bed, cole's voice mutters unintelligibly into a Buchla synth, teasing the listener by suggesting a meaning that remains always out of the ear's reach. "Francis Debacle (Uno)" builds on the foundations of a heavily amplified session of the titular card game, overlaying vocal murmurs and exhalations and mysterious room-sounds to create an impossible aural environment. On "Burrata", a palette of vintage 1980s digital synthesizer sounds combined with guitars create an irregular texture of lush chords and bubbling melodic details, into which cole's voice processed by a vocoder, is interwoven, reading fragments of romantic correspondence. Finally, on "Pad Phet Gob", field recordings made in Thailand become an ambiguously acoustic/electronic rainforest, eventually giving way to a mysterious, wavering electronic tone-field punctuated by sibilant, popping mouth-sounds. Carving out an intimate and human sonic space across a diverse array of compositional approaches, sound sources, fidelities, and textures, Hotel Record is the latest dispatch from the continuing explorations of a unique duo. Ambarchi and cole reimagine electro-acoustic music, not simply as "abstract" sound, but as a diary, a love poem, a dream. Comes in deluxe gatefold sleeve with photography by crys cole and LP design via Stephen O'Malley; Mastered and cut by Rashad Becker at Dubplates & Mastering. Upcoming events at Trinosophes 9/16: Swell, Gjerstadt, Strom, Nilssen-Love9/19: Hans-Joachim ROEDELIUS! with Hydro Park and Dave Shettler9/22: New Music Detroit's Strange and Beautiful Music opening night with m usic by Khemia Ensemble, Juxtatonal: Jocelyn Zelasko and Bryan Hayslett, YAK, Joel Peterson (with Lisa Raschiatore clarinet, James Greer viola, Abby Alwin cello), New Music Detroit (featuring cellist Una O’Riordan) and Rebecca Goldberg 10/10: Circuits Des Yeux 10/14: Grails Related 9/23: Trinosophes present Ryan Jewell Duo at night two of Strange and Beautiful Music at The Max M Fisher Music Center . 10/26: Joel Peterson original score to silent classic Der Golem at Toledo Museum of Art EL CLUB UPCOMING SHOWS (most shows all ages - ticket will say all ages or not)remember - tickets are cash only. this saves us all the service charges!! the spits, screaming females sat sept 30th $15cold cave sun oct 1st $18joyner lucas mon oct 2nd $12touche amore fri oct 6th $25tokimonsta sat oct 7th $15the bronx tues oct 10th $17algiers fri oct 20th $13giraffage sun nov 5th $17kelela tues nov 7th $20parquet courts thurs nov 16th $17daniel ceasar sun nov 19th $15 MARBLE BAR (all shows 18 and over) tops fri sept 22nd $10nude party tues oct 10th $5pickwick thurs oct 12th $12grails sat oct 14th $13cults sat oct 21st $19hoop sun oct 22nd $5bully wed nov 8th $15shy girls thur nov 9th $13cold specks wed nov 29th $10 ASSEMBLE SOUND (18 and over) the blow, ema fri nov 17th $13
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L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969)
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Tina Aumont at a Vittorio Gassman party after filming L’Alibi. The party was celebrated the 27th and 28th of April 1968 in Rome.
Here you can find more photos from this event.
Scans from Italian magazine "Grand Hotel", 17th August 1968.
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L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969)
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L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969)
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Tina Aumont (and Vittorio Gassman) in L'Alibi (Gassman, Lucignani, Celi 1969).
Scans from Italian magazine Grand Hotel, 17th August 1968.
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L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969)
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L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969)
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L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969)
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Tina Aumont and Vittorio Gassman in a scene from L'Alibi (Gassman, Celi & Lucignani, 1969).
Scan from Italian magazine Eva, 27th October 1968.
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