#1 mètre/heure
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rrrauschen · 5 months ago
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Nicolas Deveaux, {2018} 1 mètre/heure
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tarekfatahmoh · 1 year ago
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Booking Ramadan Ummrah حجز عمرة رمضان
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chic-a-gigot · 5 months ago
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Mode-palace : album mensuel des dernières créations parisiennes. No. 7, juillet 1901, Paris. Gravure coloriée no. 1. Toilettes de villes d’eaux ou de visite a la campagne. Bibliothèque nationale de France
Première toilette. — Jupe en linon crème, très plate des hanches et évasée du bas. ornée de biais de soie bleu pâle, deux encadrant le tablier et montant jusqu’à la ceinture et les autres sur 40 centimètres de hauteur environ. La jupe est, en outre, agrémentée d’applications de broderies crème. Corsage blousé, orné comme la jupe. Manches au coude, ornées de la même façon et terminées par un volant de dentelle. Col et ceinture en soie bleu pâle. Gants de suède crème. Chapeau en paille or, orné d’un chou et de plumes bleu pâle.
First ensemble. — Cream lawn skirt, very flat at the hips and flared at the bottom. decorated with pale blue silk bias, two framing the apron and reaching up to the belt and the others approximately 40 centimeters high. The skirt is also embellished with cream embroidery applications. Bloused bodice, decorated like the skirt. Elbow-length sleeves, decorated in the same way and finished with a lace ruffle. Pale blue silk collar and belt. Cream suede gloves. Gold straw hat, decorated with a cabbage and pale blue feathers.
Métrages: linon en 0 m 80, 6 mètres; soie doublure, 11 mètres.
Seconde toilette, genre tailleur, en drap mousseline, voile ou piqué chamois clair. La jupe est ornée de piqûres au dessus du volant en forme et de straps piqués, dessinant une tunique croisée. Corsage coupé en boléro, avec grand col en Luxeuil et fermé à la taille par un bouton. Col et chemisette en foulard rouge plissé. Manches justes coupées sur une manchette piquée en même étoffe que la robe. Chapeau en paille rouge brodée et ajourée, orné de Heurs rouges sur la passe et dessous.
Second ensemble, suit type, in muslin cloth, voile or light chamois pique. The skirt is decorated with stitching above the shaped flounce and stitched straps, creating a crossed tunic. Bodice cut in bolero style, with large Luxeuil collar and closed at the waist with a button. Collar and shirt in pleated red scarf. Sleeves just cut on a stitched cuff in the same fabric as the dress. Embroidered and openwork red straw hat, decorated with red Heurs on the pass and below.
Métrages: drap, 5 mètres; foulard rouge, 0 m 80; soie doublure, 11 mètres.
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peekaboorpg · 9 months ago
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10 pouvoirs magiques originaux pour vos personnages
Je vous présente aujourd'hui quelques idées de pouvoirs magiques qui diffèrent un peu des habituelles kinésies et autres lévitations, empathies, supervitesses, etc. J'ai personnellement horreur des pouvoirs surpuissants et j'aime beaucoup ce qui est un peu lame, donc c'est plutôt de ça qu'il s'agit ici.
Séchage : le personnage ne peut pas être mouillé·e, iel est instantanément séché·e ;
Bruitage : le personnage déclenche un son adapté lorsqu'iel touche une image (exemple, toucher l'image d'un chat produit un miaulement) ;
Conservateur : le personnage peut conserver frais un aliment pendant X heures en le touchant ;
Mètre : le personnage peut donner la mesure exacte d'un objet ou la distance exacte entre ses deux indexes ;
Généalogiste : le personnage peut connaître l'arbre généalogique d'autrui jusqu'à X générations antérieures ;
Olfaction : la sueur du personnage a des odeurs nostalgiques mais communément jugées agréables (ex : la pluie d'été sur du bitume chaud, la colle cléopâtre, le vieux livre...) ;
Œil de lynx : le personnage est capable, 1 fois par jour, d'identifier l'objet avec le plus de valeur dans un rayon de X mètres ;
Shadowless : le personnage n'a pas d'ombre et/ou supprime les ombres des autres personnages pendant X temps ;
Déodorant : le personnage peut supprimer les mauvaises odeurs dans un rayon de X mètres et les remplacer par des bonnes odeurs de son choix ;
Mégaphone : le personnage peut augmenter le volume de sa voix de X dB.
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lesdamesmures · 9 months ago
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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transparentgentlemenmarker · 3 months ago
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22 faits sur la Grèce
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1. La Grèce est considérée comme le berceau de la démocratie et de la civilisation occidentale.
2. C'est le pays le plus ensoleillé d'Europe avec plus de 250 jours de soleil par an, soit environ 3 000 heures d'ensoleillement par an.
3. Cela ne s'appelle pas la Grèce : le nom officiel du pays est en fait la République hellénique. « Grèce » vient du terme romain « Grèce ».
4. Plus de touristes que d’habitants : la Grèce attire chaque année plus de touristes que sa population totale !
5. Le grec est l'une des langues les plus anciennes au monde encore utilisée.
6. La Grèce compte des milliers d’îles, mais seulement 227 sont habitées.
7. L'hymne national grec compte 158 couplets, l'un des plus longs au monde.
8. Les premiers Jeux Olympiques ont eu lieu à Olympie, en Grèce, en 776 avant JC.
9. Culture du café : les Grecs prennent leur café très au sérieux ! Le petit café « briki » fort est pour beaucoup un rituel quotidien.
10. La Grèce compte plus de musées archéologiques par habitant que tout autre pays au monde.
11. Le mont Olympe, la plus haute montagne de Grèce, était considéré par les anciens Grecs comme la demeure des dieux.
12. La Grèce possède la plus forte densité d’oliveraies par superficie au monde.
13. Croyez-le ou non, 80 % du territoire grec est montagneux.
14. Toujours proche de la mer : où que vous soyez en Grèce, vous n'êtes jamais à plus de 135 kilomètres de la côte.
15. Les gorges de Vikos, dans les montagnes du Pinde, sont l'une des plus profondes du monde, avec un dénivelé de plus de 1 100 mètres.
16. Ce n’est plus une monarchie : la Grèce est passée d’une monarchie à une république parlementaire en 1975.
17. L'île grecque d'Ikaria est l'une des « zones bleues » du monde, abritant certaines des personnes les plus anciennes de la planète.
18. La cuisine grecque est célèbre pour son régime méditerranéen, riche en olives, feta et poisson grillé.
19. La plupart des constellations que nous connaissons aujourd’hui portent des noms dérivés de la mythologie grecque.
20. Athènes détient le record mondial du plus grand nombre de théâtres dans une ville.
21. La Grèce compte plus de 4 000 danses traditionnelles, reflétant le riche patrimoine culturel du pays.
22. Le "Sirtaki" n'est pas une danse traditionnelle mais a été inventé spécifiquement pour le film "Zorba le Grec"
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neant-blanc · 4 months ago
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Alat (AZ) → Kurik (KZ) 1/2 – 10.12.23
Sept heures après avoir quitté le port d’Alat, l’Ordubad s’immobilise à cinq-cents mètres des côtes. Avec un pincement amer, je reconnais les polyèdres de verre de la capitale, brillants sous le soleil à son zénith ; je suis revenu à mon point de départ. Le temps est magnifique, aussi je reste sur le premier pont, à me soûler de clarté et de vent frais qui emportent au large les scories de mon apathie et des angoisses de la veille. La nuit vient et les moteurs restent muets. Quand je me décide à rentrer, la brise a forci et une bande grise de cumulus enfle sur l’horizon. Je découvre un peu tard que les repas sont à heure fixe et que ne pas y être, c’est ne pas manger. Je trouve à bord des camionneurs Turcs, Azerbaïdjanais et Kazakhs. Une vingtaine de gaillards taciturnes en claquettes et jogging qui, entre les repas, passent leur temps dans la salle d’accueil à fumer, boire le thé et jouer aux cartes. Personne ne parle anglais, ni les passagers, ni l’équipage ; je suis le seul touriste. Dans ma petite cabine, je regarde les lumières tremblotantes de la ville, lointaines comme des étoiles. Je suis réveillé à sept heures trente par le commis de cuisine annonçant dans chaque chambre le service du petit-déjeuner. Je me force à y aller prestement. Dans la salle à manger, des groupes sont déjà attablés. J’expédie mon repas et prie pour qu’on ne me voie pas fourrer piteusement du pain dans mes poches au cas où je raterais une nouvelle collation. On ne sait jamais. Je côtoie peu le reste des passagers qui ne relève ma présence que par de rares coups d’œil quand parfois l’on se croise au hasard d’une coursive. J’emploie mon temps à apprendre le russe, jouer aux échecs et tambouriner sur mon pad, seul dans mes quartiers. Comme si cela était prémédité, on se trouve juste assez loin de la civilisation pour capter une minuscule barre de réseau sur le deuxième pont, à la poupe. Et si au début j’y grimpe de temps en temps pour me blottir contre l’une des deux cheminées du navire afin de péniblement charger quelques pages, la météo m’en dissuade bien vite. Le temps, même s’il ne peut encore être qualifié de mauvais, se dégrade vite. Le front de nuages a submergé le ciel et les températures ont chuté : un quart d’heure suffit à ce que le vent glacial du large n’engourdisse mes mains et ne me laisse transi, même sous l’intégralité de mes vêtements. Je fais quelque progrès en russe, notamment sur le déchiffrage de l’alphabet. Mais l’immobilité, l’incertitude du départ et la solitude en dépit de la vie en communauté, rongent mon moral ; je replonge dans une phase apathique où je hante les couloirs du cargo pour fuir la claustrophobie de ma cabine. Un soir, alors que je regarde la surface indistincte de l’eau à peine troublée dans la nuit, je demande si le bateau ne pourrait pas lever l’ancre puisque, malgré le froid, la mer n’a pas l’air agitée. Un camionneur de l’est du Kazakhstan, quinquagénaire à la stature massive, me répond dans un anglais chaotique entrecoupé de russe que si ici il n’y a que des vaguelettes, plus loin en haute mer c’est une autre histoire. Il rajoute avec un rictus qu’avec cette épave, si la mer n’est pas plate comme un lac, il veut bien attendre un mois là plutôt que de risquer la traversée.
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alioversus · 9 months ago
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Baldr’s Nothern Saga
R$kp | 2024
1. La neige, évidemment. Pourquoi la neige est-elle aussi triste, d’ailleurs ? Où est passée la neige de nos jeux d’enfant ? La route, aussi, naturellement. À chaque pas, la rêverie ou la mémoire. Tu vois, on parle des âmes perdues dans les limbes… À quoi ressemble-t-on, nous, sur ce chemin ? Chevaliers d’une autre ère, ayant troqué la fourrure contre la veste polaire — ou bien fantômes ? Non, ce n’est rien… Le souffle blanc et une vague douleur dans la guibole… Approchons. 
2. Nous voici au bord du ruisseau. Jadis, on y voyait des carpes, des libellules, du cresson, et sur cette partie de la berge, efflanquée, où se formait un bassin, des poissons rouges à taches sombres. Je suis sûre que cela reviendra un jour. On se croyait au Japon ou dans un film d’animation. Un rayon perce, le remous s’intensifie. Depuis quand n’ai-je plus plongé les pieds dans l’eau claire ? Nous continuons, longeons sur une centaine de mètres : une éternité. Mais rien dans les collets. 
3. Ici, le ruisseau se déverse et disparaît sous la dalle en béton. Plus rien ne roule là-dessus, plus rien ne roule nulle part. Je me souviens pourtant du son des roues, du son des trains, du son du caddie à moitié plein… Cette bagnole ensevelie, j’aimerais savoir si elle peut redémarrer. Bête espoir. Ce n’est sans nul doute qu’une enième carcasse calcinée. 
4. Je n’aime pas cette nostalgie. Je trouve qu’elle me rend mièvre. Je trouve qu’elle m’affaiblit. Et pourtant, c’est lorsque je suis dans cet état-là que je parviens encore à trouver de la beauté autour de moi. Les ruines sont si charmantes, parfois. Seulement parfois. Je ne suis pas si âgée. Je ne suis pas si sage. Je suis juste fatiguée. Les autres ont besoin de moi. 
5. La communauté a pris ses quartiers dans l’ancienne école. Je crois souvent entendre des rires dans la cour. J’observe les stalactites aux gouttières, aux barreaux de la cage à poule. Parfois j’y passe ma main gantée, je crois en la magie, au pouvoir de transformer la glace, de réveiller le soleil au son d’une harpe éolienne. 
6. Il m’attendait depuis une heure. Il a l’air sérieux, sévère, inquiet, le nez plongé dans le livre de compte. Ravitaillement, chauffage, vêtements, médicaments… Il faudra élargir le cercle, tout le monde le sait. Il faudra prendre des risques. Il faudra des volontaires. S’il le faut, il en désignera. J’aurais été amoureuse de lui, dans une autre vie. Dans celle-ci, c’est un glaçon. Il est dur, il est froid, il a raison. Je vide devant lui mon sac. Il opine, insatisfait. Il me montre la carte. 
7. Prendre à travers champs, gagner deux heures. Être à découvert. Ceci n’est pas notre territoire. On guette. On reste sur le qui-vive. Du bruit à gauche, du bruit à droite : des oiseaux, une fausse alerte… On arrive aux abords de la ferme, de ce qu’il en reste. Tout semble avoir déjà été pillé. Je trouve toutefois quelques conserves et me dépêche de les empaqueter. 
8. On entend aboyer des chiens. Je m’immobilise. Mon cœur s’emballe, chaque battement est comme l’éclatement d’un verre en cristal. Pulsation de frayeur. Fuir ou se cacher. On s’est éparpillés. L’air glacé emplit mes poumons. Mon espérance, c’est d’atteindre la lisière, de disparaître dans les buissons. 
9. J’ai su me retenir de crier, après avoir basculé dans la fosse. J’ai su me raidir, m’étaler — au milieu du charnier. Je doutais toutefois que les chiens s’y tromperaient. J'ai fait le mort, mais j’avais trop envie de survivre, et j'avais laissé une piste pour le prouver. J’ai attendu. J’ai écouté. Ils ne sont pas venus. La moitié d’entre nous ne sont pas revenus. 
10. Jamais je n’ai couru aussi vite, à la nuit tombée. Et jamais je n’ai ressenti un tel soulagement en retrouvant les miens, les rescapés — à cheval. Je suis monté derrière l’un d’eux. On est partis au galop. Où les avaient-ils trouvés ? Un miracle ! J’aurais aimé que tout le monde soit là pour le voir.
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lesgenouxdanslegif · 8 months ago
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DE NOUVEAU DANS LA GUEULE DU LOUP.
Benoit Gandolfi remet ça. Ce mardi à 18h, il se relance dans cette quête aussi géniale qu’absurde : le record du monde de dénivelé en 24 heures.
L’année dernière, il s’était déglingué les guiboles avec 16 170 mètres. Pas assez pour détrôner le coucou Suisse Christophe Nonorgue, le boss des maths, celui qui avait battu le record de la brute des Bauges Aurélien Dunand-Pallaz en plaçant un indécent 18 767 mètres.
Benoît a tout prévu, quitte à être invité un mercredi soir pour parler de son délire. Une piste de ski a eu ses honneurs : 29,8% de pente moyenne, 104,27 mètres de dénivelé positif à réaliser 180 fois pour battre le record, soit 1 mètre de plus que le record actuel. Imaginez seulement.
Entre le fromage et le dessert, Benoît peut glisser un mot sur sa préparation : 22 semaines de spécifique, 223 085 mètres de dénivelé positif, soit 10 140 par semaine et 1448 par jour.
Le 24h, c’est écouter la même musique pendant un jour en devant trouver ça original à chaque fois. Le 24h, c’est devoir faire l’étoile de mer dans une piscine à piranhas. Que le festin commence.
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Photo Stéphane Brogniart
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memoire2cite · 1 year ago
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42 St-Etienne le quartier de Montchovet avec de nouvelles video https://www.facebook.com/watch/?v=5656029074475535 , jadis cette cité moderne avait pour symbole la Muraille de Chine mastodonte de béton dynamitée le 27 mai 2000 , livrée en avril 1964 avec 526 logements HLM sur 15 allées, construite sur 4 blocs pour 270 metres de long du R+16 à R+9 une cité moderne a 1260 lgts HLM 7 barres A B C D E F G H du grand ensemble de Beaulieu l'1 des six 1er de France @ des Architectes MM GOUYON , HUR , CLEMENT , MAUHAUDIER Elle fut réhabilitée par Raymond Martin de 1985 a 1987 avec la suppression de 100 logements.. France : 800'000 chômeurs de 20 ans @ 42 st Etienne 23 avril 1981 Monchovet la Muraille de Chine en video ici sur ce lien https://www.rts.ch/.../13937390-france-800000-chomeurs-de... En pleine crise économique du début des années 1980, la France compte 1'700'000 chômeurs dont 800'000 jeunes. Trente-six ans après sa construction, la barre s'apprête à s'écrouler. Dès 8 heures du matin, le 27 mai 2000, deux cents membres des forces de l'ordre sont mobilisés aux abords de la Muraille de Chine. "Rocade fermée, quartier bouclé, filtrage serré", décrit le journaliste de France 3 Rhône-Alpes-Auvergne sur place. "Seuls les artificiers resteront au centre du dispositif pour établir le poste de tir". Plusieurs milliers de personnes se retrouvent massées sur une colline pour assister à cette démolition un véritable "événement pour la ville au delà-même du quartier". Ce Stéphanois, alors âgé de 20 ans, se rend avec des amis pour voir le foudroyage de la Muraille de Chine. "Elle représentait cet habitat des Trente glorieuses qui n'a pas fonctionné. C'est vraiment une énorme page qui se tournait pour la ville de Saint-Etienne trop connue pour ses nombreuses verrues". Alors que le maire de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a annoncé la destruction de la Muraille de Chine bâtie en 1961 dans le quartier Saint-Jacques, retour sur la démolition de ce qui fut la plus grande barre d'Europe. Le 27 mai 2000, Saint-Etienne foudroyait sa muraille de Chine. Un symbole de modernité dans les années 60 Situé au sud-est de la ville de Saint-Etienne, le quartier de Montchovet a abrité pendant trente-six ans le plus grand bâtiment d'habitation d'Europe. Surnommé la Muraille de Chine en raison de son gigantisme, il symbolise toute une époque et son histoire est indissociable de la politique du logement en France. Avec ses 275 mètres de long, ses 48 mètres de haut, ses dix-neuf étages et ses 450 logements,526 a l origine, la Muraille, inaugurée en avril 1964, abrite des appartements dotés de tout le confort moderne dans un quartier en pleine évolution. Le bâtiment imposant symbolise à l'époque une forme de modernité. Un symbole des difficultés économiques et sociales Saint-Etienne n'échappe pas à la crise économique, les industries locales sont en déclin et la démographie fléchit. Dans les années 70, la Muraille de Chine n'est plus habitée qu'à moitié et malgré plusieurs opérations de réhabilitation, de symbole de la modernité, la voilà qui cristallise les difficultés économiques et sociales. La population défavorisée se trouve concentrée en un seul lieu où chômage, délinquance et exclusion se côtoient. Un symbole qui disparaît en quelques secondes
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gerceval · 2 years ago
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Le Choix - chapitre 7
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
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Après une micro-seconde de délibération, il se pencha, sans trop savoir lui-même ce qu'il cherchait. Jamais il n'avait eu envie d'embrasser Guenièvre, même à l'époque, même après que les fantômes de Rome s'étaient estompés, même avant que l'aigreur ne se soit installés pour de bon. Mais ce soir-là, après toutes les péripéties qui venaient de s'enchaîner en à peine quelques heures, la pommette encore douloureuse, il trouvait les lèvres fines et roses de Guenièvre soudainement attirantes. Lorsque leurs bouches entrèrent en contact, elle eut cette légère paralysie que peut créer la surprise, mais cela ne dura pas plus d'un instant. Elle répondit à son baiser avec chasteté, incertaine. Avant de le rompre.
- Seigneur Lancelot ! s’exclama-t-elle faiblement.
- Non mais ça va pas la tête, qu'est-ce qui se passe ici !
Arthur fit un bond de trois mètres.
La dame du lac venait de se matérialiser dans la chambre.
- J'espère que vous vous moquez de moi, Lancelot ! Je sais pas bien ce que vous manigancez mais attention hein, je peux très bien me mettre en rogne moi !
Ah très bien. Le sortilège était donc assez puissant pour tromper les dieux, manifestement. Super. Devant son silence stupéfait, la dame du Lac continua.
- Alors vous vous souvenez probablement pas de moi, c'est vrai que vous étiez grand comme trois pommes à l'époque, mais c'est pas parce que vous vous souvenez pas de moi que je peux pas vous en mettre une comme quand vous étiez petit.
Il balbutia, exagérant la surprise. Guenièvre chercha son regard.
- Qu'est-ce qui vous arrive, vous êtes pas bien ?
- Attendez, je... Vous la voyez aussi ?
- Qui c'est que je vois aussi ?
Bien sûr, Guenièvre ne pouvait pas la voir, mais il devait feindre de ne pas comprendre comment marchaient ces choses-là.
- Faites un effort, dit la dame du Lac, rappelez-vous. Je suis Viviane, la dame du Lac. Je m'occupais de vous quand vous étiez petit, je vous apparaissais, et puis des fois vous étiez le seul à pouvoir me voir ? Ça vous dit quelque chose ? Ya une loupiote qui s’allume là-dedans ? Bon alors là, pourquoi maintenant je peux vous apparaître comme ça, bon ça il faudrait que je voie avec les cheffes parce que c'est qu'Arthur normalement... Mais là je vous vois en train de péter un boulon et apparemment je peux intervenir alors je vais pas me gêner pour sauter sur l'occasion !
- La dame du Lac... murmura Arthur, comme s'il mettait du temps à réaliser ce qui lui arrivait.
- La dame du Lac ? dit Guenièvre. Ah bah non pas vous aussi !
Elle plaça ses mains sur ses hanches, habituée à devoir attendre que les visites de Viviane soient finies.
- Alors écoutez-moi bien, mon petit vieux, reprit la fée. Je sais pas ce qui vous a pris d’un coup, je sais que ça fait des années que vous ne pensez qu’à ça, que depuis que vous avez posé les yeux sur elle vous vous dites que c’est la seule et unique élue de votre cœur et blablabla, ça on l’a tous bien compris, mais il faut vous sortir ça du crâne Lancelot !
- Des années ? dit Arthur, ne sachant plus si sa confusion était celle de Lancelot ou la sienne.
- Pardonnez-moi le terme, mais c’est une grosse connerie ce que vous êtes en train de faire ! Et puis la p’tite, c’est pas parce qu’elle se laisse embrasser comme ça une fois, bon, voilà… Mais c’est à Arthur, que les dieux l’ont promise, Arthur, et rien ne changera ça, même si vous avez des sentiments réciproques ou je ne sais quelle autre niaiserie…
Des quoi ? Des sentiments quoi ?
- Enfin bon, réciproques ça j’en sais rien hein, on n’est pas arrivées à un consensus là-haut, même pour elle je crois pas que ce soit très… enfin n’allez pas vous faire des films quoi !
- Euh, elle a bientôt fini ? interrompit Guenièvre. Nan parce que si vous en avez pour la soirée, moi je retourne au plumard hein.
Il resta silencieux.
- Rentrez-vous bien ça dans le ciboulot Lancelot, c’est très important : vous ne pouvez pas vous permettre d’espérer ! Ça finira en désastre. Alors reprenez-vous et faites un effort mon p’tit père ! Pis bon, moi je vais essayer de voir pourquoi c’est avec vous que je suis en communication parce que là Arthur… enfin bon. Que je ne vous y reprenne pas hein !
Et elle disparut.
Guenièvre s’était recouchée et lui tournait le dos, pelotonnée sous les couvertures. Il fit deux petits tours maladroit sur lui-même, ne sachant que faire dans le silence désormais pesant de cette chambre qui ne pouvait plus être la sienne.
- Bonne nuit, seigneur Lancelot. Faites gaffe à croiser personne dans les couloirs en sortant, ce serait dommage de vous prendre une autre mandale dans la même soirée.
Message compris. Il sortit à pas de loup, ruminant les événements de la soirée. Deux personnes avaient surpris – ou cru surprendre – Guenièvre et Lancelot en train de se bécoter, et n’avaient pas paru plus étonnés que ça. En colère, et Léodagan comme la dame du Lac avaient bien raison sur ce point-là, mais pas plus étonnés que ça. Quant à ce que Guenièvre avait dit… Quoi qu’il en soit, la coïncidence qui lui sautait maintenant aux yeux était la suivante : Lancelot nourrissait une passion secrète pour Guenièvre ; Lancelot se retrouvait catapulté dans le corps d’Arthur. L’histoire de sa propre naissance se rappela à lui comme un spectre menaçant.
Même pas besoin de ça, se dit-il amèrement : lorsqu’il l’avait embrassée sous les traits de Lancelot, pris par il ne savait quelle pulsion absurde, elle ne l’avait pas repoussé.
Son instinct lui disait de fuir, de s’isoler, de ne parler à personne pendant trois mois. Il n’avait aucune envie de lutter contre son instinct. Mais il se connaissait, maintenant, il savait qu’hurler sur quelqu’un pouvait lui faire du bien aussi. Alors que le jeune soleil commençait à illuminer le couloir, il repoussa la porte de la chambre où il avait laissé Lancelot.
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yvesofficiel · 2 years ago
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🚨 Il y a 111 ans, dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, avait lieu le triste et célèbre naufrage du Titanic où entre 1 490 et 1 520 personnes ont perdu la vie. À 23h40, le paquebot a heurté un énorme iceberg sur tribord s'élevant à environ trente mètres au-dessus du niveau de l'eau. Le choc a alors fait sauter les rivets et a ouvert une voie d'eau dans la coque sous la ligne de flottaison. Après quoi, il a coulé en moins de trois heures, à 2 h 20.
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maurleo · 15 days ago
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Félicien
A 17 ans, en province, il n’est jamais facile d’exister, qui que l’on soit. Si, plus est, on est un adolescent un peu timide, c’est encore plus compliqué. Félicien vient juste d’avoir 17 ans. Il est en terminale dans le lycée de la ville voisine. Il a un ami et quelques copains. Son seul ami, qu’il connaît depuis l’école maternelle, c’est Grégory. Lui aussi a 17 ans et il fréquente le même lycée que Félicien, mais pas la même classe. Félicien est fils unique d’une famille recomposée. Il vit avec sa mère et son beau-père mais voit son père régulièrement même s’il n’habite pas chez lui. Il ressemble davantage à sa mère qu’à son père : châtain plutôt clair, Félicien est très peu poilu. Quelques poils autour du pubis mais la discrétion est de mise, rien sur les bras ou sur les jambes, mais il est encore jeune ! Grégory, lui, est brun. Il a un visage plutôt carré et il est plus développé que Félicien : 1 tête de plus avec son mètre 85 et des muscles bien dessinés. Félicien a une chevelure fournie, légèrement frisée et des traits très fins qui l’ont fait souvent passer pour une fille. Les moqueries sur son physique ont régulièrement fusé lors de sa scolarité, mais lui s’en foutait, il vivait sa vie sans se soucier de cela.
Ce sont les vacances de printemps. Félicien s’ennuie un peu. Il fait du vélo le matin, va un peu à la plage l’après-midi quand il fait beau et pas trop froid. Il se sent seul. Il appelle souvent Grégory qui, lui, ne s’ennuie pas. Il connait une fille avec laquelle il passe de longs moments. Félicien l’envie mais il est très peu porté sur les rencontres et encore moins sur le sexe. Il se branle parfois dans sa chambre depuis, qu’en 4ème des filles l’ont un peu charrié en lui demandant s’il bandait, s’il éjaculait, s’il savait comment étaient faites les filles… Cela avait éveillé sa curiosité et il avait commencé à se caresser devant sa glace. En se regardant, il avait ressenti un certain plaisir jusqu’à jouir, tout seul, pour la première fois. Il avait été impressionné par la quantité de sperme puis avait tout nettoyé de peur que sa mère ne s’en aperçoive. Depuis, il se masturbait régulièrement mais pas très souvent. Durant 3 jours, il était seul. Sa mère avait voulu l’emmener chez sa grand-mère, malade, mais lui avait refusé prétextant qu’il devait préparer les épreuves du bac. Il se retrouvait donc seul à la maison. Grégory était passé le premier jour, avait mangé avec lui et était reparti. Félicien a donc erré dans les rues toute l’après-midi. Il est 19 heures quand il rentre chez lui. Mais sur un chemin un peu désert, il est interpellé par 3 garçons entre 15 et 20 ans. Le plus âgé s’adresse à lui, semblant de rien
- Tu as l’heure, s’il te plait ?
- Oui, il est 7 heures 20 environ
- Tu as une belle montre, dis donc !
Félicien regarde sa montre mais ne réagit pas. Le plus jeune le bouscule un peu
- T’as des belles godasses aussi ! t’es riche toi !
Félicien tente de se dégager pour rentrer chez lui, à quelques mètres de là
- Eh, p’tit PD, tu vas pas nous quitter comme ça !
Le plus grand le prend par le cou pendant que le plus jeune lui donne un violent coup de poing dans le ventre. Les trois rigolent de voir Félicien reprendre difficilement sa respiration, tout en crachant. La bave arrive sur les chaussures de son agresseur.
- Tu te crois où ? Regardez ce qu’il m’a fait ! il a dégueulé sur ma pompe ! Tu vas me nettoyer ça espèce de p’tite merde.
Félicien, encore étourdi par le coup, ne réagit pas. Il reçoit deux claques sur le visage et des coups de pied sur les fesses et sur le ventre. Il s’effondre rapidement à terre, se tenant le ventre. Ils sont tous les trois au-dessus de lui, l’insultant. Le plus âgé, un grand brun, très bronzé, barbe naissante et moustache s’adresse aux deux autres
- Les gars, on va s’amuser un peu. On va le mettre dans le coffre
Tous les trois prennent Félicien et le déposent dans le coffre d’une voiture. Félicien ne peut pas réagir et se laisse emporter tout en ayant très peur de ce qui lui arrive. Il était tout recroquevillé dans le coffre, respirait difficilement et se sentait minable. Il entendait les autres rire dans l’habitacle et préparer des plans. La voiture démarra et roula pendant un bon moment avant de s’arrêter.
- Sors de là, p’tite merde !
Félicien avait du mal à se dégager. Ahmed, le plus grand, donna des ordres
- Benoît et Mourad, sortez-le de là. On va l’emmener à l’intérieur
Ahmed était donc le chef de cette mini bande. Il avait 21 ans. Assez costaud et autoritaire, il savait mettre la pression sur ses copains. Mourad avait 19 ans. Jusque là discret, c’est lui qui conduisait la voiture. De taille moyenne, il était musclé, sans doute grâce aux exercices de musculation, mais n’avait pas de personnalité. Il respectait Ahmed et faisait tout ce qui lui demandait. Quant à Benoît, il était le plus jeune, 15 ans, mais était très excité. En taille, il se situait entre ses deux potes. Lui, devait être sportif, il avait des jambes solides avec des mollets bien dessinés. Il était en short et en débardeur à capuche. Il respectait lui aussi Ahmed mais il était capable de prendre des initiatives et surtout, il aimait se battre.
Tous les trois, ils trainèrent Félicien sur quelques mètres pour arriver à une sorte de garage. C’est Ahmed qui ouvrit la petite porte insérée dans le portail du garage. Il alluma la pièce. C’était un garage qui pouvait accueillir deux voitures, éclairé par 3 néons. A l’intérieur, c’était assez sale. Il y avait un vieux canapé, une petite table sur laquelle trainaient des gobelets et des canettes de bière. Il y avait également un petit frigo et dans un coin un évier. Enfin 2 ou 3 chaises et 2 fauteuils en bois du style de ceux que l’on rencontre dans les anciennes écoles.
La porte ouverte, ils trainent Félicien et le jettent au milieu du garage, dans une flaque d’huile ou d’essence. Félicien reçoit des coups de pied. Il est en boule pour les éviter mais la torture dure bien au moins un quart d’heure.
Benoît lui retire les chaussures, regarde la pointure
- Putain ! c’est juste ma taille !
Il retire ses baskets usées et met celles de Félicien et approche son pied de son visage
- Elles me vont bien, tu trouves pas ? lèche, p’tite merde !
Voyant que Félicien ne réagit pas, il lui donne un coup de pied sur le nez qui le fait saigner.
- Attachons-le sur le fauteuil, dit Ahmed
Mourad et Ahmed tirent Félicien et le soulèvent jusqu’au fauteuil. Benoit apporte du ruban adhésif, celui que l’on utilise pour fermer les cartons. Il lui attache les bras sur les accoudoirs du fauteuil, relève son pantalon et lui attache les chevilles. Enfin, il le fixe par le torse au dossier du fauteuil. Félicien continue de saigner du nez, il a du mal à respirer. Les autres le regardent en l’insultant et sur ordre d’Ahmed, ils quittent le garage qu’ils referment à clefs. Félicien essaie de se détacher mais les liens sont serrés et bien posés. Il n’y arrive pas. Il essaie de sauter avec le fauteuil pour s’approcher d’outils qu’il a repérés, mais là encore, c’est un échec ; il se retrouve couché, attaché au fauteuil. Quelques heures passent avant que ses bourreaux ne reviennent. Il fait nuit, même si le garage est bien éclairé. Ils ne sont que 2 : Ahmed et Benoit. C’est Benoit qui vient le premier vers Félicien. Il a une forte odeur d’alcool
- Qui t’a autorisé à bouger ? Tu te fous de notre gueule !
Et il lui met un gros coup de pied dans le ventre. Félicien tousse et une fois encore il a du mal à respirer. Ahmed le redresse et lui donne une bonne claque à travers le visage qui l’assomme presque. Il s’en suit des insultes et des crachats. Ahmed a posé sur la petite table ce qui semble être une pizza. Benoît et Ahmed en mange un morceau, crachant des bouts sur Félicien. Puis ils boivent de la bière, pour Benoît, du coca pour Ahmed. Là aussi, ils crachent à la figure de Félicien.
Félicien ose enfin parler, avec une petite voix
- Qu’est-ce que vous voulez ? Laissez-moi partir, s’il vous plaît, je ne dirai rien.
- Tu veux quoi, p’tit merdeux ? on va te garder ici ! on va s’amuser ! Tiens bouffe !
Et Benoît lui enfonce un gros morceau de pizza que Félicien ne peut même pas mâcher. Plus de la moitié tombe au sol. Benoît, fou de rage, renverse le fauteuil. La tête de Félicien est se trouve près de la pizza renversée
- Bouffe ça ! bouffe sinon tu vas voir.
Félicien essaie de laper les morceaux, mais n’y arrive que très difficilement. Benoît est très énervé, il lui balance le contenu de sa canette de bière sur le visage puis écrase avec son pied la tête de Félicien sur les restes de pizza. Il quitte le garage après avoir éteint la lumière, laissant le jeune homme seul, dans le noir.
C’est Ahmed qui revient quelques minutes plus tard. Il est accompagné d’une jeune fille. Tous les deux entrent dans le garage, allument et se mettent sur le canapé et s’embrassent. La jeune fille, qui s’appelle Ambre pose des questions
- Qui c’est celui-là ? Qu’est-ce qu’il fait là ?
- T’inquiètes, c’est un p’tit mecton qu’on a ramassé tout à l’heure. On s’amuse un peu avec.
Ambre s’approche de Félicien, elle relève sa tête avec le pied tout en souriant.
- Il a déjà morflé, non ? pourquoi on le foutrait pas à poil ?
- Non, on a mieux à faire
- Allez, j’ai aussi envie de m’amuser
Là-dessus, elle retire les chaussettes de Félicien et le chatouille aux pieds. Félicien réagit bien évidemment mais il est retenu par les liens.
- Viens voir comme il se dandine, c’est marrant
- Viens ma belle, on a autre chose à faire…
Ambre s’attaque à la ceinture de Félicien, qu’elle retire assez facilement. Elle lui donne maintenant des coups de ceinture sur les pieds. Là-dessus, Félicien se met à crier. Elle lui enfonce les chaussettes dans la bouche, mais le coup reçu au nez empêche Félicien de respirer normalement, il devient tout rouge et s’affole ne pouvant plus prendre de l’air tandis qu’elle continue à le frapper
- Laisse-le, viens ici ma belle
- Non, je veux qu’il encaisse encore un peu
Elle lui retire les chaussettes de la bouche. Félicien reprend sa respiration tandis qu’elle lui enlève les rubans des chevilles. Ahmed la rejoint. Ambre retire le pantalon de Félicien qui s’agite mais ne peut pas faire grand-chose. Ahmed le maintient et dès qu’il a le pantalon enlevé, lui remet du ruban adhésif aux pieds, reliant les deux pieds. Il n’est donc plus attaché au fauteuil mais il est toujours entravé. Ils le retirent ensuite du fauteuil, enlevant les liens autour du torse et des poignets puis lui retirent son blouson et son tee-shirt et enfin ils lui relient les mains dans le dos. Félicien se retrouve en boxer, attaché, face à un couple qui rit. En fouillant le blouson, Ambre trouve le portable de Félicien. Elle l’allume mais a besoin d’un code. Après avoir reçu plusieurs coups, dans les couilles, dans les fesses ou sur le visage, Félicien donne ce code qui déverrouille son portable. Ambre, immédiatement, le prend en photo. Félicien essaie de détourner la tête mais Ahmed lui tient bien en face de l’objectif. C’est à ce moment que Benoît entre dans le garage, un gros sac avec lui. Il est toujours aussi saoul. Il jette le sac dans la direction de Félicien et fait une bise à Ambre.
- Salut toi, t’as vu notre nouveau jouet ?
- Ouais, t’as vu qu’il avait un plus gros paquet que toi ?
- Toujours intéressée par la bite, ma belle ! Mais tu vas voir, je vais lui réduire !
Benoit ouvre son sac, il en sort de la mousse à raser, un rasoir, des ciseaux, des cigarettes, des bouteilles d’eau, un gode représentant une bite noire assez imposante. Il y a encore pas mal de chose dans son sac qu’il envoie dans un coin du garage.
- C’est avec ça que tu joues ?
- Ouais…. Tu crois ? attend que je te le mette dans ta chatte !
Ahmed intervient
- Eh ! fais gaffe à ce que tu dis, c’est ma copine.
Benoît s’approche de Félicien
- Alors, p’tite merde, tu t’es déjà foutu à poil ? Attends, je vais t’aider à enlever le reste
Il tire sur le boxer de Félicien et l’arrache. Félicien se retrouve entièrement nu, ne pouvant dissimuler son sexe. Ambre applaudit
- Voilà qui est mieux ! t’es pas mal gâté par la nature p’tite merde ! comparé à Benoît…
Benoît baisse son jogging et montre une bite, plus petite que celle de Félicien mais déjà demi-molle. Il la fourre dans la bouche de Félicien
- Allez, vas-y, fais-moi grossir mon gourdin ! t’aime ça hein ?
Maladroitement, Félicien aspire la bite de Benoît. Il essaie de ne pas le mordre pour éviter de recevoir des coups. Pendant ce temps, Ambre joue avec les couilles et la bite de Félicien. Elle le branle légèrement, découvrant le gland. Félicien est trop gêné, il ne bande pas. Par contre, Benoît bande maintenant et montre fièrement ses attributs à Ambre
- Alors, t’as vu l’engin ?
Ahmed intervient et bouscule Benoît
- J’vais finir par croire que c’est toi le PD ici ! Laisse ma copine tranquille.
Il emmène Ambre et la câline sur le canapé.
Benoît revient vers Félicien
- T’as pas beaucoup de poils, mais je vais te les enlever
- Non, s’il te plaît, fais pas ça
Ahmed, un peu agacé, emmène sa copine et sort du garage, laissant Félicien seul avec Benoît.
- Nous voilà seuls, p’tite merde. Tu vas être à mon service maintenant, mais je te veux sans poils !
- S’il te plait….
Benoit a déjà enduit le pubis de Félicien de crème à raser. Il prend la verge par le bout du prépuce, tire dessus pour bien la tendre et commence à raser le peu de poils que Félicien arborait fièrement.
- Bouge pas, si tu veux pas que je te coupe !
Félicien pleure et ne bouge pas. Benoît verse de l’eau et semble fier. Il prend le portable de Félicien et prend une photo de son zizi tout rasé. Il traine ensuite sa victime près du canapé, sur le dos. Il s’installe sur le canapé, une bière à la main, se déchausse et met ses pieds sur le visage de Félicien.
- Nettoie ! t’aime ça
Félicien essaie d’esquiver les pieds embaumés de Benoît, mais y renonce très vite compte tenu de la force de Benoît. Il lèche le côté des pieds, en fermant les yeux et sans y mettre trop de salive, ce qui ne plaît pas à Benoît.
- Applique-toi, sinon tu reçois une correction.
Là-dessus, il met un violent coup de pied dans les couilles de Félicien qui se tord de douleur. Quand il a repris sa respiration il lèche à nouveau les pieds de Benoît, répondant à ses demandes : sous la plante, entre les doigts, gobe le gros orteil… Le tout dure bien une heure qui en parait beaucoup plus pour Félicien. Quand Benoît se lasse, il retire son jogging et son slip et vient s’assoir sur le torse de Félicien, mettant sa bite au bord de la bouche de Félicien. Ce dernier n’attend pas l’ordre pour lécher le gland décalotté de Benoît. Ce dernier apprécie l’initiative et prend une photo. Il enfonce ensuite sa bite dans la bouche de Félicien, jusqu’à la gorge, le faisant régurgiter. Pour le punir, Benoît s’assied sur le visage de Félicien, l’obligeant à respirer son cul.
- J’ai une idée, je vais envoyer une photo à un de tes contacts
- Non ! Arrête, pas ça !
Benoît lit quelques noms : maman, grand-mère, papa, Adrien, Grégory, Julien…
- Ya que des noms de garçons ! t’es vraiment un PD ! Qu’est-ce que tu penses de Julien ?
- Non, fais pas ça, je ferai ce que tu voudras…
- Ah oui ! alors je vais t’enculer, je me sens en forme
Benoît retourne Félicien, le mettant sur le ventre. Il lui met une pile de cartons sous le ventre pour relever son cul, crache sur sa main et se mouille sa queue bien raide. Il s’approche du trou de Félicien, qui resserre les fesses
- Je vais rentrer ! inutile de te retenir !
Il pointe son gland humide au bord du cul de Félicien et commence à enfoncer son membre sous les cris de douleur de Félicien.
- Ta gueule ! tu gâches mon plaisir !
Félicien continue de crier à chaque avancée de Benoît qui commence à aller et venir au bord du cul de Félicien et d’un coup, il s’enfonce davantage arrachant un hurlement de Félicien.
- Je t’avais prévenu ! j’envoie une photo à …… aller …. Grégory !
- NOOOOOOOOONNNNNNNNN
Félicien entend le jingle qui signifie que l’envoie a été fait. Il s’effondre et se laisse faire par Benoît qui finit par jouir dans le cul de Félicien. Il lui enfonce ensuite, avec difficultés, le gode qu’il avait apporté, empêchant ainsi le sperme de couler. Félicien est en pleurs. Benoît s’effondre sur le canapé quelques instants puis se rhabille et quitte le garage, laissant la lumière. Félicien en profite pour essayer de se détacher. A force de s’acharner, il arrive à délier les liens de ses mains. Il retire avec précaution le gode qu’il a entre les fesses. Il a très mal et voit du sang sur le gode. Il retire les liens de ses pieds, cherche ses vêtements. Il récupère son téléphone abandonné par Benoît. Il vérifie l’envoi du MMS qui était bien à destination de Grégory. Il appelle son pote, tout en pleurant et en expliquant sa situation. Il ne peut pas dire où il est. Il essaie de trouver des outils pour forcer la porte et se retrouve dans une ruelle. Il rejoint enfin une route avec une plaque. C’est là que Grégory le récupère.
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darkpalmor · 1 month ago
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27 NOVEMBRE 2024
Programme qui saigne sévère.
1°) Échauffement en 5 minutes et 5 lignes maxi : le labyrinthe.
J’ai commencé ma phrase en espérant arriver au bout, mais rien que de penser à un bout m’a rappelé la mauvaise blague du bâton qui a deux bouts, et qu’on coupe en deux, mais il a toujours deux bouts, alors j’ai pensé que ma phrase pourrait mal finir si je l’allongeais trop parce que la consigne c’est cinq lignes, et si j’écris dix lignes il faudra la couper. Mais pourquoi ai-je écrit tout ça ? Il faut que j’en sorte. Où est l’autre bout du labyrinthe ?
2°) Un peu de haine gratuite (10 minutes) : Les banquets. On expliquera de manière raisonnée, calmement, pourquoi l’on déteste les banquets, de quelque nature qu’ils soient (de conscrits, de société, de militaires, de famille, etc.).
Je hais les banquets et les banqueteurs. Ce genre de cérémonie maniaquement organisée me glace déjà rien qu’à l’idée de devoir chercher l’étiquette qui indique ma place. Et à côté de qui serai-je ? Une rombière à collier de perles et décorations multiples ? Un P.D.G. cravaté et noyé d’eau de toilette ? Un sourd à qui je devrai faire la conversation en lui criant dans l’oreille ? Les banquets sont détestables parce qu’il faut endurer l’attente du début, l’attente des plats, l’obséquiosité des larbins qui veulent à toute force remplir mon verre, les serveurs empotés qui tremblent au-dessus de mon épaule en apportant les plats en sauce. Il faut endurer la crainte d’un impair, de faire des miettes inconvenantes, de répondre au voisin d’en face avec du persil sur les dents. Les banquets sont détestables parce qu’il s’y trouve toujours un président de quelque chose, qui tape sur son verre en cristal pour demander la parole, et qu’on doit écouter poliment, ou religieusement, au garde-à-vous mental, sans bouger, pendant trop longtemps et que le café refroidit dans les tasses. Les banquets sont haïssables parce que, parfois, il faut se lever et rester en point de mire de dizaines d’inconnus, quand encore il ne faut pas pousser la chansonnette… Les banquets, c’est toujours un assemblage, ou un ramassis, d’individus qui font semblant d’avoir un esprit collectif pendant quelques heures, et qui se séparent en ayant oublié le nom de presque tout le monde, excepté peut-être la brunette en face, qui peut être une bonne affaire, ou le député dans le coin, qui peut procurer une bonne affaire.
3°) 10 mots pour une histoire de hasard (10 minutes). On tire au sort dix mots dans une liste qui en contient vingt-cinq, et on écrira une histoire où ils seront tous employés.
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Les mots tombés d’une main innocente sont les suivants : injecter, mystère, autobus, main, automobile, hasard, plume, délire, personne, lueur.
Personne ne l’avait vu ni entendue venir. Une espèce de brouillard envahissait la rue, et le bitume donnait l’impression de disparaître au bout de vingt mètres. Une automobile apparut, silencieuse, silhouette trouble, au ralenti, puis s’arrêta devant notre petit groupe. Nous ne disions plus rien, attendant que quelqu’un en sorte, mais nous ne vîmes, pour la plupart, qu’une main qui passait par la vitre abaissée, et à la lueur du plafonnier nous comprîmes que quelque chose n’allait pas. Une main, et pas de corps, pas de tête. Le mystère devenait palpable et angoissant. « C’est du délire, dit Élisabeth, c’est l’homme invisible qui a mis des gants ? ! » La voiture se remit lentement en marche, repartit sans bruit, et il n’y eut plus rien, qu’une brume qui s’épaississait. Et puis une plume tomba du ciel, en voletant, et se posa à mes pieds, comme par hasard, me désignant pour être le responsable de ce qui devrait advenir désormais. L’autobus scolaire arriva enfin, klaxonnant à tue-tête, et nous pûmes enfin nous y injecter tout le reste de la dope qui nous ferait patienter jusqu’à l’entrée du lycée.
4°) Intégration forcée (10 minutes) : Un fragment d’Étienne Candel. On l’intègrera tel quel, sans le modifier même d’une virgule, dans un texte libre : « le mouvement paresseux des carpes au matin, plus paresseux dans leur sommeil, mais moins dans… »
Ses souvenirs défilaient comme des silhouettes floues, se confondant parfois les uns avec les autres, et sa pensée, molle, essayait de se développer dans un labyrinthe de mots incomplets, de phrases fragmentaires, comme on voit sous la surface d’une eau trouble le mouvement paresseux des carpes au matin, plus paresseux dans leur sommeil, mais moins dans leur légère agitation lorsqu’elles se croisent entre deux tiges de nénuphars, et il espérait que ce cycle anesthésiant cesserait d’un coup, qu’il trouverait le mot qu’il cherchait vainement, qu’il le verrait surgir de ce magma mouvant de syllabes et de pensées inabouties, comme lorsque les carpes de Villandry se jettent vers la surface pour gober les miettes de pain que leur jettent les touristes.
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ondessiderales · 2 months ago
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Sur l'île de Sam
Sur l’île de Sam
Préface :
L’eau monte sur le bateau. Le chien est affolé. Il ne retrouve plus son maître. Plus il le cherche, plus l’eau le submerge. Soudain, il le voit sur une grosse bouée, partant sur l’horizon. Il aboie, il gémit, il supplie. Le maître n’entend pas. Il saute. Les vagues lui fouettent le visage, mais rien ne l’arrête. Il voit son maître. Il pleure de joie. Il monte sur la grosse bouée. Elle coule. Le maître nage vite. Le chien ne peut pas le rattraper. Il couine de désespoir. Les vagues le fatiguent. Résistera-t-il ?
Chapitre 1 : Les vacances
On les attendait mais elles sont arrivées, les grandes vacances ! Le calme de la mer me repose. Ces vacances sur l’île de mon père sont un vrai bonheur. Les palmiers et les cocotiers, le chant des sirènes, la beauté d’un coucher de soleil… parole de Maxence, fils de riche et enfant de 12 ans, il n’y a rien de plus reposant. Pourtant, depuis tout à l’heure, j’entends un murmure, étouffé par les vagues. Et plus le temps passe, plus le murmure d’intensifie. Etrange…
« Maxence ! Viens ici une seconde !
-Oui, papa ! »
Je me dirige vers la maison.
« Ecoute, tu es grand, dans une heure, je partirai au Brésil. Je reviendrais dans une semaine. Alors, sois bien sage et ne vas surtout pas dans la forêt. Compris ? 
-Oui, papa ! »
Le chien est toujours vivant. Il veut encore lutter. Il aperçoit au loin une rive. Il lui faut juste continuer à nager. Il couine. Il a mal aux pattes. Il souffre.
Papa est parti depuis longtemps. Le murmure s’amplifie toujours. Mais cette fois-ci, il me semble très proche. J’ai la gorge sèche. Et j’ai envie de boire. Si je me prenais encore une limonade ? Je vais dans la cuisine. Ce frigo est immense. J’ai beaucoup de chance.
La rive, enfin ! Avec la force qui lui reste, le chien nage. La rive est à un mètre de lui. Il s’évanouit.
Allez, la rondelle de citron et je vais pouvoir enfin boire cette limonade. Sur mon transat, je n’entends plus le murmure. Par contre, j’entends très bien la respiration de quelque-chose. Je finis la limonade et je vais vite voir qu’est-ce qui fait ce bruit. Et c’est sur le sable fin que je découvre un chien, inerte.
Chapitre 2 : Sam
Le chien est bien. Il sent la douceur de la couette qui l’entoure. Il ne veut pas ouvrir les yeux. Il est épuisé. Mais il a faim. Il ne sait que faire. Il repense à son maître. Il lui manque. Il finit par ouvrir les yeux.
« Eh bien, tu en as mis du temps pour te réveiller ! , dis-je au chien
On peut dire que tu as fais un long voyage ! »
Le chien était encore endormi. Mais j’étais sûr qu’il m’entendait quand même.
« Reste plus qu’à te trouver un nom ! Que dirais-tu de Fripouille ? »
Le chien grogne. Il ne s’appelle pas Fripouille. Il le sait.
« Mais qu’est-ce que tu as ? »
Le chien sait qu’il ne s’appelle pas Fripouille et pas même cet enfant ne dira le contraire. Il aboie.
Je souffle.
« Quand tu auras fini d’aboyer, tu me le diras. En attendant, Je vais vérifier que tu n’as pas de puce. »
Et c’est là que je découvre une écriture sur le dos de Fripouille. Il y a écrit  A Sam, pour la vie..
«  Cà alors, mais tu as un maître ! Et en fait, tu t’appelles Sam ! »
Le chien se dit que l’enfant, aussi stupide soit-il, a quand même découvert son vrai nom. Il arrête d’aboyer.
« Alors, tu en as assez d’aboyer ? Bien ! Bon, en attendant, il faut retrouver ton maître. Mais pour cela, il faudrait aller à la mairie et passer par la forêt. Mais mon père me l’a interdit. Non, vraiment, il vaut mieux l’attendre… »
Le chien gémit. Il veut vraiment retrouver son maître. Il pleure. Il aime son maître.
« Tu me fais trop de peine ! Allez, tant pis pour papa, allons dans la forêt ! »
Le chien va pouvoir retrouver son maître ! Il va enfin le revoir ! Il sent qu’il aime cet enfant. Il ne le quittera que le moment venu. Mais d’abord, manger la pâté que lui donne l’enfant...
— Lucas, 22 mai 2008 (j'avais 11 ans)
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leblogdemarinaetjeanmarie · 2 months ago
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SAMEDI 9 NOVEMBRE 2024 (Billet 1 / 4)
Pour ne pas faire comme A. Delon, exceptionnellement, l’initiative étant personnelle, je (Jean-Marie) vais écrire ce Billet à la première personne.
Il y a presque 2 mois, j’avais réservé 2 places pour voir au cinéma le Concert « Nevermore » de Mylène Farmer, capté lors d’une des dernières dates de sa « Tournée des Stades », débutée en juin 2023 à Lille et qui s’est conclue en octobre 2024 devant 80 000 personnes au Stade de France sur 3 soirs consécutifs.
Et ce n’est pas du tout parce que je suis fan de la chanteuse, je n’ai d’ailleurs jamais acheté aucun de ses albums… mais juste « fan absolu » d’une de ses chansons : « Désenchantée », sortie en mars 1991 et surtout des enregistrement Live de ce titre lors de ses Concerts (sur différentes années), trouvés sur YouTube. En rigolant, j’ai souvent dit que je trouvais ce morceau « orgasmatique », pardon pour le néologisme.
J’ai également beaucoup apprécié ses premiers Clips (réalisés par son complice, Laurent Boutonnat). Les années 90, c’était l’époque où les Clips étaient faits avec de gros moyens et parfois beaucoup de talent… de vrais courts-métrages cinéma ! Ça a été aussi l’âge d’or de la Pub, même si les formats étaient beaucoup plus courts.
Mais, pour être tout-à-fait honnête, pas que… Les shows de la chanteuse dont je voyais de temps en temps des extraits à la télévision m’ont toujours paru spectaculaires, époustouflants : mise en scène, décors, éclairages, costumes, chorégraphies, etc.
Quand j’ai appris que sa dernière tournée allait être filmée et proposée dans certaines salles de Paris, je me suis tout de suite mis sur l’application Pathé et, tant qu’à faire, puisqu’on ne parlait que de lui à l’époque, j’ai choisi de réserver nos places dans le tout nouveau complexe cinématographique, inauguré tout récemment, le « Pathé Palace Opéra ».
Pendant longtemps, le film devait être projeté dans la plus grande des salles de ce cinéma et puis, allez savoir pourquoi, j’ai reçu un mail m’informant d’un changement de salle, la nouvelle, nettement plus petite. J’ai tout de suite pensé à annuler mes réservations… mais finalement ne l’ai pas fait (et ne l’ai pas regretté).
Pourquoi Marina a accepté de m’accompagner, Mylène… « Désenchantée »… n’étant pas forcément sa tasse de thé ? Je vous laisse deviner la réponse, en tout cas, je l’en remercie du fond du cœur. C’est quand même plus agréable de « vivre » les choses à deux…
Après quelques renseignements glanés ici ou là, vous trouverez ci-dessous ce que nous avons pensé de notre soirée.
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Mylène Farmer est entourée sur scène de seize danseuses et danseurs.
« Nevermore » est la plus grande tournée des stades de l'histoire de la musique proposée en France par une artiste.
Succès dès la mise en vente des billets le 1er octobre 2021 avec 100 000 billets écoulés en deux heures, 200 000 en seulement huit heures et au final 230 000 acquéreurs à la fin de la prévente le 03 octobre 2021 à 18 heures (la prévente s'étant déroulée uniquement sur un site dédié, « mylenefarmer-nevermore2023.com », avant la mise en vente dès le 04 octobre dans les points de ventes habituels).
Au final, la tournée à rassemblé plus de 680 000 spectateurs.
Ses musiciens : Sébastien Chouard et Joel Shearer aux guitares / Johan Dalgaard et Eric Chevalier aux claviers / Charles Paxson à la batterie / Jonathan Noyce à la basse / et Yvan Cassar en special guest.
Direction musicale du spectacle : Olivier Schultheis et Yvan Cassar
Infrastructure :
Une scène de 60 mètres d'ouverture, 24 mètres de hauteur et 22 mètres de profondeur. 270 personnes ont travaillé sur le spectacle. 90 semi-remorques pour transporter l'infrastructure du spectacle. 900 tonnes de matériel. Dans chaque stade : cinq jours de montage pour la scène avec 150 à 200 personnes qui interviennent. Budget (chiffre non officiel) : 65 millions d'euros.
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Certes la salle 7 fait à peu près le tiers de celle dans laquelle nous aurions dû être (la 1) mais la taille de l’écran est MAGNIFIQUE et les qualités de l’image et du son sont EXCEPTIONNELLES ! Les fauteuils en cuir (télécommandables) sont d’un confort redoutable (les films projetés ont intérêt à ne pas être ennuyeux, autrement, endormissement garanti !).
Quant au show, « Nevermore », il a été au-delà de ce à quoi je m’attendais. Même Marina a été conquise. Nous nous demandons comment les 80 OOO spectateurs présents dans le stade percevaient l’interprétation (physique) de la chanteuse, malgré les écrans géants, à gauche et à droite… et parfois même au milieu de la scène, mais nous, dans cette salle, si elle avait eu des grains de beauté sur le visage, nous aurions pu les compter !
Somptueuse mise en scène, concert superbement bien filmé… que vous dire d’autres, n’importe quel adjectif au superlatif serait de toutes façons en dessous de ce que nous avons ressenti.
Juste un petit problème, à part 3 ou 4 chansons, nous ne connaissions pas du tout le répertoire de l’artiste. Les 80 000 personnes dans le stade, oui… ce qui fait que nous sommes sûrement passés à côté de certaines d’entre elles, surtout les plus lentes. Par contre, dès que Mylène Farmer était accompagnée de ses danseurs, chanson connue de nous ou pas, c’était magique !
Vous trouverez ci-dessus un medley/résumé de son spectacle, mais (très bien) monté d’une façon originale sur une seule chanson : « Oui… mais non ». C’est un des moments que nous avons préféré du concert.
Nous donnons ❤️❤️❤️❤️❤️ sur 5 à "Nevermore" (mais heureusement que nous n'étions pas dans la foule !!!).
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