#- Je lui ai acheté une Porsche.
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Un Allemand, un Hollandais et un Belge sont assis dans le café. L'Allemand annonce fièrement : - Ma femme va en 7 secondes de 0 à 100. - Oh, dit le Hollandais, comment ça ? - Je lui ai acheté une Porsche. - Ah ce n'est encore rien, ma femme va de 0 à 100 en 5 secondes. - Oh, dit l'Allemand, comment est-ce qu'elle le fait ? - Je lui ai offert une Ferrari. Puis le Belge : - Ma femme va en 2 secondes de 0 à 100. - Cela nous semble impossible, qu'est-ce que tu lui a donné ? - Une balance !
#Un Allemand#- Ma femme va en 7 secondes de 0 à 100.#- Oh#dit le Hollandais#comment ça ?#- Je lui ai acheté une Porsche.#- Ah ce n'est encore rien#ma femme va de 0 à 100 en 5 secondes.#dit l'Allemand#comment est-ce qu'elle le fait ?#- Je lui ai offert une Ferrari.#Puis le Belge :#- Ma femme va en 2 secondes de 0 à 100.#- Cela nous semble impossible#qu'est-ce que tu lui a donné ?#- Une balance !
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J'ouvre les yeux à 8 heures pétantes. Je ne sais pas ce qui me prend, je tends mon bras et je saisis mon téléphone. Ça faisait quelques jours que je ne l'avais pas allumé. 8 appels en absence. Le même numéro. Un 03. Je rappelle sans écouter les messages. Je n'ai parlé à personne depuis que j'ai ouvert les yeux, alors pendant la tonalité, je teste ma voix :
-Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! -Allô ? -Oui, bonjour ! Euh… je… c'est pour… c'est parce que vous m'appelez… vous m'avez appelée, je crois. -D'accord, vous êtes Madame... ?
L'échéance du garde-meuble tombe aujourd'hui. Le jeune gars qui gère ça m'avait appelée pour savoir si je voulais renouveler. Je voulais renouveler, mais je n'ai plus de quoi payer. Enfin, j'ai de quoi payer, mais je préfère manger.
Je me mets en chemin. J'y vais à pied. Je crois que je n'en ai plus rien à foutre. Ni de marcher 1h45, ni de mes affaires, ni de rien. Je me dis que les personnes qui fréquentent les garde-meubles sont dans le même état d'esprit que moi. Comme celles qui fréquentent les cyber-cafés.
Je traverse un petit vide-grenier de quartier. Il est encore tôt. Les stands sont en place, mais la fréquentation est éparse. L'idée me vient donc. Je demande à un des gars de lui emprunter sa camionnette en échange du plein. Je laisse ma pièce d'identité. S'il savait à quel point je tiens à mon identité, il n'aurait pas accepté.
Je finis donc le trajet en Peugeot Partner. J'embarque mes affaires. Je signe le papier que me tend le gars sorti d'école de commerce de seconde zone. Je passe faire le plein. Je décharge au vide-grenier, je rends les clés, et je pars. Je laisse derrière moi toutes mes affaires, et ma carte d'identité.
Je marche tout droit, donc à un moment, j'ai faim. Je m'arrête pour acheter des panini. Je n'aime pas déformer l'italien et utiliser le pluriel de sandwich (panini) pour commander un panino. Donc, je les commande par deux et je mange l'autre plus tard. Un homme étranger dit "bon appétit" quand le chef lui apporte son assiette de frites. Le chef ne relève pas. C'est très mignon. La vie est belle.
En sortant, je remarque dans le caniveau une souris d'ordinateur éventrée. Là où j'ai grandi, ce sont des hérissons qui sont aplatis sur la route. La ville est si artificielle que même ce qu'on trouve écrasé contre le bitume n'est pas organique.
Je marche encore tout droit. On est maintenant au cœur de l'été. J'essaie de parier qui dans cette ville est d'ici, et qui est touriste. J'arrête vite car c'est trop facile. J'arrive au parc. Des vélos sont posés. Pas attachés. Je reconnais le logo du magasin de location Dingo Vélos. Je n'ai pas réfléchi et je suis maintenant sur le vélo. Je suis en train de le voler et l'adrénaline me pousse à pédaler de plus en plus vite. Je retrouve le chemin de Dingo Vélos et vais le rendre. Je récupère 50€ de caution et la carte d'identité d'une certaine Clothilde. Elle ne me ressemble pas vraiment. Elle doit avoir 10 ans de moins que moi. Mais elle a les mêmes cheveux. Pour une personne polie, ça peut faire illusion.
Le soleil se couche enfin. Je suis déjà dans mon lit. Cet appartement est une chance pour moi. Une chance que ma mère l'ai laissé libre avant de ne plus m'adresser la parole. Je n'ai bientôt plus d'argent. Aujourd'hui, je n'ai pas été au jardin botanique et je ressens un manque. Aujourd'hui, d'autres gens ont été au jardin botanique, on parlé de leurs soucis de couple devant la bambouseraie. Aujourd'hui, des gens ont mangé un baba au rhum, d'autres ont acheté un chihuahua, commencé des balnéothérapies, pris des actions dans une start-up, acheté des fleurs, loué une Porsche, pris l'avion pour le weekend, se sont marié·es.
Aujourd'hui, j'ai changé d'identité. Demain, je mangerai un panino froid.
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Jeudi 23 avril 2020
Je reprends ce modeste journal aujourd’hui, (enfin !) après deux semaines d’absence.
J’ai bien conscience de l’importance vitale que ce journal de confinement revêt pour certains de mes lecteurs. J’ai bien conscience que pour beaucoup, mes mots sont les seules fenêtres ouvertes sur le beauté du monde.
Mais l’écriture ne se commande pas, en tout cas pas tant que cela, et lorsque l’inspiration ne vient pas, il ne faut pas céder au narcissisme qui pousse à écrire à tout prix.
Après l’inhumation de Pierre-Emmanuel, une forme d’épuisement m’a gagnée. Un épuisement moral surtout, sans doute dû à la tristesse de la situation.
Nous avons laissé les enfants à mes parents et Dolores. Comme cela faisait plus de deux semaines que nous étions arrivés en Normandie, et que j’étais la seule à avoir déclaré des symptômes, il nous a finalement paru ridicule de continuer à nous isoler les uns des autres. Bien entendu, ma mère a émis des réserves, et même mon père, étrangement. Mais quand je lui ai dit qu’on pourrait leur prêter Dolores pour qu’elle leur fasse du ménage et à manger le temps de notre absence, il a changé d’avis. J’admire le sens pratique de cet homme.
Ma mère, en revanche, a insisté pour rester chacun chez soi encore quelque temps. Sans doute n’a-t-elle pas apprécié l’allusion au manque de diversité de sa cuisine et à son sens de l’hygiène plus que discutable. Dolores n’est pourtant pas une perle, mais je suis persuadée que ma mère se sent attaquée dans son rôle de femme par la présence sous son toit d’une personne dont le métier est de s’occuper de la maison – a fortiori une domestique de sa propre fille ! De toute façon ce n’est pas elle qui décide, donc l’affaire fut réglée à l’acquiescement du bon patriarche.
Au petit matin, Victor et moi sommes partis en catimini sans réveiller les enfants. C’est si difficile pour eux de nous dire au revoir. Il nous a paru plus simple de procéder ainsi, sans avoir à assister aux immanquables effusions de larmes.
Quand nous sommes arrivés sur l’A14, j’ai tout de même appelé Dolores, qui jouait dehors avec les enfants, et m’a juré qu’ils n’avaient pas pleuré en apprenant notre départ. Je sais qu’elle ment pour nous rassurer.
Victor avait besoin de faire un crochet par son bureau de la place Vendôme avant que nous ne nous rendions à l’inhumation. Quel bonheur, de voir enfin respirer cette belle ville ! Quel bonheur de voir le jardin des Tuileries vide du moindre touriste aux mains grasses ! Quel bonheur, de pouvoir garer le Porsche Cayenne dans la rue plutôt que dans le parking souterrain !
Le temps que Victor rassemble ses papiers et passe quelques coups de fil, je suis allée me promener, munie de mon attestation dûment remplie. C’est là que j’ai pris un premier gros coup au moral. En remontant la rue de la Paix vers l’Opéra Garnier, je suis tombée sur le magasin Repetto.
Fermé. Ce lieu magique et empreint du charme des salles de danse anciennes, ce lieu intemporel où plane l’esprit du grand Degas et de ses petites danseuses en tutu, ce lieu sacré où je vais acheter mes tenues de yoga, ce lieu, donc, était fermé le temps du confinement, jusqu’à nouvel ordre.
J’ai eu un haut le coeur, et un immense désespoir m’a gagnée. Je me suis sentie un instant comme ces populations persécutées dont on a caillassé les petits commerces et qui en retrouvaient au petit matin les vitrines brisées, dépités.
J’ai rebroussé le chemin vers le bureau, le cœur gros, et en composant le code de l’ascenseur menant au bureau de Victor, je me suis mise à craindre que nous ne retrouvions jamais vraiment notre vie d’avant. Et si la France se giletjaunisait bel et bien, et que nous nous retrouvions avec le niveau de vie mesquin des petits notaires de province ?
J’en tremblais d’avance.
Sans le moindre doute, si leur fameuse “révolution” avait lieu, les barbares s’en prendraient en premier lieu aux symboles forts, comme le showroom Repetto de la rue de la Paix, ou la boutique Petrossian tout près de chez nous, boulevard de la Tour Maubourg, et peut-être aussi à la Bibliothèque de la rue de Richelieu.
Et qu’adviendrait-il de nous ? Victor finirait au goulag ou son équivalent, les enfants seraient obligés de porter des vêtements bas-de-gamme pour se fondre dans la masse du peuple et risqueraient tous les jours leur vie dans une école pleine de petits sauvageons des temps modernes, et les femmes comme moi, les femmes à la beauté inaccessible au commun des mortels (il faut savoir être lucide) seraient assurément rendues en esclavage.
Non, en tout état de cause, il nous faudrait fuir. Je sais que Victor a pris les devants et qu’il a d’ores et déjà acheté et équipé une propriété en Nouvelle-Zélande. Mais pour ma part, je n’ai aucune envie d’aller m’enterrer au bout du monde sur cette île où, sous couvert de politiquement correct, nous serions obligés de faire comme si les cultures autochtones étaient d’un quelconque intérêt. Et puis quel ennui. Ce n’est pas avec les quelques boutiques d’Auckland qu’on tue le temps le samedi.
En arrivant à l’église Saint Paul du Marais, nos masques sur le visage, nous nous sommes rendu compte qu’à part Philippe, nous étions les seules personnes qui ne faisaient pas partie de sa famille. Les quatre personnes présentes se sont retournées vers nous en entendant la lourde porte se refermer, puis se sont regardées, interloquées.
Alors que je trempais ma main dans le bénitier pour faire mon signe de croix, Philippe est venu à notre rencontre, dans l’allée. J’ai baissé mon masque afin qu’il me reconnaisse en lui disant, avec un grand sourire complice :
– Bonjour Philippe.
Il s’est stoppé net dans sa course et m’a regardé, comme ébloui. Il a tourné les yeux vers Victor, puis les a ramenés sur moi. C’était attendrissant, de le voir ainsi subjugué.
– Qu’est-ce qu...
Il n’est pas parvenu à finir sa phrase. Il s’est repris et nous a dit d’une voix monocorde :
– Aucun des amis de Pem n’est venu.
Le pauvre était sans doute rongé par le chagrin de constater que les gens étaient trop lâches pour se déplacer.
– Mais si Philippe, ai-je répondu d’un ton sage et rassurant. Nous sommes là, nous. Nous sommes venus de Normandie. Et vous aussi, vous êtes là. Et qui sont ces gens ? Votre ami n’est pas tout seul pour son dernier voyage allons. Ce sont les parents de Pem, je présume ? Oui, très certainement, le grand monsieur lui ressemble beaucoup. Viens, Victor, allons les saluer, ai-je dit en passant si près de Philippe que j’ai senti son parfum – Terre d’Hermès, excellent choix.
– Non, a répondu Philippe. Ce sont mes parents.
– Oh vos parents sont venus ? Comme c’est adorable. Vous étiez vraiment extrêmement proches. C’est beau !
Je me suis précipitée vers eux en tendant la main, alors ils ont eu un mouvement de recul, et la dame âgée a bien failli s’écrouler à cause du prie-dieu en embuscade derrière elle. Heureusement que Philippe l’a rattrapée par le bras.
J’ai ri. J’ai ri, et tout le monde m’a regardée avec de grands yeux. J’ai ri comme Carole Bouquet dans la publicité Chanel de mon enfance. J’ai ri, et mon rire cristallin a résonné sous la voûte sur croisée d’ogives de l’église, comme un pied de nez au destin et à sa cruauté.
– Je ris de moi, ai-je précisé en riant toujours. Où avais-je donc la tête ? Bien sûr, qu’il ne faut pas se serrer la main. Mille excuses. Je suis désolée si je vous ai fait peur. Ne vous en faites pas, madame, vous m’avez l’air d’une personne robuste !
Et c’était vrai. Elle avait les joues rouges et la silhouette costaude.
– Vous y survivrez, ai-je ajouté. Comme moi.
– Vous... Tu... tu l’as eu ? m’a demandé Philippe, blêmissant de compassion - quelle adorable personne.
– Oui, mais je m’en suis sortie, tu vois. La loterie génétique, que veux-tu. Je sais bien que tout le monde n’a pas la chance d’avoir mon excellente santé et mon système immunitaire supérieur. Pauvre Pierre-Emmanuel... Déjà orphelin de père et mère et maintenant... la mort...
– Pardon ?
La quatrième personne de l’assemblée, une femme à l’air particulièrement malaimable, s’est retournée d’un coup en entendant ces mots.
– Orphelin de père et mère ?
– Eh bien...
– Madame, m’a-t-elle sermonnée, drapée dans ses certitudes et sa fausse dignité. Mes parents sont bien vivants. Simplement ils n’ont pas pu...
Elle a respiré profondément, faisant mine de retenir ses larmes. Quelle mise en scène ridicule pour une malheureuse petite déduction.
– Ils n’ont pas pu venir, a-t-elle poursuivi. La Police les a empêchés de monter à Paris pour enterrer leur propre fils. Qu’est-ce que vous faites là, d’ailleurs, vous, hein ? Vous étiez qui, pour lui ?
– J’ai bien conscience de votre chagrin, ai-je répondu, magnanime. Aussi, je me garde bien de relever le caractère éminemment agressif de vos insinuations.
J’allais lui dire que la colère ne lui allait pas au teint quand une espèce de “toc toc toc” sourd m’a interrompue. C’était le prêtre qui frappait du doigt dans son micro pour annoncer qu’il allait commencer et pour nous inviter à nous recueillir. Sans faire montre du moindre respect pour le fait religieux, la soeur du défunt a encore profité de la situation pour cracher son fiel, se retournant une dernière fois vers moi et Victor pour nous dire, en me regardant droit dans les yeux:
– Vous n’avez rien à faire là.
Victor n’a pas remarqué. Il était en train de parler à l’oreille de Philippe, qui se trouvait au premier rang devant nous, pour lui expliquer qu’il avait dans sa sacoche un certain nombre de papiers à lui faire signer. Très droit, et élégant jusque dans le deuil, Philippe s’est contenté de regarder devant lui, dans une attitude digne à valeur d’acquiescement.
Les mots du prêtre ont raisonné très fort en moi, tant j’avais craint d’être à la place de Victor – tant j’avais imaginé le somptueux éloge funèbre qu’on m’aurait réservé. Ce fut malgré la tristesse du moment une belle cérémonie.
Il manquait juste un petit je-ne-sais quoi. Peut-être de la musique. Peut-être des rires d’enfants. Peut-être l’énergie débordante de Pem. Oui, il y manquait de la vie.
Une fois sortis de l’église, le cercueil dans le corbillard, Victor a demandé à Philippe de signer les papiers. Il s’est exécuté sans un mot. Ensuite, il s’est simplement tourné vers ses parents, sans nous dire au revoir. Le pauvre devait avoir la gorge nouée par le chagrin.
Victor allait partir mais je l’ai convaincu que par politesse, il valait mieux attendre. Le corbillard et la trop petite foule endeuillée partis, alors qu’il ne restait plus que nous devant l’église Saint Paul, j’ai enfin pu faire usage de la perche à selfie que j’avais eu la présence d’esprit d’emporter avec moi. Cette église est si belle !
Inspiré par mon impulsion créatrice, Victor a sortir son Leica du Porsche Cayenne, et nous sommes allés nous promener dans les rues du Marais pour faire quelques photos de moi dans ce magnifique décor incroyablement vide. Parmi les clichés dignes des plus grands magazines de mode, pour la plaisanterie, Victor a réalisé un magnifique portrait de moi avec mon masque en faux Vuitton, un gros plan où l’on voit bien à mes yeux rieurs et soulignés de khôl que ce qui se cache sous ce masque est un sourire immaculé.
Avant de repartir, nous avons effectué un petit crochet par la maison. Le septième arrondissement était désert. Le jardin, laissé à l’abandon depuis plusieurs semaines, avait autorisé son lierre et son liseron à s’épanouir sur le muret, et son gazon à pousser façon anarchique, comme une de ces femmes qui refusent leur féminité et qui se laissent aller. Il faisait peine à voir.
Affamés, nous sommes allés chercher un poulet à la rôtisserie, et l’avons dévoré à toute vitesse avant de reprendre la route pour le manoir, comme des clochards, sans autre accompagnement qu’un paquet de pommes chips acheté en même temps. Tout cela était bien trop riche en acides gras saturés, et je sentais mon corps hurler de cette agression. Mais il fallait bien me nourrir. Le nourrir. “C’est pour ton bien,” lui promettais-je par la pensée. “C’est pour ton bien mon corps adoré. Demain je demande à Dolores de ne me faire que des plats à base de légumes. Son velouté de potimarron à la muscade sera ma pénitence.”
—Ludivine de Saint Léger
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Mon monde imaginaire
Dans mon monde imaginaire, mes deux amis sont des personnages de dessins animés. Ce sont Gumball et Darwin. Donc voulu faire la fête sur la lune avec le président. À chaque fois que je leur demande pour jouer un jeu, il me disent action ou vérité.C’est notre jeu préféré. Tournons la page pour voir comment nous nous sommes rencontrés. Nous nous sommes rencontrés dans une attraction à Walibi c’est la première fois que j’ai vu une fille faite pour moi. Je lui ai demandé sur le 04. 20 en plus, nous avons eu un enfant. Nous appeler turbo. Il allait très vite. Nous lui avons acheté une Mercedes. Je me suis acheté une Porsche rouge et noir.Nous avons pu participez à un rallye.Nous sommes passés dans un volcan. Le lendemain, j’ai invité Baptiste. Nous sommes passés sur un volcan oui nous sommes allés sur le plus haut toi de Paris. Nous sommes tombés en panne D’essence. N’avons plus d’essence et avons dû sauter de 3000 m nous avons atterri sous un bus de 30 tonnes.fin
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Récap’ Février 2017
Finalement, pas de review cette semaine. Pour être clair, je n’ai pas eu le temps. Je ne sais pas si vous le savez mais je suis un jeunot, je vais encore au lycée et cette semaine était chargée en contrôles et en oral. Ce qui fait que j’ai du faire autre chose que cette review. Je vous le dis quand même, elle devait porter à la base sur la Ferrari Mondial parue dans le Youngtimers de ce mois-ci.
Pour revenir rapidement dessus, l’article est rédigé de manière assez simple mais conserve quelques expressions propres à Youngtimers qui donnent d’ailleurs son ton au papelard. C’est le rédacteur en chef qui s’y colle, François-Xavier Basse, et les photos sont fournies par Thierry Réaubourg qui à l’habitude de tenir la plume.
Ce que je vous propose à la place, c’est une sorte de récapitulatif des journaux de ce mois-ci en évoquant éventuellement les bons articles, sachant évidemment que je ne les ai pas tous achetés.
On va commencer avec Gazoline. Tout d’abord, un mot sur le magazine. Mon père en est un fidèle lecteur et voilà donc comment je suis tombé là dedans. Je me souviens en train de fantasmer avec mon frère sur ce qu’on pourrait acheter comme voiture dans les petites annonces (un jeu que je continue à faire). Si on s’était écouté, on serait à la rue mais on aurait des centaines de Porsche 356, de 911, une Ford Gran Torino, plusieurs R8 Gordini, des Alpine, une Peugeot 203, une Renault Dauphine, des Triumph, des Alfa, des Mustang probablement… Enfin, des voitures qui auront bercé notre enfance ou qui nous auront fait rêver dans des séries ou au cinéma, ou parce qu’elles sont magnifiques. Bref, Gazoline n’a pas à proprement dit d’édito mais c’est en quelque sorte François Roussel qui s’en charge avec son dessin du mois. ( http://gazoline.net/rubrique9.php ) Le dessinateur réalise un dessin tous les mois d’une voiture essayée dans le mag’. Ce mois-ci, on a le droit à une Renault 4 La Parisienne. Gazoline donne une place très importante à ses lecteurs et réserve ainsi 6 pages pour les laisser s’exprimer. J’aimerais m’arrêter quelques secondes sur un courrier tout droit venu de Suède. Un certain Eric Gérard écrit au magazine pour témoigner de son récent achat d’une sublime Toyota Corolla KE20 jaune. Je suis extrêmement content pour lui. Finalement, en relisant un peu de traviole les différents articles qui composent le numéro de février, ben je n’ai rien trouvé de bien croustillant. C’est bien écrit, c’est long, on apprend des choses, notamment sur les voitures italiennes, l’histoire est un élément très présent dans Gazoline, mais finalement, ça reste plat, lisse, et un peu trop banal pour moi. C’est un bon magazine malgré tout. Il dispose d’une partie technique, des petites annonces, d’un article sur l’histoire automobile toujours intéressant et s’intéresse à ce qui entoure l’automobile. Par exemple, le mag’ fait souvent le tour des musées, dans le monde, met l’accent sur des clubs d’amateurs de belles autos… Le dessinateur Jean-Luc Delvaux place une page de la BD Gazafond inspirée du magazine à la fin de chaque numéro. ( http://jean-lucdelvaux.blogspot.fr/ ) C’est le seul magazine à proposer ça sur le secteur automobile. Et c’est super cool. En plus de soutenir des dessinateurs, ça propose un contenu différent. Gazoline possède en outre le meilleur rapport prix/quantité. Quelques 148 pages pour 4,20€ (précédemment 3,90€).
Ce mois-ci, j’avais aussi Youngtimers. J’achète ce magazine depuis novembre 2016. Je suis tombé sous le charme en achetant le numéro de septembre pour l’article sur la Mazda 616. Je suis passé à coté du numéro suivant mais quand je suis tombé sur la couverture de celui de novembre, j’ai craqué. Une FSO Polonez ! On en parle jamais et eux, si. C’est dingue et rien que pour ça, le magazine méritait mon achat. Et je n’ai pas été déçu. L’écriture y est vraiment charismatique et les voitures traitées, bien qu’elles ne me plaisent pas tout le temps, sont généralement exclues de la presse spécialisée. Normal, les magazines de voitures anciennes se concentrent sur les années 50, 60 et 70. Pour février, l’équipe a concocté une petite sélection tout à fait appréciable. On y retrouve en gros sur la couverture une BMW série 6. Dans ce numéro, la rédaction évoque la possibilité de publier des dessins de James Morice, un dessinateur, aussi. Décidément ! (Il n’a pas de site.) J’ai déjà eu l’occasion au cours du mois de parler du magazine et, concrètement, tout est bon à l’intérieur. Je me répète mais le ton est vraiment unique et lui donne une identité. Si bien que je l’achèterais qu’importe les voitures présentées.
Février fut aussi le mois où je me suis réconcilié avec KM/H. Je me suis jamais vraiment fâché avec mais le prix et les voitures faisant la couverture me rebutaient. 5,80€ pour 92 pages. C’est beaucoup, surtout quand on en apprend un peu plus sur le journal. Mais moi, je vais essayer de passer outre tout ça. Je n’ai pas rencontré les rédacteurs et je ne peux donc pas assurer ce que j’ai lu (donc je n’en ferais pas part ici). Le magazine fait son petit bonhomme de chemin depuis son lancement en 2009 et malgré de nombreuses fautes d’orthographe, le ton est vraiment appréciable. On sent quelque chose de familial. Même si parfois, les explications sont un peu confuses. Mais ce mois-ci, j’ai pu m’attarder sur quelques articles intéressants. Celui sur la BMW 2002 par exemple, il est vraiment bon, claire et même s’il est assez « étrange » à mon gout (les photos viennent de chez BMW lui-même). Mais ne soyons pas mauvaise langue, l’écriture y est libre et ça se voit. Je me souviens l’avoir lu au lycée celui-là, subissant les regards médusés de mes amis qui ne m’avaient jamais vu aussi impliqué dans une lecture quelle qu’elle soit. J’ai enchainé avec l’article sur l’Audi Quattro. Je ne suis pourtant pas fasciné par l’automobile allemande mais quand on me propose deux maitresses comme celles-ci, je suis obligé de m’intéresser. Et là encore, l’article n’était pas mauvais. Le comparo à la fin, « opposant » la Simca 1000 Rallye 2 et les Peugeot 205 Rallye et 106 Rallye. L’écriture est assez moyenne et même dans les photos, aussi agréable soient-elles, on remarque l’utilisation de projecteurs. Ils ne sont pas visibles mais leur éclairage oui. C’est dommage parce que l’article aurait vraiment pu être intéressant. Par contre, il est juste de noter que la mise en page est rafraichissante. Le magazine possède son identité visuelle.
Il y a de ça un peu plus d’une semaine, je m’attardais sur l’article de Jérôme Fombelle d’Auto Plus Classiques dédié à la R5 Turbo. J’ai pu me familiariser avec ce magazine durant ce mois et j’en ai dégagé quelques articles. Celui de la R5 bien sur, mais également celui sur la Ford Fieste XR2. Cette bombinette est testée ici sur un circuit de karting par Pierre-Louis Champeaux. L’article est plaisant et en même temps assez classique. Ecris à la première personne, on peut s’imaginer un ami nous racontant ses anecdotes avec la Ford. Je n’aurais pas d’autres choses à retenir pour l’heure. Je réserve ça pour le mois prochain.
Classic & Sports Car, le magazine franco-anglais qui se contente de traductions propose tout de même des articles conséquents. J’exagère un peu, il y a bien une équipe en France outre les traducteurs, Serge Cordey rédige tous les mois un édito et s’occupe de l’actualité des ventes aux enchères et de courses historiques. Pour le deuxième mois de 2017, le magazine nous offre un bon article sur les VW-Porsche 914 et 914/6. Là aussi, l’histoire prend une place importante dans le récit. Et ce n’est pas plus mal. Les voitures évoquées sont souvent chères, peu communes, anglaises, et présentent toutes uns caractéristique commune, c’est que je ne connais rien d’elles. On peut également noter la présence d’un bon article sur la Lotus 47 incroyablement basse et légère. J’ai été un chouia déçu par les pages destinées à la Daimler SP 250. La voiture avait attisé ma curiosité lors de recherches pour des dessins. Mais je ne m’y étais pas vraiment attardé. Là, j’ai appris ce que je voulais, mais le style était quelque peu décevant. Mais bon, ça arrive, en plus avec une traduction entre la version de base et le produit français, on imagine aisément comment ça peut perdre en saveur. C’est du réchauffé finalement. Mais ça reste consistant. Je me suis bien plus à lire le comparatif opposant les modèles de série du championnat de Tourisme 1994. Je ne sais pas si vous le savez mais je suis un fan des tout premier TOCA (Codemasters) sur PS1, donc forcément, ça me rappelle des souvenirs !
Voilà, c’est tout pour ce mois-ci. Je n’évoquerais pas les autres magazines que je n’ai pas achetés. Je vous préviens alors que Youngtimers sera toujours présent, il y a de fortes chances pour que KM/H le rejoigne, Classic & Sports Car fera partie de l’aventure. Quant à Auto Plus Classiques, je l’intègrerais rien que par sympathie pour l’équipe qui m’a vraiment reçu à bras ouvert lors de l’édition 2017 de Rétromobile. J’ai même pu donner ma R5 Turbo à Pierre-Louis Champeaux en personne. Oui, c’est Jérôme Fombelle qui a fait l’article mais, il n’était pas là quand moi j’y étais donc je n’ai pas pu le voir. Il est aussi probable que j’incorpore à ces reviews d’autres magazines. D’ailleurs, pour mars, je prévois quelques surprises.
Pelo
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Porsche, pour se faire plaisir
J'ai Pensé à Une Porsche Individuelle
J'étais un fan de Porsche depuis ma première observation d'une 356A de couleur rougeâtre en 1959, car je suis retourné à mon établissement en vélo depuis l'église, à Napier. Même maintenant, comme vous pensez revenir à la fin des années 1950, les Porsche étaient toujours aussi faciles et trapues par rapport à toutes les autres voitures - également plus rapides et beaucoup plus chères! Étudier en ce qui concerne la marque dans les magazines automobiles, et comment le titre Porsche a été placé dans les meilleurs classements en course ou en rallye avec seulement la moitié de la puissance et de l'échelle des autres véhicules, n'a jamais cessé de m'étonner. J'ai pensé à une Porsche individuelle. Au cours des années suivantes, je posséderais personnellement un certain nombre de voitures, à commencer par l'Austin A40 où j'ai appris à obtenir. Le tracé mécanisé de la VW Beetle me plaisait - un peu comme une Porsche - mais sans énergie ni finesse. Ensuite, il y a une Renault Ondine, la version de démonstration de votre Dauphine, que nous avons ensuite peaufinée avec des éléments Gordini. La Renault était en fait un peu capricieuse après avoir dit que j'avais réussi à gagner une montée. Ensuite, j'ai acheté un Sunbeam Alpine qui a été transformé en performance grâce à Alexander Engineering du Buckinghamshire, au Royaume-Uni. Le premier propriétaire de l'Alpine avait été l'aide de camp de Lord Cobham, notre neuvième gouverneur de base. Le Sunbeam était livré avec un pliage doux mieux ainsi qu'un toit rigide, et fuyait également mal dans la tache supérieure du pare-brise à côté de la coupe d'entrée. Une seule soirée alors que je conduisais un véhicule sous une pluie battante, j'ai découvert mes bonnes bottes à la dérive sur le sol de l'Alpine pendant que je négociais une pièce. Je m'ai dit personnellement: «C'est tout! Je vais chercher une Porsche! » Au fil des ans, j'ai eu besoin de connaître les dépenses Hanna et John Liley de Havelock To the North Engines - ils ont utilisé pour faire la course et installer des Minis. John a mentionné qu'il allait Auckland et trouverait une Porsche à mon avis. Je lui ai donné 2000 £, beaucoup d'argent en 1965, les plus belles voitures alors que d'autres voitures sélectionnaient en fait 1200 £. J'avais besoin de décider que je voudrais juste un 356B en argent sterling ou blanc avec deux grilles autour de la trappe du moteur. Après avoir regardé autour d'Auckland, John a sonné pour me dire qu'il y avait en fait trois Porsche disponibles à la vente - une excellente 75 plus une 356A 1600 tandis que Jensen Motors a fourni un coupé 1962 356B T2 de couleur blanche en blanc brillant avec un intérieur rougeâtre, coté 2100 £. "Enfer!" J'ai partagé avec John: "Oui, à condition que ce soit vraiment de la menthe." John a géré la vente avec Jensen Engines et a livré la Porsche à Havelock Northern un vendredi. J'ai nettoyé mon rayon de soleil et l'ai conduit à Havelock North Motors le jour suivant. En arrivant, je suis rapidement tombé obsédé par la 356, même si elle était en train de se laver et je pouvais voir la conclusion arrière avec sa double calandre me cherchant depuis l'intérieur du garage. J'avais hâte de voyager, et chaque fois que je l'ai fait, je me suis retrouvé tout au long de l'autoroute principalement parce que cela faisait l'expérience de la direction vraiment directe, mais j'ai rapidement catégorisé cela. J'ai aimé la boîte de vitesses et les rapports étaient excellents. Il semblait y avoir des marchandages en ce qui concerne la valeur de l'industrie du Sunbeam, mais finalement je suis tombé sur moi personnellement en train de me rendre à la Porsche. C'était le 1er novembre 1965, le compteur kilométrique de la voiture avait parcouru 14 951 ml (24 061 km), et moi aussi j'avais 22 ans. Plusieurs années plus tard, l'un des nombreux vendeurs de Havelock North Motors m'a expliqué que ma mère l'avait appelé, inquiète de savoir comment la Porsche pouvait être également efficace à mon avis juste après le Sunbeam.
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Lundi 27 avril 2020
Jour de Joie mes amis, Jour de Joie !
La livraison de Dom Pérignon est arrivée ce matin, alors que nous avions passé commande le 20 avril. Nous avons failli attendre.
Il nous fallait au moins ça pour fêter l’accord de principe que nous avons reçu des investisseurs de Victor pour lancer notre entreprise de confection de masques de luxe. C’est finalement au Myanmar que seront produites nos créations originales.
Ah, le Myanmar. J’ignore pour quelle raison tout semble toujours me rappeler à ce pays. Le mystère qui le caractérise m’a toujours fascinée, et j’éprouve une admiration sans bornes à l’égard de leur femme leader au nom étrange. Et pas plus tard que l’hiver dernier, alors que j’ai franchi la porte d’un magasin Mango – une marque de vêtements pour roturiers où j’aime aller m’encanailler de temps à autre afin de dénicher une perle à trois francs six sous – mon regard de braise a été happé par un manteau blanc cassé de belle facture, réalisé dans de beaux tissus très doux, une doudoune très élégante (et pourtant imperméable) avec un rembourrage qui n’avait rien de vegan, le tout à un tarif défiant toute concurrence !
Comment était-ce possible d’afficher des prix à ce point compétitifs sur une si belle pièce ? Telle Laurent Delahousse, j’ai fait mon travail de journaliste et j’ai mené l’enquête. La raison de ce rapport qualité-prix imbattable se cachait sur l’étiquette du vêtement et tenait en trois mots : “Fabriqué au Myanmar”.
Tout s’expliquait. Et encore une fois, un lien invisible s’était tissé entre moi et ce pays, ce territoire dont les habitants, simples et courageux, connaissent encore le sens du mot travail, le sens du mot perfectionnisme, le sens du mot artisanat. J’ai évidemment acheté ce manteau, mais je n’ai pas encore eu l’occasion de le porter – j’en ai tellement. L’hiver prochain, je serai heureuse de le retrouver, et de m’envelopper dans sa chaleur birmane.
Ces jours-ci, entre les rayons de soleil dont nous gratifie le soleil du Pays d’Auge, les câlins de mes enfants, et ceux de mon mari, je ne manque point de chaleur. Nos aventures de ces dernières semaines nous ont rapprochés, Victor et moi. Non pas qu’il y ait eu le moindre conflit entre nous, mais ma mise en quarantaine et le stress lié à ses investissements mis en péril par la crise nous avait empêché de passer du temps ensemble, ce quality time précieux qui, seul, permet aux couples de tenir.
Le nombre de divorces actuel me démoralise. Combien d’enfants traumatisés à vie, bringuebalés de maison en maison comme de vulgaires réfugiés, réfugiés de cette troisième guerre mondiale dont parlent si justement les américains. Combien. Alors que quelques moments privilégiés passés à deux font tant de différence. Des choses simples. On laisse les enfants à la jeune fille au pair et on va se promener ensemble, seuls à deux sur une plage déserte. On s’offre un dîner aux chandelles chez Anne-Sophie Pic, ou, lorsqu’on n’a pas les moyens, sur la terrasse du Raphaël, ouverte tout l’été.
On inverse les rôles pour rire un peu, parfois. L’autre jour, c’est moi qui ai pris quelques photos de Victor, avec son Leica. Et nous avons tous deux été époustouflés du résultat.
– J’ignorais tes talents de photographe, s’est exclamé Victor, amoureusement.
– Moi aussi, ai-je répondu.
Mais je n’étais pas surprise. Quand on a l’œil sûr, on sait cadrer. On sait jouer avec la lumière, avec les contours, les couleurs et les matières. On sait ce qui est beau.
Il y a tellement de manières d’entrer en communion avec son âme sœur. Tellement d’astuces à mettre en place au quotidien. Lire ensemble. Ou au contraire savoir mettre un peu d’espace entre soi et l’autre. Je ne comprends vraiment pas les couples qui s’installent ensemble dans un petit réduit. Les premiers temps, c’est l’idylle et tout paraît rose, mais au quotidien, passées les trois premières années d’existence du couple – le temps que “dure l’amour”, selon la théorie du grand philosophe Frédéric Beigbeder – c’est un attentat contre le couple. Il faut prendre plus grand ! Ou alors continuer de vivre chacun chez soi. Acheter deux appartements qui donnent sur le même palier, par exemple. Ou deux appartements dans le même quartier.
La solution, en revanche, ce n’est pas de s’affaler le soir devant la télévision. La solution, ce n’est pas de regarder “ensemble” des émissions idiotes ou des feuilletons télé, tout en mangeant à la va-vite des aliments qui n’en ont que le nom. La solution, c’est de savoir déléguer – laisser faire le petit personnel, ou les parents, ou les beaux-parents. Confier ses enfants à ses voisins ou à sa famille.
La solution, aussi et surtout, c’est le lâcher-prise. Il m’est arrivé, parfois, de trouver pénible que Victor ne mette jamais son linge dans le bac à linge sale. Un jour j’ai lâché prise. J’ai tout bonnement cessé de le ramasser. À mesure que son linge sale s’amoncelait sur le sol de notre chambre, je me sentais gagnée par une certaine quiétude. J’étais apaisée par la certitude que jamais plus je ne toucherais son linge sale. Au bout d’une semaine, j’ai commencé à me comporter comme lui. Je me suis octroyé ce privilège. Quelle libération ! La solution allait se mettre en place d’elle-même, je le savais. C’est alors que Marisol, notre jeune fille au pair de l’époque – une femme d’une rare qualité – a franchi le pas de s’en occuper. Pleine de pudeur, elle m’avait demandé si nous souhaitions qu’elle s’occupe aussi de ramasser le linge plutôt que de le prendre directement dans le panier pour faire les lessives. J’avais bien évidemment dit oui, et je l’avais remerciée de son initiative.
Et voilà. Parfois – souvent – la solution est juste là, sous nos yeux, et tout ce qui nous empêche de la voir c’est notre manque d’imagination. Heureusement, l’univers est là pour nous montrer la voie. Mais pour accepter d’entendre son message, il faut nécessairement passer par le lâcher-prise.
Le lâcher-prise.
Pas plus tard que tout à l’heure, après le déjeuner, j’ai envoyé Dolores s’occuper de la moquette de la dépendance. Lorsque j’avais conçu l’aménagement de l’intérieur, j’avais refusé mordicus de me laisser influencer par l’environnement de cette maisonnette. J’ai fait fi des conventions, ces parasites qui empêchent le génie créateur de se déployer. Face au grand manoir austère, il fallait absolument un intérieur dénudé et plein de clarté. D’où les grandes baies vitrées et la moquette blanche – et tant pis pour la terre qui s’invite parfois sous les chaussures des visiteurs. Une moquette, ça se lave. Donc Dolores était partie donner un coup de jeune à la moquette de la dépendance, et il y avait un peu de vaisselle à faire.
Édouard était en plein cours de mandarin sur Skype, Henri jouait aux Lego, alors j’ai proposé à Victor, d’un air mutin, que nous fassions ensemble la petite vaisselle du déjeuner.
– Pourquoi tu veux qu’on fasse ça ? Laisse, Dolores le fera.
– Pour jouer, lui ai-je dit d’un air suggestif.
Il m’a regardé en souriant, a posé son Figaro et s’est levé de son fauteuil Louis XV. Il est allé chercher le tablier de Dolores dans le placard à balais, et m’a délicatement retournée contre l’évier pour me le passer autour du cou, soulevant mon épaisse chevelure blonde en me soufflant sur la nuque. Puis il a noué le tablier derrière mon dos, en serrant d’un petit cou sec qui a fait s’échapper de ma gorge un tout petit cri, comme un moineau surpris.
J’ai commencé à frotter le plat dans lequel les souris d’agneau de ce midi avaient doré quelques instants plus tôt, laissant un voile satiné sur toutes les parois. Victor s’est collé tout contre moi, posant son menton sur mon épaule, et m’a saisi les deux poignets, rendant chacun de mes gestes un peu plus difficiles. Ma manucure de samedi soir s’écaillait tranquillement, et mes doigts si fins et trop délicats pour cette besogne commençaient à se friper très légèrement. Il m’a soulevé la main gauche pour la voir de plus près, et j’ai senti dans son corps tout entier qu’il s’amusait follement, à me voir ainsi me laisser dégrader quelque peu.
Soudain, lâchant mon poignet droit, il a pressé sa puissante main contre l’embout du robinet, éclaboussant toute la cuisine et moi avec.
C’est dans ces moments-là que l’on décide si le couple tiendra ou pas. Faut-il se fâcher à cause du ménage qu’il faudra faire ensuite et des basses considérations matérielles, ou faut-il se prêter au jeu et cueillir l’instant présent ?
Nous avons choisi la vie.
J’ai éclaté de rire, et je me suis retournée vers lui pour l’éclabousser à mon tour, et bientôt, la cuisine s’était transformée en une véritable pataugeoire. Henri a voulu venir voir ce qu’il se passait mais Victor l’a immédiatement renvoyé dans ses pénates afin que nous puissions conserver notre tranquillité, et finalement, nous sommes sortis en courant dans le jardin, laissant dans toute la maison une traînée d’eau derrière nous, riant à gorge déployée. Alors j’ai ôté mon tablier, pour découvrir que mon chemisier blanc était trempé lui aussi. Il s’est mis à pleuvoir. Tendrement, Victor m’a pris le tablier des mains, l’a envoyé d’un revers démiurgique à plusieurs mètres de là, et m’a allongée dans l’herbe menue. Je frissonnais un peu. Il est allé chercher quelque chose dans le Porsche Cayenne avant de revenir jusqu’à moi. Il s’est allongé à son tour, son corps contre le mien, et m’a invitée à basculer sur le côté afin que, de nouveau, je lui tourne le dos.
J’ai senti son bras puissant me serrer tout contre lui.
J’ai senti les muscles de son torse caresser mon dos.
J’ai attendu, alerte au moindre sursaut de ses nerfs, au moindre battement de son cœur. L’excitation montait.
Et soudain, a surgi au-dessus de moi, érigée, la perche à selfie. Cet après-midi, Victor a réalisé les plus beaux portraits de nous deux ensemble. L’iPhone tirait en rafales. Avec flash. Sans flash. Avec filtre. Sans filtre. En gros plan détaillant une par une mes taches de rousseur. En flou artistique. Nous respirions à l’unisson, comme on danse une valse endiablée. Et nos regards chargés de désir se perdaient sur l’écran lisse et luisant aux contours fuselés.
En rentrant du jardin, nous étions comme deux adolescents qui étaient allés batifoler à la barbe de leurs parents.
Dolores était revenue de la dépendance et épongeait mollement l’eau que nous avions éparpillée sur notre chemin, comme de facétieux petits Poucet amoureux.
Je suis allée changer mes vêtements mouillés, et puis m’attabler à mon bureau pour écrire ce billet. Ce soir nous fêtons la naissance de notre dernier-né – ce business de masques que nous avons monté en si peu de temps, à la seule force de notre esprit. Pour l’occasion, nous avons invité mon père à venir prendre l’apéritif. J’aimerais que le pays tout entier fasse tinter sa flûte à champagne contre la mienne, ce soir. À la gloire des gens d’en haut, qui font tellement pour l’économie !
Soyons heureux, mes amis. Car alors que je vois poindre une éclaircie à l’horizon de ma fenêtre, et la perspective d’ouvrir ma première bouteille de Dom Pérignon de ce confinement à l’horizon de mon lobe frontal, je me rends compte que selon toute vraisemblance, rien ne pourrait venir entacher la perfection de cette journée bénie des dieux.
Jour de Joie, mes amis.
Jour de Joie.
—Ludivine de Saint Léger
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