#- Elle a l'air de vous plaire cette voiture
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Au salon de l'auto, un badaud regarde une belle voiture. Un vendeur l'aborde : - Elle a l'air de vous plaire cette voiture, monsieur! - Oui, c'est vrai, elle me plait beaucoup. Mais elle n'est pas pour mon budget, loin s'en faut! - Sachez, monsieur, que nous avons toujours des solutions de financement pour les personnes sympathiques comme vous. - Peut-être, mais je connais ma femme, elle ne voudra jamais. - Ecoutez, monsieur, dites à votre femme que pour les échéances, il n'y a pas de problème. Mais dites-lui surtout qu'avec ce modèle, en partant de Paris à 22 heures, vous arrivez à Marseille à 2 heures du matin! Le lendemain, l'homme revient au stand. - Alors, monsieur, vous avez parlé du financement à votre femme ? - Oui, mais elle m'a répondu qu'elle n'avait pas confiance. - Lui avez-vous dit qu'en 4 heures, vous êtes à Marseille ? - Oui, elle m'a répondu " qu'est-ce que tu veux qu'on aille foutre à Marseille à 2 heures du matin.
#Au salon de l'auto#- Elle a l'air de vous plaire cette voiture#monsieur!#- Oui#c'est vrai#loin s'en faut!#- Sachez#monsieur#- Peut-être#mais je connais ma femme#elle ne voudra jamais.#- Ecoutez#dites à votre femme que pour les échéances#en partant de Paris à 22 heures#vous arrivez à Marseille à 2 heures du matin!#Le lendemain#l'homme revient au stand.#- Alors#vous avez parlé du financement à votre femme ?#mais elle m'a répondu qu'elle n'avait pas confiance.#- Lui avez-vous dit qu'en 4 heures#vous êtes à Marseille ?
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FR Une nuée de corbeaux P1
Behind the curtain (english): Hi dears! Just posting the first part in french, currently translating it in english as well. Will post as soon as done.
Derrière le rideau (français): Hey! Eum, pour ceux qui sont tombés là dessus par hasard, il s’agit d’histoires TERRIBLEMENT trashs concernant des bittybones. Siouplait, lisez en connaissance de cause. Il y aura de la mutilation et toutes sortes de violences.
...
<< S'il te plait, ne m'abandonne pas ! Je serais un bon bitty ! Meilleur ! >> Il tambourine, frappe le sol des pieds dans son caprice. Son propriétaire hausse un sourcil, ses iris vaquent, il semble douter... Mais non. La créature de compagnie avait été une tumeur dès le premier jour. Aux gémissements incessants s'étaient immiscés des ordres détournés, des réflexions et des remarques... Des critiques. Sur son mode de vie, sa façon de s'habiller, l'heure à laquelle il se réveillait le week-end ! Il avait récupéré ce baby blue par bonté d'âme, car une de ses amies déménageait dans un appartement où ils n'étaient pas autorisés. Mais maintenant ? Cette bonne action avait été noyée par des mois de ressenti face à la chose haute comme deux myrtilles, mais irritante au possible. Déposant un prospectus devant le bitty, le baby blue entendit clairement énoncer. << Je t'emmène là, ils sauront s'occuper de toi correctement. >> Blue a été forcé de reculer par le vent qu'a fait le papier en se déposant à ses pieds. Il se penche, tente de lire. << Élevage des Beaux Cieux ? >> Balbutie Blue, relevant un regard incrédule vers son humain. << Tu finiras tes jours comme étalon. >> Son propriétaire ricane. << Je t'envierai presque. >> ... Le silence n'est pas au rendez-vous dans le trajet. Les supplications deviennent lancinantes, Blue hurle désormais pour se faire entendre, souillant la cage à hamster dans laquelle il est trimballé par des larmes et autres fluides colorés. << HUMAIN NE FAIT PAS CA !! >> Qu'il gueule. << C'EST LA PIRE DÉCISION DE TA VIE !! >> L'humain en question augmente le son de la radio mais les piaillements ne se stoppent pas pour autant. La suite de la tirade est du même acabis... 'Pas que tu ai l'habitude de prendre des bonnes décisions / tu vas me regretter / je suis ton bitty et je t'aime / ramène-moi à la maison, je sais que tu m'aimes aussi !'. Lorsque Blue fini par comprendre qu'il n'aura pas de réponses, ses mots fusent en un gémissement aigu. Les pleurs continuent jusqu'à ce que la voiture s'arrête devant une adorable petite ferme, tout ce qu'il y a de plus pittoresque. A vingt minutes de la ville, l'air y est pur. Des chats semi-sauvages trainent dans la cour, ils se frottent aux jambes de l'humain alors que celui-ci claque la porte de sa voiture. Cette dernière avait été neuve, il fût un temps, avant que cet idiot de Blue ne se mette en tête qu'une couleur cyan conviendrait mieux à un véhicule digne de sa 'magnificence'... Et ne tente de la repeindre au crayon de couleur. Les fissures horribles sur la carrosserie auraient achevé de convaincre l'humain que son choix était le bon, s'il en avait douté le moins du monde. << Bienvenue ! >> Une jeune fille, la quatorzaine, peut-être, accourt. Ses joues replètes et ses yeux vifs génèrent un sourire à l'humain. << Merci. Tes parents sont là ? >> Qu'il demande, ceci à peine audible sous les pleurs du bitty qui ont repris de plus belle. La fillette hausse les épaules. << Ils sont occupés. Mais ils m'ont dit de réceptionner le bitty. Vous êtes la personne qu'on a eu au téléphone ? >> L'humain met un court moment avant de reprendre ses marques. << Euh. Oui. Voici Blue. Tiens... >> Il lui passe la cage et la fillette la réceptionne avec une attention toute particulière. L'humain s'en va, loupant de peu la lueur de malice fusant dans les yeux de la demoiselle. << Alors, Blue, on est un peu grognon ? >> Lâche-t-elle, gagnant un cessé le feu dans les lourds sanglots. Blue relève ses immenses orbites détrempés vers la gamine. << Moi, c'est Jessica, et tu verras, tu vas beaucoup te plaire, ici ! >> Ignorant les chats qui grouillaient à ses pieds, intéressés par le petit rongeur, elle se dirigea vers une petite grange à l'écart. Blue s'approcha maladroitement de la cage, les mimines enserrant les barreaux. << Tu es ma nouvelle maman ? >> Qu'il demande d'une voix tremblante, des étoiles se formant automatiquement dans ses iris. Jessica rigole doucement. << N'importe quoi. >> Qu'elle souffle, ignorant le visage ahuri du bitty se décomposant d'une tel réponse. Posant la cage à terre, le temps de pousser à deux mains une porte bien trop lourde, Blue voit s'agglutiner autour de lui les félins, piaillant de faim comme s'il était une boite de thon. << Euh... Jessica ? >> Couine le bitty, effrayé. Mais personne ne lui répond sinon le lourd grincement de l'immense porte de bois. Enfin, la porte a cédé et donne sur un dépotoir plongé dans les ténèbres. Blue n'a pas le temps de s'y préparer que sa cage est à nouveau en train de dodeliner au bout du bras de la jeune fille. Elle la pose dans un 'CLANK' bien audible sur quelque chose en ferrailles - une autre cage ? Et se frotte les mains. << Tu seras bien là, le temps qu'on t'opère. >> Blue se glace à ces paroles. Opère ? Mais n'était-ce pas... Pourquoi aurait-il besoin d'être opéré ? << Je suis pas malade ! >> Se défend le bitty. << Opérer, c'est pour les gens qui sont très très malades ! >> Il couine mais ne parvient qu'à amuser la demoiselle. Elle ne prend pas la peine de répondre et s'en va, peinant tout autant à refermer la porte. Juste avant que la lumière extérieure ne se réduise en un filet pour disparaitre, Blue a le temps d'apercevoir un des félins se faufiler dans la grange. << Hé ! >> Puis le silence. Enfin, c'est ce qu'il croyait. Mais alors que ses tympans s'habituent au manque de stimulis auditifs, il fini par entendre des sons bien plus diffus. Le bruit d'une- non, de centaines de respirations, rauques, affolées, brisées. Des ricanements et des sanglots mêlés et- oh, le miaulement diaboliquement aigu du félin, rôdant à travers les allées... Les allées... Ses orbites s'accoutument à l'obscurité. Il y a des rangées et des rangées... Serait-ce des cages ? Blue laisse échapper un souffle choqué. << IL Y A QUELQU'UN, ICI ?! >> Scande le baby blue. Il s'étonne ne ne pas avoir de réponses et insiste. << S'il vous plait !! >> Le dernier mot, une supplication faible. << Ta gueule. >> Les orbites du bleu se dilatent. << SURVEILLE TON LANGAGE !! >> Qu'il crache, par réflexe de cette époque où il était au centre d'adoption. Une cage en dessous, les pupilles rouges de ce qui semble être un edgy deviennent perçantes. Il fixe un temps l'ennemi potentiel, avant de reconnaitre à qui ce dernier avait à faire. << Un baby blue. Tch. Comme si j'avais besoin de ça. >> La voix sonne claire. L'edgy a plusieurs mois de moins que le baby blue. << UN CADET ! TANT MIEUX, MON MAGNIFIQUE EXEMPLE SAURA- >> << Je crois pas que c'est le moment. >> Des iris blancs luisant dans la cage d'en face répondent calmement. Blue hésite un instant. Un... Sansy ? << Fait juste ce qu'il te dit, on a pas vraiment le coeur à papoter. >> << N'importe quoi ! >> Se complaint le petit Blue. << Je viens d'arriver et j'ai besoin de renseignements ! >> Inutile de dire que la petite créature est amplement courroucée. << A quelle heure prend-t-on le goûter, ici ? >> Il y a un silence, puis le rire frénétique de l'edgy. Blue fronce les sourcils. Il... Avait loupé le goûter ? C'était si méchant de se moquer...! << Bien, et qu'est-ce qu'on fait ici ? >> Qu'il reprend, un peu moins courageux. << Oh, c'est pour une surprise d'anniversaire, c'est ça ? >> Son ton excité glisse soudain vers une réalisation. << On est les cadeaux, c'est ça ? >> A qui allaient-ils être offerts ? A un enfant qui jouerait avec eux toute la journée ? A une humaine douce qui adorerait les câlins ? Ou même à un monstre, Blue n'était pas difficile ! Tant que l'humain était d'accord pour le laisser dormir dans le lit... << Putain... >> Pouffe le rouge. << Je lui dit ? >> << Non ! >> Hurle Sansy, paniqué. << Laisse-le dans son monde. Pour l'instant... >> Mieux valait continuer de garder les oeillières. Il sera toujours temps de se ronger les os... Mais l'edgy ne semble rien entendre de la réponse. D'un sourire cruel, il fini par lâcher. << Eh, le crétin... Regarde au dessus de ta tête ! >> << UH ?? >> Blue lève la tête sans réfléchir, apercevant soudainement une lueur argentée, quelque chose suspendu au plafond. << C'est la 'chaine d'opération'. >> Continue l'edgy, un ton sadique tintant sa voix. << Le truc qui brille, c'est un crochet de boucher~ >> Il minaude, extatique, malgré les cris plaintifs du sansy qui tente de le faire taire. Les os de Blue palissent alors qu'il enregistre l'information. << Ha... Haha ? >> Qu'il rétorque. << TU M'AS BIEN EU, EDGY, MAIS JE NE ME SUIS PAS LAISSE AVOIR ! IL Y A DES LIMITES AUX BLAGUES DE MAUVAIS GOÛT ! >>
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Ce peut être la seule voiture amphibie convertie en camion de livraison dans l'histoire de l'humanité
Jason Torchinsky Hier 13 h 30 • p Torchlopnik 3.3K 22 Enregistrer Il y a quelques jours, nos amis du groupe Facebook Car Design Archives ont publié une photo fascinante et mystérieuse d'un petit camion étrange et nous ont étiquetés spécifiquement. Ils avaient raison de le faire, car cette image est fascinante, surtout lorsque vous ne connaissez qu'une information à ce sujet: ce camion a commencé sa vie en tant que Volkswagen Schwimmwagen amphibie de la Seconde Guerre mondiale. S'il n'était pas rare que des véhicules dérivés de Volkswagen comme Kubelwagens en temps de guerre soient réutilisés pour un usage civil après la guerre, il était extrêmement rare que les versions amphibies, les Schwimmwagens, soient utilisées de cette façon. En fait, je ne suis pas sûr de l'avoir déjà vu auparavant. La raison, je pense, a à voir avec la construction de la voiture. Lorsqu'un Kubel avait un corps simple et militariste simplement boulonné sur un châssis VW Beetle par ailleurs assez standard, ce qui signifiait qu'il pouvait être facilement retiré et remplacé par quelque chose de plus adapté à un usage personnel ou commercial, les Schwimmwagens ont été construits, comme vous pouvez le deviner, plus comme un bateau. Bien sûr, la transmission était normale, facile à réparer et à entretenir avec des éléments VW refroidis par air, cette carrosserie semblable à un bateau était un gros morceau d'acier, et en tant que tel, il serait extrêmement difficile de s'adapter à autre chose. Et pourtant, voici celui qui semble avoir été. Voici ce qu’Olivier de Car Design Archives a dit à ce sujet: Voici une bizarrerie que j'ai trouvée au hasard dans les archives du livre d'images fédéral allemand, qui devrait plaire à nos amis de Jalopnik! Cette VW Schwimmwagen a été trouvée en 1945 en Saxe orientale (dans le futur sud de la RDA) puis modifiée comme camion à farine pour le moulin Koban à Neschwitz-Weidlitz. Il est resté en service jusqu'en 1961. Maintenant, au début, cette chose ne ressemble en rien à une Schwimmwagen, mais en y regardant de plus près, je peux la voir. Il semble qu'une personne assez qualifiée ait coupé la majeure partie de la coque supérieure du Schwimmwagen, laissant de la place pour les portes et construisant un capot, un toit et une surface de chargement entiers, ajoutant des portes suicides et des ailes très rectangulaires, qui provenaient probablement d'un autre voiture. J'ai fait une meilleure estimation de la façon dont cela a été construit dans ce petit diagramme là-haut - je soupçonne que la boîte de chargement était assise sur une coque arrière abaissée, avec le moteur sous la boîte de chargement, et tirant l'air d'une sorte d'évents sur le côté que nous ne pouvons pas voir ici à cause de la porte ouverte. On dirait que la "calandre" à l'avant n'est qu'une sorte de matériau côtelé, et peut-être que le capot s'ouvre pour révéler un coffre avant? Je ne sais pas exactement de quoi étaient faits les ajouts au corps - il pouvait s'agir de tôle mince, bien qu'elle ressemble en quelque sorte à la technique Weymann, qui était courante à cette époque, et utilisait une sorte de tissu en cuir artificiel tendu sur du métal ou charpente en bois. La qualité mate de pièces comme la hotte et l'aspect presque «rembourré» des panneaux, avec ce qui semble être de la tuyauterie, me fait penser que c'est peut-être au moins une partie de Weymann en construction. Je soupçonne qu’aucune tentative n’a été faite pour garder la voiture en état de navigabilité, car, en tant que camion à farine, elle n’avait probablement pas beaucoup besoin de traverser à gué les rivières ou de démolir les estuaires ou quelque chose du genre. Le Schwimmwagen était le véhicule amphibie le plus produit en série de tous les temps, avec plus de 15 000 exemplaires fabriqués. Cependant, la guerre a fait des ravages sur eux, et seuls 189 sont connus pour avoir survécu à la guerre. Beaucoup plus de Kubels étaient disponibles, ce qui rend cela si étrange, d'autant plus que si vous trouviez un Schwimmwagen excédentaire ou abandonné, la plupart des gens voudraient garder les qualités amphibies intactes. Mais, ce moulin à farine devait savoir ce qu'il faisait, car ils ont continué à fonctionner et à travailler pendant plus de 15 ans après la fin de la guerre. Je n'ai jamais rien vu de tel, alors je voulais le partager avec vous, car je sais combien vous aimez les camions de farine. Vous êtes les bienvenus.
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Nothing breaks like a heart. Chapitre premier.
Hailey Angela Tyler
Tout est silencieux. Aucun bruit a l'horizon. Des microscopiques grains de poussières virevoltent dans l'air. On les appercois seulement quand ils passent devant un rayon de lumière du jour qui réussi à se frayer un chemin entre les lanières des persiennes. Je suis là étendue sur mon lit dans un état semi comateux. Je n'arrête pas d'y pensé. Pourquoi dois-je toujours plaire à tout le monde? Pourquoi je ne suis jamais satisfaite avec ce que j'ai? Plusieurs questions se succèdent les unes après les autres. Je secoue la tête pour les faire disparaitre et je commence à m'étirer afin de me réveiller. Aujourd'hui c'est ma fête. Ça doit faire au moins cinq ans que j'attends ce moment. Je suis majeur dans tous les pays. J'ai toujours voulu faire un roadtrip au États-Unis avec ma meilleure amie. Hailey et moi on se connait depuis que l'on porte des couches. On a toujours été dans la même classe , faites les mêmes activités et fréquenté le même cercle d'amis. On a jamais eu de dispute mais on s'est fixée certaines règles. Il y a les règles de bases comme ne pas couché avec l'ex d'une amie , ne pas publier de photos atroces, etc. Je n'ai aucun problème avec ces règles. Par contre , la règle la plus importante selon Hailey c'est de ne jamais cédé à son frère Tyler. Il est le genre de garçon qui croit que tout lui est dû. Lui et son groupe d’ami n’arête pas de jouer avec les filles. Alors je crois bien que cette règle existe seulement pour me protégé. Mais je dois avouer que j’ai toujours été le genre à essayer de contourner les règles. Vous ne trouvez pas cela stimulant quand il y a un risque de se faire prendre ? Aussi minime qu’il sois. Je suis le genre de fille qui ne recule devant rien. Quand j’ai quelque chose à dire , croyez-moi , je le dis ! De plus , c’est derniers temps , Tyler est souvent chez lui et il m’intrigue de plus en plus.
Assez pensé ! Je dois absolument me lever sinon je vais être en retard. Hailey m’a donné rendez-vous au centre commercial pour aller au spa. J’adore le petit picotement que entrer dans l’eau ultra chaude nous procure . Puis elle est censée m’avoir organisé ‘’une surprise de taille’’ pour reprendre ses mots. Je regarde mon téléphone que je laisse tout le temps sur ma table de chevet. L’horloge indique 8h30 . Il me reste 1h pour me preparer je devrais y arriver. En sortant de mon lit, la première direction c’est la machine a café. Comment je pourrais passer une journée sans mon café glacé matinal ? Je m’assois dans mon canapé et fait le tour de mes réseaux sociaux en dégustant cette merveille. Vingt minutes plus tard, je me dirige finalement dans la salle de bain. Je branche mon téléphone sur mon speaker et part ma chanson du moment. Je me prépare rapidement et je part a la vitesse de la lumière.
Quand j’arrive je vois Hailey qui m’attend devant sa voiture alors je me stationne non loin de là. En marchant vers elle je m’aperçois un bout de tissus. Arriver devant elle , elle me le tends me dit de me couvrir les yeux et qu’il y a un changement de plan. Ne sachant pas trop quoi faire je m’exécute. Je sent alors sa main se frayer un chemin au creux de la mienne .
Hailey : Allez , viens !
Angela : Tu sais que j’aime pas les surprise , pourquoi tu fais ça?
Hailey : Tais-toi et suis moi ! Je sais que tu vas aimer cette surprise.
Outfit Hailey
Outfit Angela
Elle me dirige afin que je puisse me rendre saine et sauve dans sa voiture.
Hailey : Bon t’en a pour un bon 30 minutes comme ça . Au moins c’est pas sur ta bouche qu’il est le bandeau ! hahaha.
Angela : Une chance pour toi , oui ! T’aurais JAMAIS supporter ne pas pouvoir parler pendant 30 minutes .
Hailey : Si tu me connaissais aussi bien que tu le prétends tu saurais que j’aurais simplement mit de la musique à tue-tête et j’aurais chanter jusqu’à ce que tu regrettes que je ne t’ai pas donner de bouchon .
Angela : Ouais t’as gagné haha !
Hailey : J’ai tellement quelque chose de gros a te dire .
Angela : Allez , shoot!
Hailey : Bin ça fait deux mois que je fréquente un gars mais je voulais pas que personne ne le sache . Mais là je pense qu’on est prêt à rendre ça officiel.
Angela : Bravo girl ! J’ai bien hâte de voir qui a réussis à percer ton cœur .
Hailey : Il est tellement parfait ! C’est sûr que je te le présente le plus tôt possible . C’est ma chanson !
Elle monte le son de la radio et nous passons le reste du trajet a chanter des chansons qui nous rappellent que de bons souvenirs. Puis un moment donné elle ralentis et s’immobilise. Elle sort et viens ouvrir ma porte afin de me diriger vers l’endroit mystère.
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Une si jolie voix
Résumé : One-shot lorsque Edward entend pour la première fois les pensées de Renesmée dans le tome Révélation.
Disclaimer : La saga de Twilight appartient à Stephenie Meyer.
« Je te l'avais bien dit ! Je n'ai perçu aucun craquement, moi. Tu devrais te faire examiner les oreilles Edward. »
Cela faisait déjà la troisième fois que Rosalie me le répétait. Comment pouvait-elle croire que je m'inquiétais pour rien ? Tout ce qui avait l'air de lui apporter, c'était de sauver cette chose. Je pris Bella dans mes bras, faisant attention à ne pas lui faire plus de mal. J'étais contre, je ne voulais pas qu'elle bouge d'avantage mais elle avait insisté pour que je la ramène au salon. Je descendis l'escalier, essayant d'atténuer les répercussions de mes mouvements. Elle souffrait. Elle tentait de le dissimuler, mais je le voyais bien. Et ça me rendait malade. Jacob était déjà là. Alice à côté de lui. Bella sourit, heureuse de le voir. Pourquoi avait-elle à ce point besoin de lui ? Je la déposais délicatement sur le divan, et m'assit par terre, près de sa tête. Carlisle était le dernier à descendre et lui et Jacob discutèrent des derniers arrangements pour aller chasser. Carlisle proposa que le premier groupe de trois devrait se constituer d'Alice, Esmé, Jasper et de lui-même. Le deuxième groupe devait regrouper Emmett et Rosalie. Ce qui était loin de plaire à cette dernière.
« Pas question, pesta-t-elle. Emmett n'a qu'as vous accompagner. -Il faut que tu chasses, tenta de la raisonner Carlisle. -Je le ferai en même temps que lui. »
Elle me désigna du menton. Elle n'avait aucune confiance en moi et s'arrangeait pour que je le sache. J'essayais tant bien que mal de garder mon sang-froid pour ne pas lui sauter dessus. Mes frères descendirent les marches en à peine une seconde et le premier groupe partit, me laissant seul avec ma femme, ma sœur et un loup-garou. Le silence nous envahit et la tension qui régnait entre Jacob et Rosalie était palpable. Et il faisait tout pour la provoquer.
« Que quelqu'un sorte le chien ! Marmonna Rosalie. -Et celle-là, psychopathe, tu la connais ? De quoi meurent les neurones d'une blonde ? »
Rosalie ne réagit pas, faisant comme si elle ne l'entendait pas. Néanmoins, elle ne se gênait pas pour penser à toutes les insultes possibles et inimaginables.
« Tu l'as déjà entendu ? Me demanda Jacob. »
Je tournais le regard vers lui, retournant peu à peu à la réalité, mais n'ayant aucune envie de participer à leur petite guerre.
« Non, répondis-je quand même. »
Tous deux continuèrent à s'insulter, jusqu'à ce que Bella décide de les arrêter.
« Ça suffit Jacob. »
Elle était mécontente, ça se voyait. Et la tête que faisait le loup-garou. Si j'avais eu le cœur à rire, j'aurais eu du mal à m'en empêcher.
« Souhaites-tu que je m'en aille ? Lui demanda-t-elle. »
Oui, dis oui, qu'il s'en aille.
« Non ! Bien sûr que non ! »
Je lâchais un soupir. Évidemment. Pour une étrange raison, elle ne supportait pas qu'il soit loin d'elle. Et bien sûr, je me refusais à la rendre malheureuse en le mettant dehors. Au bout d'un moment, Rosalie monta à l'étage. Ses pensées, ainsi que celle de Jacob se mélangèrent dans mon esprit.
‘Bon sang ! Je suis crevé.’
'La maison empeste ! Vivement qu'il parte.’
'Encore la jolie voix.’
C'était quoi ? Cette voix ? Ce n'était ni celle de Rosalie ou de Jacob. C'était une voix que je n'avais jamais entendue auparavant. Mais pourtant, elle était tout près de moi. Bella ? Non. C'était impossible, je n'ai jamais réussit à entendre ses pensées. Peut-être avait-elle seulement parlé. J'étais dans un tel état en ce moment que je n'aurais pas su dire la différence.
« As-tu dit quelque chose ? Lui demandais-je. -Qui, moi ? Non, je n'ai rien dit. »
Je me mis à genoux et me penchais vers elle. Elle n'avait pas dit un mot. Je ne comprenais plus rien. Peut-être pouvais-je vraiment entendre ce à quoi elle pensait à présent.
'La jolie voix.’
Ça recommençait. Cette voix.
« À quoi penses-tu, là, tout de suite ? -À rien. Pourquoi ? »
Elle semblait perdue et ne comprenait pas où je voulais en venir.
« À quoi pensais-tu il y a une minute ? Insistais-je. -À… l'île d'Esmé, rougit-elle. Aux plumes. -Dis quelque chose. -Quoi donc ? Que se passe-t-il Edward ? »
'La jolie voix.’
J'entendis cette voix de nouveau. J'en étais certain. Ce n'était pas Bella que j'entendais. Non, c'était l'être à l'intérieur de son ventre. C'était ses pensées qui m'envahissaient depuis tout à l'heure.
'La jolie voix… Si belle.’
Ce n'était pas comme les adultes ou adolescents qui avaient un esprit complexe. Il s'exprimait par des mots simples, tel un petit enfant qui apprenait à parler. Je posais ma main sur le ventre déformé de ma femme. C'était la voix de Bella qui le faisait s'exprimer.
'Encore la joli voix… J'aime la jolie voix.’
« Le f… la… le bébé aime le son de ta voix. »
Il y eut un moment de silence. Bella me regardait, complètement sous le choc de ce que je venais de lui révéler.
« Nom d'un chien ! Hurla-t-elle. Tu l'entends ! »
'Trop fort… Peur.’
Bella tressaillit. Le bébé venait de lui donner un coup. Il était effrayé par sa réaction.
« Chut ! Tu l'as effrayé. -Excuse-moi, bébé. »
'Ma jolie voix, si belle. Chaude, aimante.’
« Que pense-t-il ? -Il… ou elle… est…
'Heureux.’
« Heureux. »
Bella sourit, les larmes coulèrent sur ses joues. Elle rayonnait. Sa joie était contagieuse. Je me mis à sourire également. Pour le première fois depuis notre retour de l'île, je me sentais apaisé. Toutes mes peurs, toutes mes craintes de perdre Bella s'étaient envolés en cet instant. Cette petite voix avait tout changé. Bella était heureuse, le bébé aussi et s'était tout ce qui m'apportait. Oui, parce que pour moi, ce n'était plus une chose, un monstre ou un fœtus. Non. C'était un enfant. Notre enfant. Je le réalisais maintenant.
« Mais bien sûr, joli bébé, fit Bella en caressant son ventre. Il est normal que tu sois heureux. Tu es bien au chaud, en sécurité, aimé. Je t'aime tant petit EJ. Tu ne peux qu'être heureux. -Comment l'as-tu appelé ? »
Elle rougit, soudainement intimidé par cette révélation.
« Je lui ai déjà donné un prénom. Je pensais que tu ne voudrais pas… enfin, tu sais. -EJ ? -Edward J. Ton père naturel s'appelait Edward, non ? -Si. Que… Hmm. »
'Une autre jolie voix… Si belle…’
« Oui ? -Il aime ma voix également. -Ça va de soi. Tu as la plus belle voix du monde. Qui ne l'aimerait pas ? »
Rosalie se mêla à la conversation, tout aussi fascinée. J'avais arrêté d'écouter. Je ne voyais plus que ce petit enfant dans mon esprit. Ce petit garçon qu'avait imaginé Bella ou cette petite fille qui lui ressemblerait tellement. Tout était parfaitement clair dans mon esprit. Un petit garçon ou une petite fille avec les mêmes yeux marrons que Bella. Avec également le même nez, la même bouche. EJ ou Renesmée. Mon enfant.
'J'aime.’
J'écarquillais les yeux. Bella s'inquiéta au vue de mon expression. Sûrement effrayé qu'il soit arrivé quelque chose au bébé.
« Qu'y a-t-il ? A quoi pense-t-il maintenant ? »
Je plaquais mon oreille sur son ventre. Complètement hypnotisé par cette petite voix.
« Il t'aime. Il t'adore littéralement. »
Je ne voulais pas m'écarter de son ventre. Il était maintenant vitale pour moi que j'entende à nouveau cette petite voix. La voix de mon fils ou de ma fille. Je m'étais trompé depuis le début. Comment un être qui avait tant d'amour pour Bella, pouvait lui vouloir du mal. J'étais dans un autre monde. Et ce ne fut que lorsque Jacob sauta sur ses pieds que je fus ramené à la réalité.
'Non ! Pourquoi ? Je dois partir. Je ne peux pas rester ici.’
Il était sur le point de craquer. Tout le bonheur que j'avais ressenti à cet instant ne faisait qu'augmenter sa peine et sa douleur. Je me précipitais vers la petite table et sortit du tiroir mes clés de voiture. Je les lui lançais et il les attrapa automatiquement.
« Va-t'en Jacob. Va-t'en loin d'ici. »
Il partit aussi vite qu'il le pouvait, acceptant l'échappatoire que je lui offrais.
« Qu'est-ce qu'il se passe ? S'inquiéta Bella. Edward, où va t'il ? -Ne t'inquiète pas. Il besoin de trouver quelqu'un. »
Fin
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Comment contrôler l'odeur dans la salle de culture?
Lors de la culture du cannabis, il y a beaucoup de choses que nous avons en tête: nos plantes sont-elles saines? La quantité de fertilisation est-elle correctement saisie? À quoi ressembleront les rendements finaux? Surtout pour les cultivateurs débutants et les personnes qui souhaitent essayer la culture en intérieur pour la première fois, il est crucial de comprendre qu'il y a quelques éléments de base qui devraient retenir toute notre attention, avant de penser à des rendements élevés et à des têtes de haute qualité.
De loin, l'une des choses les plus importantes lors de la culture du cannabis en intérieur est le contrôle des odeurs, ce qui signifie la réduction de l'odeur délicieuse mais risquée que les fleurs de cannabis matures émettent pendant la floraison.
POURQUOI LE CONTRÔLE DES ODEURS EST-IL SI IMPORTANT?
Dans de nombreux pays, il est toujours nécessaire pour les cultivateurs amateurs de garder leurs plantes un secret bien caché. Une maison ou un appartement qui sent constamment comme une grande plantation juste avant la récolte y attire beaucoup d'attention. Voici trois raisons principales pour lesquelles il est nécessaire de contrôler l'odeur de vos plantes:
Dans certains pays, les forces de l'ordre peuvent appliquer les lois locales sur le cannabis.
Vous pourriez être confronté à des voisins qui se sentent dérangés par l'odeur.
Des gens que vous ne connaissez pas pourraient potentiellement sentir vos plantes et avoir la bonne idée de les voler.
Contrôle des odeurs dans la salle de culture du cannabis
Installer des filtres à charbon
Les filtres à charbon sont capables de «nettoyer» les contaminants de l'air en émettant du charbon activé et hautement ionisé pour attirer les particules de l'air.
En conséquence, les composés organiques volatils tels que les spores de moisissure, la poussière et les cheveux qui transportent les odeurs sont confinés dans un préfiltre.
Parfois, des molécules de carbone ionisé à l'intérieur du cylindre principal du filtre piègent ces composés.
Une fois que le filtre purifie l'air, vous vous retrouvez avec de l'air frais qui ne contient pas de molécules odorantes.
Voici un fait amusant
Les environnements nettoyés au carbone peuvent faire passer le nombre de bactéries dans l'air dans votre chambre de culture de marijuana de 10000 parties par million à aussi peu que 30 parties par million.En outre, l'utilisation d'un filtre à charbon pour contrôler les odeurs dans une salle de culture de marijuana est la technique la plus écologique Notez que les filtres à charbon peuvent avoir une circonférence de 4 à 12 pouces. Pour déterminer la taille de filtre à charbon dont vous avez besoin, vous devez d'abord identifier les pieds cubes par minute de votre espace de culture de marijuana.Pour mesurer cela, multipliez simplement la longueur, la largeur et la hauteur.
Par exemple, vous avez un espace de croissance 4x4: 4 x 4 x 6,5 = 104 CFM
Voici un tableau identifiant les tailles de filtre à charbon appropriées avec la moyenne des pieds cubes par minute (CFM).
Filtre à charbon de 4 pouces avec 260 CFM max
Filtre à charbon de 6 pouces avec 530 CFM max
Filtre à charbon de 8 pouces avec 780 CFM max
Filtre à charbon de 10 pouces avec 860 CFM max
Filtre à charbon 12 pouces avec 1765 CFM max
Utiliser des ventilateurs en ligne
Les ventilateurs en ligne sont essentiels lors de l'utilisation d'un filtre à charbon.
Pour que le ventilateur approprié nettoie la pièce ou la tente, il sera déterminé par les pieds cubes par minute.
Identique au filtre qui le rend assez facile à sélectionner.Les ventilateurs en ligne sont également disponibles en différentes tailles, gammes de prix et niveaux de bruit.Généralement, l'extrémité inférieure est plus bruyante qu'une plus chère.Vous devrez également déterminer la taille du ventilateur vous devez le faire correspondre avec votre filtre.
Ils sont tous mesurés en pieds cubes par minute, les mêmes que les filtres à charbon ci-dessus, alors utilisez cette équation mathématique simple pour le comprendre
Mesurez la longueur de l'espace de croissance, la largeur et la hauteur puis multipliez-les, par exemple; une tente de culture 4x4. 4x4x6,5 = 104 PCM
Ventilateur en ligne de 4 pouces avec 260 CFM max
Ventilateur en ligne de 6 pouces avec 530 CFM max
Ventilateur en ligne de 8 pouces avec 780 CFM max
Ventilateur en ligne de 10 pouces avec 860 CFM max
Ventilateur en ligne de 12 pouces avec 1765 CFM max
Notez que les ventilateurs en ligne sont disponibles en différentes tailles et une gamme de prix. De plus, les modèles les plus bruyants sont généralement les moins chers.
Les diamètres des ventilateurs sont généralement de 4, 6 et 8 pouces. Un ventilateur de 6 pouces de diamètre est le plus utilisé.
De plus, vous devrez connecter les conduits extérieurs au ventilateur en ligne pour que l'air chaud et stagnant puisse s'écouler, apportant l'odeur avec lui.
N'oubliez pas de placer le ventilateur correctement afin qu'il puisse fonctionner comme un vide à l'intérieur de votre espace de culture des mauvaises herbes. De cette façon, vous saurez si l'air ne sort qu'à travers le filtre.
Systèmes anti-odeurs pour les salles de culture de cannabis
Nous pouvons trouver de nombreux systèmes anti-odeurs qui camouflent ou éliminent l'odeur des plantes. Il existe une large gamme de produits dont le prix et les caractéristiques diffèrent considérablement. Ce qui suit est un bref aperçu de ces produits.
Ona, gels anti-odeurs et diffuseurs
Ona est une entreprise canadienne qui fabrique des produits anti-odeurs depuis 1995 pour les installations hydroponiques, les usines de traitement et les systèmes de drainage. Ils proposent de nombreux produits, dont les meilleurs sont ci-dessous:
Ona Mist est un spray qui neutralise rapidement les molécules odorantes. Il est parfait pour éliminer les odeurs à la maison ou dans la voiture en quelques secondes. Il contient des ingrédients biologiques et est sans danger pour les enfants, les animaux et autour des aliments.
Ona Gel est composé de petits cubes de gel qui éliminent les odeurs indésirables, laissant une agréable odeur dans l'air. Il s'utilise en ouvrant simplement la boîte (ou en retirant une petite quantité de cubes) et ils seront efficaces jusqu'à ce qu'ils soient secs. De nombreux producteurs placent de petites quantités de ces cubes dans les bouches d'aération, ce qui garantit que l'air expulsé sent agréablement. Ils viennent dans différentes odeurs différentes, chacune à leur façon. Il peut être utilisé avec le distributeur automatique Ona Breeze pour améliorer l'efficacité.
Ona Block est similaire à Ona Gel mais dans ce cas, ce sont des comprimés solides de 170 g qui peuvent être laissés dans une pièce ou l'espace souhaité.
Le neutralisant
Le Neutralizer est un produit primé (Meilleur produit européen 2013, European Product Awards) et fonctionne comme tout autre désodorisant ou prise anti-moustique enfichable. Pour l'utiliser, il suffit d'insérer la cartouche et de la brancher. Le liquide est composé d'huiles essentielles et neutralise les odeurs à proximité et laisse un arôme agréable.
Il fonctionne dans des espaces jusqu'à 375m3 et durera 5 à 6 semaines en travaillant 24 heures sur 24, ce qui en fait une option intéressante pour nous libérer des odeurs indésirables. Le neutraliseur est également disponible dans une version compacte qui fonctionne dans des espaces jusqu'à 20 m3 et durera aussi longtemps que le modèle plus grand. Des cartouches remplaçables sont disponibles pour les deux versions.
Vaportronic
Le Vaportronic de Vaportec est un petit distributeur qui utilise des disques anti-odeurs de 6 ou 12g imprégnés du matériau actif Neutrox Gama. Il peut être programmé pour fonctionner à différentes périodes et peut être chargé avec jusqu'à 5 disques anti-odeurs, appelés disques EZ. Il a besoin d'une batterie de type D pour fonctionner.
Les disques anti-odeurs durent environ 50 jours et fonctionneront efficacement dans des espaces jusqu'à 60 m3, laissant une odeur d'eucalyptus ou de pin.
Purificateurs d'air (filtres à air)
Nous aimons tous l'idée d'avoir de l'air pur pour respirer. De nombreux purificateurs d'air prétendent réduire les odeurs, généralement au moyen d'un filtre. Est-ce que cela fonctionne pour se débarrasser des odeurs dans une salle de culture de marijuana?
Pas vraiment.
Il est vrai que certains purificateurs d'air aident à éliminer certaines odeurs de l'air. Cependant, ceux-ci ne sont pas assez forts pour tirer toutes les odeurs d'une salle de culture. Ceux-ci ne sont que marginalement efficaces.
Par conséquent, bien que les purificateurs d'air puissent être un bon choix pour d'autres raisons, je ne recommande pas d'en acheter un juste pour essayer de se débarrasser des odeurs dans votre chambre de culture.
Points clés à retenir
Bien que la culture de marijuana en intérieur vous apporte de la joie, n'oubliez pas que l'arôme peut ne pas plaire à tout le monde, en particulier à votre proximité.
L'utilisation de l'une de nos méthodes suggérées ou la combinaison de certaines d'entre elles sont des investissements qui valent la peine d'être pris. Les unités que nous avons présentées sont, en fait, essentielles au jardinage intérieur.
Une salle de culture de marijuana à température contrôlée et entièrement ventilée, équipée d'un filtre à charbon et les ventilateurs sont capables d'éliminer près de 100% de l'odeur dans votre salle de culture de cannabis.
De même, la création d'un bon flux d'air à travers votre espace de culture maintient les niveaux d'humidité et la température stables.
Gardez à l'esprit que l'élimination de toutes les particules d'air entraîne un air malsain dans votre salle de culture. Par conséquent, le secret est de contrôler l'odeur.
Combattez cette odeur en utilisant ces techniques éprouvées et ne laissez pas l'odeur vous empêcher de produire de la marijuana de qualité dans un espace de culture!
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La soif ...(extrait)
Cet été-là, je retrouvais avec une indifférence morne, à la fois le soleil éclatant de M***, et les estivants habituels, agglutinés par paquets et par familles nombreuses, pour parader dans le bruit, la chaleur et la nudité. Trois mois par an, ils prenaient ainsi leur ration de bon temps. Quant à moi, je ne faisais que sommeiller sur le sable chaud, le matin, et dans mon lit moite à l'heure des longues siestes. Il y avait bien les nuits fraîches et claires, et le silence. Mais c'était plus fort que moi. Je trouvais je ne sais quel goût amer à ce mois de juillet, et à cette plage épanouie comme une femme. Je n'aimais pourtant pas la tristesse, ni le vague à l'âme. Et je venais d'avoir vingt ans… Cette dernière année avait glissé comme les autres : le rythme léger des sorties en groupe dans les cinémas et les casinos d'Alger, les surprises-parties les dimanches pluvieux, les courses folles au vent dans des voitures nerveuses comme de jeunes chevaux racés. Maintenant, c'était le vide en moi. J'avais déjà connu de nombreux réveils brouillés par la fatigue douceâtre des lendemains de fête. Pour avoir dissipé trop de nuits dans la gaieté facile, le jazz et les cigarettes, j'avais accueilli, la tête lourde et les membres las, des aubes grises, écœurantes. Le même marasme aujourd'hui, le même puits où je m'enfonçais, passive, dans un long bâillement. Mon père, que ses affaires et sa cure avaient appelé en France, m'avait quittée à regret. Il avait pris mon ennui pour du désespoir, parce que, deux mois auparavant, j'avais rompu mes fiançailles, sans raison apparente. J'eus un sourire indulgent. Il aurait pu voir que je n'avais ni les impatiences, ni les trépignements des chagrins d'amour – même pas les larmes. Mais je pardonnais tout à son aveuglement inquiet. Je ne recevais de tendresse que de lui, une tendresse d'homme, chaude, qui me baignait comme une fièvre. Myriem, la plus maternelle de mes sœurs à laquelle il m'avait confiée, était occupée par sa nouvelle grossesse. Je n'aimais pas l'air absent que prenait alors son beau visage. Ses enfants, deux garçons de cinq et deux ans, étaient bruyants, sans grâce. Je leur trouvais quelquefois une ressemblance avec leur père, dont je haïssais l'allure étriquée et le regard sournois. Heureusement, occupé par son travail à Alger, il ne rentrait que la nuit, tard. Je me sentais seule dans la maison profonde, dans ma fatigue. (...) J'étais une enfant gâtée – pas seulement par mon père, mais aussi par la chance, je l'avais toujours su. Il me suffisait d'avoir un désir secret, même vague, pour qu'aussitôt les circonstances vinssent à mon secours. Ce fut donc sans surprise que je tombai, ce jour-là, sur Hassein. Je revenais du bain, pieds nus, les cheveux mouillés, quand une voiture freina près de moi. Joyeusement, je souris à Hassein, je le retrouvais toujours avec plaisir. Quelques minutes après, nous étions attablés à la terrasse d'un café, devant la mer. - Vous avez embelli, dit-il, et vos longs cheveux blonds, mouillés, vous donnent l'air d'une… sirène. J'interrompis le flot de compliments, le ton amicalement moqueur, ouvertement ironique, n'était pas sans me plaire. Depuis longtemps, nous étions convenus que j'étais une coquette, et lui un désabusé, nos rapports en étaient facilités. Après nos entrevues, chacun était satisfait d'avoir bien tenu son rôle, d'avoir répondu à l'attente quelque peu méchante de l'autre. C'était assez excitant. Il continuait à me taquiner et je riais de bon coeur, sans chercher à le défier. - J'ai dit : une sirène, non ! C'est plutôt à une sorcière que vous ressemblez, une charmante sorcière, naturellement. - Faites au moins vos compliments d'un ton convaincu ! Mais parlez-moi plutôt de vous. Que devenez-vous ? - Mon cabinet d'avocat démarre assez bien, aussi je prends quinze jours de vacances. Mais, comme je ne peux pas trop m'éloigner d'Alger, je suis venu ici. Je sors à peine de mon hôtel, et la première personne que je rencontre, c'est vous ! Dois-je vous dire que mon cœur a battu d'une joie folle ? (...) Quelques jours passèrent, j'en ai gardé un souvenir humiliant. Une association se tissait entre nous, peu à peu. Jedla avait retrouvé sa gentillesse. Elle me gardait le soir près d'elle. A chacun de ses sourires, j'étais prête à faiblir, à oublier, à lui parler comme à une sœur, et si elle le voulait, à lui demander pardon. Mais elle n'exigeait que ma complicité. Ce fut aussi le moment des confidences. Je répugnais d'ordinaire à la fausse intimité des femmes qui se chuchotent leurs misères, leur honte. Jedla me poussa dans ce terrain vague. Et je devais parler, parler du passé que j'avais cru mort, qui ne semblait plus le mien. Avais-je eu beaucoup d'amoureux ? Lesquels me plaisaient ? Je les méprisais, mais je les avais quand même embrassés. Bien sûr, elle comprenait très bien… Il fallut même parler de ce premier baiser, au sortir duquel je l'avais trouvée en face de moi, haineuse. Comment ? J'avais oublié jusqu'au nom de ce garçon ! Pourquoi avais-je rompu mes fiançailles ? Je ne le savais pas… Oui, ce devait être par lassitude. Il me fallait toujours des mâles nouveaux. Je dus parler d'un ton un peu froid, à peine amer, à peine sarcastique. Quand j'hésitais, elle me fournissait les réponses. Elle ne s'en tint pas à moi, comment étaient mes sœurs ? Elle fut étonnée et comme déçue de savoir qu'elles étaient différentes, probablement parce qu'elles s'étaient mariées jeunes. J'approuvais. Myriem, qui aimait et craignait son mari, avait quand même gardé une espèce d'amertume de sa jeunesse gâchée, disait-elle. Elle n'avait pas eu le temps d'en profiter. «D'en profiter», reprenait Jedla rêveusement… Leila, elle, n'avait jamais été sentimentale. Son mari avait une très bonne situation, elle avait dès le début apprivoisé ses beaux-parents. Elle était la maîtresse dans sa maison, c'était, pour elle, l'essentiel. (...) Je ne sais pas exactement quand j'ai commencé à avoir peur. Une peur froide, muette comme une tombe. Arrivée à la fameuse adresse, j'ai eu comme un dégoût à la pensée de la suivre là, pour cette besogne… Je me suis raidie, peut-être cette peur rampa-t-elle en moi à la vue de la femme qui nous accueillit. Je l'aurais volontiers imaginée vieille, édentée, sale comme une sorcière. Elle était sans âge, fardée. Le regard juste assez sec, le sourire insinuant. Elle se tourna vers Jedla en plissant les paupières. J'étais prête alors à rester pour la défendre, la soutenir contre eux, les autres, le monde. Mais on me renvoya, avec un œil critique : ce n'était pas un endroit pour une jeune fille. J'eus peur encore dans la rue, et je ne savais pas pourquoi. J'entrevoyais soudain un monde que je n'avais jamais imaginé, et dans lequel tombait Jedla: le monde des instituts de beauté et des cliniques, où tout se faisait avec ce regard terne de la femme, où tout se réglait à coups de cisailles, d'éther. On n'y connaissait ni la tendresse, ni la haine, ni même le caprice, ou la faute – seulement des cas, des complexes, et des remèdes décisifs : un avortement. Je la vis sortir avec son même air penché, et ses yeux ardents, à peine un peu plus pâle ; elle avait la tête légèrement inclinée, comme une poupée morte. Elle s'installa au fond de la voiture, ferma les yeux. Ma peur me reprit quand je la vis serrer les dents ; il ne lui restait plus que le courage. Je l'ai conduite doucement, lui évitant les moindres heurts. Elle me fit arrêter deux fois, car ses malaises ne l'avaient pas quittée. La seconde fois quand, pour l'aider à mieux s'étendre, je la pris par ses épaules frêles, j'eus envie de lui demander pardon. Mais elle ne faisait pas attention à moi ; son visage contracté par la douleur n'était plus tourné de mon côté. Je sus que je ne pouvais plus rien, que tout était fini. C'étaient ces pressentiments que j'avais baptisés du nom de peur. (...) Oui, j'avais cru pouvoir vaincre le passé, il s'était simplement déposé au fond de moi, en une nappe d'eau souterraine. Pourquoi, ce soir, ce brusque remous, ce réveil ? Hassein est bien là, pourtant. Il dort, le long de mon flanc, paisible et confiant comme tous les hommes après l'amour. Et j'écoute dans le silence sa respiration lente scander le vide de mon âme. Maintenant, au fond de ce lit conjugal, j'ai peur. Pourquoi, soudain, ces fantômes qui m'assiègent ? Je croyais être entrée enfin dans le troupeau de toutes les femmes souillées, épanouies, ouvertes. Je croyais avoir appris la vertu, c'est-à-dire la sécurité. C'était si facile d'accueillir joyeusement Hassein tous les soirs, de jouer les rôles qui le séduisaient, ceux de la coquetterie ingénue, de la jalousie têtue ou de la gravité émouvante ; tout à l'heure encore, je me suis perdue avec la même ivresse muette dans ses caresses… Et voici que maintenant, tandis qu'il dort, je reste dans le noir, les yeux ouverts, seule. Le corps d'homme bougea à mes côtés. Ses jambes cherchèrent mes jambes, sa main hésita sur l'oreiller pour retrouver mes épaules, mes cheveux. Un peu trop vivement, je me suis rejetée sur le côté du lit. Hassein se réveilla à moitié pour grommeler : - Qu'est-ce que tu as ? - Rien. J'avais dit exprès le mot qui le forcerait à s'occuper de moi. Sa voix ensommeillée qui ne demandait qu'à être rassurée m'avait déplu. Je me sentais fatiguée, avec, dans le cœur, une douleur tremblante, dont je ne savais que faire. Le passé rôdait encore, si proche…
La soif Extrait du premier roman d'Assia Djebar
#assia djebar#la soif#algérie#littérature algérienne#écrivains algériens#auteurs francophones#culture algérienne#femmes auteures
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Liberté amoureuse ❤️
Depuis notre plus tendre enfance nos parents, nos grands parents, les religions, l'école nous ont inculqué le politiquement correct en ce qui concerne l amour…
Nous avons je pense tous entendu ( du moins une grosse majorité) que l amour c était trouver une personne qui nous corresponde, qui nous aime et que nous aimons, qui soit fidèle, avec qui nous devrions nous marier pour ensuite acheter une maison, une belle voiture et surtout avoir des enfants !
On nous a formaté pour que nous ayons l
impression que si nous arrivions à avoir tout ça nous serions comblé et que nous aurions atteint l'aboutissement de notre vie…
C est alors, que nous retrouvons des couples qui se forcent à rester ensemble alors qu ils ne s aiment plus, qui se trompent mutuellement, qui divorcent, qui se déchirent… Et qui foutent leur vie et la vie de leurs enfants en l'air !
Nous recherchons tous l'amour, le vrai… cet amour qui nous transporte et nous fait quitter le sol… Mais pour la plupart des gens cet amour est le premier… c est un amour naïf qui retombe comme un soufflet au bout d’un certain temps parce qu il n est pas vivable… c est un amour qui fait souffrir et qui peut tellement détruire que certaines personnes perdent foi en l amour !
En même temps je pense qu il faut vivre un tel amour au moins une fois dans sa vie … parce qu un tel amour ne sera plus jamais possible par après !
Nous évoluons, nous grandissons, nous nous cultivons et surtout nous apprenons de nos erreurs…
C est alors, je pense, que nous sommes prêt à accueillir ce qui est pour moi le véritable amour…
Celui qui te fait grandir, celui avec qui tu avances et évolues au quotidien !
Vous savez cet amour où nous prenons le temps d'écouter et de comprendre l'autre…
Cet amour qui nous permet de vivre en harmonie avec l'autre mais aussi avec soi !
Pour mieux vivre ensemble il faut d'abord comprendre la nature humaine… s instruire…
Accepter que les hommes et les femmes soient deux être totalement différent en pas mal de points…
Nous n avons pas les mêmes attentes et nous n'avons pas les mêmes besoins !
Je vais donc prendre l'exemple de l homme…
L homme a besoin de plaire et si nous étions encore à la préhistoire aurait plusieurs femmes, parce que l'homme est génétiquement parlant fait comme ça.
Ce qui ne veut pas dire qu il faut excuser leur comportement parfois beaucoup plus proche de l'animal ou de l’anencephal que de l'être humain ayant reçu une éducation !
La femme, elle, est génétiquement programmée pour n avoir qu un homme qu il faut satisfaire en lui faisant à manger, en s'attelant à lui faire une maison propre, en le comblant sexuellement oubliant parfois ses propres besoins et à lui donner des enfants qui perpétueront son nom. C est donc une programmation de femme soumise que nous avons reçu depuis notre plus tendre enfance.
Mais les femmes aussi ont évolué, on leur a donné la possibilité de s'instruire, de s'affirmer, de pouvoir demander à ce que l'on respecte leurs besoins et surtout à les revendiquer haut et fort.
Suite à ça, je vais donc souligner une petite chose en expliquant cela…
C est que si nous les femmes prenions le temps d'essayer de comprendre cette génétique masculine et que nous étions plus ouverte d esprit nous pourrions faire en sorte de combler certains besoins de l homme.
Pourquoi ne pas ouvrir son esprit au point de pouvoir imaginer avoir des relations libertines ensemble…
Parce que nous sommes toujours en train de blâmer les hommes mais combien de femmes ont au fond d'elles ce fantasme de coucher avec d autres personnes sans jamais le dire parce qu'elles ont peur de ce qu'on pourrait penser d'elles, parce qu elles ont peur de cette société de jugement…
Et si nous pouvions nous sentir libre d afficher nos désirs et nos envies pour ensuite les mettre en commun avec notre partenaire ?
Oui vous comprenez bien ce que je vous écris…
Soyez ouverte, arrêtez de vous poser 1000 questions sur ce que vont bien pouvoir penser les gens si vous aviez des relations avec une tierce personne en plus de vous et votre compagnon !
J ai moi même le fantasme de coucher avec une femme pendant que mon compagnon nous regarderait et nous rejoindrait ensuite…
J ai longtemps rejeté cet idée de peur que cette femme que j'introduirais dans mon lit plaise à mon compagnon et qu'il préfère en fin de compte coucher avec elle et me laisser sur le côté…
Nous en avons discuté, j'en ai pleuré, j ai beaucoup réfléchi…
Et la je me sens prête à passer le cap…
Parce qu’il m’a dit une chose qui m’a permis de me rendre compte que tout ça c'était un partage entre lui et moi, c'était une manière de vivre les choses pleinement sans retenue et sans tabou…
Il m’a dit : “ ce qui m'exciterait le plus ce ne serait pas de pénétrer cette autre fille mais de voir que ca t'excite de te faire caresser et embrasser par une autre fille et que toi tu lui fasses la même chose “
J ai alors compris que c était mon plaisir qui l excitait et pas de baiser une autre !
Ma conclusions serait alors, qu’au lieu de fermer les yeux sur les besoins de vos hommes vous les acceptiez, vous pourriez combler une partie de ses besoins et de ses fantasmes en les vivant avec lui et surtout en prenant vous même votre pied. Parce que ça serait une connection un partage,une excitation, une complicité… avec la personne qui compte le plus à vos yeux.
#mots#mesmots#liberté#amour#vérité#vie#aucun regrets#Idées#Idées reçues#Expérience#Érotisme#Beauté#Love#Life#Se sentir libre#Confiance#Heureux#Épanouis#twins#Fo you#For me
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Episodes
TBTR : Episode 2
L'épisode 1 avait un franc succès. Si pour l'épisode ça commençait fort. C'était avant tout sensuel. On voyait le corps de Jaejoong couvert d'un drap. Il était torse nu et regarde Yunho se rhabiller avant de se recoucher dans le futon. Yunho vint s'asseoir à côté de lui et sourit doucement en caressant sa joue.
« Après toutes ces années, tu ne m'as pas oublié ? » demanda Jaejoong
« Daewon... je pourrais jamais t'oublier même sans mémoire, mon cœur se souviendrait de toi. » dit Yunho
« Tu peux m’appeler Alexandre ? Daewon est mort il y a 10 ans » dit Jaejoong en se redressant
« Alexandre ou Daewon, peu importe, tu es celui que j'aime. » dit Yunho doucement
« Moi aussi je t'aime Jinhan » souffla Jaejoong avant de venir embrasser Yunho « Mon père m'attend... » souffla-t-il
« Va... »
Jaejoong s'habilla et leurs mains eurent du mal a se séparer. On vit une autre scène, ou Sofia descendait du bateau au bras d'Andrew et derrière Elisa et Gilbert suivaient joyeusement. Leur convoi fut attaquer par des brigands, diriger par Yuri et Krystal. Sofia grimpa sur la voiture a chevaux, ses longues boucles blondes platine volant au vents, comme les pans de sa robe rouge, armé d'un fusil et le chargea, bientôt imité par Elisa armée de deux pistolets, cette dernière était plus tremblante et ses cheveux roux flamboyant volaient tel un feu, alors que sa robe bleu ressemblait a un océan.
« On est des gentils brigands et on bouge pas. » hurla Sofia
Un brigand s'élança vers elle, et ce fut Andrew qui l’abattu d'un coup de katana dans le dos. Andrew rangea son katana et enjamba le corps clairement dégoûté. Andrew avait fait le vide, et tous les hommes était à terre gisant dans leur sang et quel classe le jeune Levine avait. Exit les longs cheveux blonds platines. Ses cheveux longs, noir comme l'enfer, étaient noué en catogan et volait au vent lui donnant des airs de personnage sortit d'un shonen, cette noirceur contrastait tellement avec ses yeux vert si pale. Gilbert, si sa blondeur lui donnait des airs de dandy parfait, lui attrapa les deux femmes sans douceur et soupira longuement.
« Pensez-vous que mon beau-frère appréciera cette prise ? » demanda-t-il dédaigneux a souhait
« Il se pourrait qu'il vous remercie. » dit Elisa en descendant du toit.
« Pas le Capitaine » couina Krystal.
« Pitié » renifla Yuri
« Je les garde. » dit Sofia simplement. « On ne vous livre pas au capitaine, mais je veux votre parole que vous n'allez pas essayer de nous tuer. »
« Tout ce que vous voudrez !! » couina Krystal apeurée
« Je le devine cruel, ce cher capitaine. » dit Elisa un peu effrayé
« Tout pour nous plaire. » dit Andrew en remontant dans la voiture.
« Te plaire mon cher frère. » dit Gilbert en chargeant les deux filles dans la voiture.
« On ne devient pas consul de France a mon âge sans avoir la cruauté dans les veines. Notre cher Napoléon trouve ça une qualité. » dit Andrew
« Sa majesté est la cruauté et la vanité incarné... » murmura Elisa
« Mélissandre. » gronda Sofia
« L'Empereur est vaniteux et cruel mais sans ça, la France ne serait pas redevenue une puissance. » dit Andrew « Notre Famille sert depuis longtemps les intérêts de la France »
« En vendant ta sœur. » dit Sofia en soignant les égratignures de Yuri
« Marie-Henriette ! » gronda Elisa.
« Les désirs de notre père... ont été exécuté avant son trépas. Si ça n'avait tenu qu'à nous, Adeline épousait Maximilien. » souffla Gilbert
« Pour un mariage de commerce a un mariage d'intérêt... » souffla Sofia blasée
« On ne se marie pas par Amour, Marie, c'est dans les romans ça. » soupira Gilbert
On changea de scène pour découvrir Diana et Siwon dans un champ. Le couple était en plein dîner sur l'herbe. La française sourit doucement en caressant la joue de cet homme. Oh oui il était cruel, c'était un homme de guerre, qui ne faisait aucun prisonnier, mais sur ordre du roi. Sa main caressa son torse puis s'arrêta sur ses côtes. Le regard intense de Siwon ne la quittait pas, alors qu'il la tira à lui. Elle se retrouva coller contre son torse et leurs lèvres se rejoignirent pour un baiser passionné. Elle recula ses lèvres de celles de Siwon et sourit doucement.
« Est-ce qu'un jour tu pourras m'aimer ? » demanda Siwon
« Minsoo, tu ne vois donc rien ? » murmura-t-elle en souriant
« Est-ce que tu m'aimes, mon Adeline ? » souffla Siwon
« Oui Mon Capitaine. Je vous aime. » souffla-t-elle contre ses lèvres
Leurs baiser était encore plus intense, Diana terminant assise sur les cuisses de Siwon. Soudain Heechul arriva essoufflé suivit par Yoona.
« Capitaine ! » cria Heechul
« Madame Adeline !!! » cria Yoona en souriant « Votre famille est arrivé ! »
« Et le Consul de France avec ! » dit Heechul essoufflé
Siwon soupira longuement, contrarié et Diana leva les yeux au ciel, un sourire blasé aux lèvres. Elle se releva et le quatuor, rejoignit les nouveaux arrivants. Diana sauta au cou d'Andrew et Gilbert les embrassa, Siwon restant a distance. Sofia vint enlacer Sören avec tendresse alors qu'Elisa souriait a Jaejoong et Elrick. Elle rata néanmoins une marche et tomba dans les bras d'un des seconds du général Jinhan. Suho fixa Elisa, très étonné, et non sans un sourire radieux. Il l'aida a se redresser, et s'inclina doucement avant de s'en aller. Elisa s'approcha de Jaejoong et le fixa intrigué.
« C'est qui ? » demanda-t-elle
« Le Lieutenant Hyunjin Seo, le petit frère du Général Jinhan, il est aussi son second. » Expliqua Jaejoong
« Il est marié ? » demanda Elisa
« Mélissandre... » gronda Elrick
« Ne souhaites pas trop rapidement être mariée. » soupira Sofia.
« De toute façon, nous sommes ici, pour ça. » soupira Elisa
« En effet. » soupira longuement Gilbert « Maximilien, Monsieur votre père m’envoie vous prévenir que Marie-Henriette et Mélissandre seront offert en mariage a des officiers, en signe de bon vouloir, et pour réparer les dommages qu'on causé les attaques il y a quelques années... ainsi que les accords concernant votre propre mariage. »
« Marchandise nous voilà. » siffla Diana « L'état n'en a-t-il pas assez de nous traité comme de simples draps qu'on vend ? »
« Tu n'as pas l'air de te sentir mal dans ton rôle de drap. » siffla Gilbert
« Peut-être parce que mon mari est différent et que si je dois vivre une vie avec lui, autant l'aimer. » grogna Diana
« Alors de quel droit critiques-tu les ordres de Monsieur de Valois ? » grogna Gilbert
« Alfred, Adeline... » siffla Andrew « vos gueules. » fit-il dans un français parfait mais toisant le zéro absolu.
Diana recula et alla se poster au bras de Siwon, alors que Yoona lui apporta un manteau pour couvrir ses épaules. Sofia soupira longuement et alla prendre ses quartiers, avec Krystal et Yuri. Sören serra les poings et éclata son poing dans un mur, ce qui laissa un joli trou dans le dit mur. ( Trou... Qui n'était pas prévu.... Sören s'excusa une 100e de fois.) et ça laissa place a un sublime scène entre Max et Namsun. Heechul approcha de Sören et lui lprit le bras pour qu'il arrête frapper dans l'arbre.... Sören finit par plaquer Heechul contre l'arbre, avec force, non sans la maîtriser un minimum, pour évité de blesser Heechul.
« QUOI ?!!! » aboya Sören furieux.
« ....vou...vous vous... blesser. » marmonna Heechul.... très très impressionné par le géant suédois. Plus que selon le script d'ailleurs
« ET ALORS ?! SI J'AI ENVIE DE ME METTRE UNE BALLE Y A QUE MOI QUE CA REGARDE OU VOUS AUSSI VOUS ALLEZ ME DICTER MA VIE !!!! » hurla Sören
Ce n'était pas prévu dans le script... Mais Heechul vint prendre Sören dans ses bras. Un câlin doux et déstabilisant.... Mais Sören était bon. Très bon. Alors au lieu des cris déchirants du script qui devait lié a Max tombant a genoux en pleurs, Sören vint serrer Heechul dans ses bras, en pleurant. Il restèrent ainsi un long moment Heechul restant dans les bras de ce suédois qui avait frapper en plein dans son cœur. Ce suédois qu'il savait inaccessible. Et c'est sur ce câlin au soleil couchant que se termina l'épisode 2
Episode 3
Soren se recula d'Heechul. Rester dans son personnage, ne pas lui demander ce qui lui avait prit de changer ça. Mais Jack et Ian semblait content, alors il reprit là ou devait commencer l'épisode 3. Sa main essuya ses larmes d'un coup. Il se tourna dos a Heechul et soupira, les mains enduit de faux sang dans de fausse plaies. Le sang coulait et Heechul se secoua la tête en regardant l'homme dos à lui.
« Qu'est-ce qui... »
« On me marie de force. » siffla Sören « a une potiche de la cour. »
« Alors... rester ici... ne rentrez pas en France » marmonna Heechul
« Et quoi ? Trahir mon pays ? Mon Père... toute ma famille ? » demanda Sören en se tournant « Pour qui ? Vous ? » siffla-t-il « A quoi bon. »
« Vous... vous pouvez être heureux ici. » souffla Heechul.
« Non. Ni ici, ni ailleurs. » grogna Sören
« Mais pourquoi.... ? » murmura Heechul
« Tu veux savoir ? Vraiment ?! » cria Sören avec le sourire le plus mauvais qu'il avait en stock
« O... oui... je ... je veux vous aider ! » dit Heechul
Sören l'attrapa par le col, l'amena a lui et l'embrassa avec force, ravageant sa bouche. Le baiser était féroce et malgré ça, Heechul tombait encore plus dans l'abîme d'un amour inaccessible. Il tomba d'avantage et quand Sören se recula, le lâchant et s'en allant, Heechul se toucha les lèvres complètement retourné... Ce n'était pas que de la comédie... ce baiser était plus féroce et rageux qu'il aurait du l'être ... Sören allait mal.
On changea de scène pour trouver Sofia entrain de mettre un corset a Yuri, cette-dernière se tourna vers Sofia, qui baissa les yeux.
« Tu vas accepter un mariage sans rien dire ? » demanda Yuri
« Les femmes n'ont pas le choix, les hommes ont tous les droits. » soupira Sofia en passant une robe a Yuri. « Voilà qui est mieux que tes haillons. »
« Mais tu as le droit d'aimer. » dit Yuri
« Oh non ma belle. Si je n'ai pas le droit. C'est mal d'aimer... » souffla Sofia en riant « Moi je n'aime pas les hommes. Si je devais aimer... Ce serait toi. » dit Sofia en souriant
« Et c'est si mal ? » demanda Yuri
« Je vais me marié Sora. » soupira Sofia « j'ai été promise en échange d'ententes commerciaux. »
« Fui avec moi... » dit Yuri en prenant ses mains
« Je veux sauver mon frère... » dit Sofia « Maximilien ne mérite pas de rentrer en France. Mon mariage l'oblige a rester... »
« Tu n'es pas obligée de faire ça... » souffla Sora
« Si. Maximilien a déjà trop sacrifié pour nous. Sa vie entière est dédié a rétablir notre honneur... » Sofia se tourne et regarde Sören dehors entrain de s'entraîner. « Il a tout sacrifié pour Mélissandre et moi... Notre père le battait, il a prit tout les coups pour nous. Je lui au moins dois ça. Il est heureux ici...du moins un peu »
« Tu ne lui dois rien... » souffla Yuri
« Tu ne comprends pas... Si je suis vivante, c'est à lui que je le dois. Mon père m'aurait tuer... » soupira Sofia « Je lui dois la vie. Alors j'épouserais cet homme qu'on m'a promis. Qui sait... ça ne sera pas si terrible... Adeline semble être heureuse. »
« Mais tu n'es pas Adeline... » dit Yuri en la regardant désespérée
« Non. Mais mon frère mérite mon sacrifice. » dit Sofia en sortant.
Sofia sortit de la chambre pour se heurter a Changmin. Elle sourit doucement et Changmin lui embrassa la main.
« Quel heureux hasard de croiser ma promise au détour d'un couloir. » souffla-t-il
« Le hasard fait si bien les choses. » dit Sofia en souriant. Elle prit le bras de Changmin « Parlez moi de vous... » souffla-t-elle
« Hors de question. Vous êtes ma priorité. » fit Changmin doucement
« Quel douce attention. » Sofia sourit... ça n'allait peut-être pas être si affreux que ça....
On changea encore de scène pour retrouver Sören, s’entraîner à mains nus contre Jaejoong et Andrew. Le suédois réussit a les mettre a terre tous les deux sans trop de problèmes.
« Quelle violence ... » souffla Diana avant de descendre les marches pour venir prendre Sören dans ses bras « Marie-Henriette a accepter d'épouser le conseiller et frère du général Chulsoo Seo... quant à Mélissandre.... » Diana se recula pour montrer en haut de la colline Elisa au bras de Suho et les deux glisser pour tomber dans les bras l'un l'autre... « Le lieutenant du général semble déjà épris de sa promise. » souffla Diana « Tu restes ici. » continua-t-elle
« Gilbert va adorer... » dit Andrew en relevant Jaejoong
« Qu'il aille donc se faire cuire un œuf ! » siffla Diana
Yoona arriva et trébucha. Diana sursauta, quand Andrew se tourna vers elle. Il vint l'aider a se lever et quand il vit qu'elle ne savait pas tenir sur sa jambe, il la souleva tel une princesse, devant le regard satisfait d'Elrick, Diana qui fut très étonné et Jaejoong qui hocha la tête en approbation. Andrew l'emmena dans sa chambre lui soigna la cheville. Yoona resta très étonné devant cet homme, qui s'en alla sans un autre mot. Il était si froid et semblait inaccessible. Quand il revint il ignora les regard et soupira. Andrew s'en alla pour croiser au détour d'un couloir, Jaejoong et Yunho s'embrassant. Il ressortit du bâtiment et se mit a genoux devant sa sœur.
« Moi, Arthur de Haillenarte, Marquis de Roses, Consul de France et Ambassadeur au nom de l'Empire demande la main de votre servante, Yikyung.. » lâcha-t-il solennellement
Gilbert recracha son thé, Elrick lâcha ses cartes, Sofia en lâcha ses livres, Elisa manqua de tomber de sa chaise, alors que Sören en lâcha son épée. Diana elle lâcha ses roses, sous le choc. Jamais elle n'aurait penser qu'il se marierait. Jamais elle n'aurait cru qu'un jour c'est a elle qu'il qu'Arthur demanderais la main de quelqu'un. Elle lança un regard a Yikyung, qui hocha doucement la tête.
« Arthur... tu es sur ? » demanda Diana doucement
« Affirmatif. » siffla Andrew froidement
« Alors d'accord... » murmura Diana
Andrew s'approcha de Yoona, la prit par la taille et vint lui embrasser le cou, puis ses lèvres avec passion. Yoona se laissa aller au baiser et on passa a une colline éloigné alors que le soleil se couchait. Soren arriva a cheval, et Heechul l'attendait sous l'arbre. Il descendit du grand cheval blanc et fixa Heechul.
« Qu'attendez vous de moi ? » demanda Sören
« Je ne sais pas... Que voulez vous de moi ? » demanda Heechul
« Rien que tu ne puisses me donner. » dit Sören doucement
« Et si c'était faux ? Et si j'étais près a vous... te donner ce tu veux ? » demanda Heechul
Sören s'approcha pour venir embrasser Heechul il était tendre cette fois. Heechul répondit au baiser et se laissa aller dans les bras du géant. Le soleil se coucha sur les deux amants s'embrassant au soleil couchant alors qu'on vit dans un autre plan Yunho et Jaejoong s'embrasser, Siwon et Diana faisant l'amour, Yoona et Andrew qui jouaient aux échecs, Suho et Elisa qui dansaient sous les étoiles, Changmin et Sofia lisaient dans les bras de l'autre et ...
Elrick était assis sur le toit, alors que les étoiles filaient dans le ciel, Minho grimpa a ses côtés et vint poser sa tête sur épaule. Elrick releva le menton Minho et vint cueillir ses lèvres avec tendresse pour terminer l'épisode.
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Comment réussir son rendez vous à chaque fois
Pour avoir un bon rendez vous qui laisse chacun de vous heureux et excité, vous avez besoin d'apprendre le secret pour réussir un rendez vous. Découvrez-le ici. [AdSense-A] Sortir ensemble et ou rencontrer de potentiel partenaire de couple est une partie intrinsèque de la vie simple, surtout si vous voulez trouver quelqu'un de spécial pour vous-même. Fixer un rendez-vous peut être fastidieuse. Mais ne pas savoir comment bien se comporter pour réussir son rendez vous peut être catastrophique pour tout le monde. Si vous voulez avoir un rendez-vous amoureux à succès, vous devez comprendre comment bien vous comporter dans toutes ses subtilités. Cela peut vraiment faire la différence entre un rendez vous heureux et un mauvais rendez-vous. Comment réussir son rendez vous et impressionner votre partenaire Tout le monde dit que la meilleure façon de trouver quelqu'un de spécial est en étant vous-même. Mais est-ce vraiment vrai ? Dans une certaine mesure, cela l’est. Mais pas tout le temps. Vous avez des attentes du rendez-vous et de la personne que vous allez rencontrer. Et la personne que vous allez rencontrer a les mêmes attentes aussi. Si en choisissant d'être vous-même, vous donnent des rares choses qui importent vraiment, les chances de plaire à votre partenaire peuvent descendre. Comment pouvez-vous réussir votre rendez vous ? Soyez vous-même, mais toujours se rappeler certaines choses qui comptent vraiment quand il vient d’avoir le rendez-vous parfait. Ces conseils pour un rendez-vous parfait sont simples, mais ceux-ci sont facilement négligés. Utilisez-les la prochaine fois que vous êtes à un rendez-vous, et vous aurez tous deux un meilleur temps qui peut mener à quelque chose d'encore mieux. [Lire: Les meilleurs endroits pour aller pour un premier rendez-vous] La règle des sexes Si vous êtes un mec, soyez chevaleresque et charmant. Traiter la femme avec laquelle vous êtes au rendez-vous comme une dame. Elle mérite toute votre respect et attention. Si vous êtes la fille, permettre à l'homme en votre compagnie de prendre les devants et prendre les décisions. Les hommes aiment quand ils se sentent comme s’ils sont au contrôle de la situation. Aidez-le à se sentir plus comme un homme et il vous aimera pour cela. Éviter les réponses d’une ligne Il est facile de répondre à toutes les questions par monosyllabes. Mais ne faites pas cela. Vous êtes tous deux à un rancard pour apprendre à connaître davantage l'autre et déterminer la compatibilité. En répondant à toutes les questions qui vous sont posées avec des phrases d’une ligne, vous rendez beaucoup plus difficile pour votre partenaire de converser avec vous. [Lire: Conseils de conversation pour le premier rendez-vous] Rappelez-vous que votre partenaire faire de son mieux pour garder une conversation. Aider en répondant à une question qui donnerait plus d'opportunités pour d'autres questions et conversations au-delà du rendez-vous. Concentrez-vous sur votre partenaire Apprendre à se concentrer sur votre partenaire, peu importe. Si vous échangez des regards avec d'autres bons spectateurs, cela serait extrêmement irrespectueux de votre partenaire. Et ils vont certainement vont vous traiter mal aussi. Ainsi, au lieu de mettre fin à un rendez-vous dans une mauvaise voie ou de se demander pourquoi il y a tant d'hostilité dans l'air, faites attention à votre partenaire. Et même si vous ne croisez un ami et arrêtez de parler, excusez-vous dans une trentaine de secondes, sauf si vous n’avez pas le choix. Ne pas répondre à votre téléphone Tout le monde sait cela. Mais vous le faites ? Répondre au téléphone et avoir une longue conversation à ce sujet tout en regardant votre partenaire jouer avec leur nourriture peut sembler amusant, mais c’est aussi quelque chose qui va mettre fin à votre rendez-vous d’amour à mi-chemin. Ne jamais répondre à votre téléphone lors d’un rendez-vous amoureux, sauf si vous le devez vraiment. Et même si vous le faites, mettre fin à votre conversation téléphonique dès que possible. [Lire: Comment apprendre à connaître quelqu'un pendant un rendez-vous] [AdSense-B] Parler de soi Il y a une ligne mince entre parler de vous et se vanter vous-même. Fouler cette ligne attentivement si vous voulez être un bon partenaire et faire que la soirée travaille en votre faveur. Ne jamais parler de vous d'une manière qui peut sembler prétentieux. Gardez des sujets délicats comme votre salaire et votre voiture loin pour un autre jour. Mais si vous voulez montrer votre argent ou votre travail, être discret à ce sujet et attendre que votre partenaire faire apparaître les questions en créant des conversations qui éloignent vers ces sujets délicats. En faisant cela, vous allez paraître comme humble! Ne pas s’habiller de façon inappropriée S’habillez occasionnel peut sembler comme la tenue parfaite pour un premier rendez-vous, mais si vous avez prévu un dîner ou un rendez-vous dans un salon chic, habillez-vous toujours de façon approprié pour cela. Ne jamais s’habiller de façon inappropriée ou parâtre toujours à mauvaise distance. Paraître bien et sentir bon, cela vous rend plus attrayant et digne de votre rendez-vous. Vous pouvez être en retard ou pressé de rencontrer votre partenaire à temps, mais cela n’est pas une excuse pour être mal habillé. Ne jamais embarrasser votre partenaire en vous habillant de façon inapproprié ou pressé, surtout si votre partenaire prend son temps à regarder leur meilleur de vous. Qui va payer? Le mec paie. Il le fait toujours. Si vous êtes la femme dans le rendez-vous, remerciez votre partenaire pour un temps merveilleux, mais ne pas tendre la main pour sortir votre portefeuille. Les rendez-vous d’amour peuvent être coûteux, mais ce n’est pas une excuse pour un gars de traiter une femme, il peut éventuellement sortir avec elle comme si elle était son amie. Payer pour le dîner est un petit signe de reconnaissance qu’un homme doit afficher pour remercier la femme avec laquelle il est. S’il ne peut se permettre de payer le dîner, peut-il vraiment se permettre d’avoir un rendez-vous et sortir avec vous sur une base régulière ? Maintenant, cela est un sujet controversé et sensible dans l’étiquette des rendez-vous d’amour, mais les hommes, faites-nous confiance. Payer le dîner. Cela est la bonne chose à faire. Où est votre visage du jeu ? Se mettre dans votre meilleur côté, peu importe la façon dont le rendez-vous se passe. La première impression est la plus importante. Mais parfois, un rendez-vous pourrait être un diamant brut dans la saleté qui ne demande qu'à être révélé. Même si votre partenaire est timide ou timorée, soyez chaud. A moins qu'il est rustres odieux, essayer d'avoir un bon moment. [Lire: Les questions indiscrètes à poser lors d’un rendez-vous] Ne jamais révéler votre déception Ne pas montrer votre déception. Vous pouvez penser que vous passez un mauvais rendez-vous, mais apprendre à se familiariser avec cela. Vous ne savez jamais comment le rendez-vous pourrait progresser si tout ce que vous voulez faire est de bouder, grogner et jeter une crise de colère. Et même si votre rendez-vous ne correspond pas à votre description d’un rendez-vous parfait, cela ne vous donne aucune excuse pour insulter quelqu'un ou faire qu'il se sent mal à ce sujet. [Lire: Comment bien mettre fin à rendez-vous] Avoir un comporter agréable Toujours mieux vous comporter. Aidez votre partenaire à sortir et se mettre à l'aise et être heureux avec vous. Et rappelez-vous toujours de remercier votre partenaire, même si il ne sort pas le meilleur de lui pour vous aider. Être un partenaire gracieuse qui sait comment réussir un rendez-vous peut faire que votre partenaire se sente mieux, et vous une meilleure personne. [Lire: Comment démarrer une nouvelle relation parfaitement] Utilisez ces conseils pour avoir un meilleur rendez-vous la prochaine fois que vous rencontrez quelqu'un de nouveau. Vous verrez combien un rendez-vous peut devenir passionnant et agréable en peu de temps lorsque les deux vous vous libérez pour faire que l'autre personne se sent mieux. [AdSense-C] http://commentaborderunefille.org/?p=1486
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Cher journal 2
Cher Journal,
C'est mon premier jour, enfin non, il est exactement 10h du matin, ça fait donc 26h que je suis là. Lorsque je suis arrivée devant cet établissement des frissons, des tremblements, la peur, tout ça m'a enveloppée, tout ça m'a rendue folle. J'ai commencé à hurler, à pleurer, je ne voulais pas y aller. Je suppliais ma mère avec des :
“j'te jure maman, me laisse pas y aller. J'vais mourir. Retournons à la maison. J'irai voir un psy j'te jure. Mais m'enferme pas. J’t'en supplie. Maman. MAMAN !! Je t’expliquerai tout je te le jure, tu ne peux pas me faire ca, je suis ta fille”
Mais elle était impassible. Ça devait l'arranger. Personne ne saurait. Elle pourrait mentir en disant que je suis juste malade ou encore en vacances chez de la famille. Elle ne pleurait même pas. Elle ne me répondait même pas. C'était horrible. Je ne la comprenais pas. Pourquoi? Pourquoi moi? Sa propre fille? M'envoyer dans cet endroit qui pue la mort, dans cet endroit où on n'existe plus. Dans cet endroit où on s'abandonne à des numéros de chambres, des murs blancs, une odeur qui vous hante même dans nos rêves. Ce monde est intemporel. On existe plus. Et je ne veux pas y aller. Je continue mon vacarme. Je hurle, je pleure, je me tire les cheveux, je tremble. Je sais plus quoi faire. J'ai l'impression d'être une folle. Non, je suis une folle. Je le suis. Ma mère me regarde enfin et me dit :
- Sors de la voiture. Tu iras dans cet endroit. C'est pour ton bien.
Ces mots résonnent encore dans ma tête aujourd'hui. “C'est pour ton bien”, ça veut dire quoi? Enfermer son enfant? L'envoyer en enfer? C'est ça le bien? On ne me demande même pas mon avis bordel. J'ai peur. J'ai vraiment peur. J'ouvre la bouche pour la supplier encore une fois. Elle hurle ces mots:
- LA FERME. LA FERME. TU VAS Y ALLER UN POINT C'EST TOUT.
Je ne sais plus quoi faire. Je vois ma mère, complètement enragée. Alors je me tais. Je m'exécute, je prends mon sac, je sèche mes larmes, je me recoiffe, m'habille de mon plus joli sourire et j'ouvre la porte de la voiture. Je suis face à cette grande bâtisse, je tremble un peu, j'essaie de gérer cette angoisse qui me prend par les tripes. Impossible ce serait trop facile, je me mets a courir le plus vite possible en sens inverse, ma mère sort, monte les escaliers. J'ai peur, elle est toujours là cette peur. elle entre, l'accueil. Ma mère donne mon nom et prénom, et des infirmiers se mettent à me poursuivre après. je suis tel un gibier traqué. ils m’ont attrapé c’est la fin, l’heure de ma condamnation, de ma mise a mort. J’ai peur. on me demande mon sac, on vérifie s'il n'y a pas des choses coupantes ou autres. Adieu mes livres, a dieu mes lames. Apres avoir trouvé des lames dans mes vetements ils me les supprime. je suis en chaussete et blouse en attendant que mes parents me ramenent d’autres vetements, je suis la seule comme ca. J'enlève mes lacets pour ne pas m’etrangler avec, je n'ai pas de ceinture, on me demande même mes collants. Je les enlève, les lui donne. Puis on va dans ma chambre. L'air dans l'hôpital est plus rude, c'est comme s'il me compressait les poumons. J'ai vraiment du mal à respirer, on arrive devant une porte. Sûrement ma chambre. Numéro? 28. Horrible. Maintenant je serai Mademoiselle de la chambre 28. Etage numero 2 et chambre 8. Mon identité est partie, je suis la 28. Mes pathologies sont ecrites sur la porte à la vue de tous, mon dieu j’ai honte. Elle ouvre la porte, la chambre sent le mort et le renfermé. Mes larmes montent. Non il faut que je reste forte. Je souris. Il n'y a qu'un pauvre lit une place, les murs sont blancs, le carrelage est blanc aussi, il a l'air froid, comme cet hôpital. Une fenêtre avec des barreaux ajoute une luminosité morose dans cette chambre. La dame nous dit :
- Ce sera votre chambre pendant votre séjour ici. J'espère qu'elle vous plaît. Je vous laisse vous installer, je vais informer le médecin de votre arrivée. Au revoir.
Ma mère lui dit:
- Attendez, je viens avec vous.
- Vous ne dîtes pas au revoir à votre enfant?
- C'est déjà fait.
Elle tourne les talons et s'en va, me laissant seule. La porte se ferme, un léger écho se fait entendre. Je m'effondre, je pleure toutes les larmes qu'il me reste. J'étais seule, ici. Je voulais partir. J'ai peur. J'ai tellement peur, ça me ronge, ça me coupe les entrailles, j'ai peur bordel. Le médecin est venu m'expliquer ce qui allait se passer. Si je coopère tout ira bien et je rentrerai vite. Je l'avais compris. Mais comment coopérer quand l'envie de vivre n'est plus là? Juste après ça il est partit, on m'a apportée un plateau: en entrée des tomates avec de la mozzarella, en plat principal de la purée et du poisson et en dessert un yoghourt nature. Je prend le yoghourt, il n'est pas allégé. Je veux pleurer. Je mange la moitié et laisse le reste. Je veux me couper, ma vie est un enfer, je veux lui plaire, je sais qu’il m’attend dehors, je sais qu’il m’attend au tourant, je sais qu’il en attend beaucoup de moi. Je l’aime malgré tout le mal qu’il me fait. Je prends un livre de la bibliotheque et commence à lire. C'est le seul moyen pour moi de m'évader de cet endroit. J'ai pas dormi de la nuit. J'avais trop peur. J'entendais des bruits bizarres, comme des cris étouffés, il faisait froid dans cette chambre 28. J'avais peur. Une infirmière passe toutes les 15minutes, j’ai un filet de lumière sous ma porte qui me rappelle que je suis vivante et des adultes hurlent la nuit. J’ai peur
Voilà mes 26 premières heures en enfer.
À demain.
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