#'eau et de la nourriture
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sabinerondissime · 2 months ago
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La neige a tout recouvert en surprenant tout le monde de part son abondance. Ce matin, je n'ai plus ni eau chaude, ni chauffage. Je me réchauffe sous des couches de pulls que j'empile les uns sur les autres. Dehors, tout est blanc immaculé. Le peu de bruit qui persiste semble étouffé par ce manteau épais. Les animaux se terrent à l’abri, seuls quelques oiseaux s’aventurent dans le ciel en quête de nourriture. Heureusement, j’ai pris l’habitude de laisser des graines et des miettes de pain à leur disposition.
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from-derry · 11 months ago
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Voici enfin la tant attendue annexe de la vie quotidienne. C’est en réalité la première partie de l’annexe concernant Derry et de ce fait l’une des plus importantes. Elle pose vraiment les bases du lore.
Quelques petites précisions importantes avant d’entamer votre lecture :
- c’est un premier jet ! Compte tenu du nombres de questions qui trouvent leur réponse dans cette annexe, nous la publions maintenant.
- Elle sera sujette à changements, réorganisation, ajouts jusqu’à l’ouverture du forum.
Vie quotidienne
La vie à Derry est résolument tournée vers la survie de la communauté. On organise le quotidien autour de tâches utiles, voire essentielles au bon fonctionnement général. Il est attendu que tout le monde participe à l’effort collectif.
Technologie :
L’eau courante et l'électricité sont présentes à Derry, sans que personne n’en connaisse l’origine. 
Il n’existe aucun moyen de communiquer avec le reste du monde. Internet, le réseau téléphonique, la radio, rien ne semble fonctionner à Derry. Parfois, si on joue avec les stations de radios, il peut vous sembler entendre des voix ou de la musique, mais c’est bien souvent très fugace. 
A l’intérieur de Derry, les communications par talkie-walkies fonctionnent, pour peu d’avoir du matériel fonctionnel. Chaque leader de groupe de la communauté en possède un qui permet de communiquer entre la ville et la maison en cas d’urgence. 
Il arrive que certains objets électroniques s’animent seuls sans que personne n’y touche. Les lumières s’allument aussi parfois seules... ou s’éteignent. Les habitants ont pris l’habitude de l’ignorer. 
À Derry, l’utilisation des appareils électriques modernes est assez aléatoire. Parfois cela fonctionne, parfois pas du tout, sans qu’aucune logique ne se démarque. Il n’est pas toujours possible de recharger ces derniers. 
Nourriture et repas : 
Les habitants de Derry vivent en autonomie complète et ne peuvent consommer que ce qu’ils trouvent ou produisent. Les épices se font rares, de même que les sucreries, le café ou tous vivres de la sorte. Les habitants produisent par contre de l’alcool artisanal, pas toujours très bon, mais efficace. Il est fait souvent à partir de pomme de terre ou de maïs. On y distille aussi de l’excellente eau de vie à partir de la production de fruits. 
Au centre bourg, les repas sont traditionnellement servis au diner et il est de coutume d’aller manger le matin afin de partager avec le reste de la communauté. En journée, le diner est ouvert à tout le monde pour un café ou une collation. Il est possible, pour les habitant·es du centre bourg de venir le soir prendre à manger à emporter pour celles et ceux qui ne cuisinent pas. 
A la maison commune, les repas sont pris en commun et préparés à tour de rôle par les résident·es selon un calendrier pré-établi. Il n’est pas obligé de manger ensemble, mais les repas sont souvent partagés entre la cuisine, la salle à manger et le salon en fonction des conversations. 
Locomotion :
S’il y a des voitures à Derry, on ne trouve pas d’essence autre que celui provenant des véhicules échoués dans la ville. On s’y déplace principalement à pied ou à vélo. Les véhicules fonctionnels sont réservés aux urgences. 
Santé et hygiène :
L’accès aux médicaments est aussi strictement régulé. Ces derniers sont une denrée particulièrement rare. Il arrive parfois à un habitant chanceux de découvrir au hasard de ses promenades une trousse de secours. Pour la majorité des soins, il faut compter sur le savoir collectif qui se transmet au fil des générations et de la formation des nouveaux soignants. Les produits d’hygiène et de soin sont principalement produits par les herboristes. 
Saison et rythme de vie :
La vie de Derry est principalement dictée par les saisons et l’heure à laquelle le soleil tombe. Ainsi, la période hivernale est plus morne que l’été. Les sociabilités se font et se défont au fur et à mesure des saisons. 
Le temps d’activité ne s’organise pas en horaire de bureau, mais en fonction des besoins ou de la demande. Certains rôles sont plus demandeurs que d’autres. A quelques exceptions comme le travail d'élevage, il est rare qu’on occupe toute la journée son poste, c’est plus souvent en demi journée qu’on s'organise. 
Moeurs générales :
Derry vit coupée du monde et de son évolution générale. L’arrivée de nouveaux habitants dans la ville donne toujours la mesure du temps qui est passé, plus que n’importe quelle technologie devenue obsolète. On peut évaluer le temps vécu à Derry à la mentalité de chacun·e. 
Talisman :
Il est de coutume d’accrocher près de l’entrée principale un talisman. Celui-ci est gravé dans le bois, la pierre ou dans un bout de poterie. On y reproduit des symboles dont personne ne connaît le sens exact. La croyance est qu’il empêchent les créatures de passer par l’entrée protégée. On ignore s’ils ont un véritable effet. Personne à Derry ne sait qui a trouvé ou inventé les talismans, mais ils sont en place depuis toujours, semble-t-il. Personne ne s’est risqué à sortir avec un talisman autour du cou la nuit pour s’assurer qu’ils étaient réellement efficaces. Difficiles à reproduire, ils s'abîment rapidement, se brisent assez souvent lorsqu’on fait cuire la poterie et trouver des pierres suffisamment grosses et non friables pour les graver est souvent compliqué. Ils sont donc rares et considérés comme précieux. 
Sanctions :
Il n’existe pas de lois à proprement parler à Derry, outre la convention du partage des biens. Les shérifs des années passées ont néanmoins instauré deux sanctions. 
Construite devant l’ancienne poste, il y a une boite où l’on enferme les habitants durant une nuit pour les punir d’un petit délit. Ceux-ci sont laissés à l’appréciation du shérif en place. De mémoire actuelle, la boite n’a pas été utilisée. Les crimes (comme le meurtre) sont punis par le bannissement - cela équivaut à une peine de mort puisque sans talisman, personne ne survit longtemps dans les bois entourant Derry.  
Cachettes :
Dans les rares cas où l’on se retrouve dehors à la nuit tombée, il existe quelques cachettes connues des habitants. D’un confort rudimentaire, elles ne sont à investir qu’en cas d’extrême urgence et ne garantissent pas une aussi bonne protection que les habitations.  
Confort de vie :
De nombreux objets du quotidien en dehors de Derry manquent ou se font rares. Le plus souvent, c’est le système débrouille qui prime. On recycle beaucoup, on reprise énormément et on tire les machines jusqu'à ce qu'elles rendent l'âme.
Armement :
Les armes à feu sont interdites à Derry, du moins en principe. Il y en a quelques unes à dispositions chez le Shérif et sous contrôle d’Isidro à la maison commune, mais il est admis que sauf raisons particulières il n’est pas autorisé d’en posséder. Bien sûr, il est toujours possible de contourner la règle et d’en dissimuler mais si on découvre la vérité, gare aux conséquences. 
Relations centre-bourg / maison commune :
Les relations entre la maison commune et le Centre-bourg sont dans l’ensemble plutôt bonnes. L’ouverture de la maison commune a laissé néanmoins des traces dans la mémoire de Derry que l’on peut retrouver aujourd’hui. Les habitant·es de la maison commune ont tendance à rester ensemble, si bien que lorsqu’ils descendent en ville dans les lieux communs, on peut ressentir une sorte de réserve mâtinée de méfiance. Les habitant·es du Centre-bourg ont toujours l’impression artificielle qu’on vient piquer dans leur garde-manger. C’est notamment grâce au chassé-croisé des activités dans les différentes communautés que l’ambiance reste agréable malgré tout.
Éducation :  
La ville compte très peu d'enfants, l'école ne possède donc qu'une classe unique. On y apprend à lire, écrire, compter ainsi que les connaissances pratiques pour survivre au quotidien à Derry, comme faire son savon, planter des graines, raccommoder ses vêtements, etc. 
Animaux :
On trouve quelques animaux à Derry et plusieurs cas de figure. Certains sont arrivés avec leur propriétaire dans la ville. Certains apparaissent de façon inconnue. Il est possible de les attraper et de tenter de les domestiquer. Le bétail est assez limité : quelques vaches, quelques chèvres, quelques cochons, quelques poules. 
 Concernant le gibier, on trouve principalement de petits animaux sauvages : lapins, oiseaux, lièvre, faisan, etc. Le grand gibier existe mais se fait plus rare. Il faut souvent s’enfoncer loin dans les bois pour le débusquer et cela n’est pas sans risque. 
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alleyesonrafah · 7 months ago
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“Dear Sir/Madam,
Hope you and your loved ones are doing well in these tough times! I'm Nermen and could really use your help. Not just for me but my family and lots of people who are suffering like us. A lot has happened - we have lost our homes our homes after being forced to move. Many of us now live crowded together under unsafe conditions.
We used to have houses but after they got bombed up we're currently holed up in tents trying desperately just to survive one day at a time…
Following 4 brutal months of war here in Gaza which has stripped us from essentials- food, water, power...it's hard to survive. Our houses were blown up during the strikes and now a tent is what we call home.
Things ain't looking great - we're struggling big time and it's even more devastating seeing our kids not having food or water, falling sick without medical care, simply because they can't get their hands on basic resources or any kind of support.
In these challenging times, I and my family are helplessly facing extraordinarily difficult circumstances without even being able to meet the most basic needs. It is indeed heart-wrenching to feel such desperation all around us; hence our plea for assistance at present.
Therefore I implore for your assistance – any contributions will be gratefully received towards alleviating at least some aspect of our collective hardship.
sincerly
Updating;
A 4 weeks ago I lost my sister Nadreen 30 years old and her three kids ( Anas 12 years old , Ali 10 years old and Ameer 8 years old ) in this cursed war ! Its imaginable …
my innocent sister and her children were sheltering in a rented house in the (safe area) and the house was completely bombed and they were found in pieces, may their souls rest in peace.
help me evacuate my whole family, every contribution counts and makes a big difference, thank you for your support
The money that we get gonna be covering all for evacuation and to help my family to start new life in a safe place ( irs arround 30 members and each one cost him arriund 5k for to get tanseeq with egypt border to be able to pass trough Rafah
Cher Monsieur/Madame,
J'espère que vous et vos proches allez bien en ces temps difficiles ! Je m'appelle Nermen et j'aurais vraiment besoin de votre aide. Pas seulement pour moi, mais aussi pour ma famille et pour beaucoup de personnes qui souffrent comme nous. Beaucoup de choses se sont passées : nous avons perdu nos maisons après avoir été forcés de déménager. Beaucoup d’entre nous vivent désormais entassés dans des conditions dangereuses.
Avant, nous avions des maisons, mais après qu'elles ont été bombardées, nous sommes actuellement enfermés dans des tentes, essayant désespérément de survivre au jour le jour…
Après 4 mois de guerre brutale ici à Gaza qui nous a privé de l'essentiel : nourriture, eau, électricité... il est difficile de survivre. Nos maisons ont explosé pendant les frappes et maintenant une tente est ce que nous appelons notre maison.
Les choses ne s'annoncent pas bien - nous luttons énormément et c'est encore plus dévastateur de voir nos enfants sans nourriture ni eau, tomber malades sans soins médicaux, simplement parce qu'ils ne peuvent pas mettre la main sur les ressources de base ou tout type de soutien. .
En ces temps difficiles, ma famille et moi sommes confrontés, impuissants, à des circonstances extraordinairement difficiles, sans même être en mesure de répondre aux besoins les plus élémentaires. Il est en effet déchirant de ressentir un tel désespoir autour de nous ; d'où notre appel à l'aide à l'heure actuelle.
C’est pourquoi j’implore votre aide – toute contribution sera reçue avec gratitude pour atténuer au moins certains aspects de nos difficultés collectives.
sincèrement
Mise à jour ; Il y a 4 semaines, j'ai perdu ma sœur Nadreen 30ans et ses trois enfants (Anas 12 ans, Ali 10 ans et Ameer 8ans ) dans cette guerre maudite ! C’est imaginable… ma sœur innocente et ses enfants se réfugiaient dans une maison louée dans la (zone sûre) et la maison a été complètement bombardée et ils ont été retrouvés en morceaux, que leurs âmes reposent en paix. aidez-moi à évacuer toute ma famille, chaque contribution compte et fait une grande différence, merci pour votre soutien
L'argent que nous recevrons va couvrir tout pour l'évacuation et pour aider ma famille à commencer une nouvelle vie dans un endroit sûr (il compte environ 30 membres et chacun lui a coûté environ 5 000 $ pour obtenir Tanseeq avec la frontière égyptienne et pouvoir passer par Rafah.
Updates (1)
April 8th, 2024
by Nermen Alnawajha, Organizer
Merci beaucoup pourvotre contribution et générosité, sachez que vous faites une grande différence , svp partagez avec vos amis .
Thank you very much for your contribution and generosity, know that you are making a big difference, please share with your friends.”
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uneviesimplealacampagne · 2 months ago
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La neige a tout recouvert en surprenant tout le monde de part son abondance. Ce matin, je n'ai plus ni eau chaude, ni chauffage. Je me réchauffe sous des couches de pulls que j'empile les uns sur les autres. Dehors, tout est blanc immaculé. Le peu de bruit qui persiste semble étouffé par ce manteau épais. Les animaux se terrent à l’abri, seuls quelques oiseaux s’aventurent dans le ciel en quête de nourriture. Heureusement, j’ai pris l’habitude de laisser des graines et des miettes de pain à leur disposition.
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jamie-007 · 3 months ago
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L'Unicef 💗
Vivre la tête haute grâce à l'éducation..
Prendre en main son avenir au sein de sa communauté..
Réaliser ses rêves,
Créer la magie et transformer les dons en livres, en briques pour les écoles, en nourriture, en four, en eau...
Permettre la résilience par l'éducation,...
Protéger l'enfance des violences et abus sous toute forme que ce soit, morale, physique, sexuelle...
Mettre en place des programmes éducatifs au niveau politique, sanitaire, et familial.
Offrir la connaissance pour favoriser l'investissement social des filles autrement que par le mariage.
Une mission qui sera jamais totalement accomplie, mais en perpétuelle évolution ... Toujours de nouveaux défis pour les droits humains, même en Belgique..
Donnons 💗
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transparentgentlemenmarker · 7 months ago
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Fabrication de glace pendant l'Empire Perse au milieu du désert : le Yakhchal ou « Ice Pit » est une méthode architecturale qui a été utilisée pour produire de la glace et préserver la nourriture. Les Perses faisaient déjà des tonnes de glace et congelaient de la nourriture dans le désert il y a 2 400 ans.
1- Conception de la structure : Le Yakchal avait une forme de dôme avec des murs épais en briques et en argile. Cette construction a permis de maintenir une température fraîche à l'intérieur de la chambre forte.
2- Collecte d'eau : Pendant l'hiver, l'eau a été ramassée dans les rivières ou dans la fonte de la neige dans les Cette eau a été dirigée vers le Yakchal à travers les canaux.
3- Processus de congélation : L'eau a été distribuée dans de petits étangs ou piscines à l'intérieur de Pendant la nuit et dans les heures les plus froides de la journée, l'eau gelait à cause des basses températures du désert la nuit.
4- Stockage de glace : une fois gelée, la glace a été coupée en blocs et stockée dans la partie la plus basse du Yakchal, où la température était la plus froide. La forme du dôme et l'isolation naturelle des murs ont aidé à garder la glace gelée pendant de nombreux mois.
5- Utilisation ultérieure : Pendant l'été, la glace stockée a été utilisée pour refroidir les boissons, conserver les aliments ou même à des fins médicales si nécessaire. Bref, le Yakchal a profité du froid naturel des nuits désertiques pour créer et préserver la glace, en utilisant des techniques de stockage et d'isolation thermique simples mais efficaces.
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orphelinataveomonde · 1 year ago
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𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮𝘂𝘅 𝗮𝗰𝘁𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻𝗳𝗮𝗶𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 !
Au moment où nous acheminons vers les fêtes de fin d'année, l'orphelinat Aveo Monde vous donne la possibilité d'agir à ses côtés pour soutenir les enfants vulnérables, les orphelins, les veuves et les personnes en difficulté vivant non seulement dans la ville de Pointe-Noire mais également dans les coins et recoins du pays. Grâce à vos dons tels que nourriture, eau, vêtements, médicaments, produits de toilette, ustensiles de cuisine, chaises, cadeaux infantiles et autres objets nécessaires, l'orphelinat Aveo Monde met tout en œuvre pour redonner le sourire et un avenir meilleur aux personnes les plus défavorisées, particulièrement les enfants désavantagés. Pour ce faire, si vous souhaitez y contribuer, nous vous prions de bien vouloir déposer directement votre don à l'orphelinat Aveo Monde situé au quartier Makayabou, non loin de l'école kouanga Makosso, côte-à-côte avec la Radio Bonne Nouvelle. Pour de plus amples informations, veuillez nous contacter au 06.902.62.55.
𝙀𝙣𝙨𝙚𝙢𝙗𝙡𝙚, 𝙙𝙤𝙣𝙣𝙤𝙣𝙨-𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙙𝙚 𝙨𝙤𝙪𝙧𝙞𝙧𝙚 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙩𝙚𝙧𝙢𝙞𝙣𝙚𝙧 𝙡'𝙖𝙣𝙣é𝙚 𝟮𝟬𝟮𝟯 𝙚𝙣 𝙗𝙚𝙖𝙪𝙩é !!!!
Que Dieu vous bénisse tous!
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En ce matin d'octobre, les trois aventuriers atteignirent un objectif secondaire pour certains, principal pour d'autres: la douche! Après trois jours dans la boue et la poussière, enfin les corps respiraient propreté.
Suite à ce debut de journée tutoyant la perfection, un autre besoin vital s'imposa: manger! Nous découvrîmes alors, pour notre plus grand plaisir, que notre nourriture et celle de Patochimbo était très bon marché (25 centimes le litre d'essence dans les bons endroits).
Ainsi, ivres de notre richesse, nous eûmes les yeux plus gros que le ventre (en réalité une portion française correspond à celle d'un bébé argentin).
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Suite à une glace en compagnie d'unpetit oiseau, nous nous rappellâmes enfin la raison de notre voyage (si raison il y a).
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Nous traînions donc notre panse pleine sur 200 mètres d'un dénivelé très positif, dans le but d'observer un des plus beaux panoramas du monde selon le guide du touillard. Les images ci-dessous se passent de mots.
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Redescendant ce cet Olympe du tourisme, nous trouvions, absolument pas par hasard, un Eden caché au détour d'une route de terre.
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Ayant transpiré 3 gouttes durant la montée, Docteur X décida de faire des acrobaties aquatiques au dessus d'une eau à 5°. Sa chute inévitable ne fut malheureusement pas immortalisée par les photographes présentes sur place.
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Une fois l'hypothermie passée, la journée se terminait sur un dîner frugal dans la brise vespérale d'un coucher de soleil rougeoyant.
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jezatalks · 2 years ago
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Je n'ai le droit qu'à 647€ de chômage/mois pendant 1 an et 2 semaines.
Alors OK, je suis pas dépensière, mais c'est limite pour vivre ? J'espère que mes apl (si CAF traite mon dossier) augmenteront parce que c'est limite pour vivre.
D'accord, ma part du loyer ça équivaut à peu près 200€. Je dépense à peu près autant pour la nourriture (resto compris). Je met en moyenne 50€ de carburant comme on n'utilise pas trop la voiture. Les abonnements/mutuelle/eau et autres services ça me fait à peu près 60€ mois.
Donc rien qu'avec ça j'en suis environ à 520€/mois. Je ne touche plus mes APL depuis septembre, la prime d'activité ne va pas être haute.
Je change de verres et lunettes, et même si j'ai une bonne sécu ça revient cher.
Je ne pourrais pas m'offrir des petits plaisirs/à côté, je me connais, j'ai du mal à dépenser autre que de l'utile.
Je ne pourrais donc pas facilement mettre de côté tous les mois. En plus, on va devoir changer de voiture avant l'été car la notre va un peu trop souvent au garage ces derniers mois.
Je vais demander à avoir un rendez vous pour mieux comprendre. Car même si je travaille un peu à côté, ou parvienne à vendre mon art, ça se déduira des ARE, et donc ne toucherai que les 647€. Vu que mes revenus et le chômage ne sont pas cumulables...
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aurianneor · 2 years ago
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Commerce équitable et bio
J’entends plein de bonnes idées sur le commerce équitable ou bio mais il m’en vient une réaction et une réflexion.
Tout d’abord, je pense qu’il est excessif d’imaginer un changement substantiel reposant sur le consommateur payant plus. Dans la majorité des pays d’Europe, nos producteurs sont payés une misère par les intermédiaires car ils vont pouvoir vivre des subventions, donc d’argent public qui vient justement de la poche des consommateurs qui paient aussi pour les frais de santé conséquents de la nourriture industrielle des pollutions et du chômage. En définitif, le consommateur a déjà payé via les taxes, les 3/4 du produit bon marché sur l’étagère avant même de l’acheter. Dur dans ces conditions de lui demander de choisir le produit “équitable” et plus cher d’à côté qui lui n’est pas subventionné.
Maintenant une réflexion plus générale:
Mon point de vue est que la révolution néo-libérale de la fin des années 70 est venue avec un corpus idéologique comprenant que l’Etat devait réglementer le moins possible mais subventionner plus. Un chèque pour l’essence, un autre pour la nourriture, des subventions aux producteurs comme aux consommateurs permettant des prix bas. Cet abandon du rôle de l’Etat protecteur permet aux industriels de ne pas subir les conséquence (pauvreté, santé, chômage) de leur modèle. Ce même principe s’applique dans les pays “à bas coûts”. En effet ce n’est pas par amour du Bangladesh qu’une marque produit là-bas mais parce que cet état comme d’autres ne joue pas son rôle de protecteur pour sa population ( ne pas polluer, ne pas faire travailler ses enfants, ne pas détruire ses ressources naturelles).
Cette idéologie a aussi été le compas d’organisation comme l’OMC (Organisation mondiale du commerce) qui a ouvert le commerce international en partant du principe que le simple fait de commercer et s’enrichir mutuellement produirait le développement pour tous. En conséquence, même si nous en venions à mieux “protéger” en Europe, la justice pour nos producteurs serait de ne plus importer de pays qui ne sont pas engagés dans la protection de leur propre population et environnement.
Je pense que cette réflexion va au-delà des biens de consommation. Par exemple, l’Etat providence va fournir une aide à un handicapé pour surmonter une marche, au lieu de se demander en premier lieu pourquoi ne pas lever l’obstacle et permettre à la personne de vivre dignement. Bien sûr il y aura toujours besoin que la communauté aide ses plus vulnérables mais aujourd’hui cet argument est exploité pour le profit des intermédiaires.
Il faudrait imposer des critères respectueux de l’environnement à l’interne comme à l’import car ils sont moins coûteux pour les citoyens et garantissent un respect des sols nécessaires à la pérennité de l’exploitation et à la régulation climatique. En effet, les exploitations industrielles appauvrissent les sols et à terme les rendent infertiles et sans eau qui régule la température.
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valentin10 · 18 days ago
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Dans le nord de Gaza, seule une dizaine de camions a livré de la nourriture et de l'eau en deux mois et demi, selon Oxfam
L’ONG dénonce “des retards délibérés et des obstructions systématiques de la part de l’armée israélienne”. — À lire sur www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/dans-le-nord-de-gaza-seule-une-dizaine-de-camions-a-livre-de-la-nourriture-et-de-l-eau-en-deux-mois-et-demi-selon-oxfam_6972272.html
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wacknotes · 1 month ago
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Le #numérique est-il une #eau pure qui nous vivifie ou une source trouble qui nous égare ?
L’eau, ce liquide essentiel à la vie, compose près de deux tiers de notre corps, tout comme elle recouvre deux tiers de la surface de la Terre. Cette proportion symbolique nous rappelle à quel point l’eau est indispensable à notre existence.
Elle est le symbole de la vie par excellence, une bénédiction d’Allah qui étanche notre soif, purifie nos corps et rafraîchit nos esprits.
Sans elle, il n’y a pas de vie, comme le souligne le Coran dans la Sourate Al-Anbiya (21:30) : “Nous avons fait de l’eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas ?”.
En outre, la pluie, cadeau du ciel, nourrit les végétaux, les animaux. Elle produit les protéines animales et végétales dont nous avons besoin pour survivre.
De surcroît, lorsque nous pleurons, c’est de l’eau qui coule de nos yeux, témoignant de nos émotions. Mais qu’en est-il du numérique ?
Mais qu’en est-il du numérique ?
Tout comme l’eau, le numérique coule désormais dans nos vies, se répandant dans chaque instant, chaque recoin de nos échanges.
Il peut être une source de connaissance et de connexion, une force qui nous réunit. Cependant, il peut aussi devenir une vague déchaînée qui emporte tout sur son passage si nous ne l’utilisons pas avec discernement.
De la même manière que l’eau est indispensable à notre survie, le numérique est devenu essentiel dans notre société.
Mais attention : tout comme une eau stagnante peut devenir toxique, le numérique peut, s’il est mal utilisé, nuire à notre bien-être.
Quand nous échangeons sur les réseaux sociaux, nos mots peuvent purifier et apaiser, ou au contraire polluer et diviser.
Et si nous choisissions de faire du numérique une eau vivifiante ?
Si nous utilisions des mots bienveillants, doux et apaisants, à l’image de l’eau qui fertilise la terre, notre société en serait grandement transformée. Nos paroles, comme une eau claire, peuvent irriguer les cœurs et multiplier le bonheur.
L’eau est douce, rafraîchissante. Imaginons que nos conversations sur le numérique aient cette même pureté et douceur. Que chaque mot soit une goutte d’eau vive, capable de fertiliser le terreau de nos interactions sociales.
Le Coran nous rappelle la sagesse de l’équilibre et de la modération en toute chose. Dans la Sourate Al-A’raf (7:31), Allah dit :
“Ô enfants d’Adam ! Prenez vos parures à chaque lieu de prière ; et mangez et buvez ; et ne commettez pas d’excès, car Il [Allah] n’aime pas ceux qui commettent des excès.”
Cela s’applique à la nourriture, à l’eau, mais aussi au numérique. Une utilisation excessive peut avoir des effets dévastateurs, tout comme une inondation peut anéantir les récoltes qu’une pluie douce aurait pu faire pousser.
Toutefois, si nous ne faisons pas attention, ce même numérique peut devenir une tempête dévastatrice.
La Sourate Al-Baqara (2:205) nous avertit : “Quand il s’éloigne, il parcourt la terre pour y semer la corruption et détruire les cultures et les récoltes. Et Allah n’aime pas la corruption.”
De la même manière, les paroles malveillantes peuvent, comme une pluie acide, polluer nos échanges, semer la division et nuire à notre bien-être commun.
Le numérique, comme la pluie, peut aussi être une bénédiction. Grâce à lui, nous produisons aujourd’hui des protéines à travers la biotechnologie verte, qui nous nourrit, et la biotechnologie rouge, qui nous soigne.
Nous avons aussi l’intelligence artificielle, capable de nous améliorer ou de nous autodétruire, comme l’eau qui peut être source de vie ou de destruction.
Tierno Bokar, le sage maître d’Amadou Hampâté Bâ, nous enseigne : “La parole est un fruit, dont l’écorce est bavardage, la chair éloquence, et le noyau bon sens.”
À l’ère du numérique, il est plus que jamais nécessaire de veiller à ce que nos paroles apportent la vie, l’unité et l’apaisement.
Si nous cultivons des échanges nourrissants et bienveillants, comme une pluie douce qui fertilise nos terres, notre société en sera transformée. Elle deviendra plus prospère, plus joyeuse et, surtout, plus saine.
Que nos échanges numériques soient une source de vie et de bienfaits, à l’image d’une pluie pure qui nourrit, rafraîchit et purifie les âmes.
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christophe76460 · 1 month ago
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O2Vie 334-2024/08 : Les bontés de Dieu ne sont pas épuisées (5)
Psaumes 100:5 : “Car l'Éternel est bon ; sa bonté dure toujours, Et sa fidélité de génération en génération.”
Servir Dieu est un privilège extraordinaire ! Mais ce privilège ne signifie pas que nous allons forcément éviter toutes les tempêtes. En réalité, c’est le contraire. Le véritable privilège de servir Dieu est de voir sa bonté en toute saison, surtout lorsque nous faisons face à une tempête. Lorsque vous laissez sa bonté vous remplir jusqu’à déborder, vous devenez une solution, tel un phare dans la nuit, pour celles et ceux qui se perdent.
Ce passage nous raconte cette histoire extraordinaire, qui nous dit : "En attendant le lever du jour, Paul invite tout le monde à manger quelque chose. Il leur dit : "Aujourd’hui, cela fait 14 jours que vous attendez, et vous êtes restés sans rien manger. Je vous invite donc à prendre de la nourriture, vous en avez besoin pour être sauvés. En effet, vous ne perdrez rien, même pas un cheveu de vos têtes."
Après ces paroles, Paul prend du pain. Il remercie Dieu devant tout le monde, puis il partage le pain et se met à manger. Alors tous reprennent courage et ils mangent aussi" (Actes 27.33-36).
Bien aimés, vous et moi, nous avons le Pain, celui de la Vie ! Vous pouvez libérer la bonté de Dieu en partageant le pain qui symbolise les solutions venant du cœur de Dieu. Certes, vous n’éviterez peut-être pas la tempête mais vous transmettrez la vie de Dieu, la vie de Jésus et la vie de l’Esprit. Et vous limiterez les pertes et dommages collatéraux.
Aujourd’hui, décidez d’offrir tout l’encouragement que le Saint-Esprit dépose en vous, à tous ceux et celles qui sont en pleine tempête ! Ouvrez grand vos yeux et voyez Sa délivrance, "car l’Éternel aime la justice, et Il n'abandonne pas Ses fidèles ; Ils sont toujours sous sa garde." Vous êtes au service du Roi, n’abandonnez jamais.
Soyez abondamment bénis!
Pasteur Joël LOTSU & L'Equipe Eau de Vie
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ondessiderales · 2 months ago
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Survivre
Comment occuper mes vacs ?
En général et/ou même seul : penser à regarder les sites des villes, visiter X, X, X, *aller en ville parcs/bois, zoo X, *cinéma, FNAC/Mollat, X, piscine, magasins (vêtements?), bibliothèque, acheter jeux (niet! le jeu ; www.philibertnet.com), nourriture, *resto +Aqualand! +Foire/attractions Andernos *JVs, *jeux, *films, *ordi, *télé (*jeux de cartes) Jeux d'extérieur : boomerang, badminton, ballon, frizbee Sleepovers Vide-greniers Trucs dans la nature : camping, barbecue, cabane, balades en forêt Montagne, plage
Idées stupides (?) Vélo BDs +Cosplay Sports Puzzle Construction/travaux manuels Théâtre Trottinette/skate +Jouets +Avion Equitation Neige Colonie de vacs Barbecue Spa/sources chaudes
Filles fac (les contacter, bonne idée de comment être extraverti et avoir des idées!) : bowling, resto, visiter X, musées, expos, maison hantée(?), mölkky, acheter jeux de société, FNAC/Mollat
Voyage (voir avec Tano)
Jeux : Pistolets à eau Action ou vérité Jeux de cartes
Sports : Bowling, arcade, badminton (salle réservable), ping pong
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29/06/2017
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mon-essence-spirituelle · 2 months ago
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Les Fardeaux d'Elios
Les Fardeaux d’Elios Elios était un voyageur solitaire qui marchait à travers une vallée sans fin. Sur son chemin, il portait un lourd sac à dos. À l’intérieur de ce sac, il n’y avait ni nourriture, ni eau, ni biens matériels mais plutôt des fardeaux invisibles : la peur, le doute et le jugement. Chaque matin, Elios se réveillait avec l’illusion que, ce jour-là, il pourrait enfin se débarrasser…
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quentinyhk · 2 months ago
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Les dix plaies (suite) Le roi d’Égypte demeura inflexible. Les plaies des ulcères avaient eu le temps de guérir, la grêle avait cessé de tomber, les ténèbres s'étaient volatilisées et les sauterelles étaient parties. Aussi le souverain estimait-il qu'il n'avait plus rien à redouter. Il se trompait. Les énormes grêlons qui, en s'abattant sur son pays, s'étaient accumulés en certain lieux jusqu'à former d'épais monticules de glace, avaient fondu, parfois très lentement, formant des lacs et des ruisseaux suintants qui se déversèrent insidieusement dans les eaux du Nil, entraînant ainsi une crue spectaculaire qui brassa la vase accumulée sur les rives du grand fleuve égyptien. Les inondations qui en résultèrent firent chavirer des bateaux, engloutirent les maisons de villages entiers, provoquant la mort de leurs occupants et celle du bétail qui vivait paisiblement à leurs côtés. L'on vit bientôt le Nil charrier d'innombrables cadavres de naufragés et de villageois noyés, ainsi que d'infects troupeaux de charognes de chèvres et de vaches pourrissantes. Le fleuve, chargé du sang de milliers de dépouilles, de chairs putréfiées, de limons et de déjections nauséabondes, rendait malade quiconque buvait de son eau, déclenchant une vaste épidémie. Et les êtres infectés vomissaient du sang. Mourant de soif faute de pouvoir puiser de l'eau dans le fleuve souillé de boues sanglantes, les Égyptiens s'en trouvèrent réduits à creuser péniblement des puits. Un autre malheur survint, qui rendit leur tâche, déjà fort laborieuse, encore plus difficile. La fantastique crue du Nil avait entraîné la formation de marais fangeux et d'immondes petits lacs insalubres où pullulèrent toutes sortes de moustiques, porteurs de fièvres mortelles faisant perdre l'esprit aux personnes qui s'en trouvaient frappées. Par ailleurs, ces légions d'insectes parasites constituaient une nourriture riche et abondante pour toutes les grenouilles du pays qui s'en repurent gloutonnement et se multiplièrent à leur tour, à une vitesse effarante. Le sol égyptien se trouva bientôt tapissé de batraciens réunis en si grand nombre que les habitants du pays en trouvaient aussi bien dans leurs fours brûlants que dans leurs lits frais. Il ne leur était plus possible de faire un seul pas sans écraser l'une ou l'autre de ces répugnantes petites créatures dont les coassements épouvantablement bruyants les privaient de sommeil. Éprouvés par les chutes de grêle et les sauterelles qui avaient saccagé leurs récoltes, accablés de chagrin par les innombrables deuils qu'ils devaient porter après avoir vu des personnes disparaître par centaines dans les ténèbres, les crues du Nil ou sous les coups de maladies dégradantes, les égyptiens furent saisis de désespoir face à cette prolifération de batraciens immondes qui leur rendait la vie proprement intolérable et portait leur détresse à son comble. Les animaux en eux-mêmes ne présentaient aucun danger, mais leurs corps écrasés, foulés à de multiples reprises par les habitants du pays et les sabots de leurs bêtes, pourrissaient au soleil. Leurs entrailles cuisaient dans la lumière du jour. Leur sang moisissait dans l'obscurité de la nuit. En résulta une pestilence infernale qui attira des légions de mouches. Ces infects insectes pondirent leurs œufs dans les monceaux de grenouilles mortes, les faisant grouiller de leurs larves, des asticots répugnants qui devinrent adultes en quelques jours et sortirent des chairs putréfiées des amphibiens pour s'abattre en nuées sur les troupeaux des égyptiens, communiquant à leurs chèvres, leurs vaches et leurs chevaux toutes sortes de maladies, en se perchant sur leurs nasaux ou aux commissures de leurs yeux. Constatant que, par miracle, le bétail des Hébreux était épargné par cet infâme fléau,
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