家 (1)
爷爷 shoveling snow in Plainsboro
La maison de Mamie est née de mon enfance. Elle n’existe que d’après mes souvenirs, pendant les étés les plus chaudes et les années plus simples. Parfois j’ai l’impression qu’elle soit fabriquée, rien d’autre qu’un remède prêt à traiter des maux de tête quotidiens, venant par exemple des deux tigres calcairés que j’ai vu devant le marché l’autre jour.
Je ne connaissais Pékin qu’en saison d’été, où j’ai passé un moitié de ma vie, dans le petit appartement au rez-de-chaussée. Tout d’abord, le parcours, un portail, à peine plus grand qu’un éléphant, serré par un ou deux monsieur les policiers.
…
Puis il faut qu’on se fie, à la mémoire. Il y en a une fois où Mamie m’a raconté l’histoire de son chat qui est parti de chez eux, pendant de plusieurs semaines qu’elle a failli laisser tomber le bête. Un matin, comme par spectacle, il était assis à la porte. Chez soi, on peut toujours rentrer.
Immeuble 485, arrondissement 8, appartement 201 : des chiffres qui me sont chers. A l’approche, deux grands arbres柿子 laissent tomber chaque été des fruits. Et si on fait s’échapper de la nuée蚊子, petits policiers du deuxième portail, le jardin s'offre de concombres, le maïs en épi, le pastèque… les «produits bio».
《奶奶家》 était fermière au départ. Souvent elle faisait remarquer la taille, la saveur, la fraîcheur de ces fruits. Elle me dit en tenant dans la main un pêche mou : Ces pêches sont comme les gens, quelques uns ont peut-être des talures par là, quelques autres sont en formes un peu bizarres, mais chacun d’entre eux est unique…
La troisième, un antichamber qui sert d’un tampon entre l'intérieur et l'extérieur. A ce moment, on n’a ni atteint encore l’espace climatisé ni évité les moustiques. La quatrième, porte finale à l'entrée. Là, il faut qu’on échange les chaussures pour les chaussons. Le salon, illuminé par les fenêtres de l’est, donnent sur le jardin devant l’immeuble. Une énorme TV se pose contre le mur, et à droite, un piano. Un canapé en face tenait les spectateurs des dramas, des shows, et la Météo de chaque soirée.
Une table-pour-quatre sur laquelle une pièce plastique s’accroche présente des plats partagés parmi 大家. Le plastique collant sous l'humidité de l’été révèle les vestiges de tasses de thé et de bols de riz.
《亲戚家》 venaient dîner, et toutes les chaises de la maison seraient ramassés autour de la table, y compris le tabouret, 椅子, 小板凳, au piano qui pouvait facilement faire asseoir 俩孩子.
Une grand-大 horloge présente chaque heure en jouant un extrait d’une sélection de quatres études en style de boîte à musique.
Il y a trois chambres dans la maison, dont celle dans laquelle je passais la plupart de mon enfance se trouve au delà de la table.
Derrière une petite porte de bois, un bunkbed pour ma soeur et moi, un bureau et un ordinateur là-dessus. Une commode s’y trouve près de la porte. C'était le coffre de trésor, 点心
Le mur était percé par une fenêtre. Ils saisissaient le soleil, le lever du jour.
Ma soeur et moi nous passions des heures avec W.J.L.哥: on jouait aux jeux vidéos, empilait les tours de cannettes王老吉, écoutait Meiqael Jaekson, et les ralentis暑假.
La cuisine, 奶奶爷爷的。
Cette chère maison, qu’elle soit fabriquée, par nécessité, d’amour, d’un besoin de retrouver,
For 奶奶,爷爷,姨姥姥,太姥姥,大哥,大嫂,我爸,我妈,我妹,我
1 note
·
View note