#îles grecques
Explore tagged Tumblr posts
Text
Que voir dans les îles grecques, Attractions
0 notes
Text
Théra
48 notes
·
View notes
Text
"Sur les Pas de ma Grand-Mère" documentaire de Lola Peploe sur la vie dans les îles grecques de sa grand-mère peintre paysagiste Clotilde "Cloclo" Brewster Peploe (1915-1997), juin 2024.
14 notes
·
View notes
Text
#Nisyros #Greese #volcan
Nisyros est une petite île grecque située dans le Sud de la mer Égée. Elle fait partie du groupe d'îles de la région administrative du Dodécanèse, dont la principale est Rhodes. Son volcan est actif, descente dans le cratère très sportive (enfin pour moi🤣🤣)
7 notes
·
View notes
Text
Pour parler d'autre chose... ''Et si on parlait d'autre chose ?''
Un week-end récent, par curiosité et par ennui (les dimanches sont un peu longs, parfois, aux veufs non-encore habitués à la solitude), je feuilletais les pages des bouquins faits de chacune des années regroupant les ''billets'' de ce blog (à raison d'un Tome par année, ça en fait, du volume et des volumes !). Une chose m'a frappé : le nombre de ''billets'' qui parlaient de Syrie, dans les années 2013/2015...
La Syrie fut longtemps un pays que j'ai beaucoup fréquenté et beaucoup aimé. J'y retournais fréquemment, ''par gourmandise'', si l'on peut dire, comme au Liban voisin, mon cher Liban, presque une ''autre patrie''. La vie est ainsi faite –ou est-ce nous qui l'avons détournée de sa vocation ?-- qu'elle nous donne souvent l'impression de se présenter à nous sous la forme étonnante de pages qui se tournent et qui doivent être oubliées. Il en va ainsi des amis qui ont disparu : un être vraiment très cher laisse dans votre mémoire une empreinte ineffaçable, tandis qu'un ami (mais alors : en est-ce un ?) plus ''superficiel'' (''copains'' de promo, fréquentations de travail, anciens voisins, relations de voyage ou de vacances) va se ranger presque naturellement dans les cases d'un pré-oubli, en chemin vers l'effacement total : le temps qui passe crée de grands vides sombres dans les carnets d'adresses, dans les noms sur les photos, et dans les souvenirs...
La Syrie, donc, et le Liban aussi, nous l'avons dit. Mais il y a tant d'autres pays merveilleux, où on se promet de revenir... sans concrétiser jamais cette envie d'un moment. Dans mon Panthéon (puisque la panthéonisation est une idée fixe de notre président), il y a le Maroc de mon enfance, ce petit coin de ''mon éternité'', qui ne disparaîtra qu'avec moi. Mais il y a aussi la Grèce, ce jardin béni de mes premières extases artistiques où, été après été, je retournais retrouver tout ce qui ne se trouve que là, dans ces deux mondes si différents que sont la Grèce continentale et les îles... et retrouver, surtout, la langue grecque, magique, ''mère'' de toutes nos langues, belle, riche, précise, à en être intraduisible...
Et puis, bien sûr, il y a l'Italie, qui a fasciné les jeunes français, génération après génération, depuis ''nos ancêtres les gaulois'', colonisés mais comme ensorcelés –et comme c'était intelligent !-- par leur colonisateur, au point d'abandonner leur civilisation celte pour devenir des ''gallo-romains''... jusqu'à nos romantiques transportés dans leurs rêves de beauté et plus récemment, à certains hommes politiques contemporains (mais pas meilleurs pour autant), qui, au lieu d'étaler sans talent leurs fantasmes pornographiques (n'est-ce pas, Bruno Le Maire ? Avec tes 1800 opuscules péniblement vendus, arrête donc d'écrire : tu ne seras jamais Chateaubriand !), avouent une ''Tentation de Venise''... comme Juppé qui, pour une fois honnête, expliquait que cette escapade lui permettait de mesurer les limites et les insuffisances de sa propre vie … ce que nous avions fait longtemps avant lui. Sans compter que chacun de nous cache un petit ''coin'' secret, à lui tout seul, dont Rimbaud disait : ''Je sais que je serais mieux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs''.
Depuis une dizaine d'années, un mal puissant s'est imposé à moi et s'est mis à créer des ravages dans l'exercice de ma mémoire : je ne retrouve plus la France... Vous rendez-vous compte de ce que cela veut dire pour l'ancien (lire ici : ''le très ancien''!) enfant de la guerre --je parle de celle de 39-45-- qui avait appris de ses bons maîtres, eux-mêmes gazés et multi-blessés de la précédente (celle de 14-18) que la France (on disait, d'une voix qui avait vite fait de devenir frémissante : ''la Patrie'' !) était une personne de chair et de sang qu'il fallait aimer plus que tout... Sic transit gloria mundi...
Car la savoir défaite, envahie, humiliée, occupée... la rendait encore plus ''désirable'' à nos huit ou dix ans : elle avait besoin de nous, et nous n'avions donc pas le droit de la décevoir ! En ces temps, de nos jours prétendus démodés par ceux qui ne les ont pas connus et n'en savent rien que les quelques éléments négatifs disponibles, ceux que la sale ''propaganda'' de gauche a retenus puisqu'ils étaient ''à charge'', la vérité ne se résumait pas à tricher sur les chiffres et à mentir sur leurs causes –ce à quoi elle ressemble de plus en plus, aujourd'hui-- mais était (n'était que ?) la recherche des devoirs qu'imposait celui de profiter du peu qui nous était laissé... C'était dur ? Non : c'était beau !
Comme les ravageuses et débilitantes méthodes faussement dites ''pédagogiques'' n'avaient pas encore été con-coctées (le choix du tiret est mûrement réfléchi) par les ''pédagos'' criminels qui ont fait du ministère de l'instruction publique (nom qu'il faut reprendre au plus vite) une redoutable machine à décérébrer, à désinformer, à déconstruire et... à déconner, le ''par cœur'' avait conservé le poids qu'il mérite (NDLR : je n'ai jamais compris pourquoi le fait qu'internet permette l'accès à une information plus rapidement que nos anciens dictionnaires... forcerait à ne plus entretenir ce merveilleux outil qu'est notre mémoire, au moment où la ''muscu'' semble chère à notre ''le plus jeune président etc...'' qui s'exhibe en photo, ''photoshoppé'' avec les biceps de Rambo ! NDLR-bis : tout de même.... 'faut oser ! De cette ''gonflette'' de très mauvais goût à sa dissolution au pire moment, il n'en aura pas raté une !). Toujours est-il que le fait de chercher ''ma France'' sans plus être capable d'en retrouver la moindre trace, est vécu, par moi, comme un drame, que j'ai conscience de partager avec nombre d'amis (de ma tranche d'âge, notamment).
Il n'a pas fait beau, aujourd'hui... Cela joue-t-il un rôle dans la nostalgie qui m'étreint, ce soir ? Je me sens apte à rejoindre tous les vieillards de tous les temps, pour murmurer, comme eux... mais sans être entendu (car il est très mal vu de dire la vérité, dans notre pays où la Liberté n'est plus qu'un slogan sans contenu, mais répété ''ad nauseam''), que... ''C'était mieux, avant !'' : les franches horreurs dont la Gauche-en-folie et ''extrême'' en tout nous menace, en cet instant précis, ne semblent pas de nature à me donner envie de changer ce slogan ou de m'écarter de son sens prophétique...
H-Cl.
7 notes
·
View notes
Text
Circé est une sorcière et herboriste désignée pour la première fois comme une déesse dans l'Odyssée d'Homère . Bien qu'exilée sur la mystérieuse île d'Aeaea, Circé a réussi à rencontrer des aventuriers célèbres et à graver son nom dans des légendes encore racontées.
Circé est une autre entité féminine de la mythologie grecque qui a été diabolisée pour avoir utilisé sa voix pour se défendre et pour révéler la vraie nature des hommes. En vedette dans les contes utilisés pour démontrer les maux de la sorcellerie, la dualité de la nature de Circé n'est pas perdue pour les anciens philosophes. Alors que certains voyaient Circé comme rien de plus qu'une dangereuse sorcière et tentatrice, d'autres considéraient sa capacité à transformer les hommes en animaux comme un acte de miséricorde.
Quel que soit le tempérament réel de Circé, nous ne pouvons pas nier qu'elle est une incroyable sorcière. Connue pour ses talents de transmutation, d'illusion et de nécromancie, Circé est différente car elle a appris ces compétences de sorcellerie en tant qu'humaine , du moins selon certains mythes.
8 notes
·
View notes
Photo
Samos
Samos est une île grecque située dans l'est de la mer Égée, juste au large de la côte de la Turquie actuelle. Elle connut un essor particulier au VIe siècle avant notre ère et était célèbre dans l'Antiquité pour sa marine, son vin et son important sanctuaire dédié à Héra. Samos était un membre actif de la Ligue de Délos et le célèbre philosophe et mathématicien Pythagore y vit le jour, tout comme le célèbre astronome Aristarque. Ayant accueilli Jules César et Marc Antoine au 1er siècle avant notre ère, l'île tomba ensuite dans l'oubli pendant la période impériale romaine. Samos est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Lire la suite...
4 notes
·
View notes
Text
Pour l’amour des dieux, Sarah Underwood
À Ithaque, 300 ans après les aventures de Pénélope et d’Ulysse, douze jeunes filles sont sacrifiées rituellement pour apaiser la colère de Poséidon. Cette année, Léto, 17 ans, fait partie des marquées. Lorsqu’elle se réveille après son exécution, elle se retrouve sur une île uniquement habitée par une très belle jeune fille, Mélantho. Qui va l’aider à maîtriser ses nouveaux pouvoirs, et qui va lui apprendre qu’il existe un moyen de stopper la malédiction et le massacre d’innocentes : tuer le prince d’Ithaque.
Aloooors j’ai bien aimé. Mais c’était un peu facile par moments, un peu ado par d’autres, et… y’a un triangle amoureux, qui je trouve n’a rien à faire là, est bancale et n’apporte rien à l’histoire. Sinon, c’était intéressant : l’autrice s’inspire de l’Odyssée, en particulier du moment où au retour d’Ulysse les douze servantes de Pénélope sont pendues pour trahison, accessoirement parce qu’elle se sont fait violer (youpi 🥳) par les prétendants. À partir de là, Sarah Underwood tisse une histoire de malédiction sur plusieurs siècles. Ça, c’était plutôt cool (par contre j’ai appris selon une interview depuis retirée d’Internet qu’elle n’a jamais lu l’Odyssée ? c’est chaud), et j’ai aussi bien aimé qu’on aborde le sujet de la violence des hommes (les soldats, les pirates, les rois, les dieux)… mais c’est à peu près tout. Le personnage de Léto est parfois pas super bien écrit, à coup de « c’est l’élue qui nous sauvera toustes », soit elle maîtrise très vite ses pouvoirs et comprend les implications de la prophétie, soit elle est complètement paumée (je vous ai parlé du triangle amoureux qui n’apporte rien à l’histoire ???) et c’est un peu relou. J’ai bien aimé le personnage de Mélantho, par contre, il était tragique à souhait et pas trop trop creux. En soi, c’était une lecture plutôt cool, la fin est plutôt réussie (tragédie grecque à souhait) et je pense que si j’avais lu ça pendant mon adolescence j’aurais vraiment kiffé. Mais je deviens de plus en plus exigeante avec mes lectures, et c’est parfois un peu relou. Pour les amoureuxses de mythologie et de réécritures, ça peut être vraiment génial. Moi j’ai bien aimé, mais je sais déjà que d’ici quelques mois j’aurais potentiellement oublié ma lecture… (en même temps plus d’une centaine de livres par an, pas trop le choix)
10/03/2024 - 11/03/2024
#livres#books#livre#book#littérature#littérature young adult#pour l’amour des dieux#sarah underwood#éditions casterman
2 notes
·
View notes
Text
Arrivée en Crète
L’inconvénient d’aller dans les îles grecques, ce sont les traversiers. C’est toujours le chaos le plus total lors des embarquements et débarquements. Cette fois-ci n’a pas fait exception à la règle… après avoir attendu dans un hangar mal climatisé, un préposé a crié que nous devions changer d’hangar et que le traversier avait une heure de retard. Il faisait chaud et il y avait du monde qui ne sentait pas la rose… finalement, nous sommes arrivés sur l’île après le coucher du soleil.
Nous avons fait un stop à l’aéroport pour y déposer des collègues voyageurs qui venaient récupérer leur valise qui s’était perdue dans le transport Montréal Athènes.
Après 30 minutes d’autoroute, nous sommes arrivés à notre hôtel, qui est une sorte de complexe hôtelier, un peu comme dans le Sud. Belle surprise en arrivant, on nous a offert une chambre plus luxueuse au lieu de la chambre standard que nous aurions dû avoir. Elle est gigantesque!
Nous sommes partis en quête d’un endroit où manger. Moins évident quand il fait nuit et qu’il n’y a pas de lampadaires dans les rues. Nous avons opté pour le premier restaurant potable, qui s’est avéré un bon choix. Il faudra s’y habituer, les portions en Crète sont plus que généreuses. Et partout où nous sommes allés, on offre toujours un dessert…
Robert s’est arrêté dans une petite boutique à côté du restaurant pour y trouver de l’ouzo ou du raki. La dame lui a fait goûter du raki crétois, et Robert a beaucoup aimé. Nous sommes repartis avec de l’ouzo, finalement, et la dame lui a offert un sac de glace mis dans un sac à l’avenant, car Robert lui a mentionné qu’on avait pas de glace à l’hôtel. Jusqu’à maintenant, les Crétois semblent très gentils et très accueillants.
On a hâte à demain pour voir le décor à la lumière du jour.
2 notes
·
View notes
Text
Visite de BONIFACIO
Bonifacio perchée à 70 mètres, sur des falaises de calcaire blanc, Bonifacio semble, depuis la mer, flotter dans les airs. Cette cité, subjugué par Charles Quint et Napoléon ; demeure mystérieuse à bien des égards. il n'est pas prouvé qu'Homère l'ait vraiment décrite : "heureux qui comme Ulysse la découvre dans toute sa splendeur"
Bonifacio divisée en deux grandes parties : - le joli port de pêche avec sa marina et la ville basse qui s'étend le long d'un goulet de près de 2 km, - et la ville haute, la partie ancienne qui est entièrement piétonne et surplombe la mer.
Port de bonifacio La marina se trouve au pied de la citadelle. Vous trouverez de nombreux bars et restaurants et quelques commerces. Vous pourrez en profiter pour boire un verre en terrasse et admirer les fabuleux yachts amarrés au quai. C’est depuis le port que partent les croisières en mer pour voir les falaises de Bonifacio et les navettes pour rejoindre les îles LAVEZZI ou la Sardaigne. Le petit train débute aussi son circuit à ce niveau-là. Juste en face du port, vous trouverez des parkings payants où laisser votre voiture le temps de votre promenade à pied dans Bonifacio. Le quartier du port, se la joue très Chic, en été avec son ballet d'immenses yachts viennent y mouiller. Celui-ci gardé par l'église Saint-Érasme (XIIème siècle), vouée au Patron des pêcheurs, qui vaut le détour pour son dôme néo-byzantin. L'église Saint-Erasme : Au pied de la montée Rastello à Bonifacio, on trouve cette chapelle Saint-Erasme (San Teramu en Corse), la seule du faubourg de la Marine. Dominée par la citadelle, et surtout par le massif Bastion de l'Etendard. Saint-Erasme existait depuis 1686, comme oratoire du quartier ; elle fut agrandi jusu'au XXè siècle ; Les petites coupoles de style néo-byzantin ayant été rajoutées en 1936. Les statues en bois de Saint-François et de Saint-Erasme(patron des pêcheurs et des gens de la mer) côtoient une peinture du XVIIe de la Vierge à l'enfant aux côtés du Saint-Patron.
Pour chercher un peu de fraîcheur, empruntez le sentier des plages. Permettant de découvrir la campagne environnant en longeant la rive nord du goulet (1h30 de marche) ; ou s'engouffrer dans l'Aquarium, qui présente dans une grotte naturelle, des espèces capturées dans les Bouches de Bonifacio. (L'Aquarium de la Mer de Bonifacio, ouvert à la visite du lundi au dimanche d'avril à octobre. Proposant un parcours permettant de découvrir les richesses de la faune et de la flore de la méditerranée comme les langoustes, les murènes, les étoiles de mer et bien d'autres spécimens encore. La visite est payante de 4 euros pour les adultes et de 2 euros pour les enfants.)
Bonifacio Près de l'église Saint-Érasme, on accède à la Ville Haute par le col Saint-Roch et la montée de Rastello. Vous permettant d'admirer les maisons construites en bord de falaise, comme prêtes à sauter dans le vide.
En tout cas, pour l’ascension de la montée Saint-Roch, vos muscles seront bel et bien sollicités. Mais quelle récompense vous attend ! Elle slalome de par un col, jusqu’à la chapelle Saint-Roch. En haut, le spectacle est époustouflant. Vous surplombez la mer, la ville, les murs d’ocres, le port et la Citadelle. Au loin, la Sardaigne. Chapelle Saint-Roch Si vous la voyez d'en haut, vous pourrez vous croire sur une île grecque. Toute blanche sur un fond de mer bleue, avec son petit clocheton surmonté d'une croix, elle représente pourtant une histoire bien funeste. Petit rappel : saint Roch, né à Montpellier, consacra sa vie à combattre la grande peste noire qui ravagea l'Europe au milieu du XIVe. Bien sûr, il finit par attraper la terrible maladie et c'est pourquoi on le représente montrant ses plaies. Bonifacio n'échappe pas à l'épidémie qui fit des ravages dans l'île, l'année 1528. La ville aurait perdu les trois-quarts de sa population. On bâtit la petite chapelle, soi-disant, à l'endroit où mourut la dernière victime de l'épidémie. Chaque année, le 16 août, on se souvient de saint Roch, que l'on honore lors d'un spectacle culturel en langue bonifacienne.
Remonter vers la Porte de Gênes percée dans les remparts.
La Porte de Gênes Unique accès à la ville jusqu’en 1854 et fait face au Bastion de l’étendard . Véritable forteresse, difficile de s'en approcher puisque la porte est doublement surveillée par des « meurtrières ». Seul accès à la citadelle jusqu’au 19 -ème siècle, elle est munie d’un pont levis datant de 1830. Celui-ci remplacé l’ancien (datant tout de même de 1598) et fonctionnait avec un système de poids et de poulie. La Citadelle Bonifacio Il faut oser se perdre dans les ruelles de Bonifacio, lever la tête pour découvrir les miracles d’ingéniosité dont on a fait preuve pour construire ses maisons. Flâner, prendre le temps d’observer. L’atout maître de Bonifacio est l’intelligence avec laquelle cette ville a été construite. tout a été pensé en vue d’un avantage stratégique contre les attaques ou sièges éventuels. De chaque côté de l'église, des arcs-boutants viennent renforcer les murs. Des canalisations ont été également creusées permettant d’acheminer l’eau de pluie récoltée sur les toits vers une citerne dissimulée sous l’église…
Autre aspect de cette vie : les besoins élémentaire ; Chaque maison avait sa propre réserve de grain ; Les silos Les escaliers des habitations sont tout aussi intéressants : il faut remonter à l’époque où la ville ne cherchait qu’à se protéger. Les portes étaient quasiment infranchissables : inexistantes en rez-de-chaussée. On accédait aux maisons par une échelle que l’on remontait ensuite derrière soi… Cette citadelle médiévale du XIIIè siècle force l’admiration de part sa conception en haut des falaises, et sa parfaite conservation. Rendez-vous, le vendredi matin au marché qui se tient sous loggia de l'Arsenal de debut avril à fin octobre dans la haute ville de 8h à 13H; L'occasion de vous rapprocher de culture culinaire des lieux que vous visitez Mais vous y trouverez des produits locaux comme : - de la charcuterie, - biscuits, - légumes, - préparations culinaires - huiles essentielles...... C'est occasion d'échanger avec les Bonifaciens et de récupérer quelques bonnes adresses.
Ne quittez surtout pas cette pointe de la Corse sans aller faire un tour :
Le Bastion de Létandard
Certains pourraient croire qu'il s'agit d'un château, mais il s'agit en réalité de l'imposante forteresse qui domine l'entrée du port. Le Bastion de l'Etendard date du XIIIe siècle et fut bâti par les Génois. Détruit au XVIe siècle par les bombardements de l'armée franco-turc, commandée par Dragut, le bastion fut rebâti dans la foulée en respectant le tracé du bastion génois. Il fut néanmoins adapté aux nouvelles techniques de sièges, notamment grâce à des fortifications « à la Vauban », bien plus solides. En savoir plus
L'Eglise-Sainte Marie-Majeur
La présence de l' Eglise Sainte-Marie-Majeure : Attestée dès le XIIIe siècle dans des actes notariés dont le plus ancien remonte en 1222.La façade occidentale dotée de trois portes d'entrées percée d'une grande rose qui constituait, à cette époque, l'éclairage principale de l'église. L'ensemble correspondant à la nef, aux bas côtés et aux absides remanié aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. En sovoir plus
Le cimetière marin de Bonifacio
Il vous dévoilera les voyages périlleux que les marins ont entrepris pour rejoindre ces rivages. Ainsi que les tombes ornementées des braves âmes qui n'ont pas survécu. Vous allez découvrir la véritable signification de la mer pour la ville et bénéficier d'un spectacle somptueux, lors du coucher de soleil sur la mer Méditerranée. En savoir plus
Le Gouvernail
Un point de vue insolite sur le détroit situé juste à côté du Cimetière Marin, à l’extrême pointe de la presqu’île, ce site militaire : un long tunnel de 168 marches creusées dans la falaise. En savoir plus
le grain de sable
Situé Sutta Rocca est un célèbre et énorme rocher dans la mer, détaché de la falaise. Il y a plusieurs siècles, les cartes anciennes le nomment "scoglietto". La partie qui émerge de l'eau est haute d'une quarantaine de mètres environ. Sa partie supérieure est recouverte d'une maigre végétation persistante. Il est aussi le paradis des oiseaux de mer. En raison de ses proportions massives mais harmonieuses, les Bonifaciens l'avaient surnommé "u Diu Grossu" (le Gros Doigt ou le "Pouce"). En savoir plus
L’escalier du roi d’Aragon domine les Bouches de Bonifacio,
(inscrit au titre des Monuments historiques).Il figure parmi les sites les plus fréquentés de la Corse. La légende raconte : il aurait été creusé en une seule nuit par les troupes d’Alphonse V le Magnanime, à l’occasion du siège de Bonifacio en 1420.Situé à l’extrême pointe sud de l’ile de Beauté. Il relie la mer à la citadelle, en débouchant au pied de la terrasse, sur laquelle se dressait autrefois la tour du Castellet. Taillé par la main de l’homme dans la falaise calcaire ; Celui-ci compte 189 marches sur une hauteur de 65 mètres, le long d’une pente à 45°. Sa largeur n’excède pas 80 cm par endroit. 54 000 visiteurs font le déplacement tous les ans pour le découvrir. En savoir plus Découvrir nos logements : Read the full article
3 notes
·
View notes
Text
Quand une blague devient virale : L'incroyable succès de l’île grecque de Psimythos
Tout a commencé par un simple tweet qui a pris des proportions inattendues. Sous le pseudonyme de @beatbukowski, un internaute a lancé une blague sur l’île fictive de Psimythos, prétendant que c’était la destination à découvrir cette année. En un rien de temps, cette île imaginaire est devenue virale sur les réseaux sociaux.Les internautes grecs, amusés, ont commencé à raconter des histoires sur…
0 notes
Text
Zorba à Ath Un voyage gourmand au cœur de la Grèce
Situé au centre d’Ath, le restaurant Zorba vous invite à embarquer pour un véritable voyage culinaire à travers les saveurs authentiques de la Grèce. Dès que vous franchissez la porte, l’ambiance chaleureuse et conviviale vous transporte dans une taverne typique des îles grecques. Le décor méditerranéen, les couleurs blanches et bleues, ainsi que les effluves d’épices et d’huile d’olive éveillent…
0 notes
Text
Day 2
Chaque jour sera une prise de conscience et un accomplissement !
Paros comme la Grèce est un SAFESPACE un lieux secure et donc de liberté d’être pleinement soi
Que ce soit en noir et blanc et en couleurs comme la vie, c’est toujours un bonheur de revenir ici et retrouver des gens qui parlent avec le cœur.
Je n’ai pas la vision d’un touriste car je viens depuis 20 ans ici… je ne suis pas naif sur ce pays, ce grand peuple et son passé prestigieux. Il mérite le respect rien que pour cela.
Ce peuple et ce pays n’ont pas été respecté à leur juste valeur en temps de crise. Il est important de revenir au respect humain et de la terre grecque.
Si mon attachement pour cette île continue ce sera avec cet objectif là : l’environnement et donc le respect de l’humain (les locaux qui travaillent beaucoup pour avoir une vie agréable )
Les photos sont toujours des clichés… mais elles sont le reflet d’un sentiment et d’une émotion que je partagerai ici chaque jour
#paros#greece#grece#grecia#beach#50 years#transformation#shaman#greekland#ελλαδα#παρου#ecotourism#greentourism#Island#spirituality
1 note
·
View note
Text
"Sur les Pas de ma Grand-Mère" documentaire de Lola Peploe sur la vie dans les îles grecques de sa grand-mère peintre paysagiste Clotilde "Cloclo" Brewster Peploe (1915-1997), juin 2024.
5 notes
·
View notes
Link
0 notes
Text
Le mois de juin chaud en Grèce a entraîné la mort de plusieurs touristes
Israël n’est pas le seul à souffrir de la chaleur ces derniers jours. Un temps inhabituellement chaud s’est installé en Grèce , avec des températures dépassant les 40 degrés. Des touristes ont disparu pendant plusieurs jours sur les îles grecques dans les mêmes circonstances : ils ont quitté l’hôtel pour se promener et ne sont pas revenus. Le corps d’un touriste néerlandais âgé, porté disparu…
View On WordPress
0 notes