#évangile de saint denis
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2015. Au Louvre-Lens, encore une belle expo : “D’Or et d’Ivoire” :
- les 3 premières : pignon de la châsse de Sainte-Gertrude - argent + émail, Nivelles 1280
- “Jeanne de Navarre" - Paris 1310
- les 2 dernières : Evangiles de Saint Denis - Paris IX à XIIIe s.
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L'ÉGLISE : LE GRAND MYSTÈRE RÉVÉLÉ : LES TROIS ÉPÎTRES DOCTRINALES. ( PART 5 )
Paul et Barnabas bougeaient la Parole dans l'île. Mais Elymas, le magicien leur faisait opposition, cherchant à denier de la foi le gouverneur. Actes 13:8 8- Mais Élymas, le magicien, car c'est ce que signifie son nom, leur faisait opposition, cherchant à détourner de la foi le proconsul.9- Alors Saul, appelé aussi Paul, rempli du Saint Esprit, fixa les regards sur lui, et dit:10-Homme plein de toute espèce de ruse et de fraude, fils du diable, ennemi de toute justice, ne cesseras-tu point de pervertir les voies droites du Seigneur?11-Maintenant voici, la main du Seigneur est sur toi, tu seras aveugle, et pour un temps tu ne verras pas le soleil. Aussitôt l'obscurité et les ténèbres tombèrent sur lui, et il cherchait, en tâtonnant, des personnes pour le guider.12-Alors le proconsul, voyant ce qui était arrivé, crut, étant frappé de la doctrine du Seigneur. " Pour un temps " du verset 11 veut dire qu'il était devenu aveugle assez longtemps pour leur permettre d'annoncer la Parole à cet homme. Ce miracle attira l'attention du gouverneur. Mais c'est la qualité de la doctrine de Paul et de Barnabas qui l'a émerveillé. Très souvent dans les évangiles, c'était la qualité de la doctrine de Jésus-Christ qui émerveillait les gens lorsqu'il enseignait. Pourquoi ?Parce qu'il le faisait avec autorité avec puissance, avec conviction. Et bien! Paul et Barnabas avait étudié la doctrine au point de la vivre. lls avaient bâtit cette doctrine au fond de leur cœur et obéissaient à tous les principes. C'est pourquoi ils en parlaient avec autorité, puissance et conviction. C'est ce qui avait étonné Sergius Paulus. ll était émerveillé par la grandeur des vérités spirituelles que Paul et Barnabas avait partagé avec lui démontrant ainsi la majesté et la bonté de Dieu. Voyons à présent l'utilisation de " doctrine " en Actes 17, septième section. Après avoir prêcher et enseigner la Parole à Thessalonique et Bérée, Paul poursuivit sa route jusqu'à Athènes où Timothée et Silas allaient le rejoindre plus tard. Actes 17 : 16 - 2016-Comme Paul les attendait à Athènes, il sentait au dedans de lui son esprit s'irriter, à la vue de cette ville pleine d'idoles.17-Il s'entretenait donc dans la synagogue avec les Juifs et les hommes craignant Dieu, et sur la place publique chaque jour avec ceux qu'il rencontrait.18-Quelques philosophes épicuriens et stoïciens se mirent à parler avec lui. Et les uns disaient: Que veut dire ce discoureur? D'autres, l'entendant annoncer Jésus et la résurrection, disaient: Il semble qu'il annonce des divinités étrangères.19- Alors ils le prirent, et le menèrent à l'Aréopage, en disant: Pourrions-nous savoir quelle est cette nouvelle doctrine que tu enseignes?20- Car tu nous fais entendre des choses étranges. Nous voudrions donc savoir ce que cela peut être. Qui était le propagateur de cette doctrine dont les gens étaient si curieux ? Paul. C'est parce que Paul proclamait cette doctrine quotidienne que les gens avaient fini et par l'identifier en lui. C'était la persistance de Paul à proclamer la Parole chaque jour et la réalité de sa logique et de son raisonnement qui avaient porté fruit. Sa doctrine avait donc attiré l'attention des gens qui voulaient savoir plus. Ce qui s'en était suivi était tout simplement l'une des magnifiques présentation de la Parole dans l'Écritures. Tous n'avait pas cru. Mais la Parole rapporte que quelques-uns s'attachèrent à Paul et crurent ( Actes 17 : 34 ) . Actes 17 : 34 Quelques-uns néanmoins s'attachèrent à lui et crurent, Denys l'aréopagite, une femme nommée Damaris, et d'autres avec eux. Nous pouvons produire les mêmes fruits lorsque nous demeurons fidèles et prononcons la Parole avec autorité et conviction jour après jour. Retournons dans Romains pour voir l'utilisation du mot " doctrine ". Romains 16 : 17 - 18 Je vous exhorte, frères, à prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales, au préjudice de l'enseignement que vous avez reçu. Éloignez-vous d'eux. Car de tels hommes ne servent point Christ notre Seigneur, mais leur propre ventre; et, par des paroles douces et flatteuses, ils séduisent les coeurs des simples. Rappelons nous que c'est la doctrine qui initie et qui apporte l'unité. C'est la vraie doctrine qui rend l'Église, le corps du Christ, unie et forte. Et la raison pour laquelle nous devons prendre garde à ceux qui endurcissent leur cœur pour écouter la Parole de vérité qui nous est enseignée, ici, dans une Épître doctrine afin que nous ayons une perception mentale claire de la vraie doctrine. À suivre . . . Que Dieu vous comble de toutes sortes de grâces, vous bénisse richement, vous protège et vous garde en parfaite santé au nom de Jésus-Christ, amen!
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Ordination presbytérale de David Plantet
Par l'imposition des mains et le don de l'Esprit Saint, pour l'annonce de l'Évangile du Christ, le service de l'Église et des hommes,
Monseigneur Denis MoutelÉvêque de Saint-Brieuc et Tréguierordonnera prêtreDavid Plantetle dimanche 28 juin 2020en la cathédrale Saint Étienne 22000 Saint-Brieuc [1]
David, sa famille, la paroisse de la Bonne Nouvelle (Lannion) et le Séminaire Saint Yves de Rennes, vous invitent à partager leur joie en vous unissant par la prière.
En raison du contexte sanitaire actuel, seul un nombre limité de personnes seront présentes. Pour vous permettre d'être en communion, la messe d'ordination sera retransmise en direct : en audio sur RCF Côtes d'Armor (RCF Côtes d'Armor 100.6 - Guingamp 98.8 - Lannion 102.1) en vidéo sur le site internet du diocèse
David célèbrera une première messe dans l'église Saint Pierre de Pordic le lundi 29 juin 2020 à 10h30. Nous sommes tous invités.
en respectant les consignes sanitaires actuelles bien entendu SVP Merci - Capacité de l'église Saint Pierre à Pordic : 200 personnes.
« Prêtre à la manière des Apôtres »}
Extrait de l'homélie du cardinal J.P Ricard, du 20 décembre 2015, lors d'une célébration d'ordination presbytérale.
Au début de la célébration vous avez été appelés par votre nom pour recevoir l'ordination presbytérale. Et vous avez répondu : « Me voici ». Cette réponse, vous avez pris du temps pour la laisser mûrir en vous, car vous avez bien réalisé que ce « me voici » dit à l'Église n'était pas que l'expression d'une simple disponibilité, comme celle de quelqu'un qui se présenterait à un entretien d'embauche. C'est une réponse qui engage toute une vie, qui implique un don total de soi-même, comme cette réponse du Fils à l'appel du Père qu'évoque ce passage de l'épître aux Hébreux que nous avons entendu : « Me voici, dit le Christ, je suis venu, mon Dieu, pour faire ta volonté » (He. 10, 7). Vous avez pris conscience de ce qu'implique cet appel au don total de vous-mêmes et vous savez que c'est tout au long de votre vie que vous aurez à habiter votre réponse, afin de pouvoir dire en vérité comme Saint Paul : « Je vis, mais ce n'est plus moi, c'est le Christ qui vit en moi. Car ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et s'est livré pour moi » (Ga. 2, 20). _ Oui, à travers cet appel de l'Église que vous avez entendu, vous avez découvert que c'est le Christ lui-même qui vous a appelés, qui a dit à chacun : « Viens, suis-moi », « Va, je t'envoie. Je fais de toi un pécheur d'hommes ». Cet appel du Seigneur fait naître en nous la confiance. C'est parce que l'on s'appuie sur la parole et la présence de Jésus que l'on peut, malgré ses faiblesses, ses limites ou son péché, se lancer dans l'aventure apostolique. En nous appelant, Jésus s'engage à être notre compagnon de route et à nous soutenir de la force de son Esprit. N'oubliez jamais qu'il y a une grâce liée au ministère que vous recevez, qui vous est donnée pour votre sanctification et le service du Peuple de Dieu auquel vous êtes envoyés.Si le Seigneur vous appelle, c'est, de fait, pour vous envoyer en étant porteurs de sa Bonne Nouvelle. Nous sommes invités à redécouvrir aujourd'hui la dimension apostolique, missionnaire, du sacerdoce ministériel. Il vous faudra être prêtres à la manière des Apôtres, c'est-à-dire ministres d'une Église « en sortie », comme le redit souvent le pape François. J'aime beaucoup cet Évangile de la Visitation, où l'on voit Marie partir en hâte pour aller aider sa cousine Élisabeth qui était enceinte. Marie ne reste pas repliée sur elle-même à Nazareth, savourant le message de l'ange. Elle sort. Elle se met en route, veut partager sa joie, se mettre au service de sa cousine et c'est dans la joie de la rencontre qu'il lui sera accordé d'éprouver en elle la fécondité de la promesse qui lui a été faite. Merveilleuse image de l'Eglise qui ne doit pas se replier sur elle-même, sur le seul souci de son animation ou de son organisation internes. Comme Marie, l'Église est appelée à se mettre en route avec empressement pour aller à la rencontre des hommes et des femmes, qui mystérieusement sont en quête d'une espérance et d'un salut. C'est d'ailleurs sur ces routes que le Ressuscité nous attend et va se révéler à nous.Chers amis, accueillez dans votre propre vie la miséricorde de Dieu. Soyez-en aussi les témoins et les serviteurs. Le prêtre et le diacre doivent être touchés au cœur par cette miséricorde de Dieu. Si vous vivez ainsi, vous serez vraiment des pasteurs selon le cœur de Dieu.
Voir en ligne : Les rites d'une célébration d'ordination presbytérale
[1] (autorisation exceptionnelle d'ouverture). Places limitées sur invitation pour raisons sanitaires.
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/2YowCsR
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Romanes et gothiques
Rose de la Cathédrale Notre-Dame de Paris ;
Choeur de la basilique Saint-Denis ;
Cathédrale de Chartres, de Clermont Ferrand, Limoges ; Saint Martial de Limoges, Notre Dame de Port de Clermont, Saint-Sernin de Toulouse + ornements dans les collections du musées ; Portail de l’abbatiale de Moissac; Portail Royal de Saint André de Bordeaux ;
En avant la page muette, au bout l’immersion dans les volumes et couleurs. Pénétrant la page plate rectangulaire. Sobriété du passage. L’architecture romane fait pénétrer par une façade plate, quasi muette[1] (ou aveugle) orientée à l’occident. Un récit concentré dans le programme du tympan… En passant le portail, le visiteur a les pieds des prophètes à l’épaule. Des figures hiératiques détiennent des savoirs, une apocalypse, l’enfer ont lieu. nous levons la tête, passons sous la porte de l’enfer, le christ dans le tétramorphe. Une lecture se poursuit par les vitraux et chapiteaux des bas-côtés de la nef, du chevet. Parcours arqué des chapelles rayonnantes. Le chœur est tourné vers l’orient pour la résurrection au matin. Les matins ensoleillés de lumière couleur… L’expérience clair-obscur avec le tournoiement du chœur rayonnant comme aboutissement. Un bain de couleur, richesses de volumes, rondeur de la trajectoire[2]. Une nef haute et vaste, boîte sombre où la déambulation se fait continument en tour, au sol et à mi-hauteur. Des points de lectures. Des impressions claires-obscures. Des rites intégrés au parcours.
Façade occidentale rectangle, sobre et muette ; chevet oriental en jeu de cylindre de pierres multicolores. Pointillés de lumière, récital d’orgue (essai, accordement), chaise ensanglanté. Par touches. Visage ensanglanté des passants… groupe contorsionné des chapiteaux (Salomé et Saint Jean décapité, Daniel au lion…). Zone brillante dans étendue noire (la ville depuis le mont). Paroissien qui éteint les bougies, plus tard.
Les jeux de cylindres du chevet depuis l’extérieur, les récits de chapiteaux depuis l’intérieur, les plaques de couleurs des vitraux un matin (vers l’orient). Chœur d’orient. Je pense à la cage de verre arquée sous un bloc de béton (HCLR). Les oiseaux se nichaient derrière les hauts reliefs du tympan roman. (*). Hirondelles dont les nids visibles sont établis dans les flots et nuages qui séparent les registres. La pate du bœuf ailé qui garde le livre soutien le nid de brindilles. Tous les matins la résurrection recommence dans la lumière rouge projetée sur les façades des déambulateurs. Un visage ensanglanté déambule dans le chœur rayonnant. Une colonne torse, un vitrail bleu… Deux lions s’entr’mordent la queue.
Le vieux portail latéral de la cathédrale de Bordeaux figure une multitude d’anges suivant les voussures, au centre haut le christ en majesté, au pied baignés dans une ligne ondulé de flots qui termine le registre. Le bœuf ailé se retourne sur lui-même, garde livre. Gueule de lion. 4 têtes. Le christ dans le tétramorphe des tympans de Moissac et Chartres (aigle, lion, vache, ange aux quatre angles, tenant des livres).
Toute la sculpture romane est retirée de Saint-Sernin de Toulouse, la très longue basilique de de brique rouge. Son programme de chapiteaux, ses 7 Sybilles et prophètes de terracota (XVs), le bas relief des Signes du lion et bélier (XII)…? Les lions ornementaux aux pâtes entrelacées, doubles et se mordant la queue, les pates mutuelles. (Dessins *)
La nuit était déjà tombée sur le chœur échafaudé d’Issoire. Viollet Le Duc y a maquillé tout l’espace interne: le visage des monstres grouillants des chapiteaux est blanc cerné de noir. à Moissac la peinture ornementale interne est restauration depuis portion du XVs et le Christ dans le tétramorphe qui est baigné de soleil au crépuscule est illuminé violet à la nuit tombée.
Depuis l’intérieur de la noire cathédrale en pierre volcanique; à l’heure bleue crépusculaire… clair obcur. Matériel noir, bleuté. Vitraux translucides. Ténèbres. Au chœur de la basilique romanede Clermont, le rougeoiement par tâches rouges des vitraux. Chaise rouge… face rouge. Ensanglante les passants. La lumière jette le souvenir de la résurection chaque matin, par les tâches rouges déposées sur le chœur d’orient. La cathédrale volcanique est un coffre noir. Dedans, les dernières lueurs du crépuscule détachent les silhouettes bleues des baies filiformes en arc brisés du reste de la boîte obscure indifférenciée. Amandes bleues dans coffre noir… Fraîcheur, échos. Boîte obscure percée d’écrins de lumières-couleurs, mourantes. Lumières-couleurs se projetant psychédéliques dans la boîte. Les vitraux des chapelles rayonnantes au matin : reflets colorés, chaises du cœur, pavages, murs, visages des déambulateurs : rouges. Chaise rouge, face rouge. Les vitraux à la dernière lumière du jour, la rosace d’ouest de la cathédrale. La cathédrale noire la nuit, éclairage éteint et brume. Les vitraux de Clermont Ferrand. La distribution de la circulation par la chapelle rayonnante.
A Chartres, nous avons marché où circulaient les maçons, au niveau des arcs boutants. Les fondations. Dans la nef. La nef, le port, l’orient; le havre, le paradis. Les espaces parcourus par les visiteurs et paroissiens, à mi hauteurs dans les basiliques romanes. En bas et au sol dans les cathédrales gothiques. A Bordeaux au sommet du campanile de la cathédrale. Dans la crypte de Saint Denys: basse et sombre, gisants, ossements, chapelles et reliques, plus ancienne. Cryptes, à Saint Denys, Toulouse, Louvre: gisants.
La statuaire romane au programme symbolique? lié à l’ordre du parcours des pèlerins, paroissiens. Registres de tympans des 3 ou 4 portails, chapiteaux de déambulatoires… vitraux des bas côtés et chevets. La cathédrale est peuplée de rangées de figures hiératiques portant des symboles, marchant sur des monstres et diables. Des arcs d’anges en enfilades les surplombent. Les positions d’ailes des anges sont variées: repliées devant soi, en l’air une, deux. De l’eau, des nuages. Le porche est orné (NdPort Clermont). Les épisodes des évangiles, de l’ancien testament. Des chapiteaux profonds en hauts reliefs, bien ciselés. Des groupes complexes aux scènes foisonnantes... L’ornementation végétale et bestiale, monstrueuse. Chapiteaux d’acanthes, s’entremêlent. Habitants des lianes... La faune de l’enfer et les élucubrations profanes sont partout présentent, dispersées, diffusent dans le bâtiment. Monstres à queue, griffes, en contorsion; gueules béantes et grimaces. Gargouilles, mascarons. Gargouilles élancées bouches ouvertes qui ont craché de l’eau des siècles, misent à la verticale dans un cloître, caressées par un aveugle. Big mouth… (*) oh yeah, son bras dedans. Idem Londres. Des chimères, monstres tirant la langue: mascarons des frises du haut, où poussent les feuilles. Démons sous les entablements. Une statue humaine échelle réelle pose ses pieds sur un piédestal en dessous duquel grouillent diablotins, monstres. Au diable, à l’enfer, au vice sont associés les contorsions. Hiératisme pour les prophètes, pères d’églises, apôtres… Grands et longs, hauts. Les endiablés sont bas, en bas; les bons leur marchent dessus. A 4 pattes ou couchés, tordus, petits.
La multitude ailée, céleste ; les frises de nuées, rubans d’ondes, groupements contorsionnés de petites monstruosités sont asservies à l’irrigation de l’eau que leurs bouches bées recrachent à l’écart; où aux supports ornementaux des saints, prophètes, pères.
Vierges noires, encensoirs à acolytes, bénitiers conques; clefs de voûtes, boîtes à reliques (crâne de Saint Thomas d’Aquin dans le couvent dominicain des Jacobins). Une vierge noire dans un village. Des cheminées de fées rouges au flanc d’un mont boisé. Cathédrale de basalte noir, abbatiale de brique rose. Eglise de granit (village de Haute Vienne). Notre Dame du Port est dans une ville de pleine terre. Coffres maquette d’architecture. Trésors de coffres reliquaires. Custodes colombes et osties industrielles. Le reliquaire est une architecture d’orfevrerie, minuscule. Les statuaires de calcaire polychrome de Saint François d’Assise et Saint Paul du musée de Toulouse logé dans le couvent des Augustins. Le gisant à l’horizontale a les pieds sur sa bête de compagnie endormie: chien, lion, dragon. Des figures en longueur courent le long de colonnettes, portails : les 2 prophètes de Moissac. Des prophètes portent des livres, clefs. Des niches-bâtiment. Gisant ou prophètes sous dais ? Livres, clefs, canes, coussins. La vierge à l’enfant, au livre. Des groupes de statuaires: descente de croix; en bois polychrome. Musée du moyen âge logé dans l'hotel de Cluny: des coffrets du limousin (châsses en porcelaine champlevées, les vitraux... Les retables, crèches et mobilier polychromes de genre troubadour vu à Corrèze. Des retables de choeur: Grünewald. D’autres privés, portatifs. Des fresques de chapelles: Saint François d’Assise, Giotto.
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien « Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68 Mercredi 20 Mai Livre des Actes des Apôtres 17,15.22-34.18,1. En ces jours-là, ceux qui escortaient Paul le conduisirent jusqu’à Athènes. Puis ils s’en retournèrent, porteurs d’un message, avec l’ordre, pour Silas et Timothée, de rejoindre Paul le plus tôt possible.Alors Paul, debout au milieu de l’Aréopage, fit ce discours : « Athéniens, je peux observer que vous êtes, en toutes choses, des hommes particulièrement religieux.En effet, en me promenant et en observant vos monuments sacrés, j’ai même trouvé un autel avec cette inscription : “Au dieu inconnu.” Or, ce que vous vénérez sans le connaître, voilà ce que, moi, je viens vous annoncer.Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qu’il contient, lui qui est Seigneur du ciel et de la terre, n’habite pas des sanctuaires faits de main d’homme ;il n’est pas non plus servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, le souffle et tout le nécessaire.À partir d’un seul homme, il a fait tous les peuples pour qu’ils habitent sur toute la surface de la terre, fixant les moments de leur histoire et les limites de leur habitat ;Dieu les a faits pour qu’ils le cherchent et, si possible, l’atteignent et le trouvent, lui qui, en fait, n’est pas loin de chacun de nous.Car c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être. Ainsi l’ont également dit certains de vos poètes : ‘Nous sommes de sa descendance.’Si donc nous sommes de la descendance de Dieu, nous ne devons pas penser que la divinité est pareille à une statue d’or, d’argent ou de pierre sculptée par l’art et l’imagination de l’homme.Et voici que Dieu, sans tenir compte des temps où les hommes l’ont ignoré, leur enjoint maintenant de se convertir, tous et partout.En effet, il a fixé le jour où il va juger la terre avec justice, par un homme qu’il a établi pour cela, quand il l’a accrédité auprès de tous en le ressuscitant d’entre les morts. »Quand ils entendirent parler de résurrection des morts, les uns se moquaient, et les autres déclarèrent : « Là-dessus nous t’écouterons une autre fois. »C’est ainsi que Paul, se retirant du milieu d’eux, s’en alla.Cependant quelques hommes s’attachèrent à lui et devinrent croyants. Parmi eux, il y avait Denys, membre de l’Aréopage, et une femme nommée Damaris, ainsi que d’autres avec eux.Après cela, Paul s’éloigna d’Athènes et se rendit à Corinthe. Psaume 148(147),1-2.11-12.13.14b. Louez le Seigneur du haut des cieux,louez-le dans les hauteurs.Vous, tous ses anges, louez-le,louez-le, tous les univers. Les rois de la terre et tous les peuples,les princes et tous les juges de la terre ;tous les jeunes gens et jeunes filles,les vieillards comme les enfants. Qu'ils louent le nom du Seigneur,le seul au-dessus de tout nom ;sur le ciel et sur la terre, sa splendeur :louange de tous ses fidèles ! Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 16,12-15. En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous ne pouvez pas les porter.Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière. En effet, ce qu’il dira ne viendra pas de lui-même : mais ce qu’il aura entendu, il le dira ; et ce qui va venir, il vous le fera connaître.Lui me glorifiera, car il recevra ce qui vient de moi pour vous le faire connaître.Tout ce que possède le Père est à moi ; voilà pourquoi je vous ai dit : L’Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître. �� - © AELF, Paris « L'Esprit de Vérité vous guidera vers la vérité tout entière » « Lorsque viendra le Consolateur que je vous enverrai du Père, il rendra témoignage de moi et vous enseignera toutes choses : toute vérité vous viendra de l'Esprit de Vérité. Qui connaît les secrets de l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui ? De même, personne ne connaît les secrets de Dieu, sinon l'Esprit de Dieu » (cf Jn 15,26 et 1Co 2,11). Hâte-toi donc de communier à l'Esprit Saint. (...) Alors commenceront à briller pour toi toutes ces vérités que la Sagesse (1Co 1,24) pouvait dire aux disciples alors qu'elle était sur terre, mais qu'ils ne pouvaient pas porter avant la venue de l'Esprit de vérité qui leur enseignerait toute vérité. (...)« Dieu est Esprit » (Jn 2,24) ; et, de même que ceux qui l'adorent doivent nécessairement l'adorer « en esprit et en vérité » (ibid.), de même ceux qui désirent le connaître ne doivent chercher que dans l'Esprit Saint l'intelligence de la foi et le sens de cette vérité pure et sans mélange. Parmi les ténèbres et l'ignorance de cette vie, il est lui-même pour les pauvres en esprit (Mt 5,3) la lumière qui éclaire, la charité qui attire, la douceur qui saisit ; il est l'accès de l'homme auprès de Dieu, l'amour de celui qui aime, la dévotion de celui qui se livre sans réserve. C'est lui qui, de conviction en conviction, révèle aux croyants la justice de Dieu ; il donne grâce pour grâce (Jn 1,16), et à la foi qui s'attache à l'écoute de la Parole, il donne en retour la foi illuminée.
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CHRONIQUE - Face à Notre-Dame de Paris en flammes, toutes les querelles sur «les racines chrétiennes de la France» sont vaines et ridicules.
«Qu’il aille ou non à l’église, le Français a les Évangiles dans le sang.» En contemplant le spectacle dantesque de la cathédrale Notre-Dame de Paris en flammes, cette formule d’André Suarès prenait soudain tout son sens. C’était la France qui brûlait devant nos yeux incrédules et bouleversés. Notre histoire millénaire, notre «fille aînée de l’Eglise», des générations d’ouvriers français qui avaient mis des siècles à édifier cette œuvre d’art, tous nos rois qui défilaient en humbles pénitents, et notre Empereur qui s’y faisait sacrer ; et nos républiques qui venaient y quérir le secours de la Providence pour nos armées. Soudain, toutes les querelles sur «les racines chrétiennes de la France» devenaient vaines et ridicules. Si évidentes que tout argument paraissait superflu. Pour les étrangers qui se lamentaient, c’était une réalité qui ne se discutait pas. Pour paraphraser la formule de Marc Bloch, qui expliquait que ceux qui ne vibraient ni au sacre de Reims ni à la fête de la Fédération ne comprendraient jamais l’histoire de France, on pouvait dire que ceux qui ne pleuraient pas sur la flèche en flammes n’étaient pas français.
Certains essayaient de biaiser, à l’instar de Jean-Luc Mélenchon
La plupart l’ont compris. Pourtant, certains essayaient de biaiser, à l’instar de Jean-Luc Mélenchon qui, avec son habituel talent de rhéteur, emportait la cathédrale loin de sa foi catholique pour insister sur le rationalisme de ses ingénieurs qui, par le génie des calculs mathématiques, s’arrachaient à la tutelle de la superstition. Faire de la cathédrale le symbole de la lutte des hommes contre l’opium du peuple, il fallait le faire! Mélenchon l’a fait, en occultant soigneusement les ravages causés par la piétaille révolutionnaire ; en ne comprenant pas surtout, ou en faisant mine de ne pas comprendre, que ce style gothique, qui monte fièrement vers le ciel, incarne justement la quintessence de la synthèse chrétienne du Moyen Âge, qui met la raison au service de la foi, pendant que, de l’autre côté de la Méditerranée, à la même époque, on refusait que la raison vînt interférer dans la foi. Les deux civilisations s’éloignaient irrémédiablement l’une de l’autre.
Sur les réseaux sociaux justement, des musulmans exultaient sans pudeur, en appelaient à la vengeance d’Allah sur ces infidèles qui, quelques jours plus tôt, s’étaient, paraît-il, moqués de La Mecque. Il faut préciser que certains de leurs coreligionnaires les sommaient de se taire. L’Union des mosquées de France appelait les musulmans à prier pour la cathédrale. Cette ambiance tendue nous rappelait que l’incendie de Notre-Dame n’était pas le premier, mais l’apothéose d’une succession de saccages d’églises intervenus depuis des mois et qui ne scandalisaient personne. Un Pakistanais était arrêté et condamné pour des destructions d’objets sacrés de la cathédrale Saint-Denis ; la police suivait une piste criminelle après l’incendie de Saint-Sulpice ; la justice condamnait une djihadiste, Inès Madani, qui avait tenté de mettre le feu à une voiture remplie d’explosifs devant la cathédrale Notre-Dame de Paris. C’était en 2016. Déjà.
Eric Zemmour Source: premium.lefigaro.fr
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Message de Mgr Moutel pour la Semaine Sainte
Dans le confinement, une Semaine Sainte renouvelée.
Personne ne pensait vivre un tel carême ! Brutalement, avec la pandémie, notre monde a été plongé dans le calme et le silence, mais aussi dans des difficultés sanitaires, économiques, sociales ou familiales, profondes, qu'il faut affronter jour après jour. En certains pays du monde, c'est la misère et la faim qui risquent de s'abattre sur des populations sans secours.
Le Peuple de Dieu est confiné lui aussi, mais uni dans le Christ. Il nous invite à le suivre dans cette Semaine Sainte et singulière, en nous laissant aimer sous les bras de Sa croix.
Il me semble que nous allons suivre autrement le Seigneur, tellement nos regards et nos perceptions sont déplacés.
Nous jugions les autres - et nous-mêmes - définitivement individualistes et « confinés » dans la consommation ou le « tout-à-l'égo ». Nous voyons avec surprise que nos voisins s'inquiètent pourtant des autres ou donnent un coup de main dans toutes sortes de services solidaires et civiques. Jésus, le Serviteur, nous invite à le suivre. C'est le Jeudi-Saint.
Nous pensions, sans y croire tout à fait, que l'homme pourrait régler beaucoup de choses par lui-même, en oubliant la sagesse, le respect de la création, la vie morale, les relations humaines. Mais ce rêve de toute-puissance vient de se briser : « l'homme augmenté » ne peut plus cacher nos fragilités. Jésus, le Crucifié, vient nous aimer jusqu'au bout dans notre vulnérabilité, dans nos morts, dans nos défaites et nos péchés. C'est le Vendredi-Saint.
Nous étions peut-être endormis, parfois médiocres ou « alternatifs », dans notre relation avec Dieu, notre participation à l'assemblée du dimanche, notre ferveur personnelle. Nous découvrons combien la communion eucharistique nous manque, et aussi les autres chrétiens que nous ne pouvons plus rencontrer de la même manière. Mais nous multiplions les initiatives pour nous relier, malgré tout, à l'Église vivante, qui est aussi le Corps du Christ. Jésus, le ressuscité, nous invite à la joie et à la mission. C'est le dimanche de la Résurrection, c'est Pâques.
En cette Semaine Sainte 2020, je serai en profonde communion avec vous. Que le souffle de Dieu, l'Esprit Saint, mobilise notre Espérance pour suivre le Christ et annoncer son Évangile d'une manière renouvelée.
+ Denis MoutelÉvêque de Saint-Brieuc et Tréguier
via Paroisse Saint-Tugdual de TREGUIER https://ift.tt/2R914TP
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Message de Mgr Moutel pour la Semaine Sainte
Dans le confinement, une Semaine Sainte renouvelée.
Personne ne pensait vivre un tel carême ! Brutalement, avec la pandémie, notre monde a été plongé dans le calme et le silence, mais aussi dans des difficultés sanitaires, économiques, sociales ou familiales, profondes, qu'il faut affronter jour après jour. En certains pays du monde, c'est la misère et la faim qui risquent de s'abattre sur des populations sans secours.
Le Peuple de Dieu est confiné lui aussi, mais uni dans le Christ. Il nous invite à le suivre dans cette Semaine Sainte et singulière, en nous laissant aimer sous les bras de Sa croix.
Il me semble que nous allons suivre autrement le Seigneur, tellement nos regards et nos perceptions sont déplacés.
Nous jugions les autres - et nous-mêmes - définitivement individualistes et « confinés » dans la consommation ou le « tout-à-l'égo ». Nous voyons avec surprise que nos voisins s'inquiètent pourtant des autres ou donnent un coup de main dans toutes sortes de services solidaires et civiques. Jésus, le Serviteur, nous invite à le suivre. C'est le Jeudi-Saint.
Nous pensions, sans y croire tout à fait, que l'homme pourrait régler beaucoup de choses par lui-même, en oubliant la sagesse, le respect de la création, la vie morale, les relations humaines. Mais ce rêve de toute-puissance vient de se briser : « l'homme augmenté » ne peut plus cacher nos fragilités. Jésus, le Crucifié, vient nous aimer jusqu'au bout dans notre vulnérabilité, dans nos morts, dans nos défaites et nos péchés. C'est le Vendredi-Saint.
Nous étions peut-être endormis, parfois médiocres ou « alternatifs », dans notre relation avec Dieu, notre participation à l'assemblée du dimanche, notre ferveur personnelle. Nous découvrons combien la communion eucharistique nous manque, et aussi les autres chrétiens que nous ne pouvons plus rencontrer de la même manière. Mais nous multiplions les initiatives pour nous relier, malgré tout, à l'Église vivante, qui est aussi le Corps du Christ. Jésus, le ressuscité, nous invite à la joie et à la mission. C'est le dimanche de la Résurrection, c'est Pâques.
En cette Semaine Sainte 2020, je serai en profonde communion avec vous. Que le souffle de Dieu, l'Esprit Saint, mobilise notre Espérance pour suivre le Christ et annoncer son Évangile d'une manière renouvelée.
+ Denis MoutelÉvêque de Saint-Brieuc et Tréguier
via Paroisse Saint-Tugdual de TREGUIER https://ift.tt/2R914TP
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Décès de l'abbé Derrien : kenavo, tad Marsel !
C'est le dimanche des Rameaux (25 mars 2018) qu'est décédé à 87 ans l'abbé Marcel Derrien. Ses obsèques ont été célébrées le mercredi 28 à la basilique Notre-Dame de Bon Secours de Guingamp, en présence de Monseigneur Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier. L'abbé Derrien, que tout le monde appelait par son prénom Marcel, était un enfant du pays. Grand amateur de foot, il était un ardent supporter d'En-Avant. Bon connaisseur de la langue bretonne, il avait œuvré dans le cadre de sa langue maternelle, célébrant des messes en breton, participant à l'édition des cantiques de la paroisse de Bourbriac, et prenant une part active à l'établissement de textes liturgiques dans cette même langue. Voici l'allocution prononcée par Mgr Moutel, suivie de l'homélie de l'abbé Guy Marzin, curé.
Mot d'accueil me Mgr Moutel pour les obsèques de l'abbé Marcel Derrien
Nous sommes venus nombreux pour manifester notre reconnaissance à l'abbé Marcel Derrien, mais pour dire surtout à Dieu notre action de grâce pour tous les dons reçus et notre espérance, car Dieu continue toujours ce qu'il a commencé, tout particulièrement dans la vie d'un bon serviteur.
L'abbé Marcel Derrien est né à Kerien, non loin de Bourbriac, le 5 février 1931. Il venait d'avoir 87 ans. Il a grandi à Pabu qu'il avait rejoint ces dernières années, à vos côtés, Monique sa sœur. Je me rappelle encore l'accueil si chaleureux, il n'y a pas si longtemps dans son Mobile home si bien aménagé et dans votre maison pour le repas.
Après son ordination presbytérale en 1956, il devient vicaire instituteur à Callac puis, de 1958 à 1964, professeur à l'Institut des sourds-muets à Saint-Brieuc. En 1964, il rejoint le service paroissial en étant vicaire à Rostrenen pendant 10 ans, puis recteur de Grâces et administrateur de Plouisy, pendant 10 années. De 1984 à 2005, il vit son ministère de pasteur à Bourbriac.
C'est en 2005 qu'il vient à Guingamp, depuis sa résidence de Pabu. Bien sûr c'est la retraite officielle mais en aucun cas l'arrêt pour les nombreux services qu'il continue de rendre à Guingamp et dans la région : célébration des eucharisties dominicales et des obsèques, présidence de nombreux pardons …
Finalement, s'il y a une ligne de force dans sa vie, c'est bien celle de la fidélité. Dans des contextes parfois difficiles pour l'Église, il vit en actes le oui qu'il a donné au Seigneur pour être prêtre et serviteur de tous. Nous avons bénéficié de cette même fidélité dans les amitiés qu'il a nouées. Plutôt joyeux et simple, il aimait être proches des gens et il conservait de nombreux liens avec ceux qu'il avait rencontrés dans son ministère.
Nous lui devons un engagement fort pour la culture bretonne. Il pratiquait bien sûr sa langue maternelle dans la liturgie de l'Église, comme ici pour la Saint Loup. Mais il apportait aussi son temps et son étude pour la publication de traductions liturgiques. Il faisait partie des quelques professeurs auprès de qui je pouvais vérifier la justesse des quelques phrases que j'ose prononcer en breton. J'ai eu la joie de l'accompagner une fois ou l'autre au stade du Roudourou pour soutenir son club de cœur l'En-Avant Guingamp ». Il était intarissable et connaisseur sur les parcours des joueurs ou les résultats espérés pour tel ou tel match.
Marcel, la partie n'est pas finie ! Merci de prendre place maintenant au rang des supporters de tous tes amis. Merci de nous soutenir dans l'amitié du Christ. Nous le suivons de plus près, cette semaine, et nous sommes sûrs, Marcel, qu'avec Lui et en Lui, vous avez déjà remporté la victoire, celle de la résurrection.
+ Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier
L'abbé Marcel Derrien
Homélie du père Guy Marzin
(Évangile : Marc 15, 33-34.37-39 ; 16, 1-6) Il y a trois mois, le 28 décembre dernier, je rendais visite à Marcel à l'EHPAD de Montbareil à St Brieuc. Il était fatigué mais communiquait très bien. Très vite, comme on le fait en visitant un convalescent, je lui demande : « Alors Marcel, comment vas-tu ? » La réponse a été pour moi révélatrice du personnage : « J'attends ! ». Tu attends d'aller à côté, au Cèdre, avec les confrères prêtres en retraite ? « Non, non, j'attends de passer sur l'autre rive, dans la Maison du Père. Je rêve de me coucher le soir et de me réveiller le lendemain matin dans les bras du Seigneur. Tu sais Guy, mon bonheur n'est plus ici maintenant, il est avec le Seigneur. Comme dit le psaume : « Je n'ai de repos qu'en Dieu seul, mon salut vient de lui. » (Ps 61)
En rentrant chez moi au presbytère de Guingamp, j'ai tout de suite noté ces belles paroles de Marcel. Ces paroles rejoignent très bien de passage de l'Évangile selon saint Marc que nous venons d'entendre. Jésus est mort sur une croix, il est ressuscité le premier jour de la semaine. Il dit aux quelques femmes venues au tombeau : « N'ayez pas peur, vous cherchez Jésus de Nazareth, le crucifié ? Il est ressuscité ! » C'est là le cœur de la foi des chrétiens que nous célébrons durant cette semaine sainte. Après le vendredi saint il y a le jour de Pâques. C'est la foi de l'Église. C'était la foi de Marcel qui vient de nous quitter. Quand il me disait qu'il attendait de « passer sur l'autre rive, dans la Maison du Père », il ne disait pas autre chose que son espérance en Dieu, sa foi en la résurrection de Jésus Christ. C'est un beau signe donné à Marcel, et à tous ceux qui ont entendu l'annonce de sa mort dimanche matin, que de mourir le jour ou était célébré le dimanche des Rameaux et la Passion du Seigneur. Marcel est entré dans le sommeil de la mort le jour où l'Église faisait mémoire de la Passion de Jésus.
La foi qui animait la vie de Marcel a peut-être été un peu cachée par le style du personnage. Marcel avait ses limites comme chacun de nous. Il était imprévisible par moment. Il était plein d'humour. Mais derrière son style, il y avait la foi qui animait sa vie, il y avait son attachement à la personne de Jésus Christ. Chacun de nous peut se retrouver finalement dans ce que Marcel a vécu. Il y a ce que nous donnons à voir, notre manière de vivre, nos qualités et nos défauts… Mais le ressort de notre vie apparait plus difficilement. On ne distingue pas toujours ce qui irrigue la vie intérieure de quelqu'un. C'est parfois, dans la fragilité, dans la maladie, dans l'épreuve, que nous découvrons ce qui animait la vie d'un proche.
Pour les chrétiens, comme ce fut le cas pour Marcel, c'est dans la prière, la méditation de la Parole de Dieu, la célébration des sacrements, que nous sommes nourris, irrigués de la sève de l'Évangile. L'Évangile devient une force, un appui. Il nous fait passer de la peur à la paix. La Semaine Sainte que nous vivons actuellement, nous offre à tous l'occasion de venir puiser à la source vive du salut. Les célébrations du triduum pascal nous font aller au cœur de la foi, à Jésus Christ mort et ressuscité. Allons à la source qui vient transfigurer notre vie. Puissions-nous tous dire un jour, comme Marcel : « Je n'ai de repos qu'en Dieu seul, mon salut vient de lui. » (Ps 61) - Amen. Abbé Guy Marzin.}}}
l'abbé Marcel Derrien (photo Tercelin)
Rappel des dates principales de la vie de l'abbé Marcel Derrien
Né le 5 février 1931 à Kérien (22).
Ordonné prêtre le 17 mars 1956.
1956 : prêtre instituteur à Callac (22).
1958 : professeur - Institution des sourds-muets à St-Brieuc.
1964 : vicaire à Rostrenen.
1974 : recteur à Grâces-Guingamp ; aumônier du lycée public de Kernilien.
1977 : … et administrateur de la paroisse de Plouisy.
1984 : curé des paroisses de Bourbriac et St-Adrien.
1994 : curé de Rostrenen et Bonen.
1996 : au service de la paroisse de Bourbriac.
2002 : curé de la paroisse Saint-Briac de Bourbriac.
2005 : en retraite à Pabu.
Décédé au Cèdre le dimanche 25 mars 2018.
via Paroisse de Bourbriac-St-Briac https://ift.tt/2H2s1p4
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Décès de l'abbé Derrien : kenavo, tad Marsel !
C'est le dimanche des Rameaux (25 mars 2018) qu'est décédé à 87 ans l'abbé Marcel Derrien. Ses obsèques ont été célébrées le mercredi 28 à la basilique Notre-Dame de Bon Secours de Guingamp, en présence de Monseigneur Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier. L'abbé Derrien, que tout le monde appelait par son prénom Marcel, était un enfant du pays. Grand amateur de foot, il était un ardent supporter d'En-Avant. Bon connaisseur de la langue bretonne, il avait œuvré dans le cadre de sa langue maternelle, célébrant des messes en breton, participant à l'édition des cantiques de la paroisse de Bourbriac, et prenant une part active à l'établissement de textes liturgiques dans cette même langue. Voici l'allocution prononcée par Mgr Moutel, suivie de l'homélie de l'abbé Guy Marzin, curé.
Mot d'accueil me Mgr Moutel pour les obsèques de l'abbé Marcel Derrien
Nous sommes venus nombreux pour manifester notre reconnaissance à l'abbé Marcel Derrien, mais pour dire surtout à Dieu notre action de grâce pour tous les dons reçus et notre espérance, car Dieu continue toujours ce qu'il a commencé, tout particulièrement dans la vie d'un bon serviteur.
L'abbé Marcel Derrien est né à Kerien, non loin de Bourbriac, le 5 février 1931. Il venait d'avoir 87 ans. Il a grandi à Pabu qu'il avait rejoint ces dernières années, à vos côtés, Monique sa sœur. Je me rappelle encore l'accueil si chaleureux, il n'y a pas si longtemps dans son Mobile home si bien aménagé et dans votre maison pour le repas.
Après son ordination presbytérale en 1956, il devient vicaire instituteur à Callac puis, de 1958 à 1964, professeur à l'Institut des sourds-muets à Saint-Brieuc. En 1964, il rejoint le service paroissial en étant vicaire à Rostrenen pendant 10 ans, puis recteur de Grâces et administrateur de Plouisy, pendant 10 années. De 1984 à 2005, il vit son ministère de pasteur à Bourbriac.
C'est en 2005 qu'il vient à Guingamp, depuis sa résidence de Pabu. Bien sûr c'est la retraite officielle mais en aucun cas l'arrêt pour les nombreux services qu'il continue de rendre à Guingamp et dans la région : célébration des eucharisties dominicales et des obsèques, présidence de nombreux pardons …
Finalement, s'il y a une ligne de force dans sa vie, c'est bien celle de la fidélité. Dans des contextes parfois difficiles pour l'Église, il vit en actes le oui qu'il a donné au Seigneur pour être prêtre et serviteur de tous. Nous avons bénéficié de cette même fidélité dans les amitiés qu'il a nouées. Plutôt joyeux et simple, il aimait être proches des gens et il conservait de nombreux liens avec ceux qu'il avait rencontrés dans son ministère.
Nous lui devons un engagement fort pour la culture bretonne. Il pratiquait bien sûr sa langue maternelle dans la liturgie de l'Église, comme ici pour la Saint Loup. Mais il apportait aussi son temps et son étude pour la publication de traductions liturgiques. Il faisait partie des quelques professeurs auprès de qui je pouvais vérifier la justesse des quelques phrases que j'ose prononcer en breton. J'ai eu la joie de l'accompagner une fois ou l'autre au stade du Roudourou pour soutenir son club de cœur l'En-Avant Guingamp ». Il était intarissable et connaisseur sur les parcours des joueurs ou les résultats espérés pour tel ou tel match.
Marcel, la partie n'est pas finie ! Merci de prendre place maintenant au rang des supporters de tous tes amis. Merci de nous soutenir dans l'amitié du Christ. Nous le suivons de plus près, cette semaine, et nous sommes sûrs, Marcel, qu'avec Lui et en Lui, vous avez déjà remporté la victoire, celle de la résurrection.
+ Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier
L'abbé Marcel Derrien
Homélie du père Guy Marzin
(Évangile : Marc 15, 33-34.37-39 ; 16, 1-6) Il y a trois mois, le 28 décembre dernier, je rendais visite à Marcel à l'EHPAD de Montbareil à St Brieuc. Il était fatigué mais communiquait très bien. Très vite, comme on le fait en visitant un convalescent, je lui demande : « Alors Marcel, comment vas-tu ? » La réponse a été pour moi révélatrice du personnage : « J'attends ! ». Tu attends d'aller à côté, au Cèdre, avec les confrères prêtres en retraite ? « Non, non, j'attends de passer sur l'autre rive, dans la Maison du Père. Je rêve de me coucher le soir et de me réveiller le lendemain matin dans les bras du Seigneur. Tu sais Guy, mon bonheur n'est plus ici maintenant, il est avec le Seigneur. Comme dit le psaume : « Je n'ai de repos qu'en Dieu seul, mon salut vient de lui. » (Ps 61)
En rentrant chez moi au presbytère de Guingamp, j'ai tout de suite noté ces belles paroles de Marcel. Ces paroles rejoignent très bien de passage de l'Évangile selon saint Marc que nous venons d'entendre. Jésus est mort sur une croix, il est ressuscité le premier jour de la semaine. Il dit aux quelques femmes venues au tombeau : « N'ayez pas peur, vous cherchez Jésus de Nazareth, le crucifié ? Il est ressuscité ! » C'est là le cœur de la foi des chrétiens que nous célébrons durant cette semaine sainte. Après le vendredi saint il y a le jour de Pâques. C'est la foi de l'Église. C'était la foi de Marcel qui vient de nous quitter. Quand il me disait qu'il attendait de « passer sur l'autre rive, dans la Maison du Père », il ne disait pas autre chose que son espérance en Dieu, sa foi en la résurrection de Jésus Christ. C'est un beau signe donné à Marcel, et à tous ceux qui ont entendu l'annonce de sa mort dimanche matin, que de mourir le jour ou était célébré le dimanche des Rameaux et la Passion du Seigneur. Marcel est entré dans le sommeil de la mort le jour où l'Église faisait mémoire de la Passion de Jésus.
La foi qui animait la vie de Marcel a peut-être été un peu cachée par le style du personnage. Marcel avait ses limites comme chacun de nous. Il était imprévisible par moment. Il était plein d'humour. Mais derrière son style, il y avait la foi qui animait sa vie, il y avait son attachement à la personne de Jésus Christ. Chacun de nous peut se retrouver finalement dans ce que Marcel a vécu. Il y a ce que nous donnons à voir, notre manière de vivre, nos qualités et nos défauts… Mais le ressort de notre vie apparait plus difficilement. On ne distingue pas toujours ce qui irrigue la vie intérieure de quelqu'un. C'est parfois, dans la fragilité, dans la maladie, dans l'épreuve, que nous découvrons ce qui animait la vie d'un proche.
Pour les chrétiens, comme ce fut le cas pour Marcel, c'est dans la prière, la méditation de la Parole de Dieu, la célébration des sacrements, que nous sommes nourris, irrigués de la sève de l'Évangile. L'Évangile devient une force, un appui. Il nous fait passer de la peur à la paix. La Semaine Sainte que nous vivons actuellement, nous offre à tous l'occasion de venir puiser à la source vive du salut. Les célébrations du triduum pascal nous font aller au cœur de la foi, à Jésus Christ mort et ressuscité. Allons à la source qui vient transfigurer notre vie. Puissions-nous tous dire un jour, comme Marcel : « Je n'ai de repos qu'en Dieu seul, mon salut vient de lui. » (Ps 61) - Amen. Abbé Guy Marzin.}}}
l'abbé Marcel Derrien (photo Tercelin)
Rappel des dates principales de la vie de l'abbé Marcel Derrien
Né le 5 février 1931 à Kérien (22).
Ordonné prêtre le 17 mars 1956.
1956 : prêtre instituteur à Callac (22).
1958 : professeur - Institution des sourds-muets à St-Brieuc.
1964 : vicaire à Rostrenen.
1974 : recteur à Grâces-Guingamp ; aumônier du lycée public de Kernilien.
1977 : … et administrateur de la paroisse de Plouisy.
1984 : curé des paroisses de Bourbriac et St-Adrien.
1994 : curé de Rostrenen et Bonen.
1996 : au service de la paroisse de Bourbriac.
2002 : curé de la paroisse Saint-Briac de Bourbriac.
2005 : en retraite à Pabu.
Décédé au Cèdre le dimanche 25 mars 2018.
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14 janvier 2018 : Journée mondiale du migrant et du réfugié
Le 14 janvier 2018, l'Église universelle célèbre la 104e Journéemondiale du migrant et du réfugié. Cette année, le Pape François a choisi pour thème quatre verbes pour guider notre réflexion et nos actions : accueillir, protéger, promouvoir et intégrer les migrants et les réfugiés.
Pour le Pape, « tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus Christ, qui s'identifie à l'étranger de toute époque accueilli ou rejeté (cf. Mt 25,35.43). Le Seigneur confie à l'amour maternel de l'Église tout être humain contraint à quitter sa propre patrie à la recherche d'un avenir meilleur.Cette sollicitude doit s'exprimer concrètement à chaque étape de l'expérience migratoire : depuis le départ jusqu'au voyage, depuis l'arrivée jusqu'au retour.C'est une grande responsabilité que l'Église entend partager avec tous les croyants ainsi qu'avec tous les hommes et femmes de bonne volonté, qui sont appelés à répondre aux nombreux défis posés par les migrations contemporaines, avec générosité, rapidité, sagesse et clairvoyance, chacun selon ses propres possibilités ». Pour plus de renseignements : http://ift.tt/2hcRSfn
Dans notre diocèse, à la demande de notre évêque, toutes les paroisses sont invitées à célébrer et à donner corps, chacune à sa mesure, à cette journée particulière.
Comme l'an passé, l'Église diocésaine est également invitée à se rassembler autour d'un temps fort qui sera cette année organisé sur la paroisse de Lannion. La messe sera célébrée à 10h30 à l'église Saint Jean du Baly et suivie d'un verre de l'amitié. Un temps convivial ouvert à tous se déroulera ensuite à l'église Saint Yves (quartier de Ker Uhel) autour d'un repas partagé (merci à chacun d'apporter un plat salé ou sucré) puis d'une après-midi festive pour s'ouvrir à la rencontre de son prochain, qu'il soit notre voisin ou qu'il vienne du bout de la terre.
Pour plus d'informations sur cette journée, contacter Yves Piron : yvespiron orange.fr ou 06 13 29 45 03
Chacun de nous peut s'associer à cette journée mondiale du migrant et du réfugié en participant au temps fort prévu à Lannion ou dans les autres paroisses, mais aussi en s'associant à la prière de l'Église rédigée pour l'occasion :
Seigneur, Tu nous appelles à prendre le chemin de la rencontre,ouvert à l'autre, d'un autre pays, d'une autre culture. Aide-nous à nous mettre en route, ensemble. Imprègne-nous de ta Parole pour que nous puissions donner corps à ton Évangile :
en nous accueillant mutuellement, dans la confiance, car chacun est porteur d'un message de ta part. Cette rencontre nous fera grandir en humanité.
en protégeant ceux qui sont dans le besoin, particulièrement les plus faibles. Leur chair est ta chair !
en promouvant la vie de chaque personne et un vivre-ensemble fondé sur la bienveillance et la reconnaissance mutuelle, terreau du respect, de la fraternité, de la justice, de la paix.
en vivant dans une diversité réconciliée qui permette à chacun de s'intégrer, d'être capable d'apprécier la beauté de ce pays où nous vivons, prêt à en prendre soin et à y apporter la richesse qu'il porte en lui. Ce n'est pas toujours une voie facile ; elle demande des choix, des dépassements. Mais c'est une voie porteuse de vie et d'espérance qui mène vers ton Royaume. Elle nous invite à cheminer en frères et sœurs, avec Toi à nos côtés. Amen.
Par Sophie Bahé
Présentation du service diocésain de la pastorale des migrants par Yves Piron
La Pastorale des Migrants, c'est à la fois un service national au sein de la Conférence des Évêques de France, des équipes diocésaines, des aumôneries nationales et locales, un pôle « Jeunes » et des publications : le courrier de la Pastorale, les cahiers de la Pastorale, une lettre d'information électronique.
Elle a pour mission d'humaniser la rencontre avec l'étranger, d'être solidaire avec le frère en difficulté et d'encourager les Églises locales à accueillir les communautés chrétiennes d'origine étrangère.
Dans le diocèse des Côtes d'Armor, la Pastorale des migrants s'organise autour d'Yves Piron, diacre, entouré d'une équipe composée de Sœur Gertrude Nwachukwu, Sophie Bahé et Catherine Piron. Notre évêque, Denis Moutel, a confié à cette équipe le soin :
d'assurer les personnes migrantes présentes sur notre diocèse de la proximité de l'Église à leurs conditions de vie ;
d‘éveiller toujours d'avantage les communautés chrétiennes, notamment paroissiales, à l'accueil des étrangers sur leur territoire par l'annonce de la parole de Dieu… et le service de leurs besoins ;
de favoriser leur participation à la célébration du dimanche, en leur permettant, dans la mesure du possible de célébrer parfois dans leur rite et leur langue propres ;
d'aider les prêtres, diacres, consacrés et laïcs à développer des attitudes pastorales assurant la protection des plus faibles ;
de porter le souci du lien de la Pastorale des migrants avec le Secours catholique, Saint Vincent de Paul, le CCFD, la Mission universelle de l'Église, les associations non confessionnelles de soutien aux personnes migrantes, etc.
via Communauté des paroisses du Littoral Ouest http://ift.tt/2CRmteb
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Pèlerins d'un jour …….avec St Yves
Pèlerins d'un jour …….avec St Yves
La journée des jeunes est devenue un événement incontournable dans le cadre de la St Yves à Tréguier. Le samedi 20 mai 2017 les jeunes ont répondu présents à cette belle journée organisée par la pastorale des jeunes de Lannion en collaboration avec la paroisse de Tréguier . Soixante dix jeunes de la zone de Lannion, mais aussi de Guingamp et de Ploufragan se sont retrouvés pour une marche sur le chemin de St Yves. Après le pique-nique, au départ de la chapelle de Kelomad en Plouguiel, ils sont partis avec sac à dos pour 8 kms au travers des herbes folles du Trégor. Au cour de la balade une pause leur a permis de méditer sur 7 évangiles correspondants au thème de la St Yves 2017 : « Aller vers l autre avec St Yves ». Dans les groupes , l'échange autour de l'évangile , le partage d'idées , leur a permis de restituer leurs réflexions pour la veillée du soir . A mi-chemin, le long du Guindy, ils ont chanter avec les musiciennes de Pédernec, Cécile à la guitare et Nathalie à la flûte, les chants d'Avelig qu'ils avaient, pour certains, appris à Lourdes lors du pèlerinage des jeunes en avril dernier . A l'issu de cette balade et après une prière au tombeau de St Yves, ils se sont retrouvés dans le jardin de St Augustin à Tréguier pour la soirée grillades. Ils ont poursuivi la soirée à la cathédrale pour la veillée concert avec le groupe de musique Avelig et avec notre évêque Denis Moutel, toujours présents auprès de jeunes , Monseigneur James, évêque de Nantes et l'abbé Caous. Les grands jeunes, également présents, ont mis de l'ambiance dans la cathédrale en entraînant les plus jeunes pour un an dro dynamique et la grâce par les danseuses de Tréguier qui ont merveilleusement bien dansé sur le magnificat de Gouze . Une belle journée pour les jeunes avec des beaux moments de rencontre, de partage , d'amitié, de fraternité, de retrouvailles, de prières, de chants et de merveilles .
Les chants d'Avelig auront sûrement encore permis de faire germer chez certains un grain de foi et qui, poussés par la « brise légère », auront découvert l'espérance. La pasto jeunes 22 attend aussi tous les jeunes le 4 juin à St Brieuc pour montrer que l'espérance (thème de notre synode) passe aussi par eux .
Cathie Guillo Coordinatrice de la pastorale des jeunes de la zone de Lannion
La journée en images :
la marche
la veillée
via Communauté pastorale Saint-Tugdual. http://ift.tt/2rK7Tgg
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Pèlerins d'un jour …….avec St Yves
Pèlerins d'un jour …….avec St Yves
La journée des jeunes est devenue un événement incontournable dans le cadre de la St Yves à Tréguier. Le samedi 20 mai 2017 les jeunes ont répondu présents à cette belle journée organisée par la pastorale des jeunes de Lannion en collaboration avec la paroisse de Tréguier . Soixante dix jeunes de la zone de Lannion, mais aussi de Guingamp et de Ploufragan se sont retrouvés pour une marche sur le chemin de St Yves. Après le pique-nique, au départ de la chapelle de Kelomad en Plouguiel, ils sont partis avec sac à dos pour 8 kms au travers des herbes folles du Trégor. Au cour de la balade une pause leur a permis de méditer sur 7 évangiles correspondants au thème de la St Yves 2017 : « Aller vers l autre avec St Yves ». Dans les groupes , l'échange autour de l'évangile , le partage d'idées , leur a permis de restituer leurs réflexions pour la veillée du soir . A mi-chemin, le long du Guindy, ils ont chanter avec les musiciennes de Pédernec, Cécile à la guitare et Nathalie à la flûte, les chants d'Avelig qu'ils avaient, pour certains, appris à Lourdes lors du pèlerinage des jeunes en avril dernier . A l'issu de cette balade et après une prière au tombeau de St Yves, ils se sont retrouvés dans le jardin de St Augustin à Tréguier pour la soirée grillades. Ils ont poursuivi la soirée à la cathédrale pour la veillée concert avec le groupe de musique Avelig et avec notre évêque Denis Moutel, toujours présents auprès de jeunes , Monseigneur James, évêque de Nantes et l'abbé Caous. Les grands jeunes, également présents, ont mis de l'ambiance dans la cathédrale en entraînant les plus jeunes pour un an dro dynamique et la grâce par les danseuses de Tréguier qui ont merveilleusement bien dansé sur le magnificat de Gouze . Une belle journée pour les jeunes avec des beaux moments de rencontre, de partage , d'amitié, de fraternité, de retrouvailles, de prières, de chants et de merveilles .
Les chants d'Avelig auront sûrement encore permis de faire germer chez certains un grain de foi et qui, poussés par la « brise légère », auront découvert l'espérance. La pasto jeunes 22 attend aussi tous les jeunes le 4 juin à St Brieuc pour montrer que l'espérance (thème de notre synode) passe aussi par eux .
Cathie Guillo Coordinatrice de la pastorale des jeunes de la zone de Lannion
La journée en images :
la marche
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Où va l'Eglise de St-Brieuc et Tréguier ?
La Mission est un risque - Notre évêque nous parle : « Toi qui as consacré ton Fils unique par l'Esprit Saint et qui l'a établi Christ et Seigneur, nous te prions : puisque tu nous as consacrés en lui, fais que nous soyons pour le monde les témoins d'un Évangile de salut ».
A vous tous, frères et sœurs, membres de notre Eglise en synode, je voudrais redire les mots du Seigneur : vous êtes unis au Christ et consacrés en lui … pour le connaître mieux, pour l'aimer et le suivre, pour aller à la source, accepter de nous former à son école, vivre par Lui, avec Lui et en Lui…
Nous sommes en synode ! Et, même au jour de Pentecôte [4 juin – Rassemblement diocésain], ce ne sera pas fini. Nous avons déjà beaucoup reçu de la Parole partagée dans les équipes, de la volonté de Dieu recherchée dans les assemblées, du discernement et des décisions votées. Je porte chaque jour, dans ma prière et mon travail, les chemins qui se dessinent.
Nous pourrions avoir - ici ou là - des regrets : trop de choses, ou bien ceci qui n'a pas été assez souligné, même si c'est si important, ou bien encore le désir d'être plus audacieux. N'ayons pas peur d'avancer. La réception du synode, le moment venu, comme son déroulement actuel, ne pourra pas s'appuyer sur nos seules forces ou sur ce que nous faisons déjà, mais sur l'accueil de la force de l'Esprit pour nous convertir et mener une vie nouvelle.
Notre diocèse connaîtra forcément des changements importants dans les années à venir. Nous ne nous installerons pas dans les regrets mais nous dirons plutôt comme le psalmiste (Ps 42) : « Pourquoi te désoler, ô mon âme et gémir sur moi ? Espère en Dieu. De nouveau, je rendrai grâce. Il est mon sauveur et mon Dieu. ». Non, nous ne voulons pas nous lamenter ou rêver seulement du passé, nous désirons accueillir ce que Dieu fait et fera dans nos pauvretés, dans nos faiblesses. Nous voulons choisir résolument les initiatives missionnaires avant notre organisation interne, choisir d'aller voir ceux qui sont seuls avant de chercher à nous réunir entre nous, choisir d'être proches de ceux qui ne vivent pas très bien, sans nous concentrer sur notre bien-être personnel, même spirituel.
(Extrait de l'homélie / messe chrismale 2017)
+ Denis Moutel évêque de Saint-Brieuc et Tréguier
via Secteur paroissial de Dinan http://ift.tt/2oDVzQI
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