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23 avril 1918 : mort du folkloriste, peintre et écrivain Paul Sébillot ➽ http://bit.ly/Paul-Sebillot Fondateur de la « Société des traditions populaires » et de la « Revue des traditions populaires », il était, de son vivant déjà, considéré comme le premier folkloriste de France, et son oeuvre est empreinte d’une clarté, d’une simplicité, d’une érudition élégamment dissimulée malgré la précision consciencieuse du détail
#CeJourLà#23Avril#Sébillot#folkloriste#folklore#traditions#populaires#érudit#écrivain#biographie#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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#i love reading a paper where im just like “huh!” and that's it#net 1 information#according to this up to 15% of Inuit children are “transgender” sort of
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MA FRANCE ET MOI
"C’est celle de 1789, une FRANCE qui se lève, celle qui conteste, qui refuse !
La FRANCE qui proteste qui veut savoir, c’est la FRANCE joyeuse, curieuse et érudite, la FRANCE de Molière qui tant se battit contre l’hypocrisie, celle de La Fontaine celle de Stendhal, de Balzac, celle de Jaurès, celle de Victor Hugo et de Jules Vallès !
La FRANCE de l’invention, des chercheurs, celle de Pasteur, celle de Denis Papin et de Pierre et Marie Curie !
La FRANCE des Lettres, celle de Chateaubriand, de Montaigne, la FRANCE de la Poésie, celle de Musset, d’Eluard, de Baudelaire, de Verlaine et celle d’ Aimé Césaire !
La FRANCE qui combat tous les totalitarismes, tous les racismes, tous les intégrismes, l’obscurantisme et tout manichéisme !
La FRANCE qui aime les Mots, les Mots doux, les Mots d’Amour, et aussi la Liberté de dire des gros Mots !
La FRANCE qui n’en finira jamais de détester le mot "SOUMISSION" et de choyer le Mot RÉVOLTE !
Oui ma FRANCE à moi c’est celle des Poètes, des Musiciens, celle d’Armstrong, celle de l’Accordéon, celle des Chansons douces, des Chansons graves, des Espiègles, des Humoristiques, des Moqueuses ou celle truffée de Mots qui font rêver d’un Amour que l’on n’osera jamais déclarer à celle qu’on aime.
Ma FRANCE à moi c’est celle de Picasso, de Cézanne et celle de Soulages, celle d’Ingres, celle de Rodin !
La FRANCE des Calembours, des "Bidochons", celle de la Paillardise aussi bien que celle du "Chant des Partisans".
Ma FRANCE c’est celle de Daumier, celle de l’ "Assiette au beurre", du "Sapeur Camembert", celle de Chaval, celle de Cabu, de Gottlieb, de Siné, celle du "Canard", de "Fluide Glacial" et de "Charlie", drôles, insolents, LIBRES !
Ma FRANCE, c’est aussi celle des dictées de Pivot celle de Klarsfeld et celle de Léopold Sedar Senghor, la FRANCE des "Enfants du Paradis" et des "Enfants du Veld ’hiv", celle de la Mode libre, celle de la Danse, des flirts et des Câlins, celle de la Musique douce et des Rocks déjantés, celle de la Gourmandise !
Ma France à moi c’est une FRANCE capable de renvoyer dos à dos la Bible et le Coran s’il lui prend l’envie d’être Athée !
Eh oui ! Ma FRANCE est une FRANCE LIBRE, FRATERNELLE et éternellement INSOUMISE aux dictats de la "bien-pensance" !
Il n’est qu’en respectant toutes ces diversités qu’on arrive un jour à vivre la "DOUCE FRANCE" de Trenet.
Celle qui m’a toujours plu et que notre jeunesse lucide et combative fera perdurer par-delà les obscurantismes.
Figure révolutionnaire, emblématique, durant "La Commune", le "Père Duchêne" écrivait au frontispice du Journal qu’il publiait en 1793 ,
"LA RÉPUBLIQUE OU LA MORT !"
Son journal coûtait 1 sou… mais on en avait pour son argent !"
Pierre Perret
C'était aussi ma FRANCE...
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Les lettrés, les érudits, les savants montent par des échelles ; les poètes et les artistes sont des oiseaux.
- Victor Hugo
#hugo#victor hugo#quote#french#femme#beauty#learned#literate#educated#poets#birds#creativity#inspiration#arts#culture
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" Odin, le grand dieu scandinave, crée le monde en l’extrayant du chaos; Thor, son fils, le défend contre les géants. Si Thor est très populaire, Odin inquiète : il connaît le destin des dieux, leur inévitable « crépuscule » – car ces divinités, conçues à l’image des hommes, sont aussi mortelles. Ce livre relate leurs aventures, leurs amours, leurs combats et leurs coups pendables. Tout un panthéon les accompagne, de l’ambivalent Loki à la sensuelle Freyja, du sanglier Sæhrímnir à l’arbre Yggdrasill, du géant Ymir au rayonnant Baldr… En leur compagnie, le lecteur part à l’aventure dans un monde de feu et de glace ou l’on retrouve nos très vieux questionnements sur la vie et la mort. Le combat perdu d’Odin et de Thor contre les forces du chaos, le Ragnarok, ne signe en rien leur disparition. Mis à toutes les sauces, de Game of Thrones aux Marvel Comics, ces super-héros, bien éloignés de la civilisation qui les a vus naître, façonnent aujourd’hui l’imaginaire occidental. Aussi cette mise au point, érudite et amoureuse, est-elle indispensable pour mieux comprendre et apprécier ce panthéon nordique, complexe mais terriblement humain."
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𝔩𝔞 𝔳𝔦𝔱𝔞 𝔣𝔦𝔬𝔯𝔢𝔫𝔱𝔦𝔫𝔞
Vivre à Florence, c’est s’immerger dans un quotidien où passé et présent s’entrelacent harmonieusement. Les Florentins, porteurs d’une fierté locale inébranlable, partagent un amour commun pour la beauté sous toutes ses formes, qu’il s’agisse de la splendeur d’un tableau Renaissance ou de la perfection d’un cappuccino matinal pris dans une petite trattoria baignée de lumière. 𝔏𝔢 𝔯𝔶𝔱𝔥𝔪𝔢 𝔡𝔢 𝔩𝔞 𝔳𝔦𝔢 Les journées florentines s’ouvrent lentement. Le matin, les ruelles de l’Oltrarno s’animent doucement, avec le tintement des cloches d’église et le froissement des journaux dans les cafés. Les habitants prennent leur temps, discutant longuement avec les commerçants ou flânant devant les vitrines des artisans. À l’heure du déjeuner, la ville ralentit. Les Florentins se retrouvent autour d’une table pour partager des plats traditionnels comme la ribollita ou la bistecca alla fiorentina. Ces repas, souvent ponctués de discussions animées, reflètent l’importance de la convivialité. Le soir, Florence change de visage. Les grandes places s’emplissent de groupes d’amis, de familles et d’étudiants discutant sous les lampions des terrasses
L𝔢𝔰 𝔣𝔢̂𝔱𝔢𝔰 𝔢𝔱 𝔱𝔯𝔞𝔡𝔦𝔱𝔦𝔬𝔫𝔰 𝔣𝔩𝔬𝔯𝔢𝔫𝔱𝔦𝔫𝔢𝔰 𝔩𝔢 𝔖𝔶𝔪𝔭𝔬𝔰𝔦𝔲𝔪 𝔡’𝔬𝔲𝔳𝔢𝔯𝔱𝔲𝔯𝔢 (20 𝔞𝔬𝔲̂𝔱) Organisé chaque année en août, le Symposium d’ouverture marque la rentrée intellectuelle de Florence. Pendant une journée, philosophes, artistes et chercheurs se réunissent sur les marches du Palazzo Vecchio pour échanger leurs idées. Des débats ouverts au public alternent avec des présentations de recherches dans des lieux emblématiques tels que la Bibliothèque Laurentienne. Le soir, des projections artistiques illuminent les façades des bâtiments historiques, prolongeant cette ode à la pensée. 𝔩𝔞 𝔰𝔢𝔪𝔞𝔦𝔫𝔢 𝔡𝔢𝔰 𝔅𝔦𝔢𝔫𝔣𝔞𝔦𝔱𝔢𝔲𝔯𝔰 (5 𝔪𝔞𝔦 - 12 𝔪𝔞𝔦) Chaque printemps, les jardins de Boboli accueillent des expositions éphémères et des conférences. Des prix sont décernés aux projets les plus innovants, tandis que des banquets somptueux rassemblent les figures influentes de la ville. Les Florentins, bien que parfois critiques de l’approche élitiste de cet évènement, participent volontiers aux festivités, attirés par leur éclat et leur raffinement, ouvert à tous, depuis quelques années. 𝔏𝔞 𝔫𝔲𝔦𝔱 𝔡𝔢𝔰 𝔐𝔞𝔫𝔲𝔰𝔠𝔯𝔦𝔱𝔰 (𝔢𝔫𝔱𝔯𝔢 𝔩𝔢 20 𝔢𝔱 𝔩𝔢 25 𝔣𝔢́𝔳𝔯𝔦𝔢𝔯) Cette tradition clandestine, orchestrée par les Di Michelangelo, est un secret bien gardé. Chaque hiver, des passionnés d’histoire et de littérature se réunissent dans une chapelle reculée ou une crypte oubliée. À la lueur des bougies, des textes anciens sont lus et débattus, mêlant érudition et poésie. Cet événement incarne une résistance intellectuelle face à la modernisation parfois brutale de la ville. 𝔩𝔢 𝔖𝔠𝔬𝔭𝔭𝔦𝔬 𝔡𝔢𝔩 ℭ𝔞𝔯𝔯𝔬 (𝔭𝔞̂𝔮𝔲𝔢𝔰) Cette célébration pascale, voit un char orné de feux d’artifice tiré par des bœufs mécaniques à travers la ville. Au-delà de son aspect religieux, cet événement est une fête collective où les Florentins et les visiteurs se rassemblent pour admirer la beauté spectaculaire des explosions lumineuses devant la cathédrale Santa Maria del Fiore. 𝔏𝔞 𝔣𝔢̂𝔱𝔢 𝔡𝔢𝔰 𝔏𝔞𝔫𝔱𝔢𝔯𝔫𝔢𝔰 (1 𝔡𝔢́𝔠𝔢𝔪𝔟𝔯𝔢) Inspirée par les traditions médiévales, cette fête automnale célèbre la lumière et la créativité. Les habitants fabriquent des lanternes en papier qu’ils portent en procession jusqu’aux rives de l’Arno. Là, des discours poétiques et des concerts s’enchaînent, transformant la ville en un tableau vivant.
𝔩𝔢𝔰 𝔢𝔰𝔭𝔞𝔠𝔢𝔰 𝔡𝔢 𝔳𝔦𝔢 𝔢𝔱 𝔡’𝔢́𝔠𝔥𝔞𝔫𝔤𝔢𝔰 À Florence, les marchés sont bien plus que des lieux de commerce : ils sont des cœurs battants de la vie locale. Le Marché de Sant’Ambrogio accueille artisans, écrivains et musiciens. Il n’est pas rare de voir un étudiant lire à haute voix un poème tandis qu’un peintre esquisse des portraits pour les passants. Les cafés littéraires, soutenus par les Dei Michelangelo, proposent des conférences informelles ou des soirées d’écriture collaborative. Les Florentins chérissent aussi les espaces naturels. Les jardins de Boboli ou le Piazzale Michelangelo deviennent des lieux de rendez-vous où les habitants discutent de tout : art, politique ou les rumeurs de la dernière exposition.
𝔪𝔬𝔢𝔲𝔯𝔰 & 𝔡𝔦𝔳𝔢𝔯𝔰𝔦𝔱𝔢́ Historiquement, Florence a été un carrefour intellectuel et culturel où des figures venues d’horizons variés ont trouvé refuge. La ville reste imprégnée de cet esprit cosmopolite. Aujourd’hui, les quartiers populaires comme celui de San Frediano et les marchés comme Sant’Ambrogio témoignent d’une diversité culturelle florissante, où langues et cuisines du monde se mêlent à l’accent toscan traditionnel. Les minorités ethniques, religieuses et LGBTQ+ trouvent en Florence un espace d’expression relatif. Certains florentins restent attachés à une élite traditionnelle et leur tendance à privilégier des cercles fermés ralentissent ainsi l’intégration de certaines communautés.
Florence continue de s’appuyer sur ses traditions humanistes pour façonner un idéal de tolérance. L’Université Aurea di Firenze joue un rôle central dans cette mission. Elle accueille des conférences internationales sur les droits de l’homme, des ateliers sur la décolonisation des arts et des échanges académiques avec des pays du Sud global. Les Florentins eux-mêmes, bien que parfois tiraillés entre conservatisme et ouverture, restent fiers de leur héritage culturel universel. Les fêtes traditionnelles, comme La Fête des Lanternes, sont repensées pour inclure les contributions des nouvelles communautés.
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Qu'est ce qu'un intellectuel ? À cette question, nul besoin d’errer parmi les définitions convenues. Il suffit de prêter l'oreille à la voix profonde et éclairante d’Umberto Eco, dont la réponse traverse le temps avec la force de l’évidence, avec la lucidité d’un sage, Eco balaye les clichés : si par intellectuel nous entendons quiconque travaille avec sa tête et non avec ses mains, alors un employé de banque serait un intellectuel, et Michel-Ange ne le serait pas. Cette observation, à la fois cinglante et lumineuse, renverse les perspectives. Aujourd’hui, avec la généralisation des ordinateurs, chacun pourrait prétendre au titre d’intellectuel. Mais, pour Eco, la distinction ne repose ni sur la profession, ni sur la classe sociale. Pour moi, un intellectuel est celui qui produit de nouvelles connaissances en mobilisant sa créativité, ansi, le champ de l’intellectuel s’élargit à des horizons inattendus. Le paysan qui, d’un geste visionnaire, imagine une nouvelle greffe capable d’engendrer des fruits inédits, est un authentique créateur de savoir. En revanche, le professeur de philosophie, si érudit soit-il, qui se borne à répéter, année après année, le même cours sur Heidegger, se voit privé de ce titre. La clé de cette différence ? La créativité critique. L’esprit critique, cette capacité à interroger ce que nous faisons ou à inventer de meilleures façons de le faire, est la seule véritable mesure de l’activité intellectuelle. À travers ces mots, Eco rappelle que l’intellectuel ne se contente pas de savoir, il ose, invente, déplace les frontières du possible. Il ne se cache pas derrière des vérités anciennes, mais les refaçonne, les met à l’épreuve du présent. Par cette définition vibrante d’humanité, Umberto Eco offre à chacun de nous la possibilité d’être un intellectuel. Car la créativité et l’esprit critique ne sont l’apanage de personne
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16 : assister au bal
Guillaume et Aliénor dansent la volte ensemble au bal avant de profiter de leur soirée ensemble...
S'ils sont tous les deux allés à Garreg Mach, ce n'est sûrement pas leur bal de fin d'année. Ils sont allés à l'académie à quand ils étaient très jeunes, ils avaient quatorze ans (quinze à l'époque du bal), Guillaume parce qu'il était plus en sécurité là-bas en attendant qu'il soit assez âgé pour bouter son tuteur imposé par le roi Clovis le Sanglant et échapper aux assassins rêvant de ramener sa tête au tyran pour gagner ses faveurs (pour ceux qui ne le connaissent pas, tout est dans son nom, c'est le pire souverain qu'on pourrait imaginer qui aura bien mérité de se faire renverser par son fils et coupé la tête après un procès pour tout ses crimes, qui compte entre autre les tentatives d'élimination des Fraldarius afin de se débarrasser d'une famille rivale et de récupérer leurs terres fertiles, une ouverture sur la mer du côté de l'Alliance, et le lac miraculeux qui borde leur capitale [c'est pas le premier souverain à le faire mais, c'est le premier à autant l'assumer et il aurait réussi si les habitants d'Egua n'avait pas protégé Guillaume à la mort de ses parents]), puis accessoirement apprendre à connaitre sa nouvelle fiancée, et Aliénor devait déjà y aller assez tôt vu qu'elle est très douée mais, du côté de ses parents, c'était surtout pour qu'elle apprenne à connaitre son nouveau fiancé, ce qu'ils prennent tous les deux extrêmement mal.
En effet, leur mariage a été arrangé par ses parents pour Aliénor alors qu'elle avait bien d'autres ambitions, elle voulait devenir mage et érudite, et par Clovis pour Guillaume, qui pense tout de suite à un nouveau piège de sa part pour tenter de le tuer, et se méfie évidemment de tout ce qui vient de la part de l'assassin de ses parents et de toute sa famille. Sa première pensée quand il tente de s'imaginer sa fiancée, c'est une femme mûre qui le tuera à la première occasion. Autant vous dire que quand ils se rencontrent pour la première fois à Garreg Mach, ça se passe très mal et c'est peu de le dire, surtout qu'au départ, quand ils ne se connaissent pas, ils ont l'impression que leurs personnalités ne vont pas ensemble.
Guillaume est grognon, têtu comme une mule, ne fait confiance à personne, jure comme un charretier et envoie chier toute personne qu'il considère comme indigne de respect. Bref, il a tout pour plaire et n'a rien d'un noble à première vue (les lions du sud du Royaume adorent persiffler en disant que Nicola, son meilleur ami qu'il considère comme son frère vu qu'ils ont été élevés ensemble, fait plus noble que lui alors qu'il est roturier), même s'il est également quelqu'un de fiable, déterminé, ayant à coeur de suivre le devoir familiale et seigneurial sans être prétentieux à ce sujet comme un Lorenz, ça coule juste de source pour lui de servir son peuple, pas la peine de fanfaronner à ce sujet pour juste faire son boulot, qui protègera toujours les siens et les plus faibles, gentil quand il peut se le permettre, profite bien du fait de sa position pour appeler un pourri un pourri sans trop risquer de conséquence (ils veulent déjà tous sa peau de toute façon) et qui a généralement raison quand il traite quelqu'un de chien errant, il se trompe rarement en la matière.
De son côté, Aliénor a un caractère moins mauvais, même s'il est tout aussi entier : elle est très studieuse, assidue à ses études, rigoureuse, tout en étant très attaché à son honneur et sa réputation, et elle ne pardonne pas ceux qui ont bafoué le leur pour de mauvaises raisons (elle n'a par exemple aucune considération pour les Galatéa qui n'ont gagné leur noblesse dans le Royaume après avoir fui l'Alliance après que leur fondatrice ait assassiné sa propre soeur car elle était devenue comtesse à sa place, qu'en devenant les chiens des rois en faisant toutes les basses besognes pour eux alors, tout le monde dans le Royaume les méprise et il est déshonorant d'avoir quelques affaires que ce soit avec eux), même si contrairement à Guillaume, elle manifestera plus son mépris en refusant de parler à quelqu'un ainsi plutôt que de l'envoyer sur les roses à la première occasion en lui rappelant bien pourquoi tout le monde le méprise. Elle est cependant tout aussi attaché que lui à son devoir en tant que seigneuresse, très intelligente et perspicace, déterminée et protectrice envers les plus faibles tout en ayant un solide sens de la justice.
Le seul qu'elle envoie vraiment sur les roses, c'est Guillaume. Et idem pour lui, une des seuls personnes qu'il juge mal, c'est Aliénor.
Elle trouve qu'il n'a pas le comportement approprié pour un noble et trouve que ce n'est qu'un loup enragé mordant tout ce qui l'entoure et comme ils sont forcés de se fréquenter à cause de leurs fiançailles arrangées, il l'énerve encore plus et la seule liberté qu'elle a dans le fond, c'est de le rejeter en bloc. Elle aurait préféré que son fiancé ait un comportement plus respectable et honorable comme le héros d'un roman de chevalerie, elle ne veut pas épouser un loup enragé qui marche sur deux pattes (rappel, elle a quatorze ans, c'est normal qu'elle s'imagine le prince idéal). Elle le rejette tellement qu'au début, après qu'elle l'ait entendu chanter sans le voir, elle refuse de croire Nicola quand il lui dit que c'est Guillaume alors que ce serait la réponse la plus logique (elle l'a entendu alors qu'ils étaient tous les deux dans leur dortoir respectifs et ils sont voisins), et préfère croire que la voix d'or qu'elle a entendu appartient à un beau barde tout droit sorti d'une chanson de geste car, elle ne peut juste pas imaginer son fiancé qu'elle voie comme un loup enragé chanter aussi bien avec un texte aussi sensible.
Et Guillaume n'est pas mieux sur ce point, il la trouve ennuyeuse, trop enfoncé dans ses livres, manquant de jugement au sujet de leurs camarades du sud (même si Nicola, qui est entre les deux et arrive à avoir plus de recul sur la situation [car c'est pas lui qui va devoir se marier avec quelqu'un qu'il ne connait pas, et il est plus calme que Guillaume de manière général], lui rappelle bien qu'elle ne peut pas connaitre les jeux de pouvoir entre grands nobles et ne connait surement pas les vrais actes des seigneurs comme Rowe et consort en-dehors de leur réputation), et grinçante, tout en cherchant toujours le piège de sa présence, et de toute façon, il n'a pas envie de s'attacher à elle vu que c'est surement la créature de Clovis alors, hors de question de s'attacher ou pire, de tomber amoureux de son piège ! En plus, toutes les personnes proches de lui risquent de finir en dommage collatéral quand les chiens errants de Clovis viennent tenter de le tuer alors, moins les gens l'approchent, mieux ce sera pour eux. Limite, il la plaint plus qu'autre chose d'être sa fiancée, elle a maintenant une énorme cible peinte en gros et en rouge sur son front, encore plus quand ils seront mariés officiellement pour couper toute possibilité de survie à sa lignée.
Ils sont assez immatures l'un envers l'autre au départ et c'est normal, ils ont quatorze ans, c'est des ados qui devraient entrer en 3e et préparer le brevet des collèges qui se retrouvent dans une situation qu'ils n'ont pas choisi, qui ne sont clairement pas au moment de leur vie où ils voulaient penser au mariage (encore plus quand on leur dit qu'il faudra vite faire des gosses vu que bon, Guillaume est le dernier Fraldarius encore en vie et c'est rare qu'ils atteignent leur trente ans vu qu'ils se font tout le temps tuer en service, car les rois les utilisent comme bouclier en viande dès qu'ils peuvent alors, faut pas trainer hein. Avec un peu de chance, les gosses auront moins la vie chevillée au corps que leur père), avec un bagage très lourd de son côté pour Guillaume qui ne sait juste pas faire confiance aux gens, et Aliénor vient de voir son rêve de devenir une grande magicienne et une érudite partir en fumée pour juste devenir une épouse pour un grand noble, évidemment qu'ils vont se rejeter l'un l'autre en bloc, surtout que c'est un peu les seuls choses qu'ils peuvent faire pour garder un minimum la main sur leurs choix : on les oblige à se fiancer et donc à s'aimer, mais ils auront toujours le choix de se détester.
C'est vraiment pendant l'année qu'ils vont apprendre petit à petit à se connaitre qu'ils vont finir par s'apprécier mutuellement, en découvrant notamment les qualités de l'autre là où ils ne voyait que les défauts au début. Oui, Guillaume est un grognon qui mord tout le monde mais, il ne vise que des gens qui ont mérité ses critiques et dit surtout tout haut tout ce que ces personnes tentent de planquer sous le tapis pour se donner un air respectable, et il ne laissera jamais tomber personne et aidera toujours les gens en cas de besoin. D'accord, Aliénor a un peu trainer avec les seigneurs du sud en début d'année mais, une fois qu'elle sait ce qu'ils ont fait, qu'elle en est sûre et que tout est confirmé, elle est tout aussi intransigeante envers eux qu'elle ne l'était envers Guillaume au début, voir même plus vu qu'ils ne font pas leurs devoirs seigneuriaux, et sa grande intelligence lui permet de résoudre des problèmes complexes afin d'aider les autres aussi. De plus, leurs capacités et connaissances se complètes très bien, ils font vraiment une bonne équipe ensemble et développe un vrai respect mutuel l'un pour l'autre. Pas au point de danser au bal ensemble, encore moins une volte qui est quand même assez intime comme danse mais, ils arrivent à s'entendre.
A la fin de l'année, ils sont vraiment devenus amis et au moins alliés, avec les deux qui veulent s'entraider à atteindre leur objectif : récupérer son fief et le remettre à neuf en le tirant des griffes de Clovis au passage pour Guillaume, devenir une érudite afin de pouvoir aider le plus grand nombre pour Aliénor. ça tombe bien, les deux se peuvent se rejoindre. Il leur faudra beaucoup de temps pour leur amitié finisse par se transformer petit à petit en véritable amour et qu'ils deviennent un couple une fois adulte. Honnêtement, je ne pense pas qu'ils développent de sentiments l'un envers l'autre avant leur vingtaine. C'est un mariage blanc pendant des années (ils ne dorment même pas dans la même chambre pendant longtemps) et c'est petit à petit qu'ils finissent par tomber amoureux, ça prend du temps, petit pas par petit pas, surtout vu comment leur histoire a commencé mais, ils finiront par être un des couples les plus unis de Fodlan et qui feront de grandes choses ensemble (entre autre : sauver le petit prince Ludovic des griffes de son père, prendre soin de lui, puis l'aider à faire tomber Clovis de son trône pour chasser le tyran, puis ils seront toujours à ses côtés tout le long de son règne), tout en étant d'excellents parents pour leurs jumeaux Rodrigue et Alix, même si Guillaume mourra en protégeant Ludovic quand ils auront six ans et Aliénor devra se battre de toutes ses forces pour protéger ses fils et son fief des ambitieux pendant une régence qui confirmera et signera qu'elle est une grande femme d'Etat.
Mais pour l'instant, les deux sont bien vivants et ils profitent d'un bal ensemble maintenant que la paix est revenue dans le Royaume.
Petits points de conception habituel :
pour la danse de Guillaume et Aliénor, il s'agit de la volte. Comme lors de la cinématique du bal, les élèves dansent surtout la valse qui s'est surtout répandu à la fin du XVIIIe siècle après la Révolution (en France tout du moins), j'ai voulu leur faire faire une danse plus ancienne pour marquer la différence de génération, soit la volte qui était une danse très populaire au XVIe siècle (mon tableau de référence pour le placement des deux date d'ailleurs de la fin de ce siècle). Comme son nom l'indique, le cavalier fait virevolter sa cavalière dans les airs avec un porté où il la tient par la taille. J'avais vu des vidéos où les gens dansaient la valse en prenant la partenaire par la taille et où madame saute en prenant appui sur son épaule, mais avec les tableaux, on dirait qu'ils les soulèvent en les prenant par l'entrejambe en attrapant le corset de la femme pour la soulever sans trop qu'on voie ce que fait sa main gauche, ce qui ne collerait pas trop avec Aliénor qui ne porte pas de corset (car ces trucs sont l'enfer incarné qui vous empêche de bouger et de respirer [d'où le fait que ces dames gardaient des sels sur elles, c'était pas si rare qu'elles s'évanouissent pour cause de corset trop serré] alors, laisse tomber, elle n'en mettra jamais de sa vie, c'est une femme très active qui a besoin de bouger) et ça doit faire quand même assez mal d'être porté par là alors, j'ai fait à ma sauce avec Guillaume qui la porte en la prenant sous les jambes pendant qu'elle saute, et où ils se tiennent tous les deux la main sur sa hanche. Je voulais surtout qu'ils soient proches et amoureux ensemble, tout en montrant par leur manière de danser qu'ils sont à très à l'aise l'un avec l'autre (jamais au début de leur relation ou même à la fin de Garreg Mach ils n'auraient pu danser comme ça ensemble). Si ce n'est pas de la volte, il la fait au moins virevolter et ils s'amusent bien ensemble, c'est le principal !
Pour les costumes, je me suis basés sur cette photo du compte instagram du docteur_danic (il fait du super boulot et j'adore ses photos alors, foncer tout de suite voir ce qu'il fait !), toujours pour bien marqué la différence d'époque, et vu qu'Aliénor vient d'une famille très pratiquante, elle est elle-même très religieuse (même si pas question de gober ce que raconte la secte occidentale, elle a lu les Saintes Ecritures dans la traduction officielle de Garreg Mach et la version originale, et on débat souvent de différents points en les remettant en question dans sa famille, ils ont beaucoup de recul critique et refusent de brandir la religion qui dit en gros "tu ne tuera point et ne sera pas un monstre avec les autres" pour démolir la vie des autres avec un prétexte tout trouvé en bois) avec quand même des habitudes parfois un peu ancienne, elle a toujours couvert ses cheveux. Un des seuls qui pouvaient les voir détachés, c'était Guillaume (et l'inverse est vrai aussi étant donné qu'à leur époque, c'était encore assez mal vue d'apparaitre en public les cheveux détachés quand on les avait longs, autant pour les hommes que pour les femmes alors, Guillaume ne défaisait jamais sa tresse à part quand il était seul ou avec Aliénor). En plus, cette robe bleue est juste magnifique et avec les couches sur les manches, je trouvais que ça faisait vraiment robe de bal avec des motifs (voir leurs références sur ce billet).
Pour Guillaume, il porte une grande cape pour faire référence à Rodrigue. Il porte une cape car son père en avait toujours une bien chaude où il pouvait se réfugier avec son frère, Guillaume les prenant souvent à l'intérieur et quand ils étaient petits, quand ses fils étaient devant lui, il les couvrait avec les pans de sa cape pour les protéger du froid et qu'ils restent près de lui. La boucle de la référence est donc bouclé on va dire ^^ Pour ses motifs à lui, ils sont plus fantaisistes mais, c'est de l'eau avec son emblème vu que sa famille est extrêmement important, mais aussi l'emblème de Dominic pour rappeler la famille d'Aliénor. Elle n'a pas d'emblème elle-même mais, sa famille, les Dominic-Villeneuve, est une branche très mineure des Dominic, c'est une toute petite famille qui a sa ville et qui a dû trouver autre chose pour s'enrichir mais, leur blason représente toujours l'emblème de leur ancêtre. Aliénor a complètement épousé les intérêts des Fraldarius à ce moment-là mais, porter son emblème est une manière à lui pour dire qu'ils sont unis ensemble. La fleur entre chaque emblème sur l'ourlet du bas est inspiré du même pyxide que pour les fleurs d'Aliénor.
Enfin, la broche qu'ils portent est un bouclier coupé en deux et frappé de l'emblème des Fraldarius, afin de représenter qu'ils se complètent et protègent leur famille ensemble, surtout maintenant qu'ils ont leurs petits louveteaux pour qui ils feraient tout pour les protéger.
#dessin de curieuse#écriture de curieuse#fe3h oc#fe3h oc drawcember#j'espère que ça vous plait surtout !#HIIIIIII !!!!! C'était un de ceux que je voulais plus vous montrer !#Bon j'ai trop hâte de tout vous montrer mais lui j'en suis vraiment fière !#Le placement des mains de tout le monde a été une belle galère...#surtout avec les différences entre les tableaux et les reconstitution... alors on fait à sa sauce tant pis#le principal c'est qu'il ait l'air amoureux et heureux ensemble !#Le début entre eux a été très compliqué mais ça s'est amélioré par la suite et maintenant ils s'aiment vraiment envers et contre tout#en plus c'est après la chute de Clovis ça leur fera du bien d'être juste tranquille tous les deux à danser#Les jumeaux dorment mais ils sont bien restés avec eux jusqu'à ce qu'ils s'endorment ils sont encore petits#Il y a un univers où vous ne serez pas séparé tôt je vous le promet 😭#Vous serez avec vos louveteaux puis les louveteaux de vos louveteaux et même si ce sera dur vous resterez unis !#Un couple sain qui s'aime de manière saine ça fait du bien plutôt que QUE de la tragédie et du drama pour le drama#enfin j'espère que leur couple est sain... n'hésitez pas à le dire s'il y a un problème histoire de le résoudre
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(via 1816 : L’Année sans été – Cataclysme climatique, réveil de l’occulte et sources d’inspiration pour les créateurs)
L'Année sans été offre un cadre unique pour aborder des récits où les personnages marginalisés – qu’ils soient femmes, personnes LGBTQIA+, ou figures spirituelles – jouent un rôle central, souvent en défiant les attentes de leur société ou en trouvant leur force dans la solidarité.
Voici quelques amorces de scénarios qui pourraient enrichir vos parties :
Le Cercle de la Lumière Cachée
Une petite communauté de femmes guérisseuses et de figures marginalisées se forme discrètement pour survivre à l’hiver qui ne finit pas. Ce cercle cache bien des secrets, car il s’agit d’un groupe où des femmes qui aiment d'autres femmes et des personnes trans cherchent refuge. Ensemble, elles doivent utiliser leurs talents – qu’il s’agisse d’herboristerie, de magie ancienne, ou de rituels de protection – pour préserver leur village des forces obscures. Mais un prêtre itinérant commence à les suspecter de sorcellerie, et les joueurs devront décider jusqu’où ils sont prêts à aller pour protéger leur secret et leur communauté.
L’Auberge de l’Espoir Caché
Une auberge isolée, perdue dans les montagnes suisses, devient un point de rencontre pour les voyageurs pris au piège par le froid. Parmi eux, un jeune poète androgyne en fuite, accusé à tort de blasphème, et une aventurière au passé mystérieux qui prétend être un homme pour parcourir le monde en toute sécurité. Alors que d’étranges événements se produisent autour de l’auberge, les joueurs devront découvrir comment ces âmes perdues peuvent s’unir pour repousser des créatures qui semblent se nourrir de la peur et des préjugés.
Les Érudites de l’Ombre
À Genève, un cercle d’intellectuelles – composé de femmes qui ne peuvent publier leurs travaux sous leur propre nom et de jeunes hommes désireux d’explorer leur identité de genre dans une société étouffante – se réunit en secret pour discuter de philosophie et d’alchimie. Mais lorsque l’une des membres commence à avoir des visions prophétiques, qui semblent liées aux ténèbres qui enveloppent le monde, les joueurs sont entraînés dans une enquête qui les mène jusqu’aux bibliothèques interdites et aux rituels oubliés. Un équilibre doit être trouvé entre la quête de savoir et la préservation des identités de chacun.
L’Amour Maudit d’un Été Perdu
Une romance naissante entre deux personnages féminins (ou entre deux personnages de même genre) se développe en pleine Année sans été. Mais cette histoire d’amour est hantée par des ombres, littéralement : des entités qui semblent se nourrir de la culpabilité et des peurs qu’impose la société patriarcale. Les joueurs doivent aider les amoureuses à braver les préjugés de l’époque, tout en cherchant un moyen de bannir les spectres qui les poursuivent et qui symbolisent les jugements de leur entourage.
Le Gardien du Jardin des Cendres
Dans une campagne reculée, un domaine autrefois prospère est maintenant couvert de cendres et de plantes mortes. Le gardien du domaine, un ancien soldat trans qui a trouvé dans cet endroit un refuge loin des attentes de la société, fait appel aux joueurs pour comprendre pourquoi les terres dépérissent de manière si étrange. Le mystère s’épaissit quand il s’avère que le sol cache des reliques d’un ancien culte dédié à une divinité oubliée, et que les personnages doivent choisir entre réveiller les forces qui y sommeillent ou laisser le domaine mourir à jamais.
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24 juin 1637 : mort de l’astronome, archéologue et philosophe Nicolas-Claude Fabri de Peiresc ➽ http://bit.ly/Nicolas-Peiresc Bien digne d’être appelé par Bayle le procureur général de la littérature, il se tenait à la hauteur des progrès que les sciences faisaient autour de lui, publiait à ses frais des manuscrits, suivait le mouvement des travaux d’érudition dans toute l’Europe, et plus souvent encore leur donnait lui-même une active impulsion
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La plume travaille, rapide.
Sonore trébuchante
Les ongles mordillés
Fendus, lâches, battus
Par les parcelles immondes
De feuilles parchemins jaunis
Donnés aux Béotiens
Des écritures mouillantes
Des cervelas las ou là-bas
Pour conclure in fine
Que tout n'est en rien
Lenteur, tu me tues
Lasse, lascive, compromission, érudition
Je te veux prompte.
Mantille peu sage
Dès l'aurore plongeant ton éradication,
Dans le stupre, seins dégagés
Éléments fondamentaux
De mes folies conçues
Par des naïades pucelles,
Dont je m'occupe à titre gracieux,
Arguments léonins ou spécieux
Je me moque, suprême honte.
Préjudice serein
Sénile soudard de Sophocle
Titubant à la vue d'un mécréant
Qui vole ma solde, non ma viole ?
Bourse plate de scribe
Ma plume travaille au calme.
Ô, que j'aime tes reins
Au moins une rime avec seins
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Nisaba
Nisaba (également Nidaba et associée à Nanibgal) était la déesse sumérienne de l'écriture, des comptes et du scribe des dieux. Bien que son nom soit généralement donné comme Nidaba, le célèbre érudit Jeremy Black souligne que "le nom Nisaba (ou Nissaba) semble plus correct que Nidaba" (Gods, 143).
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24) Voici mon personnage Jean, un vieil homme élégant et très aigris, doter d'une haine pour les gens et d'une réputation de voisin horrible. Il appartient au même univers que celui d'Egé. Sur le premier dessin, il prend conscience de son existence à la manière de Descartes (érudit comme il est). Dans son portrait j'ai aussi essayé de représenter toute la mélancolie de ce personnage.
(dessins aux feutres à alcool)
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Fils du Feu 01 ~ Flamme de Vie
La jeune fille remontait le couloir aussi vite que le lui permettaient ses courtes jambes et la cruche d'eau fraîche qu'elle portait dans ses mains. Elle connaissait par coeur ce corridor, il était pour ainsi dire devenu son décor le plus familier. Quand elle n'était pas envoyée pour une mission quelconque, elle restait des heures à suivre des doigts les arabesques compliquées mais élégantes gravées dans les parois de pierre, les moulures symétriques qui semblaient vouloir délivrer un message d'un passé très lointain dont plus personne ou presque n'avait connaissance.
C'était certes un étrange endroit. Cela ressemblait à une gigantesque cathédrale souterraine ramifiée de multiples couloirs, constituée d'un minéral qui ne venait probablement pas de Valisthéa ; ils n'avaient pas encore exploré tous les dédales et circulaient au quotidien uniquement dans une dizaine de corridors connectés les uns aux autres. Il existait de nombreuses structures semblables de par le monde, et à Rosalia, elles étaient particulièrement communes. Cependant, il ��tait impossible d'y pénétrer à moins de disposer du pouvoir d'un Emissaire. Or, un Emissaire leur avait permis d'entrer ici. Et depuis cinq ans, ils se terraient tous, les Immortels, au coeur de cette nef, dans l'attente que l'Emissaire de Phénix revienne parmi eux.
Elle songea alors à quel point ils se trouvaient proches de Fort Phénix, là où la tragédie avait eu lieu. Maître Cyril y avait vu un excellent moyen de surveiller les va-et-vient éventuels. Dehors, ces ruines devaient paraître banales à quiconque passerait dans les parages, ignorant qu'une petite communauté autonome y avait élu domicile. Il était fondamental de garder le secret sur leurs activités ; personne ne devait savoir ce qui se passait ici, ni qui y demeurait...
Elle leva les yeux et contempla le plafond de pierre noire aux reflets d'argent qui se perdait dans les ombres. Les Immortels entretenaient de l'éclairage régulier dans tout le bâtiment, mais il semblait évident que ces lieux avaient été conçus pour un autre type de lumière que la lueur brute du feu. Quand ils avaient pénétré ici, les portes circulaires s'étaient ouvertes devant eux quand on y avait posé la main de l'Emissaire. Elles s'étaient alors illuminées d'une phosphorescence bleutée magnifique et tous s'y étaient rassemblés. Depuis, les Immortels avaient réussi à mettre en marche quelques appareils complexes dont le fonctionnement leur échappait encore pour la plupart ; ils parvenaient à faire pousser de quoi se nourrir frugalement et la porte donnant sur l'extérieur avait été modifiée afin d'être actionnée depuis l'intérieur à tout moment. La petite fille savait que son ordre connaissait beaucoup plus de choses sur la technologie céleste que le reste du monde. Le culte rendu au Phénix n'était pas leur seule occupation. Ils étaient des érudits, des sages et aussi des guerriers quand il le fallait. Elle devait elle-même commencer son entraînement dans ce but d'ici peu.
Elle se demanda alors à quoi cela lui servirait si elle ne sortait jamais d'ici. Cinq ans à voir les mêmes murs, les mêmes gens, à entendre les mêmes voix, les mêmes sons... Cela faisait long pour une enfant avide de découvrir le monde extérieur. Le passé lui manquait, quand elle pouvait aller en ville, à Rosalith, faire des courses et parler à toutes sortes de gens intéressants. Elle n'était pas autorisée à leur dire son nom ni ce qu'elle faisait ; même ici, le nom qu'on lui donnait n'était pas vraiment le sien. Quand on devenait un Immortel, on donnait tout au Phénix, son passé, son avenir, son nom même. Ce n'avait pas vraiment été un sacrifice pour elle ; elle n'avait jamais rien possédé en propre et les Immortels l'avaient sauvée d'un destin bien pire : celui de devenir une Pourvoyeuse, autrement dit une esclave exploitée jusqu'à la mort pour ses pouvoirs magiques.
Ses pouvoirs, elle les mettrait au service du Phénix et de l'ordre des Immortels, sa seule famille.
Elle marcha un peu plus vite. Le couloir n'en finissait plus. Il lui paraissait plus long aujourd'hui ou alors elle pensait trop. Si la vie lui semblait monotone, il y avait pourtant une personne au moins qu'elle avait plaisir à voir chaque jour. Celui pour lequel tous s'étaient terrés ici depuis cinq années, depuis que Fort Phénix était tombé sous les coups de l'armée sanbréquoise, depuis que l'archiduché de Rosalia et la famille Rosfield avaient disparu. Quand les Immortels étaient arrivés sur place après la bataille, ils n'espéraient plus trouver quelqu'un de vivant. Le corps de l'archiduc Elwin avait été récupéré avec déférence puis enseveli comme il se devait dans un lieu tenu secret afin d'éviter les profanations. Aucun de ses fils ne semblait avoir survécu ; l'aîné, Clive Rosfield, avait disparu corps et bien, sans doute soufflé par l'explosion qui avait résulté de la transformation de son jeune frère Joshua en Phénix. On avait vu la chose depuis le petit village de Lestange, situé non loin du Fort Phénix.
Et, par une chance inouïe, un survivant y avait aussi trouvé refuge. Il avait vu tout ce qui s'était passé ce jour-là et son témoignage fut d'une aide plus que précieuse aux Immortels. Il affirma que, pendant l'attaque de Sanbrèque, un autre Primordial de feu, totalement inconnu, était apparu dans l'enceinte de la forteresse et que le Phénix avait tenté de l'arrêter. Un combat titanesque s'en était suivi... au cours duquel le Phénix fut vaincu. Mais nul ne savait ce qu'il était advenu de ce Primordial. Depuis, les Immortels cherchaient désespérément à savoir qui en était l'Emissaire, et c'était pour cette raison qu'ils avaient tenu à rester près de Fort Phénix ; pour enquêter et trouver des indices. Et venger leur dieu.
Un dieu qui avait semblé très humain à la petite fille... C'était ce qu'elle avait pensé quand ils avaient finalement découvert le corps de Joshua Rosfield dans les décombres. Une petite main blanche pleine de sang, crispée sur les gravats... Un enfant du même âge que le sien aujourd'hui... Elle l'avait déjà vu auparavant, quand elle était autorisée à se rendre au palais ducal du temps de sa splendeur. Un petit garçon blond aux yeux bleus, qui paraissait toujours enjoué mais dans le regard duquel elle avait décelé une tristesse insondable...
Il portait sur ses épaules un double fardeau : celui de devenir un jour l'archiduc de Rosalia à la place de son aîné, mais aussi d'assumer le pouvoir du Phénix en tant qu'Emissaire. En voyant cet enfant fragile, timide et souvent malade, elle avait considérablement douté de sa capacité à supporter tout ça.
Mais il était plus fort qu'elle ne le pensait. Car il était en vie. Quand Maître Cyril - qui n'était pas encore Maître à ce moment - avait dégagé les décombres qui le recouvraient pour le prendre dans ses bras, elle avait su tout de suite qu'il vivait encore. Le pouvoir de vie qui émanait du Phénix était tel qu'on pouvait le sentir à plusieurs mètres à la ronde. Son petit corps d'enfant était presque en lambeaux, fracassé par les coups furieux de l'autre Primordial de feu ; mais il respirait. Les Immortels, sous le choc, s'étaient alors tous agenouillés sous la pluie battante qui tombait ce jour-là pour saluer le miracle. Elle croyait se souvenir d'avoir vu Maître Cyril pleurer... mais elle ne savait pas vraiment, elle n'était alors qu'une enfant de six ans. Et puis Maître Cyril n'était pas du genre à pleurer. Les larmes ne faisaient pas partie de la vie des Immortels.
Pendant presque une année, le rescapé de la famille Rosfield était resté allongé dans le Nid, le corps entièrement recouvert de bandages curatifs, aux soins intensifs de tous les guérisseurs de l'ordre. Chacun de ses os et de ses muscles avait été disloqué, et il avait fallu de la magie de haut niveau ainsi que les remèdes les plus efficaces pour qu'il puisse se remettre. Les Immortels étaient des experts en la matière. Etant les fidèles du Phénix, Primordial de la guérison, ce savoir leur était indispensable afin de l'honorer au mieux. Le plus difficile à soigner fut la blessure mortellement infligée au crâne de l'Emissaire ; il avait fallu tous les pouvoirs de Phénix pour le faire survivre à ce coup d'une violence inouïe.
Son corps était maintenant totalement guéri depuis plusieurs mois, mais l'Emissaire restait dans le coma. Il avait également beaucoup changé... Il avait été sauvé à un âge de la vie où chaque année qui passait le rapprochait davantage de l'adulte qu'il deviendrait un jour. Cependant, il demeurait impossible de juger de son état mental. Si son cerveau avait été touché, le pouvoir du Phénix ne pourrait probablement rien pour lui... C'était peut-être pour cette raison qu'il ne se réveillait pas...
La petite avait déjà demandé aux guérisseurs pourquoi l'Emissaire ne pouvait se soigner lui-même rapidement. On lui avait répondu que si le Phénix était une divinité généreuse avec autrui, elle ne l'était pas autant avec son Emissaire. Ils avaient parlé d'un transfert d'énergie difficile, qu'elle n'avait pas vraiment compris. Ce qu'elle avait retenu c'est que le Phénix soignait parfaitement les blessures des autres, mais s'agissant de son Emissaire, cela était plus complexe et lent. Peut-être n'en savaient-ils pas plus... C'était étrange car les Immortels étaient censés tout savoir sur le Phénix.
C'était pour Joshua Rosfield que les Immortels se cachaient ici, attendant son réveil impatiemment. Tous y croyaient fermement mais dans le cas contraire, ils étaient décidés à rester ici à ses côtés jusqu'à la fin. Cette cathédrale céleste serait alors son mausolée... Macabre pensée pour la petite fille. Pour l'instant, l'Emissaire se contentait de grandir comme un garçon à peu près normal. Cinq ans après sa défaite, le Phénix s'était de nouveau transformé, en un jeune adolescent cette fois. Elle avait assisté à tous les soins qu'on lui donnait et connaissait les potions et onguents qu'on lui administrait afin de préserver ses fonctions vitales. On l'avait installé dans la pièce se situant exactement au centre de la structure céleste et on avait baptisé ce lieu le Nid. C'était leur saint des saints et peu de gens y étaient admis. Certains parmi les Immortels n'avaient même jamais vu l'Emissaire. Elle faisait partie de ces privilégiés et elle réalisait tous les jours l'honneur que cela représentait. Aux yeux de ses acolytes plus âgés, elle semblait une élue.
C'était presque l'heure des exercices de relaxation et elle aimait y assister. La lumière était alors tamisée autour du lit où était étendu l'Emissaire tandis qu'une musicienne jouait de la musique douce ; leur meilleure soigneuse venait alors avec révérence et des gestes étudiés faire fonctionner les muscles et articulations du dormeur, plier délicatement ses genoux, ses coudes, masser ses cervicales et ses pieds avec des huiles parfumées. C'était comme un rituel, un service rendu à leur dieu endormi. Peut-être qu'aujourd'hui, elle lui permettrait de l'aider, qu'elle lui apprendrait ses gestes doux et subtils qui permettaient au Phénix de garder un corps en bonne santé.
Mais ce qu'elle voulait par-dessus tout, c'était qu'il se réveille. C'était l'unique horizon de la foi de tous ici. Si Joshua Rosfield quittait le Nid, leurs vies à tous changeraient enfin.
- "Eh, Jote, tu vas au Nid ?"
Elle se retourna vers celui qui venait de lui parler et se retrouva face à un jeune homme qu'elle connaissait de vue. Comme tous les Immortels, il portait une bure grise un peu élimée avec une large capuche pour l'heure posée sur ses épaules. Il pressait quelque chose contre sa poitrine.
- "Oui...", répondit-elle timidement. "Je peux faire quelque chose pour vous ?"
- "Apporte au Phénix ce voeu que j'ai écrit sur ce papier. Tu peux le glisser sous son oreiller, n'est-ce pas ?"
Elle prit le morceau de parchemin sans pouvoir refuser, un peu désolée pour cet homme qu'elle savait sincère. Quelques Immortels étaient encore adeptes de certaines superstitions qu'on attribuait aux pouvoirs du Phénix. Si on le priait essentiellement pour la santé et la longue vie, dans d'autres parties de Valisthéa, on lui demandait tout un tas de choses. Jote avait compris depuis le temps que leur Primordial avait des adorateurs un peu partout dans le monde. Celui-ci devait venir de Dalméquie ; là-bas, on donnait au Phénix le pouvoir d'influencer la chance ou la bonne fortune.
- "Je... je vais essayer... Je ne sais pas si j'ai le droit...", balbutia-t-elle.
- "Tu trouveras bien un moyen. Tu es une de ses favorites, pas vrai ?"
Elle soupira et renonça à lui répondre. Elle n'avait jamais parlé à l'Emissaire, elle ne le connaissait pas vraiment, mais pour cet acolyte, elle faisait partie de sa suite. Il aurait sans doute tout donné pour être à sa place.
- "Tu lui donneras, hein ? S'il te plaît..."
Elle s'éloigna avec sa cruche d'eau, se rendant bien compte qu'elle avait beaucoup trop tardé. Cette eau fraîche était indispensable pour le rituel de relaxation et elle ne devait pas y manquer. Comme elle le pensait, la soigneuse attitrée du Phénix la rejoignit dans le couloir et lui posa la main sur l'épaule. Elle était très gentille, un peu comme une grande soeur, mais elle ne connaissait même pas son nom. La plupart des Immortels n'en avait pas, seuls les adeptes les plus éminents consentaient éventuellement à en donner un, imposé par l'ordre, comme le sien.
Elle ignorait quel nom ses parents lui auraient donné. On lui avait attribué celui-ci et elle s'en accommodait bien. Il était court et plutôt joli.
- "Vous allez me laisser vous aider aujourd'hui ?" demanda-t-elle à la grande et mince femme à côté d'elle, cachant mal son impatience.
- "Si Sa Grâce le permet, et bien nous verrons."
Tout le monde ici appelait Joshua Rosfield "Sa Grâce", "l'Emissaire" ou plus rarement "l'Archiduc". Il était formellement interdit de se référer à lui par son prénom, même hors de sa présence. L'étiquette rosalienne était ici respectée encore plus qu'à la cour.
La soigneuse comprenait parfaitement l'honneur qui lui était fait de s'occuper de l'Emissaire personnellement. Manipuler l'enveloppe charnelle qui servait de vaisseau au dieu qu'ils vénéraient tous était sans doute la plus haute distinction, plus haute que celle de Maître de l'ordre.
Jote en était à se demander par quels moyens elle pourrait savoir si l'Emissaire acceptait qu'elle s'occupe de lui quand un cri perçant retentit dans toute la nef. Tous les Immortels stoppèrent ce qu'ils étaient en train de faire et un grand attroupement se forma dans le corridor menant au Nid. Jote avait laissé échapper sa cruche d'eau qui explosa en morceaux, éclaboussant ses pieds et ses jambes. Il ne restait plus que quelques mètres jusqu'à la porte...
En dérapant sur la flaque d'eau, Jote se précipita avec la soigneuse vers la porte du Nid. Les Immortels les suivirent en courant. Une effervescence tout à fait inhabituelle régnait dans la cathédrale ; quelque chose de nouveau s'était produit et avait bouleversé leur routine, chacun retenait son souffle.
La porte du Nid, de forme circulaire et gravée de symboles antiques, était scellée pour quiconque n'en possédait pas la clef. La soigneuse du Phénix en était la gardienne et personne ne pouvait pénétrer à l'intérieur sans son accord, pas même Maître Cyril. Pour que le cri ait pu leur parvenir à travers la pierre épaisse, il avait dû être poussé avec la force du désespoir... La soigneuse brandit un étrange artefact et le déplaça devant les arabesques.
Aucune agitation n'était tolérée une fois passé ce seuil. Le Nid était l'endroit le plus paisible et silencieux de leur refuge d'habitude. Mais un bruit de chute la fit trembler. Jote poussa sa supérieure en avant pour voir ce qui se passait.
La lumière à l'intérieur était toujours tamisée et reposante pour les yeux, aussi dut-elle plisser les paupières pour déceler ce qui se passait. Elle porta la main à son visage avec horreur : le lit était vide. C'était là-dessus que son regard s'était porté automatiquement, comme à chaque fois. Alors, elle entendit une plainte saccadée.
Elle distingua vaguement une silhouette prostrée près du mur du fond, de l'autre côté du lit qui trônait au centre. Son coeur manqua un battement... Les draps semblaient avoir été entraînés, arrachés du lit pour venir s'entortiller autour de la silhouette qui gémissait. Elle distinguait une chair pâle et secouée de spasmes dans l'ombre et tous ses réflexes l'abandonnèrent soudainement. Elle se sentait sans force... Mais ce n'était pas le cas de la soigneuse, qui, habituée à porter secours en toutes circonstances, se déplaça vers la forme recroquevillée contre le mur. Celle-ci se rejeta en arrière dans le coin de la pièce, tendant ses mains devant elle pour se protéger, et se mit à tambouriner le torse et le visage de la femme soucieuse de ne pas répondre à ses coups. Avec douceur, elle replia sur le jeune garçon affolé le pan de draps qui traînait par terre, et, comme une mère pour son enfant, se mit à le bercer gentiment dans ses bras en chantant tout bas. Les coups désespérés cessèrent et on entendit plus que des sanglots étouffés.
Jote ne percevait pas ce que disait la soigneuse, mais elle comprit ce qui s'était passé en un éclair. Le coeur battant, elle voulut se jeter en avant à son tour, mais sa supérieure l'arrêta d'une main, tout en continuant de caresser les cheveux de son précieux protégé.
- "Jote, va tout de suite trouver Maître Cyril."
- "Que dois-je lui dire ?"
Elle reprit son souffle avant de répondre :
- "Le Phénix renaît toujours de ses cendres."
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Michka Assayas reçoit Etienne Daho pour un entretien exclusif et pour partager une exploration musicale à travers une sélection de titres à l'image du chanteur : érudits et passionnés.
Avec
Etienne Daho Auteur, compositeur, interprète et producteur français
Michka Assayas connait Étienne Daho depuis longtemps : "Je me dois de dire que même si nous n’avons jamais été des intimes, nous nous connaissons depuis très longtemps. Je me rappelle qu’un très bon ami à moi, le photographe Pierre René-Worms, le seul à avoir pris des photos de Joy Division en France, m’avait fait écouter la cassette d’un jeune chanteur rennais, Étienne Daho junior. Et j’avais trouvé ça vraiment chouette. Je me souviens de fêtes auxquelles on se croisait, et où j’échangeais quelques blagues, bredouillant, avec ce garçon qui était au moins aussi timide que moi. Pierre n’a jamais cessé de t’accompagner dans ta carrière. Et toi, tu es là, ce soir, en face de moi, alors évidemment, ça me fait quelque chose. Comment le passer sous silence ? Mais je te rassure, comme je rassure celles et ceux qui nous écoutent, ce soir avec Étienne Daho, je ne vais pas éclairer à la lampe torche nos vieilles histoires obscures de musiques écoutées en commun. À l’inverse, même. Ce soir, en Étienne Daho, j’accueille l’explorateur de musiques d’aujourd’hui, à la curiosité en perpétuel éveil".
Le chanteur présente ici une sélection de chansons, parfois très étonnantes : "Il y a plein de choses qui se font aujourd'hui que j'aime vraiment beaucoup ; j'ai l'impression que c'est vraiment dans cette new soul, ou dans le rap américain, que les productions sont les plus inventives et qu'on y trouve vraiment des portes qui s'ouvrent, des choses plus culottées que dans le rock finalement."
Playlist :
Billie Eilish - « BIRDS OF A FEATHER » album « HIT ME HARD AND SOFT » Daniel Caesar - « Let Me Go » album « NEVER ENOUGH » Mustafa - « I’ll Go Anywhere » album « Dunya » Labrinth - « Still Don’t Know My Name » St. Paul & the Broken Bones - « Lonely Love Song » album « Angels in Science Fiction » Jungle - "Back on 74" Sons of Sevilla - « Driving North for Summer » album « Lullabies for a Wildcat » Sons of Raphael - « Yeah Yeah Yeah » album « Full-Throated Messianic Homage » Unloved - « When a Woman Is Around » album « Guilty of Love » Étienne Daho - « Come to Me Slowly » album « Surf (Volumes 1 & 2) »
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"Il n'y a pas de véritable érudit qui n'ait les instincts d'un véritable soldat dans ses veines. Être capable de commander et d'obéir fièrement ; garder sa place dans les rangs, et pourtant être prêt à tout moment à diriger ; préférer le danger au confort."
Nietzsche, La Volonté de puissance
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