#émaner
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Il faut se méfier des critiques violentes : elles émanent souvent de gens qui ne savent pas être ce que vous êtes ni faire ce que vous faites…
V. H. SCORP
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Jesse et Fives appelleraient l'autre "ma couille" avec la même affection pure qui flirt avec les limites du platonique que seuls deux meilleurs potes cishet peuvent émaner. And that's a fact.
#ils ne sont pas du type mon reuf#ils sont “ma couille”#and that post is going to be so strange for anybody translating it in English but i promise i'm right#clone trooper jesse#clone trooper fives#par contre pour torrent en entier c'est mon reuf et Rex à l'impression de perdre un an de sa courte vie à chaque fois#sw#tcw#hi tumblr void#hasta french posting again
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La ''voie du coeur''
A l’époque où je cherchais ma voie, je ne supportais pas quand les gens qui me disaient : ‘’écoute ton coeur.’’ C’était quelque chose qui me foutait les boules au plus au point.
Mais que ce que ça signifie ? Est-ce que ça veut dire que fais uniquement ce que j’aime, ce que je ressens comme agréable ? Mais moi si je fais uniquement ce que j’aime, alors je mange des frites au saindou toutes les 2 heures, je me descends des packs de bière et surtout, je fous kedall !
Ce que je ne supportais pas, c’était le côté flasque et conventionnel de ce conseil. Le côté impersonnel, mou, éteint, le côté : laisse toi aller et soumets toi, abandonne toi et tout ira bien.
Sur mon chemin, j’en rencontré des pseudo maîtres qui disaient : ‘’Ma voie, c’est avant tout la voie du coeur.’’ Et ça m'aidait pas du tout.
Ce qui m’insupportais, c’était cette séduction par le mystère et cette vanité de l’élite qui garde son secret pour faire sentir aux autres, qu’ils sont inférieurs parce qu’ils pensent avant d’aimer (On a tous du mal à aimer, on manque tous d’amour et oui, on cogite à fond alors on se sens encore plus incapable d’aimer et de suivre son coeur.)
Concrètement je ne savais pas comment m’y prendre. Je me disais qu’il fallait peut-être que j’ouvre mes chakras, que je fasse du yoga, que je prie la pachamama et surtout, que j’éteigne ma révolte.
Le problème c'est que ces gens là étaient incapables d’expliquer ce que c’était, cette voie du coeur. Ils disaient : ça ne s’explique pas !
Donc quand on aime on est con ? On cesse d’utiliser son cerveau, c’est cela ? Il faut être un légume alors, une asperge de l'amour quoi.
‘’Si tu sais pas expliquer ce que tu as compris à un enfant de 5 ans, c’est que ce que tu crois savoir, tu ne le sais pas vraiment’’, disait Einstein. Baaam voilà ce que j’aurais du leur répondre.
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Quand j’ai commencé à parler et à m’enregistrer entrain de parler, j’ai développé une attention particulière aux mots et à leur sens.
J’ai découvert que le secret était dans les mots, que lorsqu'on ouvrait ''le ventre du mot'', on trouvait son sens caché.
Ainsi, ce qui m’a permis de comprendre ce qu’était la voie du coeur, ce ne sont pas les hommes mais les MOTS.
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Le coeur désigne un organe mais aussi, le centre de quelque chose.
On parle du coeur d’une ville pour dire son centre, là où se concentre sa vie économique ou culturelle. On parle du coeur d’un problème pour dire son noeud et en déceler son origine.
La voie du coeur, c’est donc avant tout, la voie du centre.
Il n’y a aucune torsion à faire, aucun noble sentiment à tenter de faire émaner de soi, ni de jeun à pratiquer. Il n’y a pas à changer de voix pour se transformer en vierge ou en curée, ni à porter des pierres en bijoux et encore brûler de l'encens.
Il y a à faire un 180° et changer totalement de direction vis-à-vis de notre attention. Il y a à prendre sa bagnole pour quitter le périph' et rejoindre le centre ville.
Quotidiennement, nous portons notre attention à l’extérieur de nous-même, sur nos activités, nos choses, nos relations. On cherche ce qu’on va manger, faire ou projeter de faire. Toutes ces activités là nous décentrent, nous amènent à la périphérie de nous-même. Au fur et à mesure de la journée, nous nous éloignons de plus en plus du centre jusqu'à se retrouver noyés sous les panneaux publicitaires, les champs de maïs, les stations essence. Tous ces trucs ne nous concernent tellement pas qu'on ressent le besoin, vers 17h, de ‘’tout oublier’’, de faire une amnésie, via notamment les écrans hypnotisant.
Retourner au centre, c’est porter son attention non plus à l’extérieur mais à l’intérieur de soi.
Mais là ça peut être piégeux…Parce nos pensées vont continuer de nous faire porter notre attention sur des choses extérieures, sur des événements passés, nous remettre en question etc…Donc on est à l’intérieur mais à l’intérieur les pensées veulent nous faire ressortir à l’extérieur (un peu comme des guides touristiques sur la place du village qui essaieraient de t'emmener visiter les catacombes et les traboules alors que toi t'es claqué et tu veux juste rester à la terrasse du café.)
Aller au centre, c’est aller sur la place du village, là où il y a de l’espace.
Le centre est toujours spacieux.
Aller au centre c’est donc effectuer une traversée totale de son intériorité, jusqu’à arriver dans cet espace vide.
La voie du coeur, c’est la voie du centre, c’est quand tu arrives dans ton espace vide. C'est tout con !
Tu ne vas pas chercher à ‘’aimer’’ (parce qu'on ne peut pas chercher à aimer) tu vas simplement suivre ce besoin originel qui est le besoin de respirer, le besoin d’air, le besoin d’espace, le besoin de vide.
Quand tu entres dans ton vide, tu as de l’air et tu peux respirer. Ce vide va alors immédiatement se convertir en plein et là, tu vas te sentir bien. Tu seras comme un arbre ou plutôt comme une panthère endormie au soleil, dans sa sérénité et sa royauté de félin mais avec en plus, la conscience d’être, ce qui ajoute le sel à l’expérience.
Ce n’est pas l’amour que tu vas sentir, c’est ton être. Ce n’est pas ton coeur qui bat, c’est l'onde de vie qui le fait battre.
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La voie du coeur n’impose pas d’aimer mais simplement d’être. C’est la voie de tout ce que tu entreprends pour te ramener au centre de toi-même.
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Dans la philosophie islamiste, le vide est traduit par ''Adem'' (qui fait penser à Adam) et désigne ce que nous étions avant d'être, notre origine.
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Dans la philosophie hindouiste, on raconte que les dieux ont caché la vérité dans le coeur des hommes, non pas pour qu'ils galèrent à la trouver mais pour être sûr qu'elle soit bien gardée.
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Aujourd'hui, beaucoup cherchent la vérité à l'extérieur, dans des réponses compliquées à des questions qu'on n'a même pas compris... Mais la vérité des vérités, c'est que la vérité est dans le coeur et que le coeur, c'est le centre et que le centre, c'est le vide et que le vide... c'est la vie !
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Art et Science
Je souhaiterais que vous notiez mon article si possible merci.
Nous savons que le numériques détient une place majeure dans notre société mais ce qui devrait avoir une place encore plus grande devrait être la question de l’écologie. Et le mélange art et science pour réunir ces deux univers si différents et pourtant si proches est parfait. En effet, l’art pourrait permettre une approche plus évocatrice (dans le sens de voir quelque chose de concret) de ces questions et bien évidemment la science puisque nous cherchons à montrer notre engagement envers l’écologie.
Ce qui nous amène à nous intéresser à deux artistes qui utilisent l’art et la science pour montrer leur engagement.
Tout d’abord, Marylou actuellement en résidence à SIANA, est une artiste engagée dans l’écologie, nous pourrions parler d’éco-activiste. A travers son exposition « Bestioles électroniques », elle a voulu mettre en avant un enjeu environnemental majeur qu’est la cause animale. Pour cela, cette dernière a tenté de mettre en parallèle le numérique la biodiversité. En effet, Marylou s’est rendue dans différents endroits afin de recenser les multiples sons que peuvent émettre les animaux (généralement des oiseaux et des insectes). Elle se différencie car elle utilise des chants d’espèces en voie de disparition. Comme énoncé auparavant, j’ai moi-même eu l’occasion de me rendre à cette exposition d’art numérique qui a eu lieu à la médiathèque de Chantemerle à Corbeil-Essonne. J’ai pu observer que l’artiste avait utilisé des capteurs de son et de mouvements, ce qui a rendu le lieu attractif. Nous étions « plongés dans le noir » mais pas totalement puisque que des lors que nous parlions ou nous approchions des capteurs, des chants d’oiseaux et d’insectes se mirent à émaner de ces derniers et des lumières vertes et majoritairement bleus se mettaient à scintiller. Peut-être pour rappeler cette idée de biodiversité et plus précisément de l’eau pour le bleu et de la nature pour le vert. En plus de cela, le détail de la cage où se trouvait l’exposition pourrait nous faire penser à une cage dans laquelle des oiseaux seraient enfermés. Tout en suivant l’idée précédente nous avons pu remarquer que lorsqu’il y avait trop de monde, les chants s’emballaient, sûrement pour représenter le trouble émis par la présence humaine.
© Zoé Thiburs
Notre seconde artiste se nomme Karine Bonneval, artiste, éco-activiste, collaboratrice avec SIANA et enfin diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts d’Angoulême et de l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg. A travers ses nombreuses œuvres un peu disposé partout dans le domaine, l’artiste nous a fait découvrir différents aspects de notre rapport au vivant, comment les arbres respirent ? Comment communiquent-ils entre eux ? Elle a notamment pu nous démontrer cela grâce à une œuvre interactive où il fallait se déchausser et se placer sur ce qui ressemble à un tapis pour à la fin pouvoir ressentir de légère vibration qui émanaient d’une plante.
Il y avait également des œuvres très originales et très poignantes. Par exemple, dans une salle était exposée une œuvre représentant des plantes carnivores entourées d’une bulle en sucre, ce qui peut nous faire penser à l’importation du sucre, en particulier la canne à sucre qui a été fortement industrialisé. Ou encore cette œuvre avec les graines de tournesol et le moteur à l’envers, une autre œuvre qui a fait participer des élèves de primaires. Elle s’amuse également à mélanger les ADN de différents êtres vivants.
Berkanan, Karine Bonneval, Domaine de Chamarande 2024, © CD91 / ADAGP
Ces artistes sont toutes deux un exemple parfait du mariage art et sciences.
Résidence Marylou 2023-2024 | SIANA-L'imaginaire des technologies (29/02/2024)
Karine Bonneval - Se Planter - Domaine Départemental de Chamarande (essonne.fr) (14/03/2024)
Clara BAPTISTA
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Tout ce qu'on pense, tout ce qu'on dit nous revient dans notre vie présente et à venir. Louise Hay, « Reine du Nouvel-Âge » (1927-2017)
Louise Hay a consacré sa vie à enseigner aux gens comment vivre une vie positive et autonomisée, souvent avec l'aide de déclarations positives et de croyances, qu'elle a appelées affirmations. Louise a enseigné que notre point de pouvoir est toujours dans le moment présent, celui où vous plantez les graines mentales pour créer de nouvelles expériences. « Vous n'êtes jamais coincés, car vous pouvez choisir de nouvelles pensées et de nouvelles façons de penser. » Votre avenir peut toujours être plus positif, plus aimant et plus prospère. Pensez à la façon dont vous aimeriez vivre et à ce que vous aimeriez accomplir en lisant des affirmations à haute voix : 1- La vie m'aime. 2- Tout va bien dans mon monde. Tout fonctionne pour mon plus grand bien. Il n'y aura que du bien à émaner de cette situation. Je suis en sécurité. 3- Ce n'est qu'une pensée, et une pensée peut être changée. 4- Le point de pouvoir est toujours dans le moment présent. 5- Chaque pensée que nous pensons crée notre avenir. 6- Je suis en train de passer au mode positif. 7- Je suis à l'aise de me regarder dans le miroir, en disant : « Je t'aime, je t'aime vraiment. » 8- Il est sûr de regarder à l'intérieur. 9- Je me pardonne et me libère. 10- Alors que je dis oui à la vie, la vie me dit oui.
91 autres suivent sur cette page. Sa bio sur NYT.
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Faire front contre les géants du web
« Dans l’éventualité où le gouvernement canadien entérine la loi C-18, qui forcerait les géants du web à négocier des ententes avec les entreprises de presse afin de les compenser financièrement pour la diffusion de leur contenu, Meta rendrait indisponible tout article de presse sur ses plateformes. L’empire de Mark Zuckerberg emboîte le pas à Google, qui a mis sur pied un projet pilote dans le même esprit qui touche 4 % de ses utilisateurs canadiens. La capitulation du gouvernement dans ce dossier serait regrettable. Néanmoins, si les menaces sont mises à exécution, c'est une occasion formidable pour les médias de rehausser leur légitimité auprès du public.
Les groupes de presse, et en particulier les éditorialistes, doivent faire front commun pour dénoncer l’intimidation des géants du web. Un message clair doit émaner de cette fronde : la presse écrite est vitale pour la démocratie et un rempart contre la désinformation qui gagne du terrain. Les médias pourraient aussi mettre sur pied une campagne de sensibilisation. Une offensive publicitaire qui ciblerait directement les géants du web s’avère risquée, mais la défense du principe fondamental du droit au public à l’information en vaut la chandelle.
Malgré la confiance fragile de la population envers les journalistes, cette confiance demeure plus élevée que celle envers les géants numériques. Ce constat constitue une opportunité, à plus ou moins long terme, de convaincre les citoyens de continuer à s’informer directement sur les plateformes médiatiques.
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Écon@t¡on & !nterrestre
Un système continental efficace ne peut émaner que de la libre association des puissances du continent, et ne peut réussir que sous la condition d’une participation égale de toutes aux avantages qui doivent en résulter. Par des concessions opportunes et s’accoutumer dès à l’idée d’être parmi des égaux.
L’idée du système continental reparaîtra toujours, la nécessité de sa réalisation s’imposera d’autant plus fortement aux nations continentales que l’Angleterre grandira davantage en industrie, en richesse et en puissance ; cela est déjà évident aujourd’hui et cela le deviendra chaque jour davantage. Mais il n’est pas moins certain qu’une alliance continentale n’aura de résultats qu’autant que la…
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#agriculture#artisanat#économie#éducation#état#éthique#besoin#capitalisme#commerce#commun#concurrence#connaissance#contrat#création#culture#développement#douane#droit#entreprise#Friedrich List#génie#gouvernement#guerre#industrie#intérêt#intelligence#Libéralisme#manufacture#milieu#nation
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Le bon fonctionnement du couple : une priorité, pas une option ! 2/ CJP
Je continue donc, et enfonce le clou sur le thème de l’importance de réaliser que le bon fonctionnement de notre couple, en tant que chrétien, mais à plus forte raison en tant que serviteur de Dieu, n’est pas une option, mais une priorité.
À comprendre, à une époque où tant de gens veulent jouer les « pères spirituels » :
- On ne peut être un bon « père spirituel » si on n’est pas d’abord un bon père tout court !
La meilleure façon de faire comprendre à mes enfants qui est Dieu le Père, c'est d'être moi-même - qui le sert et suis donc un de ses représentant - un bon père !
- On ne peut être une bonne « mère spirituelle » si on n’est pas d’abord une bonne maman, qui sait prendre soin de ses enfants ! Mais aussi :
- On ne peut-être un bon serviteur de Dieu sans être un bon mari ou une bonne épouse ! On ne peut correctement servir Dieu si on ne le sert pas D’ABORD dans sa propre famille.
Ce n’est pas une phrase écrite pour faire bien, c’est exactement ce que Paul enseigne : « Car, comment un homme qui ne dirige pas bien sa famille, serait-il qualifié pour prendre soin de l'Église de Dieu ?" (1 Timothée 3 : 1-5)
Et on paye toujours très cher d'ignorer ce principe ! Je n'ai jamais vu un serviteur ou une servante de Dieu qui ne faisait pas cas de cette vérité, durer longtemps dans l'onction et le ministère.
- La relation que nous avons avec Dieu se reflète dans la relation que nous avons avec notre conjoint, et vice versa.
Vous voulez connaître la relation qu’une personne a avec le Saint-Esprit, c’est facile, ce n’est pas une question des belles prières qu’on fait en public, regardez simplement la relation qu’elle a avec son conjoint.
Car c’est un des premiers points sur lequel le Saint-Esprit nous enseigne et nous travaille. Si on ne l’écoute pas dans ce domaine, je doute qu’on l’entende si clairement qu’on le prétend souvent, dans les autres.
Sinon, comme nous l’avons mentionné dans d’autres post, si nous sommes super zélés pour servir Dieu et pas du tout pour servir notre conjoint, nous avons confondu la passion du ministère et de l’église avec une addiction à ces deux choses.
Ce qui différencie « la religion », qui est une forme d’addiction, de la vie de l’Esprit, c’est LA RELATION.
L’amour supposé émaner de nos cœurs n’est pas produit par la religion (qui engendre même le contraire) mais par la relation.
Quand la relation qu’on a, déjà avec Dieu, est forte elle se répercute dans notre relation avec les autres, à commencer par notre conjoint. Quand elle est faible, notre relation avec les autres est faible, à commencer par notre conjoint.
La qualité de relation qu’on a avec les autres permet de juger de la qualité de relation réelle qu’on a avec Dieu.
Et c’est là qu’on s’aperçoit que beaucoup nous ont fait passer « des vessies pour des lanternes », en nous faisant croire à quel point ils étaient proches de Dieu et l’entendaient continuellement, alors qu’ils n’étaient même pas à l’écoute des besoins de leur conjoint.
La passion que nous avons pour Dieu va toujours se refléter dans la passion que nous avons pour Son église et pour notre conjoint chrétien, qui en est le premier membre.
« Passion », ah, voilà un mot qui fait peur parfois, car on a tendance à l’associer aux passions destructrices de ce monde, mais ça n’a rien avoir.
Il y a une passion, un feu que le Saint-Esprit communique, qui est capable de faire plier et transformer nos caractères indomptés.
Les passions charnelles, qu’on confond souvent avec la passion pour Dieu et Son service (oui, je l’ai dis), sont destructrices, elles font que notre relation envers Dieu, les autres - et donc notre conjoint - est absorbée dans cette passion, et s’affaiblit au lieu de grandir.
La passion/addiction charnelle que l’on manifeste à l’égard d’un conjoint, produit qu’on l’emprisonne et l’étouffe. Celle qui vient de l’Esprit fait qu’on le libère et l’aide à s’épanouir.
La passion charnelle qu’on développe pour une église ou un ministère produit exactement les même fruits : oppression, manipulation, si c’est de la chair, liberté et esprit de service quand c’est de l’Esprit.
Jésus a montré qu’une personne peut avoir été dans le ministère, à prophétiser et chasser les démons, et arriver à un stade où Jésus lui dit : « Je te connais pas ».
Pourquoi ? Parce qu’avec le temps sa relation avec Dieu a disparue !
Ça fonctionne de la même façon pour le couple : si on n’entretient pas la relation, vient le temps où on se dit : « Je ne reconnais plus mon mari, ma femme ! », « ce n’est plus la même personne », « il – elle – a changé avec le temps », « on se connaît plus ! »
D’où l’importance d’entretenir le premier amour !
Mais c’est un autre thème, pour un autre post, un de ces jours !
CJP / Claude
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Comment s’abandonner à l’éveil
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Salutations, bien-aimés phares de lumière, je suis l’Archange Métatron. Que la joie du royaume angélique et du Créateur soit présente dans votre être, dans votre cœur et dans votre âme. Laissez cette joie émaner dans tout votre être, dans chaque cellule et dans chaque aspect de vous-même. Puissiez-vous vivre pleinement la…
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OXXXorum Mrs1orum Omnium Curae
Méthode thérapeutique globale pratiquée par les Amphiégologue, employant également d'autres méthodes thérapeutiques plus précises.
"La OXXXorum Mrs1orum Omnium Curae n'a pas pour mission de simplement soigner votre maladie mais de vous apporter la pleine santé, en analysant chaque dimension de l'existence du sujet. C'est effectivement l'objectif le plus rationnel qu'elle doive se fixer (Et probablement celui de la médecine également)."
L'inclusion de la dimension psychique et de l'environnement dans l'analyse du patient apporte une prise en charge plus globale du patient. Et constitut donc un facteur positif de qualité de la prise en charge. Notamment concernant les troubles psychiques n'ayant pas d'origine anatomique. La OXXXorum Mrs1orum Omnium Curae (Thérapie Amphiégologique) peut également constituer un soutien majeur dans le cadre de pathologie d'autres nature.
Cette méthode thérapeutique s'intéresse à agir sur les éléments environnementaux physiques et sociaux, d'avantage qu'à simplement calculer leur impacte sur l'individu. Cette méthode thérapeutique s'inscrit dans une prise en charge interdisciplinaire par nature et peut invoquer l'intervention de nombreux experts, y compris dans des domaines extérieurs à la médecine.
Relatif à l'Amphiégologie : Des éléments environnementaux pathogènes récurrent aillant dors et déjà étaient identifiés. Toute personne s'intéressant à l'Amphiégologie comprendra l'intérêt d'études dédi��es à l'élaboration de bonnes pratiques à l'échelle sociétale. Même si la discipline semble, pour l'instant, pouvoir s'en passer en son sein.
L'Harmonie du, l'harmonisation du et l'harmonisation avec le Pantachorei* est au coeur de la discipline.
*"toutes choses", Environnement concret, à distinguer de l'environnement au sens de :"l'environnement de quelque-chose". Qu'on pourrait qualifier d'environnement de tout.
L'initiation d'un trouble conflictuel est prohibé par principe de précaution. Même à des fins de test. La notion d'irréparabilité relative (La suppression de l'élément "conflit" déstabilisant ne peut émaner quasiment que de l'entité en position de force ou par une application autoritaire, d'origine externe, de l'obligation de fin de conflit. Dans une optique stabilisatrice ou Juridique. Le cas incluant un élément "conflit" hors de portée, ou non-malléable n'est pas précisé ici) du trouble conflictuel est particulièrement intéressante en matière de préservation d'un environnement sein. L'exercice professionnel semble toutefois pouvoir se maintenir (même plus efficacement en s'organisant en connaissance de cause) car l'objectif de l'acte professionnel se détache de l'individu. Il semble également par nature disposer d'une visé originelle d'utilité publique, même lorsqu'il est défaillant ou déformé. Par professionnalisme, par obligation professionnelle. La répartition des tâches au sein d'une communauté seine est passionnant...
Le désir d'une Civilisation Pacifiée persistera ou renaitra aussi longtemps que l'Humanité existera. Par un élémentaire besoin de sécurité, de stabilité et par sa recherche.
La prédation conduit à la mort. Quelque-soit l'entité, qui souhaiterai s'en inspirer, la condition physiologique de prédateur accroit les risques d'annihilation ou d'affaiblissement du potentiel de domination par rejet environnemental insolvable. En observant la nature. L'Homme est omnivore et originellement végétarien, principalement frugivore. Ce qui ne prouve rien. Toutefois la condition de prédateur constitut un élément d'instabilité par nature (conflit permanant, instabilité environnementale, impossibilité relative de travailler avec des "étranger" et diminution de la capacité à travailler ensemble => Accrois la probabilité d'un manque d'organisation interne et vis-à-vis du Pantachorei (toutes choses)...)
Notons que, les conflits sont des facteurs environnementaux d'instabilité et que la condition de prédateur n'en manque pas.
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Pour permettre un élargissement à la philosophie. La prédation, la guerre, l'absence de morale etc. y semble également être généralement considérés, explicitement ou implicitement, comme un état primitif, obstacle à la Justice et l'avènement de l'Harmonie sur Terre.
Puisqu'aucun animal non-humain n'est accepté communiquant par la hiérarchie animale. Sans doute pour son bien, dans la mesure où celui-ci est respecté.
Cela relève en effet de la philosophie. La régulation des espèces primitives non communicantes, par l'Humain, devrait uniquement résulter de l'incapacité de l'Humain à les instruire ou les orienter, ou de son obligation de ne pas perturber leur équilibre physiologique. La notion de patience est importante. Cela relève en effet, actuellement, de la philosophie et peut-être aussi des bonnes moeurs. Puisqu'aucun animal non-humain n'est accepté communiquant par la hiérarchie animale. Sans doute pour son bien, dans la mesure où celui-ci est respecté.
Pour information : Les Metsouins (Pingouins Clairvoyants Gardiens de la Forêt) s'agenouillent et récitent une prière pour l'Harmonie et le salut des arthropodes chaque fois qu'ils tuent un ou des êtres vivants animales ou végétales.
Mais les bonnes moeurs ont pour déterminisme de stabiliser la Société et par logique d'encapsulation le Pantachorei ("toutes choses"). Les êtres sauvages ne sont généralement pas les plus à plaindre d'un point de vue psychique et existentiel.
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Bouc émissaire
« Un bouc émissaire est un individu, un groupe, une organisation, etc., choisi pour endosser une responsabilité ou expier une faute pour laquelle il est, totalement ou partiellement, innocent. Le phénomène du bouc émissaire peut émaner de motivations multiples, délibérées (telles que l'évasion de responsabilité) ou inconscientes (telles que des mécanismes de défense internes). Par ailleurs, le processus peut se mettre en place entre deux personnes (par ex., un employé et son subalterne), entre des membres d'une même famille (par ex., un enfant pris pour bouc émissaire), entre les membres d'une organisation (par ex., les responsables d'une entreprise) ou à l'intérieur de tout autre groupe constitué. Outre cet aspect intra-groupal, le phénomène peut également être inter-groupal et s'observer alors entre des groupes différents (au sein d'un pays ou d'une société).
Une des origines de ce concept peut être trouvée dans la Grèce antique où le pharmakos (en grec ancien : φαρμακός, celui qu'on immole en expiation des fautes d'un autre) désigne la victime expiatoire dans un rite de purification largement utilisé dans les sociétés primitives. Le mot a fini par prendre en grec, à l'époque classique, la signification de malfaiteur. Afin de combattre une calamité ou de chasser une force menaçante, une personne, parfois revêtue de vêtements sacrés, ou un animal était choisi et traîné hors de la cité, où il était mis à mort ou abandonné à lui-même. Cette victime sacrificielle, innocente en elle-même, était censée, comme le bouc émissaire hébreu, se charger de tous les maux de la cité. Le philosophe français René Girard en a fait l'un des fondements de sa théorie du bouc émissaire dans La violence et le sacré. »
« L'innocence du bouc émissaire, que nous connaissons bien aujourd'hui, est révélée par les textes bibliques et tout particulièrement par la Crucifixion de Jésus-Christ, d'ailleurs parfois appelé « l'Agneau de Dieu » en référence au bouc émissaire. C'est bien la foule, et à travers elle, toute l'humanité, qui rejette ses fautes, culpabilités et péchés sur Jésus. Il est devenu impensable aujourd'hui de se représenter un ordre social antérieur à la révélation évangélique. Avec l'avancée de la révélation évangélique et l'évangélisation du monde au sens fort du terme (en plus du sens exclusivement religieux), le monde, privé de sa solution préférée, le mécanisme émissaire, devient de plus en plus violent, quoique les formes de civilisations ne cessent d'évoluer pour contenir, dans les deux sens du terme, cette violence dite « apocalyptique ».
« Ecce homo est une expression latine signifiant « voici l'homme ». Il s'agit de l'expression prêtée à Ponce Pilate, gouverneur romain de Judée, dans la traduction de la Vulgate de l'Évangile selon Jean (19:5) lorsqu'à Jérusalem, il présente à la foule Jésus de Nazareth sortant du prétoire, après la flagellation. La phrase correspondante en grec ancien est Ἰδού ὁ ἄνθρωπος / Idoύ ho anthrôpos.
Un Ecce Homo sur le plan artistique est une représentation de Jésus de Nazareth debout, couronné d'épines et revêtu d'une cape, les deux mains entravées par une corde, tenant un sceptre de roseau. Cette représentation peut comporter des variantes selon les œuvres. »
« La Violence et le Sacré (écrit alors que René Girard enseigne la littérature à la State University of New York) est le résultat d'une décennie de recherches; il représente la première étape importante dans l'exploration des ramifications de sa théorie du désir mimétique en relation avec l'anthropologie, la tragédie grecque et la mythologie.
L'ouvrage est empreint de l'influence de Georges Bataille.
L'ouvrage avance une série d'hypothèses au sujet de la génération et de la stabilisation d'un ordre culturel dans les sociétés primitives et la communauté en général. Il défend l'idée que le désir mimétique conduit souvent fatalement à la naissance de rivalités et au conflit, et que l'origine de l'ordre social et de sa stabilité réside dans des actes répétés de violence collective envers une victime solitaire ou un groupe de victimes, le bouc émissaire. Girard émet l'hypothèse d'un mécanisme morphogénétique intervenant dans l'émergence d'un ordre culturel et social : le mécanisme de la victime sacrificielle. Girard envisage la religion comme un moyen de régulation de la violence sociale, ainsi que de création de cohésion sociale. Il affirme qu'à travers le sacrifice, la violence qui menace la communauté est rituellement chassée, retournée vers l'extérieur plutôt que vers l'intérieur de la communauté et vers ses membres. Girard, qui envisage la société explicitement comme une affaire d'hommes, met en relation le sacrifice et la religion : la fonction de la religion réside selon lui dans le maintien de la violence en dehors de la communauté, par les moyens du mécanisme du bouc émissaire ou de ses rituels de substitution. René Girard se démarque de la pensée de son temps à propos de l'œuvre de Freud, à une époque où, comme il le dit : « la critique contemporaine est à peu près unanime sur le compte des thèses développées dans Totem et Tabou », alors jugées « inacceptables » : selon lui, le concept freudien de meurtre collectif se rapproche des thèmes de son propre travail de recherches. »
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Songe :
Surgissant, de l'eau de la rivière,
Semblant émaner, une lourde pierre,
Où se dépose, en peu de temps,
D'insectes quelque peu virevoltants,
Fuyant, le bec de jeunes oiseaux,
Qui les surveillent, d'à peine plus haut.
Par Yannick Farssac, Logho
#family #poème #mots #liberte #poesie #pourtoi #poetry #vidéovirale #fallowers #friends #story #liberty #words #bestfriend #thisismyfriend
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Cloud Gate, Chicago
L'oeuvre de l'artiste Anish Kapoor, réalisé en acier chromé, Dans le cadre de AGR LAB étant donné l'aspect, la nouveauté mais aussi le modernisme qu'elle inspire, cette réalisation destinée a la place Bab El Had en lieu et place de la fontaine centrale, d'un poids total de 100 tonnes le projet prévoit le renforcement du sous sol occupé par le parking souterrain de Bab El Had
L'installation de cette oeuvre a cet endroit devrait refléter plusieurs choses principalement la porte monumentale de Bab El Had, ainsi que les murailles de la ville
20m de long et 10 de large, et d'une hauteur de 13 mètres, biensur la copie est a revoir extra muros également, cependant Rabat ne s'est pas faite en un jour, dans l'immédiat la partie intra muros permet de scinder la revalorisation architecturale et urbanistique de la capitale, qui doit émaner de son centre
Le centre est plus gérable, il s'entend le centre intra muros, et peut réellement apporter une nouvelle dynamique a la capitale, plus avant dans cette réflexion l'AGR sera amenée a demander le gel des permis de construire dans l'ensemble des arrondissements qui constituent le centre de Rabat
En effet des plans de masse visent a reconstruire des quartiers en entier tels l'Océan dans un premier temps mais également Qebibate pour du résidentiel moyen gamme, les Orangers qui doivent devenir le coeur estudiantin de la capitale
Est il possible de changer la donne pour l'économie de Rabat, oui a condition de ne pas s'imaginer qu'il suffit de construire des immeubles et d'attendre, il faut véritablement créer un tissu économique, qui passe par l'emploi
Rabat doit attirer des expatriés, des organizations nationales et internationales, gouvernementales et non gouvernementales, il n'y aura pas de rivalité économique avec Casablanca, le business de Rabat est l'administration, les études et la recherche, ainsi que la diplomatie
C'est important cela les NGO, quitte a subventionner leurs implantations, dans le but de constituer un écosystème dense au sein du continent et de la région MENA
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WILLOW 2022 FANFICTION
CHAPITRE 17
LE PACTE D'HASTUR
Dans les profondeurs d’Immemorial City, s’étendait un gouffre infernal d’une horreur sans nom. Un royaume de terreur, dévasté, sous un ciel ténébreux, lacéré à intervalles réguliers par des éclairs incandescents. Les terres cendrées étaient fissurées par des siècles d’un chaos sans fin et brûlées par le flux ardent du vermiscus. L’air, rempli de poussière et de soufre, étouffait toute vie.
Les entités démoniaques erraient parmi les ténèbres, leurs silhouettes déformées, chassant et s’entre-dévorant, afin d’assouvir un trop plein d’instincts meurtriers et sanguinaires. Leurs cris de souffrance se mêlaient aux rugissements lourds des tornades de feu.
Toute une armée satanique se levait, attendant de pouvoir se répandre à la surface.
Au cœur de cette terre damnée, se dressait une colossale tour sombre en forme de pyramide, flanquée de tourelles acérées, telles des flèches déployant leur venin empoisonné, menaçante et déversant son ombre maléfique.
Dark Elora et Graydon, avançaient d’un pas lent.
— Quel est donc cet endroit ? s’interrogea le jeune prince déchu, sa voix empreinte d’inquiétude.
— L’Antre du Wyrm, répliqua fermement Dark Elora.
Elle s’approcha des murs et posa sa main sur les parois craquelées.
— Ces symboles sont d’une grande beauté, ses doigts effleuraient lentement, en une douce caresse, les inscriptions en pnakotiques. Je peux ressentir toute cette puissance qui émane du vermiscus, elle plongea sa main dans le liquide visqueux, qui s’écoulait le long des fissures, et la porta à ses lèvres.
Graydon ne pouvait détourner son regard, fasciné, devant le calme et l’assurance dont faisait preuve Dark Elora.
— Ces chaînes… un frisson glacial lui parcourut l’échine, à l’instant même où il réalisa ce qu’elles emprisonnaient. Ce sont... des restes démembrés. Qu’est-ce que c’est, ma Reine, le mur des tortures ?
— Oh, non, mon cher et tendre, Dark Elora agrippa l’une des chaînes rouillées. Notre Maître sait comment punir les traites et satisfaire ses instincts sanguinaires.
Les deux amants se déplaçaient parmi des cadavres desséchés, entendant le claquement de leur pas. Un son lointain parvenait aux oreilles de Graydon.
— Tu entends ? demanda-t-il, tandis qu’il cherchait du regard la provenance des sons. Cela ressemble à des murmures d’agonies.
— Prisonniers pour l’éternité dans leur prison de martyres, telle est la sentence de notre Maître, souffla Dark Elora.
Graydon prit la main de son amante, s’offrant ainsi du réconfort.
Tous deux stoppèrent à quelques mètres d’un immense rideau de feu, terrifiant et rougeoyant, projetant des éclats orangés sur leurs visages respectifs, accentuant leur aspect maléfique.
Un terrible rugissement transperça l’air, secouant et faisant trembler la terre sous leurs pieds. Une créature satanique surgit des flammes de l’enfer, ses iris aussi ambrés que le vermiscus, sa silhouette monstrueuse et diabolique se découpait au milieu de ce rideau de lave, accompagnée d’une aura de terreur indescriptible.
Le vermiscus s’écoulait le long de ce corps immonde, identique à de la sève infectée, inondant sa colonne vertébrale. Le visage, hideux et terrifiant de la créature, était scarifié de symboles pnakotiques, entaillés dans sa chair cendrée. Quatre cornes surplombaient son crâne d’où semblait émaner le liquide visqueux. Sa bouche, aux dents affûtées, renforçait sa nature abjecte.
— Comment a-t-elle pu vous échapper ! la voix, d’outre-tombe de la bête gronda avec une telle violence, que la pièce entière sembla se fissurer.
Graydon resserra ses doigts autour de ceux de Dark Elora, tandis qu’elle essayait d’apaiser la fureur du Wyrm.
— Je la tenais, mon Maître. Elle était à ma merci, si Aniel et Kida n’étaient pas intervenus, pour la sauver.
Le Wyrm poussa un hurlement de rage.
— Je m’occuperai d’eux en tant voulu. Je les broierai dans cette salle et je savourerai chaque instant de leur souffrance. Quant à l’Impératrice, vous n’avez pas droit à l’erreur, si vous ne voulez par finir comme ces cadavres à vos pieds.
— Je suis bien plus forte qu’elle, mon Maître. J’ai ressenti sa faiblesse lors de notre affrontement.
Un lourd silence s’ensuivit, pesant sur l’atmosphère déjà angoissante, avant que le Wyrm ne poursuive.
— J’avais mis tous mes espoirs en Bavmorda. Elle fut le meilleur de mes sujets et aurait pu régner à mes côtés. Mais son erreur lui fut fatale. Ne me déçois pas, Elora.
Une silhouette sombre et fantasmagorique se matérialisa aux cotés du Wyrm, déformée par le rideau de feu. Les ténèbres qui l’entouraient personnifiaient un froid glacial et une terreur indescriptible.
*******
L’Arbre de Vie de Tir Asleen avait été infecté. Son feuillage blanc diamant qui étincelait jadis de mille couleurs, se fanait lentement. Les feuilles tombaient une à une sur le sol meurtri, portant encore les cicatrices du carnage passé. Les cadavres des chevaliers de la Pacalcade gisaient aux côtés de ceux des démons qu’ils avaient combattus. Du tronc, jadis resplendissant de vie, jaillissait un liquide noirâtre et visqueux.
Hastur, roi maudit, accompagné de deux gardes, se réjouissait devant la détérioration de l’Arbre de Vie. Ses yeux brillaient d’une lueur maléfique, tandis qu’il caressait du bout des doigts, l’écorce noircie.
L’un des gardes osa rompre le silence.
— Mon Seigneur, l’Arbre se meurt.
Hastur lui répondit, esquissant un sourire maléfique, les yeux rivés sur l’Arbre.
— Il ne se meurt pas. La magie qu’il renferme mène un combat de l’intérieur. Le Malatrium s’infiltre dans ses veines, corrompant chaque filtre de son être. Bientôt, il sombrera définitivement et je récolterai le fruit de mes longues attentes. Je forgerai l’arme qui me permettra de posséder la magie interdite.
Les gardes se regardèrent et frissonnèrent, conscients d’être les témoins d’un pacte sombre sous le signe de la trahison.
Après la reconstruction de Galladoorn, suite à sa défaite contre les sbires de Bavmorda, Hastur fut proclamé roi. Mais sa soif de vengeance et de pouvoir qui naquit en ce jour sombre, ne fit que s’intensifier. Déterminé à prendre sa revanche et étendre son règne sur tout le royaume d’Andowyne. Il se mémorisait cette rencontre fatidique qui lui permit d’élaborer son plan diabolique.
*******
Hastur déambulait, seul, dans les jardins royaux, absorbé par ses sombres pensées, cherchant à échafauder un plan qui lui permettrait d’assouvir ses projets machiavéliques. Le parfum des fleurs environnantes ne parvenait pas à atténuer le tourbillon de haine et d’ambition qui le hantait.
Il s’assit au bord d’une fontaine, sculptée dans un marbre blanc éclatant, plongea sa main dans l’eau fraîche et cristalline, qui s’écoulait entre ses doigts. Il leva les yeux vers une déesse de marbre, tenant une jarre, d’où jaillissait le filet d’eau scintillant.
Il resta ainsi, un moment, le regard perdu, ses pensées en quête de trahison et de conquête. La mélodie de l’eau apaisait ce lieu, contrastant avec son désir inextinguible de pouvoir qui brûlait en lui, et semblait se nourrir de ses cruels desseins, le poussant un peu plus vers les ténèbres. Hastur était prêt à tout pour atteindre ses objectifs quitte à trahir les siens.
Alors que le murmure de la fontaine semblait lui chuchoter des mots en pnakotiques, l’ombre de son visage démoniaque se superposa à son reflet dans l’eau translucide. Les éléments environnants s’assombrirent progressivement. Les fleurs se fanèrent et l’eau de la fontaine se noircit.
Les chuchotements s’intensifiaient dans son esprit, poussant Hastur à se lever et se diriger vers le labyrinthe de haies. Un lieu diabolique, au chemin sinueux et trompeur. Chacun de ses pas semblaient l’entraîner plus profondément vers les ténèbres.
— Qui va là ! s’écria le roi, ayant senti une présence. Il resserra sa main sur la poignée de son épée, prêt à combattre.
Une entité fantasmagorique se forma au sein de l’épaisse brume. Une voix spectrale résonna dans son esprit.
— Nous pouvons t’offrir ce que tu désires.
— Que savez-vous de mes désirs ! Qui êtes-vous ?! demanda fermement le roi.
— L’Ordre du Wyrm. Rejoins-nous et Tir Asleen t’appartiendra.
— Quel en est le prix ?!
— Ton fils cadet.
Zivian hésita un instant, bien que son désir de pouvoir fût bien trop puissant.
— Cela m’est impossible !
Un rire démoniaque rugit.
— Ton sang est tellement corrompu par la haine et l’avidité que la vie de ton fils est moindre face à tes sombres desseins.
Zivian resta silencieux avant de prendre sa décision.
— Il te suffit de te soumettre. À genoux !
Le roi maudit s’exécuta et s’agenouilla devant l’entité.
— Renonces-tu à ton fils.
— Oui j’y renonce.
— Acceptes-tu de rejoindre l’Ordre du Wyrm et de consacrer ta vie à son dessein.
— Je l’accepte.
Un rire glacial retentit, tandis que les ténèbres s’amenuisaient, rendant la clarté au jardin et l’eau de nouveau cristalline. Le pacte venait d’être signé.
Hastur se releva, les yeux injectés de sang et le visage déformé par la haine et l’avidité. Il quitta les jardins. Lorsqu’il atteignit la salle du trône, il fit signe aux gardes de le laisser seul.
Le roi maudit, s’assit sur le trône, sa main droite crispée sur l’accoudoir, sentant toute la puissance du Wyrm se mêler à son sang. Des ombres fugaces, apparaissaient autour de lui. Un léger sourire machiavélique se dessina sur ses lèvres.
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Biographie
BIOGRAPHIE
‟À scruter la biographie d’un artiste, nous sommes bien aises d’aviser père et mère tous deux artistes se pencher sur le berceau. Voilà qui fournit une justification aux déterministes, un argument aux jaloux, alors même qu’il est ardu de se forger un prénom, Wilhelm Friedemann et Johann Christoph Friedrich en savent quelque chose.
Pour autant, un foyer où flamboient à cœur joie création, culture et humanisme atteint au creuset pour qui est habité d’une âme artiste. De ce milieu propice, il nous faut cerner de quoi Josef est-il redevable envers Jean-Michel, son père photographe. Si transmission il y eut bel et bien, elle remonte à l’enfance de Josef, à ce jour où – geste inéluctable – un appareil photo a été semé dans ses mains. L’initiation s’est cantonnée aux incontournables bases techniques. Pour le reste, c’est-à-dire l’essentiel, Josef a bâti son propre univers créatif en toute liberté.
La douceur naturelle de Josef ne bride en rien sa détermination. Très tôt il inscrit la trajectoire de son travail avec lucidité. Il bouscule sans vergogne l’idée du « métier » - dans sa facture traditionnelle du rendu photographique - en bouchant volontairement des ombres, en laissant la lumière brûler des parties de l’image. Sur et sous-expositions revendiquées au service d’options plastiques tranchées et qui ne manquent pas de provoquer des remous dans les échanges esthétiques avec son entourage initiateur…
Arrive le moment où s’impose la nécessité d’une distanciation plus franche encore.
Josef Guinzbourg invente alors la série Space Invaders, vaste échappée dans l’imaginaire fantastique de la science fiction, où l’inquiétant le dispute au cocasse.
Il est tentant d’y lire, claironnée par une manipulation outrancière de l’image, la rupture consommée entre argentique et numérique. Mais le fossé est bien plus profond. La strate technique à elle seule ne suffit pas à démarquer ce corpus des précédents. Sous elle se cache l’abyssal antagonisme de deux conceptions, la photographie viscéralement liée au réel et l’image totalement réinventée, augmentée, celle des jeux vidéo et des effets spéciaux du cinéma d’aujourd’hui.
Deux attitudes contradictoires qui coexistent cependant dans le travail de Guinzbourg. Il reste en effet fidèle à une approche simple, sans artifice, où le traitement numérique se borne à amplifier les données réelles captées à la prise de vue, dans les autres thèmes qu’il continue de traiter en parallèle : la photographie urbaine (aux accents de Nouvelle objectivité) et paysagère.
C’est ce dernier registre qu’il va choisir pour L’Image en dialogues. Il projetait initialement d’y poursuivre les photomontages, mais ce processus très long s’avère difficile à utiliser sans rompre le rythme régulier induit par la résidence. Avant tout, le paysage, plus simple, lui permet de garantir la cohésion du binôme, de faciliter l’échange et le partage avec son associé de père, de le rejoindre dans une autre passion qui les unit : l’escapade au cœur de la nature.
La résidence est aussi le prolongement de sa relation avec Claude Philippot, autre protagoniste de L’Image en dialogues, qui accompagne depuis longtemps son cheminement.
L’ampleur du projet, par son inscription dans la durée, offre à Josef Guinzbourg le temps d’une longue expérimentation avant d’arrêter son propos et de l’approfondir.
Il livre in fine des paysages variés par l’angle de vue (frontale, contreplongée) et la distance (gros-plan, panorama), réinterprétés par retouche numérique.
Des images de langueur et d’étrangeté dont le pseudo-vignettage et la couleur aux saveurs d’autochrome laissent émaner des fragrances de clichés anciens - un trait d’union entre balbutiements d’hier et aboutissements d’aujourd’hui -, chantant une ode à la Photographie, avec pour basse continue l’absolue créativité.”
Pierre Van Tieghen Historien et critique d'art
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Patrick 2.
Son père, et de mémoire de La Mythe ce fut la première fois que son père lui parla autant, le chopa par le col, approcha son visage du sien , haleine sèche et brulante, et lui demanda dans une rage froide qui alourdissait chaque mot, s'il était assez con pour croire que quelqu'un né dans une étable pouvait mourir, revivre, incarner la bienséance et baiser une pute, faire que l'eau ce soit du vin, ne pas dire lui même deux mots, ne pas les avoir écrit, être le fils d'un autre truc que de son père qui n'avait pas baisé sa mère qui était vierge, qu'on appellerait Dieu comme son père qui n'était pas le sien non plus qui aurait poussé auparavant un Abraham à presque sacrifier son fils et un Loth à abandonner sa femme et à baiser ses filles. Le reste de l'histoire, et dieu sait que ce fut la seule fois que toute la bible fut racontée entièrement par un homme sans qu'il ne reprenne jamais son souffle, il l'avait oublié. Cette intense et unique leçon de théologie se solda par une baffe monumentale et La Mythe sut que de la religion il ne peut rien émaner de bon, et que de la convoitise de l'objet précieux, qu'il soit fait de métal ou de chair, il ne fallait pas parler. Il comprit plus tard que son père avait su ce jour là que son fils avait irrémédiablement quitté l'enfance et que tristement, il avait du, à grand renfort de mots et de gestes, commencer son éducation d'adulte.
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