#ça me tue parce que je lui ai dit c’est pas grave que je comprends pas pourquoi ça gêne
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Eh mais le syndrome de l’imposteur mais nique sa mère
#text#dinguerie le niveau de syndrome de l’imposteur que j’ai#personal#j’ai cru que j’allais me faire virer comme une mal propre mais mon manager m’a littéralement assuré que je suis parfaite#à part mes petits soucis de ponctualité mais que c’est rien c’est léger du moment que je fais des efforts pour arriver vers 9h#aujourd’hui je suis arrivée à 9h40 parce que je n’arrivais pas à me lever (merci la dépression)#aujourd’hui c’était un enfer pour me lever mais dinguerie j’étais gluée à mon lit#à part ça je suis là chouchoute de mon manager et il aimerait que je vienne plus tôt pour qu’on puisse prendre le café avec toute l’équipe#et moi inclus#que je ne démarre pas le travail sauvagement#que je puisse profiter de discuter avec mes collègues et lui#ça me tue parce que je lui ai dit c’est pas grave que je comprends pas pourquoi ça gêne#et il m’a regardé en mode *perplexe*#il a rigolé parce que vraiment le raisonnement autiste quoi#(je suis sur le spectre de l’autisme me cancel pas)
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Ce papa de trois enfants fait parti des victimes de l'attaque au couteau menée par un réfugié afghan samedi à Villeurbanne. Il a accepté de raconter la scène pour RMC.
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Il était présent à Villeurbanne samedi après-midi quand un réfugié afghan a attaqué au hasard des personnes avec un couteau.
L’assaillant, qui a été arrêté et mis en examen pour "assassinat et tentatives d’assassinat", est un homme d’une trentaine d’années, jugé instable. L’attaque a fait un mort, un jeune homme de 19 ans, et huit autres blessés. Parmi les victimes, Nicolas. Avec ses trois enfants de 6, 8 et 10 ans allaient rendre visite à un membre de leur famille à Vaulx-en-Velin ce samedi après-midi.
Ils sortaient du métro à Laurent Bonnevay, et cherchaient leur ligne de bus, quand, au loin, Nicolas, 40 ans, voit de l’agitation. Il pense d’abord à une bagarre, mais comprend vite qu’il se passe quelque chose de grave. En fuyant, l’agresseur s’en prend à lui. Il le poignarde dans le dos, et lui balafre le front, le cou, et les bras. Il est la 9e et dernière victime poignardée, avant que les passants ne s’interposent pour immobiliser cet Afghan d’une trentaine d’années.
Placé en détention provisoire
"J’ai vu un individu saisir une femme par ses vêtements ou par le col et la poignarder. Donc j’ai pris les enfants et on a commencé à reculer. Mais l’agresseur nous a rattrapé dans les escaliers. Il a commencé à me poignarder. Je me rappelle avoir mis les deux mains sur les rambardes et lui avoir dit ‘non, tu ne passeras pas, j’ai mes enfants derrière tu ne passeras pas’. Je lui ai mis plusieurs coups et ça ne lui a rien fait. C’était impossible qu’il soit dans un état normal. Si je ne m’étais pas mis au milieu c’est mon fils qui prenait le coup de poignard. Donc je suis content de l’avoir pris à la place de mon fils. J’ai une bonne entaille de deux ou trois centimètres de long sur quatre de profondeur. J’ai eu du bol parce qu’il n’a touché aucun organe et il n’a pas sectionné de nerf.", raconte Nicolas.
"Après notre bagarre dans l’escalier, il est resté là à me menacer, à essayer de me planter jusqu’à ce qu’il y ait des gens qui essayent de le calmer. Je les remercie énormément tous. Je remercie également les personnes qui se sont occupées de mes enfants. Au final, je m’estime extrêmement chanceux parce que les enfants n’ont rien. Ils m’ont dit ‘on avait peur qu’il te fasse du mal, qu’il te tue’. Et quand on s’est retrouvé, ils m’ont dit ‘on est très fier de toi’", poursuit-il.
Malgré tout Nicolas estime ne pas encore tout à fait se rendre compte de ce qui s'est passé. "Est-ce que je réalise exactement ce qui s’est passé, je ne suis pas sûr. Peut-être qu’il va me falloir quelques jours, quelques semaines, pour réaliser".
Il a déposé plainte à l’hôtel de police, comme une dizaine d’autres victimes et témoins de l’agression. L’assaillant a été placé lundi en détention provisoire, a annoncé le parquet de Lyon.
Nicolas Traino et Gwladys Laffitte avec Guillaume Descours
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