#à une mastodonte
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Allianz et Sanlam donnent naissance à une mastodonte du marché de l’assurance en Afrique.
Le groupe allemand Allianz, l’un des leaders mondiaux de l’assurance, et le groupe sud-africain Sanlam, le premier assureur en Afrique, ont finalisé leur coentreprise en Afrique, qui regroupe leurs opérations dans 27 pays du continent. La nouvelle entité, dont le nom est SanlamAllianz, est évaluée à plus de 2 milliards d’euros, soit 1 312 milliards FCFA, et représente le plus important acteur…
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«BlackRock est avide de l’épargne retraite des Français, Macron est là pour aider»
Le PDG de BlackRock, Larry Fink, «qui a secrètement rencontré Macron et s'est vu décerner l'ordre de la Légion d'honneur, n'a pas du tout caché son intention de mettre la main sur tous ces milliards d'euros», rappelle Elena Karaev, éditorialiste pour RIA Novosti.
•En 2017, les dirigeants de BlackRock et de 21 mastodontes (dont Vanguard) étaient reçus à l’Élysée.
•En 2018, BlackRock –7.000 milliards de dollars d'actifs gérés– a dépensé (https://lobbyfacts.eu/representative/bc00bbb0e3cb4fd7a03231d84a00f7a5/blackrock) 1,5 million d'euros en lobbying à Bruxelles.
•En juin 2019, BlackRock a publié une feuille de route (https://www.blackrock.com/fr/intermediaries/literature/brochure/viewpoint-french-retirement.pdf) pour la France.
«Franchement ce serait assez hypocrite de décaler l’âge légal», affirmait Macron en avril 2019 à l’issue du «grand débat» national, un gadget inventé pour endormir les Gilets jaunes.
«Les Français ne peuvent plus compter sur rien», compatit Karaev.
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Nous savons tous très bien que l’instruction n’est pas une garantie de sagesse. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer certains de nos hommes politiques. La plupart des grands de ce monde sont au pouvoir parce qu’ils ont su être assez habiles pour tirer les bonnes ficelles au bon moment. Cependant, être habile et être sage ne sont pas des qualités du même ordre. L’habileté fait appel à la maîtrise de diverses techniques de manipulation, alors que la sagesse ne permet pas la tromperie qui est contraire à sa nature.
Il existe aussi cette sagesse du monde qui repose sur la connaissance que l’homme a acquise à travers sa science. C’est cette sagesse qui fait la fierté de l’homme moderne. Par elle, il croit être parvenu à s’affranchir de Dieu. Or, nous savons que cette sagesse est instable et changeante parce qu’elle est fondée sur l’homme qui est lui-même instable et changeant. En ce qui concerne sa valeur.
Et si on faisait la comparaison de L’éléphant, qui a toujours été le symbole de sagesse supérieure. Il est aussi associé à la mémoire, une mémoire d’éléphant, la longévité, il peut vivre jusqu’à 86 ans , la prospérité, la puissance et la bienveillance. Donc pour en finir certains hommes en font une bête de foire et d'autres sont en communion avec ce mastodonte et le considèrent comme si c'était leur propre père. La sagesse devrait être pour chacun d'entre nous, une leçon de vie.
Jj
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Comment la France pourrait-elle atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 ? Telle est la question explorée par l’Agence de la transition écologique (Ademe) dans son rapport «Transition(s) 2050», qui explore quatre scénarios pour la moitié du siècle. Si le pays suit la trajectoire actuelle, les objectifs climatiques restent hors de portée. Pour «faciliter le passage à l’action», l’organisme a donc réalisé un «exercice de prospective inédit» avec l’appui de plus d’une centaine de spécialistes et d’un comité scientifique.
Dans une première version de ce travail, publiée en 2021, chaque secteur (alimentation, habitat, industrie, etc.) avait été passé au crible afin d’échafauder quatre récits pour une nouvelle société. Sauf qu’entre-temps, la crise énergétique a surgi et la question de l’adaptation au changement climatique s’est imposée. Résultat, les experts de l’Ademe ont affiné leur synthèse mastodonte, rendue publique jeudi. Pour Libé, David Marchal, directeur exécutif de l’expertise et des programmes à l’Ademe, décrypte cette publication et les crispations politiques qu’elle suscite.
En quoi consistent les quatre scénarios de l’Ademe pour une neutralité carbone d’ici 2050 ?
Ces scénarios contrastés reposent en premier lieu sur quatre récits qui répondent aux aspirations diverses de différents acteurs de la société. Le premier, baptisé «génération frugale», est le plus sobre et le plus contraignant : il suppose, par exemple, une division par trois de la consommation de viande des Français, il fait la part belle aux low-tech, implique une gouvernance marquée par des interdictions et des quotas, etc.
Le deuxième, appelé «coopérations territoriales», mobilise toujours, mais dans une moindre mesure, le levier de la sobriété et surtout celui de l’efficacité énergétique. Il s’inscrit dans le cadre d’une gouvernance partagée et d’une fiscalité environnementale.
Le troisième, dit «technologies vertes», s’appuie sur une forme de «consumérisme vert», avec une diminution de la consommation de viande plus faible et un cadre de régulation minimale pour les acteurs privés. Enfin, le dernier scénario, celui du «pari réparateur», préserve nos modes de vie, la consommation de masse, la mondialisation, et mise tous azimuts sur les avancées technologiques telles le captage et le stockage de CO2 dans l’air. Toutes ces options permettent d’atteindre la neutralité carbone, mais les risques et les «paris» afférents ne sont pas les mêmes.
Justement, l’impact de chaque scénario est plus finement analysé dans la nouvelle édition. Quelles conclusions en tirez-vous ?
Au-delà des récits, l’Ademe a réalisé des modélisations très poussées. La plus-value de la version 2024 est la mesure des impacts concrets de ces quatre récits sur l’artificialisation des sols, les besoins en matériaux au niveau national ou en empreinte ou encore la qualité de l’air, au-delà des seules émissions de gaz à effet de serre. «Transition(s) 2050» parle ainsi aussi bien d’alimentation, de biomasse que de voitures électriques. Nous avons également analysé les risques naturels, technologiques ou encore géopolitiques auxquels ces quatre scénarios sont soumis. Concrètement, pour fonctionner, le numéro 4 nécessite un doublement de l’exploitation du cuivre, de l’artificialisation des sols et des besoins en eau pour l’irrigation. Or, on a bien vu avec la guerre en Ukraine ou la crise du Covid-19 que la question de l’approvisionnement en matériaux est soumise à un fort risque géopolitique.
Quels scénarios sont les plus crédibles au regard de ces nouvelles données ?
Les scénarios les plus sobres (1 et 2) ont les impacts les plus faibles et sont soumis à moins de risques. Ils sont donc plus résilients. En revanche, le premier repose sur un pari social fort car il nécessite une mutation rapide de la société vers un monde beaucoup plus sobre. On ne parle pas juste d’éteindre la lumière en partant de chez soi, mais d’une sobriété structurelle, de l’aménagement du territoire à la production industrielle. Son acceptation sociale ne sera pas évidente. Regardez les réactions suscitées par notre campagne de publicité sur la sobriété en fin d’année dernière… [diffusée peu avant le Black Friday, celle-ci, qui incitait à freiner les fringales de consommation pour se tourner vers l’occasion, a provoqué l’ire des organisations patronales, des associations de commerçants et des filières concernée et a vu s’opposer les ministres de la Transition écologique et de l’Economie, Christophe Béchu et Bruno Le Maire, ndlr]. De même, le scénario 4 relève d’un pari technologique fortement incertain car, s’il permet d’atteindre la neutralité carbone, c’est uniquement grâce à des technologies énergivores, encore au stade de prototypes. Les scénarios 2 et 3 semblent donc les plus équilibrés et les plus accessibles.
La croissance économique du pays pâtira-t-elle de cette course à la neutralité carbone ?
Seul le scénario le plus sobre passe par un épisode de décroissance en début de période en raison d’une forte baisse de la consommation. Les bénéfices liés à l’isolation des logements et aux moindres importations d’énergie et de combustibles fossiles ne se font ressentir dans l’économie qu’après 2030. Dans tous les cas, nous mettons en avant la nécessité, pour le monde économique, de se projeter dans un monde où l’on sort, en partie, des modèles d’affaires en volume et où la valeur ajoutée d’une entreprise peut aussi se mesurer grâce aux services qu’elle rend ou à la qualité des produits vendus. On peut créer de la croissance tout en vendant moins de matière ou des produits plus durables.
Comment le gouvernement et les collectivités peuvent-ils se saisir de ces scénarios ?
Ce rapport éclaire tous les enjeux de la transition pour alimenter la SNBC 3, la future stratégie nationale bas carbone. Nous faisons face à de nouveaux enjeux : une accélération de la transition est nécessaire pour atteindre nos objectifs de 2030, il y a une volonté nouvelle de souveraineté industrielle et donc de réindustrialisation et des questions inédites surgissent sur l’hydrogène ou encore la décarbonation de l’aviation. Tout ça fait que les travaux de l’Etat sont complexes et chronophages. On ne peut pas simplement piocher les éléments qui nous conviennent dans tel ou tel scénario pour en créer un nouveau. Tout l’enjeu est de garder une cohérence globale. Nos quatre scénarios permettent ainsi d’éclairer ce débat sur des choix dont les conséquences dépassent le seul sujet de l’énergie. Le Secrétariat général à la planification écologique a notamment beaucoup utilisé nos travaux pour définir le plan jusque 2030 et au-delà. C’est aussi le cas de nombreuses collectivités.
#french#article copié en entier car réservé aux abonnés#climate emergency#france#climate change#ecology#french side of tumblr#upthebaguette#whatthefrance
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12.02.2024
Au moment où les armes sont langage d’amour,
Où les mastodontes de métal envahissent les âmes,
Quand le monde brûle d’une passion infernale.
À cet instant où l’impuissance de n’être qu’un inconnu dans un océan d’émotion devient fatale,
J’aurais vécu d’avoir connu ta peau.
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Annoncé au grand public en 2016, l’Icon of the Seas sera inauguré le 27 janvier 2024 à Miami pour une saison de croisières dans les Caraïbes. Ce gigantesque navire de Royal Caribbean International est le premier représentant de sa classe : la classe Icon. Long de 364 mètres et large de 64 mètres, cette ville flottante peut accueillir un maximum de 7600 passagers et un équipage de 2350 membres. Haut de 20 ponts, propulsé au Gaz Naturel Liquéfié (GNL), le bateau de croisière Icon of the Seas promet des croisières surprenantes à son bord
Le dernier navire de la compagnie Royal Caribbean a quitter son chantier naval en Finlande, après 900 jours de construction.
C’est un géant des mers qui a multiplié les controverses. Car à l’heure de l’urgence écologique, comment peut-on encore construire de tels mastodontes ? Près de 250.000 tonnes, sept piscines, six toboggans aquatiques et une quarantaine de restaurants et de bars, un immense dôme en verre surplombant la passerelle, une chute d’eau haute de 16 mètres...
Chilling in The Overlook on a sea
Spanning nearly 1,200 feet, the cruise ship has 20 decks, which makes the Icon of the Seas the world's largest cruise ship. It's a city at sea, accommodating up to 7,600 passengers in 2,805 staterooms and nearly 10,000 people, including the crew.
The icon of the sea's newest crew member this month is a six-month-old golden retriever named Rover.
City at sea
Son coût 1,8 milliard
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Ce soir-là, j'étais prêt pour notre rendez-vous habituel. J'avais entendu maintes fois qu'il ne fallait jamais passer en mode automatique tant que je n'étais pas près de ma voiture. Mais ce soir-là, une erreur s'est glissée !
Trois magnifiques sangliers sont apparus, le bruit les trahissant dans les bosquets. Je les ai repérés, ils m'ont regardé droit dans les yeux. Trois mastodontes pesant chacun 100 kg, avec leur pelage noir sur le dos. L'excitation montait en moi.
Malheureusement, le boîtier de mon appareil photo s'est coincé contre un arbre blanc. J'ai basculé en mode manuel, mais les clics incessants de la molette m'ont trahi. Ils semblaient me dire "au revoir mec, peut-être la prochaine fois". Oui, la nature ne nous offre pas toujours une seconde chance.
Malgré cette déception, il y a un point très positif : je suis sur la bonne voie... À suivre !
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42 St-Etienne le quartier de Montchovet avec de nouvelles video https://www.facebook.com/watch/?v=5656029074475535 , jadis cette cité moderne avait pour symbole la Muraille de Chine mastodonte de béton dynamitée le 27 mai 2000 , livrée en avril 1964 avec 526 logements HLM sur 15 allées, construite sur 4 blocs pour 270 metres de long du R+16 à R+9 une cité moderne a 1260 lgts HLM 7 barres A B C D E F G H du grand ensemble de Beaulieu l'1 des six 1er de France @ des Architectes MM GOUYON , HUR , CLEMENT , MAUHAUDIER Elle fut réhabilitée par Raymond Martin de 1985 a 1987 avec la suppression de 100 logements.. France : 800'000 chômeurs de 20 ans @ 42 st Etienne 23 avril 1981 Monchovet la Muraille de Chine en video ici sur ce lien https://www.rts.ch/.../13937390-france-800000-chomeurs-de... En pleine crise économique du début des années 1980, la France compte 1'700'000 chômeurs dont 800'000 jeunes. Trente-six ans après sa construction, la barre s'apprête à s'écrouler. Dès 8 heures du matin, le 27 mai 2000, deux cents membres des forces de l'ordre sont mobilisés aux abords de la Muraille de Chine. "Rocade fermée, quartier bouclé, filtrage serré", décrit le journaliste de France 3 Rhône-Alpes-Auvergne sur place. "Seuls les artificiers resteront au centre du dispositif pour établir le poste de tir". Plusieurs milliers de personnes se retrouvent massées sur une colline pour assister à cette démolition un véritable "événement pour la ville au delà-même du quartier". Ce Stéphanois, alors âgé de 20 ans, se rend avec des amis pour voir le foudroyage de la Muraille de Chine. "Elle représentait cet habitat des Trente glorieuses qui n'a pas fonctionné. C'est vraiment une énorme page qui se tournait pour la ville de Saint-Etienne trop connue pour ses nombreuses verrues". Alors que le maire de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a annoncé la destruction de la Muraille de Chine bâtie en 1961 dans le quartier Saint-Jacques, retour sur la démolition de ce qui fut la plus grande barre d'Europe. Le 27 mai 2000, Saint-Etienne foudroyait sa muraille de Chine. Un symbole de modernité dans les années 60 Situé au sud-est de la ville de Saint-Etienne, le quartier de Montchovet a abrité pendant trente-six ans le plus grand bâtiment d'habitation d'Europe. Surnommé la Muraille de Chine en raison de son gigantisme, il symbolise toute une époque et son histoire est indissociable de la politique du logement en France. Avec ses 275 mètres de long, ses 48 mètres de haut, ses dix-neuf étages et ses 450 logements,526 a l origine, la Muraille, inaugurée en avril 1964, abrite des appartements dotés de tout le confort moderne dans un quartier en pleine évolution. Le bâtiment imposant symbolise à l'époque une forme de modernité. Un symbole des difficultés économiques et sociales Saint-Etienne n'échappe pas à la crise économique, les industries locales sont en déclin et la démographie fléchit. Dans les années 70, la Muraille de Chine n'est plus habitée qu'à moitié et malgré plusieurs opérations de réhabilitation, de symbole de la modernité, la voilà qui cristallise les difficultés économiques et sociales. La population défavorisée se trouve concentrée en un seul lieu où chômage, délinquance et exclusion se côtoient. Un symbole qui disparaît en quelques secondes
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Les futurs propriétaires de ce mastodonte électrique devront être titulaires d'un permis C1
Après une attente de quatre ans, le tant attendu Cybertruck de Tesla est enfin prêt à entrer en production de masse, avec des livraisons prévues dans les prochaines semaines. Autant dire que le pick-up américain se fait attendre, au risque de se faire dépasser par ses rivaux, avec les Ford F-150 Lightning et autres Rivian R1T déjà commercialisés. Ce véhicule a présenté de nombreux défis…
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TAR - Lydia Tár, cheffe d’orchestre avant-gardiste à la tête de la Philharmonie de Berlin, est au sommet de sa carrière et de son art. On salue l'excellence de son parcours, le lancement de son livre approche et elle prépare un dernier concerto très attendu de la 5e Symphonie de Gustav Mahler. À la fois orfèvre et commandante, Lydia démontre avec flamboyance et érudition que la bonne musique peut être aussi « ouvragée qu'une cathédrale », détaillant ses recettes pour obtenir « un son redoutable » et exalter au mieux l'esprit conquérant des grands compositeurs. Mais, en l’espace de quelques semaines, sa vie va se désagréger d’une façon singulièrement actuelle.
Cinéaste de la déconstruction, Todd Field va imposer à cette histoire un tempo dévastateur, scalper l’image, défaire le prestige et l’excellence : il épingle les différents codes de la réussite pour mieux interroger le poids des références culturelles et la façon dont leurs influences parfois mastodontes induisent, imposent et servent à maintenir une vision du monde.
Tár se pose comme un film très « au courant » de l’actualité, actant les réalités du confinement, du digital et de la cancel culture. Il fait s’entrechoquer les époques, juxtaposant le privilège de déjeuner dans le même restaurant où dînèrent autrefois Beethoven et Napoléon à la fierté de rendre hommage, pour la journée internationale du droit des femmes, à une musicienne militante, martyre et oubliée.
En offrant à Cate Blanchett son plus grand rôle, Todd Field orchestre la confrontation sans merci de la tradition et du monde actuel : la réévaluation des repères culturels sonne comme le glas d’un jugement divin, faisant de la chute de Lydia Tár un crépuscule symphonique ultramoderne.
NOTE 12/20 - Film destiné à un public très particulier, très cinéphile, très intello et peut-être un peu prétentieux comme l’est ce long-métrage ambitieux mais difficile, exigeant, souvent prétentieux et hermétique, surtout au lors de sa première interminable heure.
Portée par une Cate Blanchett impérieuse, la descente aux enfers d’une cheffe d’orchestre adulée n’évite ni les clichés, ni les poncifs.
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Slate Deals et Standardisation du Cinéma Hollywoodien
Dans cet article je vous parlerais d’un phénomène de production cinématographique particulier, apparu en 2005 et toujours largement utilisés à Hollywood depuis.
Courant Juin 2005, le géant hollywoodien Warner Bros s’associe avec une toute jeune société de financement : Legendary Pictures. Cette société, reconnaissable par son logo au style celtique et son omniprésence dans les productions à grand budget, est une association entre plusieurs fonds d’investissements comme Bank Of America ou A.I.G. (American International Group). Un contrat passe alors entre les deux firmes, Legendary financera en partie une douzaine de films pour la Warner, contrat qui s’étendra à 25 films pour la société de production hollywoodienne. Cette collaboration fera renaître des firmes en déclin, aujourd’hui des mastodontes, comme Batman Begins (2005) qui rapportera 205 millions de dollars aux États-Unis et 167 millions de dollars à l’international, ou encore Superman Returns (2006) qui rapportera pour sa part 400 millions de dollars autour du monde. Ces essais permettent à la Warner de confirmer le bien fondé de cette collaboration, qui continuera dans le temps avec entre autre, la production de 300 (2006), The Dark Knight (2008), Watchmen (2009), Inception (2010), Le Choc des Titans (2010) mais encore les Very Bad Trip et ses suites.
Les productions hollywoodiennes dépassant de plus en plus la barre des 200 millions de dollars de coûts de production, ce type de financement au delà d’être pertinent pour Hollywood, devient nécessaire selon la ligne directrice que les productions se mettent à suivre. Ce partenariat avec Legendary Pictures permet à la Warner de profiter d’avantages non-négligeables. Pour reprendre Kimberly Owczarski, professeure assistante en Média Digitaux à l’Université Chrétienne du Texas, les avantages de ces Slates Deals sont une réduction des risques pour la Warner, ne misant pas tout leur argent dans des films à gros budgets, tout en étant capable de les produire et de maintenir les standards de distribution auxquels ils ont habitué leur public. "Les firmes choisissent les projets dans lesquels investir sur la base de formules historiques et les performances au box-office d’acteurs, de réalisateurs, de scénaristes et autres critères" explique Owczarski.
Après 2005, le mot est passé : c’est l’orgie. De plus en plus de producteurs se tournent vers ce profil de production en signant accords sur accords avec des banques et autres fonds d’investissements. L’avantage pour les producteurs ? Les accords sont signés pour plusieurs films, les productions sont acceptées par lots : un film d’horreur pour les adolescents, une comédie romantique pour les filles, et un film de super-héros pour toute la famille. Si un ou plusieurs films de la sélection obtient de moins bons rendements, les pertes seront amoindries par les budgets étalés sur une suite de films plutôt qu’une seule production risquée, ou seront rattrapées par l’excellent rendement d’une autre super production, ou par une suite de réussites moyennes. Là où l’échec d’un film au box office refroidissait les producteurs, avec ce genre de contrat plus rien ne peut arrêter Hollywood dans des productions toujours plus lisses, toujours moins intéressantes.
Quelles sont les conséquences de ces Slates Deals ? Pour commencer, ces contrats signent le début de la standardisation du cinéma. Il faut des films "surs", des films dépossédés de leurs âmes pour appâter les investisseurs, qu’ils soient garantit d’un retour sur investissement par des productions devant plaire à un large public. Prenons l’exemple du Spider-Man 3 (2007) de Sam Raimi, co-produit par Sony et Universal avec l’argent d’un Slate Deal ayant permit l’apparition de la trilogie Spiderman : le Gun Hill Road. À la suite d’un différend entre Raimi et les producteurs, les scénaristes se voient dans l’obligation de rajouter le personnage de Venom à l’intrigue du film. Le résultat est accablant : le personnage de Venom n’a rien à faire dans le film et des scènes doivent être retournées et le film remonté pour plaire aux investisseurs, faisant de ce dernier opus de la trilogie un film "Frankenstein", découpé et remodelé, brouillon et illogique par son scénario et sa mise en scène. Les films se doivent de plaire aux investisseurs et doivent surfer sur les tendances pour être financé, quitte à massacrer une oeuvre qui se transforme lentement en un produit.
L’autre soucis que pose ce type de productions est celui du gel des places à Hollywood pour les réalisateurs. Les investisseurs doivent être certains de la rentabilité du film qu’ils produisent, et préfèrent faire confiance aux têtes d’affiches qu’à des indépendants ou des petits jeunes tout droit sortis des écoles de cinéma. Nolan, Cameron et compagnie sont en permanence sollicités et font de l’ombre à une nouvelle génération de cinéastes créatifs, boudés par les producteurs. Plus le nom est connu, plus il continuera à se faire connaître ayant un profil rassurant aux yeux d’Hollywood.
Outre les conséquences matérielles, cette forme de production pose un problème plus philosophique au cinéma. Le cinéma arrête d’être un art pour lentement se décomposer en bien de consommation. Les bonnes idées sont scarifiées des scénarios, les choix audacieux de mise en scène sont rejetées au profit d’une réalisation sans saveur, servant le profit des investisseurs et la vente de produits dérivés ; l’évolution des productions Marvel en sont un bon exemple. Ces Slate Deals prostituent le cinéma, et le font devenir ce qu’il n’a jamais été : l’équivalent d’une canette de coca-cola. Les productions craignent les prises de risques et préfèrent remâcher des franchises fonctionnant déjà (le retour d’Indiana Jones en est un exemple), tout en jouant ouvertement sur la nostalgie maladive des spectateurs-consommateurs. Il est alors préférable de faire confiance à Lucasfilm pour gerber des galettes immondes comme la dernière trilogie Star-Wars, plutôt que de se tourner vers une nouvelle conception des Space Opéras. Ce qui intéresse les investisseurs, ce sont les rendements, pas l’originalité ni l’esthétique : plus c’est lisse, plus cela aura de chance de plaire à un large public, plus les films se vendrons et plus les fonds de pensions allouerons de nouveaux super-budgets aux studios. C’est un cercle plus que vicieux, verrouillant Hollywood dans une démarche toujours plus coûteuse, toujours plus grandiose mais encore moins vivante.
Désormais, Hollywood agit sur le cinéma comme l’industrie agro-alimentaire agit sur la production de tomates. Lentement, il va sélectionner des firmes colorées, qui correspondent le plus à l’image que tout le monde s’en fait, des tomates toujours plus rouges, toujours plus grosses, d’apparence nutritives, mais bourrées de pesticides et de stéroïdes. On nous fait bouffer de la merde, et l’on préférera de la merde bariolée, vomit et re-vomit des dizaines de fois, que des productions aux looks moins faciles d’accès mais à l’intelligence plus aiguisée.
Slates Deals et Standardisation du Cinéma Hollywoodien,
Vincent Hatem, 16/12/2022.
Sources :
- "Becoming Legendary: Slate Financing and Hollywood Studio Partnership in Contemporary Filmmaking", Kimberly Owczarski. https://cinema.usc.edu/archivedassets/32_2/6_Owczarski.pdf
- Marty, L. S. de. (2017, 18 décembre). Le Cinéma C’était Mieux Avant ? - PARTIE 1 [Vidéo]. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=p5VIeSvFctc&feature=youtu.be
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La Chine va rendre plus riche ce pays d’Afrique ; la 3e plus grande mine d’or mise en service
Le Ghana, pays d’Afrique, avec l’aide de la Chine consolide sa place de mastodonte dans le secteur de l’or grâce à l’inauguration de la 3e plus grande mine du pays. En effet, le pays d’Afrique de l’Ouest a réalisé cet exploit avec l’inauguration de la mine de Namdini ce 8 novembre 2024 par le président Nana Akufo-Addo. Une mine d’or aux promesses gargantuesques pour le Ghana et la Chine Opérée…
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JD Sports continue de progresser !
Le mastodonte Britannique a publié ses résultats intermédiaires, correspondant au premier semestre fiscal de 2025, et ce que l’on peut dire, c’est que le groupe JD Sports n’est pas à plaindre. Des bénéfices en hausse Le groupe JD annonce un chiffre d’affaires de 5 milliards de livres pour la période, une augmentation de 5.2% par rapport à l’an passé, malgré un climat économique plutôt…
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Plongée dans le monde des séries et films en ligne
De nos jours, les séries et les films en ligne occupent une place de plus en plus importante dans nos vies. Que ce soit sur nos ordinateurs, nos tablettes ou nos smartphones, les possibilités de visionner du contenu audiovisuel à la demande sont devenues quasi illimitées. Cette révolution numérique a profondément transformé nos habitudes de consommation, bousculant au passage les modèles traditionnels de la télévision et du cinéma.
Les plates-formes de streaming, telles que Netflix, Amazon Prime Video ou Disney+, ont littéralement pris d'assaut le marché, offrant un accès instantané à des catalogues impressionnants de séries et de films. Mais ce phénomène ne se limite pas seulement à ces grands acteurs mondiaux. De nombreuses autres initiatives, plus locales ou spécialisées, ont également vu le jour, enrichissant encore davantage l'offre disponible.
Découvrons ensemble les enjeux, les avantages et les défis de cette nouvelle ère des séries et films en ligne.
L'essor du streaming : une révolution des habitudes de consommation
Il n'y a pas si longtemps, regarder une série ou un film impliquait de se retrouver devant sa télévision, aux heures de diffusion déterminées par les chaînes. Ce modèle, dit de "télévision linéaire", a longtemps prévalu, laissant peu de place à la flexibilité et à l'individualisation des choix.
Avec l'arrivée du streaming, tout a changé. Les plates-formes de vidéo à la demande, accessibles depuis une multitude d'appareils connectés, ont permis aux utilisateurs de s'affranchir des contraintes horaires. Désormais, on peut visionner ce que l'on veut, quand on le veut, sans avoir à se soucier des grilles de programmation.
Cette liberté de choix et de visionnage a profondément modifié nos habitudes. Fini les soirées devant la télévision à attendre la diffusion de notre série préférée ! Aujourd'hui, on peut enchaîner les épisodes à notre rythme, voire même binge-watcher une saison entière en une seule session. Cette pratique, devenue courante, témoigne de l'engouement des spectateurs pour ce nouveau mode de consommation.
Mais le streaming ne se limite pas seulement aux séries. Les films, autrefois réservés aux salles de cinéma, sont également devenus accessibles en ligne. Les plates-formes proposent désormais des catalogues comprenant aussi bien des blockbusters récents que des classiques du septième art.
Cet accès facilité aux contenus audiovisuels a également eu un impact sur la façon dont nous découvrons de nouvelles œuvres. Autrefois, les choix étaient largement influencés par la programmation des chaînes ou les affiches des salles de cinéma. Aujourd'hui, les algorithmes des plates-formes de streaming jouent un rôle essentiel dans la recommandation de contenus, en fonction de nos habitudes de visionnage.
L'essor du streaming a donc profondément transformé nos habitudes de consommation, nous offrant une liberté et une flexibilité inédites dans notre manière de découvrir et de suivre les séries et les films.
L'explosion de l'offre : de la diversité à la surabondance
Avec l'arrivée du streaming, l'offre de contenus audiovisuels en ligne n'a cessé de s'élargir, offrant aux utilisateurs un choix toujours plus vaste et diversifié.
Autrefois, les chaînes de télévision et les salles de cinéma étaient les principaux vecteurs de diffusion des séries et des films. Mais le numérique a bouleversé cet équilibre, permettant à de nouveaux acteurs de s'imposer sur le marché.
Les grands géants du streaming, tels que Netflix, Amazon Prime Video ou Disney+, se sont rapidement imposés comme des acteurs incontournables, proposant des catalogues impressionnants de productions originales et de licences acquises auprès de studios. Mais au-delà de ces mastodontes, de nombreuses autres plates-formes, plus spécialisées ou locales, ont également vu le jour.
Que ce soit des services de streaming dédiés aux séries et films indépendants, des initiatives publiques visant à promouvoir la création locale, ou encore des offres thématiques comme le sport, la musique ou l'animation, les possibilités offertes aux utilisateurs ne cessent de s'enrichir.
Cette diversité des contenus a permis de mettre en lumière une multitude de productions, de genres et de styles différents, offrant aux spectateurs une liberté de choix sans précédent. Fini les contraintes des grilles de programmation ! Désormais, on peut explorer à loisir des œuvres du monde entier, des classiques aux créations les plus avant-gardistes.
Cependant, cette surabondance d'offres n'est pas sans poser quelques défis. Face à un catalogue quasi illimité, il peut parfois être difficile de s'y retrouver et de faire des choix éclairés. Les algorithmes de recommandation des plates-formes jouent alors un rôle essentiel pour guider les utilisateurs à travers cet océan de possibilités.
L'explosion de l'offre en ligne a donc permis une véritable démocratisation de l'accès aux contenus audiovisuels, offrant aux spectateurs une liberté et une diversité sans précédent. Mais cette abondance soulève également de nouveaux enjeux en termes de visibilité, de découvrabilité et de fidélisation des utilisateurs.
L'innovation au cœur du streaming : une expérience utilisateur toujours plus immersive
Au-delà de la simple mise à disposition de contenus, les plates-formes de streaming ont su s'imposer grâce à leur capacité constante à innover et à offrir une expérience utilisateur toujours plus immersive.
L'un des principaux atouts du streaming réside dans sa forte interactivité. Contrairement à la télévision traditionnelle, où le spectateur est cantonné à un rôle passif, les plates-formes en ligne encouragent une interaction active avec les contenus.
Cette interactivité se manifeste de diverses manières. Tout d'abord, les utilisateurs peuvent facilement naviguer à travers les catalogues, utiliser des moteurs de recherche performants et bénéficier de recommandations personnalisées grâce aux algorithmes des plates-formes.
Mais l'interactivité va encore plus loin. Certaines plates-formes proposent désormais des fonctionnalités permettant aux spectateurs de s'impliquer davantage dans l'expérience de visionnage. Par exemple, des options de choix interactifs dans certaines séries ou films, offrant la possibilité de prendre part aux décisions narratives.
Au-delà de l'interactivité, les innovations technologiques ont également permis d'améliorer considérablement la qualité de l'expérience utilisateur. La haute définition, le son surround, les options de sous-titrage et de doublage multi-langues sont désormais monnaie courante sur la plupart des plates-formes.
Certaines initiatives encore plus ambitieuses, comme la réalité virtuelle ou l'ultra haute définition, permettent même d'immerger les spectateurs dans des expériences audiovisuelles encore plus immersives et immersantes.
Mais l'innovation ne se limite pas seulement aux fonctionnalités techniques. Les plates-formes de streaming rivalisent également d'ingéniosité dans la conception de leurs interfaces et de leurs systèmes de navigation. L'objectif ? Offrir une expérience fluide, intuitive et agréable, facilitant la découverte et le visionnage des contenus.
Ainsi, l'innovation technologique et l'amélioration constante de l'expérience utilisateur sont devenues des enjeux cruciaux pour les plates-formes de streaming, leur permettant de se démarquer et de fidéliser toujours davantage leurs abonnés.
L'impact du streaming sur l'industrie audiovisuelle : bouleversements et nouvelles opportunités
L'essor du streaming a profondément transformé l'industrie audiovisuelle, remettant en question les modèles traditionnels de production, de distribution et de consommation des séries et des films.
Tout d'abord, les plates-formes de streaming ont bouleversé le processus de production. Autrefois, les productions audiovisuelles étaient largement dépendantes des financements et des décisions des chaînes de télévision ou des studios de cinéma. Mais avec l'arrivée du streaming, de nouveaux acteurs, disposant de moyens financiers conséquents, se sont imposés sur le marché.
Netflix, Amazon Prime Video ou Disney+ ont ainsi pu investir massivement dans la création de contenus originaux, offrant aux réalisateurs, aux scénaristes et aux acteurs de nouvelles perspectives de collaborations et de financements. Cette nouvelle donne a permis l'émergence de productions ambitieuses, à fort budget, mais aussi de projets plus confidentiels et audacieux, bénéficiant d'une plus grande liberté créative.
Au-delà de la production, le streaming a également transformé les modes de distribution. Fini les sorties en salles de cinéma suivies d'une diffusion télévision, les plates-formes en ligne permettent désormais une mise en ligne quasi instantanée des contenus, accessible partout et à tout moment.
Cette nouvelle approche a profondément impacté les habitudes des spectateurs, mais également les modèles économiques de l'industrie. Si les salles de cinéma peinent à maintenir leur fréquentation, les plates-formes de streaming, elles, connaissent un véritable essor, attirant toujours plus d'abonnés.
Mais cette révolution numérique n'a pas seulement bouleversé les processus de production et de distribution. Elle a également remis en question la notion même de "succès" dans l'industrie audiovisuelle.
Autrefois, le box-office ou les parts d'audience télévision étaient les principaux indicateurs de réussite d'une œuvre. Désormais, les plates-formes de streaming se basent davantage sur des métriques de visionnage, d'engagement et de fidélisation de leurs abonnés pour évaluer le succès de leurs contenus.
Cette évolution a ouvert la voie à de nouvelles opportunités pour les créateurs. Certaines productions, jugées trop "de niche" pour les canaux traditionnels, trouvent désormais leur public sur les plates-formes en ligne, bénéficiant d'une meilleure visibilité et d'une plus grande liberté créative.
Ainsi, l'essor du streaming a profondément transformé l'industrie audiovisuelle, offrant de nouvelles perspectives, mais également de nouveaux défis à relever pour l'ensemble des acteurs du secteur.
Les enjeux éthiques et réglementaires du streaming
Si le streaming a révolutionné la manière dont nous consommons les séries et les films, il soulève également des questions d'ordre éthique et réglementaire.
Tout d'abord, la question de la protection des données personnelles et de la vie privée des utilisateurs est au cœur des préoccupations. Les plates-formes de streaming collectent une quantité importante d'informations sur les habitudes de visionnage, les préférences et les interactions des abonnés. L'utilisation et la sécurité de ces données sont donc des enjeux majeurs, notamment dans un contexte de réglementations toujours plus strictes en matière de protection de la vie privée.
Un autre défi éthique réside dans la représentation et la diversité au sein des contenus proposés sur les plates-formes de streaming. Certains acteurs sont régulièrement critiqués pour le manque de représentation de certaines communautés ou pour des stéréotypes persistants. La prise en compte de ces enjeux de représentation est devenue un impératif pour les plates-formes, qui doivent s'engager dans une démarche d'inclusivité et de sensibilisation.
Par ailleurs, la question de la régulation du secteur du streaming soulève également des interrogations. Face à la puissance de ces acteurs mondiaux, les autorités nationales et européennes s'efforcent de mettre en place un cadre réglementaire adapté, visant à garantir une concurrence saine, à protéger les droits d'auteur et à promouvoir la diversité culturelle.
Des débats ont notamment lieu sur la juste rémunération des créateurs, la contribution des plates-formes au financement de la production locale ou encore la lutte contre les contenus illégaux. Ces enjeux réglementaires sont cruciaux pour assurer un développement équitable et durable du secteur.
Enfin, la question de l'accessibilité et de l'inclusion des personnes en situation de handicap est également au cœur des préoccupations. Les plates-formes de streaming doivent s'engager dans une démarche volontariste pour proposer des fonctionnalités adaptées, telles que les sous-titres, la description audio ou la traduction en langue des signes.
Ainsi, le streaming, bien qu'il ait révolutionné notre rapport aux séries et aux films, doit également relever des défis éthiques et réglementaires essentiels pour garantir un développement responsable et durable de ce secteur en pleine expansion.
Conclusion : vers un avenir toujours plus connecté et personnalisé
L'essor du streaming a profondément transformé notre manière de consommer les séries et les films. Liberté de choix, flexibilité de visionnage, diversité des contenus, innovations technologiques : les plates-formes en ligne ont su s'imposer comme un nouveau modèle dominant, bousculant les habitudes et les codes de l'industrie audiovisuelle.
Mais cette révolution numérique ne s'arrête pas là. Les innovations technologiques, l'intelligence artificielle et l'Internet des objets ouvrent la voie à de nouvelles perspectives, toujours plus connectées et personnalisées.
Imaginez une expérience de visionnage où vos séries et films seraient recommandés en fonction de vos émotions et de votre état d'esprit du moment. Ou encore une interface holographique vous permettant de vous immerger totalement dans l'univers de vos œuvres préférées. Ces scénarios, qui peuvent sembler futuristes, sont en réalité de plus en plus envisageables.
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