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My Sole Desire (Lucie Borleteau, 2022)
#zita hanrot#louise chevillotte#À mon seul désir#lucie borleteau#female filmmakers#female directors#female directed films#women in film#female screenwriters#french cinema#lgbt characters#lgbt#lesbian
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Hello there, Lady!
Been a loooonngg time since I last posted any updates about my "Lady and the Unicorn" project. This photo above is from March, should be from the last time I did any work on it... until this weekend! I got to a point where I started questioning why I'm doing this (basically the curse of any big project), then followed the advice of fellow x-stitchers. I worked on other small projects, and eventually found the will & courage to re-visit with this one.
It has been a very rainy weekend in New England, was giving me so much fall vibes. Lit up a nice scented candle, and spent the saturday working on my project.
Then on sunday... received the devastating news that we said "adieu" to Jane Birkin. I was deeply sad and just needed some time to be by myself. I turned on the movie "Slogan" on YouTube as my background sound while working. For those of you who don't know, it is the movie where she met Serge Gainsbourg, and the rest is history...
Omg, there are more cool gifs from the movie!!! Of course, how can we forget the "closet door dance"?
"Tu m'resembles des vacances" (you remind me of vacation)
The crazy drive down the Champs-Elysées...
And I don't care how unattractive his looks are... If a guy admiringly watches you as you're eating, like so 👇, you fcking fall in love with him!
Anyways, back to the topic! I spent the day working on my embroidery and pretty darn proud of my progress. Looking good so far, can't wait to finish the rest of this page!
#lady and the unicorn#ladyandtheunicornproject#à mon seul désir#slogan#slogan the movie#1960s#1960s movies#jane b#adieu jane b.#jane birkin#serge gainsbourg
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Film Journal
"My Sole Desire" by Lucie Borleteau
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PORTIONS OF ME.
deseja-se obter uma fração adicional dessa emoção, alegando que é o único requisito imperativo. permitiu-se que experimentasse brevemente, e agora almeja-se uma ampliação dessa experiência de minha parte. necessita-se disseminar tal sentimento, à medida que a luminosidade se desvanece, absorvendo integralmente o que estou oferecendo. será isso satisfatório nesta instância? anseia pela totalidade do meu afeto, desejando-o de uma só vez, contudo, tal demanda se revela excessiva? reconheço que posso representar um desafio substancial; pretendo figurar nos recônditos da escuridão. aspiro testemunhar sua capacidade de suportar quando toca meu coração dilacerado. almeja a totalidade do meu afeto, correto? deseja-o em sua totalidade instantaneamente, no entanto, tal requisição pode ser excessiva? prossiga em doar meu amor até que não subsista mais nada; a noite é jovem e minha disposição ainda não se exauriu. outorgue-me a prerrogativa de incitar-lhe o pesar, meu querido. estou fadado a conduzi-lo ao declínio. ansiando pela totalidade da execrada torta, neste momento, entretanto, apenas degustou uma fração. implorou por fragmentos. porções ínfimas da minha essência. 𝒹.
#continuez à donner de l'amour jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.#accordez-moi la prérogative d'attiser son chagrin.#j'aspire à l'intégralité#mais seule une fraction a été goûtée.#soyez témoin de ma capacité à supporter votre cœur déchiré.#la nuit est jeune et mon énergie est inépuisable.#fragments peu profonds.#mon dessein est de le conduire à sa perte.#lamentation.#désir.
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saga: Soumission & Domination 384
Fin de séjour aux USA
J'apprends le fin mot de la prestation spéciale par Ric et Jona. Côté tarif, effectivement mes Escorts n'ont pas été lésés.
Par les supérieurs de Jona, je suis avisé qu'ils ont donné aussi toute satisfaction. Ils me demandent de prioriser ce client auprès de mes deux escorts. Ils sont gentils mais c'est une entreprise commerciale que je gère ! Nous arrivons à un compromis où, si mes collaborateurs sont en contrat, ils prendront en charge le dédit, Quel que soit le montant.
Avant de quitter mes trois Navy-Seal, je les invites à venir en France. Ils seraient heureux de revoir Jona et François mais je sens un certain blocage. J'ajoute que quand j'invite, je prends en charge les frais inhérents aux déplacements et là ils sont totalement OK, Ils sont très curieux de voir ma " bande " de mecs à l'oeuvre au combat rapproché.
Pour le reste, mes nouveaux potes de Berkeley, j'organise une virée au grand Canyon avec descente en rafting d'une petite partie du Colorado. Nous remplissons deux gros rafts opposant les nageurs aux combattants. J'hésite, mais finis chez les nageurs. Bon choix puisque parmi eux s'en trouve deux qui ont déjà pratiqué ce sport. Nous finissons premier au campement intermédiaire, mais d'une très courte tête après plusieurs heures de course acharnée.
Deux autres rafts de même taille nous accompagnaient, Occupés l'un par une bande de potes Newyorkais, l'autre par des couples, qui, entre eux ne se connaissaient pas d'avance. Les Newyorkers ont essayés d'entrer dans notre compétition interne mais ont vite renoncé au vu de notre rivalité sportive.
Au campement, ils nous félicitent et on discute tous ensemble. Les couples un peu plus âgés que nous sont dans leur coin. Nous ne nous gênons pas pour nous chauffer entre nous alors que, les tentes montées, nous nous changeons pour la soirée. Si les couples continuent à vivre de leur côté, les gars de la cote Est se font prendre à partie.
Ok ils sont tous moins baraqués que nous, quoique certains puissent rivaliser quand même, mais la plupart pourraient bien finir entre nos cuisses, ils sont suffisamment mignons pour ça ! Ils ne mettent pas longtemps à nous découvrir tous gays puisque nos bisous sont réalisés en mode frenchkiss.
Ils ne sont pas choqués et je vois même certains regards qui s'appesantissent sur nos plastiques. Après nos bains de détente et propreté dans l'anse calme du Colorado, comme par hasard ils se fixent surtout sur celles modelées par nos maillots de bains (tous nous avions opté pour des boxers ou trunks bien moulants alors qu'eux étaient en short de surf).
Diner autour du feu de bois et premiers rapprochements entre les deux côtes américaines. J'ai repéré un des mecs, le plus jeune ou du moins physiquement il le parait. Dans les 1m75 musclé type coureur de fond plutôt que gymnaste, châtain clair, ses yeux légèrement en amande trahissent un métissage asiatique mais pas de première génération. Je fais avec lui mon " touriste Français ". Dan et moi discutons pas mal avec lui et deux de ses potes alors que mes amis ont intégré le reste de son groupe. Quand il est question de se coucher, j'observe un petit mélange des groupes (environ la moitié des Newyorkais se " trompe " de tentes).
Moi j'ai réussi à intéresser suffisamment ma proie pour qu'elle se laisse tenter par l'expérience. Au départ il est gêné qu'on ne soit pas tous les deux seuls. Mais les bruits que font nos colocataires l'excitent aussi et j'arrive à passer du simple frenchkiss à pareil mais avec les mains dans nos slips respectifs. Il bande dur ce petit salaud, dans les 18x4/5. Quand il prend mes 20x5, je le sens étonné. Je ne peux m'empêcher de lui glisser dans l'oreille qu'ils sont tous pour lui. Je le sens frissonner entre mes bras, peur ou désir ? Mes mains passent de sa queue à ses fesses. Tout petit cul rond. J'avais bien deviné que son longboard flottant cachait une merveille. Mes doigts glissent entre ses fesses et je titille sa rondelle. Il ne débande pas, bon signe. Ma bouche revient couvrir la sienne l'empêchant s'il l'avait désiré de protester contre cette intrusion. Lentement je lui masse la rondelle et parvient à enfoncer un majeur. J'étouffe son petit cri avec ma langue, il bande toujours. Moi aussi et j'ai vraiment envie de me le faire. Il le sent car il écarte sa bouche pour me dire qu'il est vierge. Je le rassure d'un " t'inquiète tu vas aimer ". À nos côté Dan est déjà dans un des nageurs de notre groupe et, bien que discrets tous les deux, nous entendons nettement les " trop bon ton cul " et les vas-y défonce moi " qui lui répondent. Je profite de notre différence de gabarit pour le retourner face contre notre matelas et dans le même mouvement plonger mon nez entre ses fesses afin de lui bouffer l'oignon.
C'est sûr, il ne connaissait pas cette pratique. Surpris, quand ma langue se pose sur le plissé délicat, il fond et je l'ai à ma merci. Je me place sur le dos, le bascule en 69 au-dessus de moi et continue ma préparation. Il a devant les yeux mes 20cm turgescents qui appellent sa bouche. Je ne le vois pas mais je sens son souffle se rapprocher de mon gland. Au bon moment, ma main posée sur sa nuque le pousse en avant et mon gland pénètre sa bouche. Reflexe, ses lèvres se referment dessus. Là, c'est lui qui me procure un frisson. Du coin de l'oeil j'aperçois Dans qui lui mime de me pomper. Je retourne à ma " préparation " et sens que mon petit puceau s'enhardi. Je ne parle pas de gorge profonde mais il met du coeur à l'ouvrage.
J'arrive à lui mettre mes deux majeurs sans rejet de sa part. Ça me fait raidir encore plus, l'idée que bientôt je vais le défoncer.
Je le soulève à bout de bras, lui fais faire demi-tour et l'assois sur mes abdos. Mon gland se pose direct au bas de sa colonne vertébrale. Je l'attrape par le cou et approche son visage pour qu'on se roule un patin. Là, c'est sa langue qui cherche la mienne ! Discrètement je me kpote et pose mon gland contre sa rondelle en effectuant quelques rotations et levées de bassin. Mon gland lui travaille le sphincter et quand je le sens s'ouvrir, je lui glisse à l'oreille de gérer sa descente.
Il se redresse sur ses bras sans que ses yeux quittent les miens. Je sens doucement une bonne chaleur recouvrir mon sexe. Il recule vers mes cuisses jusqu'à ce que ses petites fesses les collent (mes cuisses !). Pour un puceau il en voulait le petit !! Il reste sans bouger le temps de s'habituer à l'envahissement de son petit cul. Je roule du bassin pour lui signifier de mettre un peu de mouvement entre nous. Il me chevauche comme un bon petit cavalier, au pas puis avec un petit trot soutenu, il rode sa rondelle vierge sur mes 20cm d'acier. Je devine dans la pénombre ses yeux fermés. A l'écoute de son corps, je le vois sourire. Moi j'adore sa rondelle ferme. De temps en temps une crispation vient m'étrangler la queue, entrainant un brusque arrêt de la défonce, mais ajoutant encore aux sensations perçues des deux côtés.
Dan et son partenaire (un autre copain de Berkeley) nous rejoignent et s'occupent de mon petit Newyorkais. Sollicité par nos trois bouches, occupé par ma queue et en contact avec celles de mes deux potes, le petit jeune ne sait plus où il habite et il se prend un pied d'enfer. Je reçois de son sperme jusque dans les cheveux. Mes deux collègues giclant les leurs sur mon " étui pénien " qui, hyper contracté, provoque ma propre jouissance. Ils retournent sur leur matelas alors que je garde mon partenaire sur moi. Ma queue sort avant de complètement débander et je récupère discrètement ma kpote pleine. Il s'endort sur moi et je m'endors à mon tour.
Au matin je suis toujours son matelas ! Ma queue se réveille mais j'entends les bruits du campement, pas le temps ! Je m'étire et ce faisant réveille mon petit américain.
Il réalise soudain qu'il a passé la nuit sur moi. Rires dans la tente quand il sursaute, glisse de moi et s'excuse de tomber sur Dan. Je lui fais un petit bisou sur les lèvres et une tape sur les fesses. Nous sautons dans nos maillots de bain et course jusqu'au Colorado où un bain nous permet de perdre les effluves de la nuit passée. Je m'aperçois qu'on est pas les seuls. Mon petit mec se fait charrier par ses potes. Mais il a du répondant et les rires sont bon-enfant.
Petit déjeuner substantiel et on attaque la seconde partie de notre petit raid. Là, c'est l'embarcation des adeptes des sports de combat qui gagne. Ils ont pu profiter d'une erreur tactique qui nous a fait perdre la tête que nous avions depuis le départ.
Je profite du retour à la base en car pour récupérer les coordonnées de mon partenaire de la nuit et m'organiser une pause à New York pendant mon voyage de retour.
Départ de San Francisco :
Un peu plus de 6 mois en immersion totale, ça forge des amitiés. Tous mes nouveaux potes nageurs comme combattants ont mes coordonnées et savent qu'ils peuvent passer me voir en France.
Bien évidemment c'est encore plus le cas pour Tyler et Dan. En ce qui concerne Duke (le petit frère de Dan été grand ami de ma triplette), je lui confirme une invitation permanente à venir en France retrouver son trio d'amis. Que ce soit pour les vacances ou même un grand WE, il sait que ma porte lui est grande ouverte.
Grandes embrassades à l'aéroport d'où je pars pour New York. Je ne connais pas la ville et en plus Bobby m'a promis de me faire visiter rapidement.
A LaGuardia il m'attend. Je lui roule un patin.
De New York je ne connaitrais finalement que l'intérieur de son appartement où j'aurais passé deux jours à le baiser par tous les trous et dans toutes les positions que je connaisse. J'ai retrouvé ce petit cul rond et blanc d'absence de soleil et surtout la rondelle qu'il cache en son centre et qui attire ma queue sans arrêt ! Les trois pièces de son appartement, sa cuisine et sa salle de bain, la table basse et le canapé du salon, le plan de travail de la cuisine et celui du lavabo, la douche aussi où je l'ai encore enculé alors qu'on retirait sous les jets d'eau de la colonne de jets le sperme collé de notre dernière baise, je crois bien qu'à part la cuvette des toilettes, tout ce qui pouvait soutenir un corps a été utilisé.
Nous nous sommes même fait le jeune livreur de Pizza, un latino basané monté comme un âne, qu'il n'a pas fallu beaucoup poussé quand on lui a ouvert quasiment nus. C'est peut-être aussi parce que pendant que bobby le faisait entrer, j'étais collé à son cul et que je lui léchais l'oreille ! Je me souviens lui avoir proposé le petit cul de mon hôte comme pourboire supplémentaire, argumentant du fait que c'était une bonne chaudasse et que malgré mes grandes capacités je n'arrivais pas à le rassasier.
Quand son chino est tombé à ses pieds, on a pu voir une vraie grosse barre déformer son boxer. Bobby s'est jeté à ses genoux et directement lui a arraché ce dernier rempart. Dans le même mouvement il a embouché le gland le faisant glisser jusque dans sa gorge, compétence que j'avais réussie à lui inculquer récemment. Il s'est quand même étranglé, le livreur étant plus puissamment équipé que moi.
Alors qu'il se faisait pomper, il a téléphoné pour prévenir qu'il serait indisponible aux livraisons pendant quelques heures. J'ai aimé cette réorganisation de son emploi du temps.
Il est resté 2h30 avec nous. Kpoté il m'a aidé à rassasier le cul de Bobby, plus petit que nous mais plus costaud que Bobby, il s'est permis lui aussi des portés et des positions de sodo musclées. Bobby s'est fait plaisir avec une dans le cul et une dans la gorge, mais nous n'avons pu aller jusqu'à la double sodo. Malgré son envie, il n'avait pas rebaiser avec un mec depuis son dépucelage sur les rives du Colorado. Je crois bien qu'avant de partir, le latino lui a laissé son n° de portable. Pour qu'il n'ait pas à pâtir de son interruption dans sa journée de travail, je lui ai glissé dans les 200$ dans sa poche de Jeans.
Bobby me raccompagne à l'aéroport, cette fois JFK et retour en France.
Jardinier
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Southern California
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Les habitudes qui rendent ma vie un peu plus douce et heureuse en tant que personne fluctuante et dépressive : · Lire. Pas forcément beaucoup, mais régulièrement. Le lecture me force à me concentrer, à mobiliser mon attention, à me poser. C'est une forme de méditation active. Et puis surtout c'est l'une de mes passions, ça m'apporte beaucoup de joie.
· Chronométrer les moments importants pour moi, ceux que j'ai du mal à m'accorder, comme la lecture, pour m'obliger à m'offrir ce temps. Souvent, je n'ose pas commencer une activité parce que j'ai peur de ne pas être productive, mais visualiser le temps exact me fait relativiser : 30 minutes dans une journée, c'est rien du tout. Lancer le chronomètre me donne aussi une impulsion d'action et me permet de sortir de la paralysie.
· Marcher plus. L'objectif c'est 10 000 pas mais je n'y arrive pas toujours. C'est pas grave. Souvent je rentre du travail à pied, ça me prend seulement 15 minutes de plus que le bus. J'en profite pour écouter un épisode de podcast, ce que j'ai rarement le temps de faire. Marcher me permet d'être dehors, de prendre l'air, d'être seule et de ne pas hurler intérieurement sur tous les gens du bus (ou si je suis à vélo, sur les autres cyclistes ou les automobilistes), donc ça me repose émotionnellement. Je suis extrêmement sensible aux gens et je me prends toujours toutes leurs énergies négatives en pleine tête (parce que malheureusement c'est rare les scènes de bonheur dans le bus donc je reçois peu d'énergies positives).
· Écrire : tout et n'importe quoi. Des pensées. Des histoires. Des poèmes. Des lettres. Des billets sur Tumblr.
· Dormir assez et boire assez : ça je n'y arrive pas vraiment mais pour l'instant je ne me blâme pas. Le reste est déjà bien.
· Détendre mon corps. Je fais du bruxisme et ça crée des tensions dans ma nuque, mes épaules, mon crâne et évidemment mon visage. C'est super douloureux. J'essaie d'être attentive à mes sensations physiques, de me relâcher, de faire des auto-massages. J'essaie aussi de sourire quand j'y pense et c'est assez magique, ça déclenche tout de suite une mini joie intérieure, je suis tout à coup reconnaissante d'être en vie. Ne fonctionne pas avec les sourires forcés.
· Ne pas me disperser. Ne pas me lancer dans un millier d'activités. Me rappeler régulièrement qui je suis et ce que j'aime pour ne pas me perdre, c'est-à-dire : lire et écrire, être au calme, marcher dans la forêt, être avec mes amies proches, bouger librement mon corps. Écrire ces désirs et ces objectifs régulièrement pour ne pas les oublier. J'ai écrit mes résolutions 2025 à peu près 5 fois depuis fin décembre mais la répétition me permet de garder mes projets en tête. Eh oui, certaines personnes sont si déconnectées d'elles-mêmes que se rappeler ses propres désirs est laborieux.
· Accepter mes différences et mes étrangetés qui ne sont des différences et des étrangetés que si je ne les assume pas. Ma différence en elle-même n'est pas douloureuse. Ce sont le rejet, le mépris et les discours d'exclusion des autres qui font mal.
· Accepter d'avoir une personnalité contrastée, comme beaucoup de personnes. Nous ne sommes pas des archétypes, nous ne sommes pas des stéréotypes, nous ne sommes pas des personnages de fiction. Par exemple la société oppose depuis toujours la figure de la sainte et celle de la salope, la deuxième étant très souvent réprimée socialement. Mais l'identité n'est pas binaire. Vouloir être une sainte le lundi et une salope le mardi ne signifie pas qu'on est hystérique, instable ou malade. Je ne suis pas linéaire, j'ai des désirs et je suis vivante. Je serai sage et docile quand je serai morte.
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SET FOURTEEN - ROUND ONE - MATCH FIVE
"Noonday Heat" (1903 - Henry Scott Tuke) / "La Dame à la licorne (The Lady and the Unicorn)" (c. 1500)
NOONDAY HEAT: I just love it because... the sort of subtextual queerness of it, or at least boyish love, whether platonic or romantic or sexual. The quiet intimacy of a good day with another boy in that so-often awkward stage of adolescence but it's not awkward here in this moment. It can't be. When you're faced with such a true call to love another sort-of-boy, sort-of-man as a sort-of-boy, sort-of-man, it can't be. (@skamortuus)
LA DAME À LA LICORNE (THE LADY AND THE UNICORN): You are in the Musée de Cluny. There is a room, separated, and dark, but people walk in and out so it is not a closed room. It must be investigated. You walk in. The lights are dim, but not dim enough to hide the huge panels of fabric facing you, and your eyes adjust anyway. Each is over ten feet tall and most are wider. A semi-circle of reds and blues. They are labelled with the five senses, and so too the tapestries portray them. Touch; a young lady holds a pennant and gently cups the unicorn's horn. Taste, Smell, Hearing. Sight, the lady holds a mirror to show the unicorn itself, with one hand on the unicorn's neck. They are a semi-circle, facing the last one. À Mon Seul Désir.
The unicorn and the lion hold the tent flaps, while the lady holds her necklace. And you are left to wonder. What about the necklace is her sole desire? But then, maybe you're not THAT fluent in french and that's not what it actually means. Is desire a sixth sense perhaps?
And you're also struck with the memory of the opening of the Last Unicorn. These aren't those tapestries, of course, but the riot of flowers and the docile unicorn interacting with the young lady reminds you anyway.
The rest of the museum calls you away, finally, but the ivory statuettes do not stop you from thinking about weavers on looms, six hundred years ago, weaving flowers and unicorns. (@kaerran)
(”Noonday Heat” is an oil on canvas painting by Henry Scott Tuke. It measures 91 cm (35.8 in) by 143 cm (56.2 in) and is located in the Falmouth Art Gallery in Cornwall. Another version of this painting has both the figures naked; Tuke was known for painting nude boys and men and his work remains popular among openly gay artists.
"The Lady and the Unicorn" tapestries were woven in Flanders out of wool and silk. The six pieces range from 3.10 m × 3.30 m (10.2 ft × 10.8 ft) to 3.80 m × 4.64 m (12.5 ft × 15.2 ft). The tapestry portrayed above is of the "À mon seul désir" tapestry, the other five being themed on the five senses. They are exhibited in a purpose-made room in the Musée de Cluny.)
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Unfinished Painting stitched by jlosayhello.
An alternative way to finish a project… About 2 days ago I have shared my progress on "Lady and the Unicorn - à mon seul désir" scene here and asked for suggestions to decide whether it's worth to keep going (because my 60 page pattern turned out to be a pattern mill product, see link for the post here). Since it took me about a year to come this far (a little shy of 1.5 pages) and spent my life savings on the supplies, I still wanted to honor my effort and turned it into a conversation piece with a fitting quote from Gaius Plinius Caecilius Secundus (a smart guy who lived in Ancient Roman times). I'm actually quite happy about how it turned out!!! 😎 (The pattern for the initial project is purchased from cross-stitch beauty art shop on etsy, the alphabet fonts are from alphabets au point de croix book)
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Je ne suis ni triste ni heureuse,
Mon cœur est en automne et la lune en chantier.
La pluie sur le goudron est un cimetière d’un souvenir impossible à détruire
Peu importe, tant qu’il me reste le ciel et ma part d’ombre
Et mes étoiles s’éteignent une à une
Dans le silence, j’entends les feuilles mourir
Chaque souffle de vent emporte une chanson oubliée
Je marche seule, à l’ombre de mon propre désir d'exister
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NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers.
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort. Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui.
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante.
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
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À chaque seconde, je brûle de tout mon être
L'amour est à présent, mon seul maître.
Je sens mon Coeur brûlant, prêt à exploser
Je ne peux plus m'échapper,
Mais pourquoi résister, vaut mieux céder.
C'est tellement stupide de décliner.
Mon coeur est tellement brûlant,
Cela veut-il sans doute dire, que l'amour est un titan.
À croire que l'amour est un dieu vivant,
Puisque je me plie à sa volonté,
D'ailleurs comment puis-je dire non, à sa beauté.
Mais grâce à lui, je peux te dire que je t'aime,
Son fluide flamboyant circule dans mes veines.
Tu es tout ce que je souhaitais,
Je loue l'amour, tu es mon rêve le plus fou,
À présent, mon cher, je sens tes doigts,
Caresser ma peau qui ne connaissait pas l'émoi.
Tes lèvres sur les miennes, quelle merveille!
Tes paroles poétiques sont égales au miel,
Ton regard et ton sourire stimulent mon désir!
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Bonjour y'all!! I worked on another project this weekend. I always wanted to try my hand for improvising. Took me about 5-6 hrs to finish it but I think it turned out alright for my first try. This is a gift for a baby's nursery:
I was gonna do backstitching too, but it didn't take me too long to realize that I absolutely suck at it! 😀 Well, I didn't want to ruin the piece so decided to leave it as is. Lesson learnt, need to practice backstitching 🤓
Annnddd here's the progress from the Lady and the Unicorn project for this week:
#lady and the unicorn#lady and the unicorn project#ladyandtheunicornproject#à mon seul désir#insane craft projects#cross stitch#xstitch
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À Mon Seul Désir
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Lors de ma première relation j'ai pensé -à tort avec du recul- que l'amour c'était la démesure. Que la passion, l'intérêt, l'appréciation, l'envie, les sentiments ne pouvaient exister que par le prisme de l'immodération. Je devais avoir mal au ventre d'amour, la gorge nouée à l'idée incessante de perdre l'objet de mon désir. Que si je n'étais pas amoureuse à m'en rendre malade c'est qu'alors je ne l'étais pas. Ça m'a poursuivie longtemps et ça m'a même peut-être gâché des occasions. J'ai cru qu'il fallait que je sois à bout de souffle. Que je me sente sur le file pour ressentir vraiment. Je me suis épuisée à aimer, c'était pas trop, on aime jamais trop, c'était mal, je ne comprenais pas où mettre le surplus. C'était comme nager à contre courant, possible mais pas durable. Aujourd'hui, je suis plus nuancée. Je ne sais pas si je suis amoureuse de mon copain actuel, ce qui peut biaiser mon propos, mais je ne ressens pas cette outrance. Cette urgence d'aimer et d'être submergée par tout cet amour. C'est tellement plus apaisant quand c'est calme. Quand on se rend compte que c'est là mais que ce n'est pas douloureux. Que la douleur ne fait pas vraiment partie de l'amour. Que pour aimer, il ne faut pas impérativement souffrir. J'ai cru qu'il le fallait car c'était mon seul moyen de vérifier l'authenticité de mes sentiments. Le fait est que maintenant, je connais les enjeux mais je sais que c'est plus sain et positif pour moi si je n'aime qu'à hauteur de ce que je peux aimer. En effet, ça peut faire peur. Qu'est ce qui me permet de dire que j'aime si je ne ressens pas les extrêmes ? Comment graduer des émotions qui ne me compressent pas le coeur ? Sont-elles là s'ils sont à peine audible ? Le silence est la paix ou l'absence ? Le silence prend toutes les voix, tous les tons, exprime toutes les émotions, c'est le contexte qui permet de trancher. Je me sens tellement mieux de n'être qu'exposer qu'à des douches tièdes et plus froides. Souvent je me dis que c'est peut-être parce que je n'aime pas à nouveau, puis, plus rarement, je me dis qu'il serait temps d'accepter qu'aucun amour ne se ressemble et que c'est sûrement l'expression différente de mes sentiments. Je me dis aussi qu'il y a des gens qui nous intéressent et d'autres qui nous obsèdent, je suis peut-être dans l'autre camp et c'est pas plus mal. Un jour je saurai ce que ça veut dire cette façon d'aimer mais là, je ne me pose pas plus de questions. C'est juste tellement plus reposant de ne pas être profondément amoureux.
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saga: Soumission & Domination 386
Mes Escorts-1
Tout fonctionnant sans moi, conséquence de mon absence prolongée, j'ai beaucoup de temps libre après les cours. Je profite de ça pour revoir mes Escorts un par un et faire un point sur leurs besoins et leurs désirs.
Je laisse de côté ceux qui sont en contrat exclusif (Jean, Phil et Luc) ou spécialisés (Jonathan et François) et commence par :
Jimmy.
A 24ans, comme il n'a pas beaucoup grandi (il fait 1m70), on lui en donnerait toujours 18. Il adore son travail de jardinier pour quelques clients dont Pierre et Olivier, les parents d'Ed et Théo entre autre et kiffe toujours de se faire défoncer par mes clients les plus grossement membrés. Bien qu'il soit Escort depuis 5 ans, il ne lasse pas ma clientèle qui continue à me le demander régulièrement. Il m'explique qu'il est quand même le meilleur de tous en gorge profonde et en dilatation anale. Il me raconte que lors d'une prestation, le client s'était masturbé dans son cul. Je demande quelques explications. Il me dit que le client l'avait réservé pour un fist et une sodo Il avait commencé par la sodo puis enchaîné par le fist. C'est lui-même (Jimmy) qui, bien parti, lui avait proposé d'ajouter sa bite à sa main. Le mec avait pris un pied comme jamais et ça lui avait rapporté une prime équivalente à la prestation négociée. Il me dit qu'il avait vu avec Jona pour requalifier la prestation et partager le surplus. Maintenant ce client le commandait exclusivement pour refaire ça.
Je lui demande si côté privé, il s'était trouvé un petit copain.
Réponse : pas encore, bien qu'il ait des demandes, il me dit qu'il se casera avec un mec du type de mes clients quand il aura fait le tour de la question. Et vu son imagination, c'est pas pour demain ! Sa vie entre notre campagne, et ses déplacements lui convient tout à fait. Il a son havre de paix et ses périodes de sexe intense.
Charles-Edouard (Ed)
Maintenant 21 ans, il s'est allongé et malgré les heures de muscu reste longiligne. Ce physique plus sa blondeur en fait un de mes Escorts les plus classe. Mes clients l'adorent car sous un dehors " bien sous tous rapport ", se cache une chaudasse de la pire espèce. Certains de mes clients blacks ne le retiennent qu'à cause de la différence de couleur extrême qu'ils ont avec lui. C'est un blond à la peau très blanche et les premières fois où je l'ai accompagné, dans certaines positions j'avais l'impression de voir un domino géant. Ses études vont bien et ses parents qui maintenant savent qu'il travaille pour moi, n'y voient aucun inconvénient. Ils auraient du mal à lui reprocher ce qu'eux même achètent auprès de mes amis (Second et Julien) ou mes escorts. Chacun d'eux apprécie les doubles- sodo devant l'autre.
Ed me dit que cela va faire un moment qu'ils ne se cachent même plus quand ils se font baiser. Souvent il leur est arrivé à lui et son petit frère Théo d'entrer dans le salon ou d'aller nager dans la piscine alors qu'ils se faisaient démonter la rondelle dans ces endroits.
Lui kiffe toujours autant de travailler pour moi et voit son " trésors de guerre " augmenter gentiment tous les mois ce qui lui convient tout à fait. Il aime ses vacances tous frais payés en palace, même si maintenant il a les moyens de se les offrir tout seul. Ce qu'il adore le plus c'est de choquer les bien-pensants. Les autres se doutent bien qu'il n'est pas le " fils " ou " neveu " qui accompagne son parent. Il ajoute qu'il est rarement le seul jeune dans ce cas et que ça lui est arrivé souvent, pour ne pas dire toujours, d'en profiter pour organiser avec ses homologues des touzes qui les changeaient agréablement de leurs clients. Souvent aussi, il a pu profiter des " gens de service " qui, sans les assimiler à leur condition, reconnaissaient en eux des serviteurs de la classe aisée.
Certains clients le sort comme un trophée de chasse, dans ces cas-là il fait en sorte de rendre jaloux tous les autres hommes avec lesquels ils entrent en contact. Il n'adore rien tant que de recevoir des propositions en douce pour soit changer de " papa " ou de délaisser le sien temporaire pour quelques instants, moyennant une très grosse enveloppe.
Il me rassure en m'affirmant qu'il a toujours décliné ces propositions. Il sait que cela aurait porté préjudice à la réputation de ma boite.
Daniel :
Depuis qu'il a accepté ma proposition, il taffe et double ou triple son salaire de vendeur chez Suzuki (et c'est un bon vendeur qui se fait de confortables commissions). Avec lui, tout roule. Il fait kiffer les clients qui pensent s'encanailler avec un motard. Ils ont l'impression de risquer leur vie en faisant venir un " loubard ". Daniel accentue cet aspect en arrivant toujours bardé de cuir noir. Il me dit avoir même acheté quelques bracelets et chaines en acier pour augmenter leurs frissons ! Pas au courant je lui demande s'il avait fait passer les factures à Jona. Comme il me répond non, je lui dis que tout ce qui est équipement de travail est pris en charge. J'insiste et il me dit qu'il le fera. Du coup ça lui arrive de plus en plus qu'on lui demande d'être actif. Souvent il commence par se faire enculer et doit (scénario organisé) se rebeller et " forcer " le client jusqu'à l'enculer. J'admets que c'est original comme plan. Quand il me dit qui il a déjà enculé parmi mes clients, sur certains noms je tombe de haut ! Il me confirme que lui aussi ça n'aurait pas été ces noms-là qui lui seraient venu en premier à l'esprit. Il s'amuse de cette évolution qui lui va bien puisqu'il est actif/passif à la base.
Morgan :
Mon collègue d'école de commerce, comme moi en dernière année. Il a laissé tomber le foot pour se consacrer totalement à son activité d'escort et aux séances de sport maison. Ses parents sont ravi du travail qu'il a trouvé à coté de ses études (ils ne savent pas le contenu du poste !) qui lui permet d'être aussi bien payé.
Avec Simon, c'est le grand amour et il n'envisage pas sa vie sans lui. C'est en plus réciproque. Ça été le premier " couple " qui s'est créé entre mes escorts.
On discute un peu. Il m'assure que même quand il aura commencé à travailler, il ne cessera pas ses prestations pour moi, enfin en fonction de son travail et que je pourrais toujours compter sur lui. Il a fait son cursus à l'étranger en Afrique du sud et sa séparation d'avec Simon a été dure, même s'ils se sont vus tous les mois. Il me dit qu'il s'était fait un ami là-bas qui a comblé partiellement son manque, surtout des grosses queues de mes clients ! Ils ont dû rester discrets car même avec l'abandon de l'apartheid, les relations sexuelles entre blancs et noirs pouvaient poser des problèmes surtout quand elles sont homosexuelles. En attendant ça lui a permis de tenir sans trop déprimer d'être sans son Simon. Coté physique ses 65Kg tout mouillés sont loin et comme moi il accuse 85Kg de muscles sur la balance. Je ne peux m'empêcher de lui demander de se mettre à poil, même si cette occasion m'est donnée lors des séances sportives, là je peux prendre mon temps pour voir les changements. Il est superbe. Epilés nickel, ses 19x6 même non bandés en imposent en haut de ses grosses cuisses. J'aime beaucoup cette différences : grosses cuisses >< petit cul et épaules larges. Il me fait bander et il s'en aperçoit et bande à son tour. Comme je suis assis à mon bureau, il me tire et me pousse contre le plateau. Sa langue fraiche vient se battre avec la mienne. Il recule juste pour me dire que cela faisait longtemps qu'il ne m'avait remercié pour ce qui lui était arrivé. On colle nos peaux, pecs contre pecs, nos tétons bandent eux aussi et on reprend notre pelle. Nos queues se touchent, nos glands mouillent et leurs frottements l'un contre l'autre attisent notre excitation commune.
Il se baisse et embouche ma bite. Ses cheveux courts touchent mes abdos quand il fait passer mon gland dans sa gorge. J'aime ! J'aime surtout quand il pompe profond, couvrant ma queue de salive. Sans faiblir, il continu pendant au moins un bon 1/4 d'heure avant de se redresser, me tourner le dos et se pencher tout en restant cambré. Un véritable appel au viol. Comme il est consentant, je me kpote vite fait et plonge entre ses fesses. Je sens le passage de sa rondelle, brève résistance, puis sa douce chaleur interne. C'est tellement bon que je reste bloqué au fond de son cul quelques instants avant d'entamer le limage de son oignon. Limage qui se transforme en labourage de grande ampleur avec l'utilisation complète des 20cm de mon appendice. Je pousse les papiers derrière moi qui encombre mon bureau et d'une rotation propulse Morgan dos sur le plateau, ses jambes entre mes bras en appui sur mes épaules. Il se retient au bord car sinon mes coups d rein l'auraient propulsé de l'autre côté. Je pousse sur ses jambes pour venir lui cueillir les lèvres. Sa grosse bite se trouve compressée entre elles et je sens ses couilles contre mon bas ventre.je me redresse, attrape un kpote et sans cesser de lui défoncer le cul la lui enfile sur son sexe. Quand il est prêt, je décule, monte sur le bureau (béton) et m'assois dessus. Bon format, les diamètres de 6 cm ça a du bon ! Je fais l'ascenseur sur cet axe de plaisir et comme nous sommes déjà très excités tous les deux, il ne nous faut pas longtemps pour jouir. Mon sperme lui zèbre le torse et le visage. N'étant pas encore prêt, il se redresse et se lève, portant mes 85Kg sans problème. Enfin pour les trois coups de reins qui m'ont décollé les fesses de lui avant que la pesanteur ne me fasse reprendre ma position initiale avec une brutalité propre à le faire exploser.
Sous la douche commune, on rit de ce dérapage impromptu mais pas non contrôlé.
Simon :
Quand je le vois il sait déjà que j'ai profité de son mec. Il me propose d'évacuer cette dimension en faisant de même d'entrée de jeux, qu'on aura qu'à discuter après.
Je l'attrape par le cou et écrase mes lèvres sur les siennes. Pulpeuses elles ont toujours eues sur moi l'attrait d'un aimant. Il le sait et m'en fait profiter. Je passe de pelles en morsure et suçage de sa lèvre inférieure. Dans mes bras je n'ai plus, comme pour Morgan, un garçon longiligne (en 2011 il pesait 66Kg pour ses 1m80) mais un très beau mec aux muscles bien formés qui doit accuser au moins 80Kg sur la balance. Il a gardé ses cheveux mi- longs qui vont si bien avec ses yeux bleus. En plus quand on agrippe sa crinière, il y a de quoi s'accrocher contrairement à la plupart de mes escorts aux cheveux plutôt courts.
On se fait donc un peu plaisir ensemble. Je reconnais dans sa façon de faire l'amour la marque de Morgan. L'enthousiasme qu'il avait quand je l'ai pris dans mon équipe est toujours la même et sa fraîcheur intacte. La chose expédiée (façon de dire d'une petite séance de baise d'une bonne heure et demie), on discute de son avenir.
Il me confirme qu'il ne l'envisage pas sans son Morgan et qu'il s'établira comme avocat là où ce dernier trouvera du taf. Je lui dis alors que j'avais quelques idées là-dessus et voulait son ressenti quant à l'orienter vers certains de mes " contact " professionnel, collègues d'AG des boites de ma mère. D'après lui, Morgan ne s'offusquera pas d'un petit coup de pouce et ce se sera pas son employeur qui sera lésé vu ses compétences... officielles. Je lui offre de l'aider aussi si l'intégration dans une cellule juridique privée l'intéresse. Je sais et certaines des sociétés d'Emma ont sous contrat des juristes. Il me dit qu'il y réfléchira et me le dira en temps et heure, selon où Morgan atterrira.
Il me plait bien ce petit couple, la prochaine fois je m'inviterai entre eux, ça devrait être intéressant !
Viktor et Nicolaï :
Je reçois mes deux " Russes " ensemble. De toutes les manières ils sont collés ensembles dans leurs études de langues comme dans leur appartement et souvent dans leurs prestations. Même quand mes clients n'ont besoin que d'un traducteur, ils me commandent les deux en prévision de leurs " troisièmes mi-temps ". 22ans chacun, il se ressemble de plus en plus. Seule la blondeur qui confine au blanc de Nicolaï les distingue d'autant plus que souvent ils sont habillés pareil. Faisant partie de ceux qui voyagent le plus (contrats de traducteur oblige) ils ont négocié avec leur fac les absences que cela provoque. Sans dévoiler de secret, je crois bien qu'un petit coup de fil de mon correspondant dans les services de l'état à leur doyen à bien aidé pour cette tolérance. Nicolaï a trouvé auprès de Victor et surtout sa mère, un rappel de sa Russie natale. Sa nouvelle identité lui a même permis de retourner à Moscou en toute sécurité. Ils me disent que quelques-uns de mes clients leur demandent de baiser entre eux avant de participer. Au point que parfois ils en oublient que le client les mate jusqu'à ce que l'un d'eux se fasse ouvrir l'oignon par son gros ou très gros morceau.
A l'examen de leurs physiques, pas de surprise. Même nus ils sont jumeaux. Seule la queue de Nicolaï légèrement plus longue mais aussi plus fine (enfin 5.5 c'est déjà pas mal), ajoute une différence, car ce n'est pas leurs pilosités réduites à un minimum qui frise l'inexistence qui le feraient. Alors que nous discutons encore, ils m'approchent de chaque côté avant de me lever de mon fauteuil et de me mettre à poil en 30 seconde chrono. On ne se refait pas, je bande comme un fou (faudrait peut-être que je consulte ça pourrait être maladif ?!).
Je les laisse faire, ça me permettra de voir comment ils ont évolués. Quand un s'occupe de me sucer la langue et de me rouler un patin, l'autre embouche ma bite dans une fellation que je ne renierais pas moi-même. Quand ils me trouvent suffisamment chaud, alors que Nicolaï continue sa pipe en mode gorge profonde, Victor me travaille la rondelle. Qu'on s'occupe de moi des deux coté c'est jouissif. Surtout que la langue qui travaille ma rondelle est très efficace. Elle me détend bien l'oignon et je me sens prêt, après une telle préparation, à enculer l'un tout en me prenant l'autre dans le cul.
C'est chose faites quelques minutes plus tard. Viktor sur le dos, moi au-dessus avec ma bite dans son cule et derrière moi Nicolaï qui me stimule la prostate de l'intérieur. Mes 20cm font merveilles dans Viktor qui mouline du cul pour augmenter ses sensations. Comme il serre bien ma bite, ça me fait aussi pas mal d'effets ! Le corps de ma queue pistonne son trou alors que la peau qui le recouvre, elle, se vrille. Excitation augmentée garantie. A cela s'ajoute la pénétration des 20 x 5.5 de son partenaire entre mes fesses et, à l'aide de mes va et vient, au plus profond de moi. Me voilà pris en sandwich et quelque part c'est terriblement efficace !!
Ils me changent plusieurs fois de position, toutes sont aussi bonnes que la première. Quelques intermèdes où je me retrouve en 69 avec Viktor ou Nicolaï après leurs échanges de ma rondelle. Quelques autres où j'encule L'un ou l'autre lui-même faisant son affaire à son partenaire. On se retrouve à s'achever d'un coup de main pour se juter dessus et réciproquement.
Sous les douches ils m'expliquent qu'ils comptent bien continuer à bosser comme maintenant. Ils sont en train de se constituer un carnet d'adresse avec lequel ils n'auront aucun mal à trouver du travail en tant qu'indépendants. Dès que l'attrait sexuel qu'ils génèrent se sera tassé.
Ce qui, vu leur gueules encore très " juvéniles " ne risque pas d'arriver demain !
Jardinier
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Ph. La bouquiniste
"(...)Je veux te retrouver luisante et tiède, fondante. Quelques heures seulement nous séparent. Tu peux déjà laisser monter ton amour, que je t'embrasse sur ta bouche à la première seconde. À tout de suite, chérie, belle , ma plage, ma vague noire. Oublie cette lettre aussi, c'est le silence total qu'il nous faut, le silence fracassant de l'amour et du désir. Ah ! Je te sens déjà et je t'aime avec toute la force et la chaleur du monde. Non, je ne t'embrasse pas encore. Mais je t'envoie trois mois d'attente et de souffrances, d'images furieuses ou tendres, d'amour malheureux enfin, pour que tu en fasses un seul visage de joie, celui que tu m'offriras jeudi, mon merveilleux amour.
A.
Albert Camus à Maria Casarès le Dimanche 26 Mars 1950, 11 heures - Correspondance - Gallimard
Une pensée pour Albert Camus, il aurait 111 ans aujourd'hui
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