Tumgik
#à deconstruire
metacarpus · 4 months
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ça y est c mon moment je vais essayer de convaincre mon père, ecolo hard core au rsa qui vote RN depuis 10 piges de voter front populaire. j'ai dans ma besace un document de solidaire qui détaille les votes du RN, une vidéo blast sur pourquoi leur politique n'est PAS sociale, et des arguments qui doivent en appeler non seulement à sa raison mais aussi à son cœur
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magie.d.ame
Non ce n'est pas une photo sexy, en tout cas pas pour moi. C'est beau de se laisser fondre dans la nature. . Fondre, deconstruire les résistances, laisser aller ce qui doit être lâché. Être. Ici et Maintenant. . C'est ça la présence. Le vrai sens de la présence. . . . Évidemment 8 degrés cette cascade histoire d'aider le mentale à virer tout ce qui l'habite.
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actio4marchal · 1 year
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Les Community Managers et la maîtrise de la Revolution Numérique.
https://youtu.be/H-aUee06oSQ?si=K6qVr-yo_o3SI4D1
La Révolution Numérique est l'un des plus grands événements du XXI ème Siècle . Peut être le plus important car dans notre monde teinté d'hédonisme , elle nous touche personnellement.
C'est d'ailleurs pour cela que l'on peut la comparer à la bombe atomique.
Pas seulement parcequ'elle touche aussi nos foyers ; mais comme l'arme atomique qui est un flux de puissance supérieure à toutes les armes fabriquées jusque-là , la Révolution Numérique crée un flux d'images et d'informations comme on en avait jamais vu jusqu'à nous. Cela sur le moindre comme sur le grand.
Aujourd'hui l'individu lambda, Monsieur ou Madame Toutlemonde, peut-être aussi connu, sinon mieux, que les célébrités des époques antérieures.
Aujourd'hui, un produit, un service, peut être étudié, "mis à nue ", avec ses qualités et ses défauts, comme seulement le faisaient les spécialistes des bureaux d'études, lorsqu'ils produisaient leurs rapports ; rapports dont les conclusions se limitaient à des réunions pre-productives. Ou destinés à figurer dans des magazines spécialisés réservés à une minorité de consommateurs désireux d'être avertis.
Le système actuel de vente internet permet, bien entendu, une meilleure flexibilité pour l'Entreprise, le client ayant la possibilité d'acheter sans se déplacer et à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Et s'il lui permet ainsi d'avoir accès à tout ce qui concerne le produit désiré, des communications publicitaires aux démonstrations sérieuses, elle lui donne aussi accès aux mauvaises critiques voire aux démonstrations négatives. Tout cela en quelques clics.
L'image, en général, et l'image de marque en particulier, "The Brand", ont donc prit une plus grande importance. Nouveauté compte tenu de la facilité avec laquelle on peut la construire ; mais aussi de la rapidité avec laquelle on peut la deconstruire. Sans parler de la rapidité de circulation des informations jusque dans nos maisons ; sur nos ordinateurs, téléphones et tablettes.
La construction de cette image de marque est devenue une priorité impérative pour l'Entreprise et ses produit. Mais doit se construire indépendamment du chemin parcouru par la dite entreprise et ses produits. Car si auparavant l'image de marque se construisait par le travail et la qualité des produits finis : Il suffisait de faire savoir, ensuite les vendeurs et leurs clients faisaient la majorité du reste...Ou pas. De nos jours, la rapidité et la profusion de l'information exige une présence permanente.
L'absence peut devenir une arme pour la concurrence. Dégommer un produit, un service...(Mais cela n'est pas le sujet de cet article...)
La simple absence de réaction, qu'elle soit adéquate ou pas, peut-être catastrophique pour l'indice des ventes. Voire empêcher simplement l'Entreprise de décoller.
Et donc, s'il faut construire cette image de marque, il faut ensuite l'imposer tout en se préparant à la défendre. C'est là qu'intervient le Community Manager et les agences de Communication ! S'en passer, n'est pas seulement une erreur, mais prendre un risque aux conséquences incalculables pour l'Entreprise.
Car il est impératif de maîtriser cette Revolution Numérique afin d'éviter de se noyer dans la saturation d'images et d'informations ; bien souvent peu utile. Et de se trouver une place solide, dans ce grand magasin ouvert à tous les vents qu'est devenu la "toile". Une fois installé, de la défendre avec assiduité.
J.MARCHAL
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devorantedevie · 3 years
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Plusieurs mois maintenant que je fais un break militant et ça fait un bien fou! Pouvoir dormir 👏 ne plus avoir peur de finir en gav 👏 éviter les drama entre militant.e.s 👏
Militer c'est littéralement ce qui m'a sauvé la vie, ça m'a permise de me reconstruire, de me deconstruire, de ne plus me sentir impuissante face à notre merveilleuse société capitaliste heteropatriarcale misogyne transphobe validiste ( je pourrais continuer sur plusieurs lignes...) Mais c'est aussi épuisant. Ces derniers mois ont été tellement éprouvants , certain.e.s de mes ami.e.s on pris de la prison avec sursis, d'autres ont fait un burnout. Alors oui, partir en vacances, kiffer avec mes ami.e.s et ma copine, me focaliser sur la suite de mes études, ça fait vraiment du bien 😍☀
12/11/2021
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a-room-of-my-own · 4 years
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www(.)marianne(.)net/societe/education/deconstruire-ca-peut-se-faire-a-tout-age-ces-enseignants-qui-importent-lecriture-inclusive-a-lecole 😩 Déprimant...
Ah mais merveilleux les gamins vont être encore plus illettrés !
Point bonux pour celle qui dit "ne pas vouloir endoctriner" ses élèves, c'est pas du tout suspect de penser tout de suite à l'endoctrinement !
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quemajoiedemeure · 4 years
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Quand on a été bien élevé on passe intrinsèquement le reste de sa vie à deconstruire ses croyances societales, mais le truc qui met les gens trop mal à l'aise c'est la deconstruction culturelle genre : repenser son amour pour Disney ou Harry Potter, et c'est vrai que c'est compliqué parce que c'est des objets culturels qui restent figés dans le temps ils changent plus jamais une fois qu'ils sont sortis, quand on fait un film ou de l'art ou quoi on a vraiment l'impression que c'est un truc mouvant mais non c'est juste une masse molle qui va mal vieillir dans 87% des cas
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transcrever-a-alma · 6 years
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Ontem eu estava lendo alguns textos antigos. Eram sobre um garoto que eu gostava na época. Engraçado como tudo o que eu queria era tirar ele da minha cabeça e, olhe só, agora eu consegui. E nem de longe achei que seria tão... vazio. Não, eu não quero voltar para aquela época, não quero voltar a ter aquela paixonite sem cabimento. Mas entendo que pensar nele era bem melhor do que me preocupar com coisas piores, ele serviu como uma válvula de escape. Era muito mais fácil e confortável pensar nele, em como nós não demos certo, criar fantasias na minha cabeça, do que prestar atenção às coisas tristes ao meu redor, do que sofrer com coisas que não podia controlar, como agora. Eu era tão despreocupada naquela época, minha maior preocupação era se ele iria me olhar quando eu passasse do seu lado. Sinceramente, queria ter esse tipo de problema novamente. Depois dele, as coisas não ficaram mais simples. Com o tempo, fui capaz de deconstruir todo o romantismo que criei para aquela situação de merda. Entretanto, acho que exagerei. Acho que acabei deconstruindo demais, pois nunca mais fui capaz de sentir coisas tão bonitas quanto eu sentia naquela época. Deconstrui tanto que não deixei sobrar nada e mesmo assim ergui muros e mais muros à minha volta, criando a ilusão de que estava protegendo algo. Agora, quando esses garotos pensam que quebraram todos os meus muros, não encontram a recompensa que esperavam, apenas o vazio que me restou. 
Fui feita para quebrar corações, só porque não lembro desde quando o meu está quebrado. 
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marcogiovenale · 2 years
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vizarma @ perpignan: festival de l'image expoètique
vizarma @ perpignan: festival de l’image expoètique
VIZARMA ~~~~~~~Première Édition du festival de l’image eXPoètique à Perpignan, rue des cardeurs du 27 août au 11 septembre 2022. Pour ce premier volet nous avons invité quelques ami(e) à créer, construire , deconstruire une ou plusieurs affiches, slogans, collages, poèmes ou tout autre formes experimentales d’images liées à leur environnement au format de leur choix. Ces curiosités visuelles…
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NOUVEAU : Suivez l'actu du blog sur Telegram ! Macron interrogé par la chaîne américaine CBS : “Nous devons déconstruire notre propre histoire” "We have in a certain way to deconstruct our own history."Propos édifiants de Macron sur CBS qui a expliqué que la France souffre de racisme, l'a lié à son passé colonial et…
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yespat49 · 3 years
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📣📣Aujourd’hui j’ai envie de parler d’entrepreneuriat... Oui encore. 🙂🙂
Cela fait plusieurs années que je m’active sur ce chemin et c’est pour moi une sacrée transition professionnelle et personnelle et je peux t’assurer que c’est une aventure exceptionnelle et enrichissante; mais loin d’être anodine et aisée. Je veux donc DECONSTRUIRE UNE IDEE RECUE sur la création d’entreprise pour te permettre d’agir en conscience afin de devenir ton propre patron. Et ainsi être à la manoeuvre de ta vie.
Tu as certainement déjà entendu parlé de la facilité de créer une entreprise en ligne. Et plus particulièrement si tu choisis de créer ta micro-entreprise sous le statut « d’auto-entrepreneur »
⛔️❌ WARNING.
Sache que créer une micro entreprise n’est pas neutre. Tu auras toujours la CFE et les charges patronales à régler. Donc anticipe avec un peu de trésorerie. Forme-toi à la gestion d’entreprise et surtout fais-toi accompagner d’experts en comptabilité, finance et droit! Les meilleurs sont ceux qu’on te recommande. (Et j’en connais 😉 n’hésite pas à me demander)
Oui c’est facile de créer sa boite en quelques clics; mais ce n’est pas un acte anodin. Je le répète.
Développe ton idée, travaille-là, confronte la, retravaille-là et en dernier lieu, une fois que le projet est viable, crée ta boite sous la forme et le statut qui convient à TA SITUATION PERSONNELLE. Et n’oublie pas de provisionner même un peu chaque mois pendant les phases de réflexion. Ouvrir une boite quelque soit la forme nécessite de l’argent ne serait-ce que pour ton fond de roulement (BFR) et ta communication. Sache aussi que cela en coûte encore plus de fermer une société.
NB ❌⛔️ Attention au miroir aux alouettes. Quitter un poste salarié pour une autonomie et une indépendance financière c’est séduisant, mais pas anodin. C’est envisageable, voire même recommandé si tu as un projet entrepreneurial qui te tient à coeur, mais sous certaines conditions UNIQUEMENT❌❌❌❌
D’ailleurs, si tu veux que je traite de ce sujet, fais-le moi savoir en commentaire.
Sans transition....
Je RECOMMANDE UNE SORTIE CINEMA ce 23 octobre 2019: «  Sorry We missed you de Ken Loach » qui traite de l’uberisation du travail ...
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jgmail · 5 years
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Entrevista al profesor de Filosofía Renaud Gracía y post scriptum. Delirio en el entorno "deconstruccionista"
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Pierre Thiesset
La Décroissance
Traducido del francés para Rebelión por Alberto del Prado
Actor de su propia sumisión a la nada contemporánea, el "ser humano" de esta nuestra civilización tardía ya no tiene historia. Sólo pertenece a su tiempo, un tiempo lineal, sin pasado ni porvenir, un tiempo abocado a sobrepasar sus límites sin parar, un tiempo desesperadamente privado de cualquier potencialidad verdaderamente emancipadora, es decir, a la vez revolucionaria y conservadora.
Ese tiempo es el presente perpetuo que conocemos y cuyo ritmo lo marca infinitamente un capitalismo "lampedusiano" que comprendió, hace ya tiempo, que para que nada cambiara, era necesario que todo se moviera sin cesar. Para amarrar el deseo nómada del sujeto posmoderno a sus proyectos mercantes, la fuerza del capitalismo consistió en apoyarse en los devastadores aportes conceptuales que le suministró, desde finales de los años 1970, una "vanguardia de la retaguardia" (Annie Le Brun), que se esforzaba en deconstruir metódicamente, a la "izquierda" del capital, los puntos de referencia de un pensamiento crítico elaborado desde hacía siglos entorno a cuestiones tan esenciales como la alienación o la explotación, para reducirlas a vulgares máscaras de la dominación blanca y "heteronormada". Convertida en ideología dominante, la "ideología de la nada" (Miguel Amorós) constituye, sin duda hoy en día, uno de los obstáculos ideológicos mayores para la necesaria reelaboración de un proyecto emancipador digno de este nombre, es decir, apto para crear vínculos con su pasado, capaz de unificar resistencias frente a "lo que está mal en el mundo" (Chesterton) y que el común de los mortales pueda entender y asumir. Hay que crear, pues, una resistencia intelectual contra el dispositivo de la deconstrucción y la eficacia de sus mentiras. A partir de nuestros fundamentos, con nuestras armas y sin vacilar. Esta es la misión que ha emprendido de manera inteligente Renaud García en su Désert de la critique*, obra muy favorablemente reseñada en este sitio web (1). La entrevista que concedió en octubre del 2015 a la revista La Décroissance, merecía, a nuestro parecer, que la reprodujéramos aquí. La sigue un post scrimptum que Renaud García nos rogó incluir. À Contretemps.
[A la entrevista precede la entradilla siguiente: "En los años 1970, los intelectuales aún podían hablar de lucha de clases y de alienación. En el año 2015, estas antiguallas ya no están de moda. En la universidad, en Libération, en el Partido Socialista o en la extrema izquierda, el lema de los intelectuales modernos es el de "deconstrucción". Hay que deconstruirlo todo, los "estereotipos de género", las "normas", las "representaciones"... En su libro Le Désert de la critique. Révolution et polique, (ed. L'échappée), el filósofo Renaud Garcia demuestra que las teorías de la "decostrucción" debilitan la crítica social, fomentan el mercantilismo y la invasión tecnológica y se adaptan perfectamente a una sociedad liberal y atomizada (2)]
En su obra, usted demuestra que la "deconstrucción" se ha convertido en el imperativo de la llamada crítica "radical". ¿Qué abarca este término?
El origen lo encontramos en Derrida, uno de los grandes filósofos franceses que secundaron en los años 70 y 80 los movimientos de izquierda disidentes. Desarrolló un método, la "deconstrucción". Derrida pretendía retomar los grandes temas que la tradición filosófica no había pensado y proponer una nueva lectura de los textos clásicos. Deconstruir un texto, para decirlo vulgarmente, es mostrar lo que está entre líneas, lo que el lector ordinario no sabría ver, descifrar lo que parece claro, coherente, argumentado, para descentrar el pensamiento, aun corriendo el riesgo de cometer un contrasentido en la interpretación. Además de ser un método de análisis de texto, la deconstrucción se extendió a otros campos. Derrida trataba también de deconstruir las instituciones, de deconstruir las normas... Por mucho que su obra fuera extremadamente oscura, fue pionera y abrió el camino a todas las elaboraciones contemporáneas que aspiran a repensar las relaciones entre mayoría y minorías.
¿Cómo pudieron tener tanto éxito esas ideas incomprensibles para los profanos?
Los conceptos de Derrida los difundieron los universitarios, gente que, como ciudadanos, no muestran necesariamente una extraordinaria lucidez crítica, pero son expertos en el uso de signos, saben manejar referencias y brillar gracias a discursos complejos e incluso oscuros. Cuando uno conoce los secretos de la filosofía en Francia, sabe que ese tipo de "faroles" funciona demasiado bien. Alardeando de los temas de la deconstrucción, uno cree que adquiere credibilidad, legitimidad intelectual, prestigio social, porque emplea palabras complicadas, una fraseología oscura que sacia su afán de reconocimiento. Sin embargo, algunos universitarios han retomado el discurso de Derrida para darle una aplicación concreta y trasplantar los conceptos a la base. En los estudios feministas, por ejemplo, Marie-Hélène Bourcier, socióloga que recibió una formación de élite en la Escuela Normal Superior, ha importado el lenguaje de la deconstrucción en un marco militante. En la Universidad de Lille, forma a jóvenes en talleres drag queens, en los que mujeres "performan" -según sus términos- el género hombre, salen a la calle, van al metro para provocar una toma de conciencia respecto a la construcción del genero... Además del éxito de estas ideas en el mundo universitario, han realizado todo un trabajo de difusión algunos panfletos y una prensa militante que, pudiendo plantear temas interesantes, giran siempre en la misma órbita, con conceptos demasiado esotéricos que tratan, sobre todo, de la deconstrucción del género, pero también del lenguaje, de la naturaleza, del cuerpo, de lo universal, de la razón...
¿De qué manera esta "filosofía de la deconstrucción", que pretende ser subversiva, hace el juego al liberalismo?
La teoría política de estas corrientes tiene una visión totalmente pesimista del mundo social. La sociedad, tal y como la conocemos, está, según ellos, corrompida en todos los niveles. El poder está por todas partes, se infiltra por todas partes, en cada uno de nosotros, y es imposible librarse de esta trampa, imposible alcanzar un punto de vista crítico exterior al ámbito del poder. Ya no podemos proponer ninguna visión de conjunto de otra realidad social. Si se quiere cambiar el sistema, según Foucault y los posanarquistas, por ejemplo, oponiéndole otro modelo de sociedad, se impone una visión global que nos lleva directos al totalitarismo. Lo que significa resumir las cosas de una manera absolutamente vertiginosa, digna de cualquier editorial de Cristophe Barbier. Según estas teorías, el mundo social es, por lo tanto, un mundo completamente cerrado, sin escapatoria.
Esta corriente está, pues, influenciada en gran medida por Derrida, pero también por Foucault, Deleuze o Guattari. En lo que se refiere a las cuestiones de género, tenemos figuras como Judith Butler en los Estados Unidos, Elsa Dorlin, Marie-Hélène Bourcier, Éric Fassin o, para los más "nihilistas", Marcela Lacub o Beatriz Preciado, que ha cambiado de sexo y a quien hay que llamar ahora Paul. Son universitarios, en su mayoría, que pretenden situarse al margen, aunque sean unos acomodados a los que apoyan el Partido Socialista, los medios de comunicación como Le Monde, Libération... Su filosofía es muy abstracta, lo intelectual se hace omnipotente. Las ideas y el pensamiento, por ejemplo, crean la realidad, le atribuyen todo el sentido, el cuerpo se convierte en un efecto del discurso que de él trata, etc. Cuando uno lo piensa, parece completamente aberrante y sin embargo a estas tesis se las venera. Los intelectuales de la "decostrucción" ejercen un verdadero magisterio filosófico desde hace una treintena de años.
Frente a este mundo cerrado queda sin embargo una posibilidad: la huida individual. Si el poder me construye, pero yo soy capaz de deconstruir los "dispositivos de sometimiento" que me impone, puedo intentar no hacer lo que esperan de mí, rechazar las normas que quieren que acepte, darle la vuelta a la relación dominador-dominado. Por ejemplo, no estoy obligado a que me cure el Estado, a mantenerme en buena salud, puedo hacer con mi cuerpo lo que yo quiera, puedo drogarme, puedo tener relaciones sadomasoquistas, voy a intentar variar las fuentes del placer sexual en vez de someterme al régimen conyugal o familiar tradicional... Cada uno debe ser único y lo único nunca se puede definir, es una plastilina que podemos modelar a nuestro antojo. Se ha pasado de una crítica de la explotación, de una crítica del poder que se ejerce sobre los explotados, a una crítica de las normas de vida colectiva, lo que lógicamente conduce a una búsqueda frenética de la singularidad, a una especie de éxodo en el que se huye de cualquier obligación. Este punto de vista lo encontramos en Toni Negri cuando describe las prácticas de resistencia de la "multitud" contra el "Imperio". Habría que de-someterse, des-identificarse perpetuamente... Pero, en definitiva, y quizás a pesar de las intenciones de los promotores, este "ideal" político parece corresponder perfectamente a la visión que propone el capitalismo: sé tú mismo, huye de los códigos, evádete, "hibridízate" gracias a la tecnología para ser algo distinto de esta desfasada forma humana nuestra... Al final del proceso hay una complicidad evidente con el liberalismo.
¿Estos "filósofos" no han abandonado al pueblo?
Está claro que están completamente aislados del pueblo. El pensamiento "deconstructivista" ha abandonado el terreno de lo social, rechaza el análisis en términos de clase, categorías que considera asfixiantes, opresoras. Para él, sólo existe el individuo. Quizás haya en estos intelectuales una fobia del pobre, de la gente simple, la idea de que las clases populares divagan en un mundo rancio, en una Francia podrida, retrógrada, patriarcal, conservadora, contra la que habría que luchar... ¿La gente ordinaria se plantea saber cuál es el régimen sexual que le permitirá des-identificarse, huir de las normas? Basta con plantear la pregunta para tener la respuesta. ¿Vamos hacia una sociedad en la que los individuos tienen identidades múltiples, sexualidades polimorfas, pero son incapaces de hablar con la gente ordinaria, de abrirse al común de los mortales, incapaces de comportarse como seres sociales que organizan acciones colectivas? Los militantes de la decosntrucción han abandonado a la gente que necesita identificarse con los símbolos de justicia social. De ahí viene ese fenómeno que no nos tiene que sorprender : el auge de la extrema derecha. Los intelectuales de izquierda sólo pueden tomarla con ellos mismos. Han sido ellos los instigadores de la deserción de las clases populares.
Existe en algunos "desconstruccionistas" un verdadero odio del pasado, considerado como algo oscuro, y de la naturaleza, que Clémentine Autain califica como "fascista". ¿Cómo explicarlo?
Decir que "la naturaleza es fascista" es evidentemente un sinsentido completo, no quiere decir nada en absoluto. Más bien se podría defender que la naturaleza no es ni buena ni mala. Hay que tener cuidado con no mistificarla, como si la naturaleza tuviera valores por sí misma, pero tampoco tenemos que diabolizarla, no tiene ningún sentido. La cita demuestra, sobre todo, hasta que punto la izquierda favorece todavía la ideología del progreso y de la innovación. Para vivir, el hombre necesita cooperar con la naturaleza. ¿Y por qué ya no quiere cooperar con ella? Existe algo como una vergüenza prometeica, la vergüenza de ser simplemente humano, de tener limitaciones, la vergüenza de la finitud. En lo que se refiere a la relación con el pasado de cierta izquierda progresista, existe un problema de cultura. Usted puede fingir dominar los conceptos alambicados de Butler o de Derrida, aunque le falte cultura. Sencillamente, el pasado ya no se conoce. Por ejemplo, la idea de que cuatro revoluciones socialistas hayan podido llevarse a cabo en nombre de cierta forma de conservadurismo, es impensable para la mente de un "deconstruccionista". Las nuevas generaciones de militantes ya no saben que, en el pasado, las revueltas más radicales las pudieron llevar a cabo clases sociales, tipos de población que defendían valores que, a sus ojos, se considerarían como conservadores. Principalmente los campesinos, considerados como simplones, retrasados, con estrechez de miras y patriarcales... O incluso los movimientos por los derechos cívicos en los Estados Unidos, en donde existe una convergencia entre las luchas radicales y los religiosos, como Luther King. Existe, en toda una nueva generación de militantes, una abolición del pasado, es decir, de la cultura, y una ausencia de pensamiento dialéctico. Lo binario puede llevarnos a lo absurdo. El pasado se ennegrece, el futuro es de color de rosa y entre ambos no hay nada, ningún matiz.
¿Se ha convertido esta izquierda en el estandarte del mercantilismo y de la artificialidad e incluso del "transhumanismo"?
Si uno considera que la alienación es un concepto caduco, que no tenemos naturaleza, que es ingenuo defender que nuestras potencialidades se reprimen en la sociedad en la que vivimos o incluso que cada uno es "único" (Max Stirner) y lucha por huir de las normas, por de-someterse, por adoptar una sexualidad híbrida, por ser cada vez menos identificable, entonces la meta final consiste efectivamente en desembarazarse de cualquier límite psicológico y mental, recurriendo incluso a la tecnología. Si puedo convertirme en todo aquello en lo que pueda transformarme, entonces puedo inyectarme testosterona para convertirme en un hombre, como Preciado, puedo hacerme un trasplante para "aumentar" mi cuerpo (como ese artista "subversivo" australiano, llamado Stelarc, que, en el 2007, hizo que se le trasplantara una oreja en su brazo, esperando poder conectarla a internet). Y según la misma lógica, si quiero invertir los límites fisiológicos de la filiación, si quiero tener un hijo por gusto sin pasar por la reproducción natural, tengo derecho a recurrir a una técnica "emancipadora"... Al final, con estas ideas el transhumanismo se libera de cualquier restricción. El filósofo Toni Negri y sus epígonos, por ejemplo, reivindican con mucha claridad la hibridación del hombre y de las máquinas.
¿La separación entre la izquierda fascinada por la tecnología y la del decrecimiento no la ha sacado a la luz, principalmente, el debate sobre la reproducción artificial del ser humano, en el que cualquier crítica de la reproducción asistida y de la subrogación gestacional se considera reaccionaria e incluso fascista?
Lo terrible es que, mientras escribía este libro, cuanto más avanzaba en la redacción de la obra, más se concordaban los acontecimientos. A Alexis Escudero, que ha escrito contra la reproducción artificial del ser humano sin mostrar el más mínimo atisbo de homofobia, que ha hecho una encuesta factual, apoyándose en datos cotejados, se le ha impedido físicamente expresarse en el entorno anarquista. ¡Algunos anarquistas libertarios han tenido que hacer una petición contra la censura y la intimidación en... el entorno libertario! Mi obra no tiene como objetivo darles un estatuto a estas cuestiones y su influencia pretende ser más amplia, desde los entornos anarquistas hasta la izquierda del gobierno. Pero tal hecho demuestra, como mínimo, que se ha sobrepasado un umbral crítico. A una buena parte de los militantes parece que le falta cultura y ya no piensa si no es a través de significantes. En cuanto ven "naturaleza", "mercantilismo", "alienación", lo asocian a otros significantes como homofobia, reacción, retorno a un orden moral "de derechas"... Las palabras increíbles del antropólogo Jean-Loup Amselle -aun habiéndose formado en un contexto diferente del de la deconstrucción-, cuando pone en el mismo saco a Zemmour, la Mauss, el descrecimiento, Michéa, Soral, Le Pen, parece que crean escuela y organizan la persecución mediática de los supuestos "fascistas progres*”...
Es surrealista, estamos delirando completamente. Vivimos en una época orwelliana a más no poder. La crítica se encuentra de verdad en un desierto, la parcialidad emotiva se antepone al análisis racional. ¿Qué hacer entonces? ¿Hay que dejar de pensar lo que se considera verdad con el pretexto de que puede dividir? En materia de ética intelectual, pienso que sigue siendo una responsabilidad remitirse a la idea de verdad y a un principio de claridad. Hay que decir lo que nos parece justo, decirlo de la manera más sincera y articulada posible, hablando con gente a la que suponemos capaz de pensar y de unirse. Y, quizás, efectivamente, a partir de ahora tengamos que asumir de manera nítida una división y reconocer que no se puede crear algo común con toda esa crítica "deconstruccionista".
Entrevista publicada en la revista La Décroissance, n° 123, octubre de 2015
Post scriptum
Renaud García nos ha hecho llegar la siguiente explicación:
A finales de septiembre de 2015, concedí una entrevista en torno a mi libro Le Désert de la critique a la revista La décroissance, de cuyos temas me siento cercano y que ya me había invitado una vez en el pasado (número del verano de 2014).
La entrevista se ha utilizado y reproducido alguna una vez en internet. Los debates, presentaciones, discusiones y comentarios surgidos desde la aparición de mi libro me han animado a dar una pequeña explicación acerca de algunas respuestas reproducidas ahora en el sitio À contretemps.
Efectivamente, para que las cosas queden claras, me gustaría precisar cuatro puntos fáciles de entender si los lectores tienen el tiempo, la bondad y la paciencia de leer mi libro:
1) El periodista (Pierre Thiesset) me preguntó al principio lo que era la deconstrucción y cómo se podía explicar su éxito universitario y militante. Yo trato de explicar el fenómeno evocando motivos psicológicos y simbólicos, pero indicando también, sin embargo, los vínculos reales entre especialistas de la deconstrucción e izquierda gubernamental. Hago alusión, pues, a la dilución del discurso filosófico en las esferas militantes y políticas. Habiendo, yo también, mamado de Foucault, Deleuze, Guattari y sus consortes, me parece absurdo afirmar que sus ideas son inconsistentes o sin interés. No se trata, pues, de jugar y de destruir por destruir, desde una posición de pureza teórica. Al contrario, que algunos de sus puntos de vista sean, con el tiempo, eminentemente criticables, sobre todo en lo que se refiere a los imitadores más o menos mediáticos, es otro problema. Es el problema del libro.
2) La entrevista trata, después, el problema del divorcio entre el pueblo y los intelectuales. Tema difícil, ya que puede, de la misma manera, alimentar un discurso de extrema derecha (como Anselm Jappe lo ha señalado a menudo). Interpretar el rechazo de la izquierda por parte de la "gente ordinaria" como la consecuencia de una simple traición por parte de los intelectuales, es evidentemente reductor. Mi respuesta probablemente es demasiado lapidaria, pero intento colocarme desde el punto de vista de las reivindicaciones inmediatas de las gentes, tal y como se expresan en manifestaciones, huelgas o también al votar. Me parece que esas reivindicaciones tienen que ver con la cuestión social. Eso no quiere decir que las reivindicaciones identitarias y / o sexuales no sean importantes, sino más bien que habría que plantearlas dentro de la problemática social. Los intelectuales formados en la deconstrucción citados en la entrevista me parece que separan, al contrario, ambas cuestiones, invalidando en definitiva la lucha social y las antiguallas conceptuales que se supone la sustentan (conflictos de clase, crítica de la alienación, abandono del fetichismo del mercantilismo).
3) La "falta de cultura" filosófica e histórica aducida para explicar ciertas posturas de la "izquierda" se refiere principalmente a nociones como la naturaleza, el pasado o el conservadurismo. Existe una diferencia entre afirmar que las desigualdades sociales se fundan en la naturaleza y considerar que cierta forma de "naturaleza" -aunque sea residual y se presente con el aspecto del propio cuerpo o del desarrollo equilibrado de las tendencias psíquicas- proporciona una base crítica para oponerse a la remodelación del hombre nuevo por parte de cualquier sistema totalitario, incluido el totalitarismo mercantil. Existe una diferencia entre restaurar el pasado y volver al pasado para mostrar en el presente su falsa evidencia. Una diferencia, para terminar, entre la "revolución conservadora" de los años 1930 y un conservadurismo revolucionario (del que encontramos, a mi parecer, numerosos testimonios en A Contretemps).
4) La referencia a Alexis Escudero y a su obra La Reproduction artificielle de l’humain* es la respuesta a una cuestión por la que se interesa La Décroissance, la cuestión de la reproducción asistida y la subrogación gestacional. Yo no me pronuncio en cuanto al contenido de la obra, que puede criticarse en ciertos puntos y con buenas razones. Lo que atrajo mi atención fue la prohibición de presentar su libro en el entorno libertario, independientemente de la actitud de desafío, mortífera o de desprecio que haya podido mostrar el autor y que yo desconozco directamente. Una vez más, existe una diferencia entre mostrar los defectos y la torpeza de una tesis y prohibir pura y simplemente el debate con el pretexto de luchar contra la homofobia, el masculinismo, etc.
Renaud García, 25 de enero de 2016.
Notas:
*(Ndt) El desierto de la crítica. Deconstrucción y política..
(1) «D'un néant critique déconstruction et postanarchisme», in http://acontretemps.org/spip.php?article581
(2) El título de esta entrevista es de nuestra redacción.
*(Ndt) El término “fascista progre” pretende traducir el sintagma “rouge-brun” por el que se designa en francés una ideología que mezcla valores de extrema derecha y de extrema izquierda.
*(Ndt) La reproducción artificial del ser humano.
Fuente : http://acontretemps.org/spip.php?article590
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alain-keler · 7 years
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Avril 1987.
Musée de l’Ermitage, Leningrad. URSS.
Un des trois plus grands musées d’art du monde, aux côtés du Louvre et du Metropolitan Museum, mais le plus grand musée en terme d’objets exposés.
Passage obligé pour la fin de mon voyage dans une Union Soviétique qui n’a que quatre années à vivre avant sa dissolution le 26 décembre 1991. J’avais toujours entendu dire que la culture était un élément important de la vie des soviétiques. La culture contribuerait à l’émergence d’un homme nouveau, l’homo sovieticus, l’homme soviétique.
Un colloque international  a eu lieu à la Sorbonne en décembre 2011 : La fabrique du soviétique dans les arts et la culture. Construire / déconstruire l'homme nouveau en URSS/
« Dès son instauration, le pouvoir bolchevik annonce vouloir construire un monde nouveau, communiste, et faire tabula rasa du passé (ce en quoi il peut, d'ailleurs, paraître s'inscrire dans des revendications d'artistes prérévolutionnaires). La révolution est comparée à l'apocalypse, et la classe ouvrière à un creuset où serait modelé un « homme nouveau », adhérant à des valeurs spécifiques et vivant dans des conditions radicalement différentes de celles de l'époque précédente. Cet « homme nouveau » - le Soviétique - est censé être le résultat, mais aussi le moyen de la construction du communisme en URSS, et il restera un objectif, proclamé dans les discours des plus hauts dirigeants, jusque dans les années 80 ».
  Source : http://www.univ-paris3.fr/la-fabrique-du-sovietique-dans-les-arts-et-la-culture-construire-deconstruire-l-homme-nouveau-en-urss-136614.kjsp
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reseau-dedale · 5 years
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Épisode 2 - BPJEPS Animation culturelle
réseau dédale anime à partir de septembre 2019 les UC 3 et 4 de spécialité du BPJEPS Animation culturelle de Trajectoire Formation (https://www.trajectoire-formation.com/). Chaque mois, les formateurs SIAM ANGIE et porte renaud rédigent avec les stagiaires un épisode du Journal de bord pour revenir sur les expériences vécues. Pour notre blog ici-même, nous vous proposons un extrait sous la forme d’un article autonome. Cette partie a été proposée par SIAM ANGIE et concerne le deuxième regroupement, en octobre 2019. N’hésitez pas à lire l’intégralité sur le journal Trans-formations :
 http://www.lestransformations.org/index.php/les-trans-formations/animation-culturelle-et-pensee-critique/92-bpjeps-animation-culturelle-journal-de-bord-des-uc-de-specialite-episode-2-l-experience-concevoir-et-deconstruire
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C'est une journée de formation d'octobre 2019 consacrée à l’expérimentation des séances d’animation conçues la veille en trois groupes de deux ou trois stagiaires. Contrainte importante, en dehors de l’unique heure dédiée à l’expérimentation de la séance, le choix d’un objectif général duquel devait découler l’objectif de l’animation proposée : « Proposer de nouveaux horizons socioculturels ». Revenons sur la première expérimentation car elle nous permet de mettre le doigt sur le sens de nos actions.
Deux stagiaires nous proposent un atelier d’initiation à la langue espagnole sur la base d’une comptine nommée Rana Cucù et conclu par la fabrication pour chacun d’une grenouille sauteuse en papier plié. Au départ de cette animation, l’envie de partager la langue maternelle d'un des deux stagiaires et des éléments de la culture Colombienne qui est la sienne, et un attrait partagé entre les deux stagiaires pour la musique.
Après avoir vécu ce temps, nous utilisons la méthode des six chapeaux de De Bono pour tracer un premier retour de tous les stagiaires sur ce qu'ils ont vécu. Enfin, est venu le temps de donner à mon tour quelques éléments. J’ai notamment pointé un décalage entre ce que nous avons vécu et l’objectif annoncé par les stagiaires qui animaient. En effet, dans un but d’initiation à la langue espagnole et de découverte de la culture colombienne, le temps d’animation sur la comptine convenait, même s’il pouvait être opérationnellement amélioré, tandis que la proposition de pliage d’une grenouille, elle, n’avait aucun rapport avec cet objectif et venait simplement en clin d’oeil à la grenouille de la comptine. C’est à cet endroit qu’il faut être attentif, le moment où l’on perd de vue notre objectif car tout perd du sens et finalement on transforme une expérience de qualité en moment peu structuré qui n’a pas l’impact escompté. Est-ce que le public doit en conclure que la Colombie est le berceau culturel du pliage de papier, de l’origami, puisque le terme a été utilisé ? Ou que la grenouille est l’animal représentant la Colombie, qu’elle a une importance particulière pour le pays ? Non, et c’est là que par deux fois tout le sens s'effiloche. Ici, se retrouve condensé en quelques lignes la raison qui nous pousse à travailler sur des grilles d'évaluation qui nous permettent de vérifier à tout moment que nous ne perdons pas le sens. Accrochons-nous aux outils qui nous permettent de mettre de la qualité dans nos actions !
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ouarzazate · 5 years
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Déconstruire les références à la volonté de « bénalisation du <b>Maroc</b> » (note de Karim Bouzida)
Les nouvelles autorités de Tunisie voient dans le Maroc un modèle notamment en matière de coexistence avec les Islamistes. Si Moncef Marzouki et sa ... source https://www.google.com/url?rct=j&sa=t&url=https://www.moroccomail.fr/2020/03/05/deconstruire-les-references-a-la-volonte-de-benalisation-du-maroc-note-de-karim-bouzida/&ct=ga&cd=CAIyHGZjOGY3YTdmOWE3MjBhYTI6Y29tOmZyOlVTOkw&usg=AFQjCNHCbC80-ncIHfdEbrKWkUETVYQufQ
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leblogdenytche · 5 years
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[share author='Marianne' profile='https://twitter.com/MarianneleMag' avatar='https://pbs.twimg.com/profile_images/1065635156680237064/4bBlxO-a.jpg' posted='2020-02-15 18:55:43' link='https://twitter.com/MarianneleMag/status/1228754781981872135']Deux ans et demi après les coups de casque assénés à un militant socialiste, le voilà réhabilité et même félicité par Emmanuel Macron pour son nouveau livre, "Déconstruire la haine". "Tu es top", lui a récemment envoyé le chef de l’État sur WhatsApp. marianne.net/politique/m-ji…
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