#Île de la Table Ronde
Explore tagged Tumblr posts
Text
Summer highlight reel: Île de la Table Ronde
To the South of Lyon, the "Island of the Round Table" in the middle of the Rhône offers a fantastic escape from the city. While the East side is exposed to a lot of noise from motorway traffic, the inside and West shore are gorgeous, and the southernmost end is a nature preserve.
The river flows by at a steady pace, making it a good spot for a reaction ferry similar to the ones in Basel. Fair play to the locals, they thought that too!
Bridges now do the job - though the suspension bridge from Vernaison isn't doing too well. Built in 1959, it needs replacing and until then, traffic is limited on it so as not to overload it. This hasn't been helped by the North side of the island being an industrial estate.
In the centre of the island, one finds a ruined farm, the Ferme aux Loups. One thing @teamroquette likes to do is geocaching, and so we looked for some, but the most elusive geocache of all was the namesake of the island. There are pictures of a round table associated with the island on Google Maps, but we missed it. That said, one Google review also mentions that they couldn't find it, so who knows.
We did find these interesting and somewhat imposing water level meters though. Lay on them to measure yourself... and get the wrong answer!
#France#Rhône#Lyon#Vernaison#Solaize#Sérézin du Rhône#Île de la Table Ronde#abandoned#ferry#reaction ferry#farm#Ferme aux Loups#geocaching#hiking#summer highlight reel#2024-08
8 notes
·
View notes
Text
youtube
La littérature jeunesse, continent sans frontières ? | Assises de la littérature jeunesse
Depuis 2017, les professionnels du livre pour la jeunesse se réunissent tous les deux ans lors des Assises de la littérature jeunesse. Cette année, pour la 4e édition, maisons d’édition, auteurs, traducteurs, journalistes, médiateurs du livre ou encore enseignants se retrouveront autour d’une question : la littérature jeunesse, continent sans frontières ? En partenariat avec le Syndicat national de l’édition, avec le soutien de La Sofia. 00:00 Introduction par la Présidente de la BnF, Laurence Engel, et Louis Delas (Vice-président du Syndicat national de l'édition) 14:32 Conférence inaugurale de Clémentine Beauvais, autrice et traductrice 32:46 Table Ronde 1 – Les métiers de l’international avec Laura Karayotov (agent littéraire), Bernard Friot (traducteur), Isabelle Darthy (responsable de cession de droits, L’école des loisirs), Laurence Leclercq (responsable de cession de droits BD Jeunesse, Delcourt) - Modération par Nicolas Roche (Directeur général, BIEF) 2:04:00 Mathilde Lévêque, professeure à l’Université Sorbonne Paris Nord 2:22:57 Table Ronde 2 – La littérature jeunesse au défi du numérique, avec Anne-Sophie Steinlein, (Directrice des opérations, YouScribe), Michael Stora (psychologue et psychanalyste, expert des mondes numériques), Jeanne Seignol (journaliste et booktubeuse) - Modération par Laurent Carpentier (journaliste, Le Monde) 3:14:54 Lecture à voix haute par Souleymane (finaliste Île-de-France 2023 des Petits champions de la lecture) 3:21:51 Intervention vidéo de Dorottya Rédai (Présidente de l’association hongroise LGBT LABRISZ, éditrice du recueil de contes inclusifs Brune-Feuille, le prince se marie et autres contes inclusifs) 4:48:03 Intervention de Praline Gay-Para, (conteuse) « Les contes qui traversent les frontières » 4:54:59 Table Ronde 3 – Les enjeux de la coopération internationale, avec Christine Cornet, (attachée Livres et débat d’idées au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères), Hasmig Chahinian (chargée de mission internationale au CNLJ, responsable d’IBBY France), Laurence Faron (directrice des éditions Talents Hauts et co-Présidente du groupe Jeunesse du SNE), Christine Morault (cofondatrice et directrice éditoriale des éditions MeMo), Modération par Florence Salanouve (directrice de la valorisation à l’ENSSIB) 6:53:40 Table Ronde 4 – La littérature jeunesse, vecteur de soft power, avec Cédric Pilot (producteur, Mediawan), Louis Barchon (rédacteur en chef de la revue Lecture Jeune), Valérie Salamm (co-fondatrice Folie d'Encre), Modération par Lloyd Chéry, (journaliste et rédacteur en chef adjoint de Métal Hurlant) 7:52:23 Discours de clôture par Laurence Faron et Cécile Térouanne (co-présidentes du groupe Jeunesse au SNE) Plus d'informations : https://www.bnf.fr/fr/agenda/assises-... Programme détaillé : https://www.sne.fr/evenement_sne/assi...
1 note
·
View note
Text
Pour une nouvelle génération de paysannes, paysans
D’ici à 2030, la moitié des agricultrices et agriculteurs sera partie à la retraite, qui va prendre la relève ? Favoriser l'installation et la transmission des fermes c'était le thème d'une table ronde organisée par la Confédération paysanne Île-de-France, en marge du Salon de l'agriculture
0 notes
Text
Invitation au voyage : la Bretagne en 7 escales inoubliables !
La Bretagne regorge d'Histoire, de légendes et d'une multitude de paysages tous plus somptueux les uns que les autres ! Falaises découpées, montagnes séculaires, plages romantiques ou cités médiévales... Vous n'avez que l'embarras du choix. Alors cet été, embarquez pour un voyage unique entre terre et mer ! Ô Magazine vous propose de découvrir la Bretagne en 7 escales inoubliables... Brocéliande, le pays des légendes Tout d'abord, entamons notre voyage en parcourant la Forêt de Brocéliande, terre d'Histoire et de Légendes... Si vous souhaitez renouer avec la nature lors de promenades en forêt, vous serez immédiatement séduit par la quiétude et la beauté des lieux. La forêt légendaire se révèle aux randonneurs dans toute sa splendeur estivale, nimbée de lumière et de magie : laissez-vous guider par le murmure de la Fontaine de Barenton, par l'éclat improbable de l'Arbre d'Or. Du Val Sans Retour aux Menhirs de Monteneuf, découvrez les trésors cachés au cœur de cet écrin de verdure. N'oubliez pas de faire halte au Centre de l'Imaginaire Arthurien basé au Château de Comper et laissez-vous conter les Quêtes aventureuses du Roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde. Expositions, balades thématiques, marchés médiévaux... De nombreuses animations se déroulent chaque année entre les murs de cet ancien manoir breton et sur les rives du lac qu'il surplombe... Forêt de Brocéliande © Yvon Boelle Rennes, une capitale aux mille visages Maintenant, détour urbain en Ille-et-Vilaine ! Souvent appelée "le petit Paris", la préfecture bretonne vous séduira par la richesse et la variété de ses architectures ! En effet, les amoureux de vieilles pierres pourront se perdre dans le dédale de ruelles pavées du vieux centre. Et pourquoi ne pas aller se restaurer dans l'une des nombreuses crêperies à colombage qui agrémentent les places ? Quant aux amateurs du style Haussmannien, ils longeront avec plaisir les quais bordant la Vilaine et iront flâner du côté de l'Opéra pour boire un café en terrasse. Envie de calme et de verdure ? Le Parc du Thabor vous accueillera pour une balade romantique, à l'ombre de ses arbres et de ses statues endormies. Enfin, pour plus de modernité rendez-vous sur les Champs Libres pour une expo, un concert ou encore une conférence. Sinon, allez simplement vous perdre dans les rayons de l'étonnante bibliothèque, digne d'une œuvre d'Art Contemporain ! À lire également : 7 lieux insolites à visiter en France cet été La côte d’Émeraude, entre terre et mer Crédit-photos : CRTB / Emmanuel BERTHIER Située entre Cancale et le somptueux Cap Fréhel, la Côte d’Émeraude doit son nom aux incroyables reflets verts de la mer qu'elle épouse. Reconnue pour sa biodiversité exemplaire, cette partie du littoral breton est considérée à l'échelle européenne comme site Natura 2000. Autant vous dire que vous trouverez difficilement plus spectaculaire et sauvage que cette succession de falaises majestueuses, de dunes verdoyantes et de plages sans fin... Profitez aussi de votre séjour pour explorer les nombreuses îles bordant la côte : Cézembre - dite l'île interdite, ou encore l’île du Grand-Bé qui abrite le tombeau de Chateaubriand. Prolongez votre séjour pour visiter St Malo et arpenter les remparts de cet ancien bastion des corsaires... La Pointe St Mathieu, aux portes de l'Atlantique Au bout de la Bretagne, à la pointe même du Finistère, se dresse un phare. Balayé par les vents, il surplombe fièrement les ruines de l'ancienne abbaye. Plus bas encore, les vagues viennent s'écraser sur les falaises abruptes... Ce décor étrange et fascinant, ou la civilisation se mêle aux éléments, c'est la Pointe St Mathieu. Au loin, on peut apercevoir Molène et Ouessant. D'ailleurs, une navette rejoint les îles depuis le port du Conquet, à quelques kilomètres au nord. Cette escale pleine de charme placera vos vacances sous le signe de l'évasion ! Mais avant de partir, découvrez l'Histoire de la Pointe bretonne en consultant cet article du site Bretagne Bretons. Fougères, témoin des siècles Poursuivons notre périple en explorant l'un des joyaux du patrimoine historique de Bretagne : Fougères ! Cette cité médiévale trouve ses origines très tôt dans l'Histoire, au 1er siècle avant J-C. Elle a traversé les Âges, immuable, et se dresse aujourd'hui plus belle que jamais, bordée de sa forêt domaniale. De nombreux sentiers permettront aux randonneurs de flâner jusqu'au Cordon des Druides - un très bel alignement mégalithique. En outre, vous pourrez arpenter le lieu-dit des Vieux-Châteaux pour examiner les restes d'un ancien tumulus... C'est donc un voyage dans le temps que vous entreprendrez ici, dans un paysage authentique de granit et d'arbres centenaires ! Huelgoat, le bijou des Monts d'Arrée À présent, laissez-vous charmer par la beauté naturelle d’ Huelgoat ! Niché au cœur des Monts d'Arrée, cet ancien chef-lieu de canton rassemble à lui seul tous les critères pour vous séduire. Il y a un an, la commune a obtenu le label « Communes du Patrimoine Rural de Bretagne ». Pour cause ? La richesse exceptionnelle de son patrimoine architectural et paysager. On raconte même que sa forêt serait le vestige occidental de l'ancienne et vaste Brocéliande. Il est vrai que la magnificence de ses Chaos et l'aspect séculaire de sa végétation foisonnante rappelle étrangement la magie de Brocéliande. Et pour profiter pleinement de ce cadre féérique, nous vous conseillons un petit détour par L'Autre Rive. Vous serez chaleureusement accueillis dans ce café-librairie perdu dans la forêt aux abords de Berrien. Carnac, au cœur des menhirs Alignements megalithiques © Yvon Boelle Enfin, direction le Golfe du Morbihan pour admirer les plus célèbres monuments mégalithiques de Bretagne : des milliers de menhirs qui se dressent fièrement sur une quarantaine de sites, dessinant un paysage déroutant et mystique ! Pour mieux apprécier le caractère exceptionnel de ces alignements, faites le plein d'Histoire et d'Archéologie au Musée de préhistoire de Carnac ! Découvrez également notre sélection d'articles pour connaitre les plus belles destinations en France et à l'étranger ! - 7 lieux insolites à découvrir en France cet été - Tour d'horizon des plus belles plages françaises - Top 10 des pays à visiter en 2020 Read the full article
0 notes
Text
La croisière
Voici ma participation pour le Sicktember 2022. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Loid, Yor et Anya montèrent sur le paquebot. Yor et Anya regardèrent autour d’elles, fascinées. C’était la première fois qu’elles faisaient une croisière. Loid, quant-à lui, était déjà monté sur un paquebot pour une de ses missions. Sauf que cette fois, il faisait parti des passagers et non de l’équipage.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
@sicktember
AO3 / FF.NET
Loid, Yor et Anya montèrent sur le paquebot. Yor et Anya regardèrent autour d’elles, fascinées. C’était la première fois qu’elles faisaient une croisière. Loid, quant-à lui, était déjà monté sur un paquebot pour une de ses missions. Sauf que cette fois, il faisait parti des passagers et non de l’équipage.
Il y a un mois alors que les Forger faisaient des courses, Anya avait insisté pour participer à une tombola et elle avait gagné le premier prix, une croisière dans les îles qui entouraient le pays. Anya et Yor avaient été tellement heureuses que Loid n’avait pas pu refuser de partir. Le plus difficile pour Anya était que Bond ne puisse pas venir avec eux, les animaux de compagnie étant interdit sur le bateau. Mais après que Loid lui ait dit que Bond ne resterait pas seul, Franky serait avec lui, et que la petite fille lui ait fait promette de bien s’occuper de leur chien, la famille Forger pouvait enfin profiter de leur premier prix.
Après avoir été accueilli par le capitaine, les Forger découvrirent leur cabine. Anya couru dans la chambre et regarda tout autour d’elle, émerveillée. Elle vit son lit et sauta en l’air, heureuse.
« Chichi, Haha , mon lit est immense ! S’exclama-t-elle joyeusement. »
Loid et Yor regardèrent le lit qu’ils devaient partager et rougirent. Il est vrai que pour tout le monde ils étaient mariés, alors il n’y avait rien de plus normal à ce qu’ils dorment dans le même lit. Loid balaya la chambre du regard pour trouver une solution et vit le canapé.
« Ne… Ne t’en fais pas Yor, balbutia-t-il, toujours les joues rouges. Je vais dormir sur le canapé.
-Mais non, voyons. Je ne peux pas te laisser faire ça.
-Ça ira, sourit-il. »
Un des membres de l’équipage vint frapper à la porte pour leur annoncer qu’un dîner de bienvenu serait organisé pour les participants de la croisière. Une fois qu’ils furent apprêtés, ils se rendirent dans la grande salle à manger. Ils s’installèrent à une table ronde et le capitaine monta sur l’estrade qui avait été montée pour que tout le monde puisse profiter des spectacles qui leur seraient proposés pendant le voyage. Le capitaine leur souhaita à tous la bienvenue. Il prononça son discours avec éloquence et enthousiasme. Il faisait en sorte que tout le monde se sente à l’aise et de bonne humeur.
Au bout de quelques minutes, Loid remarqua que Yor n’avait pas dit un mot. Il regarda vers elle, elle était immobile. Il l’observa et vit ses lèvres serrées et ses yeux plissées. Elle prenait de longues inspirations et Loid n’aurait pas su dire si elle était en colère ou si elle venait de sentir quelque chose de mauvais.
« Est-ce que tout va bien Yor ? »
Elle cligna des yeux et sourit. Mais Loid voyait que c’était un sourire forcé, presque crispé.
« Oui, ça va. »
Elle regarda à nouveau devant elle. Une fois de plus, elle serra les lèvres et plissa les yeux. Elle est en colère, pensa Loid. Mais pourquoi ? Est-ce qu’elle était en colère contre lui ? Il réfléchit à tout ce qu’il s’était passé depuis qu’ils étaient montés sur le paquebot. Avait-il dit ou fait quelque chose qui l’avait contrarié ? Il pensa à la moindre parole qu’il avait dit, au moindre geste qu’il avait fait, mais il ne trouva rien.
« Haha , tu es toute verte, dit Anya. »
Loid observa le visage de Yor. Anya exagérait, elle n’était pas verte mais elle était beaucoup plus pale que d’habitude. Loid comprit ce qu’il lui arrivait. Il en eut la confirmation lorsqu’un serveur arriva et posa une assiette de fruits de mer devant elle. Elle plaqua sa main sur sa bouche, se leva et partit en courant de la salle.
« Haha ! Appela Anya en se levant brusquement de sa chaise. Chichi, on doit suivre Haha ! »
Elle prit la main de Loid pour le faire se lever plus vite. Ils sortirent précipitamment de la salle et se dirigèrent vers leur cabine. Ils virent Yor sortir de la salle de bain. Elle était encore plus pale et essayait de se retenir pour ne pas retourner vomir. Elle réussit à s’allonger sur le lit en gémissant.
« Je ne me suis jamais sentie aussi malade, réussit-elle à articuler. »
Anya se précipita vers Yor. Elle regarda Loid avec les yeux remplis de larmes.
« Chichi, je ne veux pas que Haha meurt. »
Loid pouvait voir à quel point elle était inquiète. Il s’approcha d’elle et lui caressa les cheveux. Il lui sourit pour la rassurer.
« Ne t’inquiète pas. Yor ne va pas mourir. Elle a le mal de mer. Ça arrive à beaucoup de personne. Mais tout s’arrangera une fois qu’elle sera sur la terre ferme. »
Yor prit la main d’Anya et la serra.
« Je suis désolée de t’inquiéter Anya. Mais j’irai bientôt mieux. »
Anya renifla bruyamment et essuya ses larmes.
« Je vais m’occuper de toi jusqu’à ce que tu ailles mieux, dit-elle avec force. »
Loid ne put s’empêcher d’être fière d’Anya. Il jeta un coup d’œil vers Yor et se dit qu’il ne pouvait pas la laisser comme ça. Il sortit de la cabine en leur disant qu’il revenait dans quelques minutes et il partit à la recherche de l’infirmerie. Une fois qu’il eut expliqué la situation à l’infirmière, elle lui donna des médicaments pour soulager le mal de mer.
Il retourna à la cabine et il vit Anya dans le lit, blottit dans les bras de Yor. Toutes les deux étaient profondément endormies. Loid sourit. Il posa les médicaments sur la table de nuit, il les donnerait à Yor une fois qu’elle serait réveillée. Il remonta la couverture sur toutes les deux, prit une chaise qu’il posa à côté du lit et s’assit. Il était prêt à veiller sur sa petite famille toute la nuit si c’était nécessaire.
Fin
#sicktember#Sicktember 2022#spy x family#twiyor#loiyor#Twilight x Yor#loid x yor#loid forger#Yor Forger#anya forger#My writing
12 notes
·
View notes
Text
L'exceptionnelle destinée de son porteur
Arthur x Guenièvre (Kaamelott)
Sommaire : De retour au royaume de Logres, Méléagant parvient à se rendre sur l’Île de Tenet et à enlever la reine. Arthur remue ciel et terre pour retrouver son épouse, mais lorsqu’il la secoure enfin, Guenièvre n’est plus tout à fait la même...
Notes : Fanfiction post-Kaamelott Premier volet (attention spoilers !) Ceci est ma première fanfiction écrite depuis des années et publiée sur tumblr... Soyez gentils les petits croustis *-*
Cela faisait maintenant plusieurs heures que le roi se trouvait au chevet de son épouse. La reine Guenièvre était de retour sur les terres ancestrales de sa Carmélide natale, au sein des murs protecteurs de la forteresse paternelle du Seigneur Léodagan. C'était là, qu'Arthur et plusieurs chevaliers de la Table Ronde avaient trouvé refuge, à la suite du débarquement des dernières troupes fidèles à Lancelot, sur l'Île de Tenet. Un assaut surprise ayant servi de diversion au fourbe de Méléagant, pour enlever Guenièvre, alors que les hommes du château s'étaient rassemblés sur le flan ouest pour engager la riposte.
Lorsque Arthur avait découvert sa disparition, il avait ressenti une vive inquiétude lui envahir la poitrine. Sans prononcer un mot, il avait renversé bibelots et meubles de la chambre désormais vide, partagée avec son épouse. Il avait arraché les tentures de colère, mordu et frappé les incapables gardes qui avaient failli à leur tâche, puis il avait finalement brandi Excalibur contre Léodagan, qui lui avait rappelé âprement d'utiliser sa rage pour retrouver sa fille et non pour détruire sa demeure. C'était la première fois que ses sujets le voyaient soumis à une telle agitation. Même Karadoc en avait perdu l'appétit, (le temps d'une heure, tout au plus). Jamais Arthur n'avait éprouvé un tel effroi au cours de sa vie passée. Pas même lorsqu'il avait découvert Shedda le visage tuméfié, ou qu'Aconia était venue lui faire ses adieux. L'impuissance avait repris le dessus dans son esprit, pour venir tout saccager et lui rappeler son destin lui échappait une fois de plus.
La traque avait duré des semaines, longues, rudes, semblant interminables aux chevaliers et Arthur lui-même. Mais le Seigneur du Royaume de Logres n'avait pas baissé les bras, pas cette fois. Il avait persévéré jusqu'à l'épuisement. Fouillant chaque recoin des terres sacrées, de l'Île de Bretagne, jusqu'aux confins de l'Aquitaine où il avait envoyé émissaires et éclaireurs. Finalement, ce fût sur l'indication piètrement hasardeuse d'un petit vieux rencontré par Perceval sur la route de Vannes, qu'Arthur retrouva la trace de son épouse, retenue prisonnière sur une petite île jouxtant la Bretagne continentale et assez loin des côtes, pour décourager toute évasion à la nage. Le roi s'était préparé à affronter Lancelot en arrivant sur les lieux, mais il n'y avait trouvé que la stature inquiétante de Méléagant, contre lequel il avait engagé un combat intense. L'homme en capuche avait usé de ruses et de magie pour le déstabiliser, au point de parvenir à l'épuiser physiquement et le désarmer. Arthur avait cru sa dernière heure arriver quand le corps massif de son ennemi l'avait surplombé et commencé à serrer sa gorge de ses deux mains. Puis une lueur bleue l'avait aveuglé. Une puissante colonne de feu s'était élevée au-dessus de leur tête, avant de s'abattre froidement dans le dos de Méléagant, qui tomba raide mort sur le sol. Affaibli par le manque d'air, Arthur avait mis du temps à réaliser que son sauveur n'était autre que son épouse Guenièvre, armée d'Excalibur, plus flamboyante que jamais.
Cette image hantait le roi depuis leur retour en Carmélide. Il avait retrouvé son épouse certes, mais l'inquiétude persistait. Méléagant n'avait pas été aussi clément que son rival Lancelot. Guenièvre était considérablement amaigrie et faible. Elle avait perdu sa taille gironde et le rebond de ses joues, qu'Arthur avait longtemps refusé de caresser. Voilà deux jours qu'elle dormait pratiquement sans discontinuer. Face à ce spectacle angoissant, le roi ne pouvait que repenser à sa propre expérience. Aux jours qui avaient suivi sa tentative de suicide et durant lesquels, Guenièvre s'était enfuit de Carmélide pour venir à son chevet. Comme elle, il ressentait l'injustice du moment. Attendre, sans savoir si ses yeux allaient un jour se rouvrir. Attendre était pire que tout.
Trois coups venaient d'être frappés à la porte de la chambre, sortant le roi de ses songeries sinistres. C'était le Seigneur Perceval, qu'il invita à entrer après s'être annoncé.
« Ah Sire ! Je savais pas si vous dormiez, c'est Elias qui m'a demandé de vous amener cette potion. C'est pour la reine ! » lui dit le chevalier à la chevelure grise, en lui tendant une fiole au contenant jaunâtre.
« À boire dans deux verres d'eau. Euh non... deux gouttes dans un verre d'eau ! Non, c'est pas ça. Un verre dans deux...
- Donnez-moi ça ». Ordonna le roi, en se saisissant de la fiole.
Il posa cette dernière sur la table de chevet, près de la chandelle se consumant. Un silence pesant s'installa dans l'atmosphère tamisée de la chambre. Arthur avait de nouveau posé son regard inquiet sur la silhouette de sa femme alitée. Sentant la présence de Perceval demeurer à ses côtés, il l'enjoignit à s'asseoir sur l'un des sièges situé près de la fenêtre, puis il lui servit à boire dans l'un des gobelets apportés plus tôt dans la journée par les domestiques.
« J'ai pas compris, votre femme, elle a été blessée ou pas ? Demanda le chevalier aux yeux bleus.
- Non, Merlin dit qu'elle est sous-alimentée et déshydratée. Expliqua le roi avec difficulté. Elle a passé plusieurs semaines dans le cachot où on l'a trouvé.
- Quel salaud ce Méléagant ! S'exclama Perceval avec toute l'indignation que lui conférait son cœur pur. »
Il semblait aussi que la reine ait souffert du froid et de l'humidité. La fièvre avait mis du temps à passer. Heureusement, chaque jour son état semblait s'améliorer, bien que cela prenne un temps considérable.
« Je peux vous poser une question ? Demanda Perceval, qui ne supportait visiblement pas le silence.
- Quoi ?
- C'est vrai que votre femme, elle a saisi Excalibur et qu'elle s'est mise à flamboyer ? J'ai entendu Léodagan le dire à Bohort dans le couloir, à votre retour »
Arthur acquiesça sans dire un mot et Perceval en parut confus.
« Je croyais que c'était qu'avec vous que ça marchait, ce truc-là ?
- C'est plus compliqué que ça.
- Mais elle avait pas marché avec moi aussi ? Demanda Perceval en se grattant la tête.
- Si. acquiesça Arthur. Bon, où vous voulez en venir à la fin ?
- Je sais pas, c'est bizarre. Qu'est-ce qui fait qu'elle flamboie ? Ç'a rapport avec la chaleur temporelle ?
- Temporelle ?
- Oui, tout ce qui est rapport au chaud, au froid. Tous ces trucs-là, quoi.
- Corporelle ? Proposa Arthur, qui fronçait les sourcils.
- Mais nan ! J'veux dire tout ce qui touche à la température de la peau ?
- Corporelle ! Insista le roi, au bord de la migraine.
- Ah oui, voilà c'est ça ! Corporelle. Ç'a un rapport avec ça ? ».
Le roi ferma les yeux un instant, pour laisser échapper un long soupir de désolation. Même après des années à côtoyer le chevalier, il restait indubitablement surpris par son infinie bêtise. Malgré tout, il ne pouvait concevoir de le laisser dans l'ignorance complète. Il prit alors une grande inspiration.
« Excalibur flamboie "lorsqu'elle reconnaît l'exceptionnelle destinée de son porteur". annonça-t-il, en reprenant les mots de la Dame du Lac.
- J'ai rien compris, confia Perceval interloqué.
- Je m'en doute.
- Redites pour voir ?
- "Excalibur flamboie lorsqu'elle reconnaît l'exceptionnelle destinée de son porteur".
- Son porteur ?
- Oui.
- Mais elle porte quoi votre femme ? Elle a une armure elle aussi ? »
Les traits d'Arthur se durcirent, tandis qu'il secouait la tête de fatigue. Un nouveau soupir s'échappa de ses narines bombées par l'agacement. Il avait oublié à quel point entretenir une conversation avec Perceval pouvait être compliqué. « Non, elle porte pas d'armure, commença le roi avant de s'arrêter brusquement. Elle porte... »
Son visage devint soudain doux et tendre. Il se retourna vers son épouse qui semblait toujours plongée dans un profond sommeil. Les pensées d'Arthur se bousculaient dans son esprit. Il se remémora les années passées, les fois où sa femme avait tenu Excalibur entre ses mains, sans jamais que celle-ci ne flamboie à son contact. Il se remémora les mots de la Dame du Lac et son sauvetage par Guenièvre, quelques jours plus tôt. Un frisson parcouru son échine. « Ramenez-vous ! scanda-t-il à haute voix en levant le nez vers le ciel. Il fixa le plafond, comme s'il attendait une réponse. Ramenez-vous, j'vous dis ! » insista-t-il avec sévérité. Un peu perturbé par cet ordre soudain, Perceval approcha son siège du roi.
« Pas vous » gronda Arthur, à son intention. Quelques secondes plus tard, la Dame du Lac apparut sous sa forme astrale. La déesse avait rejoint son plan d'origine, lorsque Arthur avait décidé de reformer la Table Ronde et de reprendre la quête du Graal. « De quoi vous parlez sire ? Demanda Perceval, avec faisant papillonner ses grands yeux bleus.
- Fermez-la, c'est pas à vous que je parle !
- Pourtant, c'est vous qui...
- Fermez-la j'vous dis ! Tiens d'ailleurs, sortez ! Cassez-vous ! » ordonna-t-il en montrant la porte du doigt. L'allure penaude, Perceval quitta silencieusement la pièce pour laisser le roi seul en conversation avec la Dame du Lac, qu'il ne pouvait à nouveau plus voir. « Est-ce que c'est vrai ? demanda Arthur en désignant Guenièvre allongée dans le lit.
- De quoi ?
- Vous payez pas ma tronche, vous savez très bien de quoi je veux parler, sinon vous seriez pas là ! C'est vrai, oui ou non ?
- Ça a toujours été elle votre destinée, soupira la déesse avec condescendance. Seulement vous avez préféré l'ignorer et n'en faire qu'à votre tête, alors...
- Alors quoi ?
- Alors, les dieux vous ont punis.
- Vous voulez dire que ma stérilité, c'était à cause de ça ? Vous vous moquez de moi ? J'ai fait tout ce que les dieux m'ont demandé ! J'ai retiré l'épée ! J'ai créé la Table Ronde ! J'ai fédéré les clans ! Je me suis cassé le cul pendant des années à chercher un Graal qu'a p'têtre jamais existé ! J'me suis mariée avec elle sans même la connaître, pour unifier la Bretagne ! Qu'est-ce qu'il fallait de plus à la fin ?!
- Que vous la choisissiez. Et inversement ». À ces mots, Arthur se mit à soupirer et se tut pendant un moment. « Est-ce qu'elle va s'en sortir, au moins ? » Finit-il par demander, en posant son regard sur Guenièvre. Le temps qu'il se retourne pour obtenir sa réponse, la Dame du Lac avait disparu. « Eh oh ! Vous allez où, là ?! Revenez, déconnez pas ! Revenez ! hurla-t-il, alors qu'il s'était levé.
- Hum...Pourquoi vous criez encore ? » C'était la voix de Guenièvre. La reine était éveillée. D'apparence toujours faible, ses yeux étaient bel et bien ouverts. En croisant son regard, Arthur relâcha ses épaules en signe de soulagement, puis il alla doucement se rasseoir auprès d'elle.
« Pour rien. Je me faisais du souci pour vous.
- Pour moi ? S'étonna Guenièvre en le regardant avec une certaine curiosité.
- Oui, pour vous ». Admit Arthur, en venant saisir l'une de ses mains de son épouse, pour appuyer ses mots. Guenièvre esquissa un tendre sourire, puis fut tout à coup prise d'un vif sursaut, comme si elle avait été frappée par la foudre. Sa main libre se plaqua sur son ventre au-dessus des couvertures et son visage devint plus blême qu'elle ne l'était déjà. Elle paraissait désemparée, profondément soucieuse. Arthur le remarqua, mais ne dit rien. Il caressait doucement le dos de sa main en signe d'affection. Guenièvre resta songeuse quelques instants. Elle semblait chercher ses mots. « Il faut que je vous avoue quelque chose...
- Je sais, la coupa Arthur d'une voix douce.
- Non, mais laissez-moi parler ! rouspéta-t-elle en faisant la grimace. J'osais pas vous le dire, parce que j'avais peur de vous donner de faux espoirs, mais...
- Je vous aime », avoua le roi avec la plus grande simplicité du monde.
La reine resta bouche bée.
« Je vous aime, répéta Arthur en regardant sa femme dans les yeux. J'ai mis du temps à m'en rendre compte. J'ai préféré vous ignorer. Me concentrer sur vos défauts, plutôt que de remarquer vos qualités. J'ai eu tort, j'en suis désolé. Parce que même quand vous m'énervez, même quand vous collez vos pieds gelés contre les miens dans le lit ou quand vous décidez de faire quelque chose alors que je vous l'ai fermement interdit... J'me rends compte que je suis heureux de vous avoir à mes côtés. Que j'ai eu de la chance de vous avoir eu vous à mes côtés, pendant toutes ces années.
- Ça fait longtemps que vous ruminez ça ?
- Dix ans, confia le roi, qui avait passé tout ce temps loin de Kaamelott, en exil.
- Vous avez pris votre temps.
- Vous m'en voyez désolé.
- Je vous en veux pas », le rassura Guenièvre en posant une paume sur la joue rugueuse de son mari.
Le roi et la reine échangèrent un regard complice, puis sourirent. Arthur se rendait compte que son épouse avait été la seule femme à l'aimer véritablement pour son être et non pour sa fonction. Elle avait toujours soutenu l'homme qu'il était, comprenant à quel point le poids des responsabilités pouvait être un fardeau qu'Arthur avait fait de son mieux pour assumer. Elle n'avait jamais été rongée par l'ambition ou la jalousie, et pourtant les dieux savaient combien elle en aurait eu parfaitement le droit. Elle n'avait pas hésité à le suivre dans sa quête de descendance, quand bien même il avait refusé d'en engendrer une avec elle. S'il avait su dès lors, que son bonheur se trouvait de l'autre côté du lit et pas dans celui d'un autre... Chaque jour, les regrets le consumaient, mais à présent, il voyait s'ouvrir une perspective d'avenir bien heureuse avec elle.
Sans dire un mot, Arthur vint apposer une main sur le ventre de sa femme et celle-ci compris qu'il savait. Après des années de prières et de déconvenues, l'héritier du Royaume de Bretagne était enfin en route. « Si vous avez le cœur à manger, je peux vous faire apporter un p'tit frichi, proposa le roi qui souhaitait voir sa femme se remplumer rapidement. Qu'est-ce que vous voulez, du pain, des fruits ? De quoi vous avez envie ?
- Eh bien, vous fâchez pas, mais...vous savez s'il y a de la pâte d'amande ? », demanda Guenièvre en se mordant la lèvre inférieure.
Les pupilles d'Arthur firent un 360 degrés dans ses orbites. Il échappa un rictus nerveux, qui cachait en réalité un sourire aux coins des lèvres.
« On va essayer de vous trouver ça » dit-il, avant de venir déposer un baiser sur le front de son épouse.
#kaamelott#fanfic#arthur x guenièvre#pendranievre#arthur pendragon#guenièvre#perceval#la dame du lac#kaamelott fanfiction#fanfiction
71 notes
·
View notes
Text
Être sur une Île
J’ai toujours eu deux visions de c’était quoi une île : Soit une île déserte, soit une Île paradisiaque.
Mais la seconde que j’ai mis le pied à terre aux Îles de la Madeleine, je me suis rendu compte qu’il y en avait un autre type : une île de marde.
Les gens vont dire que c’est ‘’tellement beau les Îles!’’. J’ai l’impression que mon premier problème, justement, provient du fait que c’est le pire paysage possible selon moi. Oui, c’est bien beau les plages avec une vue prenante sur le fleuve et des collines avec des petites maisons colorées. Mais moi je trouve ça joli sur une photo que je vais regarder maximum 5 secondes. Parce que moi l’esthétique ‘’shack de pêcheur’’, c’est vraiment pas mon fort. La vue sur l’eau, encore moins. C’est peut-être moi qui est bizarre, mais j’ai grandi ayant comme paysage une vallée avec des montagnes qui semblent inatteignables et recouvertes par des arbres de toutes sortes à perte de vue au loin. Mais aux Îles, on oublie ça le relief. Tout ce qu’il y a, c’est des grandes buttes avec du foin comme seule végétation, pis le peu d’arbre qu’il y a ont l’air de s’être fait massacrés à la tronçonneuse. Tout ça pour dire, ce n’est pas à mon goût visuellement.
Sinon, j’ai un autre problème en ce qui concerne l’accessibilité. C’est impossible de sortir d’ici pour retourner chez nous sans prendre l’avion (1h30+3h de voiture) ou le traversier (5h + 8h de voiture). Je dteste absoluemnt pendre l’avion. C’est arrivé une seule fois et je pense pas que la prochaine va être de sitôt parce que honnêtement, je comprends pas c’est quoi le trip dêtre des dizaines de milles pieds dans les airs. Veux-tu ben me dire en quoi l’humain a sa place dans les airs de même? C’est ridicule. Je voyais le monde regarder par les hublos pis moi je me demandais pourquoi ils étaient pas en train de capoter? Si ça crash, c’parce qu’on va mourir là, pis comme faut. Le pire, c’est qu’un aller ça coute 600$+. Juste pour sortir ce c’te criss de trou. J’pense pas que le traversier ça va être bien le fun non plus, surtout en hiver. Les 8 heures de route après non plus ça me tente pas trop, surtout qu’avec la covid on a pas le droit d’arrêter au New-B donc c’est non-stop jusqu’au BSL.
Justement, quitter l’île c’est tellement inaccessible que ça me provoque un sentiment de perte de liberté. Je me sens pris au piège parce que je suis conscient de ce qui m’entoure. Je suis vraiment pas un gars qui a le besoin de sortir de chez lui, donc en théorie ça devrait pas être un problème. Mais quand j’étais à St-Math j’aurais pu prendre mon char pis faire l’Amérique au grand complet si ça me tentais. Tandis qu’ici, tu fais le tour de l’île en 1-2h pis c’est fini. Tu vas virer en rond, même si t’essaye de te sauver ben ben fort. Ça me manque vraiment d’être rattaché à un continent. C’est sécurisant.
En plus, ça a plein d’inconvénients habiter ici. Pas moyen de commander de marchandise volumineuse. Nope. Par exemple, si tu te commandes un meuble, va falloir que tu aille le chercher au quai. À part des colis, rien ne peut t’être livré chez toi. Pour ça, il te faut un pick-up ou connaître quelqu’un qui en a un et qui veut bien t’aider. Parce que si tu as besoin d’un nouveau sofa, il y a environ… 2 magasins de meubles aux îles? Pis j’inclus le Hart, juste pour vous dire. Notre seul magasin grande surface. L’autre, c’est des meubles vendus 2-3-4 fois le prix normal. De l’équipement sportif genre vélo stationnaire etc., on oublie ça aussi parce que c’est lourd et parce qu’il n’y a aucun magasin qui en vend. Y’a un magasin de plein air mais ils vendent comme des vélos tout terrains à 1000$ genre. Je peux-tu vous dire que j’en ai rien à chier de leur économie locale? J’ai juste le goût d’aller magasiner au Wal-Mart parce que enfin je vais trouver ce dont j’ai besoin. Criss, on est même pas capable de se trouver un magasin qui vend une fucking TABLE. Je suis pas ‘’pour’’ la société de consommation, mais caliss que je m’en ennuie! Y’a comme une culture aux Îles, et ça inclus de sortir une couple de fois par années pour faire des commissions. Je sais pas si c’est juste moi, mais j’arrive pas à comprendre comment les gens font pour vivre ici. C’est que des inconvénients. Je sais qu’il y a des gens qui sont attachés à l’Île parce qu’ils ont grandi ici, mais fuuuuuuuck, pourquoi se compliquer autant la vie pour s’entêter à habiter sur une butte de foin à l’autre boutte?
Je me sens tellement perdu pis loin de tout civilisation censée que j’ai envie d’aller habiter en ville. Genre Québec. Ça n’arrivera probablement pas, mais on dirait que j’ai besoin d’une désintox des Îles. J’écoute Gossip Girl, question de voir quelques gratte ciels. Je suis un gars de p’tit village, pis je trouve quand même le moyen de trouver que les Îles c’est perdu pis mal organisé.
C’est important d’avoir tous les services nécessaires, même s’il faut aller les chercher dans une autre ville voisine à 30-45 mins de route de chez soi. Comme quoi c’est indispensable d’avoir des services postaux et de livraison qui se rendent chez vous, si ça te tente de te meubler en Ikéa. Tout particulièrement quand on est en situation de pandémie. On dirait que je me sens encore plus insécure de rester ici dans ces circonstances là parce qu’en plus d’être détaché du reste de la province, j’ai peur qu’il y aille une pénurie de marchandise dont j’ai besoin comme les lingettes désinfectantes qui étaient INTROUVABLES pendant les premiers mois de la covid. C’est super facilitant pour moi donc d’en manquer, ça me rajoute le poids de devoir dealer avec essuie-tout + désinfectant pis ça paraît simple mais ça me complique beaucoup la vie.
Conclusion : Les Îles, c’est cute quand t’es en vacances pis encore là, tu peux aller en gaspésie pis ça fait pareil.
1 note
·
View note
Photo
WITCHTOBER
DAY 20 : " Morgane"
"Morgane, the enchantress with two faces".
Morgane is a recurring character of the Arthurian cycle that transcribes in the Middle Ages Celtic legends peddled by Welsh and Armorican storytellers and jugglers. She is nowadays often depicted with long ebony hair, lascivious forms and a dark spirit with treacherous tricks.
However, a very different portrait of her was told by the bishop and historian Geoffroi de Monmouth, first author to mention her in his poem of 1148: "The Life of Merlin". She is described as the Mistress of the paradisiac Apple Island, an enchantress excelling in the art of healing, helping Arthur and the Knights of the Round Table.
Little by little her image is tarnished with Chretien de Troyes who makes her the sister of Arthur. Then in the 13th century, she sees herself adorned with an evil aura that makes her a real opponent to the actors of the quest for the Grail.
Fairy then "witch", incarnation of the divine feminine or rival of Merlin, another female character who suffered a lot ...
To illustrate the article I chose "The Cup of Love" Dante Gabriel Rossetti (1867). In the prose, Morgue brings to the court of the King a magical cup that can reveal the queen's infidelity.
Jour 20 : MORGANE
"Morgane, l'enchanteresse aux deux visages".
Morgane est un personnage récurent du cycle arthurien qui transcrit au Moyen-Âge des légendes celtiques colportées jadis par les conteurs et jongleurs gallois et armoricain. Elle est de nos jours souvent représentée avec des long cheveux d'ébène, des formes lascives et un esprit sombre aux ruses perfides.
Pourtant, un portrait bien different de celui-ci était dressé par l'évêque et historien Geoffroi de Monmouth, premier auteur à la mentionner dans son poème de 1148 : "La Vie de Merlin". Elle y est décrite comme la Maîtresse de la paradisiaque île des Pommiers, enchanteresse excellant dans l'art de guérir aidant Arthur et les chevaliers de la Table ronde.
Progressivement son image se ternit avec Chretien de Troyes qui en fait la soeur d'Arthur. Puis au XIII ème, elle se voit parée d'une aura maléfique qui en fait une véritable opposante aux acteurs de la quête du Graal.
Fée puis "sorcière", incarnation du féminin divin ou rivale de Merlin , encore un personnage féminin qui a beaucoup souffert...
Pour illustrer l'article j'ai choisi "La Coupe d'amour" de Dante Gabriel Rossetti (1867). Dans le Tristan en prose, Morgue porte à la cour du Roi une coupe magique pouvant révéler l'infidélité de la Reine.
Pour un savoir davantage, rendez-vous au Centre de l'Imaginaire Arthurien
#morgane#legends#arthurian legend#dante gabriel rossetti#painting#preraphaelite#witchcraft#witch#witchery#Occult#womenpower#morganelefay#witchtober#avalon
31 notes
·
View notes
Text
Marvelous May - Weekend dans le centre de Taïwan
Une fois n’est pas coutume, un voyage est organisé par des étudiants de la NCTU dans le cadre de leur cours (c’est pas trop cool comme cours ça ? Organiser un voyage !). Deux jours, le temps d’un weekend sur les routes du centre de Taiwan, me voilà partie avec une trentaine étudiant, taïwanais et en échange et beaucoup de découvertes nous attendent !
La première étape est un musée-usine de mochi. Ces gâteaux originaires du Japon sont réalisés à partir de riz gluant et fourré avec des divers ingrédients (souvent de la pâte d’haricot rouge sucré mais aussi du chocolat, du beurre de cacahuète ou de sésame, confitures, voir certaines versions salées). Nous avons pu faire nos propres mochi et goûter des échantillons de très nombreux biscuits dans la boutique ! Un vrai régal !
Ma boite à Mochi !
Le ventre nous repartons pour visiter un centre d’art traditionnel. Métal, bois, bambous, céramiques, nous avons l’occasion de découvrir les talents de l’île et qui ne sont pas des moindres ! Des dragons et des moutons en bambous, des services à thé en céramique, des bijoux, tout est délicat et requière beaucoup d’heure de travail.
Service à thé en céramique
Après la découverte de ces arts ancestraux, il est temps de manger ! Au programme, un restaurant assez classique de Taïwan (et à ma connaissance de la Chine). Le concept : une table en rond avec un plateau tournant en son milieu. Divers plats y sont disposés et chaque convive peut s’y servir. L’occasion idéal de tester des saveurs parfois un peu particulières !
La fameuse table tournante avant l’arrivée des plats. Je propose dès à présent l’exportation de ce concept en Europe en hommage à toutes ces assiettes échangées entre amis dans les restaurants.
Le ventre bien plein, nous repartons direction le Sun Moon Lake ! Il s’agit du plus grand lac de l’île, situé en plein centre et donc entouré de montagne. L’ensemble est magnifique en dépit du temps nuageux. Un tour de bateau est prévu, nous permettant de découvrir les paysages et un temple Confucius.
Vue l’île de Lanlu. Le cercle autour est composé de mini îles créées par les pêcheurs. On en retrouve un peu partout sur le lac, particulièrement proche des ports.
Vue sur les montagnes depuis le lac
La journée du samedi se termine ainsi, un repos bien mérité nous attend à l’hôtel.
Dimanche matin, le réveil est difficile... Mais cette courte nuit est nécessaire pour aller découvrir le monastère de Chung Tai Chan. Il s’agit d’un bâtiment assez immense, construit en 2001 et qui abrite des statues immenses de Bouddha ! Malheureusement, je n’ai pas pu prendre de photo de l’intérieur, mise à part de l’entrée... Mais je peux vous assurer que la taille des statues est assez incroyable, sublimées par les matériaux utilisés
Vue sur un des côtés du monastère (qui n’est absolument représentatif de la taille de l’ensemble !)
Statues à l’entrée (qui sont très hautes mais pas les plus hautes c’est pour dire)
Après cette visite dirigée par une des nonnes du monastère, nous nous sommes rendus à Lunkang pour profiter du marché. Attention, quand je dis marché, il ne faut pas croire que c’est un marché comme en France ! Il s’agit plutôt de stands dans la rue, où des vendeurs proposent des snacks (très souvent fris !). J’ai pu tester plein de choses différentes et autant vous dire que j’avais plus très faim après !
Oyster Fritter : espèce de gros beignets avec des légumes (oignons je pense) et de l’huitre. Et étonnement, c’est très très bon !
Un croisement du marché
Pour digérer tout cela, les étudiants nous ont fait visiter le temple Longshan de Lukang, un des plus vieux temples de Taïwan. Une très bonne occasion pour découvrir la religion sur l’île et comment prier. Un beau moment de découverte.
Dans la cour du temple
Pour finir ce weekend en beauté, le Gaomei Wetland nous attendait. Il s’agit une zone protégée au bord de l’océan. On peut rejoindre le sable et les quelques centimètres d’eau qui le recouvre à partir d’un grand ponton qui traverse la zone protégée et ses très nombreux crabes. La foule y est très impressionnante mais c’est plutôt agréable de s’y promener.
Au bout du ponton
Et c’est ainsi que ce finit ce chouette weekend plein de découvertes !
#weekend#taiwan#découverte#Sun Moon Lake#Chung Tai Chai Monastery#Lukang#Longshan Temple#Mochi#street food
2 notes
·
View notes
Text
A few bugs seen this summer!
The East side of Île de la Table Ronde is the noisy side, with the motorway running on the opposite side of the river. It's also the side with the widest walking track, and it was teeming with grasshoppers! I noticed a couple had landed on my shirt and were just chilling (maybe interested in eating the fabric? I'm thinking of locusts, aren't I). @teamroquette took the photos as I was unsure how much I could move without them jumping off. Turns out they were really chill.
Other critters seen this summer include some seen at Oberkirch: bees working on flowers, that's a classic, and... some less fortunate insects.
Bonus - posted here because my sister will kill me if I post this on Instagram where she can see it: a spider hanging out by Nonnenmattweiher lake.
#insects#grasshopper#bee#beetle#lizard#spider#orb weaver#France#Rhône#Île de la Table Ronde#Germany#Deutschland#Oberkirch#Nonnenmattweiher#2024-07#2024-08
6 notes
·
View notes
Text
Titre: Loin, loin... (v3 D)
''Dans l'abime du temps'' HP Lovecraft
''Nous vivons sur une île d'ignorance, au milieu des noirs océans de l'infini, où il ne nous est pas donné de nous aventurer bien loin...''
Plus tu vois loin, et plus tu vois qu'il y a plus loin.
D'abord publié sur Deviant art mais ça s'intègre aussi à cette atmosphère fantastique et surréaliste déviée du moment présent.
De la série des ''Nuages Paranos'' qui eux, sont sur Deviant art.
L'origine de cette approche, c'est les ''sculptures sur lumière'' au début de l'expo GR220V sur Deviant art.
La plus surprenante, est sur Blogger...ces liens sont sur mon site QG .
.
Ça fait comme les 3 verticals de la pochette ''Ali Bla Bla Production''!
'' http://michel_grimard.tripod.com/musique2/musique_blanc.htm ''
Un seul album ''Sounds of the light'' avec un nombre de titres indéfinis!
.
Faire des liens inusités! Le cercle, c'est le lien entre le rapport de force dans le tableau et ce visage qui se retrouve dans le cosmos avec le même rapport de force. La méthode était du surréalisme donc sans idées préconçues.
Vous êtes chanceux que je ne sois pas conspirationniste! Bah, au début je m'inspirerais des hits des autres...pizzeria, reptiliens, zone51...
Mais après...!
Mais j'ai pas le temps!
.
Selon la vulgarisation si l'univers a un an, l'existence de l'humain débute à la dernière minute avant le nouvel an.
L'âge de Dieu? La minute avant le nouvel an? Un morveux!
La conception que l'homme se fait de Dieu est arrivé après l'homme et non avant.
C'est de la philo.
Après, c'est à savoir qui dit vrai!
Celui qui vous propose des chaînes de liens logiques avec des transpositions concrètes dans la technologie et lui dit que l'univers a cet âge.
Donc le dogme après l'homme donc le dogme est un jeune morveux.
Ou l'autre qui vous propose ses liens non validés par celui qui fait des chaînes logiques avec transpositions concrètes et qui donne rien à part des querelles tribales pis des harems pour les boss?
Bah, ça donne pas totalement rien...ça dépend pour qui!
SI la logique a encore du sens.
Et je fais partie de ceux qui font des liens logiques qui une fois transposés dans la technologie...blabla...design!
Mais je fais aussi partie de ceux qui font des liens dont la logique peut être discutée autour d'une table ronde en abordant le problème de front...et sans tourner les coins ronds!
Ma logique discutable en est une de quête du savoir. En me disant que si je ne peux prévoir le résultat, c'est que je ne le connaissais pas.
Et la logique discutable d'une conception divine est en premier la cohérence sociale. Pour se faire on utilise le plus bas dénominateur commun soit la peur afin de ratisser le plus large possible donc la peur joue un rôle de vecteur de diffusion.
Les basses vibrations sont plus contagieuses que les hautes.
E=MC2 pour un non civilisé, y s'en kaliss. Jusqu'à ce qu'il le reçoive dans face!
C'est une substitution à l'ignorance et un outil de pouvoir.
Tout est dans l'utilisation de la fonction.
.
Juste souligner que ce dénominateur utile de diffusion qu'est la peur, en est un primitif et que depuis, les même basses vibrations de diffusion peuvent être utilisées avec au contraire des wow!
Comme l'exemple que pourrait être le côté jeu, d'un band métal comme Rammstein. En fait, une bonne partie du spectre des basses vibrations peuvent être exprimées ou diffusées via le jeu ou le sport vue comme un jeu.
Aucuns dommages matériels.
Crissement moins pour être réaliste.
.
Celui qui a raison doit au moins posséder une maîtrise de la raison.
La force brute est activée par le libre arbitre qui lui a la raison comme particularité. Et comme je le mentionnais ailleurs, lors de la deuxième guerre mondiale, c'est la raison qui a gagné aidé de la magie.
La magie a donc voté pour la raison.
Le génie a choisi le réceptacle du gagnant et des valeurs qu'il véhiculait à cette période de l'histoire humaine. Comme une force qui est neutre avant d'être polarisée d'un bord ou de l'autre afin de créer soit le mouvement ou l'équilibre.
Un tofu spirituel qui n'est pas partisan avant de le devenir pour le temps nécessaire à une transition vers autre chose. Le même qui a visité Einstein, a visité les acteurs du drame du ''WTC'' selon mon raisonnement. C'est aussi la même force qui a donné les partitions magiques à la rock star pour que la suite finisse en overdose.
Comme des ''oui c'est ça'' pour mieux faire voir les ''non c'est pas ça!''
Une crise est un signe de transition et la paix une stabilité temporaire.
Les cycles élémentaires à l'évolution.
.
Une me dit...ce que vous appelez intuition est votre âme.
Chers Solange.
Mon mari a pris l'habitude de me gratter la nuit et ça m'ennuie!
Qu'en pensez-vous?
Signé: Rita Bouette
.
L'idée de l'âme, est pour moi une idée simpliste issue des religions.
Ce que vous nommez âme est une identité. La somme de ce que vous avez vécu.
Un BB, c'est un tube à combustion sans identité. Un ordi générique neuf, fournit dans un emballage gluant avec aucunes garanties.
C'est la raison pourquoi l'éducation est un enjeu majeur dans une invasion...la langue parlée entre autre...car c'est l'équivalence d'une attaque des infras structures matérielles d'une sociétés, par l'armée.
3 cartes! Avec un contrôle des infras structures matérielles, des médias et de l'éducation...normalement on obtient des nouveaux payeurs de taxes avec en bonus, les richesses naturelles de l'espace occupé ainsi que les facilités de transports.
.
Le temps fait exister la matière, la matière fait exister la conscience.
À partir du moment que des éléments peuvent interagir, on peut parler d'une forme de conscience sinon comment un atome peut réagir avec un autre si il n'est pas conscient de sa présence?
Tout est une forme de conscience à différents niveaux et la conscience humaine en est une, parmi les autres.
Je vois que c'est une tasse alors je l'ai identifié. La captation mécanique est couplée à une banque d'infos pour donner une réponse qui est l'identité de l'objet.
Avec la même captation sensorielle si on change la banque d'infos, on obtient une autre réalité de l'objet. Pour un, c'était le dieu soleil et pour l'autre, une grosse affaire en feu.
Et l'âme est une configuration temporaire de conscience qui est consciente de sa propre conscience et greffée à une identité. Un robot quantique devrait avoir assez d'infos pour pas être loin de cet état de conscience.
Avec le concept de l'âme des croyances, on mélange l'aspect identitaire avec tout le côté perceptions sensorielles et l'idée intellectuelle.
Pouding bien commode quand on veut pas se poser de questions!
Juste pour notre perception des couleurs, c'est une vérité pour nous mais une fausseté pour tout les autres qui les perçoivent autrement.
Faut tu te laisses aller car c'est ton ââââme! C'est une explication assez sèche.
.
La perception est une question complexe si ce n'est que ça.
L'identitaire est pas plus simple!
Et on ajoute la programmation culturelle et les interprétations intellectuelles!
.
Je vois souvent des elfes dans les illustrations de type fantastique fantaisie alors j'ai été me renseigner!
''Cependant, les elfes ont souvent été considérés comme des êtres réels. Lorsque suffisamment de gens ont cru en la réalité des elfes pour que ces croyances aient ensuite eu des effets réels dans le monde, elles peuvent être comprises comme faisant partie de la vision du monde des gens et comme une réalité sociale''
Réalité sociale ... ce qui est valable pour toutes les croyances car c'est hors de l'analyse objective.
Avec cette perception du réel, on peut multiplier par x le nombre de réels possibles. Un dieu pour un, un elfe pour l'autre, rien de ça mais autre chose pour d'autres...
.
Avoir confiance en son instinct, c'est se faire confiance en tant qu'individu first et c'est ce qui codera le flux qui lui est ce que je nomme ''l'intelligence universelle''.
La cadence universelle décodée selon votre expérience de vie et les codes sociaux de votre culture. Comme des pulsions de sang qui en font un code que l'esprit utilisera. L'esprit se retrouve ainsi branchée sur la conscience universelle et transposera ces impulsions en une réalisation.
C'est ces pulsions qui feront bouger les doigts sur une mélodie improvisée. Mais c'est majoritairement la raison qui en fera une reproduction touchante si dans le ratio, il reste une part d'intuition pour donner les accents uniques à l'interprétation.
Sinon ça sonne comme une fanfare mécanique.
.
Je viens de me faire blaster par un de vos documents vidéo.
Glenn Gould live dans une pratique... archive.
Analyse ... c'est assez extrême comme trance!!! Branché sur le 220V!
Ça fait juste confirmer mes propos sur le stress du corps pendant ce genre de concentration comme un laser! Il a son lot de gestuels théâtrales que je n'ai pas mais se lever brusquement comme contrarié par un dérapage et faut récapituler au mieux avant, ça je connais! On nomme ça aussi l'adversité.
Analyse 2, Glenn Gould si je suis mon raisonnement, c'est beaucoup d'intelligence pis beaucoup moins de génie que celui dont il interprète les partitions. Donc son stress serait sa marge de manœuvre dans la difficulté d'exécution.
Sous toutes réserves, je dirais que c'est in astie de cinglé mégalomane, mélomane de Bach, très intelligent, avec une imagination notable et des muscles de doigts bien galbés!
C'est le chien dans le triptyque de Vladimir Tachisky!
Fidélité névrotique à Bach! J'y vois l'expression d'une volonté anormale. Ce n'est pas le genre d'exemple à suivre qui m'inspire même si j'en ai des enregistrements et c'est très bon.
Parce que ça fait animal de cirque!
Le résultat de toute cette énergie dépensée peut être reproduit en introduisant une partition de Bach en midi dans Reaper et en recalibrant les intensités tout en jouant au Battle Ship!
Tu-Tu-Tu-Tu ... un coup dans ton sous-marin mon astie! Tu-Tu et ainsi de suite!
Mieux!
En concevant un programme qui va le faire à notre place!
Se servir d'algorithmes random comme on voit dans les VST (virtual studio technology), en plus soft, couplés avec la fonction des intensités...puis play!
Mais pour l'instant la machine molle fait mieux que la rigide...dans ce domaine!
Si Bach ça sonne mieux au piano, c'est de sa faute!
.
Avec l'identité, on définie ainsi notre constellation.
Ou nébuleuse...
Ou astéroïde perdu dans l'espace!
.
Sur le concept de l'âme, je me suis trouvé des réponses autres et satisfaisantes. Je suis rendu à la question à savoir si c'est le temps qui a inventé la matière.
Le temps a causé la matière ou bien la matière a causé le temps?
Je passe à un autre niveau de questionnement et me retrouve encore avec la question de l'œuf ou la poule!
Questionnement fractal!
Ma réponse, le loop!
0 notes
Photo
Grands cormorans, goéland leucophée et mouettes rieuses au milieu du Vieux Rhône, juste au sud de Lyon, sur les berges de l'île de la Table ronde... Des oiseaux qui vivent au cœur des éléments : eau, terre et air. La biodiversité est riche mais fragile. Respectons la ! #oiseau #cormoran #mouetterieuse #goeland #iledelatableronde #irigny #auvergnerhonealpes #metropoledelyon (à Île de la Table-Ronde) https://www.instagram.com/p/CTf3r_2Iwes/?utm_medium=tumblr
1 note
·
View note
Text
Invitation au voyage : la Bretagne en 7 escales inoubliables !
La Bretagne regorge d'Histoire, de légendes et d'une multitude de paysages tous plus somptueux les uns que les autres ! Falaises découpées, montagnes séculaires, plages romantiques ou cités médiévales... Vous n'avez que l'embarras du choix. Alors cet été, embarquez pour un voyage unique entre terre et mer ! Ô Magazine vous propose de découvrir la Bretagne en 7 escales inoubliables... Brocéliande, le pays des légendes Tout d'abord, entamons notre voyage en parcourant la Forêt de Brocéliande, terre d'Histoire et de Légendes... Si vous souhaitez renouer avec la nature lors de promenades en forêt, vous serez immédiatement séduit par la quiétude et la beauté des lieux. La forêt légendaire se révèle aux randonneurs dans toute sa splendeur estivale, nimbée de lumière et de magie : laissez-vous guider par le murmure de la Fontaine de Barenton, par l'éclat improbable de l'Arbre d'Or. Du Val Sans Retour aux Menhirs de Monteneuf, découvrez les trésors cachés au cœur de cet écrin de verdure. N'oubliez pas de faire halte au Centre de l'Imaginaire Arthurien basé au Château de Comper et laissez-vous conter les Quêtes aventureuses du Roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde. Expositions, balades thématiques, marchés médiévaux... De nombreuses animations se déroulent chaque année entre les murs de cet ancien manoir breton et sur les rives du lac qu'il surplombe... Forêt de Brocéliande © Yvon Boelle Rennes, une capitale aux mille visages Maintenant, détour urbain en Ille-et-Vilaine ! Souvent appelée "le petit Paris", la préfecture bretonne vous séduira par la richesse et la variété de ses architectures ! En effet, les amoureux de vieilles pierres pourront se perdre dans le dédale de ruelles pavées du vieux centre. Et pourquoi ne pas aller se restaurer dans l'une des nombreuses crêperies à colombage qui agrémentent les places ? Quant aux amateurs du style Haussmannien, ils longeront avec plaisir les quais bordant la Vilaine et iront flâner du côté de l'Opéra pour boire un café en terrasse. Envie de calme et de verdure ? Le Parc du Thabor vous accueillera pour une balade romantique, à l'ombre de ses arbres et de ses statues endormies. Enfin, pour plus de modernité rendez-vous sur les Champs Libres pour une expo, un concert ou encore une conférence. Sinon, allez simplement vous perdre dans les rayons de l'étonnante bibliothèque, digne d'une œuvre d'Art Contemporain ! À lire également : 7 lieux insolites à visiter en France cet été La côte d’Émeraude, entre terre et mer Crédit-photos : CRTB / Emmanuel BERTHIER Située entre Cancale et le somptueux Cap Fréhel, la Côte d’Émeraude doit son nom aux incroyables reflets verts de la mer qu'elle épouse. Reconnue pour sa biodiversité exemplaire, cette partie du littoral breton est considérée à l'échelle européenne comme site Natura 2000. Autant vous dire que vous trouverez difficilement plus spectaculaire et sauvage que cette succession de falaises majestueuses, de dunes verdoyantes et de plages sans fin... Profitez aussi de votre séjour pour explorer les nombreuses îles bordant la côte : Cézembre - dite l'île interdite, ou encore l’île du Grand-Bé qui abrite le tombeau de Chateaubriand. Prolongez votre séjour pour visiter St Malo et arpenter les remparts de cet ancien bastion des corsaires... La Pointe St Mathieu, aux portes de l'Atlantique Au bout de la Bretagne, à la pointe même du Finistère, se dresse un phare. Balayé par les vents, il surplombe fièrement les ruines de l'ancienne abbaye. Plus bas encore, les vagues viennent s'écraser sur les falaises abruptes... Ce décor étrange et fascinant, ou la civilisation se mêle aux éléments, c'est la Pointe St Mathieu. Au loin, on peut apercevoir Molène et Ouessant. D'ailleurs, une navette rejoint les îles depuis le port du Conquet, à quelques kilomètres au nord. Cette escale pleine de charme placera vos vacances sous le signe de l'évasion ! Mais avant de partir, découvrez l'Histoire de la Pointe bretonne en consultant cet article du site Bretagne Bretons. Fougères, témoin des siècles Poursuivons notre périple en explorant l'un des joyaux du patrimoine historique de Bretagne : Fougères ! Cette cité médiévale trouve ses origines très tôt dans l'Histoire, au 1er siècle avant J-C. Elle a traversé les Âges, immuable, et se dresse aujourd'hui plus belle que jamais, bordée de sa forêt domaniale. De nombreux sentiers permettront aux randonneurs de flâner jusqu'au Cordon des Druides - un très bel alignement mégalithique. En outre, vous pourrez arpenter le lieu-dit des Vieux-Châteaux pour examiner les restes d'un ancien tumulus... C'est donc un voyage dans le temps que vous entreprendrez ici, dans un paysage authentique de granit et d'arbres centenaires ! Huelgoat, le bijou des Monts d'Arrée À présent, laissez-vous charmer par la beauté naturelle d’ Huelgoat ! Niché au cœur des Monts d'Arrée, cet ancien chef-lieu de canton rassemble à lui seul tous les critères pour vous séduire. Il y a un an, la commune a obtenu le label « Communes du Patrimoine Rural de Bretagne ». Pour cause ? La richesse exceptionnelle de son patrimoine architectural et paysager. On raconte même que sa forêt serait le vestige occidental de l'ancienne et vaste Brocéliande. Il est vrai que la magnificence de ses Chaos et l'aspect séculaire de sa végétation foisonnante rappelle étrangement la magie de Brocéliande. Et pour profiter pleinement de ce cadre féérique, nous vous conseillons un petit détour par L'Autre Rive. Vous serez chaleureusement accueillis dans ce café-librairie perdu dans la forêt aux abords de Berrien. Carnac, au cœur des menhirs Alignements megalithiques © Yvon Boelle Enfin, direction le Golfe du Morbihan pour admirer les plus célèbres monuments mégalithiques de Bretagne : des milliers de menhirs qui se dressent fièrement sur une quarantaine de sites, dessinant un paysage déroutant et mystique ! Pour mieux apprécier le caractère exceptionnel de ces alignements, faites le plein d'Histoire et d'Archéologie au Musée de préhistoire de Carnac ! Découvrez également notre sélection d'articles pour connaitre les plus belles destinations en France et à l'étranger ! - 7 lieux insolites à découvrir en France cet été - Tour d'horizon des plus belles plages françaises - Top 10 des pays à visiter en 2020 Read the full article
0 notes
Photo
Forgotten fair, île de la Table Ronde, Vernaizon. 12/07/2021
0 notes
Text
“Votre cœur invisible a fabriqué ce récit visible pour les yeux.”
Cristallisation secrète de Yōko Ogawa
Au hasard de Twitter j’ai lu cette interview de l’autrice japonaise Yōko Ogawa qui m’a intriguée et vraiment donné envie de plonger dans son œuvre. En plus, ça me permettait de continuer de lire des romans écrits par des femmes, ce qui n’était pas un objectif que je m’étais fixé mais qui s’est imposé à moi ces derniers temps (et du coup j’essaie de continuer).
Je ne savais pas trop quoi m’attendre en entamant ce roman et pourtant j’y ai trouvé tout ce que j’aime : une écriture limpide qui a le sens de la formule qui remue le cœur tout en cachant dans les phrases les plus simples des trésors de complexité, une écrivaine pour héroïne, une histoire d’amour à lire entre les lignes et un chien mignon.
Cristallisation secrète raconte l’histoire d’une île où les choses disparaissent une à une. Les habitants se réveillent un matin et se rendent compte qu’un objet du quotidien a disparu de la mémoire de tous. Ils regardent la chose mais tous les souvenirs qui lui sont liés sont partis, et la place qu’elle occupait dans leurs cœurs a laissé un vide. Une police spéciale et terrifiante s’assure ensuite que tous les objets de cette catégorie soient détruits. Il faut alors faire disparaître les calendriers, les harmonicas, les tickets de bateau. En parallèle, la narratrice du roman écrit un récit qui raconte une histoire voisine de celle que nous sommes en train de lire. Le récit d’une dactylo qui est enfermée par son professeur en haut d’un clocher et dont la voix est coincée dans sa machine à écrire. Privée de ses mots, elle va au fur et à mesure disparaître.
Derrière les disparitions qui ont lieu dans l’île, ce sont des concepts qui s’évaporent et Yōko Ogawa montre la manière dont les habitants se résignent devant l’affaissement inévitable de leur mémoire. La disparition du ferry c’est la disparition du voyage, de l’ailleurs. Celle des boîtes à musique signe la fin de l’enfance, de l’innocence. Quand on brûle les livres on oublie la force d’un récit, la profondeur de la conscience. L’éditeur de la narratrice, l’un des seuls à se souvenir de tout, va essayer de faire remonter au sommet de sa mémoire la manière dont les objets ont pu marquer son quotidien. C’est un superbe livre sur la résignation, sur la rapidité avec laquelle nous pouvons accepter l’impensable. On peut aussi le lire comme une métaphore des maladies qui font oublier les choses, un récit sur le souvenir et sa fugacité. Sur la manière dont il s’accroche à la plus infime boîte, au plus petit détail. Sur la façon dont notre vécu dépose une pellicule invisible sur les éléments qui peuplent notre quotidien. Le roman est aussi, et c’est peut-être ce que j’ai préféré, une sublime ode à la littérature. Quand tout a disparu, la chose que la narratrice réussit à attraper tout au fond “du marais du fond du cœur” comme elle le dit ce sont ces mots, qui peuvent réinjecter du sens à une mémoire partagée. “Le sens n’est pas très important, écrit Yōko Ogawa. Ce qui l’est, c’est le récit caché au fond des mots.”
Cela faisait aussi un moment que je ne m’étais pas autant attachée à des personnages. À la narratrice, qui voit son cœur se rabougrir. Au personnage du grand-père, qui répare tout et donne malgré tout un sens à sa vie. Au petit chien abandonné qu’elle récupère des griffes de la police. Et à l’éditeur, seul avec ses souvenirs, caché au fond d’une pièce secrète qui ressemble à une représentation physique d’une mémoire collective.
youtube
L’autre soir Damon McMahon est venu à Paris au Badaboum et ça faisait un petit moment que je n’avais pas attendu un concert avec autant de fébrilité. Les découvertes de Spotify ne m’ont en général pas fait découvrir grand chose, mais un lundi l’année dernière elles m’ont mis une chanson de Love. Il y a eu un avant et un après l’écoute de ce disque et j’exagère à peine. Je suis tombée raide dingue d’à peu près tout chez Amen Dunes : cette voix qui mâche les mots et semble chanter des incantations; les mélodies martelées par des couches de guitares; la légère réverbération des sons qui me donne l’impression de flotter dans l’eau l’été en Bretagne. Toute musique qui peut me rappeler les baignades estivales, du passé et du présent, gagne illico une place privilégiée dans mon cœur.
J’avais un peu peur que sur scène ce son cotonneux que j’aime tant, cette ambiance que j’adore écouter au casque, ne rende pas grand chose. Et puis finalement le groupe a tenu toutes les promesses invisibles faites les jours d’hiver à écouter Sixteen en boucle en écrivant. Les chansons de Freedom, le dernier sorti qui n’a pas quitté mes enceintes ces dernières semaines, se sont révélées encore plus puissantes et intenses. En ondulant sur la rythmique de Miki Dora, je chérissais ces moments où le plaisir solitaire des disques devient une expérience collective, éphémère. C’était bien. (Apparement Damon revient en septembre : ne le ratez pas pardi)
En ce moment je fais un article sur Gershwin pour mon blog Gotta Dance et du coup je compare mes versions préférées de The Man I Love <3
Queen Kate !
youtube
Queen Liza !
youtube
Queen Ella !
youtube
(La liste est méga longue)(cette chanson est parfaite)
Eugène Delacroix, L’orpheline au cimetière
Cette semaine je n’ai adoré aucun film (et j’étais bien embêtée). Par contre je suis allée au Louvre et j’ai vu cette peinture, au milieu des grandes scènes de guerre, des Christ sur la croix, des représentations épiques de grands récits que Delacroix a peints dans sa vie. Et ça m’a soufflée un peu plus que le reste. Avec toutes les cartes postales que je ramène des expos, je peux tirer la conclusion que j’ai une large préférence pour les portraits de femmes qui ont l’air d’avoir compris quelque chose.
Rapido :
- J’ai participé à une table ronde du podcast All That Jazz pour parler de la merveilleuse Judy Garland ! Ça s’écoute par ici.
- J’ai fait du chorizo de Seitan et c’était trop bon. (est-ce que j’irai en prison pour avoir dit chorizo pour un aliment végétal ?)(chorizo, chorizo, chorizo)
- Il y a une expo très chouette des gifs et broderies (et gifs brodés) de l’artiste Harmonie Aupetit à voir actuellement à l’Inattendue Galerie. Une exploration du gif comme moyen d’expression féministe et de la broderie comme l’un des arts les plus cools de la terre. Avec un imaginaire très fourni - il y a même une fable écolo pour enfants dans la dernière salle. Go !
- Tracyanne Campbell est de retour ! Et Taken By Trees (Victoria Bergsman) a sorti un nouveau disque. Mes idoles de 2007 sont en forme. Ça me rappelle mes plus grandes heures à pleurer sur cette chanson et sur celle-là.
Bonne fin de semaine !
(C’est pas vrai que je n’ai aimé aucun film j’ai vu Game Night et il y a quand même un chien et Chelsea Peretti donc bon j’ai bien rigolé)
2 notes
·
View notes
Text
Sites archéologiques recensés
Carte et liste extraites de l’ouvrage Des îles côte à côte.
Toutes les études scientifiques de la période romaine révèlent que le mobilier archéologique ne dépasse pas 450 apr. J.-C. ; il est donc probable qu’à cette période, les habitants ont déserté l’île et permis aux pirates de reprendre pied sur Porquerolles, pour plusieurs siècles.
À lire : M. Pasqualini, P. Arnaud, C. Varaldo (dir.), Des îles côte à côte. Histoire du peuplement des îles de l’Antiquité au Moyen Âge. Provence, Alpes-Maritimes, Ligurie, Toscane, actes de la table ronde de Bordighera, (déc. 1997), Bulletin archéologique de Provence, supplément no 1, 2003.Une page de l’histoire de Porquerolles est tournée avec le départ de ses habitants vers 450 et, même s’il n’y a plus de village jusqu’à 1825, l’île reste fréquentée par des pêcheurs, des navigateurs et autres visiteurs.
Une partie des informations contenues dans les entrées suivantes viennent du livre publié en 1997 aux éditions Actes Sud sous la direction de l’archéologue Jean-Pierre Brun : Les Îles d’Hyères, fragments d’histoire.
0 notes