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#ÇA FAIT BIM BAM BOUM
mllenugget · 5 months
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Iconic.
(English translation in alt)
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steorn · 2 years
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ÇA FAIT BIM! BAM! BOUM ÇA FAIT pssh ET ÇA FAIT VROUM!!
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bloodigutz · 1 year
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"please just have one coherent fucking thought"
my brain, at all hours:
Et ça fait bim, bam, boum
Ça fait pshht et ça fait vroum
Ça fait bim, bam, boum
Dans ma tête y'a tout qui tourne /ly
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yumeka-chan · 3 years
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Bim bam boum
ça fait pshit et ça fait vroum?
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la-nev · 4 years
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Et ça fait Bim, Bam, Boum... 
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dreyblr · 4 years
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Et ça fait bim bam boum dans ton coeur quand taylor swift prend ton téléphone
Et surtout ça huuuuuuuuuurle et ça fait ding ding ding quand tu écris la meilleure légende 💁🏻‍♀️
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skopostheorie · 5 years
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ça fait bim bam boum
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gay-impressionist · 5 years
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J'ai appelé (!!!) un restaurant pour faire une réservation et j'ai même pas stressé :o Normalement je hais parler au téléphone et je l'évite à tout prix mais là je me suis dit que ça irait plus vite alors je l'ai fait (alors que j'aurais pu envoyer un mail) et bim bam boum j'ai eu une résa sans bégayer ni stresser
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estetheone · 5 years
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In french they don't say Allah Wakbar but "Et ça fait bim bam BOUM" and I found that so beautiful ❤❤❤
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lynaex-blog · 5 years
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Qui connaît ??
Ça fait bim bam boum
Ça pshhtt et ça fait vroum
Eh ça fait bim bam boum
Dans ma tête y’a tout qui tournent ! 🤩
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wehadtodayandstuff · 5 years
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19. Le néant
There were your eyes in the dark of the room
The only ones shining
The only set I had met in years
Sharon Van Etten - Give Out
Je ne te surprendrai pas trop en te disant que ma vie sentimentale, c’est le néant. Du genre néant désertique dans un univers d’anti-matière où toute forme de vie est impossible. Ou un univers radioactif où tout contact entre les seuls survivants est totalement proscrit, sous peine de réduire la planète en cendres. Ce genre de néant. Ce type de célibat. Et ce, depuis tellement d’années que j’ai arrêté de compter de peur de commencer à en fêter les anniversaires. Oh, je ne m’en plains pas. C’est même plutôt un choix, finalement. Ou alors c’est un choix d’essayer de me convaincre que c’est un choix pour ne pas avoir à affronter la vérité évidente que ce n’est jamais vraiment un choix. Bref, je te perds. On s’en fiche. Le fait est que j’étais seul. Ce qui est cool, parce que j’aime être seul. J’aime avoir mon espace, mes habitudes, mes passions et hobbies, mon emploi du temps. J’aime me lever et me coucher aux heures que je choisis, manger des chocapic comme repas si ça me chante, et penser à moi en premier. Ça peut paraître égoïste, moi j’appelle ça le manuel de la survie en 10 étapes dont une seule compte vraiment. Et en même temps, je pourrais tirer un trait sur tout ce que je viens de dire et t’énoncer exactement l’inverse. Ouais, je sais, paradoxal et contradictoire. Blâme l’être humain qui est venu se fourrer à l’intérieur de moi sans permission. Je ne sais même pas pourquoi je te raconte tout ça, d’ailleurs, à l’écrit, on peut aller tellement loin que l’on se perd toujours en chemin. Revenons à nos moutons du néant. Seul. Pendant un bout de temps. Et comment faire autrement ? C’est tellement compliqué de rencontrer des gens. Les applications de “dating” me dépriment au plus haut point et représentent le diable incarné dans un corps d’Apollon qui prend des selfies. Dans la rue, on baisse la tête et on marche droit devant. Ou on regarde son téléphone. Ou on est simplement trop occupé pour s’intéresser à ce qui nous entoure. Dans les lieux publics, on s’évite du regard. Il y a un million de techniques pour ça, je pourrais en donner des cours. On ne prend plus le temps de lever les yeux et d’observer, de se regarder. Pourtant, tout passe par le regard. Et je viens seulement de le réaliser. 
Là où je veux en venir, c’est que j’ai rencontré ma paire d’yeux. Pas celle que je croise tous les jours dans le miroir, celle-là, elle me gonfle. Non, celle qui était au fond de la pièce. Celle qui faisait mine de rien, qui se baladait incognito. J’étais assis à l’autre bout du café à déguster mon cappuccino frappé et à relire pour la énième fois l’Attrape-Coeurs dans la langue de Shakespeare. Je ne demandais rien à personne, si ce n’est qu’on me laisse apprécier ce moment de détente en solitaire. Holden Caulfield s'apprêtait à commander son scotch et soda servis séparément que le serveur ne lui apporterait jamais puisqu’il est mineur, ce qui me donna soif. Je pris donc une gorgée de mon breuvage glacé tout en ne décollant pas les yeux du livre, ce qui, crois-moi, demande des années d’expérience et quelques livres cobayes dont je terrai le sort. Pour reposer le verre, par contre, je préfère faire attention, je levai alors les yeux, le posai et par réflexe, je fis le tour de la pièce du regard. Et là… boum. Ou bam. Ou bim. Choisis l’onomatopée qui te convient le mieux, mais j’ai croisé son regard. Un vrai regard. De ceux qui valent mille mots. De ceux que tu ne rencontres qu’une fois. De ceux qui font disparaître tout ce qui existe autour de toi, a pu exister, ou existera jamais. Quelques secondes valaient toutes les horloges à coucou soprano du monde. De la douceur, de la mélancolie, de la gêne, une joie dissimulée et une authenticité remarquable. De la lumière naturelle. Pas d’artifices, pas de filtres. Elle a vite détourné les yeux pour reprendre, elle aussi, sa lecture. Moi, je suis resté figé, toujours dans son regard. Ses yeux dans le néant. Ma bouée de secours. Je ne savais pas si elle avait ressenti la même chose, mais j’étais déterminé à le savoir.
C’était la première fois que je t’ai vu. Et je voulais t’en faire part, aujourd’hui. Je voulais te le raconter, parce que je n’ai jamais pris le temps de le faire. Je voulais que ce soit ton présent l’espace d’un instant. Et parce que, dans un sens, j’aime que la fin, ce soit aussi le début. Que les deux s’emmêlent, qu’on ne les distingue plus. Que toute notion de temps soit écartée. Tu n’es plus là, mais cet éclair dans le néant est gravé en moi, et il le restera.
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zehub · 2 years
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Trois raisons de boycotter les feux d’artifice
Et ça fait bim bam boum, ça fait pshitt et ça fait vroum ! À péter tout l’été, les feux d’artifice n’en ont pas fini de polluer. Feux de forêt, particules fines et oiseaux tués, Reporterre répertorie les défauts des pyros. Chaque 14 juillet, c’est le même dilemme. Peut-on aller voir les feux d’artifice en toute innocence ? Les spectacles pyrotechniques sont régulièrement montrés du doigt pour les multiples pollutions qu’ils génèrent. Tiraillé entre envie d’émerveillement et conscience écologique, Reporterre (...)
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alysae · 7 years
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ousmanedembouz a réagi à votre billet : ousmanedembouz a réagi à votre billet : ...
le parlement européen est nommé après Louise Weiss qui était auteur et journaliste, bim bam boum c'est bon pour les L
@ousmanedembouz djsljfçklmd je vais imprimer tes replies et les envoyer à mon prof principal !
(et même s’ils passeront leur journée à regarder un arbre, c’est tjrs plus cool que de rester en cours! (et Strasbourg est tout de même une grande ville avec une architecture tellement belle ça changera définitivement))
mais techniquement on s’est plaint l’année dernière et on a fait un sacré boulot pour essayer de partir en Scotland (on a cherché des hotels, des maisons d’hébergements, des lieux plutôt cool pour visiter (aka musées) et même les prix des transports) et le lycée nous a envoyé bouler pcq ils n’ont pas assez d’argent jsbfkjds s’ils n’avaient pas assez d’argents ils n’envoyaient pas les S en Italie et les ES au continent !) buuuut noooon le budget est tjrs faible pour les L
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christophe76460 · 5 years
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Nous devons être très attentifs quant à la source de notre puissance, etc., mais ne serait-il pas génial d’aplatir les géants de nos épreuves comme Superman écrase le méchant, ou de dévier le faisceau des problèmes dirigés contre nous grâce au bouclier de Captain America ?
Les programmes télévisés de Fantasy et les films de super-héros accaparent les projecteurs ces derniers temps. J’ai passé des heures à dévorer des comics décrivant les aventures de Superman quand j’étais enfant et je serais presque embarrassé de te dire combien de fois j’ai lu ou regardé « Le Seigneur des Anneaux. »
Une Super-héroïne
Ou comme… Attends ! Regarde ! Une super-héroïne ! Est-ce Captain Marvel ? Non, c’est… eh bien, elle ressemble à Bessie Deloney, ma grand-mère. C’était la plus grande guerrière spirituelle que j’aie jamais rencontrée. Elle aurait fait passer ces super-gars imaginaires pour de véritables mauviettes. Elle savait comment faire fuir le diable.
Toi et moi, nous pouvons aussi être des héros. Je le lis dans la Parole de Dieu : « fortifiés à tous égards par sa puissance glorieuse… » (Colossiens 1.11). Moi, fortifié à tous égards par la puissance glorieuse de Dieu ? Oui, j’aimerais voir ça !
Et je vois comment Paul a lutté avec toute l’énergie de Dieu qui agissait puissamment en lui (Colossiens 1:29) et je dis :  « Moi aussi, Seigneur ! »
Je ne sais pas trop où ces autres super-gars ont eu leur « pouvoir », mais ici Dieu me promet Sa puissance ! Il la promet à tous Ses enfants. Oui ! « Bim, bam, boum, bang, paf ! » Je vais être un vrai dur ! Mais attends une minutes. Il dit qu’Il nous donne Sa puissance pour une raison...
« …en sorte que vous soyez toujours et avec joie persévérants et patients. Rendez grâces au Père … » (Colossiens 1.11-12). Endurance et patience ? Ce n’est pas ce que je veux. Je veux la puissance d’écraser tous mes problèmes et toutes mes épreuves. Je veux accomplir de grandes choses que tout le monde pourra voir. Je veux être un dur.
Qu’est-ce que c’est que ce truc de patience et d’endurance ? Et de reconnaissance ?
Attends, ça devient encore pire. Paul dit que cette énergie de Dieu qui œuvrait puissamment en lui l’aidait à prier, à intercéder et à enseigner le peuple de Dieu (Colossiens 1.29-2.1-2). Ça a l’air ennuyeux, pas vrai ?
Tu sais quoi ? Je te garantis que Paul a changé ce monde davantage que les Avengers n’en ont jamais rêvé. Tu peux le faire aussi. La vie n’est pas un roman de Fantasy. C’est une lutte à la vie à la mort.
Un cercle vertueux
Je pense que la puissance glorieuse, la joie et la reconnaissance se nourrissent les unes les autres. C’est un cercle vertueux. L’une tend à produire l’autre. Mais nous devons le désirer. Nous choisissons la chanson qui joue sur le « juke-box » de notre vie.
Le diable veut toujours mettre une pièce dans le juke-box pour faire jouer une chanson de « Quelqu’un d’autre a fait quelque chose de mal ».
Nous pouvons faire jouer des chansons de reconnaissance pour le Seigneur sur le « juke-box de notre cœur ». Ou nous pouvons nous lamenter sur notre sort toute la journée. C’est notre choix.
Pourquoi sommes-nous reconnaissants ? Parce qu’il a fait de nous les bénéficiaires de l’héritage de Ses enfants. Il nous a sauvé du royaume des ténèbres et nous a déposé dans le royaume de Son cher Fils. (Colossiens 1.12-13). Parfois, nous oublions à quel point son héritage est merveilleux, à la fois dès maintenant et surtout dans l’éternité.
Et ça a été un sauvetage. Nous étions perdus, emprisonnés, destinés à la damnation et le Seigneur Jésus a payé le prix pour nous. Il nous a sauvés. Nous ne parlons plus beaucoup de la punition éternelle. Nous ne voulons pas être considérés comme naïfs ou d’une autre époque.
Mais l’enfer est toujours une réalité. Il est tout aussi réel que le Ciel et ce que notre Salut a coûté au Père. Spirituellement, nous avons quitté le royaume de la mort et Il nous a placés dans Son royaume de Vie.
Comment agissent les gens puissants
Quelle est notre réponse à ce que Dieu a fait ? Comment devons-nous vivre cette nouvelle vie puissante ?
Colossiens 1.10-12 le résume :
    Nous portons du fruit. Nous faisons ce que Son cœur désire.
    Nous connaissons Dieu de mieux en mieux (à travers Sa Parole, la prière, Son peuple, en accomplissant la mission pour laquelle Il nous a placés ici, en grandissant à travers les épreuves, etc.)
    Nous « téléchargeons » Sa puissance afin de pouvoir tenir et ne pas abandonner. Sa puissance est la clé et nous devons la recevoir pour gagner (Actes 1.4,8 et chapitre 2).
    Nous exprimons notre reconnaissance avec joie pour notre Père céleste. Paul est un peu fanatique quand il s’agit de reconnaissance (Colossiens 1.12, 2.7) mais c’est un peu normal, pas vrai ? Une personne reconnaissante est heureuse de ce qu’elle a. Sans un cœur reconnaissant, nous sommes misérables, pensant constamment à ce que nous n’avons pas ou à ce que quelqu’un d’autre a et pas nous, ou à une chose que nous avons perdue. Le manque de reconnaissance sape notre puissance spirituelle.
Alors arrête-toi et réfléchis avec attention. Portes-tu du fruit ? Connais-tu Dieu de mieux en mieux ? (Ouah, ralentis, tu continues à lire sans prendre le temps de réfléchir). Télécharges-tu Sa puissance ? Lui exprimes-tu ta reconnaissance avec joie ?
Si la réponse à tout ce qui est au-dessus est « Oui ! » alors continue. Progresse, même. Et si tu as répondu « non » une ou deux fois, que vas-tu faire pour commencer à changer tout cela ?
Regarde, regarde ! Voilà une autre super-héroïne. Elle s’appelle Sue. C’est une amie. Récemment, l’école de commerce où elle travaillait a fait faillite et a fermé. Seulement, ils ont oublié de prévenir les employés et les ont mis devant le fait accompli.
Notre amie s’est retrouvée sans emploi et j’étais un peu inquiet pour elle. « Que vas-tu faire ? »
« Je ne m’inquiète pas. Dieu s’en occupe » a-t-elle répondu.
Extérieurement, j’ai acquiescé, mais intérieurement, je me demandais ce qu’elle allait faire. Elle n’était pas encore vraiment âgée, mais elle n’était plus toute jeune non plus.
Elle persistait à dire que Dieu prendrait soin d’elle. Tu sais quoi ? Peu après, elle a trouvé un nouveau travail. Elle l’aime beaucoup. Je me suis plus inquiété qu’elle.
Une super-héroïne !
Hmmm …
« C’est nous qui déterminons le niveau de notre intimité avec Lui, pas Lui. Il a déjà ouvert la porte qui mène à Ses appartements. Il attend, nous invite à entrer. Il ne tient qu’à nous de répondre. Plus nous nous approchons, plus Il se révèle et nous révèle ce qu’Il désire. »
John Bevere
David Porter
Lifestyle
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lespetitspedestres · 7 years
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“Enjoy the calm”...
Pour notre deuxième woofing on se rend chez Pat, Mandy et leurs deux filles Tierra, 8 ans et Shesa, 9 ans. Ils habitent à 1h de tous commerces, perdus au milieu des collines. Ce n’est pas moins de 30 km de gravel road (Si si vous savez ces routes non goudronnées ou sont balancés des graviers, c’est la spécialité néo-zélandaise) suivit de 3 km de chemin pentu que notre Josy a bien du mal à monter. Loin de chez Che ici l’accueil est chaleureux. Nous découvrons une petite maison construite par leurs soins : mélange de poutre en bois et grillage à poule recouvert de béton. Tout est fait de brick et de Brock : un joyeux bordel.  
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Sur le terrain se balade le chien, les canards, les poulets et les veaux qui sont en semi liberté. 
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Ici pas d'électricité au quotidien, seul un vieux générateur est allumé 1h par jour le temps de recharger les batteries qui fournissent la lumière. L’eau de la douche est chauffée grâce à la cheminée qui chauffe des tuyaux en cuivre et pour les toilettes c’est les toilettes sèches dont il faut vider le contenu au compost. Après avoir fait le tour du propriétaire, ils nous informent de nos missions. Mandy partant cinq semaines en Angleterre pour rendre visite à sa famille nous serons là pour aider Path à gérer la maison et les animaux. Tous les jours nous devrons promener le chien et nourrir tous les animaux de la maison, mais aussi maintenir un peu d’ordre dans la maison déjà bien en bordel (on sent que ce n’est pas les rois de l’organisation ici, oui-oui pire que nous c’est possible) et faire un peu de cuisine. Ils nous montrent aussi quelques travaux de jardinage à faire mais aucune pression ne nous est mise, l’ambiance est tranquille et la consigne la plus importante est « enjoy the calm ». Les jours passent et se ressemblent : on se lève (pas très tôt), prenons le temps de déjeuner puis viens l'heure si difficile de promener  Punga, un jeune labrador noir débordant d’énergie. Avec lui on grimpe en haut de la colline, d’ici la vue est superbe sur les collines environnantes  et on peut même apercevoir la mer au loin. Pour ne rien gâcher du paysage des chevaux semi sauvages viennes nous rendre visite tous les jours. 
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Sur le chemin du retour nous passons nourrir les poules et les canards. L'après-midi est calme. Un peu de jardinage, désherbage et construction d’une barrière. Un peu de rangement et c’est déjà le retour de la petite famille. A peine arrivé et on met les pieds sous la table, ici le repas se prend tôt. 
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 Cuisson au feu de bois
 Dîner qui commence par la prière ! Tout le monde se donne la main et entame le bénédicité. Le premier jour on a eu un peu du mal à se retenir de rire mais heureusement ça n'a pas duré longtemps. Après ça vient le temps de déboucher une bouteille de bière fabrication maison. Pas de folles aventures pour nous ici, mais on a su profiter de la quiétude du lieu.
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  Un petit bain chauffé au feux de bois sous une nuit étoilée
C’est quand même avec le plaisir de reprendre un semblant de vie sociale que l’on accepte de rester quelques jours de plus avec Léa et Pierre, les woofeurs qui nous relaient pour leur montrer le fonctionnement de la maison. On passe donc trois jours de plus avec ce couple de français bien sympathiques. Discussion sur la Nouvelle-Zélande, parties de cartes ça fait du bien de voir des gens un peu plus longtemps que le temps d’une soirée.
Au détour d’une discussion on apprend que Path a un ami forgeron qui fabrique des couteaux et qu’il accueille des woofeurs. C’est donc tout excité que Thibault prend contact avec lui. C’est ainsi qu’on passera une petite semaine chez Peter et sa fille Pepita. On retrouve chez eux le confort d’une maison néo-zélandaise traditionnelle : wifi, eau courante et électricité! Nourrir les poules, ramasser les fruits du jardin dont notamment des noix de macadamia qu’on passera de longues heures à décortiquer. S’installe vite le super jeu de qui décortiquera le plus de noix en moins de temps ! Chloé en sort grande gagnante. 
Thibault est un peu déçu parce qu’il se rend vite compte que Peter n’est pas du tout forgeron et qu’il se contente de découper des lames de couteaux de formes très simples dans de vieilles scies que celui-ci récupère à droite à gauche. Il participera tout de même le temps d’une demi-journée à la découpe et au polissage des lames. Il prendra également par à l’abattage et au dépeçage d’une vache en plein champs aux côtés de Peter et de ses amis paysans. Inutile de dire que je suis restée avec joie en compagnie de mes noix de macadamia le temps de la réalisation de cette sombre besogne.
Le temps des woofings est terminé et malgré ces deux supers expériences ont est bien content de bouger un peu et de reprendre la route! Nous retrouvons alors Emma et Yann (copain de faculté rencontré à Lyon) pour quelques jours. Avec eux on profite de l’été indien en bord de mer mais malheureusement la pluie nous rattrape vite.
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 Nous prenons alors le parti d’aller admirer les forêts de  kauris géants, immense arbre autochtones en voie de disparition du fait de leur surexploitation au cours du siècle passé.
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 Ces mêmes forêts abritent le kiwi, oiseau emblématique de la Nouvelle-Zélande. C’est un des rares endroits où l’on peut observer cet oiseau qui ne vol pas à l’état sauvage. Nous n’avons alors qu’une idée en tête apercevoir le fameux kiwi ! Nocturne et très effrayé par la lumière, c’est de nuit que nous partons à leur recherche, armés de nos lampes frontales qui diffusent de la lumière rouge (que le kiwi ne peut voir). Le premier soir c’est sous la pluie que nous arpentons les petits sentiers, on sent que les kiwis sont près de nous et nous les entendons crier mais les gouttes de pluie sur les arbres nous empêchent de les localiser. C’est donc bredouille que nous rentrons au campement. Le lendemain le temps est plus clément et les bruits de la foret sont de suite plus perceptibles. Tout d’un coup un grand fracas se fait entendre. Et nous voilà en train d’admirer le derrière d’un kiwi qui s’enfuie dans la foret, effrayé par nos lumières blanches. On passe alors en lumière rouge et nous engageons sur une passerelle en bois. Tandis que nous progressons sans bruit nous entendons un léger bruissement juste à côté de nous. Nous pointons alors notre lumière  sur un kiwi qui cherche des vers dans la terre. Nous avons le loisir de l’observer une dizaine de minutes avant qu’il s’éloigne tranquillement. C’est tout groggi que nous prenons le chemin du retour. Tandis que les garçons trainent la pâte derrière, un troisième kiwi apparait dans le faisceau de notre lampe. Un moment magique puisque ce dernier, un peu pateau, comme un humain qui courrait les mains dans les poches, se casse la margoulette devant nous. Bim bam boum, le bec dans la terre et les fesses en l’air ! Nous repartons tout fiers puisque ce n’est pas un, mais trois kiwi que l’on on aura vu !
Le retour en France pour Emma et Yann approchant c’est avec eux que nous prenons la direction d’Auckland pour 2-3 jours, occasion parfaite pour fêter mon anniversaire et acheter un vélo pour Thibault. Nous logerons deux nuits chez Sid, qui accueille chez lui de nombreux voyageurs. Nos journées n’aurons pas été très fructueuses ici, il faut dire que nos soirées étaient bien portées sur la binouse. Le dernier jour avant de se quitter nous faisont un petit esape game. Pour ceux qui ne connaissent pas le principe : enfermé dans une pièce ou sont dissimulés une multitude d’indices, il faut résoudre des énigmes pour trouver la solution à une enquête et sortir de la pièce. Tout ça en un temps limité et en anglais ! On a eu chaud mais c’est vainqueur que nous sortons 5 minutes avant la fin. Une supère découverte que nous avons tous les deux adorée.
Il ne nous reste plus qu’à passer récupérer le vélo que Thibault à repérer et nous prenons la direction de Rotorua en quête d’un travail.
#nz
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theoppositeofadults · 7 years
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Outre le fait que c'est étrangement les toilettes pour femmes qui sont changés en toilettes neutres alors que ceux des hommes restent intacts, à partir du moment où la loi autorise les hommes dans les espaces réservés aux femmes (et aux filles), le potentiel de violence contre les femmes (et les filles) ne fait qu'augmenter. Faire plaisir à 0.1% de la population en échange du droit de tout le sexe féminin de se sentir en sécurité dans un espace sans hommes me paraît "that deep", perso.
Oui mais si tous sont changés, où est le problème ?
Est-ce que vous êtes déjà allez dans des toilettes publiques ? Genre, même pas mixte, juste dans des toilettes ? Parce que le seul moment où tu es en contact avec les autres personnes c’est lorsque tu fais la queue et lorsque tu te laves les mains. Les toilettes sont fermés hein on n’est plus à la maternelle où on est tous sur nos trucs dans une grande pièce.
C’est comme dire “je vais interdire aux hommes d’aller dans des allées la nuit parce qu’il y a plus de risque que moi, femme, je me fasse agresser.”
Et si un homme veut agresser quelqu’un dans les toilettes, il ne va pas dire “oh mince, ce n’est pas le bon sigle, je ne peux pas entrer.”  
Et ça ne fait pas plaisir à 0,1% de la population, ça fait plaisir à bien plus ! C'est aussi une question de maximisation de l’espace. Va dans un centre commercial, les toilettes des femmes ont toujours 10km de queue c’est insupportable, et les hommes ont fini en 30 secondes alors que toi tu as le temps d’attendre de voir 3x tous les Star Wars que tu n’es pas encore sortie. Alors que si tous les toilettes sont neutres, bim bam boum, c’est plus rapide. Et ensuite, va dans un stade de football, c’est les hommes la qui ont la queue et qui pleurniche alors que normalement, chez les femmes vous êtes 5. Et bien, si tous les toilettes sont neutres, bim bam boum, c’est aussi plus rapide.
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