gribouillis, réflexions, recherches et autres scenes-prompts sur le projet
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🕸️ Fragments (part one of the Daughter of Rivers and Bones series) - Chapter 2: The Great Dipper. 🕸️
Machiko Furukawa watched the three children from a looking bay overlooking the room where they stood. She couldn’t tell what had happened a few years earlier, but one fine morning Archer had become more docile, and had obviously taken Aislin with him. Although their obedience was limited to a specific number of tasks, their progress had been impressive. Satisfied that everything was finally going according to her plan, she had tried not to pay attention to the strange feeling she sometimes had when she saw them acting.
Chapter 2 is here, thanks again to @scienceoftheidiot eagle’s eyes.
tag list:
@seize-the-droid @ocfairygodmother @foxesandmagic @darknightfrombeyond @abbysarcane @molotovsoul @mystic-scripture @anotherunreadblog @booksbeneaththebed @princessofdarkness12 @joasakura @thanksbutnoshanks
Want to be added? Drop me an ask.
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Bienvenus
Donc, après beaucoup de réflexion, @scienceoftheidiot, @ironweirdo, @rainetterouge, @alrion et moi-même (heirsoflilith) avons décidé de créer un espace dédié au personnages d’histoires originales.
Voici donc For Your Original Stories, un blog où vous on reblogue vos histoires, vos créations et les mises à jours de vos récits.
Vous pouvez nous proposer vos histoires et vos blogs ici et mettre dans les 5 premiers tags de vos post #fyoriginalstories ou #fyostories pour que nous voyons vos posts.
Nous sommes en train de finir de mettre en place le blog, et nous serons opérationnels bientôt.
Ce blog est aussi destiné aux créateurs et lecteurs francophones.
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Welcome
So… after a lot of thinking, @scienceoftheidiot, @ironweirdo, @rainetterouge, @alrion and myself (heirsoflilith) decided to create a space dedicated for original stories and their characters.
So, this is For Your Original Stories, a place where you can have your graphics, stories and update displayed and promoted.
You can submit your stories and blog here and tag #fyoriginalstories or #fyostories in the five first tag for us to see you.
We’re still under construction but will be at work soon.
The place is also “French friendly” as some of us write only in French ^^. So no need to write in English to be reblogged.
I tag people I know could be interrested:
@seize-the-droid, @afluffykiwi, @molotovsoul, @booksbeneaththebed and @foxesandmagic
Don’t hesitate to boost this post and follow us. ^^
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Un nouveau passage de la vie de Blanche.
"Plic.
Ploc.
Plic.
Ploc.
De l’eau gouttait quelque part. Dans la cave où elle se trouvait, ou peut-être juste en dehors. Elle n’avait pas cherché à savoir. Le rythme du bruit n’était pas tout à fait régulier, parfois rapide, parfois plus lent. Par moment, elle l’oubliait totalement, plongée dans la torpeur ; parfois, ses sens exacerbés par la soif, il l’obsédait, résonnant dans son crâne comme une percussion douloureuse au point que son rythme cardiaque se mettait au diapason, annihilant toute pensée cohérente.
Blanche ne savait plus depuis combien de temps exactement elle se trouvait là. Plusieurs jours probablement, pour autant qu’elle puisse en juger par les infimes variations de luminosité qui parvenaient par un minuscule soupirail près du plafond. Mais noyée dans le manque de sang, elle n’arrivait plus à réfléchir suffisamment pour se repérer. Quelques jours ? Des semaines ? Impossible à savoir.
Elle avait sûrement une tête à faire peur. La peau sur les os, les pupilles dilatées par le manque et l’obscurité, les cheveux décoiffés. Il lui semblait que sa peau était faite de porcelaine, ou de marbre blanc plus exactement, avec les veines et veinules bleues apparentes sur fond immaculé. Cela ne semblait pas déranger les personnes qui lui apportaient sa subsistance quotidienne. Un petit verre de sang, juste suffisant pour la maintenir en vie à peu près humaine, pas assez pour combler la Soif.
Ce n’était jamais la même personne qui venait. Elle était incapable de se rappeler combien d’hommes et de femmes différents elle avait vu. De combien de subordonnés disposait donc Uriel ?
Elle attendait donc patiemment dans cette cave lugubre, incapable d’aligner suffisamment de pensées cohérentes pour envisager un plan d’évasion. Elle n’en avait pas envie de toute façon. Il allait venir, il l’avait promis. Elle n’avait même pas essayé de s’approcher de la porte, et somnolait la plupart du temps - meilleur moyen de ne pas ressentir la soif. La léthargie
Il finit par venir.
Elle ne le reconnut pas de prime abord lorsqu’il entra, encore dans les limbes d’un rêve sanglant. Ses sens étaient probablement émoussés également car elle ne voyait plus correctement dans le noir. Ce fut son aura qui la ramena, la sensation de pouvoir qui émanait de lui. Puis elle distingua sa silhouette, ses longs cheveux noirs ondulés, son regard brûlant posé sur elle. Elle se souvint de la séduction qui émanait de ses yeux noirs, de ses lèvres délicates, de sa corpulence élégante. Elle sourit.
— Bianca, dit-il simplement.
Elle adora la façon dont il prononçait son prénom, à l’italienne.
— Maître, murmura t-elle avec déférence.
Il s’approcha et tendit la main pour l’aider à se mettre sur pied, semblant détailler tout son être de son regard inquisiteur. Elle pouvait le sentir même dans l’obscurité. Autre chose l’entourait, comme un voile qui pénétrait son esprit, des tentacules de pouvoir autour de ses pensées. Elle les sentait qui chatouillaient sous son crâne. Une toute petite voix, au fond d’elle, se demanda ce que cela pouvait bien être. Mais la petite voix se tut rapidement, écrasée par le filet.
— Allons, je ne suis pas ton maître, dit la voix suave qui résonnait jusqu’au fond de ses os. Je suis là pour t’enseigner mon savoir, douce Bianca.
Blanche se sentait légère, à la fois si assoiffée et portée par le charme qui émanait de lui. Elle voulait lui plaire, lui montrer son affection et sa dévotion.
— Que doit-je faire alors ?
— Tu as soif, n’est-ce pas, ma belle ?
Tenant sa main dans la sienne, il étreignit sa nuque avec douceur de l’autre, apparemment pas rebuté par son apparence repoussante. De cette étreinte ferme il la guida délicatement vers sa gorge, vers sa jugulaire qui semblait ne palpiter que pour elle.
— Viens, ma belle, dit-il encore. Bois et apprend.
Il embrassa doucement ses lèvres avant de la laisser mordre.
Un tourbillon d’émotion l’emporta quand la première gorgée de sang atteignit son palais. Du plaisir pur, une sensation de plénitude, en même temps qu’une faim encore plus intense, un désir de boire encore et encore, l’amour pour son mentor, la chaleur qui se mettait à courir dans ses veines. Le monde palpita autour d’elle, des étoiles qui clignotaient dans son champ de vision. Pouvait-on mourir de cet état de grâce ?
Il la repoussa bien trop tôt, gentiment mais fermement, et elle poussa un petit gémissement de frustration.
— Du calme, ma belle, la berça t-il aussitôt de sa voix veloutée. Tu risque de te rendre malade avec tant de puissance.
La tête lui tournait en effet et elle chancela. Il dut la soutenir d’un bras autour de la taille. Etait-ce le manque encore latent ou le sang qui courait trop vite en elle ?
— Viens, ma belle, dit-il encore en l’entrainant vers la porte. Il est temps pour toi de découvrir mon domaine."
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Rencontre dans un bar
Hier soir c’était nuit d’écriture chez Cécile Duquenne. Un générateur de prompt m’a donné les mots suivants : bar, Berlin, diamant. Il ne m’a pas fallu longtemps pour savoir à qui les destiner !
“Blanche regarda rapidement autour d’elle, évaluant la rue, avant de pénétrer dans le bar. Ce n’était pas l’endroit le plus inattendu où deux femmes pouvaient se rencontrer. Elle resta un instant à la porte ; la salle était bondée, bruyante de bavardages, le plafond obscurci par un nuage de fumée flottante.
Elle repéra rapidement une tête brune installée à une table et se dirigea aussitôt vers elle, slalomant entre les chaises avec élégance. Quelques tête se tournèrent sur son passage. Elle n’était pas aussi connue dans ce village voisin que dans le sien, mais sa silhouette élégante et gracieuse attirait toujours les regards.
Elle sourit à Gabrielle lorsque celle-ci l’aperçut et lui fit un petit signe de la main. Elle se pencha pour lui faire la bise. Leurs mêches brunes et rousses se mêlèrent un instant. Puis Blanche s’assit en face de son amie.
— Qu’as tu commandé ? Demanda t-elle en retirant ses gants.
— Un thé.
— Parfait.
D’un geste elle héla le serveur, à qui elle commanda une seconde tasse.
— Alors, demanda t-elle lorsqu’il se fut éloigné. Comment tu vas ?
— Bien, sourit Gabrielle. Les choses se passent très bien de mon côté.
Elles se mirent à bavarder, de tout et de rien en apparence de loin, comme deux amies ravies de se retrouver. Blanche appréciait beaucoup Gaby, sa vivacité d’esprit et sa bonne humeur.
Mais en réalité, sous l’apparence de gentillesse et d’amitié, leur rencontre n’avait rien d’anodine. Blanche, sous couvert de son activité de médecin de la ville, s’était alliée au réseau de résistance local dont faisait partie Gabrielle, et elles faisaient la liaison de leurs informations par ce biais.
— Comment ça se passe avec ton… soupirant ? demanda la jeune femme en baissant la voix à ce dernier mot.
La vampire s’était lancée dans une dangereuse entreprise de séduction et de neutralisation de l’oberleutnant en charge de l’Orstkommandantur locale, un dangereux fou radicalisé qui avait déjà fait de nombreux dégâts.
Blanche eut une moue amère à la question.
— C’est… délicat. Je progresse. Il… parle de m’emmener à Berlin après la guerre, m’a offert un diamant…
Elle montra le petit pendentif brillant qu’elle portait autour du cou.
— Mais il ne me fait pas réellement encore confiance.
Blanche eut une petite grimace.
— Et je crois que certains de nos… amis… n’ont pas compris notre relation… J’ai peur qu’ils essaient de la faire capoter en croyant me protéger, ou qu’ils pensent que je trahis…
Elle baissa la voix à ces derniers mots. La principale sécurité du plan résidait dans le secret le plus strict, et certains résistants ne comprenaient pas pourquoi leur médecin jouait un si dangereux jeu de séduction avec l’allemand.
Gabrielle posa doucement sa main sur la sienne.
— Ce que tu fais est très courageux… Ils comprendront. Plus tard, mais ils finiront par comprendre.
Blanche acquiesça avant de siroter son thé, un peu pensive.”
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“penche toi encore !”
Sur un prompt proposé par @heirsoflilith, un petit extrait de la jeunesse de Blanche !
Ce fut l’été de ses douze ans que la mère de Blanche décréta qu’il était temps pour elle de se préparer à faire son entrée dans la société. Elle se souvenait encore avec précision de la discussion que cela avait occasionné entre ses parents, à la table du dîner, le ton pincé et hautain de sa mère, l’air perplexe et désemparé de son père, alors qu’ils parlaient d’elle comme si elle n’était pas là.
-Notre fille doit apprendre à bien se comporter, entendait-elle. C’est un très bon parti, nous sommes en droit d’attendre qu’elle s’attire un bon mariage. Il est temps qu’elle se conduise comme une jeune fille et non comme une fillette gâtée.
Sa mère finit par avoir gain de cause et une préceptrice fut engagée. Les danses de salon et les subtilités du comportement en société devaient désormais remplacer les cours d’équitation du jeudi matin.
Elizabeth était jeune, blonde et souriante, presque séduisante, avec des manières délicieuses qui enchantèrent aussitôt sa mère. Blanche était plus méfiante, et la suite lui donna rapidement raison.
Le matin du premier cours, on la leva presque aux aurores pour la préparer. La préceptrice avait demandé à ce qu’on la vêtisse comme une adulte, à savoir un corset qu’elle devait porter pour la première fois, et toute la panoplie qui allait avec, jupons, tournure, jupes, corsages et gants. Ce fut ainsi engoncée et raide comme un piquet qu’elle se rendit dans la salle de cours, livrée aux mains d’Elizabeth. Celle-ci perdit son sourire gracieux dès qu’elles furent seules, révélant son caractère despotique comme si elle prenait plaisir à martyriser l’enfant. Elle lui parlait sèchement, l’asticotant en permanence d’une petite cravache de frêne avec laquelle elle lui cinglait les bras - juste assez fort pour lui faire l’effet d’un pincement, mais pas assez pour laisser des marques sur la peau à travers les gants de coton.
Le jeudi suivant, lorsqu’on vint la réveiller, Blanche refusa catégoriquement d’enfiler de nouveau ce costume inconfortable et s’enferma dans la salle de bain. Une intervention énergique de sa mère fut nécessaire et ce fut en pleurs que la fillette arriva devant sa préceptrice, qui ne se montra pas moins cruelle.
Après la leçon, Elizabeth s’enferma un quart d’heure avec sa mère dans son boudoir et en ressortit d’un air satisfait.
-Il faut tout de suite habituer ce jeune corps au port du corset, sinon elle sera rétive, avait-elle dit.
La punition ne tarda pas - on obligea Blanche à porter corset et jupon toute la semaine et non plus seulement pour le cours du jeudi matin.
La semaine suivante, elle se leva avant le réveil et s’enfuit au fond du domaine sur son cheval préféré. On la chercha toute la matinée, et elle fut ramenée à la maison par le palefrenier, boudeuse.
Elizabeth, en colère, l’obligea à rester debout une demi heure avec un dictionnaire sur la tête. Blanche livra tout son répertoire d’injures russe pendant ce temps. Elizabeth ne parlait pas le russe, mais le ton avec lequel elle prononçait les mots suffit. Un nouveau conciliabule eut lieu dans le boudoir.
-Vous avez été trop indulgente avec cette enfant, entendit-elle à travers le trou de la serrure. Elle est absolument insolente.Il faut absolument lui inculquer les bonnes manières, la mater, sans quoi elle deviendra une sauvageonne inapte.
On vint avertir Blanche qu’à partir de la semaine suivante, aux deux heures de cours de danse et de maintien s’ajouterait une heure de leçon de bonnes manières.
Ce jour là, Elizabeth lui fit travailler la révérence. Blanche s’exécutait du mieux qu’elle pouvait sous les injonctions méprisantes de la préceptrice, qui s’ingéniait à lui faire répéter le mouvement le mouvement au millimètre près, lui faisant recommencer à chaque minuscule erreur.
-Plus gracieux, tes bras, intimait la professeure, ponctuant chaque ordre d’un petit coup de sa baguette. Penche-toi, allez, penche-toi encore ! Plus droit ton dos ! Lève le menton !
Chaque muscle du dos de Blanche la brûlait avec intensité et elle n’en pouvait plus de la voix stridente d’Elizabeth, du moindre petit aiguillon de la cravache. Finalement, elle se figea, bien droite, et d’épuisement se mit à hurler.
Elle hurla et hurla sans arrêt, à se briser la voix, sans tenir aucun compte des coups de plus en plus forts de cravache qui s’abattaient sur son dos et ses bras. Les cris finirent par alerte la maisonnée, et ce fut son père qui ouvrit la porte, surprenant un dernier coup. Il ne réfléchit pas, traversa la pièce en moins de deux pas et attrapa le poignet d’Elizabeth, la stoppant net.
-Comment osez-vous, éructa t-il ! Frapper ainsi ma fille !
La mère de Blanche se montra sur ces entrefaites.
-Mais enfin, Ivan, que faites-vous ?
-N’avez-vous point entendus les cris de votre fille ?
Il regarda méchamment la préceptrice.
-Prenez vos affaires, madame, et quittez immédiatement ma maison. Vous êtes renvoyée.
-Mais enfin, Ivan, tenta d’intercéder Gabrielle, en vain.
-Non, tonna t-il. Je veux bien que ma fille apprenne à danser, mais ce sera moi qui choisirait son professeur, et ce ne sera pas à coups de baguette !
Ainsi fut remplacée Elizabeth par une douce grand mère, qui lui apprit tout ce qu’elle devait savoir ; ainsi lorsqu’à quatorze ans Blanche eut enfin l’honneur d’être invitée au thé avec les amies de sa mère, comme une jeune fille, elle pu faire honneur à son rang.
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Blanche est une insatiable polyamoureuse et a rencontré beaucoup de gens dans le rp...
#blanche Petroska #twitter!AU
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L’univers alternatif de twitter prend de l’ampleur... Beaucoup trop... Mais quand on se balance des prompts avec les Plumes Guerrières, il faut écrire !
La première journée de l’année se déroulait en douceur après le réveillon en famille. Natji et Arjun lisaient sur le canapé, Amir avait disparu dans son bureau comme à son habitude, et Irina finissait de ranger.
Il était presque la fin de l’après-midi quand la sonnette retentit, et Irina se hâta d’aller ouvrir.
— Blanche ! s’exclama t-elle en reconnaissant la femme rousse sur le pas de la porte.
Celle-ci la serra aussitôt dans ses bras avant de l’embrasser avec chaleur.
— Bonne année, ma douce.
— Bonne année toi aussi, chérie. Viens, entre, j’allais faire du thé.
Blanche la suivit vers le salon, posant un sac plein dans un coin.
— Les enfants ! appela Irina joyeusement. Regardez qui est là !
Natji fut la première à lever la tête de son livre. Elle sauta sur ses pieds avec un grand sourire en apercevant la visiteuse et se précipita vers elle.
— Marraine !
Blanche l’attrapa dans ses bras et la souleva pour plaquer des bises sur ses joues, que la fillette lui rendit en riant.
— Et comment va ma petite chérie ?
Arjun la suivit avec un peu plus de circonspection, mais l’air ravi tout de même, et tendit ses bras pour être câliné à son tour. Blanche ébouriffa ses cheveux, puis se baissa et le souleva sans effort, un enfant sur chaque bras.
Irina la regardait en souriant.
— Ils vont bientôt être trop grands pour ça.
— Pas pour moi. Dites, les enfants, je crois que j’ai des choses pour vous. On regarde ce qu’il y a là dedans ?
— Oui ! cria Natji.
Blanche les reposa donc et s’accroupit pour fouiller dans le sac qu’elle avait déposé en arrivant. Elle en sortit d’abord un paquet rouge brillant, qu’elle tendit la fillette avec un air mystérieux. Le garçonnet eu droit à un paquet bleu un peu plus petit. Tous les deux déchirèrent l’emballage avec enthousiasme.
Natasha découvrit un gros bloc de délicates feuilles de papier de toutes les couleurs.
— Pour tes futurs pliages, expliqua Blanche.
La fillette poussa un petit cri de joie, les yeux brillants. C’était la vampire qui lui avait appris à plier ses premiers origamis, et elle s’était prise de passion pour cette activité qu’elle partageait avec sa marraine.
Elle tapa des mains, et se leva, attrapa la main de Blanche pour l'entraîner vers le sapin.
— Attend ! Regarde, Marraine !
Elle désigna la guirlande de papier qui décorait l’arbre.
— C’est moi qui l’ai faite, déclara t-elle avec un ton fier. Comme tu m’as appris.
— Oh ! s’exclama Blanche. Pourquoi tu m‘as caché ça ?
Elle passa le doigt du doigt sur la délicate dentelle de flocons blancs.
— Bravo, ma chérie, c’est magnifique. Tu es très douée !
Natji rosissait au compliment. Blanche se pencha pour lui faire une bise. La fillette gloussa, puis alla s’installer à table et commencer à plier une première feuille de papier.
La vampire croisa le regard de sa mère, tandis qu’Arjun babillait gaiement, découvrant un livre remplit de pliages qui s’ouvraient en trois dimensions à chaque page tournée.
— Tu les gâtes trop, sourit Irina.
— Rien n’est trop beau pour eux.
Elle s’approcha pour l’enlacer et elles restèrent ainsi quelques instants, à observer les enfants.
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Reblog if you are a fic writer who welcomes moodboards, playlists, remixes, art and any other type of gift based on your stories.
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Blanche in Twitter AU. <3
Second gifset about the Twitter!AU.
The “modern” ones.
Dimitri and John (LeaReseda) : a strong borther figure and the nice guy.
James and CJ ( @ironweirdo ): Uncle Chicken (godfather of the twins XD) and the unexpected little brother.
Archie and Blanche ( @drakechainsaw / @rainetterouge ): another father figure and a mother figure.
The Twitter!AU (1) : The WWII
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La ponction lombaire
Pas vraiment un prompt, mais un clin d’oeil à un certain Docteur Amir Ramana, rencontré au hasard d’un RP ... bisou @heirsoflilith !
“Blanche préparait son matériel, l’air concentrée. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas réalisé de ponction lombaire et si ses mains ne tremblaient pas, elle se sentait néanmoins nerveuse. D’autant plus que le patient, lui même stressé, la bombardait de question stupides qui l’empêchaient de réfléchir correctement.
Elle vérifia une nouvelle fois la position de l’homme, palpant la peau pour être bien sûre de ses repères - les crêtes iliaques, l’épine lombaire, l’espace inter épineux… Puis elle attrapa l’aiguille.
Un visage lui revint en tête, comme à chaque moment identique. Celui d’un jeune médecin d’origine indienne croisé lors d’un séminaire aux Etat-unis. Elle n’oublierais jamais son prénom - Amir - son incroyable regard vert et or, mais surtout son calme olympien.
C’était l’homme le plus patient et le plus doux qu’elle ai jamais rencontré, gardant son calme et son ton mesuré là où même elle perdait le sien. Il lui avait raconté quelque chose, une fois, à propos de Ganesh, le dieu hindou de la sagesse. Cela lui allait bien.
Elle entendait encore sa voix guider son geste, tandis qu’elle se penchait sur le patient avec l’aiguille, inspira et expira doucement, prenant exemple une nouvelle fois sur ce parangon de douceur et de sûreté.
Elle se demanda fugitivement où il était, ce qu’il faisait, ce qu’il était devenu.
Puis elle appuya la pointe sur la peau. Le patient ne frémit même pas lorsqu’elle enfonça l’aiguille. Elle trouva le trajet sans difficulté, recueillit les quelques gouttes de liquide céphalo rachidien dans un tube à essai. Puis elle retira prestement l’aiguille, pressant une compresse sur la minuscule goutte de sang qui perlait, avant d’appliquer un pansement.
Puis elle examina le liquide à travers la lumière : trouble comme mélangé à du lait. Le diagnostic était sans appel : méningite. Encore une fois, elle ne s’était pas trompée.”
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La soif...
Cette année, Je commence le roman de Blanche pour le NaNoWriMo. Je n’écris pas dans l’ordre chronologique, pour le moment je pose simplement quelques scènes clés qui vont rythmer le récit.
“Il sourit tandis qu’elle le dévisageait. Un sourire dérangeant. Deux crocs pointus saillaient, irritant sa lèvre inférieure. Dans son saisissement, elle recula légèrement - beaucoup moins effrayée qu’elle ne l’aurait dû cependant. Une part d’elle savait déjà. Son regard tomba alors sur la veine dans son cou, bleuâtre, pulsante. Elle réalisa que le roulement de tambour assourdi qu’elle entendait depuis le début était le battement de son coeur.
Et la soif la saisit soudain. Une soif intense, brûlante, la sensation que sa gorge était complètement desséchée, ses muscles hurlant un besoin qu’elle ne savait pas nommer - et ce parfum sucré, douceâtre, ferreux qui imprégnait soudain l’atmosphère d’une délicieuse torture. Blanche ne parvenait plus à réfléchir.
Il sourit légèrement, et leva son poignet, éraflé, dont la manche était encore imprégné de sang.
— C’est cela que tu sens, n’est ce pas ?
Elle inspira, emplissant ses poumons de cette odeur si délicieuse, et ses veines se mirent à brûler d’un désir intense. Elle regardait la tâche, hypnotisée. La partie d’elle qui ne comprenait pas se fit refouler au fond de son inconscient sous la violence de la faim.
— Le sang, chérie, poursuivit-il. Il t’appelle… Tu la sens, n’est ce pas, cette soif, ce désir…
Il la regardait et ses prunelles étincelantes l’ensorcelèrent un moment, calmant l’appel du sang sans l’éteindre tout à fait.
Il tendit la main, caressant ses lèvres du bout du doigt. Une piqûre sur sa lèvre inférieure. Non, deux. Elle porta la main à sa bouche à son tour, découvrant les crocs qui pointaient de sa mâchoire supérieure, ses canines transformées en petite dagues acérées.
Elle le regarda, effrayée.
— N’aie pas peur, sussura t-il. Tu es comme moi, mon enfant. Vivante, immortelle et assoiffée. Un vampire nouveau-né, magnifique, terrifiante et parfaite. C’est ainsi qu’ils te verront désormais. Et nous les domineront ensemble.
Il relâcha son regard et la soif revint, languissante, en vagues douloureuses et enveloppantes, l’empêchant de penser à toute autre chose. Quelque part au fond de son esprit une petite voix soufflait que ce n’était pas naturel, qu’elle ne devrait pas exister, que ce n’était pas possible. Qu’elle était probablement en plein délire. Mais la petite voix s’étouffait sous la soif.”
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Hanw, le plus bel AES de Blanche, thank you so much @heirsoflilith ! I'm in love.
⭐A thank you giveaway⭐
↪Blanche Petroska. @rainetterouge
“Venom of Venus take us all for blind
Bringer of poison for the heart and mind
Never resist when your eyes inflame the wild.”
Thanks for all the support and the RP XD.
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La classe légendaire de Blanche
-Scarlett Johansson as Natasha Romanoff.
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“Of course, you got a fever !”
Un nouveau prompt à la demande de @heirsoflilith : “of course, you got a fever” avec Blanche et Aislin en 44, coucou l’AU du RP twitter.
“Blanche circulait entre les lits, relevant des courbes de température, corrigeant des prescriptions qu’elle tendait aussitôt à l’infirmière qui la suivait. Celle-ci, une jeune femme rousse au teint pâle d’irlandaise, semblait encore mal à l’aise avec les feuilles de soins.
Elle n’avait probablement pas l’habitude de travailler avec une femme médecin - et encore moins avec des soldats, à vrai dire. Son uniforme vert de gris lui flottait un peu sur le corps, presque trop grand.
Blanche avait été prêtée par son employeur - ou plus exactement, réquisitionnée par l’armée anglaise pour venir en aide à l'hôpital militaire, où sévissait une épidémie de grippe en ce mois de décembre. Deux de leurs médecins sur les trois étaient actuellement cloués au lit avec une forte fièvre, et le dernier était débordé. Des médecins civils venaient donc en renfort. La plupart le faisait en râlant, devant la gratuité du geste. Blanche, au moins se sentait nettement plus utile qu’à son poste habituel.
Trois nouveaux cas, deux en amélioration, un décès. L’évolution depuis la veille n’était pas très rassurante. Blanche ajouta un dernier dossier à la pile que transportait Aislin et soupira. Il n’y avait malheureusement pas grand chose à faire pour les malades, à part l’aspirine pour la fièvre, l’hydratation et attendre que le délire cesse en les isolant pour essayer d’enrayer la propagation.
Aislin toussa discrètement en recevant le tas de papier et se détourna pour partir préparer les soins. Blanche la regarda s’éloigner, constatant que son teint semblait encore plus transparent que d’habitude. Des cernes violacées ornaient ses yeux. Encore une pauvre créature malmenée par la guerre… Blanche soupira de compassion devant la jeune infirmière éreintée.
Le même rituel recommença le lendemain matin. Tournée des malades, examens, prescriptions, dossiers. Aislin toussait encore plus. Blanche lui confia le dernier dossier et allait s’éloigner lorsque la jeune femme chancela et faillit s’effondrer. Une chaise à proximité heureuse la retint, mais la pile de papiers s’étala au sol.
Blanche se précipita pour l’aider.
_ Aislin ! Tout va bien ?
L’infirmière se penchait déjà, tremblante, pour essayer de rassembler les papiers.
_ ça va, bredouillait t-elle, l’air paniquée. ça… ça va. Je vais bien. Je vais… ramasser.
Blanche se pencha, constatant qu’elle pâlissait à vue d’oeil. Elle pouvait entendre son rythme cardiaque et sa respiration accélérer, beaucoup trop rapides. Et cela n’était pas dû qu’à l’anxiété qui semblait la saisir.
Elle la força à se redresser et à s'asseoir correctement.
_ Non, tu n’as pas l’air d’aller bien.
_ C’est… C’est rien, madame. Docteur. Un vertige. C’est tout. Je vais ranger. Je dois… aller faire les soins… Je…
Elle pâlissait de nouveau.
_ Un vertige ? Que se passe t-il ? Tu as mangé ce matin ?
Blanche posa la main sur son front par réflexe. Bouillant. Aislin parti dans une quinte de toux irrépressible.
_ Mais évidemment ! Tu as de la fièvre ! Tu viens travailler alors que tu as la grippe ? Tu es inconsciente. Tu devrais être au lit !
_ Non ! Je… Je vais bien… Pas le droit de…
Aislin ne réussit pas à finir sa phrase. Elle venait de s’évanouir.
_ Et bien voilà, grommela Blanche. Au moins comme ça tu seras bien obligée de t’allonger !”
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world building wednesday
send me the name of a character, and i’ll reply with:
B A S I C S
full name:
gender:
sexuality:
pronouns:
O T H E R S
family:
birthplace:
job:
phobias:
guilty pleasures:
M O R A L S
morality alignment?:
sins - lust/greed/gluttony/sloth/pride/envy/wrath
virtues - chastity/charity/diligence/humility/kindness/patience/justice
T H I S - O R - T H A T
introvert/extrovert:
organized/disorganized:
close minded/open-minded:
calm/anxious:
disagreeable/agreeable:
cautious/reckless:
patient/impatient:
outspoken/reserved:
leader/follower:
empathetic/unemphatic:
optimistic/pessimistic:
traditional/modern:
hard-working/lazy:
R E L A T I O N S H I P S
otp:
ot3:
brotp:
notp:
here’s my lair: grune’s lair
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