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Matières premières: le point sur le coton, cacaco, café et sucre
Coton : Plombé par un rapport aux USA
Sur la semaine passée, le cours du coton (livraison mars), contrat le plus actif sur l’Intercontinental Exchange a clôturé en baisse de 2.32% à 72.27 cents.
Cette baisse fait suite à la publication du rapport mensuel de l’USDA (Département Américain de l’Agriculture). En effet, les craintes d’une offre élevée sont anticipées. Ce sont les estimations de la production américaine, relevées de près de 500.000 balles qui ont surpris les analystes. D’autre part, le dollar fort ne favorise actuellement pas les exportateurs américains de cette matière première.
Dans le même temps, l’indice Cotlook A, (fixant la moyenne quotidienne des cinq prix du coton les plus faibles sur le marché physique dans les ports d’Orient) s’échange désormais à plus de 82 dollars les 100 livres (-0.84%).
Graphiquement, à court terme, le cours du coton pourrait venir rebondir sur son support des 72 cents prochainement avant de reprendre sa tendance de fond en direction des 74.1 cents dans un premier temps et par extension la résistance hebdomadaire à 76.6 cents.
Cours du coton
Cacao : La situation ivoirienne inquiète
Les prix du cacao ont reculé sur la semaine après avoir fortement grimpé vendredi dernier, alors qu’une mutinerie dans le centre de la Côte d’Ivoire avait fait craindre une perturbation des exportations du premier producteur mondial.
« Les prix avaient déjà gagné près de 4% depuis le début de l’année. Les données sur le cacao qui arrive aux ports ivoiriens varient fortement, et font état d’une baisse de 5% ou de 12% selon les sources. Cela remet en question la capacité de la prochaine récolte à compenser le déficit de la dernière », ont expliqué les analystes de Commerzbank.
« Par ailleurs, de nombreux petits exportateurs attendent pour acheter, car avec la baisse des prix sur le marché, il est difficile pour eux de payer le prix minimum fixé par le gouvernement ivoirien », ont-ils ajouté.
Le prix bord champ du kilo de cacao a été fixé à 1.100F CFA (1,67 euros) par le gouvernement ivoirien.
Cours du cacao
Café : La production stable en 2016-17
La tonne de robusta a atteint son plus haut niveau depuis quatre ans et demi mercredi à 2.229 livres sterling, tandis que la tonne d’arabica a atteint jeudi 151,60 cents la livre à New York, à son plus haut depuis un mois et demi.
« Les contrats à terme ont grimpé alors que la météo sèche du Brésil affecte le potentiel de la récolte, tandis que l’Organisation internationale du café (ICO) a fait état de réserves mondiales en baisse », a résumé Jack Scoville, analyste chez Price Future Group.
Selon l’ICO, la production mondiale de café pour la saison 2016-2017 devrait être en légère hausse par rapport à la saison précédente, à 151,6 millions de sacs. « Cependant, ce volume total comprend une augmentation significative de la production d’arabica, en grande partie compensée par une diminution de 6% du robusta », précise l’organisation.
Cours du café
Sucre : En phase de stabilisation
Les prix du sucre, qui avaient reculé fin 2016, semblent se stabiliser en ce début d’année, alors que des éléments positifs et négatifs équilibrent le marché.
« Les prix du sucre pourraient à nouveau se trouver sous pression à cause des taux d’intérêts, car la Banque centrale brésilienne a abaissé son taux directeur de façon inattendue. Un real plus faible augmenterait l’offre du Brésil, de loin la plus grande du monde », ont prévenu les analystes de Commerzbank.
En effet, la baisse du real pousse les producteurs à vendre plus, puisque leurs profits convertis dans leur monnaie nationale sont plus importants. En revanche, la demande indienne pourrait augmenter. « L’Inde reste au coeur des préoccupations des traders. La baisse de la production de la région de Maharashtra a fait grimper les prix au niveau national. Le ministre indien de l’alimentation a de nouveau affirmé jeudi qu’il n’y aurait pas de réduction des taxes d’importation, mais les marchés considèrent que, si les estimations de production de cette saison continuent de chuter dans le pays, le gouvernement devra agir », a expliqué Nick Penney, de Sucden.
A Londres, la tonne de SUCRE BLANC pour livraison en mars valait 540,20 dollars, contre 542,90 dollars le vendredi précédent. A New York, la livre de SUCRE BRUT pour livraison en mars valait 20,80 cents, contre 20,61 cents sept jours auparavant.
Cours du sucre
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Bénéfice de Samsung malgré les déboires du Note 7
Le sud-coréen Samsung Electronics a annoncé mardi un énorme bond de ses bénéfices au quatrième trimestre, malgré l’humiliation du rappel planétaire de son smartphone phare, le Galaxy Note 7, qui a entaché sa réputation de géant technologique
Outre la débâcle du Galaxy Note 7, le mastodonte sud-coréen doit aussi gérer une autre crise, celle de son implication dans le retentissant scandale de corruption qui a précipité la destitution de la présidente Park Geun-Hye.
Samsung Electronics (Nasdaq: SSNLF), navire amiral du conglomérat géant, a publié un résultat opérationnel de 9.220 milliards de wons (7,4 milliards d’euros), entre octobre et décembre, en hausse de 50,2% sur un an. Le bénéfice net s’élève à 7.090 milliards de wons, soit un saut de 120%.
Ces résultats « ont été portés par le secteur des composants, en particulier les puces mémoire et le segment des écrans », explique le groupe dans un communiqué. Le renforcement du dollar lui a également été favorable.
Des visiteurs essaient le Samsung Galaxy S7 et le S7 Edge à Séoul le 27 octobre 2016 ( AFP/Archives / JUNG YEON-JE )
Les cours des puces sont soutenus par la demande, en particulier de fabricants chinois de smartphones qui se mettent à produire des engins dotés de caméras haute résolution et aux capacités de stockage plus grandes afin de tenter de rattraper Samsung et son grand rival américain Apple.
Samsung domine le marché des 3D NAND, puces mémoire plus rapides et à grande capacité.
Le chiffre d’affaires du premier fabricant mondial de smartphones est ressorti à 53.300 milliards de wons, quasiment inchangé par rapport à la même période de l’année précédente.
Sur l’ensemble de l’année écoulée, Samsung a « réalisé une performance solide malgré l’arrêt de la production du Note 7 au deuxième semestre », dit le groupe, sa seule référence au fiasco.
Sur 2016, le bénéfice d’exploitation a progressé de 10,7% sur un an à 29.200 milliards de wons bien que le chiffre d’affaires n’ait progressé que de 0,6% à 201.900 milliards de wons.
Les analystes s’attendent à ce que la tendance se poursuive en 2017.
Rachat d’actions
« Nous nous attendons à ce que Samsung engrange des bénéfices records cette année grâce à la hausse du prix des puces », a dit à l’AFP Greg Roh, analyste chez HMC Investment Securities.
Parallèlement, Samsung a annoncé le rachat de ses propres actions pour 9.300 milliards de wons.
Malgré ces résultats, l’action baissait en fin de matinée de 0,11% à la Bourse de Séoul, à 1,9 million de won, après des débuts en hausse.
Le premier conglomérat sud-coréen avait été contraint en septembre d’ordonner le rappel planétaire du Note 7 pour cause de batteries explosives. Quand les appareils de remplacement ont eux aussi commencé à s’enflammer, Samsung a décidé d’arrêter les frais.
Au total, 3,1 millions d’appareils ont été rappelés alors que le Note 7 était censé concurrencer la dernière mouture de l’iPhone d’Apple.
Cette débâcle a coûté à Samsung des milliards d’euros, entre le manque à gagner et l’impact -plus difficile à estimer- sur son image.
Le géant sud-coréen vient d’annoncer après plusieurs enquêtes que des défauts de batteries produites par deux fournisseurs différents étaient bien à l’origine des déboires du Note 7.
Son prochain modèle, le Galaxy S8, devait être dévoilé en février au Mobile World Congress de Barcelone. Mais son lancement a été reporté afin de permettre davantage de tests.
Le groupe a annoncé la mise en place de mesures complexes de vérification pour éviter de tels désastres mais certains analystes restent sceptiques.
Pour Jan Dawson, analyste chez Jackdaw Research, les conclusions des enquêtes, internes et indépendantes, font penser que Samsung n’a pas suffisamment testé son produit en voulant se précipiter sur le marché pour des raisons de compétitivité, au détriment du contrôle qualité.
« J’ai confiance dans le fait que Samsung va mettre en œuvre d’importants changements dans ses processus à l’avenir mais je doute plus que la culture qui a débouché sur ces problèmes change dans les mêmes proportions », a-t-il dit à l’AFP.
Samsung traverse une des pires séquences de son histoire. L’héritier du groupe, Lee Jae-Yong, vice-président de Samsung Electronics, a été entendu pendant 22 heures par des enquêteurs qui le soupçonnent de corruption et d’abus de biens sociaux dans le scandale impliquant la présidente sud-coréenne. Il a toutefois échappé à l’arrestation réclamée par les enquêteurs.
Source: Reuters
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Le yen et Trump ont pesé sur la Bourse de Tokyo
La Bourse de Tokyo a clôturé en nette baisse lundi en raison notamment des répercussions sur les exportateurs d’un yen fort et des craintes que suscitent les visées protectionnistes que l’on prête au président américain Donald Trump.
L’indice Nikkei a perdu 246,88 points (1,29%) à 18.891,03 points, tandis que le Topix, plus large, a cédé 1,23% (18,83 points) à 1.514,63 points.
« Dans la mesure où Trump ne cesse de dire ‘America First’ (L’Amérique d’abord), les investisseurs au Japon sont sur la défensive », commente Hiroyuki Nakai (Centre d’études Tokai Tokyo).
Le dollar recule de 1,2% à 113,25 yens, se rapprochant du plus bas de sept semaines de 112,57 touché la semaine passée.
Dans le compartiment des exportateurs, Toyota et Hitachi ont perdu respectivement 1,63% et 1,46%.
Recul également des chaînes de grands magasins en raison d’une baisse de leurs ventes de 1,7% en décembre, leur 10ème d’affilée. H2O Retailing a perdu 3,01% et Takashimaya 2,03%.
Le fabricant d’airbags Takata, un moment réservé à la baisse car le marché craint un redressement judiciaire, a fini la séance sur une perte de 17,64%. Source
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Apple réclame 1 milliard de dollars à Qualcomm
Apple a porté plainte vendredi contre Qualcomm en lui réclamant un milliard de dollars (935 millions d’euros), trois jours après les poursuites engagées par l’administration américaine contre le spécialiste des processeurs, accusé de pratiques anticoncurrentielles sur le marché des semi-conducteurs pour téléphones portables.
Qualcomm est un important fournisseur à la fois d’Apple et de Samsung, auxquels il vend des puces « modem », des composants qui permettent aux téléphones de se connecter aux réseaux mobiles.
Les deux constructeurs de smartphones ont généré à eux seuls 40% des 23,5 milliards de dollars de chiffre d’affaires du groupe sur le dernier exercice fiscal de ce dernier.
Dans sa plainte, Apple (Nasdaq: AAPL) accuse Qualcomm d’avoir surfacturé ses composants et d’avoir refusé de lui accorder environ un milliard de dollars de remises sur lesquelles il s’était engagé.
Le constructeur de l’iPhone explique que Qualcomm est revenu sur sa promesse de remises parce qu’Apple avait engagé des discussions avec les autorités sud-coréennes de la concurrence, qui ont sanctionné Qualcomm le mois dernier.
Qualcomm n’a pas répondu dans l’immédiat vendredi à une demande de commentaire sur la plainte d’Apple.
Mardi, la Federal Trade Commission (FTC) a engagé une procédure à l’encontre de Qualcomm en expliquant que le groupe de San Diego profitait de sa position dominante pour imposer des conditions d’approvisionnement et de licences « lourdes » à certains de ses clients, comme Apple, ainsi que pour désavantager ses concurrents.
Qualcomm (Nasdaq: QCOM) a réagi à cette annonce en disant vouloir contester « avec vigueur » les arguments de la FTC.
En décembre, les autorités sud-coréennes ont condamné Qualcomm à une amende de 1.030 milliards de wons (environ 817 millions d’euros) pour sanctionner des pratiques jugées déloyales au terme de 14 mois d’enquête.
De son côté, l’Union européenne a accusé le groupe américain d’abus de position dominante en décembre 2015.
Qualcomm était le seul fournisseur de puces modem des téléphones d’Apple jusqu’à la sortie de l’iPhone 7 en septembre. Pour ce modèle, Intel fournit au groupe à la pomme environ la moitié des puces modem selon Stacy Rasgon, analyste senior de Bernstein Research.
Samsung, qui avait opté pour un composant de sa propre fabrication pour son Galaxy S6, est revenu se fournir auprès de Qualcomm pour le Galaxy S7.
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L'OL recevra plus de 100 millions d'euros grâce à son nouvel actionnaire chinois !
Après Sochaux et Auxerre en France, l’Atlético Madrid et l’Espanyol Barcelone en Espagne, l’Inter Milan en Italie ou West Bromwich Albion et Aston Villa en Angleterre, c’est au tour de l’Olympique lyonnais (OL Groupe) de passer en partie sous pavillon chinois.
OL Groupe a officialisé mardi 13 décembre à Pékin le rachat de 20 % de son capital par le fonds chinois IDG, qui doit l’aider à se développer en Chine, où le football est promu à marche forcée par les autorités.
Aulas : « Développement en Chine »
« Nous avons signé un partenariat économique mais aussi et surtout de développement en Chine d’un football qui sera, j’en suis convaincu, le premier au monde très bientôt », a déclaré le président de l’OL, Jean-Michel Aulas, lors d’une conférence de presse.
IDG Capital acquiert 20 % d’OL Groupe, l’entité cotée du club français, moyennant 100 millions d’euros. M. Aulas devrait cependant garder le contrôle du club, aux côtés de son partenaire Pathé.
Ce fonds possède des intérêts diversifiés (santé, médias, culture, tourisme) et a notamment investi dans le géant Baidu, le « Google chinois ». Il est présent dans le sport depuis seize ans avec des investissements dans les droits de diffusion, les services et le conseil en événements.
Une coentreprise détenue conjointement par l’OL Groupe (45 %) et IDG (55 %) et nommée Beijing Lyon Xingzhi Sports Culture sera notamment chargée en Chine de créer des écoles de football, avec des formations assurées par des entraîneurs de l’OL.
La Chine, sous l’impulsion de son président, Xi Jinping, grand amateur de ballon rond, prévoit la création en quatre ans de 20 000 écoles de football, et espère se hisser« au top du football mondial d’ici à 2050 ». « Notre but en tant qu’actionnaires d’un club français ? C’est d’apporter en Chine toute l’expérience, les connaissances et les compétences accumulées depuis trente ans » par l’Olympique lyonnais, a souligné Li Jianguang, un des dirigeants d’IDG.
« Cela ne se fera pas en un soir. Ni même en un an ou deux. Ce qu’on achète, c’est l’occasion d’être associés sur le long terme au développement de l’OL », a-t-il expliqué. M. Li sera l’une des deux personnalités chinoises à siéger au conseil d’administration d’OL Groupe, a assuré Jean-Michel Aulas. L’accord OL-IDG illustre l’appétit grandissant des investisseurs venus de Chine pour le football européen.
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Wall Street salue l'arrivée de Trump
La Bourse de New York a fini dans le vert vendredi mais sous ses plus hauts du début de journée, le premier discours prononcé par Donald Trump après avoir prêté serment comme président des Etats-Unis ayant ravivé chez certains investisseurs la crainte d’une politique protectionniste mauvaise pour les affaires.
C’est néanmoins la première fois depuis 50 ans que l’entrée en fonctions d’un nouveau chef de l’Etat est saluée par une hausse de Wall Street.
L’indice Dow Jones, qui regroupe 30 des principales valeurs de la cote américaine, a gagné 94,85 points, soit 0,48%, à 19.827,25 après être monté jusqu’à 18.843,94.
Le Standard & Poor’s 500, plus large et principale référence de nombreux investisseurs, a pris 7,62 points (+0,34%) à 2.271,31 et le Nasdaq Composite a progressé de 15,25 points (+0,28%) à 5.555,33.
Dans son discours prononcé sur les marches du Capitole à Washington, le nouveau président a promis de mettre en oeuvre son slogan « America First », déclarant: « A partir de ce jour, ce sera uniquement l’Amérique d’abord. »
Les marchés actions ont réduit leurs gains pendant le discours, ce que certains observateurs expliquent par la peur de voir la nouvelle administration américaine adopter une politique commerciale protectionniste. D’autres ont toutefois évoqué une réaction plus classique consistant à « acheter l’élection et vendre la prise de fonction ».
« Si vous voulez voir un signal dans le discours inaugural, c’est le fait que le commerce international reste en tête de liste et qu’il va rapidement agir à ce sujet », a commenté Brad McMillan, responsable des investissements de Commonwealth Financial.
PROCTER & GAMBLE EN VEDETTE
Les promesses de réformes fiscales, de dérégulation et de relance budgétaire du nouveau président ont permis à Wall Street de progresser fortement depuis l’élection du 8 novembre (+6,2% pour le S&P-500). Mais cet effet s’est estompé depuis le début du mois, les investisseurs attendant désormais de voir si ces promesses seront tenues.
Le mois qui suit l’entrée en fonction d’un nouveau président aux Etats-Unis est généralement peu porteur pour Wall Street, le S&P-500 affichant une baisse médiane de 2,7% sur cette période depuis celle d’Herbert Hoover en janvier 1929, selon une analyse de Reuters.
Aux valeurs, les publications de résultats trimestriels intervenues jeudi soir et vendredi ont suscité des réactions diverses. Procter & Gamble a pris 3,25% après un chiffre d’affaires et un bénéfice meilleurs qu’attendus.
IBM s’est quant à lui adjugé 2,24% après avoir présenté des prévisions supérieures aux attentes du marché en s’appuyant sur la croissance d’activités telles que l’informatique dématérialisée (« cloud ») et l’analyse de données.
A l’opposé, le conglomérat industriel General Electric est lanterne rouge du Dow avec une baisse de 2,18%, le ralentissement du chiffre d’affaires de plusieurs de ses divisions ayant occulté une hausse de 36% du bénéfice trimestriel et la confirmation des prévisions 2017.
BRISTOL MYERS SQUIBB A CHUTÉ DE PLUS DE 11%
Bristol Myers Squibb a chuté de 11,28% après avoir décidé de renoncer à mettre sur le marché deux traitements expérimentaux par immunothérapie du cancer du poumon. La nouvelle a profité à son rival Merck & Co, qui a pris 3,65%, la meilleure performance du Dow.
Qualcomm (-2,42%) a quant à lui pesé sur le Nasdaq en toute fin de séance après l’annonce du dépôt par Apple (+0,18%) d’une plainte contre le fabricant de processeurs dans laquelle il lui réclame environ un milliard de dollars de royalties.
Environ 6,6 milliards d’actions ont changé de mains vendredi sur les différents marchés américains, contre 6,1 milliards en moyenne sur les 20 séances précédentes selon les données Thomson Reuters.
La hausse de vendredi a permis au Dow de mettre fin à une séance de cinq séances de repli d’affilée mais sur l’ensemble de la semaine, il a perdu 0,29% tandis que le S&P 500 abandonnait 0,15% et le Nasdaq 0,34%.
Sur le marché des changes, le dollar a souffert de l’absence d’annonces concrètes dans le discours de Donald Trump, cédant 0,3% face à un panier de référence comme face à l’euro, qui est remonté tout près de 1,07 dollar.
Les rendements des emprunts d’Etat américains, eux, ont reflué après des plus hauts de deux semaines et demie. Le rendement à 10 ans est revenu à 2,47% après un pic à 2,51%.
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Après Volkswagen, Citroën touché par le DieselGate ?
Des tests européens révèlent des anomalies dans le système de dépollution de la C4 Citroën Cactus.
C‘est très contrarié que Christian Chapelle, vice-président du groupe PSA, doit s’envoler ce matin pour Milan (Italie). Objectif : demander des explications sur une étude européenne réalisée en partie dans la ville italienne et qui met en cause l’efficacité du système de dépollution de la Citroën C4 Cactus diesel. Un document qui, pour la première fois depuis l’affaire Volkswagen, met en cause la propreté des moteurs du groupe PSA.
Ce week-end, la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, a annoncé dans « le JDD » qu’après l’ouverture jeudi dernier d’une enquête préliminaire pour « tromperie » contre Renault, notamment pour sa Captur, « il pourrait y avoir d’autres enquêtes » contre des constructeurs « qui dépassent vraiment de beaucoup les normes autorisées ».
A sa demande, 80 modèles ont été passés au crible. La ministre visait-elle Citroën ?
Infographie Citroën Cactus
Des émissions très variables
Cette fois, tout part du Joint Research Center (JRC), un laboratoire scientifique rattaché à la Commission européenne. L’été dernier, il a testé plusieurs voitures afin de mettre au point un dispositif capable de détecter des anomalies, comme la présence d’un logiciel caché, à l’origine du dieselgate. Selon le JRC, en situation réelle de conduite, sur les routes d’Espagne et d’Italie, la Citroën C4 Cactus BlueHDi 100 produit jusqu’à 585 mg de NOx par km. Or, ces oxydes d’azote, particulièrement nocifs pour la santé, ne doivent pas être produits à plus de 80 mg/km pour être labellisés Euro 6. Un label obtenu par la Cactus. D’autres tests, en laboratoire cette fois, ont été réalisés qui confirment l’existence d’une… anomalie. Lorsque la température ambiante est conforme aux normes actuelles des tests sur bancs, la Cactus brille par ses faibles émissions.
Mais dès qu’on sort de la fourchette normative, entre 17 et 23°C, c’est comme si le système de dépollution se déconnectait. Ainsi, à une température de 10°C, les émissions de NOx atteignent 133,8 mg/km. Et à 30°C… 281,9 mg/km ! Plus de trois fois le seuil.
De là à soupçonner l’existence d’un logiciel truqué pour passer les normes d’homologation ? Sollicitée, Ségolène Royal n’a pas réagi. Le groupe PSA se dit très étonné par l’étude, reçue en décembre, et n’a aucune explication. Et d’assurer : « Il n’y a pas dans nos véhicules de logiciels permettant de modifier les résultats d’un test. »
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La croissance chinoise 2016 attendue au plus bas depuis 26 ans
La Chine a vu son économie s’essouffler en 2016, avec une croissance attendue au plus bas depuis 26 ans, selon un panel d’experts, tandis que les moteurs qui soutiennent l’activité –immobilier en surchauffe et endettement– risquent de caler en 2017.
D’après la prévision médiane de 23 experts sondés par l’AFP, la croissance du produit intérieur brut (PIB) chinois a ralenti l’an dernier à 6,7%, après avoir trébuché à 6,9% en 2015.
Ce serait le plus faible taux de croissance de la deuxième économie mondiale depuis’90, mais conforme aux anticipations du régime, qui visait une croissance entre 6,5% et 7%.
Le chiffre officiel, publié vendredi, sera scruté de près en dépit d’une fiabilité contestée: le géant asiatique représente 30% de la croissance planétaire et reste la première puissance commerciale.
Le président Xi Jinping s’est d’ailleurs fait mardi, à Davos, le chantre de la mondialisation, rappelant que la Chine « contribuait » à la prospérité du globe.
Certes, Pékin maintient les apparences: après une croissance de 6,7% sur chacun des trois premiers trimestres de 2016, les analystes attendent une nouvelle stabilisation (+6,7%) sur octobre-décembre.
Mieux: les prix sortie d’usine progressent à un rythme inédit depuis cinq ans –de bon augure pour la demande– et la production industrielle comme manufacturière a accéléré.
Les ventes automobiles en Chine, le premier marché mondial, ont enregistré en 2016 leur plus forte croissance depuis trois ans ( AFP/Archives / STR )
Mais à quel prix? Les piliers de l’économie chinoise sont fragiles: une embardée du crédit alimentée par des taux accommodants, des dépenses publiques fortement accrues dans les infrastructures et surtout une envolée du marché immobilier, observe Claire Huang, analyste à la Société Générale.
Contrecoup immobilier
Les grandes métropoles ont vu le prix du mètre carré neuf s’envoler (+40% sur un an dans certaines villes), les Chinois plébiscitant la pierre faute d’autres investissements rémunérateurs.
Or, immobilier et construction représentent environ 15% du PIB chinois. « Une part substantielle de la croissance de 2016 –0,5 point de pourcentage– provient des services de ventes immobilières », estime Brian Jackson, analyste de IHS Market.
Dans le même temps, le gonflement des crédits immobiliers participe à l’irrépressible dérive de l’endettement: la dette publique et privée avoisine 250% du PIB.
En réaction, plusieurs dizaines de villes ont durci les règles d’achat et d’obtention d’un crédit, dans l’espoir de juguler la bulle immobilière.
« Le gouvernement resserre la réglementation sur l’immobilier, la banque centrale veut restreindre le crédit: on s’attend logiquement à voir le PIB piquer du nez mi-2017 », commente Mme Huang.
Immobilier et construction représentent environ 15% du PIB chinois ( AFP/Archives / GREG BAKER )
« On peut prévoir un douloureux contrecoup du marché immobilier, qui plombera la croissance », confirme M. Jackson. « Ce problème va dominer l’année qui s’ouvre ».
Le panel d’experts table pour 2017 sur une croissance de 6,5%, deux banques anticipant même seulement 6%. Pourtant, quelques inconnues pourraient bousculer les pronostics, à commencer par Donald Trump.
Le futur président américain promet rabais d’impôts et investissements dans les infrastructures: « Autant de mesures susceptibles de doper la demande américaine et d’avoir des retombées positives pour le commerce chinois », souligne Eva Yi, du courtier CICC.
Sacrifier la croissance ?
D’autant que la dépréciation du yuan, qui a plongé de 7% l’an dernier face au dollar, pourrait finir par apporter un coup de pouce, après un plongeon des exportations chinoises en 2016.
« Mais l’intensification des incertitudes (politiques) et le risque de restrictions douanières » imposées par Donald Trump « devraient enrayer les exportations », tempère Louis Kuijs, d’Oxford Economics.
Surtout, la conjoncture demeure précaire: l’industrie chinoise est plombée par des surcapacités et hantée par des sociétés étatiques « zombies » surendettées, tandis que les fuites de capitaux s’intensifient.
Dans un centre commercial de Pékin, le 13 janvier 2017 ( AFP/Archives / Fred DUFOUR )
Certes, Pékin vante ses efforts de rééquilibrage, en dopant la consommation intérieure, les nouvelles technologies et les services et en restructurant les sociétés d’Etat.
« Réformes économiques et croissance à court terme sont contradictoires », conclut Mme Huang. « Si le gouvernement recourt à de vieilles recettes pour stimuler l’économie, sa détermination à réformer restera superficielle ».
Mais la transition s’avère douloureuse: pour transformer la Chine sans se reposer sur l’endettement, « la croissance doit être sacrifiée », insiste Claire Huang. Or Pékin redoute tout « atterrissage brutal » susceptible de menacer la stabilité sociale.
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Mattel nomme une ex-Google à sa tête
Mattel, le premier fabricant américain de jouets, a annoncé mardi la nomination à sa tête de Margaret Georgiadis, présidente de Google Americas, en remplacement de Christopher Sinclair.
Georgiadis, qui prendra ses nouvelles fonctions le 8 février, avait aussi occupé précédemment des postes de direction à Groupon, le site d’achats groupés, et chez Discover Financial Services.
Christopher Sinclair conservera la présidence du conseil d’administration de Mattel. Il avait été nommé directeur général en avril 2015, alors âgé de 64 ans, après l’éviction brutale de Bryan Stockton, qui payait la baisse des ventes du groupe.
Sous sa direction, les efforts de Mattel pour redresser les ventes de Barbie, sa marque phare, ont commencé à payer grâce à une évolution de la stratégie de marketing et au lancement de nouvelles poupées à la couleur de peau et aux chevelures ou tenues plus diverses.
A Wall Street, l’action Mattel (Nadaq: MAT) gagne 5,54% à 31,16 dollars vers 18h00 GMT en réaction à l’arrivée de Margaret Georgiadis.
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La récolte de café brésilien pourrait chuter de 15%
La récolte de café du Brésil, la plus importante au monde, pourrait chuter de 15% en 2017, selon les estimations publiées mardi de la Compagnie nationale d’approvisionnement (Conab).
Cela se traduirait par une production à la fin de l’année située entre 43,65 et 47,51 millions de sacs de 60 kg, soit une baisse comprise entre 7,5 et 15% par rapport à la récolte de 2016, qui était de 51,37 millions de sacs.
« Le café est une culture permanente, vous pouvez le récolter sur plusieurs années et une année vous aurez une bonne récolte et une production beaucoup moins importante la suivante », a expliqué à l’AFP Eledon Oliveira, technicien de la Conab.
Dans le détail, cette entreprise publique prévoit une baisse de la récolte de l’arabica, 80% de la production totale au Brésil, comprise entre 12,7% et 19,3%, soit 37,88 à 35,01 millions de sacs.
Quant à la production de robusta, elle devrait chuter de 8,1% à 20,5%, avec 9,63 à 8,64 millions de sacs.
Le Brésil, premier producteur et exportateur mondial de café, espère augmenter en 2017 de 0,2% ses plantations, à 2,23 millions d’hectares.
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Burberry aidé au T3 par un bond de ses ventes au Royaume-Uni
Burberry a annoncé mercredi une hausse plus forte que prévu de ses ventes sur les trois derniers mois de 2016 grâce à une performance « exceptionnelle » au Royaume-Uni où la baisse de la livre a dopé la fréquentation de ses magasins.
Le groupe de luxe britannique a fait état d’une croissance de 3%, plus forte que prévu, de ses ventes au détail à périmètre comparable sur son troisième trimestre clos fin décembre, avec un bond de 40% environ au Royaume-Uni.
Le chiffre d’affaires dans la vente au détail a atteint 735 millions de livres (850 millions d’euros), en hausse de 4% hors effet de change (+22% en devises courantes).
Les analystes prévoyaient en moyenne une progression de 2% des ventes comparables.
Burberry a également fait état d’une accélération de ses ventes en Chine continentale et d’une amélioration à Hong Kong, où ses ventes comparables ont toutefois encore diminué.
Le groupe a bénéficié d’une « demande forte pour ses nouveaux produits » dans ses collections, a déclaré le directeur général et directeur artistique Christopher Bailey.
Le successeur de Bailey au poste de directeur général, Marco Gobbetti, intégrera le groupe la semaine prochaine avant d’assumer ses pleines responsabilités en juillet, avait indiqué lundi la marque au tartan.
L’action Burberry (FTSE: BRBY) gagne 2% dans les premiers échanges à la Bourse de Londres après ces annonces.
Le titre s’est apprécié de quelque 24% sur les six derniers mois, aidée par la dévaluation de la livre après le référendum britannique du 23 juin en faveur du Brexit. Son cours de clôture de mardi à 1.593 pence valorise le groupe à environ 6,8 milliards de livres.
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CAC 40 : vers un timide rebond à l'ouverture.
Le CAC 40 devrait légèrement rebondir mercredi matin, après avoir aligné deux séances consécutives de repli lundi et mardi, du jamais vu depuis le mois de novembre dernier.
Vers 8h15, le contrat futur sur l’indice CAC 40 – livraison janvier – avance de 19,5 points à 4879,5 points, annonçant un début de séance plutôt favorable.
‘On a quand même l’impression que le moral des marchés s’est quelque peu assombri dernièrement et que l’aversion au risque est en train de faire son retour’, prévient un opérateur.
Certains analystes techniques font même remarquer qu’une incursion sous les 4833 points pourrait signifier une fragilisation de la tendance haussière et une remise en cause du scénario d’une sortie ‘par le haut’ en direction des 5000 points.
Un seuil de rupture pourrait même se situer autour des 4820 points, d’après le consensus.
A Wall Street, les marchés ont entamé la semaine par une consolidation sans intensité après leur long week-end de ‘Martin Luther King Day’. Au terme des échanges, le Dow Jones cédait 0,3%.
Les vendeurs n’ont pas cherché à amplifier leur avantage alors que Goldman Sachs doit dévoiler ses résultats trimestriels à la mi-journée et que les derniers chiffres de l’inflation aux Etats-Unis sont également attendus aujourd’hui.
Il y a fort à parier que les investisseurs suivront avec attention le dollar alors que Donald Trump a jugé hier que le billet vert était trop cher.
Suite à ces propos, le dollar évolue peu face à l’euro, se maintenant dans la zone de 1,0680 face à la monnaie unique, tandis que le baril de brut léger américain progresse de 0,1% à 52,5 dollars.
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Hausse de 3,2% du marché automobile européen en décembre
Le marché automobile européen a encore progressé de 3,2% en décembre, portant à 6,5% sa croissance sur l’ensemble de l’année 2016, sa troisième année de hausse consécutive, montrent les chiffres publiés mardi par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA).
Au total, 1.193.286 véhicules de tourisme ont été vendus le mois dernier dans les pays de l’Union européenne et ceux de l’Association européenne de libre-échange (Islande, Norvège et Suisse), précise l’ACEA, soulignant qu’il s’agit du chiffre le plus élevé jamais enregistré pour un mois de décembre.
Sur l’ensemble de 2016, les ventes de voitures en Europe ont franchi le seuil des 15 millions d’unités, à 15.131.719 unités, soit près de 930.000 de plus qu’en 2015.
« Cette tendance positive, note l’ACEA dans un communiqué, est un signe qu’en dépit de l’instabilité politique et de l’incertitude économique liée à des événements importants de 2016, comme le Brexit ou le référendum italien, la confiance du consommateur est restée solide. »
La croissance de 2016 a été soutenue entre autres par la forte progression des marchés italien (+15,8%) et espagnol (+10,9%), et dans une moindre mesure par le dynamisme des ventes en France (+5,1%), en Allemagne (+4,5%) et au Royaume-Uni (+2,3%).
Le détail des ventes par constructeur montre que l’année 2016 a particulièrement réussi au groupe Renault, dont les ventes ont augmenté de 12,1% (+12,9% pour la marque au losange, +10,1% pour Dacia), ainsi qu’à Fiat Chrysler Automobiles (+14,1%) et à Daimler, la maison mère de Mercedes et de Smart (+13,4%).
Avec 1,522 million de voitures vendues sur l’année, le groupe Renault ravit ainsi le titre de deuxième constructeur d’Europe à son compatriote PSA, dont les ventes ont reculé de 0,5% à 1,472 million d’unités, pénalisées par le recul de 1,4% de Citroën et celui de 12,7% de DS alors que Peugeot affiche un gain de 1,1%.
Le numéro un du marché, Volkswagen, s’en tire plutôt bien avec une hausse de 3,3% de ses ventes annuelles à 3,641 millions, le succès de sa marque haut de gamme Audi (+8,1%) et de Skoda (+7,4%) ayant plus que compensé le recul de 0,4% des ventes de VW, conséquence du « Dieselgate ».
Les chiffres du seul mois de décembre montrent des évolutions similaires mais beaucoup plus marquées pour PSA, dont les ventes ont chuté de 14,6% par rapport au même mois de 2015 alors que le groupe Renault affiche une croissance de 13,7%.
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Casino a confirmé mardi sa prévision de résultat en France
Casino (CAC40: CO) a confirmé mardi sa prévision de résultat en France après un quatrième trimestre marqué par une légère amélioration des ventes de ses hypermarchés Géant et un rebond de celles de Monoprix.
Le distributeur a confirmé pouvoir dégager un résultat opérationnel courant supérieur à 500 millions d’euros en France pour l’exercice 2016, un chiffre jugé ambitieux par certains analystes.
En France, où les performance sont surveillées à la loupe compte tenu de leur poids dans les résultats depuis la cession des très rentables actifs asiatiques pour désendetter le groupe, les ventes ont grappillé 0,2% à magasins comparables, après un recul de 0,6% au trimestre précédent.
Cette performance, portée par Géant et Monoprix, permet au groupe de boucler l’exercice sur des ventes légèrement positives (+0,3%) en France sur l’ensemble de l’année.
Au Brésil, deuxième pays du groupe, les ventes de sa filiale GPA, numéro un brésilien de la grande distribution, ont progressé de 7,9% en comparable.
Casino ne consolide plus Varejo, filiale de produits électroniques de GPA, dont la procédure de vente a été lancée fin novembre 2016 pour se recentrer sur la distribution alimentaire.
Au total, à taux de change constants, hors essence et effets calendaires, les ventes de Casino ont progressé de 5,1% au quatrième trimestre (retraité de la cessions en cours de GPA) et de 5,7% sur l’année 2016 à 36,03 milliards d’euros.
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Brexit: Theresa May dévoile sa feuille de route
Floue jusque-là sur le Brexit, Theresa May doit exposer sa stratégie pour les négociations à venir avec l’UE lors d’un discours très attendu mardi à Londres où on pourrait enfin connaître les réelles intentions du Royaume-Uni.
« Que signifie le Brexit ? Eh bien le Brexit signifie Brexit. » Près de sept mois après le vote historique des Britanniques pour une sortie de l’Union européenne, la Première ministre ne s’est guère aventurée au-delà de cette formule frustrante pour essayer de qualifier les termes de la rupture à venir.
Seule indication claire: la promesse de déclencher la procédure de divorce d’ici la fin mars, prélude à deux ans de négociations avec Bruxelles.
Le discours de mardi doit marquer une vraie rupture. Il est temps d’abattre les cartes et, à en croire les fuites orchestrées dans la presse, la tendance serait à un Brexit « dur ». Ou plutôt « clair et net », dernière appellation en date après les spéculations sur un Brexit « mou », « gris » et « rouge, blanc, bleu ».
Au risque de faire souffrir la livre Sterling, qui a déjà piqué du nez lundi, Mme May pourrait ainsi annoncer le prochain retrait du marché unique, de l’union douanière européenne et de la Cour européenne de justice, dans le but de reprendre le contrôle de l’immigration européenne, la priorité N.1 de Londres.
« La triple onde de choc de May sur le Brexit », a d’ores et déjà commenté le tabloïd europhobe The Sun. « No, no, no: le moment Maggie de May », a écrit pour sa part l’ancien député et directeur du site « ConservativeHome » Paul Goodman, en faisant allusion à la célèbre réaction de Margaret Thatcher en 1990 face aux propositions de Jacques Delors, alors président de la Commission européenne.
Pacifier le pays
La livre britannique ( AFP / Gal ROMA )
En affichant sa volonté de sortir le Royaume-Uni du marché unique, Theresa May montrerait qu’elle a pris acte des mises en garde des Européens, rappelant qu’il n’y aura pas d’accès possible sans respect du principe de libre circulation.
« Nous voulons un nouveau partenariat équitable (…) pas un statut de membre partiel ou associé de l’UE, qui nous laisserait à moitié dedans ou à moitié dehors », doit dire Mme May selon des propos diffusés lundi soir par Downing Street.
La cheffe du gouvernement conservateur doit insister sur la construction d’un Royaume-Uni « ouvert sur le monde » qui signe ses propres accords commerciaux avec des pays du Commonwealth, les géants asiatiques et les Etats-Unis.
Elle a reçu lundi le soutien enthousiaste du président élu américain Donald Trump, qui a annoncé au Times vouloir conclure « très rapidement » un tel accord.
Mais Mme May risque de se heurter à l’intransigeance des autres leaders européens, la chancelière allemande Angela Merkel en tête, qui refusent une « Europe à la carte ».
Anticipant des négociations compliquées, le ministre britannique de l’Economie Philip Hammond a menacé l’UE de se lancer dans un dumping fiscal pour « regagner de la compétitivité », si son pays n’obtient pas ce qu’il désire.
La sortie de M. Hammond a été vivement critiquée par l’opposition travailliste. Selon le député Pat McFadden, une politique de « réduction drastique des impôts et des dépenses publiques mettrait en péril les services publics ».
Pour Theresa May, il s’agit non seulement d’exposer son plan mais aussi de pacifier un pays profondément divisé depuis le référendum du 23 juin 2016, remporté avec 52% des voix par les eurosceptiques.
Dans son discours, elle doit appeler ses concitoyens à « mettre de côté les vieilles divisions et s’unir pour faire du Brexit un succès », plaidant pour la fin des « insultes » et de la rancœur, ont indiqué ses services de Downing Street.
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Statu quo en vue pour la BCE malgré des progrès de l'inflation
La Banque centrale européenne (BCE) va maintenir sa politique monétaire ultra-accommodante cette semaine mais devra convaincre du bien-fondé de ses aides à l’économie au moment où le ciel s’éclaircit en zone euro, estiment des analystes.
Le conseil des gouverneurs de l’institution, auquel siègent six directeurs et les 19 gouverneurs des banques centrales nationales de la région, tiendra jeudi sa politique régulière de politique monétaire, suivie d’une conférence de presse de son président Mario Draghi.
« Malgré une légère amélioration des perspectives (…) la BCE va rester en pilotage automatique cette semaine », estime Carsten Brzeski, économiste chez ING, qui n’attend aucune annonce nouvelle à l’issue de cette réunion.
Début décembre, la banque centrale avait décidé d’étendre le « QE », le vaste programme de rachat de dettes publiques et privées qu’elle mène depuis 2015 pour dynamiser l’économie et l’inflation.
En cause, une remontée des prix en zone euro jugée alors insuffisante et un « haut niveau d’incertitudes » lié à l’environnement politique mondial. Les banquiers centraux s’était notamment inquiété des conséquences encore incalculables du Brexit et de l’élection du nouveau président américain Donald Trump, apôtre du protectionnisme.
Mais depuis, plusieurs statistiques ont fait état d’une nette embellie de l’activité en zone euro, au point que plusieurs voix – principalement en Allemagne – ont appelé la banque centrale à restreindre ses aides à l’économie.
Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble appelle la BCE à réduire ses aides à l’économie ( AFP/Archives / EMMANUEL DUNAND )
Parmi ces appels, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a récemment plaidé pour une réduction de la voilure dès cette année.
Casse-tête de l’inflation
L’institution monétaire de Francfort multiplie les efforts depuis plus de deux ans tirer l’économie européenne de l’ornière.
Outre des taux directeurs au plus bas et des prêts géants gratuits pour les banques, elle a promis de racheter 80 milliards d’euros de dettes tous les mois jusque fin mars, puis 60 milliards chaque mois à partir d’avril jusqu’à la fin de l’année.
La BCE, qui vise une inflation légèrement inférieure à 2%, peut se targuer d’une bonne nouvelle: les prix à la consommation en zone euro ont bondi de 1,1% sur un an en décembre, après +0,6% en novembre, et devraient grimper encore plus fortement ces prochains mois, anticipent les analystes.
Problème, cette progression est largement due à la seule remontée des prix du pétrole et masque de profondes disparités en zone euro: si l’inflation a progressé à 1,7% en décembre en Allemagne, elle n’a en revanche montré aucune vigueur en Grèce ou en Italie.
Une situation qui menace de virer au casse-tête pour la banque centrale.
Risques politiques
Le patron de la BCE, Mario Draghi, le 21 novembre 2016 à Strasbourg ( AFP/Archives / FREDERICK FLORIN )
M. Draghi va devoir « user de beaucoup de pédagogie pour justifier la poursuite de sa politique monétaire très expansive alors que l’inflation remonte », pointe Sylvain Broyer, de Natixis.
« La question qui va se poser, c’est +comment sortir d’une telle politique quand certaines régions n’en ont plus besoin, certaines en ont encore besoin mais moins qu’avant, et d’autres ne décollent toujours pas économiquement ?+ », ajoute M. Broyer.
La BCE « va probablement insister sur le fait que la reprise économique est menacée sans le soutien de la politique monétaire », souligne Michael Schubert, de Commerzbank.
La banque centrale veut notamment éviter qu’une réduction prématurée de son programme de soutien ne provoque des turbulences sur les marchés financiers et ne vienne gripper la reprise en zone euro, au moment où plusieurs échéances électorales clés sont attendues en France, aux Pays-Bas, Allemagne et probablement en Italie.
« Toutefois, si les indicateurs continuent à s’améliorer, les appels vont se faire plus pressants » pour que la BCE amende sa politique, explique à l’AFP Ben May, chez Oxford Economics.
En Allemagne notamment, où le parti anti-euro AfD va de succès en succès depuis plus d’un an dans les élections régionales, les très faibles taux d’intérêt pratiqués par la BCE alimentent depuis des mois la colère des épargnants qui s’affolent de voir leurs placements rapporter de moins en moins.
La BCE pourrait signaler jeudi qu’elle est « prête à en faire plus si les risques politiques se cristallisent, mais elle approche des limites de son action » et une réduction de ses aides à l’économie est probable en 2018, juge Jennifer McKeown, de Capital Economics.
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Essilor et Luxottica fusionnent pour créer un géant des lunettes
Le français Essilor, numéro un mondial de l’optique ophtalmologique, et l’italien Luxottica, premier fabricant mondial de lunettes, ont décidé de se rapprocher dans le cadre d’une opération de 45 milliards d’euros pour créer un géant de l’industrie optique, apprend-on de sources proches du dossier.
D’un côté, le champion mondial des verres. De l’autre, celui des montures, notamment de lunettes de soleil, avec des marques comme Ray-Ban et Oakley. Jugeant leurs deux entreprises complémentaires, les dirigeants français et italiens avaient déjà entamé des discussions sur un possible rapprochement, il y a un peu plus de deux ans, sans succès. Leonardo Del Vecchio, le patriarche qui a fondé Luxottica en 1961 dans un petit bourg de la Vénétie, n’était pas encore prêt à lâcher son très cher bébé.
Un big bang pour le secteur
Sans doute les difficultés rencontrées dans la recherche d’un successeur, conjuguées à la disparition de plusieurs grands dirigeants italiens, dont le patron de Ferrero, en 2015, et celui de la chaîne de distribution Esselunga, en 2016, ont-ils amené le milliardaire de 81 ans, l’une des plus grandes fortunes du pays, à prendre, enfin, la question à bras-le-corps. Et à trouver les conditions d’une fusion avec Essilor, son principal fournisseur en verres correctifs. « Un vrai big bang pour le secteur, qui pourrait inciter d’autres acteurs du secteur à se rapprocher », anticipe un de ceux qui ont suivi les discussions.
Juridiquement, l’opération révélée lundi consiste en une prise de contrôle de Luxottica par Essilor. Dans un premier temps, M. Del Vecchio va apporter à Essilor les 62 % qu’il détient dans son groupe, en échange d’actions de l’entreprise française. Essilor lancera ensuite une offre publique d’échange pour permettre aux actionnaires minoritaires de Luxottica de participer à la nouvelle aventure aux mêmes conditions financières, c’est-à-dire sans prime ni décote. Ils pourront échanger 1 000 titres Luxottica contre 461 actions Essilor.
A l’issue de ces opérations, M. Del Vecchio sera l’actionnaire de référence du nouvel ensemble, renommé EssilorLuxottica. Il devrait détenir environ un tiers du capital, mais ses droits de vote seront limités à 31 %. Il deviendra, en outre, PDG du groupe, tandis qu’Hubert Sagnières, le patron actuel d’Essilor, sera vice-PDG.
Au 7e rang du CAC 40
Le futur EssilorLuxottica devrait ainsi devenir, en pratique, au moins au démarrage, une maison franco-italienne. Son siège se situera à Charenton (Val-de-Marne). Elle sera essentiellement cotée à Paris, même si les actions vont continuer à être traitées de façon sans doute transitoire à Milan et à New York.
Sur le papier, la nouvelle entité pourrait se situer au 7e rang du CAC 40 par sa valeur boursière. Son patron et premier actionnaire sera, lui, un Italien très francophile : M. Del Vecchio passe une bonne partie de sa vie à Beaulieu (Alpes-Maritimes), sur la côte d’azur. Le conseil d’administration sera composé de huit personnalités issues d’Essilor et de huit autres provenant du camp italien.
Le projet, qui doit encore recevoir le feu vert des autorités de la concurrence de nombreux pays, devrait permettre des économies d’échelle et autres synergies évaluées entre 400 millions et 600 millions d’euros. Pour les dirigeants, le mariage, qui ne prévoit ni fermeture d’usines ni licenciements, doit surtout permettre d’avancer plus vite. Notamment pour mettre au point des lunettes connectées, comme Google a tenté de le faire sans grand succès. Et pour livrer plus rapidement des lunettes complètes à ceux qui en ont besoin.
M. del Vecchio est conseillé dans ce dossier par la banque Mediobianca, et les juristes de BonelliErede et Bredin Prat, tandis que Rothschild et Citigroup sont à la manœuvre côté français, avec les avocats de Cleary Gottlieb Steen & Hamilton.
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