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Attaquons lâexercice, pour dĂ©faire les huns.
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Badman Batman - Arione JoyÂ
Ahoana moa raha lalondalovana na olona marenindrenina no manao karaoke anâny badman anâi Arione Joy e?
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Cendrillon selon une ado
Il Ă©tait une fois une jeune fille qui Ă©tait aussi belle quâune rose. Elle Ă©tait orpheline, alors sa tante ainsi que ses deux cousines qui lâhĂ©bergeaient la maltraitaient. On lâappelait « Cendrillon ». Ses deux cousines sâappelaient : Laura et Cara.
Un jour, un riche milliardaire invita toutes les cĂ©libataires Ă un grand bal. Les deux Ă©nergumĂšnes se sont jurĂ© dây aller. Cendrillon leur pria de la laisser y aller mais sa tante le lui interdit. Alors, les deux chipies accompagnĂ©es de leur mĂšre ont embarquĂ© dans un taxi.
Cendrillon refusait de rester toute seule Ă la maison, alors elle se mit la plus belle robe dâune de ses cousines quâelle trouva et prit les chaussures en verre de sa tante.
ArrivĂ©e Ă la soirĂ©e, Cendrillon se fit remarquer par son odeur repoussante et sa maladresse qui a causĂ© lâĂ©clatement en mille morceaux dâun vase en cristal. Le riche milliardaire atteint dâun trĂšs grave rhume, lâinvita Ă danser. Ses deux cousines et sa tante Ă©taient mortes de jalousie. Quand minuit sonna, les trois femmes rentrĂšrent.
Cendrillon sâen alla aussitĂŽt pour arriver avant elles. Mais en descendant lâescalier, le talon de sa chaussure gauche sâest cassĂ©.
MalgrĂ© tout, elle arriva avant ses cousines. Sa tante lâenferma dans sa chambre pour la punir. Le lendemain, le milliardaire sonna Ă la porte des trois sorciĂšres. La tante lui ouvrit et le laissa entrer. Il dit alors :
« je suis Ă la recherche dâune jeune femme qui possĂšde la chaussure dont le talon a Ă©tĂ© cassĂ© sur mon escalier.
Câest moi ! », rĂ©pondit Cara.
« Non, moi ! », répondit Laura.
-« Cette chaussure ? », questionna la tante en lui montrant en effet la chaussure en verre.
« Oui, alors, câĂ©tait vous ?
Exact ! »
Câest ainsi que la vieille tante Ă©pousa le milliardaire. Cara et Laura devinrent les filles les plus enviĂ©es malgrĂ© leur laideur. Comme tout le monde oublia Cendrillon dans sa chambre, et que la tante perdu la clef, elle y mourut de faim, toute seule.
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Feuille de rose
Il Ă©tait une fois, une fille nommĂ©e « Feuille de Rose ». Sa mĂšre lâappela ainsi car Ă sa naissance, une feuille de rose est tombĂ©e sur son front. Feuille de Rose avait eu une sĆur, morte. Son nom Ă©tait « Vase Ă Fleur ». (Je ne vous explique pas pourquoi.)
Feuille de Rose Ă©tait orpheline. Elle Ă©tait malmenĂ©e par sa tante et ses deux cousines qui lâhĂ©bergeaient.
Un jour, un riche milliardaire organisa un bal masquĂ© et y invita les gens de la haute. La tante y alla, accompagnĂ©e des deux cousines. Feuille de Rose, furieuse de ne pas y avoir Ă©tĂ© invitĂ©e, mit la plus belle robe dâune de ses cousines avec les chaussures Ă talons rouges de sa tante et partit Ă la soirĂ©e. ArrivĂ©e lĂ -bas, tout le monde la regarda et mourut de rire. Elle prit un bout de tissu et pleura en allant aux toilettes. Le milliardaire la suivit.
Feuille de Rose pleurait toutes les larmes de son corps quand le milliardaire ouvrit la porte. Il lui dit :
« Bonsoir, mademoiselle ! Est-ce que tout va bien ?
Que foutez-vous ici ? » répondit-elle sÚchement.
« Je venais pour vous dire que vous aviez pris la nappe de table », dit-il calmement.
« Ce nâest pas ça, idiot ! Ce sont les toilettes des femmes ⊠ou ⊠ĂȘtes-vous ⊠une femme ?
Non ! Je suis le propriétaire !
DĂ©solĂ©e ! Je ne savais pas ⊠Je suis dĂ©solĂ©e ⊠Je mâ âŠ
⊠Ce nâest rien !
Tenez, câest votre nappe.
Merci. ⊠En fait, je me nomme James Breton, cinquiÚme du nom.
Qui vous lâa demandé ?
« Qui vous lâa demandé » ? Nâest-ce pas un tantinet trop long pour un nom ?
Non, imbĂ©cile âŠ
« ImbĂ©cile » ? Nâest-ce pas un brin vulgaire ?
Je suis Feuille de Rose ! LâimbĂ©cile, câest vous !
Non, vous vous mĂ©prenez, trĂšs chĂšre. Je mâappelle « James Breton, cinquiĂšme du nom » ⊠et non « ImbĂ©cile ».
Mais quâavez-vous Ă la place du cerveau ? Du petit-pois ?
Pourquoi donc parlez-vous de cerveau, ensuite de petit pois ? Cela nâa rien Ă voir.
Laisse bé-ton !
Quel béton ?
Câest « laisses tomber » en verlan.
Laisser tomber le bĂ©ton en Verlan ? Pourriez-vous Ă©clairer ma lanterne et me dire oĂč se trouve Verlan et quel rapport y a-t-il entre cela, le cerveau et le petit pois ? »
EnervĂ©e, Feuille de Rose partit. Mais sa tante la vit et lâattrapa par le pied. Feuille de Rose se dĂ©bĂątit et put repartir avec une des chaussures Ă talons. Le milliardaire arriva et prit lâune des chaussures Ă talons restĂ©e entre les mains de la tante. La soirĂ©e fut tout de suite achevĂ©e. Tout le monde rentra.
Quand la tante et les deux cousines arrivĂšrent Ă la maison, elles bĂątĂšrent Feuille de Rose et la jeta Ă la rue. Seule, sans toit sous lequel dormir, sans nourriture, elle partit Ă la forĂȘt. Elle y trouva une maisonnette. Elle frappa Ă la porte.
« Qui est-ce ? », dit une voix de vieille dame.
« Je suis Feuille de Rose, je voulais savoir si je pouvais rester pour la nuit.
Tire la chevillette et la bobinette cherra !
De quoi parlez-vous ? », dit-elle étonnée.
Euh, pardon, je voulais dire, « entrez ! » ».
Quand la porte sâouvrit, elle entra. « Viens prĂšs de moi ! », dit la personne couchĂ©e dans le lit. Et elle avança jusquâau chevet de la vieille femme.
« Je suis là , madame !
Tu veux passer la nuit ici ?
Oui, madame !
OK ! ⊠Enfin, tu peux, mon enfant !
Je ne suis pas votre enfant !
Ah ?
Vos cheveux ressemblent Ă ceux de Boney MÂ !
CâĂ©tait Ă la mode, voyons !
Vos yeux sont aussi globuleux que ceux dâune vache !
Câest pour mieux surveiller mon mari, voyons !
Vous avez un nez de sorciÚre !
Câest vrai ? »
A ces mots, la personne se leva et prit Feuille de Rose dans les bras. Quand elle vit le visage de cette personne, Feuille de Rose sâĂ©vanouit. Elle Ă©tait laide Ă foison. Ses yeux globuleux, son nez de sorciĂšre Ă©raflĂ©, ses oreilles aussi pointues que la Tour Eiffel, ses dents vertes Ă©taient rares, sa bouche puait la naphtaline, ses joues Ă©taient creuses, et son visage Ă©tait crispĂ© par de nombreuses rides.
Quand Feuille de Rose reprit ses esprits, elle cria et sâĂ©vanouit de nouveau. AprĂšs sâĂȘtre Ă©vanouie cinq fois de suite, elle reprit ses esprits, de nouveau. Elle cria trĂšs fort. La vieille femme lui cria : « Tais-toi ! ». Et elle se tut.
« Me trouves-tu horrible ? », lui demanda la vieille femme.
« Non ! », dit Feuille de Rose en secouant vigoureusement la tĂȘte de gauche Ă droite.
« Dis-moi la vérité ! »
Feuille de Rose baissa les yeux. La vieille femme alla vers une boule de cristal et dit : « Boule, boule, oh ! ma belle boule ! Dis-moi qui est la plus laide ! ». « Toi ! », répondit la boule. Et la vieille femme dansa de joie.
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Le petit chaperon rouge, du guetto
Il Ă©tait une fois une petite fille qui portait toujours une casquette rouge sur le cĂŽtĂ© Ă tel point que tous ceux qui la connaissait lâappelait : « La Petite Casquette Rouge ». Un matin, sa mĂšre lui demanda dâaller rendre visite Ă sa grand-mĂšre Ă la campagne. Elle rĂ©pondit rĂ©solument :
« Non !
Pourquoi ? Tu dois aller la voir.
Non ! Je nâirai pas ! Chuis pas libre avant demain, jâai rendez-vous avec MickaĂ«l !
Tu iras ! » lui dit sa mÚre en claquant la porte de sa chambre.
La Petite Casquette Rouge pleura durant toute la matinĂ©e quâelle passa enfermĂ©e dans sa chambre sans tĂ©lĂ©phone, sans ordinateur, sans tablette âŠ
LâaprĂšs-midi, sa mĂšre lâaccompagna jusquâĂ la gare oĂč elle prit le train pour la campagne. ArrivĂ©e Ă destination, tout le monde la regardait car personne ne sâhabillait comme elle lĂ -bas. Elle mettait une robe et un pantalon avec des bottes, ses cheveux Ă©taient frisĂ©s sous sa casquette et son sac rouge Ă©tait plein dâargent.
Quand elle descendit du train, un homme lâavait aperçut. Il avait lâair dâun campagnard : les cheveux salis par la poussiĂšre, un tee-shirt marron avec un short vert-pĂąle assez usĂ© cachait ses muscles. Il Ă©tait pieds-nus et nâavait presque pas de dents. Il fonça sur elle, prit son sac et sâenfuit. Elle courra le rattraper mais elle se perdit en chemin. Elle ne vit autour dâelle que de lâherbe et des arbres. Des heures passaient, elle ne retrouvait pas son chemin. Et puisque la nuit tombait, elle se mit sous lâombre dâun arbre pour se reposer. La nuit Ă©tait sombre et silencieuse. EffrayĂ©e, La Petite Casquette Rouge se rĂ©veillait au moindre petit bruit.
Le matin, quand elle se rĂ©veilla, elle aperçut des bĆufs au loin. Elle courut vers ceux-ci pour voir si quelquâun les surveillait. CâĂ©tait le cas. Elle vit un garçon vĂȘtu dâun tee-shirt et dâun pantalon dĂ©chirĂ©s et usĂ©s. Elle lui demanda oĂč elle pourrait prendre une bonne douche et un petit dĂ©jeuner. Celui-ci lâaccompagna jusquâĂ la ferme de ses parents. Elle y prit un bain et un bon lait chaud.
« Merci beaucoup, sans vous, je serai morte de faim. », leur dit-elle.
« Mais dâoĂč venez-vous ? », lui demanda le pĂšre du jeune garçon.
« Je viens de la ville, mais en descendant du train, un malfrat mâa volĂ© mon sac. En voulant le rattraper, je me suis perdue, alors jâai dormi sous un arbre.
Tu nâas pas eu peur ? », demanda le garçon.
« Non, pas du tout ! Dans notâfamille, avoir peur, câest ĂȘtre une mauviette. Je nâai Ă©tĂ© effrayĂ©e, câest tout !
Ah ? ⊠Je mâappelle Anthony. », dit-il.
« Qui te lâa demandé ? » , rĂ©pondit-elle.
« Tu tâappelles « Qui Te LâA Demandé » ? Câest long comme nom, nâest-ce pas ?
Jâmâappelle pas comme ça ! Je suis Tiana, mais tout le monde me surnomme « La Petite Casquette Rouge », triple imbĂ©cile !
Enchanté, « La Petite Casquette Rouge Triple Imbécile ».
Non, je suis « La Petite Casquette Rouge », toi, tu es le triple imbécile.
Non, moi, câest Anthony.
Laisses bé-ton !
Quoi, le béton ?
Ăa veut dire « laisses-tomber » Ă lâenvers.
Laisses-tomber quoi Ă lâenvers ?
Oublies !
Oublier ? Laisses-tomber lâoubli Ă lâenvers ? Ce nâest pas un peu bizarre ?
Dis, tu es un E.T. ou quoi ? Tu viens de quelle planÚte ?
Câest quoi un E.T. ? Je ne suis pas venu sur un plat qui est net !
Allo, Anthony, ici la Terre ! ça âŠ
Tu nâes pas au tĂ©lĂ©phone pour dire « allo ».
Sâil vous plaĂźt », dit-elle aux parents de lâĂąne qui leur servait de fils, « pouvez-vous mâemmener jusque chez ma grand-mĂšre ? »
OK. », lui dit le pÚre.
« Tout de suite ? », lui demanda Anthony.
« Oui », répondit Tiana.
Ils se mirent donc en route sur une charrette bourrĂ©e de pailles. Tiana remercia le gentil homme de lâavoir aidĂ©. Quand elle frappa Ă la porte, elle entendit aussitĂŽt une voix assez vieille lui disant : « Qui est-ce ?
Câest moi ! », rĂ©pondit la jeune fille.
« Victor ! », cria la personne, « Je tâaime, moi aussi.
Quoi ?
Boire quoi, Victor ?
Je ne suis pas Victor ? grand-mĂšre ! Et dâailleurs, qui câest ce Victor ?
Victor nâa pas de frĂšre et il dĂ©teste les petits pois. Il dit quâil ne peut pas les digĂ©rer ! Si vous ne savez pas ça, câest que vous nâĂȘtes pas Victor, imposteur !
Câest moi grand-mĂšre, Tiana !
Nina ? Je ne connais pas de Nina, allez-vous en !
Furieuse, Tiana dĂ©fonça la porte et Ă©trangla la pauvre vieille dure dâoreille qui Ă©tait allongĂ©e sur le lit. Elle ne se rendit compte de son acte quâaprĂšs avoir vu le visage de la vieille dame.
« Mais vous nâĂȘtes pas ma grand-mĂšre ! », dit-elle.
« je nâai pas de frĂšre ! Je suis enfant unique ! Vous vous trompez de victime ! », cria-t-elle.
Elle sâen alla en courant jusquâĂ la ferme dâAnthony et demanda aux parents de celui-ci :
« Qui est cette femme sui habite dans la cabane oĂč vous mâavez laissĂ©e ?
Câest ma grand-mĂšre ! », dit Anthony.
« Quoi ?
Tu ne voulais pas aller chez sa grand-mÚre ? », demanda le pÚre.
« Je voulais aller chez ma grand-mĂšre, ma mamie, la mienne, pas celui dâAnthony !
Ah bon ? Je nâen savais rien ! Je tây emmĂšne tout de suite. »
Ainsi, Tiana leur donna lâadresse de sa grand-mĂšre. « Cette fois, câest la bonne ! », lui dit le pĂšre, fier de ce quâil a accompli.
Elle frappa Ă la porte, qui tomba Ă lâintensitĂ© du coup quelle donna.
« Chérie ! », dit la vieille femme couchée dans le lit. « Approche-toi »
Et La Petite Casquette Rouge approcha du lit.
« Je suis là , grand-mÚre.
Viens te coucher dans le lit ! »
Et La Petite Casquette Rouge se coucha auprĂšs de la personne.
« Tu trembles, grand-mÚre ?
Pas du tout ! je danse ma chérie car tu es enfin arrivée.
Tu as lâair petite, tout comme moi.
Non ! Câest toi qui as grandi.
Ta voix mâest familiĂšre.
Câest parce que je suis de ta famille.
On dirait que tu as beaucoup de poils.
Câest lâĂąge ma chĂ©rie ! »
Soudain, un Ă©norme bruit survint sur le lit suivi dâune odeur nausĂ©abonde. La fillette se pinça le nez.
« Tu as pété, grand-mÚre ?
Non, pas du tout ma chĂ©rie ! Câest mon parfum habituel ! »
Lâodeur sâintensifia et les deux personnes coururent dehors pour prendre lâair. Tiana dĂ©couvrit que la personne qui lâĂ©coutait nâĂ©tait autre quâAnthony dĂ©guisĂ©.
« Que fais-tu ici ? », demanda-t-elle.
« Je voulais te voir une derniÚre fois.
OĂč est ma mamie ?
Elle est morte il y a 6 ans.
Comment le sais-tu ?
Je le sais !
Comment es-tu entré ?
Je savais oĂč la clef Ă©tait cachĂ©e.
Pourquoi as-tu fais ça ?
Je voulais passer de bons moments avec toi, et jâaime bien ĂȘtre en ta âŠ
Pas ça ! Pourquoi tu as pété ?
Ăa mâa Ă©chappĂ©. DĂ©solé !
Connard ! »
A ces mots, La Petite Casquette Rouge partit prendre un train pour la ville et ne revint plus Ă la campagne.
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Blanche Neige, version Mermaid Delirium
Il Ă©tait une fois, une sorciĂšre qui possĂ©dait un miroir magique. Tous les soirs, elle demandait toujours au miroir qui Ă©tait la plus laide du royaume. Celui-ci lui rĂ©pondait toujours que câĂ©tait elle.
Un soir, une fillette noire comme lâĂ©bĂšne, aux longues dents comme un vampire frappa Ă sa porte. Elle ouvrit et la laissa entrer. Craignant dâĂȘtre doublĂ©e par la laideur de la fillette, elle demanda au miroir :
« Miroir, miroir, oh ! mon beau miroir, dit-moi qui est la plus laide.
La plus laide, dit-il, nâest autre que cette fille. »
Furieuse, la sorciÚre demanda à la fillette :
« Comment fais-tu pour avoir une peau aussi rugueuse ?
Jâutilise le savon « Context », trĂšs inefficace pour la peau.
Que tu as de longues dents !
Câest pour mieux sourire, madame.
Que tu as de longs cheveux touffus !
Câest pour mieux se protĂ©ger du soleil, madame.
Avoue-moi ton secret pour ĂȘtre aussi laide aprĂšs le coucher du soleil.
Veux-tu que je tâaide ?
Comment ? »
La sorciĂšre prĂ©para une potion et la lui fit boire. Avant de vider la bouteille, la fillette rĂ©cita une formule magique quâelle termina par : « ⊠une potion tu goĂ»teras, et tu te transformeras. ». Puis elle but la potion.
AprÚs quelques minutes, la fillette devint belle comme le jour. La sorciÚre se précipita pour demander au miroir :
« Miroir, miroir, mon bon miroir, dit-moi qui est la plus laide ?
Toi ! », répondit résolument le miroir avec dégoût.
Câest ainsi que la sorciĂšre utilisa le savon « Context » et devint la meilleure amie de la fillette.
Cette fin prouve que mĂȘme ceux qui sont laids comme des poux peuvent ĂȘtre jalousĂ©s.
#blanche neige#disney#conte#conte pour enfant#pub malgache#madagascar#dokambarotra malagasy#malagasy#angano
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How to lose weight once and for all, no diet and no sport.
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If someone bothers you with your size remind him or her that âsize doesnât matterâ and men agree with that.
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