Tumgik
lamemoiredesjours · 2 years
Text
Tumblr media
Carles Diaz, Polyphonie landaise
16 notes · View notes
lamemoiredesjours · 2 years
Text
Tumblr media
Carles Diaz, Polyphonie landaise
7 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
instagram
2 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
Tumblr media
First Name: Carmen (1983)
1K notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
Tumblr media
Goethe - Faust
26 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
Tumblr media
Goethe - Faust
29 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
Tumblr media
Isabelle Boissard - La Fille que ma mère imaginait
13 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
Tumblr media
Isabelle Boissard - La Fille que ma mère imaginait
16 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
Tumblr media
Jules Supervielle - “Puisque nos battements …”
La fable du monde, Coll. Poésie, nrf, Ed. Gallimard,
Paris, 1938.
15 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
“Mais la folie des hommes n'est pas comparable à celle des femmes : les hommes l'exercent sur les autres ; les femmes, sur elles-mêmes.”
— Victoria Mas, Le Bal des folles
15 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
“Vivre est un effort : c'était désormais sa seule certitude. Alors c'était un effort de ne pas être triste, c'était un effort de penser que la vie lui réservait le meilleur, c'était un effort de ne pas céder à lui-même. Il s'en fallait de peu parfois pour qu'il ne s'abandonne de nouveau à sa nature : la noirceur. Alors il se reprenait. Il lui fallait se raccrocher coûte que coûte à ce pari qu'il avait fait avec un brin de volontarisme : l'optimisme.”
— Arnaud Cathrine, Le journal intime de Benjamin Lorca
97 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
“HOEDERER Comme tu tiens à ta pureté mon petit gars ! Comme tu as peur de te salir les mains. Eh bien, reste pur ! À qui cela servira-t-il et pourquoi viens-tu parmi nous ? La pureté, c'est une idée de fakir et de moine. Vous autres, les intellectuels, les anarchistes bourgeois, vous en tirez prétexte pour ne rien faire. ne rien faire, serrer les coudes contre le corps, porter des gants. Moi j'ai les mains sales. jusqu'aux coudes. Je les ai plongées dans la merde et dans le sang. Et puis après ? Est-ce que tu t'imagines qu'on peut gouverner innocemment ?”
— Jean-Paul Sartre, Les Mains sales
14 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
HILDA : (…) Mes frères je ne vous reproche pas votre bonheur, mais je me sentais plus à l'aise quand nous étions malheureux ensemble, car notre malheur était celui de tous les hommes. Sur cette terre qui saigne toute joie est obscène et les gens heureux sont seuls.
Le diable et le bon dieu - Jean-Paul Sartre
7 notes · View notes
lamemoiredesjours · 3 years
Text
17 notes · View notes
lamemoiredesjours · 4 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
As I Was Moving Ahead Occasionally I Saw Brief Glimpses of Beauty (Jonas Mekas, 2000)
1K notes · View notes
lamemoiredesjours · 4 years
Text
I dream i can't sleep
Think i should leave
5 notes · View notes
lamemoiredesjours · 4 years
Text
Si chacun était capable de regarder attentivement en soi, il se rendrait compte que chacun par en dessous est fou, que nous sommes tous fous, et que nous vivons, par en bas, dans une folie très secrète qui nous permet là les plus insolites audaces, sauts et liens avec les autres et le monde. Et nous sentons donc, par en dessous, mais avec clarté, la condition de démence de la normalité, la simplification et la misère de l’organisation et de la vie sociales à laquelle, par au-dessus, chacun participe. Ainsi, ce qui se passe par au-dessus, c’est que nous faisons comme si nous y croyons, alors qu’en ce sens nous savons (par en dessous) que nous menons une vie de fiction et de mauvais théâtre (la vie réelle), soutenue uniquement par la « peur de vivre » qui s’est établie dans le commencement des temps (avec l’Histoire) de tous et de chacun. Là est l’utopie véritable, le lieu sans lieu du désir, tandis que les utopies idéales ordinaires, qui veulent épouser la Réalité, sont de ce fait condamnées à se situer dans le Futur, espace de l’illusion dominante qui a pour nom Réalité. Mais l’utopie véritable est ici, maintenant, en moi où je ne suis personne de réel. Et il se peut que la seule différence entre les uns et les autres soit dans le degré de foi, dans la mesure où chacun s’identifie avec son personnage réel (fictif) et devient, par conséquent, insensible à la divine folie qui court en lui, par en dessous, entre les chairs.
L’utopie véritable, Agustín García Calvo
Paru dans lundi matin #258
Traduit de l’espagnol par Manuel Martinez, avec la collaboration de Marjolaine François.
44 notes · View notes