Tumgik
heleonora · 5 years
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Yunmeng Duo Days - 6
French - complete version HERE
PRIDE : Words unspoken - Lotus - Golden Core
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La nuit était depuis longtemps tombée au-dessus du Lotus Pier. Au loin, les échos de chants, de cris, de rires lui parvenaient. Depuis plusieurs heures déjà, le temps des convenances était terminé. Tous s'amusaient à présent, l'alcool aidant plus que de raison, les frontières à présent presque toutes brisées. C'était l'heure où tous étaient frères.
Loin de cette agitation au cœur de laquelle il aurait été ravi d'être des années plus tôt, il préférait ce soir-là l'écart et le calme du vent brassant de ses longs doigts d'argents les fleurs pâles de lotus. La lune était pleine. La nuit était claire. La surface de l'eau caressée de reflets pâles. Et à ses côtés, une présence qui à elle seule rassurait toutes ses craintes, apaisait toutes ses peurs.
-Lan Zhan ! J'aurai vraiment voulu que tu vois le Lotus Pier avant que… Enfin, avant tout…
- Je sais. Mais je suis là aujourd'hui.
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heleonora · 5 years
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Yunmeng Duo Days - 5
IT'S TOO LATE
French - complete version HERE
Words : 1,752
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Autour de lui tout tanguait de flou, sa respiration embrumée de cris. Il savait où il était, à Lotus Pier sans aucune hésitation. Mais comment cela se faisait-il qu'il ne parvenait pas vraiment à reconnaitre les lieux ? Etait-ce la peur ? La fumée ? Ou les flammes ravageant tout dans de lourds crépitements qui rendaient tout si inhabituel ? Méconnaissable ? Certainement, que pouvait-ce être d'autre ? Il essayait de se calmer, de comprendre : à ses côtés Jiang Cheng qu'il sentait contre lui, liés qu'ils étaient l'un à l'autre. Les clapotis de l'eau. Tout penchait tellement. Et l'écho inaudible de Yu fūrén qui s'adressait à lui. Il essayait, mais ne comprenait pas ce qu'elle lui disait. « Promesse. » « Ta vie. » « Jiang Cheng. » « Sa vie. » Ces seuls mots tournaient en boucle, se mélangeaient, se superposaient, prenaient une place qui était telle que bientôt, tout son esprit ne fut qu'empli de ces bribes de simulacre d'éternelle demande solennelle. Et pourtant, il savait que ce moment était crucial. Alors pourquoi ne pouvait-il détacher ses yeux de l'horizon, derrière ce regard accusateur qui semblait flotter dans le vide pour le suivre jusque dans ses plus sombres cauchemars ? Pourquoi la seule chose qu'il parvenait à voir clairement était l'Ancestral Hall qui semblait recouvert de soie rougeoyante dans le lointain ? Une soie vibrante dont les nuances jouaient avec les reflets de soleils qui l'attisaient ? Comment avait-il la décence, dans l'horreur de l'instant, de trouver une quelconque beauté dans le drame qui se jouait devant lui ? Peut-être parce que tout lui semblait si faux. Oui, il se réveillerait et rien de tout cela ne serait arrivé. Il en était persuadé. Et Jiang Cheng qui frappait ses côtes, son dos, le faisait souffrir dans sa peine veine de se libérer de leurs liens. Et le Lotus Pier qui dans le lointain brillait tel un coucher de soleil d'été.
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heleonora · 5 years
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Yunmeng Duo Days-4
BROTHERHOOD : Teamwork - Nighttime - Comfort
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Words : 2,442
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À Gusu, l'hiver été déjà bien entamé. Les journées étaient plus courtes, les nuits plus longues, et la neige recouvrait depuis quelques jours de blanc le paysage que le gel avait figé. Et dans cette apparence de nature endormie, rien ne semblait pouvoir bouger, le souffle de la vie endormie sous les glaces nacrées de blanc. Et dans ce calme froid, même les leçons matinales étaient récitées et lues avec moins d'ardeur que d'habitude, le murmure des lecteurs prisonniers des aurores bleutées d'argents. La raison en était simple, en l'absence de Lan Quiren et de Lan XiChen pour des conférences organisées dans une autre secte, beaucoup avaient implicitement profité de cette matinée pour grappiller quelques minutes de plus de sommeil sans que personne ne vienne les tirer de leurs lits, les leçons étant elles-mêmes suspendues pour quelques jours et les examens ayant été passés avant le départ des maîtres des lieux. Au final, seul les disciples de Gusu, habitués ainsi depuis leur tendre enfance, continuaient de faire comme tous les jours. Et, lorsque ce genre d'événement arrivait, il était de coutume que Lan WangJi restait à Jingshi, profitant du silence de ces journées pour travailler comme à son habitude sur ces anciens textes qu'il recopiait et traduisait méticuleusement. Le fait était que même si le terme de vacances n'était jamais prononcé, il flottait, dense et présent, partout dans l'air de Gusu.
Bien évidemment, Wei WuXian avait fait partie de ces derniers levés, si ce n'était le dernier tout court. Et Jiang Cheng ne l'avait sous aucun prétexte réveillé et avait plutôt mené sa matinée comme bon lui semblait. Après tout, il connaissait bien les habitudes désastreuses de son frère desquelles il n'était en rien responsable ! Il avait fini par le croiser, le soleil ayant déjà bien entamé sa course dans le ciel. Il avait encore sur son visage les traces d'un réveil tardif, et les yeux gonflés par un manque de sommeil alcoolisé. Derrière lui, Nie HuaiSang qu'il avait croisé en chemin et qui l'avait rejoint, portait les mêmes stigmates d'une soirée prolongée. Jiang Cheng les regardait tous deux désespérés, les yeux au ciel avant de lâcher, de cette manière brusque qui était sienne mais dans laquelle il fallait savoir comprendre l'amusement, un profond soupir.
-Je vois que vous avez bien profité de votre soirée après mon départ ?
-Tu ne fais pas si bien dire ! Sans ton humeur maussade, la discussion n'en est devenue que plus plaisante et passionnante ! Le temps est passé soudainement beaucoup plus vite !
-Dis plutôt que tu en as profité pour te saouler comme un ivrogne !
- Ce n'est pas tout à fait faux !
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heleonora · 5 years
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Yunmeng Duo Days- 3
PROMISES : Heroes - Fate - Leadership
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Words : 1,260
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C'était fait. Et la fin de ce cauchemar était proche. La vengeance était réalisée. Et bien qu'elle ne suffisait pas à effacer les douleurs passées, bien que la mort d'un homme ne ramenait pas à la vie les proches disparus, il y avait dans cet acte là une terrible satisfaction personnelle, sale, sombre mais jouissive. Non, la mort de Wen Chao ne ramènerait pas à la vie Jiang FēngMián, ni Yu Fūrén. La torture qu'il avait subie n'effacerait pas les souffrances qu'avaient endurées les disciples qui avaient lutté pour leur vie comme ils avaient pu sous l'assaut de cette haine brute et sans cœur. La mise à mort de cet être élevé dans la doctrine détestable et misérable de son père ne ferait pas se relever de ses cendres le Lotus Pier, ni même les autres sectes détruites. Mais Jiang Cheng et Wei WuXian y trouvèrent tout de même une sorte de compensation. C'était là une vie pour un honneur, des souvenirs, un avenir, une famille partie en fumée. Des semaines de tortures pour des traques, des coups, des humiliations, qui laisseraient leurs traces à tout jamais. Au final, le sort de Wen Chao n'avait-il pas été bien moins pire que ce qu'il aurait dû être ? Le désespoir et la désolation qui avait pu être la sienne, avait-elle été comparable à celle ressentie pendant des mois et devenue une rage sourde et incontrôlable dans les âmes des survivants du Lotus Pier ? Etait-ce cela qui expliquait le vide soudain dans les cœurs des deux frères, alors qu'ils venaient de réaliser ce pourquoi les nerfs les faisaient tenir depuis tout ce temps ? Ils ne savaient pas. Ils étaient à présent seuls dans cette pièce dans laquelle ils se sentirent soudain à l'étroit. Ils étouffaient presque à mesure que l'adrénaline quittait leurs corps.
-C'est fait.
-C'est fait…
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heleonora · 5 years
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Yunmeng Duo Days - 2
 RESENTMENT : Loneliness - Memories - Guilt
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Devant lui, à même le bois clair de la table sur laquelle ses coudes s'appuyaient, son visage apathique plongé entre ses mains tremblantes, reposait Chenqing. De noir terni par la poussière de la bataille, elle ressemblait plus que jamais à une vulgaire branche de bambou sèche. Une simple branche de bois mort qu'un enfant aurait pu couper pour s'en amuser. Une simple branche qui pourtant avait causé tant de souffrances. Une flute, dont le nom à présent résonnait comme un cauchemar qui se poursuit après le réveil. Car personne n'était encore réellement revenu, tous encore ivre du combat, tous ayant leur âme errant dans la folie de Burial Mounds. Et plus que quiconque, Jiang Cheng n'échappait pas à cet état.
Derrière ses paupières clauses des images passaient en boucles, des flashs qui le bombardaient sans discontinuer. Toujours les mêmes scènes d'horreurs, de sang, de rares survivants blessés. De nombreux morts. Et tout ce rouge qui ne quittait plus son esprit, qu'il voyait tout teinter jusqu'au plus profond de sa raison. Ce rouge qu'il aimait tant. Ce rouge qui imbibait la terre noire. Ce rouge qui ornait Chenqing comme un dernier éclat de vie. Comme en souvenir de qui il avait été.
Ses oreilles sifflaient d'épuisement, son cœur battait anéanti, il le sentait comme prêt à exploser, et ses nerfs, tendus, semblaient ne jamais pouvoir retrouver un jour le repos. Et entre ses doigts qu'il espaçait, entre ses paupières qu'il entrouvrait, apparaissait la silhouette de cendre de Chenqing, qui le rappelait à cette réalité qu'il ne pouvait concevoir et de laquelle il se protégeait. Il avait espéré qu'en ouvrant les yeux à nouveau, tout cela n'aurai été que d'horrifiques chimères qui se seraient éteintes plus vite que la flamme d'une bougie. Plus vite que la vie de ses frères, tombés raides au son des sifflements stridents.
Le rêve n'était plus permis. Il devait admettre les faits. Assumer chacun de ses actes. Accepter qu'il ne croiserait plus que dans ses songes le regard vif de son frère, les yeux tendres de sa sœur. Il ne pouvait pas admettre qu'à présent il était seul.
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heleonora · 5 years
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Yunmeng Duo Days - 1
CHILDHOOD : Lotus Pier - Shijie - Kites  French - complete version --> HERE words : 4,324 _______________________________________________________________
“Du ciel bleu d'il y a un an, il s'en souvenait parfaitement. Moutonné de quelques nuages clairs, une fine brise qui caressait ses cheveux, et les bras de Jiang FēngMián qui le tenaient tout contre lui. Il se souvenait de ce jour peut-être même mieux que tous ceux qui avaient suivis. C'était son souvenir chéri parmi tous, celui qu'il protégeait avec ferveur dans sa mémoire de petit garçon. C'était il y a un an qu'il avait vu pour la première fois la splendeur du Lotus Pier, les étendards mauves aux portes pour l'accueillir, et la beauté des lotus qui lui donnaient l'impression de transformer la surface de l'eau en une immense prairie d'émeraude. Il avait été impressionné par la manière dont son nouvel oncle était accueilli à son retour chez lui. Pas seulement par le respect que lui devaient ses sujets et serviteurs dû à son rang, non, mais face à la joie réelle qui se lisait sur les visages. L'homme qu'il idolâtrait tant et qui venait de lui sauver la vie semblait être béni de tous, et dans son esprit de petit garçon, il se transforma en un être extraordinaire, et même plus encore si ce cela eut été possible. C'était il y a un an qu'il avait fait pour la première fois la rencontre de Jiang Cheng, et de YanLi. Et depuis, leur relation était telle, qu'il croyait à présent les connaître depuis toujours tant ils étaient tous trois devenus proches.
Aujourd'hui était donc un jour particulier pour Wei Ying. Mais il l'était plus encore car on leur avait promis, à Jiang Cheng et à lui, quelque chose qu'ils attendaient tous les deux avec impatience ! Sa Shijie lui avait promis que le spectacle serait magnifique, et ce que Shijie disait, il le croyait ! Et bien qu'il n'ait eu aucune idée de ce qui l'attendait vraiment, son regard brillait déjà de l'excitation de la nouveauté dans ses grands yeux gris d'enfant. Et il suivait toutes ces personnes qu'il appelait à présent sa famille, son arc et ses flèches dans ses mains. Car pour la première fois, ils allaient, avec les disciples de leurs âges, pouvoir s'entrainer hors des murs du camp d'entraînement du Lotus Pier. Cette fois-ci, ils allaient comme leurs aînés, pouvoir s'exercer à l'extérieur, dans les montagnes où plus tard, il se plairait à aller chasser le faisan. Mais pour le moment, ces préoccupations-là n'étaient pas encore les siennes.
Pour l'occasion, YanLi avait tenue à les accompagner, portant avec elle, sur son épaule, un sac dont il ignorait le contenu : surement des douceurs qu'elle avait dû leur préparer ! Peut-être ces petits gâteaux qu'ils aimaient tant ? Ou des graines de lotus ? Non, impossible, il n'y en avait pas encore en cette saison. Quoi qu'il en soit, il ne se préoccupa bientôt plus des surprises cachées, il le saurait bien assez tôt, il le savait ! Alors il se contenta de marcher à côté de son frère, un pas en arrière, mais lui souriant de ce sourire innocent dont il avait le secret. Et Jiang Cheng lui sourit en retour, mu par la même joie que lui, car lui attendait ce jour avec impatience. Le jour arrivait enfin où il allait montrer à son père combien il avait progressé et combien il pouvait être fier de lui ! Il allait montrer à sa mère combien elle pouvait être heureuse d'avoir un garçon comme lui ! Il allait montrer à sa sœur qu'elle pourrait à tout jamais lui faire confiance, parce qu'il pourrait toujours la protéger ! Et il allait montrer à son frère qu'il avait toutes les qualités requises pour devenir lui aussi un grand chef de secte à côté duquel il pourra marcher dignement en tant que bras droit ! Oui, Jiang Cheng était définitivement tout aussi enchanté par la situation que Wei Ying trottinant à ses côtés.
La marche ne fut pas si longue, mais pour les impatients garçons qu'ils étaient, la route leur semblait avoir durée des heures et ils avaient l'impression que toute leur énergie s'était envolée. Jusqu'à ce que l'annonce de leur point d'arrivée ne soit annoncée et que soudain, toute fatigue oubliée, ils poussèrent tous deux un cri de joie à l'unisson comme provenant d'un même cœur. À côté d'eux, YanLi les embrassait du plus tendre des regards, déjà si dévouée et pleine d'amour pour les deux petits garçons qui se chamaillaient encore en rigolant. Le brouhaha se rapprochant dans leur dos leur indiqua que les disciples arrivaient eux aussi au sommet de la colline, seul endroit dégagé aux alentours. Quand tout le monde fut arrivé, le silence se fit quand Jiang FēngMián prit place devant eux, Yu Fūrén à ses côtés, pour attirer leur attention. Ses paroles furent brèves, il comprenait l'impatience des jeunes disciples qui lui faisaient face. Il y a longtemps, il avait été l'un d'eux. Il les remercia de leur présence et de leur assiduité. Il les remercia d'être l'avenir de sa secte, la fierté future de Yunmeng. Il les distingua tous à un moment d'un regard, et un sentiment incroyable les pris dans la poitrine. Tous ces enfants, car ils étaient encore tous jeunes, se sentaient soudain si adultes, si responsables. Tout à coup, ils commençaient à comprendre à quoi avaient servies toutes ces heures d’entraînements en plein soleil et sous la pluie. Ils comprenaient que les efforts qu'ils faisaient aujourd'hui, les rendraient honorables et puissants demain. Sous l'effet de quelques mots, ils devenaient satisfaits, consciencieux, distingués mais plus encore, ils sentaient tous qu'on leur faisait confiance et qu'un futur glorieux les attendait si ils persistaient sur cette voie aussi brillamment et avec autant d'assiduité. Certains cachèrent même d'un coup de pouce au coin de leurs paupières, une larme qui auraient voulu couler sur leurs joues encore rondes et rosées par l'effort qu'ils avaient effectué. Et avec un de ses sourires, si humble et si chaleureux qu'il passa une dernière fois sur tous les membres de l'assemblée, il mit fin à ses paroles, satisfait de la flamme qu'il voyait apparaître dans les yeux avides de reconnaissance et de curiosité qui le regardaient encore avant que tous ne le salut et ne le remercie, en un mouvement où l'émotion se laissait apercevoir chez certains d'entre eux. Il se recula, non sans jeter un dernier regard devant lui, au premier rang, vers les deux jeunes garçons qui n'en formaient plus qu'un tant ils étaient proches, et laissa la relève aux disciples plus âgés venus pour l'occasion et qui s'occupaient parfois des plus jeunes. Il leurs laissaient prendre en charge, par petits groupe, leurs cadets, comme cela s'était toujours fait, en surveillant que règne le respect, la cordialité et la bienveillance entre tous. Les affinités étaient déjà créées entre les jeunes et les plus grands, les exercices de la sorte étant courants, et tous se jetaient en riant vers ceux qui représentaient leurs modèles, leurs héros à eux, et de qui ils tiraient ce qui semblait être de grands enseignements. Tous sans exceptions se dirigèrent sous l'égide d'une de ces figures d'autorité.
- A-Xian ! A-Cheng !”
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heleonora · 6 years
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Lancé par la booktubeuse TwoFacedLizzy (FB, YT), ce challenge qui se découpe en plusieurs objectifs permet de se concocter un programme lecture intensif allant jusqu'à 24h de lecture. Commencé à 7h ce samedi 22 septembre, il s'achève le dimanche 23 à 7h. Le but étant de prendre plaisir à lire et offre en même temps la possibilité de faire baisser une pile à lire un peu trop envahissante !
Au programme pour moi il y aura des romans à terminer, des lectures du Pumpkin Autumn Challenge et des pauses manga !
DOSTOÏEVSKI Fiodor, Les frères Karamazov, volume 2 (depuis page 620) : LU BURGESS Anthony, L’Orange mécanique HOLLAND R.S., Legends and folklore of Nottinghamshire : LU IAROSLAVSKAÏA-MARKON Evguénia, Révoltée KATZ Gabriel, Le Puits des Mémoires, tome 3 : 253 pages sur 478 WATERS Sarah, Derrière la porte (depuis page 260) YAMAZAKI Mari, Thermae Romae tomes 3 : LU,4 : LU ZOUARI Fawzia, Le corps de ma mère
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heleonora · 6 years
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Pumpkin Autumn Challenge 2018
L'arrivée de l'automne signe encore une fois cette année l'ouverture du Pumpkin Autumn Challenge créé par GuimauseTerrier (chaîne YT / blog).
Afin de célébrer cette saison merveilleuse qu'est l'automne avec succès, voici différents menus qui regroupent tout style de lectures et de lecteurs ! Au programme, angoisse et horreur, plaid et gourmandises, le tout saupoudré de magie et de mystère !
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Option visée : "Ça s'appelle avoir les crocs" Challenge réussi !
Automne Frissonnant
Le cri de la Banshee :
Le chuchoteur, Donato Carisi : LU (10/09)
Le fantôme de l'opéra /de l'apero :
Sans Atout et le cheval fantôme, Boileau-Narcejac : LU (1/09)
Vous prendrez bien un verre de True Blood ? :
L'orange mécanique, Anthony Burgess
Automne Douceur de vivre
Trick or Treat :
Rien en vue pour le moment
Pomme au four, tasse de thé et bougie :
Derrière la porte, Sarah Waters
La feuille d'automne emportée par le vent, en rondes monotones, tombant, tourbillonnant. :
Le café de l'Excelsior, Philippe Claude :LU (12/10)
Automne Ensorcelant
Witches Brew :
Le Puits des Mémoires, Les Terres de cristal., Gabriel KATZ : LU (23/09)
Cristaux, tarots et encens :
Le maître des insectes, Stuart Prebble : LU (5/09)
Les mots, la mort, les sorts, Jeanne Favret-Saada
Balai pattes :
Les quatre filles du Docteur March, Louisa May Alcott : LU (15/09)
Automne Enchanteur
Les métamorphoses :
Birdman, Mo Hayder
Clochettes, Grimoire et Chandelle :
Le songe d'une nuit d'été, William Shakespeare
Toby Lolness, Timothe de Fombelle : LU (?? /10)
Au détour de Brocéliande :
Legends and folklore of Nottinghamshire, R.S. Holland : LU (22/09)
Mythes russes, Elizabeth Warner : LU (21/11)
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heleonora · 6 years
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“La Passe-Miroir - I Les Fiancés de l'hiver”, Christelle Dabos
Livre bien connu de la blogosphère francophone de ces dernières années, je ne nierai pas avoir acheté ce roman pour sa notoriété une fois sa sortie en poche. M'était alors promis un univers fantastique innovant, une héroïne qui bousculait les codes de la littérature jeunesse et young adult, et un début d'histoire haletant. Je cherchais de mon côté une oeuvre qui me ramène à la lectrice adolescente que j'ai été, à me brûler les yeux de fatigue sur les pages à des heures inavouables de la nuit. Et bien j'ai été ravie et surprise de découvrir et me retrouver confrontée face à tout ça ! J'ai eu à plusieurs reprises le souffle coupé de stupeur, de suspense, d'appréhension ou d'impatience. Les derniers chapitres m'ont tenu hors d'haleine et je n'ai pu lâcher le livre avant de l'avoir complètement achevé.
La jeune Ophélie est une liseuse. Mais une liseuse particulière, car elle ne déchiffré pas des mots, mais l'histoire des objets et de leurs possesseurs. Habituée à son musée auquel elle tient plus que tout, elle va devoir abandonner les lieux où elle a toujours vécue et sa famille pour aller tout droit vers l'inconnu, un lieu où l'hiver règne en maître afin d'épouser de force un homme dont elle ne connaît rien. Bien que contre cette idée, plusieurs circonstances vont l'obliger à accepter cette situation. On va ainsi la suite dans un nouvel environnement qui en plus de lui être inconnu, va se révéler plus que dangereux.
Pour ma part, le côté longuet du récit et de la mise en place de l'intrigue, comme j'ai pu le lire à plusieurs reprises dans d'autres avis, ne m'a pas pas marquée. Au contraire, je le trouve justifie. Nous découvrons chaque élément en même temps que l'héroïne, elle-même plongée dans un univers qui lui est inconnu en plus de lui être hostile. De plus, les actions sont présentes tout au long de l'ouvre, avec une montée en tension particulièrement effrénée au fil des chapitres. De même, le développement des personnages est réaliste ou en tout cas cohérent. Au vu des événements présentés, chaque rôle est tenu et chaque personnalité encadrée dans ses limites par l'auteure. Chaque psychologie, même la plus excentrique qui soit est dosée et menée à sa juste mesure. Enfin, lire in début de série dont l'intrigue se base sur l'idée d'un mariage arrangé rejeté par la principale protagoniste fait du bien, ainsi que la vision de l'idée de mariage. Spoiler, si vous cherchez une jolie romance, ce n'est pas dans ce premier tome qu'il faut la chercher…
«Sauf ton respect, fille, tu n'es pas là feuille la plus avantageuse de notre arbre généalogique. Je veux dire. C'est juste un musée que tu tiens, pas une orfèvrerie. »
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heleonora · 7 years
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Challenge littéraire : 16H READATHON - Mars 2018
Challenge lancé par la booktubeuse TwoFaceLizzie.  Chaîne Youtube  Groupe facebook du challenge
Objectif de lecture :  -Ketil Bjornstad : La Société des jeunes pianistes -Joseph Kessel : La Steppe rouge -Shin Takahashi : Fragment Vol.3 -Umiharu Shinohara : La Maître des livres Vol.7 -Ichigo Takano : Orange Vol.1 -Deconnick - De Landro : Bitch Planet
Avancée :  -Ketil Bjornstad : La Société des jeunes pianistes : Lu -Joseph Kessel : La Steppe rouge :Page 22/180 -Shin Takahashi: Fragment Vol.3 : Lu -Umiharu Shinohara : La Maître des livres Vol.7 : Lu  -Ichigo Takano : Orange Vol.1 : Lu -Deconnick - De Landro : Bitch Planet : Lu 
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heleonora · 7 years
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“The Lost Canvas - Chronicles”, Shiori Teshirogi
Retrouver un monde, un plaisir visuel et combler un besoin d’aventure, d’imagination. Et retomber en enfance le temps de quelques pages, en ce temps où croire que tout était possible était naturel. En ce temps où rêver était une innocence évidente. 
Page après page, c’est une redécouverte délicieuse des personnages principaux qui s’impose, insérés dans des scénarios parallèles à l’histoire originale. Beaucoup plus humanisés, l’auteure donne une psychologie, des sentiments et une histoire propre à chaque chevalier, offrant au travers ces tranche de vies des moments de lectures émouvants.Cet ajout de toile de fond permets de créer à l’univers déjà riche des liens entre les personages, d’en faire apparaître de nouveaux, de faire apparaître des situations et des obstacles en plus et d’éclairer des moments un peu plus flous de la saga originelle. Mais elle ajoute aussi son lot d’intrigue, de questions sans réponses, des flottements entre personnages qui mériteraient encore quelques pages. Ou qui justement tirent leurs forces de ces flous volontaires.  Chaque tome, dont les premiers peuvent se lire de manière complètement indépendante, nous ramène par la beauté des dessins à la nostalgie de The Lost Canvas. Le talent indéniable de Shiori Teshirogi à donné à voir et à comprendre les plus beaux personages de la licence et est celle qui à prononcés les plus beaux messages au travers son oeuvre. Elle est l’auteure qui a su utiliser l’oeuvre de M. Kurumada pour en faire une toile gigantesque, en reprenant les codes originaux, et en leur donnant une profondeur incroyable en seulement quelques tomes. 
Ce fut une lecture étalée sur plusieurs mois, voire même années. Garder le plus longtemps possible cette petite flamme de la découverte d’un nouveau personnage, d’un nouveau récit à été la raison qui m’a fait attendre entre chaque volume, et lire la toute dernière phrase, voir le tout dernier dessin avant de reposer l’ouvrage sur la bibliothèque, a procuré un sentiment de satisfaction étonnamment puissant, tout comme un déchirement qui signait la fin d’une aventure aux côtés de personnages auxquels on s’était tant attachés au fil des années et des pages. Je n’ai cependant jamais dis adieu à ce monde-là, et piocher un tome au hasard dont la trame m‘a quelque peu échappé depuis les années est toujours satisfaisant et un moment de plaisir qui me rappelle la passion que j’ai éprouvé en lisant l’histoire pour la première fois. 
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heleonora · 7 years
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“Dans les forêts de Sibérie”, Sylvain Tesson
Le besoin se faisait ressentir de changer d'air, d'ouvrir d'autres perspectives et de rêver aussi d'un ailleurs possible quelque part. Quelques pages et la magie avait opéré. Au bord du lac Baïkal qui me fait rêver, j'ai vécu le froid mordant d'un hiver russe, la blancheur de la vie et la douceur du printemps nouveau. J'ai voyagé et découvert des lieux que je n'espérais pas voir, des personnes auxquelles je n'aurais probablement pas parlé. Et ainsi j'ai parcouru le temps, les pages et les berges glacées à la recherche de moi-même, loin de ce qui me construisait alors et qui m'attendait à nouveau par la suite.
Ce roman mène au voyage, au retour à soi. À l'essentiel de nos vies. Vécu et décrit comme un retour réflexif d'un homme face à la nature et face à lui-même, y est dépeint la réalité sans haine d'un environnement urbain devenu étouffant et la nécessité d'une prise de recul dans sa vie. À la fois simple et profond, la sincérité des paroles deviennent un témoignage émouvant d'un homme se re-découvrant et mettant en place sa mythologie personnelle inspirée de ses lectures qui ponctuent les six mois de son séjour. Le temps qui s'écoule est un temps qui se ressent et non qui se calcule. Il s'impose long ou court aux ressentis des jours et dicte des impératifs nouveaux, et pousse à des voyages physiques comme intellectuels. Le temps laisse découvrir chaque jour des paysages dont les descriptions laissent imaginer les lumières iridiscentes sur les neiges nouvelles, les bruits des glaces craquants avec force, le vent soufflant des orages sans fins. J'ai serré dans mes bras ces instants de calme et de plénitude que m'apportait chaque ligne et j'ai plus encore prêté attention à ces petites merveilles du quotidien, à ce qui comptait vraiment. Devenir égoïste un instant pour aimer plus encore ce qui nous entoure.
«Je vis ici au royaume de la prévisibilité. Chaque jour s'écoule, miroir de la veille, esquisse du lendemain. Les variations des heures jouent sur la coloration du ciel, les allées et venues des oiseaux et mille nuances à peine perceptibles. »
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heleonora · 7 years
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“Le Puits des mémoires", Gabriel Katz 
 À la conquête des étoiles dans les yeux de mes lectures de jeunesse. Ce début de trilogie signe pour moi un retour dans la sphère de la littérature fantastique. Abandonnée de force par des lectures de cours trop volumineuses, et plus que chronophages, ce style est très certainement mon préféré, et surtout celui qui m'a fait entrer plus jeune dans la lecture. C'est aussi en partie pour cela que j'y suis tout particulièrement attachée. Après avoir perdu de vu le genre pendant de nombreuses années, j'ai voulu me relancer avec ce qui semblait être une valeur sûre de la blogosphère littéraire francophone, et me revoilà ! 
 Ce premier tome débute la trilogie "Le Puits des mémoires". Titre mystérieux pour un récit où la mémoire, ou plutôt son absence à une place prépondérante et est l'enjeu même de l'intrigue. Débutant sur un contexte déroutant et original, une partie du récit peut sembler être une longue mise en place du cadre, des personnages et de l'univers général. Cependant, cette découverte lente où les informations sont données au compte goutte, découlent d'une logique scénaristique bien menée car pour les personnages principaux que nous suivons, chaque révélation est coûteuse et extrêmement risquée. Le tout se déroulant dans un univers peu complexe dans sa compréhension générale, et accessible, ce qui m'a permis de me retrouver lentement les codes oubliés. C'est un jeu subtil du chat et de la souris qui s'opère au fil des pages et qui devient surtout vite prenant. Le désir d'en savoir plus est constant et la fin du livre arrive bien plus vite que ce qu'on peut initialement imaginer. Pour un retour dans le genre, je ne pouvais espérer mieux. 
 «Ils ne m'échapperont pas longtemps, fit le Pirate, ignorant le sarcasme. Je les ai traqués, j'ai trouvé le village où ils se terraient. Et pourtant, je peux vous dire qu'ils étaient enterrés au fin fond de nulle part ! Nous les avons manqués de quelques heures, peut-être même de quelques minutes. Ils n'iront pas loin, je connais le pays comme ma poche.» 
 Déjà lu? Un avis, une impression ? ~ 
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heleonora · 7 years
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“Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, Philip K. Dick
L’adaptation cinématographique m’avait passionnée. L’oeuvre originale m’a bouleversée. Dans un univers de chaos à peine contenu, l’humanité se définie sur une empathie apportée par un outil mécanique là où la frontière brumeuse et infranchissable est marquée avec les entités crées de toute pièces du quotidien à l’égal du monde vivant. 
Un monde dépeint comme étant sombre, à l’agonie dans ses propres poussières. Quasi irréel si il ne touchait pas du doigt une réalité qui résonne pourtant comme une triste promesse de lendemain. La mise en lumière glaciale de la fureur destructrice des humains met en parallèle sa recherche maladive d’empathie comme définition d’une espèce à part, qui peut s’altérer, avec le vide provoqué par le manque irremplaçable de la vie, que les machines ne remplacent pas malgré leurs apparences. Car dans ce récit tout tourne autour de la dichotomie “vivant” / “machine” qui est censé définir toute chose de l’environnement de façon nette.  Mais bien vite, le récit met en branle ce manichéisme en faisant jouer les personnages sur une même scène, chacun correspondant non pas à un extrême comme attendu mais tous étant sur un même continuum à différent degré de l’aspect “vivant” ou “machine”, menant à des remises en questions nécessaires de soi-même, mais aussi de sa place dans la société, de ce qui est demandé et attendu de nous. Ces inflexions aboutissent à des révélations intimes chez les protagoniste qui sont fracassantes de par les conclusions qu’elles amènent mais qui poussent à une profonde réflexivité sur la question de nos propres identités et représentations à nous, lecteurs. Car ici, c’est bien nous qui finissons doucement par nous approprier ces sentiments et à repenser notre environnement et à nous confronter à lui, que ce soit face à l’altérité “évidente” qui correspond à d’autres humains, mais aussi à celle que représente tous les non humains qui nous entourent, pourtant doté de vie et qui influent sur nous comme nous influons sur eux.  Car si ce texte tourne en bonne partie sur la problématique de recherche identitaire et de quête personnelle, elle est englobée et teintée par le développement d’un autre élément qui au final se révèle être une seconde porte d’entrée dans l’histoire qui n’est d’autre que la planète Terre et ce qui la compose de manière générale. Peut-être même réel sujet du livre, elle est abandonnée par l’humanité pour les colonies sur lesquelles peu d’informations sont données au fil des pages. Elle devient l’enjeux non plus de sauvetage qui semble impossible, mais d’une lutte pour la vie ainsi que source de liberté. Elle est donnée comme étant un ailleurs où se trouve ce qu’il manque profondément à et en chacun de soi. C’est aussi le lieu universel et symbolique de la création et de l’évolution quelle soit originellement vivante, puis par la suite imitation mécanique. Un berceau où la vie, sous forme animale principalement, est devenue objet de convoitise, d’achat et de revente quand la promesse d’un androïde est faite sur les colonies. Posséder et savoir s’occuper d’une autre vie devient une source de prestige élémentaire dans un monde où tout n’est que copie mécanique, poussière ou tropie envahissante. Un heureux miracle est la chance de voir une araignée sauvage au hasard dans un escalier sombre. 
« Les androïdes rêvent-ils ? se demanda Rick. De toute évidence, la réponse est oui, sans quoi il ne leur arriverait pas de tuer leurs employeurs pour s'enfuir ensuite sur la terre. Pour y trouver une vie meilleure, sans servitude. »
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heleonora · 7 years
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“Gatsby le magnifique”, F. Scott Fitzgerald
Terminé il y a peu, ce livre est devenu un ovni pour moi. Intriguée et tentée depuis un long moment déjà, ma lecture à été belle, rapide, plaisante mais m'a laissé un sentiment de “moui, d'accord” jusqu'aux dernières pages qui sont la force de ce récit-là ! Refermé avec l'idée que je passerai vite à autre chose, le roman, son ambiance, son histoire et ses personnages sont restés ancrés des jours durant dans mon esprit, jusqu'à ce que je comprenne que quelque chose m'avait marqué plus que ce que je n'avais pu l'imaginer dans un premier temps. Ce livre a laissé son empreinte en moi, et bien qu'il ne soit pas un véritable coup de coeur, il fait parti de ces références dont je ne saurai me passer à présent. Un saut direct dans les années vingt à Long Island, dans l'euphorie, les musiques, les couleurs et les éclats des fêtes luxueuses cachant les visages et secret de tous. Un jeu d'apparence parfaitement rodé.
«Il m'adressa un sourire (…). Un de ces sourires rare, source d'éternel réconfort, comme on n'en rencontre que quatre ou cinq fois dans sa vie. Un sourire qui défiait - ou semblait défier - brièvement le monde entier, puis se focalisait sur vous comme s'il vous accordait un préjugé irrésistiblement favorable. Qui croyait en vous comme vous auriez voulu croire en vous même.»
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heleonora · 7 years
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“Le Portrait de Dorian Gray”, Oscar Wilde
Première lecture de l'année, et coup de coeur immédiat pour ce récit. Une écriture poétique, aux nombreux symboles disséminés au fil des pages, et une réflexion prenante sur la beauté, l'art, la vie. Le tout, dans un Londres fin XIXè siècle, aussi riche et lumineux que sordide et lugubre. Une atmosphère générale qui a parfaitement fonctionné sur moi, entre critique des meurs et destruction de l'idéal. Une pointe d'iréel aussi, tout juste dosée, si bien qu'elle s'oublie bien vite au bout de quelques pages, pour revenir avec fracas au moment parfait et redevenir le sujet central du texte. Un livre que je recommande chaudement à ceux qui seraient à la recherche d'une pause poétique, sombre, philosophique, et sublimement morbide !
«-Oui, continua Lord Henry, c'est là un des grands secrets de la vie: guérir l'âme au moyen des sens, et les sens au moyen de l'âme. Vous êtes un être étonnant. Vous savez moins que vous ne pensez savoir, et moins que vous ne voulez savoir.»
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