Quand tu vois toutes ces personnes qui portent des masques et qui osent nous dévisager.
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24.08.2023
Une tristesse qui déborde. Toujours plus époustouflante à chaque réveil. Comme une caresse qui te berce. Comme un baiser qui t’émeut. Puis qui te tue.
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Tu m’as dit que j’avais mis un verrou à toutes les portes de chez moi, et pourtant chez moi, c’était toi.
Tu m’as dit que je n’étais plus moi-même, que je devrais voir quelqu’un. Je t’ai répondu, qu’à perdre haleine, je ne voulais voir que toi.
J’ai claqué des portes, j’ai crié mes maux, j’ai envoyé valser tous les livres sur l’amour, tous tes mots.
J’ai fini par boire la tasse, j’ai fini par me noyer. J’ai espéré, mais tellement te retrouver.
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31.03.2018
On m’a toujours dit. Tu sauras ce que tu perds, mais tu ne sauras jamais ce que tu gagnes. Pourtant, personne n’a jamais su qu’il m’avait perdu.
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06.05.2018
Je suis fatiguée. Je te jure, des fois, j’ai envie de crever. Quand je tourne un peu trop en rond, et qu’il est déjà l’heure de se coucher. Je vois ma vie défilée, comme si rien n’avait jamais compté. Je contemple et je complimente des personnes qui n’ont rien a donner. Je découvre des traits de notre personnalité, putain, je te jure, j’aurai préféré les éviter. Je passe mon temps à pleurnicher, quand je vois ses personnes qui crèvent, j’aurai tant aimé les remplacer.
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06.05.2018
Bleu. Que j’aime. La Mer. Que j’admire. Et Ma mère. Qui me déteste.
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06.05.2018
Pourquoi dire des choses fausses à une personne que tu détestes. Le mensonge, ca ne concerne que les personnes que tu respectes. Parce qu’elles comptent, et que tu as peur qu’elles te rejettent.
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Je crevais déjà des cœurs quand tu voulais crever le mien. Tu succombais de douleur, pourtant moi, je ne sentais plus rien.
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Un peu d’amour par-ci, par là, comme si danser ça ne suffisait pas.
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Dorénavant, je décide d’y croire, tout compte fait la vie d’avant, c’est plus ce que c’était. Des prises de têtes, des têtes de cons, avant si je voulais, j’aurai pu repeindre les murs de ma maison. Maintenant, je comprends. Le présent compte pour beaucoup de gens. On se fait avoir, le temps qui passe n’arrête pas tous les massacres. Alors d’accord. Je veux y croire, comme beaucoup de gens, que le présent règle tous mes maux. Que le passé guérisse avec des mots.
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Si maintenant j’ai des œillères, c’est que j’ai toujours eu une confiance aveugle. Quand, pourtant je les croyais sincères, aux yeux de tous, je n’avais aucune valeur.
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Quelque-chose qui n’a ni queue, ni tête. Un peu comme quand je parle trop de toi, et que je ne fais même plus la fête.
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C’est trois choses qui comptent dans une vie. Broyer du noir mais croire que tout va bien, et finir sa vie.
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A bon entendeur, toi qui lis mes écrits, je t’applaudis.
Toi ô petit père, toi qui est à terre, tu sais très bien que la vie ne se résume pas à quelques prières
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Un peu moins qu’hier, un peu moins qu’demain. Moi, je t’aimais plus et toi, tu m’aimais moins.
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Je ne me dispute jamais avec mes démons. A côté des gens, ils font toujours bonne impression.
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Quand je saute dans l’eau, j’ai rarement pied. Pourtant quand je saute des repas, j’ai l’impression de flotter.
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