.:*:. enquête en cours .:*:. ce site est le lieu d'exposition d'objets hétéroclites, textes épars bouts de papier et bouts de corps, rassemblés ici au cours d'une recherche visant à explorer les labyrinthes de notre esprit animal
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Canadian photographer Sydney Carter and an Unknown photographer, believed to be Victorian, appropriated these famous Pre-Raphaelite paintings in their photography.
Sydney Carter (b.1880-d.1956) The Blessed Damozel,1875-8, Dante Gabriel Rossetti The Bridesmaid, 1851, John Everett Millais Unknown photographer but thought to be Victorian.
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cette image est une représentation de la position des planètes dans le ciel aujourd'hui elle illustre parfaitement le passage de Pluton de Capricorne au Verseau, particulièrement ce jour-ci, où la reine du grenier du Système solaire semble comme tirée vers ce signe à la tâche apaisante par la lune et le soleil ensemble
il faut noter la conjonction de Vénus avec Saturne, en Verseau également ce qui suggère une réflexion relative à la conciliation entre l'esprit et le coeur à la création d'une idée simple et tendre de nos relations aux autres dans la communauté car c'est de communauté que le Verseau veut parler
Pluton en Verseau, c'est ma dernière superstition : l'espoir d'un monde où nous saurions livrer à la lumière des regards ce qui repose au plus profond de nous, les trésors cachés et les squelettes, et que des larmes de joie et de désespoir coulent dessus, jusqu'aux racines du ciel; délivrées de toute peur
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je nourris le projet de devenir aussi bleue que les murs de Chefchaouen, comme un ultime échappatoire au monstre mangeur d'imagination qui rôde toujours tout près de moi. Périodiquement il s'installe et mange tout mes mots, toutes mes images, et je ne m'en rends compte à chaque fois trop tard, et il faut toujours tout recommencer. Alors cette année, j'ai trouvé une solution. J'attacherais tout mes mots et toutes mes images au mot BLEU et au bleu dans les mots, et je ne quitterais jamais le bleu ni son image ni son mot, et le monstre ne pourra rien contre moi.
comment je suis devenu bleu (notes pour un spectacle à venir) - parole de clown
Avant de devenir bleu, j'étais comme tout le monde, je vous promets ! J'avais toutes les couleurs en moi et je pouvais m'amuser avec chacune d'entre elle. Mais voilà, un jour, un terrible malheur s'est abattu sur moi. Mes parents ont disparu, comme ça, du jour au lendemain, et j'avais oublié l'adresse de la maison. Je ne savais plus qui j'étais. Alors, j'ai commencé à errer de par le monde et ma tristesse était si grande, rien ne pouvait me consoler, car j'avais perdu mon nom et perdu mon pays, et que sommes nous sans nom ni pays? Je marchais comme un fantôme et j'ai traversé des mers, j'ai traversé des pays. Après des jours de déambulation en quête d'un indice pour comprendre le monde, mes pas m'ont menée jusqu'à une ville dans les montagnes, et cette ville était toute bleue. Je ne peux pas vous dire ce que j'ai ressenti alors : c'était comme si tout ce bleu se faufilait à travers mes yeux, mes oreilles, ma bouche, pour me remplir entièrement ! Ce n'est pas n'importe quel bleu ! Ce n'est pas exactement le bleu du ciel ! Regardez bien !
Je fus si ému que je voulu peindre cette ville magnifique, alors j'ai trouvé un morceau de bois et avec le bleu des murs de la ville j'ai commencé à peindre. A ce moment-là il s'est passé quelque chose de magique. Plus je peignais, moins j'arrivais à voir ce que je faisais. Mes yeux étaient en train de pleurer, et ces larmes étaient aussi bleues que les murs, que le tableau, et tout d'un coup, tout est vraiment devenu
ENTIEREMENT BLEU
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حرية
la liberté
ces mots tatoués sur la joue d’un garçon dans une petite rue de l’ancienne médina de Fès
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Au départ, il y a Héloïse
C'était au printemps 2021, Marseille, la ville se déconfinait comme on débouche doucement une bouteille de gaz maintenue sous haute pression ; les mesures étaient progressives, mais le résultat était inéluctable. des cohortes de policiers continuaient à nous escorter jusqu'au bout du couvre-feu et à nous encercler lorsque nous ne le respections pas - mais c'était la une occasion de se donner en spectacle et rien de plus, car ce n'était pas nous, c'était la vie et seulement un décret passager, l'élan qui montait en nous tous.tes avec les jours languissants, comment pouvions nous nous en sentir responsable et jugés?
En miroir de la ville, en miroir de tout ces visages qui redécouvraient ce qu'ils appelaient liberté, quelque chose s'est réveillé en moi d'inconnu, un grand délire dans lequel j'ai accepté de me laisser embarquer. Au début j'ai cru qu'il s'agissait d'un garçon, et je lui ai donné énormément d'importance. Maintenant je réalise que l'évènement déclencheur de ma folie, c'était Héloïse, c'était elle d'abord; cette apparition, sur la jetée derrière le fort St Jean, qui récitait Tarkos. Regardez là : une délicatesse de porcelaine très fine, armée d'une sale LIBERTE de langage (ce que j'appelle liberté).
M'y voilà donc presque : avant de m'aventurer à nouveau dans un labyrinthe où j'ai essuyé bien des échecs , je sais désormais d'où je partais, c'est-à-dire
UNE PÂTE DE MOTS
d' une soupe de molécule
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youtube
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4.
Et ce n'est pas parce qu'à ce jour tout vraiment menace et fond en fumée par delà les mers et les continents, ce n'est pas pour cela non, que nous renonçons à faire advenir ce qui repose à l'intérieur de nous. On vous passera les problèmes de digestion, la médecine ayurvédique s'en chargera, on vous parlera plutôt, au-delà des cris s'élevant des rues, plus loin encore que l'histoire passée et présente, de celle à venir, car elle s'étend encore loin au devant de la lunette de ma longue vue de capitaine volée à tous les pères souffrants de prostate, elle s'étend loin en passant par la Vallée des saints , traonnien ar sent, par les statuaires somptuaires de granit lancées à l'éternité plus loin encore, que les tombeaux du temps d'Hypérion. Par cette lunette, je vous raconte, on voit bien les étoiles émailler le ciel de leurs chemins brillants des vieilles histoires, et oui je radote, les vieilles histoires dans le ciel, et celles que nous prononçons, comment les écrire dans le ciel, comment dites-moi ? Comme je fais confiance à mes enfants et à leurs enfants, qui sont aussi les vôtres, comme désormais je parle depuis un tabouret de marbre blanc taillé par mes soins avec des ornements qui racontent l'aléatoire mythique, je pense ceci : ces enfants, ils sauront sans tout faire brûler ouvrir les boîtes grises, gardée dans les coffres ventilés des déserts humains, pour y trouver comme par antan nous cherchions dans le ciel s'effaçant, ces mots-là de maintenant et c'est à nous de poser dans ces boîtes diaboliques et célestes les contes dont ils auront, alors, désespérément besoin, et dont nous-mêmes, en cet instant, sommes travaillés comme l'enfant travaille le ventre de sa mère avant l'envie de voir le jour. Et oui toutes nous savons bien tout a déjà été écrit, il faut savoir où trouver les mots perdus avec les lieux qui les ont engendrés, comme autrefois le marais cataplasmant la Terre, comme le fleuve de Calydon, comme l'Olympe dressée au beau milieu des temps obscurs. Mais il faut sans cesse retrouver ces mots en creusant l'humus des forêts décharnées et les répéter dans les nouveaux langages, comme faisaient celles et ceux sur les chemins noirs, déclamer les textes les sortir de leur peau de papier, de leur peau parcheminée menacée par l'oubli. Nouveaux langages, mêmes histoires. Maintenant, depuis mon lit, avec ma digestion défectueuse, je persiste à croire : il faudra aller en Guyane, puis au Mexique, parcourir mille routes et chanter tout du long. Ensuite, trouver la décapotable rutilante pour traverser les États-Unis d'Amérique et repartir en radeau pour les îles Pacifiques, les survoler depuis le niveau de l'Océan immense afin de repêcher les proférations englouties sous les eaux glaciaires, chérir les mélanges alphabétiques recueillis dans nos amphores de plastique, ou de terre, ou de pierre, mais la pierre est bien lourde pour un radeau, la pierre reste chez elle, la pierre. Puis retourner là où nous sommes nés, aspirer comme font les éponges images du désastre, déclarations de guerre et souffles de paix. Depuis ce point, commencer le grand voyage : à pied, la traversée européenne, en bateau, celle de la mer Egée, atteindre la Géorgie puis le Paradis qu'on a nommé, Arménie, la seule montagne existante monter en haut de l'Ararat, et là, seulement, graver dans la première pierre les trois ou quatre signes les plus nécessaires, dans l'alphabet le plus ancien et s'il faut, se contenter d'écrire la comptabilité du désastre c'est-à-dire, quelques mots d'excuses et de pardon, une flèche pour indiquer le ciel.
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3.
Et on se souvient la forêt la forêt si proche la jungle lourde et humide sa douceur infinie sur la peau dans les pores la tendre chaleur, si proche que presque on entendait l'un des nombreux noms pour parler de dieu résonner des tours de la ville enfumée surgit du règne végétal ici, par le hasard des gisements de pétrole. Quelle substance étrange et visqueuse quand on y pense, macération cosmique des plus vieux vivants dégoulinant à grands jets des entailles infligées au sol par des machines en acier et électronique motorisée. La forêt, je disais, unique sujet de mon inquiétude souterraine, la forêt et l'eau avec elle car elle la garde dans ses bras l'eau est jeune, l'eau est un enfant encore et sous la forêt il y a l'eau et dans la forêt, en elle, comme imbibée. Et quand la forêt part, l'eau part elle aussi. Parfois c'est l'eau qui doucement disparaît s'évapore on ne l'entend pas partir et voilà qu'un jour elle nous manque et les arbres sèchent et tombent, et l'herbe, et les bêtes meurent, puis les humains
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Oh une histoire toute simple, une histoire pour laquelle on nous reprochait d'abord, la concordance des temps, ah ! ha ! ha! ha! M'entendez vous rire, sans peur de rien Bon, une histoire, oui C'est dans le jardin Le jardin d'une petite maison de ville, voyez bien, séparée de la rue par une clôture noire en fer forgé ainsi que d'un portillon, un portail grinçant une petite porte de métal, dotée d'une poignée qui se tient et se tourne, d'une boite au lettre et d'un numéro (INCONNU), voilà, un jardin, et nous sommes dans ce jardin. Le jardin est recouvert, du haut de la porte d'entrée de la maison jusqu'au faîte de la clôture en fer, d'une épaisse forêt suspendue, vignes entremêlées, denses branchages odorants et humides, on ne voit plus ciel on est sous la forêt, sur le petit chemin de graviers, et il y a des chaises de jardins pliables, il y a ma grand-mère ou des parents, trois marches en pierre qui mènent vers la porte d'entrée de la maison. du lierre tapissent cette courette couverte de nuages cholorophylles. Il se passe des choses, je joue, me promène de la porte d'entrée au portail sur le petit chemin de gravier, et puis la grand mère crie sous le porche et son cri est étrange : rauque, aigu, sec, c'est comme le cri d'un toucan préhistorique. la suite se déroule très rapidement : je lève les yeux vers les abîmes canopéennes qui me surplombent, d'où j'aillissent deux énormes serres griffue de griffon équatorial et m'emportent avec elle Ce que j'ai vu alors est difficile à raconter les souvenirs s'emmêlent cela demande du temps
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1.
ci car il y a des fantômes récemment dérangés à la déamboulure des villes immobiles dans le ciel, Paris-Istanbul, Istanbul-KRakow, Krakow à Sophia- antipolisce. nous en dit-on rien c'est comme si certains malheureux bulots avaient par bêtise ouvert le grand tombeau cachée dans les abyssines fertiles des trois bermudes. en langue courante nous avions fait la rencontre, un matin sur la jetée, d'une plus grande jetée encore, se détachant du miroir posé sur la simple personne. et celle de garçons plus vertueux que nous, et d'Isis et Horus, des agates proliférantes dans les tranchées du big-bang, etc, etc, et des rythmes -anémones ainsi donc nous avions pensé entamer juste ici même le premier récit de ces chemins d'encre sympathique dont il nous vient, par exemple, une histoire lointaine
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