#vyce bozeck

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[adalheidis]

Real Vyce Bozeck hours

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[bluegad]

Law vyce

[space-spring]

Got tagged by @loregoddess for a 5 faves tag game! Thanks!! :)

Rules: make a poll with five of your all time favorite characters and then tag five people to do the same. See which character is everyone’s favorite.

I'll tag @tinygigas @youcantencryptyourface @three3two22, as always only if it sounds fun :) Also if anyone else wants to do it, consider yourself tagged!

[spiritgamer26]

Tactics Ogre Reborn

https://youtu.be/osHD91sQUOk

Histoire

Les îles de Valeria, joyau de la mer d'Obero. Plaque tournante du commerce maritime, la domination de ses côtes a longtemps été l'objet de conflits.Mais un homme a réussi à y mettre fin : Dorgalua Oberyth. L'histoire retient surtout son titre de « Roi conquérant ». Le roi Dorgalua s'évertua à lutter contre la haine qui rongeait les habitants des îles, et pendant près de cinquante ans, Valeria connut la prospérité.Hélas, à sa mort, trois factions déterminées à monter sur le trône entamèrent une guerre civile : les Bakram, regroupant une grande partie des nobles de Valeria ; les Galgastani, qui représentent la majorité de la population de l'île ; et les Walister, qui ne sont qu'une minorité.Les îles furent rapidement divisées entre les Bakram et les Galgastani, instaurant ainsi une paix fragile. Mais il ne faisait aucun doute que celle-ci ne serait qu'éphémère...

3 amis contre le destin !

DENAM PAVEL

Le principal héros de cette histoire. Son père, Prancet Pavel, fut enlevé par les Chevaliers noirs lors du pillage de Golyat, sa ville natale. Après avoir rejoint les rangs des Walisters, Denam lutte contre les Bakrams et les Galgastans, avec l'aide de sa sœur, Catiua, et de son ami d'enfance, Vyce. Denam a un sens aigu de la justice, et la volonté de fer nécessaire pour concrétiser le changement dont il rêve. Ce jeune homme réfléchi n'est pas certain que leur lutte ait un sens.

CATIUA PAVEL

Sœur de Denam et Walister. Catiua et Denam ayant perdu leur mère alors qu'ils étaient encore petits, c'est leur père, le prêtre Prancet, qui les a élevés. Aujourd'hui, Catiua porte une affection étouffante à son frère. Grâce aux enseignements de son père, prêtre de l'ordre de Philaha, elle est près de devenir chamane, et elle met ses compétences au service de la lutte qu'elle mène avec Denam et Vyce, leur ami d'enfance. C'est cependant sa peur de perdre son frère qui l'a poussée à les rejoindre, plus que ses principes.

VYCE BOZECK

Les Chevaliers noirs tuèrent le père de Vyce, la seule famille qui lui restait, et firent de lui un orphelin. Ne supportant pas l'oppression dont sont victimes les Walisters, il s'est empressé de rejoindre la lutte contre leurs bourreaux. Homme d'action capable, lui et Denam sont complémentaires.

Des choix, des conséquences !

À peine le jeu lancé qu'on nous met face à nos responsabilités ! On entame un combat qui va déclencher d'emblée les affres de la guerre. On a toujours l'habitude d'avoir un scénario lent, présentation des personnages, petites quêtes secondaires... Que nenni ! On est direct plongé dans le scénario avec l'arrivée des alliés et on sait d'emblée les tenants et aboutissants. On voit dès le départ le caractère de tout un chacun et on ne peut que sourire en les voyant progresser au fil du temps. Je tiens à préciser qu'on n'est pas avec des jeunots de 15 ans... On est entre 18 et 20 ans pour nos héros et plus de 30 pour le reste ! En traitant des thèmes plutôt délicats tels que le racisme et la cruauté de la guerre, la structure narrative de Tactics Ogre est toujours engageante et parvient à contextualiser correctement chaque motivation des différents personnages.

Un gameplay "réaliste" et revisité

Au niveau du gameplay, on reste sur la même base classique des T-RPG. On commence par placer ses combattants sur une grille puis on entame le combat dans un ordre de passage lié à la vitesse. Le nombre de personnages maximum sur la carte du combat est lié à l'histoire. (max 8).  On use des attaques, des sorts, des objets... Tout est bon pour gagner. De temps en temps, des cartes apparaissent sur le champ de bataille qui octroient des bonus et qui peuvent renverser la situation qui pourraient être critique en victoire. Chaque personnage possède une classe et peuvent en changer et ainsi avoir de nouvelles compétences. Les équipements sont aussi de la partie. On passe beaucoup de temps dans la gestion des personnages afin d'en connaître tous les tenants et aboutissants pour parfaire nos batailles.  On évolue sur le continent comme sur un plateau de jeux de société. Certains enclencheront des batailles, d'autres du scénario et certains points de passage seront des marchands et ville. 

Du changement

Concernant les changements, il y en a beaucoup. Pour parler du graphisme, on passe aisément sur du HD en conservant l'aspect global des T-RPG de l'époque. Néanmoins, le passage portable-grand écran n'a pas le même rendu escompté. Mieux vaut rester sur sa switch en nomade. Ce qui m'a aussi bluffé dans sa refonte graphique, c'est lors des attaques magiques : la déformation et le flou nous montrent cet aspect puissant et réaliste d'une attaque. Par exemple, pour le feu, on voit bien les vapeurs et la déformation visuelle due à cette chaleur. Le côté vibration de la console est aussi de la partie : elle vibre en fonction des coups portés et de la météo : elle vibre à chaque éclat de tonnerre. C'est plaisant mais vite dérangeant pour ma part. Que serait le graphisme sans sa bande-son. Les effets sonores réenregistrés et la bande-son réorchestrée composée par Hitoshi Sakamoto ajoutent une profondeur notable au scénario.  Pour le gameplay, il y beaucoup à dire. Avant, les unités ne pouvaient prendre du niveau qu'en fonction de sa classe. Dès que vous changez de classe, vous repartez au niveau 1. Maintenant, les unités ont leur propre niveau et ça ne resetera pas au changement de classe. En contrepartie, vous ne pourrez pas monter vos niveaux plus hauts que le niveau du scénario. C'est-à-dire que si le niveau du scénario est level 3, vos soldats ne pourront pas aller au level 4. C'est un bon équilibre et ça implique de mieux vous penchez sur l'aspect tactique. Même si le niveau de difficulté à été revu à la baisse, ce ne sera pas aisé tout de même. D'ailleurs, il vous sera désormais possible de voir la carte de votre futur bataille ainsi que les ennemis et leurs équipements afin de choisir vos alliés avec soin. Vous pourrez vous équiper de tout et n'importe quoi, et ce, quel que soit votre niveau (avant, il fallait avoir un niveau requis.). Si les combats vous semble long et interminable, vous pourrez accélérer la bataille. Mais vous pouvez aussi user de la nouvelle fonctionnalité appelée "Chariot Tarot" vous permettant de rembobiner jusqu'à dix tours et de mettre en œuvre une tactique différente.  Le scénario se retrouve aussi soulagé par les choix que nous faisons en invoquant le mécanisme "World Tarot" qui permet de changer le scénario en choisissant un autre embranchement différent de votre choix. 

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[almorica]

Dear God, can I cut in line?

Dear God, am I wasting my time?

[endeavorsreward]

Excerpt (Location Indeterminate)

In Zelmonia, the arrival of Denamda II was greeted with cheers during the Fifty Years’ War. Many had always considered themselves Ivalicians unfairly conquered and separated from their motherland, and were in truth entirely unaware that most of Ivalice itself did not feel the same for them.  As the Ordallian front was pushed back, back eastward, back across the border, back through Dhalikar Pass, the king himself did tour the liberated nation from north to south, soaking in the adulation of those who had called to him for rescue.

The final stop of this parade was a small island town just off the southern coast, named Golyat. It was a town of honest men and strong women, hard lives but fair. Ships were boarding, including the one that would take him back home, and he knelt in an old broken chapel which failed to drown out the sounds of market-callers, the shuffling of his Lionsguard, a wailing child. He tried to pray, and found himself failing.

O Ajora, make of me a vehicle of thy will, he thought impotently, even knowing that he’d not repent any deed. For what king had right to be humble? Especially he, whose men were golems at his command, whose domain near-stretched the known world? And yet his wife trembled at his approach, his hands still held a pink shade in full sunlight; he was an Ogre of myth.

Maybe it was this that prompted him to, for but an instant, seek atonement in the eyes of God. He left a set of rings, one by one, atop the altar, and walked out with head bowed. Not a man saw this, but one boy did, an altar boy hiding just out of view in terror of the conquering king, and shaken by what he saw then as a symbol of great faith, rather than a passing whim.

So it was that this boy, this Prancet Pavel, would one day name his son for the late king, even after Ordallia took the nation back, even after Prancet ascended to become the abuna for that selfsame chapel, even after being old enough and wise enough to understand that the rings were as nothing to the old king. To understand that there were poisons running deep in the royal family that bubbled up through all the realm like bad well water.

To Denam Pavel, however, it was just a name. A name called out by shopkeepers who needed an errand, a name for his sister to chill like ice as she stomped her foot. A name that his father called out as they dragged him away.

He was hearing it again, his name, swallowed up in stomping of chocobo feet, as he sat on the stone steps of the chapel basement, watching his sister Catiua make stone soup. The building above was still hollowed out by fire, but this was where they lived, often enough at the mercy of those left who couldn’t give up the remains of Golyat, what little the Ordallians and their Valendian dogs had left them.

Catiua was humming a soft song as she chopped the scraps of vegetables, little boons that they’d gathered from those who remained. She smiled at him, dropping them in the pot, and he smiled back, but couldn’t manage sincerity. Only a year his elder at nineteen, and she comported often enough like a mother that he and Vyce...

The calling of his name grew louder outside, and of course it was Vyce calling, but Denam was looking at his sister, and so remembering the Valendian dark knights as they dragged his father away, as Catiua held onto him tightly at the church’s doorstep, lest he follow and make of himself a sheath for Valendian swords.

Catiua stirred the soup with a chipped wooden spoon, watched it begin to bubble ever so slightly in its cauldron. Vyce burst into the cellar with a slammed door, out of breath. She kicked dirt over the cookfire.

“It’s as we heard, Denam.” Vyce descended, wiping his damp hair out of his face. “Lanselot’s returned.” The leader of the Valendian Dark Knights himself, on inspection of the Golyat shipyards, just as the rumors had claimed. The man who’d ordered the town burned. Who’d taken his father away.

He looked up. Tried to ignore that his hand was shaking. “Then it’s time. Right, sister?”

Catiua was not looking at them, but at the cauldron. In the dim church cellar, she was like the witch of a faerie tale. “Time to end this madness.” Her fist was tight and hard around the spoon handle. “We can’t beat him. You know that.”

Vyce laughed, soft but fast, almost manic. “What are you saying, Catiua? You’d have us pass up a chance like this?”

Denam watched his sister’s face tighten, her eyes shut, her head hang. Her arm was tightening, pushing the spoon slowly into the cauldron, which moved with the full weight of her. “It’s foolishness to think the three of us might defeat the Dark Knights.”

For his part, Denam stood, if only so that he didn’t appear to jitter. “They’re the ones who’ve been foolish. And we stand to gain.”

“Don’t tell me you’re scared!” Vyce Bozeck snarled. Handsome, Denam’s age, in light blue plate that he’d salvaged from a corpse a year back or more. “If you’ve lost your taste for blood, I’ll do this myself.”

“That’s enough, Vyce.” Denam pushed past him towards the cellar door. “Let’s go.”

The cauldron broke free from its hook, and scalding soup exploded across the room. Denam watched his sister, who watched him. They breathed at each other for a long minute, and then she reached for her sword.

Denam said a short prayer to himself as they ascended. O Ajora, make of me a vehicle of thy will...

[hazama-apologist]

I love Vyce Bozeck

[catiuapavel]

Vyce Bozeck's death quotes

CH3 Lawful

CH4

CODA

I love when a character takes their unrequited feelings to their grave so obviously I'm a huge fan of his chapter 4 quote :^) Paired with how he whispers her name with his dying breath on Neutral route and how, on Chaos route, he addresses her during the Dead of Balmamusa sidequest to say "Catiua... Look at me. I..." as if he temporarily recovered some semblance of humanity to make a final confession, only for her to interrupt him, it just seems like the perfect trinity of Vyce's unadmitted (yet blatant) feelings being uttered (or almost so).

Likewise, him addressing Denam one last time on CH3 is reminiscent of his last words on Chaos route albeit in a softer and more peaceful manner... The last thing on Vyce's mind remains the two people he loves the most, no matter how complicated their relationships may have been. I'm glad his death quotes echo this sentiment.

[adalheidis]

The Hanged Man | Vyce Bozeck

[wind-caller2]

Lawful Vyce

2022/05/02

[pseudointelligentironist-blog]

VYCE: Oh, but it's more than that, no? I know what it is that keeps men like you with Denam.

CANOPUS: Aye? Then you should join us. The rewards of friendship are far richer than the spoils of war.

[terriblepersonextraordinaire]

Does the Law Route in Tactics ogre actually explain why Vyce is so unexplainably horrible

No, not really. I mean...kinda in the Neutral route. He says “You vex me!” Basically, he hates being stuck in your shadow so when the opportunity pops up, he betrays you.

If you go Lawful and decide to massacre people, he jumps at the chance to take the moral high ground just to stand against you. Suddenly, he has the ability to oppose you and be better than you. The circumstances in the Lawful route, however, give him a much better chance to mature.

If you go Chaos, he’ll jump at the chance of being an obedient dog to oppose you and move up in the Resistance because he wants revenge of the Galgastani as well. It’s a win-win for him. 

However, I haven’t done the Chaos route, only Neutral. So Neutral Vyce is pissed that you got everything--your hands weren’t bloodied from the massacre he took part in and you got to join the Resistance again--and stormed off because he hates you and is still stuck in your shadow. I mean, this is after you beat him twice in a row, one of them being one-on-one.

The fact that the last thing he whispers before dying is “Catiua” implies that he wanted her as well. So, you get your innocence, Catiua, and a spot at the Resistance without even trying while Vyce got nothing.

At least that’s my interpretation based on what I’ve seen. I’ll do the Chaos route and see what happens.

[schemilix]

Testing new brushes still. We’ll say this is law route Vyce.

[almorica]

c route dynamic