#vieux corps
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#grenada#spicemas#jab jab#carnival chronicles#fancy mas#night mas#traditional mas#shirtknee#vieux corps#wild indian
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Fils&Père siamois (de Père en Fils) [PROTOTYPE]
©Géroux
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vocabulaire de lecture: Trois oboles pour Charon (chapitre 1, 1ère partie)
obole: aumône = offering/pittance
(corps) lardés: transperçés = pierced/stabbed bodies
remugles (de sang): relents = strong smell persisting
un trépassé pansu: un cadavre qui a un gros ventre = a deceased person with a big belly
acanthes: plante de Méditerranée = acanthus (mediterranean plant)
sépulture: caveau/tombeau = grave/tomb
frondaisons: feuillage = foliage
une combe: vallée = valley
branches charriées par l'onde: branches emportées par l'eau = branches carried by the water
talus: terrain en pente = embankment
touaille: linge/tissu à plusieurs usages au Moyen-Age = cloth/towel/linen roll
s'étioler: décliner/se dégrader/perdre de la force = to wither/fading away
hampe: manche = handle/shaft
frimas: brouillard givrant = freezing fog
calcinés: brûlés = bruned
appentis: dépendance/abris = shed
madriers: poutres = beams/timber
jonché: parsemé/recouvert = covered/littered with
tesson: débris = shard
barbon: homme âgé = old man
patibulaire: inquiétant = suspicious-looking
brouet: potage = broth
frusques: vieux habits = old clothes
#vocabulaire français#vocabulaire#french words#french vocabulary#Trois oboles pour Charon#french language#french#french langblr#french learning#studyblr#Advanced vocabulary
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Tu as passé ton adolescence à ignorer l'ennui en inventant des histoires et des poèmes. Tu marchais doucement sur les bords de l'Erdre en regardant les fleurs, en lisant et relisant des rimes dans des livres plus vieux que toi. Tu recopiais les phrases qui te plaisaient le plus dans des carnets, tu avais une vie virtuelle et imaginaire pleine de mots. Tu étais loin des autres et tu en avais peur. Tu ne comprenais pas leurs corps si déliés et leurs vies si remplies. Tu voulais dormir à côté de quelqu'un et rester tard au téléphone pour écouter des rires à distance.
Longtemps après, tu as eu l'occasion de le faire et tu n'en as plus jamais dormi. Tu as rejoint l'agitation du monde et tu es devenue une personne qu'on reconnait dans la rue, qu'on aime, qu'on invite. Tu ne savais toujours pas dormir à côté de quelqu'un ni rire au téléphone, mais tu savais parler aux gens et te faire aimer d'eux. Les peurs ont disparu et ton corps s'est délié : tu t'es mise à danser.
Tu avais longtemps envié la vie des autres. Tu ignorais encore que la vie de ton enfance était celle que les autres convoitent après avoir brûlé la leur par les deux bouts. Tu brûlais désormais. Les fleurs, les rimes et les livres avaient disparu. Tu avais tué en toi le calme et le silence.
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Paroles de "La Chanson Des Vieux Amants" Jacques Brel
Bien sûr, nous eûmes des orages. Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol. Mille fois tu pris ton bagage. Mille fois je pris mon envol. Et chaque meuble se souvient. Dans cette chambre sans berceau. Des éclats des vieilles tempêtes. Plus rien ne ressemblait à rien. Tu avais perdu le goût de l'eau. Et moi celui de la conquête
Mais mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Moi, je sais tous tes sortilèges. Tu sais tous mes envoûtements. Tu m'as gardé de pièges en pièges. Je t'ai perdue de temps en temps. Bien sûr tu pris quelques amants. Il fallait bien passer le temps. Il faut bien que le corps exulte. Finalement finalement. Il nous fallut bien du talent. Pour être vieux sans être adultes
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Et plus le temps nous fait cortège. Et plus le temps nous fait tourment. Mais n'est-ce pas le pire piège. Que vivre en paix pour des amants. Bien sûr tu pleures un peu moins tôt. Je me déchire un peu plus tard. Nous protégeons moins nos mystères. On laisse moins faire le hasard. On se méfie du fil de l'eau. Mais c'est toujours la tendre guerre
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime
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Le 5 Mai on fait front ensemble !
Bonjour à toustes ! 🌿🦊
Ce dimanche 5 Mai à lieu une mobilisation nationale de plus de 800 personnalités, organisations et associations pour se battre contre l'offensive réactionnaire et anti-trans de ces derniers mois.
Cette offensive, relayée par plusieurs grands médias (Figaro, le Point, Valeurs actuelles, le JDD, Marianne, Europe 1..etc) coïncident avec un certain livre complotiste sorti le 11 avril dernier et avec la proposition de loi des sénateurs du parti Les Républicains, qui veulent :
- Interdire la transition sociale et médicale des mineurs - Leur imposer des thérapies de conversion - Punir les médecins qui accompagnent les mineurs trans de 2 ans de prisons
Au delà des mineurs, le rapport de LR veut avoir la possibilité d'interdire toutes transitions des adultes jusqu’à 25 ans, une mesure qui est déjà adoptés dans certains états aux USA.
A côté de cela, ces mêmes partis laissent les enfants intersexes être mutilés à la naissance par soucis de "conformité"/"normalité". Ces attaques réactionnaires de la droite et de l'extrême droite à l'échelle internationale visent le droit à disposer de son corps, et donc directement les droits reproductifs comme l'IVG !
Féministes, LGBTIA+, antifascistes, nous devons faire front ensemble contre ces attaques des droits humains fondamentaux ! Rendez vous le 5 Mai IRL ou en ligne pour celleux qui comme moi ne peuvent pas aller manifester :
📌Paris : République, 14h 📌 Toulouse : Jean jaurès, 13h 📌 Marseille : Vieux port, 11h 📌 Strasbourg : 4 mai, pl. kléber, 17h 📌 Quimper : Place Saint Corentin, 18h 📌 Havre : Hôtel de ville, 15h 📌 Bordeaux : Hôtel de ville, 14h 📌 Besançon : Place Pasteur, 14h 📌 Niort : Place de la Brèche, 15h 📌 Bruxelles : 15h, en recherche du lieu 📌 Montpellier : place de Comédie, 15h 📌 Nantes : marche, Grue Jaunes sur l’ile, 14h 📌 Chambery : place de Génève, 14h 📌 Rennes : en préparation 📌 Lyon : en préparation 📌 Nancy : en préparation 📌 Lille : en préparation 📌 Lyon : en préparation 📌 Brest : place de la liberté, 17h 📌 Dijon : place Darcy, 16h 📌 Rochelle : quai du Carénage, 15h 📌 Lorient : Place Glotin, 15h 📌 Pau : préfecture de Pau, 16h 📌 Bayonne : place de la liberté, 12h 📌 Tours : place Jean Jaurès, 15h 📌 Poitiers : Place de Maréchal Leclerc
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If Erik Lehnsherr/Magneto was your partner english version here
note : GN!reader et quelque peu de sub!erik
⚠︎ warnings : caractères sexuels (soumission, kink), insécurités, décès
1 470 mots
Global
il a besoin de contact physique et dans n'importe quelle situation. Lorsque vous sortez, il vient souvent t'enlacer sans raison apparente, juste pour te sentir contre lui. En public il doit toujours avoir sa main sur toi, que ce soit ta cuisse, ton épaule, ta main, ton genoux ou même juste ton bras, il faut qu'il ait un contact avec toi. Tu as mis du temps à t'habituer complètement à ses câlins surprises, mais maintenant c'est même toi qui va le rassurer en prenant sa main.
vous ressemblez un peu à un vieux couple : vous sortez vous promener dans la forêt, vous restez quelquefois une semaine entière juste tous les deux chez vous, vous ramassez des pommes de pins. Mais vous êtes comme ça, et vous adorez l'être.
vous habitez loin de la ville, dans une forêt, et grâce à ça vous passez beaucoup de temps dehors à juste regarder la nature vivre autour de vous.
c'était inattendu mais tu as remarqué qu'il avait un corps assez frais. Il n'est pas le genre à te servir de chauffage en hiver par exemple, c'est plutôt toi qui peut prendre cette fonction. Par contre en été c'est assez pratique, ses mains sont toujours froides.
Petites choses du quotidien
lorsqu'il te prend dans les bras il te berce toujours contre lui, que vous soyez debout ou allongés.
de la même manière il passe constamment la main dans tes cheveux, sans forcément les caresser, juste pour sentir la douceur de ces derniers entre ses doigts. Il s'endort d'ailleurs très souvent comme ça, la main dans tes cheveux.
tu aimes beaucoup faire des bouquets de fleurs sauvages, parfois tu les offre à Érik, parfois tu les mets juste dans un joli vase chez vous.
à son tour, il aime beaucoup ramasser des feuilles ou pommes de pin dans la forêt pour après te les montrer et les mettre dans des bocaux, pour faire de la décoration.
tu gardes toujours une bague, un bracelet ou un collier sur toi pour qu'il puisse t'attirer contre lui s'il en a le besoin, et il le fait plus que souvent.
parfois lorsqu'il a du mal à te dire quelque chose alors il va te le dire en allemand, et à cause de ça tu as dû apprendre quelques bases de cette langue. Lors de vos premières années ensemble, il te disait qu'il t'aimait seulement en allemand, car c'était encore trop dur pour lui de le dire autrement.
Vie sexuelle
il n'a pas une libido d'adolescent, en fait il est même assez rarement le premier à engager l'acte. Il t'admire énormément, il a littéralement des coeurs dans les yeux lorsqu'il voit ton corps mais c'est quelque chose de plus profond qu'une excitation sexuelle, il trouve vraiment ton corps magnifique, tellement qu'il veut juste l'admirer en premier et qu'après oui peut-être il aura une érection naissante.
il a tout de même des envies, elles sont juste moins fréquentes que toi.
quelquefois tu vas le regarder avec ces yeux et il comprend immédiatement le message, mais ça ne veut pas dire qu'il a toujours envie, c'est variable en fait.
tu respectes toujours ça. S'il n'a pas envie, il n'a pas envie et c'est tout.
mais il sait aussi que son excitation peut monter avec un peu de temps, et dans ces moments-là tu es toujours là pour l'aider à se sentir à l'aise et en confiance.
c'est aussi pour cela que vous passez beaucoup, beaucoup, de temps sur les préliminaires. Il a besoin de prendre son temps pour être pleinement présent et aussi excité que toi. Mais honnêtement, ça te va. Grâce à ça tu as repris goût aux préliminaires qui été un peu négligés dans tes relations précédentes.
il arrive que tu te fasses plaisir par toi-même, et il a toujours un grand sourire aux lèvres en entendant tes gémissements depuis l'autre bout de la maison. Parfois il toque même à la porte et glisse un petit "je peux te rejoindre ?".
à ton tour, tu lui as appris quelque chose : la masturbation. Ça peut paraître simplet à dire comme ça, mais il n'a jamais pris le temps de le faire, ou s'il le faisait c'était juste mécanique mais jamais pour lui. Alors tu lui as expliqué de nombreuses choses et petit à petit vous avez réintroduit ce plaisir dans sa vie.
peut-être que c'est dû à la mort prématurée de sa mère, ou à son besoin de toujours tout contrôler, mais il a un petit fantasme pour la soumission. Tu l'as remarqué pour la première fois lorsque tu lui as demandé/ordonné de te regarder dans les yeux pendant qu'il venait sur toi. Depuis, tu t'amuses à le menotter au lit (pauvre menottes en fer qui ont fini ratatinées), lui mettre la main sur la gorge ou attraper son visage entre deux doigts, et même toi tu aimes beaucoup ça.
il a assez peu de pénétrations dans vos moments intimes, du moins pénétration "traditionnelle", mais Érik peut te faire jouir de nombreuses fois juste avec ses doigts, il a un peu un don pour ça d'après toi. Tu aimes aussi beaucoup garder tes sous-vêtements et le sentir à travers, c'est encore plus excitant pour vous deux.
Entourage
il ne lui reste plus personne à part toi, et quand tu essaies de lui parler de Charles il se ferme tout de suite.
tu sais qu'il a une grande amitié avec Charles Xavier et tu as essayé pendant longtemps de les raffistoler mais même toi tu sens que la situation est trop compliquée. De ce que t'as dit Érik, lui et Charles n'ont fait que de se réconcilier pour mieux se disputer pendant plusieurs années.
tu as déjà rencontré Raven, ou Mystique, comme elle préfère être appelée. Honnêtement vous pourriez bien vous entendre, mais elle est un peu distante envers toi, et envers tout le monde en général. Malgré ça elle envoie souvent des lettres chez vous, et parfois Érik dit la voir dans la rue, même si toi tu ne vois personne, ou justement trop de monde.
vous n'avez pas vraiment d'amis, donc pas de soirée le samedi soir ou restaurants, du moins pas avec des gens, juste vous deux et ça vous va très bien.
Vulnérabilité
il a des phases où il devient très froid et distant. Dans ces moments-là, tu sais qu'il vaut mieux ne pas essayer de forcer les choses au risque de la braquer davantage.
il a constamment peur de te perdre, de ne pas te protéger suffisamment, et parfois cette peur est plus forte que certains jours alors dans ces cas-là il est persuadé qu'il vaut mieux qu'il te quitte et qu'il parte. Au début, tu as eu beaucoup de mal avec ça, tu avais des difficultés à lui refaire confiance après cette phase paranoïaque, mais le temps a apaisé les choses. Il lui arrive encore d'y penser, de penser à partir pour te protéger de tout potentiel danger qu'il pourrait attirer, mais maintenant il essaie de t'en parler au lieu de psychoter tout seul dans son coin.
tu as appris à utiliser les bons mots pour le rassurer, et surtout à bannir certains mots.
mais il n'est pas le seul à avoir des moments difficiles, il t'arrive aussi d'imaginer le pire ou d'être simplement à plat. À son tour, il est là pour toi comme tu l'es pour lui. Souvent il sait que tu n'as pas envie de parler alors il te forcera à rien, il restera juste avec toi, une main sur ton corps pour te montrer qu'il ne part pas.
Phrases typiquement Érik
À quoi tu penses ?
Fais attention/Ne te brûle pas/Doucement quand tu te lèves/Laisse-moi le faire ok ?
Ça m'a fait penser à toi
Ich liebe dich bärchen
Je veux juste te protéger, tu es si agréable, beaucoup trop pour ce monde
Je ne suis pas cruel mon coeur, simplement réaliste. Regarde autour de toi, des enfants sont tués pour leurs simples ADN, alors pourquoi je devrais être compréhensif envers leurs meurtriers ?
Je ne ferais rien que tu n'acceptes pas
SEXUALITÉ
Je devrais te mettre des fils de fer aux chevilles pour pouvoir contrôler ton joli corps mein schatz
Tu vas encore venir n'est-ce pas ? Oh sweetie ne me regarde pas avec ces yeux-là, tu sais que tu as tout ce que tu veux
Tu savais que ta peau avait un goût sucré ? Non ? Maintenant tu le sais, mein süßes lieblingsdessert
Darling, tu sais que je pourrais briser ces menottes en un claquement de doigt ? Bien sûr que tu le sais, tu es magnifique, si minuscule dans mes bras et so sehr bezaubernd sur mon torse
trad allemand/français : ich liebe dich bärchen -> je t'aime petit ourson ; mein schatz -> m.a.on chéri.e/mon trésor ; mein süßes lieblingsdessert -> mon dessert sucré préféré ; so sehr bezaubernd -> tellement envoûtant.e
° x-men masterlist
gif : Binar on pinterest
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Je ne changerai jamais mes amis fantastiques, ma vie merveilleuse, ma famille bien-aimée pour des cheveux moins gris ou un ventre plus plat. En vieillissant, je suis devenue plus amicale envers moi-même et moins critique envers moi-même.Je suis devenu mon ami…Je ne me blâme pas d'avoir mangé des biscuits supplémentaires, de ne pas avoir fait le lit ou d'avoir raté quelque chose de stupide dont je n'avais pas besoin. J'ai le droit d'être désordonnée, d'être extravagante. J'ai vu beaucoup de chers amis quitter ce monde trop tôt, avant de réaliser la grande liberté du vieillissement Qui m'en voudra si je décide de lire ou de jouer sur mon ordinateur jusqu'à quatre heures du matin et de dormir jusqu'à midi? Qui me critiquera de rester au lit ou devant la télé aussi longtemps que je le souhaite. Je vais danser avec ces merveilleux tubes des années 60 70 et 80 et si en même temps je veux pleurer pour un amour perdu …Si je veux, je marcherai le long de la plage en short trop allongé sur un corps en décomposition et plongerai dans les vagues avec abandon, malgré le regard pénalisant des autres . Ils vieilliront également. Je sais que parfois j'oublie, mais il y a des choses dans la vie qui devraient aussi être oubliées. Je me souviens des choses importantes. Bien sûr, au fil des ans, mon cœur s'est brisé. Mais les cœurs brisés nous donnent force, compréhension et compassion. Un cœur qui n'a jamais souffert est immaculé et stérile et ne connaîtra jamais la joie d'être imparfait. J'ai la chance d'avoir vécu assez longtemps pour avoir mes cheveux gris et mon rire juvénile gravés à jamais dans les sillons profonds de mon visage. Beaucoup n'ont jamais ri, beaucoup sont morts avant que leurs cheveux ne deviennent argentés.
En vieillissant, il est plus facile d'être positif. Vous vous souciez moins de ce que les autres pensent. Je ne me remets plus en question. J'ai gagné le droit de faire des erreurs. Donc, pour répondre à votre question, j'aime être vieux. J'aime la personne que je suis devenue. Je ne vivrai pas éternellement, mais tant que je serai encore là, je ne perdrai pas de temps à regretter ce qui a pu être ou à s'inquiéter de ce qui sera. Et si je le veux, je mangerai un dessert tous les jours. Avec du Champagne.
Que notre amitié ne soit jamais séparée, car elle vient du cœur !
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«Je l’ai aimé parce que rien n’était fait pour.
Parce qu’il se moquait bien d’être séduisant avec moi. Parce que faire des efforts pour plaire au monde semblait ne pas faire partie de ses volontés.
Parce qu’il avait quelque chose de triste bien caché au fond de l’âme. Il avait dû naître comme cela, lui aussi, avec cette nostalgie collée aux poignets.
Je l’ai aimé parce que ses yeux observaient tout sans être retenus par rien. Parce qu’il puait la liberté. Parce qu’il était prisonnier.
Parce qu’il y avait sur ses lèvres un peu d’amertume et beaucoup de tendresse, de l’amour qui a pleuré et l’envie de la passion. Parce qu’il parlait peu. Parce que lorsqu’il parlait, j’avais envie d’écouter. Je ne me souviens pas avoir aimé les mots comme l’eau, qui débordent. Il était nu, même habillé. Pudique de son âme et de son corps. En y regardant de près, je l’ai immédiatement soupçonné de ne pas trop s’aimer. Je l’ai aimé à sa place. J’avais de la place dans le coeur. Il y avait, au fond de son regard, un vieux truc perdu, hagard. J’avais envie de l’aider à le retrouver. Il souriait peu. Pourtant, lumineux. Il me faisait rire sans jamais essayer. Je ne crois pas que les gens drôles m’aient jamais beaucoup amusée. Lui, il me donnait envie de hurler de rire parce qu’il se moquait de lui-même en riant de ce qui l’entourait. Je l’ai aimé parce qu’il était faussement détaché, fragile, sensible, agressif et démuni. Parce qu’il le cachait.
Je l’ai aimé parce que personne ne s’y attendait.
Et je l’ai écrit. Pour oublier.
Mais je n’y suis jamais arrivée.»
Romy Schneider
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saga: Soumission & Domination 352
Nathan, l'apprenti de Julien-1
Le jeune Nathan a dû mettre le booster. Entre ses cours au lycée technique, le travail à la boutique de Julien et le sport qu'il a repris à raison de deux fois par semaine, le rythme s'est accéléré. Nos deux jeunes, Enguerrand et Max se sont investis eux aussi. Ils l'ont pris en charge dans la partie " académique ". En français, math et les autres matières générales ils le font répéter et ça donne des résultats rapidement sans que les leurs propres, n'en pâtissent. Pour la partie pro, Julien le coach au plus près. Dans le sport aussi il s'améliore et des parades, il est passé aux clés et aux prises d'attaque.
Avec Max et Enguerrand ça va aussi plus loin coté " intime " même s'il a dû faire avec Adam, le flic préféré des deux petits. D'après ce que m'en a dit Enguerrand, ça leur avait valu une explication en règle avec les deux partis. Il a fallu expliquer à Nathan la nature de leurs relations. Et même si Adam est pas mal, il a eu du mal avec son âge. Pour Adam, ça été plus facile vu que cela fait maintenant quelques semaines qu'il " pratique " mes deux petits, il a dû s'adapter à leur monde s'il voulait continuer à les voir ! Et puis il n'y a rien à jeter non plus dans Nathan !! Il n'empêche qu'ils ont quand même eu la présence d'esprit de commencer tous les trois entre eux avant de l'amener à faire l'amour avec Adam. Ce qui m'a amusé c'est le fait que Nathan m'ait demandé de l'aide pour s'épiler. Il a bien vu que j'étais le grand " ordonnanceur " de cette baraque. Ça m'a fait plaisir de l'avoir un soir pour moi tout seul pour ça ... au moins au début ! Rapidement il s'est aperçu (et pour cause, il nous a tous vu à poil) que coté pilosité, il y avait comme un air de famille entre nous. C'est pas que lui-même soit très poilu mais ses couilles et sa queue disparaissaient un peu dans un buisson. Salle d'eau du premier, je le passe sous la douche d'eau chaude et le sèche avant d'entamer l'épilation. Il voudrait comme beaucoup d'entre nous (en fait la totalité des homos et la moitié des hétéros) faire disparaitre tout sauf ses cheveux et quelques poils au-dessus de sa queue pour pas paraitre pré-pubère non plus.
Je le rassure, avec sa bite de 19cm y'avait pas de risque qu'on le prenne pour un gamin. En attendant je le couvre de crème épilatoire, enfin ses mollets, ses avants bras et ses aisselles. Il a la chance d'avoir le cul imberbe naturellement et les deux trois poils qui s'y sont égarés partent à la pince à épiler. Pour le sexe, il me fait lui raser les couilles et hésite pour le reste. Il se décide pour un tout petit triangle court, pointe en bas juste au-dessus de la naissance de sa bite. Après avoir évacué la mousse et les poils, je l'hydrate à mort. Les passages répétés de mes mains huileuses sur son corps le font bander. C'est charmant comme ça le fait rougir. Je la prends en main. Bon calibre, raccord avec la longueur de l'engin. Son sang gonfle les tissus au maximum et c'est une barre d'acier que je presse entre mes doigts. Mon autre main prend son menton et lève sa tête vers la mienne. On se regarde dans les yeux et il ne se détourne pas quand je me penche et que mes lèvres couvrent les siennes. J'y vais cool et le laisse progresser à son rythme. C'est donc lui qui, quelques secondes plus tard, ouvre ses mâchoires et sort sa langue. Petite soupe de langue qui le fait se serrer contre moi. Ça va je ne suis pas encore trop vieux pour lui !! Sa bite se presse contre ma cuisse et il passe la sienne entre mes jambes pour sentir ma queue au travers du tissu de mon shorty. Il est chaud le gamin ! Il est même un peu " frénétique ". Je le repousse pour qu'il puisse s'admirer. Il se trouve bien comme ça. Je me colle à son dos, mon bassin collé à ses fesses pour qu'il sente bien l'effet qu'il me fait, je passe mes bras autour des siens, le serre contre moi et l'embrasse dans le cou en remontant vers son oreille droite. C'est lui qui me demande de lui faire l'amour. J'aime la façon de dire ça, c'est quand même plus romantique que " baise-moi ". Il glisse entre mes bras et se tourne en se baissant. En passant il descend mon shorty et embouche ma bite. Pas mal le mouvement et surtout la pipe qui en résulte. Je le sens qui s'applique. Manque un peu de spontanéité tout ça ! Je le relève et on se refait une pelle. Quand je l'écarte de moi, il ne sait plus où il habite c'est sûr. Il retombe à mes pieds et recommence sa fellation. Elle est nettement meilleure ! Il en prend plus de plaisir aussi j'en suis sûr. Ma bite est d'une raideur de pendu ! Mais la sienne n'est pas en reste non plus. Quand je le redresse à nouveau c'est dans le but de tester une autre partie de son anatomie interne. Un petit bisou et je le plaque, face contre le carrelage. Il écarte les jambes de lui-même. C'est à mon tour de tomber à genou et d'aller vérifier qu'il ne reste pas de poil disgracieux autour de sa rosette. Et rien de mieux que la langue pour le faire. Effet collatéral, ses passages répétés ont l'air de faire monter la température du jeune homme. Une vérification s'impose et j'arrive à entrer ma langue d'un bon cm. Effectivement il est chaud ! Je me redresse et en profite pour enfiler une kpote. Quand je presse mon corps contre le sien, il me souffle de l'enculer. Difficile de résister à une proposition pareille (même si je n'en avais jamais eu l'intention... de résister).
J'ajoute quand même du gel à celui déjà présent sur le plastique et pose mon gland sur sa rondelle. J'appui doucement. Il s'ouvre. Je prends mon temps. J'enfonce lentement mes 20cm. Il souffle de temps en temps quand je sa rondelle se contracte. Quand je suis complètement en lui, je reste sans bouger. Mes bras passés sous les siens, mes mains sur ses épaules, je le tire une fois vers le bas pour m'assurer du fait. Il tourne alors la tête et me tends ses lèvres. Donc petite pelle ! Je baise son cul, non ! Je lui fais l'amour. Il faut être délicat avec nos jeunes et en plus c'est plus ça que la première assertion. Je sens son bassin se décoller du carrelage pour venir au-devant de mes coups de rein. Il se cambre et je peux mieux l'enculer comme cela. Je m'arrête et lui demande, un peu, non, très hypocrite, s'il ne devrait pas être avec ses nouveaux amis. Réponse de l'intéressé " non, vas-y, ils savent que je suis là et ils étaient les premiers à me pousser dans tes bras ". Au moins c'est clair ! On finit donc ce que nous avions commencé. Il est très bon ce petit, tout à fait dans la lignée de Max et Enguerrand. Je comprends mieux pourquoi ils s'entendent aussi bien tous les trois. Il est venu en scooter mais je le reconduis en voiture, il reprendra son véhicule demain puisqu'il y a sport. Il n'est pas à l'aise dans la 300SLS. Je lui dis de se détendre, c'est pas une pièce de collection non plus. A l'arrivée je descends dire bonsoir aux garçons. Julien attendait son apprenti et quand je le lui rends, je lui dis qu'il est maintenant aussi " beau " que nous. Rires de tous sauf de l'intéressé qui rougit encore une fois. Second le taquine qu'ils doivent vérifier ça. Nathan relève ses manches pour montrer ses avant-bras glabres. Second l'attrape et lui dit que c'est pas suffisant, qu'il est sûr que je ne me suis pas arrêté à ça. Ça tourne au jeu et il finit en slip devant nous. Julien tire l'élastique et découvre le mini triangle subsistant. Il tire un peu plus et le fait trébucher sur lui. Il le serre dans ses bras et lui sort un " bienvenue au club " puis il lui claque un bisou sur la joue. Nathan se sauve en ramassant ses vêtements. Julien et Second me remercient de ce que j'ai fait pour leur " petit ". J'efface ça d'un revers de main et rentre au blockhaus. Pendant le retour un message m'arrive de Nathan : " Merci pour tout et surtout " tout ". Je sais que Max et Enguerrand vont être fou de joie ". Dès l'arrivée je les appelle. Evidement ils sont collés ensemble. Je les engueule que je ne suis pas là pour satisfaire à leurs élucubrations d'ados en surcharge d'hormones. Je les entends rires comme des fous à ma sortie. Ils me raccrochent au nez en me disant à demain.
Mardi soir : Les " sportifs " arrivent les uns après les autres ou en couple. Adam est des nôtres ce soir-là. Il est juste au courant que ses deux petits mecs ont une surprise pour lui. Je me doute bien de celle-là mais je les laisse se débrouiller tous seuls. Ils arrivent en même temps et partent aussitôt se mettre en tenue. Ils reviennent et sautent au cou d'Adam qui les questionne. Je m'éloigne commencer mes exercices. Un peu plus tard arrivent Second et mes deux " charcutiers-traiteurs ". Adam comprend tout de suite à la réaction de ses deux " petits amis ". Il n'est pas flic pour rien ! Et au fait que Nathan leur roule un patin alors qu'il n'a fait qu'une bise aux autres. Je le regarde de loin. J'ai bien l'impression qu'il est résigné et qu'il croit que ses deux amoureux vont le larguer. Il a compris mais de travers. Tel que je connais mes petits c'est plutôt un ajout dans leur trio qu'ils comptent essayer de faire passer. Je continue à regarder de leur côté pour voir comment ils vont s'y prendre. En fait ça été très simple. Max et Enguerrand lui ont présenté Nathan et lui ont dit qu'il va kiffer d'avoir maintenant trois petits mecs plutôt que deux. Puis ils sont partis faire travailler Nathan qui a quand même un peu de rattrapage à faire pour égaler le niveau général.
Adam est venu vers moi un peu déboussolé. On s'isole dans la piscine du second. A ce moment de l'entrainement il n'y a encore personne dedans. Il m'explique le coup que lui ont fait Max et Enguerrand. Il ne comprend pas. Je lui explique qui est Nathan, ce qu'il fait et d'où il vient (étude et mental). Je lui dévoile, mais ça il s'en doutait, que les deux petits ont déjà gouté à son fruit défendu. Mais aussi qu'ils m'ont confié qu'ils espèrent bien que cela ne mettra pas un terme à la relation privilégiée qu'ils ont avec lui, leur flic préféré. Pendant une bonne demi-heure, il avance des arguments pour tout arrêter. Pendant ce même temps, je contre et les démonte un par un. Finalement je demande à PH de me chercher les trois autres protagonistes de l'affaire. On se retrouve à 5 dans l'eau. C'est sûr qu'en maillot de bain, Nathan a des atouts qui font réagir Adam. Moi-même je ne reste pas insensible ! Grosse explication qui se termine quand Nathan prend Adam dans ses bras et qu'il lui roule un patin interminable ! Je sors alors de l'eau et les laisse. Je n'ai pas terminé ma séance moi ! Nous retrouvons le nouveau quatuor au moment des douches. A leurs têtes à tous les 4, je pense que le problème est réglé. C'est d'ailleurs le cas quand, alors que Second et Julien vont pour rentrer chez eux, Nathan les informe qu'il ne les rejoindra que demain matin.
Mercredi matin : Je réveille Nathan à 6h. Il doit être chez julien pour 7. Je profite qu'on ne soit que tous les deux devant un café pour lui demander si ça allait. Réponse " trop bien ". Dans la voiture, alors que je le reconduis (tant pis pour le scooter) il me dit qu'il avait craint d'être obligé à n'être que passif à cause d'Adam, mais que cela n'avait pas été le cas. Ils avaient fait l'amour sans se soucier de qui recevait qui dans sa bouche ou son cul. Il s'était même surpris un moment à sodomiser Adam ! Là, c'est lui qui me surprend. Au retour, curieux, je vais mater l'enregistrement de leur chambre. Effectivement il y a bien un moment où mes trois petits se font le cul de leur ainé. Et d'après ce que je vois et j'entends, ce n'est pas pour lui déplaire. Par rapport aux précédents enregistrements, Adam n'a plus cette " suprématie active " sur ses jeunes. Les deux heures qu'ils ont passé à se faire du bien montrent que chacun s'est retrouvé le passif des autres et réciproquement. Le seul sperme que j'ai vu jaillir à l'air libre est celui de Nathan. Ça me fait penser qu'il va vite devoir faire ses tests pour pouvoir en faire profiter ses amis. Toutes les autres jouissances se sont trouvées " étanchées " dans une bouche ou un cul. Une bonne chose de réglé, ç'aurait été dommage qu'Adam se soit retrouvé exclu. Après tout il est sympathique, bien foutu et d'après ce que j'ai vu, bon baiseur aussi ! Je pense qu'à terme, ça le décoincera et le fera devenir moins exclusif. J'aimerai bien un jour tester sa belle bite dans ma rondelle. Un 21x6, ce n'est pas à dédaigner !
Jardinier
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Si vous me cherchez Vous ne me verrez pas dans les grands magasins, parmi la foule assoiffée de biens matériels. Je préfère le calme de la forêt, ou la sérénité des vieux cimetières isolés, pieds nus dans l'herbe, attentive aux bruits des branches qui se meuvent sous la brise, aux chants des oiseaux qui sonnent comme une mélodie harmonieuse, aux vols des papillons, petits clins d'œil des défunts... Vous ne me trouverez pas dans les centres aquatiques ou de thalassothérapie. Je me baigne dans les rivières ou la mer, parmi les êtres de la nature. J'adore le bruit des vagues s'échouant sur le sable, le massage des courants plus ou moins chauds ou froids sur mon corps. J'aime observer le parcours de l'élément eau que rien n'arrête. L'eau contourne les obstacles, les dépasse, et poursuit sa route sans se poser de questions. Vous ne me croiserez pas à des spectacles sons et lumières, bondés de monde et de nuisances sonores. Je serai sous les rayons de la pleine lune, me remplissant de ses douces énergies, en scrutant les étoiles où résident mes frères galactiques. Enveloppée de l'obscurité de la nuit, je ferai face à la lumière de la reine des astres, me rappelant mes origines stellaires. Vous ne m'apercevrez pas sous les projecteurs, sous les stroboscopes, au contact d'une population déchaînée. Je préfère les crépitements du feu de bois, la danse de ses flammes, ses messages, sa chaleur. Le son du tambour, aligné sur les battements de mon cœur. La communion avec les éléments et les différents plans. Je suis fille du feu, de la terre, de l'eau et de l'air. Femme sur Terre, une âme de l'Univers. Je suis tout et rien à la fois. L'œil du cyclone au cœur de la tempête, la pluie, le beau temps, l'arc en ciel, l'orage et l'ouragan.
Patou Llech
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Lettre aux amis (ou pas) qui ne votent pas comme moi
"L’équipe de Reporterre est jeune — 35 ans si on m’enlève du compte — et la plus grande partie de ses plus de 2 millions de visiteurs mensuels a aussi moins de 40 ans. Je crois qu’elles et ils savent très bien ce qu’il faut faire cette semaine et dimanche prochain au bureau de vote, et je ne vais pas les chapitrer.
Les vieux, réveillez-vous !
En revanche, du fait de caractéristiques personnelles dont la première est un âge certain, la gravité du moment me pousse à écrire à des personnes avec lesquelles je partage des traits communs, à commencer par le nombre des années : j’ai 67 ans, et suis ce qu’on appelle un vieux ! Donc, je parle aux vieux et aux vieilles. Eh bien, mes amis, il serait temps de se réveiller ! Allez-vous arrêter de voter à droite et à l’extrême droite et de tordre le nez devant le Nouveau Front populaire ? Nous sommes la génération qui a profité du système social mis en place par nos aînés de la Résistance, qui a assez bien vécu (oui, nous avons beaucoup travaillé, et alors ?), et maintenant, la grande majorité d’entre nous vote pour le parti d’extrême droite. Qui est hostile aux jeunes. Qui est climatosceptique alors que la question écologique est une des plus importantes que vont affronter nos enfants et nos petits-enfants. Qui veut toujours plus de police et d’autorité, alors que nos enfants et nos petits-enfants ont besoin de bienveillance et de soutien.
Vraiment, les vieilles et les vieux, arrêtez de vous laisser berner par tout ce que racontent les télés. Pensez aux jeunes, pensez à leur avenir. Alors votez contre l’extrême droite dimanche prochain. Vous êtes vieux dans votre corps, mais vous pouvez être jeune dans votre tête, et plein d’espérance, d’enthousiasme, de joie pour le nouveau monde qui peut naître si vous ne vous y opposez pas.
Oh, les Républicains, c’est fini les conneries ?
Dans les temps anciens, il y avait un type qui s’appelait de Gaulle. Plein de défauts, mais enfin, il a sauvé l’honneur, et de ce fait, la France. Quand tout s’avachissait autour de lui, il a lancé la Résistance. Quand le pays s’effondrait, il l’a remis debout, sans devenir despote. Et quand le peuple lui a dit, « C’est assez ! », il est parti. Pour l’anecdote, c’était aussi un homme de droite, mais qui avait la fibre sociale. Il a dit : « Le capitalisme, du point de vue de l’homme, n’offre pas de solution satisfaisante. »
Pourquoi je vous en parle ? Parce que mon papa était gaulliste. Il a milité dans le parti gaulliste (l’UDR) qui, au long de multiples chambardements, est devenu Les Républicains. Incidemment, mon papa a résisté dans les maquis du Jura et son frère aîné a été assassiné par les nazis, au camp de Mauthausen. Alors, il y a une chose que de Gaulle et les gaullistes n’auraient jamais imaginée, c’est que des gens qui se réclament d’eux votent pour un parti issu des partisans de Pétain, de ceux qui ont bradé la France à l’hitlérisme, de ceux qui étaient antisémites. Jamais de Gaulle n’aurait accepté un tel vote.
Sans hésiter, il s’était uni avec des adversaires idéologiques, les communistes, quand on se battait pour l’essentiel, l’honneur du pays. Alors, Les Républicains, arrêtez vos conneries ! Pensez à votre histoire, à vos valeurs, à ce pourquoi vous vous êtes sans doute engagés, et votez contre le Rassemblement national, que le candidat soit La France insoumise ou pas.
Les catholiques, « Aimez-vous les uns les autres », c’est aussi le jour du vote
Croyez-moi, ça n’a pas toujours été facile pour moi d’être « catho » dans des milieux très athées, et parfois très anti-religieux. Et Dieu, de toute façon, c’est un truc compliqué. Mais mon attachement au sacré, à une dimension cosmique du monde, à l’Église — malgré tous ses défauts, et notamment son incroyable incapacité à sortir des scandales pédophiles, qui m’a mis en colère, comme tant d’autres — est toujours vivant. Alors, avec vous, ça devrait être simple. Le Pape François a toujours été clair : « Ouvrons la porte aux pauvres, ouvrons la porte aux faibles, ouvrons la porte aux étrangers. » Et son maître Jésus encore davantage : « Aimez-vous les uns les autres. » Dans un moment où tout peut basculer, il est clair que l’amour n’est pas du côté de celles et de ceux qui prêchent « l’autorité, la sécurité, la fermeture aux étrangers... ». Plus que jamais, mes frères et sœurs, votre sens moral doit vous guider dimanche."
Hervé Kempf-Reporterre-suite du texte ICI MÊME
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Ma solitude en prison était totale. Elle l’est moins maintenant que j’en parle. Alors j’étais seul. La nuit je me laissais descendre sur un courant d’abandon. Le monde était un torrent, un rapide de forces unies pour me porter à la mer, à la mort. J’avais la joie amère de me connaître seul. J’ai la nostalgie de ce bruit : en cellule quand je rêvais l’esprit vague, au-dessus de moi un détenu tout à coup se lève et marche de long en large, d’un pas toujours égal. Ma rêverie reste vague aussi mais ce bruit (comme au premier plan à cause de sa précision) me rappelle que le corps qui la rêve, celui d’où elle s’échappe est en prison, prisonnier d’un pas net, soudain, régulier. Je voudrais être mes vieux camarades de misère, les enfants du malheur. J’envie la gloire qu’ils sécrètent et que j’utilise à des fins moins pures. Le talent c’est la politesse à l’égard de la matière, il consiste à donner un chant à ce qui est muet. Jean Genet, Journal du voleur, Éditions Gallimard, 1949
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Alors qu’ils étaient déjà très vieux, le célèbre peintre Salvador Dali et sa femme Gala avaient apprivoisé un lapin qui vécut ensuite avec eux sans les quitter d’un pas ; ils l’aimaient beaucoup. Un jour qu’ils devaient partir pour un long voyage, ils discutèrent tard dans la nuit de ce qu’ils allaient faire du lapin. Il était difficile de l’emmener, mais non moins difficile de le confier, parce que le lapin se méfiait des hommes. Le lendemain, Gala prépara le déjeuner et Dali se délecta, jusqu’au moment où il comprit qu’il mangeait un civet de lapin. Il se leva de table et courut aux cabinets pour vomir dans la cuvette son petit animal chéri, le fidèle compagnon de ses vieux jours. Gala, en revanche, était heureuse que son aimé eût pénétré dans ses entrailles, les eût lentement caressées et fût devenu le corps de sa maitresse. Elle ne connaissait pas d’accomplissement plus absolu de l’amour que l’ingestion du bien-aimé. Comparé à cette fusion des corps, l’acte d’amour physique lui apparaissait comme un prurit dérisoire. (Milan Kundera, L’Immortalité)
Liebe et Verliebtheit sont les deux mots employés par Freud pour dire l’amour, Liebe y est décrit comme l’amour "normal", à savoir la croyance dans le mythe d’Aristophane, ce partage de l’être en deux moitiés qui cherchent dans l’amour à retrouver leur unité perdue, tandis que Verliebtheit l’amour "ordinaire", traduit par énamoration (que Lacan écrira: hainamoration) est cet amour aux feux duquel brûle tout nevrosé, et qui est moins idyllique…
Les femmes sont plus bêtes que les hommes, au sens narcissique de ce terme. Pour cette raison, en amour elles sont plus voraces que les hommes.
Pascal avait raison lorsqu'il notait: «Abêtissez-vous !» Abêtissez-vous = soyez moins narcissique !
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** suite de l'imagine sur Brando**
La nuit tombait sur Rome
enveloppant la ville dans une atmosphère de mystère et de sensualité. T/P le cœur battant la chamade, se trouvait à nouveau en présence de Brando. Ils étaient montés sur la terrasse d'un immeuble abandonné, dominant les rues animées en contrebas. Le vent chaud de lété caressait leur peau, ajoutant une tension électrique à l'air déjà chargé de désir.
Brando se rapprocha lentement, ses yeux sombres fixés sur elle. "Je savais que tu ne pourrais pas résister," murmura-t-il, sa voix grave résonnant comme une promesse interdite.
Immédiatement, ses pensées embrouillées par la proximité de son corps, par ce mélange enivrant de danger et d'attraction. Elle sentait chaque fibre de son être vibrer sous le regard intense de Brando.
"Peut-être que c'est toi qui ne pouvais pas résister," répliqua-t-elle finalement, défiant l'arrogance de Brando par un sourire provocateur
Sans avertissement, il l'attira brusquement contre lui, leurs lèvres se rencontrant dans un baiser féroce et passionné. La chaleur de son corps contre le sien, la force de ses mains sur sa taille, tout semblait irréel, comme si le monde entier avait cessé d'exister, ne laissant qu'eux deux, consumés par un désir irrésistible
Leurs baisers devinrent plus urgents, leurs mains explorant avidement chaque centimètre de leur peau. Brando, toujours maître de lui-même, poussa T/P contre le mur de la terrasse, sa respiration lourde dans son oreille. "Tu sais que tu joues avec le feu, n'est-ce pas?" murmura-t-il, ses lèvres effleurant son cou.
"Et toi, tu crois que je vais me brûler?" répondit-elle, sa voix tremblant d'excitation.
"Je sais que tu le veux," dit-il en glissant une main sous son chemisier, ses doigts caressant sa peau brûlante
T/P gémit doucement, ses mains agrippant les cheveux de Brando l'attirant encore ~''s près. "Peut-être que je veux plus que ça"
Souffla-t-elle.
Brando sourit contre sa peau, son regard s'embrasant de désir. "Je peux te donner tout ce que tu veux," dit-il avant de la soulever dans ses bras et de l'emmener à l'intérieur du bâtiment, dans une pièce à l'abandon,.
I|s tombèrent sur un vieux matelas, leurs corps enchevêtrés, la passion les consumant. Les vêtements volèrent, leurs respirations se mêlèrent, et bientôt, ils ne furent plus qu'une seule entité, mouvante et haletante, en quête d'un plaisir inégalé.
Brando, toujours dominant, prit le contrôle, ses mouvements précis et déterminés, tandis que T/P
s'abandonnait complètement, perdue dans la chaleur et l'extase de l'instant. Chaques gémissement, chaques soupire dans la pièce témoignant de la tension que faisait ressentir Rome et sa nouvelle arrivante.
Alors qu'ils reprenaient leur souffle allongés côte à côte sur le matelas délabré, Brando tourna la tête vers T/P un sourire satisfait aux lèvres, 'Je t'avais dit que Rome pouvait te dévorer. N
T/P, le regard encore brillant de passion, répondit avec un sourire tout aussi provocateur. "Peut-être que j'aime être dévorée."
Brando éclata de rire, la tirant contre lui. "Tu es vraiment une fille unique, T/P. Peut-être que Rome n'a jamais rencontré quelqu'un comme toi."
Et tandis que la nuit avançait enveloppant leur liaison interdite dans un voile de mystère et de désir, ils savaient tout les deux qu'ils avaient franchis une ligne. Une ligne
Qui rendait leur relation encore plus dangereuse et remplie de tension.
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Ce matin l'ado voulait une barre de traction depuis un moment du coup on est allés en acheter une sauf qu'en ouvrant la boîte on a vu qu'elle n'était pas prévue pour l'extérieur du coup on est retournés pour la rendre et celle qui va dehors n'était plus en stock on l'aura lundi et puis en revenant par un autre chemin pcq flemme de faire encore la même route on a découvert un supermarché italien et on s'est dit chouette on a acheté de la pancetta du parmesan incroyable des pâtes et des oeufs pour la carbonara de ce soir
et des arancinis et des petits trucs du service traiteur pour le midi, et c'était vraiment bien on s'est rappelé des souvenirs de notre city trip en Italie et j'ai encore eu envie d'etre là bas surtout dans les montagnes à manger de la pastèque ou des tomates mozzarella et puis on est rentrés et on a mangé en vitesse les trucs à réchauffer et puis j'ai installé des mangeoires dans les buissons et puis on est sortis fendre du bois, l'homme à la brouette qui amène dans le fond du jardin tout ce qui nous a été livré et moi fendre le bois parce qu'on a des stères et des stères et des stères de morceaux de troncs et de grosses branches et je fends avec un Merlin c'est une sorte de hache un peu évasée qui fait aussi massue ce truc pèse quasi 4 kg et j'apprends petit à petit à fendre des bûches convenablement il faut savoir où viser et contourner les noeuds et c'est assez magique pcq le bruit change quand on a tapé au bon endroit et apparemment c'est moi la plus énervée de nous deux parce que je tape vachement mieux mais c'est facile j'ai qu'à penser à mon ex bref ça défoule de fou et puis bon j'ai fait ça pendant 3h30 et le jardin ne ressemble pas du tout au jardin que je voudrais par exemple exactement là où je coupe le bois c'est là que je voudrais de l'herbe et des fruitiers et des transats et un petit cocktail voilà voilà y a encore du boulot pour arriver à ça
et après j'avais le dos en miettes et donc je suis rentrée j'ai essayé de regarder un truc sur netflix mais y a rien qui me disait du coup j'ai regardé Pinterest pendant un bon moment puis Netflix d'un œil puis Pinterest Instagram threads Instagram Pinterest et j'ai jonglé je commence à m'entraîner pour le 4 balles puis j'ai fait la carbonara et quand je pense qu'avant je faisais ça avec de la crème fraîche et de l'Emmental râpé ça me donne la nausée parce que qu'est ce que c'est bon le parmesan ohlala et là il y a une deuxième fournée de meringues en train de cuire parce qu'on ne prend que les jaunes dans la carbo alors tu fais quoi des blancs?
Bah des meringues, et je vais faire un peu de japonais italien anglais néerlandais sur Duolingo et finir mon bouquin parce que j'en ai acheté deux que j'ai hâte de lire il y en a un qui a un titre qui m'a fait frissonner écoute ça il s'appelle "Le fardeau tranquille des choses" c'est beau non? et demain dès potron minet je pars faire une rando de 10 ou 20 km on verra bien l'état de mon vieux corps.
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