#vide poche!
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Topping off #InternationalChameleonDay with this collection of pâte de verre glass chameleons by Amalric Walter (French, 1870-1959) & Henri Bergé (French, 1870-1937), all c.1920:
1. paperweight H8.5cm
2. tray (vide-poche) H8.5 x L15 x P11.2 cm
3. tray (vide-poche) L25.5cm
4. pendant 60x60mm
"This French pate-de-verre (glass paste) pendant is a rare survivor of 'artistic' jewellery of the 1920s. It was made by Amalric Walter to designs of his friend Henri Berge at their glass studio in Nancy, Lorraine, which produced decorative glass objects for discerning clients between 1919 and 1935. Walter and Berge excelled at using the complex technique of pate-de-verre casting, which they perfected while working at the Daum glassworks before the first World War. They pressed layers of coloured glass granules into wax moulds before firing them the kiln. The technique offered endless colour combinations and Walter experimented with the chemicals used to colour the glass, even using uranium to achieve the bright yellow seen in this pendant. Their products varied in price and complexity and while they were often replicated in series, each piece was hand finished and unique with subtle design and surface variations. A distinctive characteristic was the use of naturalistic motifs which were becoming simpler as the modern Art Deco style began replacing Art Nouveau in the 1920s. Issued alongside chameleon paperweights and bowls, this pendant is an example of this stylistic transition. When sold new, it was probably suspended on long silk cords to complement fashionable Jazz-era dresses. Some of these pendants however, might have never been worn as they were also admired as art pieces and displayed in the home."
[info via Powerhouse Collection]
#animals in art#animal holiday#european art#20th century art#art glass#glasswork#Art Nouveau#Art Deco#decorative arts#tray#paperweight#pendant#jewelry#1920s#Amalric Walter#French art#Henri Bergé#pâte de verre#vide poche#chameleon#chameleons#lizard#lizards#International Chameleon Day
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Monday Draft
-Mind you all that this is going to be a short fragment of what I wrote in Italian, so you might have to translate, if you want to read it. It's mostly for myself, to keep myself accountable and just keep on writing once more in Italian-
(.....)
“Guardalo come dorme,” Shay mormoró, mentre sul suo viso si dipingeva un sorriso che racchiudeva in sé un misto di levitá e affetto.
Dopo un travaglio durato piú a lungo di quanto il suo spirito potesse sopportare, suo figlio finalmente giaceva tra le sue braccia, sano e salvo, ignaro di tutto ció che lo circondava, avvolto com’era dalla calda coperta di lana che portava i colori della casata di sua madre.
I suoi occhi, cosí scuri e penetranti e completamente rapiti, guardavano il neonato sognante, come se cercassero di mandare a memoria ogni singolo dettaglio di quel piccolo visetto paffuto.
Aveva I colori di sua madre - gli stessi occhi color delle pervinche che crescevano nei prati fuori Lannisport, le stesse lentiggini dorate che puntigliavano le guance morbide e la fronte bombata di entrambi; un Lannister in tutto, persino nel cipiglio del pianto... se non per gli scuri capelli piumati che ricoprivano quel capino cosí minuto, l'impronta inconfutabile che il sangue dei Mormont - il suo stesso sangue - scorreva nelle vene del bimbo.
Shay alzó lo sguardo, e ció che vide sciolse la severa maschera del suo viso in un’ espressione di profonda amorevolezza: Dorothea sonnecchiava pacifica tra le fresche lenzuola che ancora profumavano di pulito, in quell’immenso letto che era stato il loro rifugio sin dalla prima notte in cui avevano deciso di lasciarsi alle spalle qualsiasi parvenza di decoro, e di seguire invece soltanto I dettami dei loro cuori.
Con passo leggero e con accortenza nel non svegliare il pargoletto che si stringeva al petto, Shay si avvicinó all’amata dormiente, e posó sulla fronte di alabastro un tenero bacio.
Ma nonostante la sua accortenza, Shay vide Dorothea battere le lunghe ciglia dorate e destarsi dal sonno ristoratore, richiamata dal mondo dei sogni da quei baci che avevano sempre avuto il potere di risvegliarla.
“Perdonami, amor mio,” sussurró il guerriero con sguardo corrucciato che mal celava l'irritazione che provava verso sé stesso. “Non intendevo svegliarti.”
La labbra della giovane donna si dipinsero in un sorriso ameno e Shay vide rifulgere in quello sguardo una luce serena, la stessa che impermeava ogni singola fibra del proprio essere. Se lei fosse provata dalle lunghe ore del parto o dalle poche ore di sonno, non sembrava darlo a vedere. Tutto ció che lui riusciva a scorgere sul suo viso era amore, un amore che trascendeva tutto il resto. “Da quando Lorcán é nato, ho acquisito gli stessi tuoi poteri: sento anche i bisbigli della servitú da dietro le pareti,” disse lei scherzosamente, puntellandosi sui gomiti per meglio guardare l’amato e il figlio.
(.....)
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#Nemo writes#Monday Draft#Assassin's Creed Rogue#ASOIAF!AU#Shay Cormac#Dorothea Starrick#Guilty Pleasure#Shay//Dora#Shay/OC#My oc#Ship: Starshayde
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Le bleu ne fait pas de bruit...
(extrait)
Le bleu ne fait pas de bruit.
C'est une couleur timide, sans arrière-pensée, présage, ni projet, qui ne se jette pas brusquement sur le regard comme le jaune ou le rouge, mais qui l'attire à soi, l'apprivoise peu à peu, le laisse venir sans le presser, de sorte qu'en elle il s'enfonce et se noie sans se rendre compte de rien.
Le bleu est une couleur propice à la disparition.
Une couleur où mourir, une couleur qui délivre, la couleur même de l'âme après qu'elle s'est déshabillée du corps, après qu'a giclé tout le sang et que se sont vidées les viscères, les poches de toutes sortes, déménageant une fois pour toutes le mobilier de ses pensées.
Indéfiniment, le bleu s'évade.
Ce n'est pas, à vrai dire, une couleur. Plutôt une tonalité, un climat, une résonance spéciale de l'air. Un empilement de clarté, une teinte qui naît du vide ajouté au vide, aussi changeante et transparente dans la tête de l'homme que dans les cieux.
L'air que nous respirons, l'apparence de vide sur laquelle remuent nos figures, l'espace que nous traversons n'est rien d'autre que ce bleu terrestre, invisible tant il est proche et fait corps avec nous, habillant nos gestes et nos voix. Présent jusque dans la chambre, tous volets tirés et toutes lampes éteintes, insensible vêtement de notre vie.
Jean-Michel Maulpoix
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Émile Jean Francois Namur, 1852-1952
Grand vide poche à la Sirène, n/d, bronze à patine verte, 50 cm
Private Collection
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RECAPITULONS
Résolution Pas de résolution Pour l'instant Du moins
*
La plante d'un ami rend l'âme
Je lui parle pour qu'il parte plus Facilement
*
Balec Jme barre Balec Jreviendrai pas Balec Je mdétache Les poches vides d'angoisse
*
Seulement les esseulés
*
Juste Aphone Pas Muet
*
Somme ou produit ?
*
L'actu
Mon
Actu
*
Reste
*
Cause I'm
*
Faire des listes de vie
S'y
Tenir
*
Univers Mouvant
*
Je suis un artiste avec un a privatif
*
En ce moment c'est boulot Boulot Mais le Jura s'immisce dans mes draps Je fais pas exprès
*
Loose lover
*
Même si on n'est pas dans un dessin animé
Tout le lit c'est mon côté
*
Vers l'impossibilité d'être ?
*
Exclu de l'internet Pour avoir montré ses fesses en public
*
Redouter l'avalanche Ou L'attendre impatiemment
*
Dessiner c'est précieux
*
Doumdoum Et ça fait Poumpoum tchac
*
À défaut d'amies Des feuilles plein le lit
*
C'est pas de ma faute Je suis juste Triste
*
Des questions plein la tête Des envies plein le slip Ou l'inverse ?
*
Tenons-nous bien droits À carreaux À distance Mais n'oublions pas que les regards Se foutent de la distance
*
Les arbres qui pleurent Ceux-là seuls n'oublient jamais
*
Rassembler sa peine Se tromper de compte Et Cueillir la paix
*
Stalkez-moi SVP
*
Arrêt sur image La longer du regard Sans rien N'oser
*
Sauter Sans Filet
*
Dans chaque percée de ciel à travers les nuages C'est le bleu des yeux de mon père
*
Après tout Les non-histoires Ne fissent pas
*
Les mains qui nous ont polis Se souviennent De nos douleurs
*
Chemin lumineux C'est dangereux
*
Il veille sur mes rêves Et Tient la mort à distance
*
Ne sois pas inquiet Rassure-toi Tout va
*
Non non non Je ne dirai jamais plus Jamais
*
Et vivre
*
Vu d'ami
*
La vie arrive Sans crier Gare !
*
Et d'un coup Tout se Réveille
*
Le roi Printemps dégage le vieil Hiver à coups de pied bien placés
*
La première boule de la saison A été tirée en moins de temps Qu'il n'en faut Pour le dire
*
Toujours avec moi À chaque sortie À chaque retour
*
Partout ensemble
*
Poudreuse pour la Tête
*
Sentir la Sève Monter Et Conduire sa vie à 100 Au moins quelques instants
*
#neveralone
*
Des bleus plein le ciel
*
Nononon Rien ne change Sauf qu'un jour On meurt
*
On entre en scène comme le Léopard fondant sur sa proie On se rappelle quand on était enfant et qu'on croyait à la Petite souris Et tout se mêle Les dents mortes, Tom et Jerry et les croque-monsieur du dimanche soir Que souligne ton sourire quand Nos regards s'entrechoquent Comment parer les attaques des romains sans Magique potion Heureusement Obé n'est pas tombé dans la drogue Ramener la vie à un soupir Juste avant de s'endormir Les bleus des jambes sont autant d'étoiles qui ne demandent qu'à filer
*
Soleil De trousse Soleil De bureau
*
Le creux de ta main Me manqu E
*
Mickey prend le frais
*
Joue moi Un air De Déjà-vu
*
Les cercles se rapprochent Se resserrent Quand les chèvres Gardent quelques choux Pour la fin de l'hiver #chienetloup
*
Rétablir Une certaine polarité Sans oublier la Terre #électricité
*
À base de vis Je fixe mes étagères Et alors que les fous mangent la poussière L'hôpital danse le touvamal sans s'occuper d'aérer #dance
*
Cauchemar Quelqu'un entre dans ma chambre Allume la lumière Alors que je dors, couché dans mon lit tourné contre le mur Je ne peux me réveiller ni bouger Il traverse la pièce Puis revient et sort Je force pour me réveiller Mal de crâne et douleur dans la poitrine Heureusement ce n était qu'un Cauchemar
*
Le temps n'existe pas Ici
*
Yep Pourquoi tu dis yep ? Yep
*
L'histoire Sera
*
Je vous demande Pardon #scuseme
*
Le loup guette Le renard Ruse
*
Quand on sait plus si on est dehors ou dedans C'est qu'on Tient le bon bout
*
La magie voudrait Réapparaître Alors Allumons le Grand Feu
*
Regarder ses pieds Et se tourner vers Ce qui les Entoure #Senséeffe
*
Ciel d'un bleu selon Les Conditions d'achat
*
C'est la panique Panique
*
Et le jour se lève Quand même
Je suis al
*
Tout Doument
*
La caille
*
Soleil qui bientôt Sera De Nouveau
*
Quand l'avec devient Ou Disparaît
*
Ici On est déjà Et c'est super
*
Finalement faire la vie n'est pas si facile
*
Se réveiller dans un Dessin
*
En chien Je N'y Connais rien
*
Tout le monde S'éclate
*
Avec une petite pelle à l'épaule
*
Comment sortir alors que non mais oui ?
Sous toi Sous moi Sous le lit Sous le monstre Rien que de la Vie Et encore Heureux
*
Quand on Découvre les confins De sa solitude Tout S'enflamme S'illumine
*
C'est compliqué Tu vois ?
*
Les yeux des yeux sont Toujours Larmoyants
*
Bonjour Excusez-moi de Vous Déranger Je Zboum
*
-Moi, J'aime bien tu vois Quand c'est un peu... -Sauvage ? -Oui
*
Vaches en pixels
*
Désopasdéso Pour cette Avalanche
*
Appelle-moi Ou pas Mais ne m'oublie Pas
*
Un loup entre chaque cil Regard qui Dévore
#wolfgang
*
V comme vrille Je vous envoie des bonnes bises Les zous Zous
*
Y Rev'nir
*
Je ne demande qu'à retrouver mon souffle
*
Dessiner Dévoiler Dessiner Embrasser Dessiner Rompre la distance
*
Jusque-là Ce que j'ai oublié Ne compte Pas ?
Retourner son tapis Et S'envoler Roi des voleurs Robin ou Aladin De mon côté Je suis dans mon lit
*
C'est l'histoire d'un homme Il vit Fin
*
Trop l'artiste J'vais en Philo
*
Hé La beauté n'est pas toujours Là où on le croi t
*
Mon royaume S'étendait entre deux champs de Colza Vie de chien
*
Retrouver le Printemps Sans cesse Se souvenir Et renoncer aux Caresses
*
Et nos fleurs Ne faneront qu'une fois
*
Rester sans Voir Que tout recommence Mais surtout Ne pas oublier
*
Arbres
Bombez le tronc et Retrouvez votre Majesté Quand l'hiver n'est plus Il faut Sortir
*
Egotrip Mais pas que Car toutes ces mains ne M'appartiennent pas Cependant Toutes ont pris soin de Moi
*
Sans forcément Montrer Être vu
*
Et au-dessus de nos têtes Les mêmes Branches
*
À l'intérieur de nos bras Se cache La douceur d'un Chien
*
Oué oué Oué Oué
*
Rassembler ses flèches Et partir à la Chasse aux
Fleurs
*
La mémoire se double J'ai mis mon manteau C'était pas prévu
*
La vie l'amour Je n'ai que faire d'hier et de Demain Pourvu qu'aujourd'hui Existe
*
Un jour sans dessin Le lendemain Tout est moche Heureusement que ça n'arrive pas Souvent
*
Les chevaux Dans mes rêves Galopent au Plafond Alors que je les monte À cru
*
Et tous ces mots Qui restent en suspens Alors que Nous n'avons pas fait exprès de les Penser
*
La belle Rouge
*
Je me suis aperçu de Sa présence trop Tard Mais Où courir Quand les portes sont closes ?
*
Vert présage d'orage Et puis goutte après Goutte Le masse de nuages se dissipe Vers quelle constellation devons-nous nous tourner pour Adresser nos prières ?
*
Ouvrir tous les cartons Et Crier dedans
*
Les mots pensés sont des fauteuils qui attendent D'être prononcés
*
Quand le lilas Chuchote son odeur partout dans l'air Attacher trois poules entre elles Et laisser couver Une nuit
*
Quand comprendras-tu les Mensonges Sans sourciller ?
*
Tu restes la même Partout dans ma tête Fabuleuse Insaisissable Mais Jamais tendre Je n'aime pas ma façon D'aimer
*
Il ne manque rien Juste les yeux perdus D'une femme qui n'a jamais Embrassé en souriant
*
Et penser Sans s'arrêter de Vivre Surtout vivre en fait
*
Les histoires sont toujours différentes Selon le rétro dans lequel on Regarde
*
J'ai cru que vous étiez dans ma Tête Mais vous n'existez qu'à Grande peine
*
Que dire quand L'envie n'est plus ? Heureusement le vert est là
*
Rassembler son Courage et S'affronter
*
Vert Honte
*
Sous moi le lit Et En-dessous Il n'y a Personne
*
Je ne pense pas qu'à moi Mais j'essaie juste de faire Au mieux
*
Rouvrir les plaies Que le passé n'a pas refermées Saupoudrer Laisser reposer
*
Je ne sais plus Ce que je veux Et bla et bla et bla Ça sonne comme des balles qui partent et s'enfoncent dans le matelas
*
Je vous amène L'eau Demain Dansons sans y penser
*
Pour voir Ajoutons un peu de Volume
*
Radieuse L'aube mord le ciel jusqu'au Sang
*
Hier On n'avait qu'à regarder Les murs se dresser Aujourd'hui courir sous les nuages Pieds nus Dans l'herbe Frôle la Volupté
*
Il paraît que les ours Savent Et que les hommes se trompent
*
Il est un temps hors du temps On l'appelle L'hiver
*
Écrire une légende Si seulement
*
Ne pas se Méprendre Avancer sans comprendre C'est déjà beaucoup
*
Ces endroits Qui n'appartiennent pas
*
Et les autres Qui les invente ?
*
Rentrer sa tête Et fermer les volets de sa carapace Écrire partout Même dans la marge Dessiner debout Pisser dans les intercalaires
*
Je trouve plus quelle est la Mission Ignorance Vaut mieux que conviction ?
*
Les pleurs des morts S'entendent à travers les Oreillers
*
Revenir du couloir blanc N'a rien de comparable Tenter de grimper dans les arbres Sans faire tomber la moindre feuille C'est ainsi que nous devrions tous Vivre
*
Rester Humble Mais ne pas Confondre Cardamine hirsute Et arabette de Thalius
*
Les correspondances Nous font faire N'imp Battons en retraite
*
Attraper Le temps perdu Saler Poivrer Servir chaud et Savourer le temps qui Bientôt aura été Ingurgité
*
Rassembler Ses forces Et affronter la nuit
*
Et les autres Tu sais Celles qui ont des yeux qui voient à Travers Comment le leur dire ?
*
Tous les morts Une fois allongés dans L'herbe Se Ressemblent
*
Et déjà Tout est souvenir Même les fesses que mes mains n'ont pas connues Surtout ces fesses-là D'ailleurs Patience est plus importante désormais
*
En vrai De Vrai Mais alors surtout Fermer sa bouche lorsque Ces mots Surgissent
*
Zoome et Dieu apparaîtra
*
Des lignes noires Pour cerner les yeux afin d'y voir plus Clair Je voudrais ne jamais mourir mais ne jamais mourir tout en Ignorant mon immortalité Là est la sagesse
*
Tout est dépeuplé Mais Un seul être vous manque
*
Les enfants sages Ont de l’eczéma Dès qu'ils grandissent Pourquoi ?
*
Soit Soit Soit Ou sinon Soit
#zouzou
*
Écoutilles ouvertes Toutes voiles dehors Que dirait Barbosa ?
*
Change Si tu veux Mais change bien Si possible
*
Amener l'eau entre Ses Deux yeux Laisser couler sans déglutir Servir encore Brûlant
*
Maxime a tord
*
Dans le lit Je répète Je Suis Dans le lit
*
Scrogneugneu Achetez des fenêtres pas des Vêtements
*
Retour à la case Départ Je gagne 20000 et j'évite la Prison Sans rigolade Je suis le roi du game
*
Qui va à la chasse ?
*
Pas de règle sans exception
*
Actualisation du fil Et Maladroitement S'avancer sur la Poutre
*
Rase ta rockette
*
Zoome et tu sauras Tout Sur moi
#midiminuit
*
Ouvrir la Verrière Respecter les distances de Sécurité Eternuer dans l'éternité
*
Conquérir sa planète La laisser vivre plutôt
*
Se rouler des pelles à même la Paille
*
Défaire Et tisser de nouveau Éternelle Pénélope
*
C'est comme Une thérapie Ne pas oublier De s'écarter de la Recette
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Écouter le Silence qui Se Répand
*
Trente-trois tours D'espoir
*
Éviter les Picots
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Devant Touchant son front avec le mien Je ne pouvais me résoudre à la nommer
*
Tourner en Rond ou En Bourrique ?
*
Je crois que Manset est une des plus belles choses sur Terre Jusqu'au moment où j'ouvrirai un nouvel onglet D'où un rap sacré Se déversera
*
Et nous vivrons heureux Sur ma moto bleue En cueillant le coton Habillés de satin
*
Et tombe l'or
*
Vieillesse et souffrance sont-elles Indissociables ?
*
Je ne me comprendrai Jamais
*
Ici ou la Rien n'égale l'amitié Générosité est un mot comme les autres Somme toute
*
Tourner la cuillère dans le Pot Remuer quoi
*
Il y a sous Chaque dessin Un souvenir Dominant
*
Prends-en soin C'est une vieille Dame
*
Mais où sont les amis ? Quand il n'y a plus que soi avec soi Autant ne rien Dire
*
Pour désinstaller un Programme Brûler votre PC Mettez-vous à Genoux Et Priez que Dieu Vous entende
*
4 3 2 1 Les anciens n'ont que faire du Feu Leur corps habité par une flamme de bougie Ils avancent Se protégeant du vent de peur que son souffle les Eteigne
*
À la conquète De l'univers Avec ou sans Chaussettes
*
Quand les amis sont précieux Il faut le leur Dire
*
On tient un truc on tient un truc On tient un Truc Ne pas le lâcher Des yeux Ne pas le laisser partir Car sinon Pas sûr qu'il revienne
*
Et les coureurs Couraient Alors que le dragon S'essayait à la paraphrase Les arbres eux N'avaient que faire du pourquoi
*
Souvenirs Enfance Joie et Insouciance J'y retournerais Sans me poser de question Quand tu veux Sauf que Ça a pas l'air d'être dans tes cordes
*
Changer de papier comme Le serpent change de Peau
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Rectangular vide-poche in gilded brass, decorated with hieroglyphs, ca 1960s. Via Galerie Astéria.
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« Est-il possible qu’on n’ait encore rien vu, reconnu et dit de vivant, est-il possible qu’on ait eu des millénaires pour observer, réfléchir et écrire et qu’on ait laissé passer ce millénaire comme une récréation pendant laquelle on mange sa tartine et une pomme ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que malgré invention et progrès, malgré la culture, la religion et la connaissance de l’univers l’on soit resté à la surface de la vie ? Est-il possible que l’on ait même recouvert cette surface qui après tout eu encore été quelque chose, qu’on l’ait recouverte d’une étoffe indiciblement ennuyeuse qui la fait ressembler à des meubles de salon pendant les vacances d’été ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’histoire de l’univers ait été mal comprise, est il possible que l’image du passé soit fausse parce que l’on a toujours parlé de ces foules comme si l’on ne racontait jamais que des réunions d’hommes au lieu de parler de celui autour de qui ils s’assemblaient parce qu’il était étranger et mourant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que nous croyons devoir rattraper ce qui est arrivé avant que nous soyons nés ? Oui, c’est possible.
Est-il possible qu’il faille rappeler à tous l’un après l’autre qu’ils sont nés des anciens, qu’ils contiennent par conséquent ce passé et qu’ils n’ont rien à apprendre d’autres hommes qui prétendent posséder une connaissance meilleure ou différente ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que tous ces gens connaissent parfaitement un passé qui n’a jamais existé ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que toutes les réalités ne soient rien pour eux, que leur vie se déroule et ne soit attachée à rien comme une montre oubliée dans une chambre vide ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on ne sache rien de toutes les jeunes filles qui vivent cependant ?
Oui, c’est possible.
Est-il possible que l’on dise les femmes, les enfants, les garçons et que l’on ne se doute pas malgré toute sa culture, que l’on ne se doute pas que tous ces mots depuis longtemps n’ont plus de pluriel mais n’ont qu’infiniment de singulier ?
Oui, c’est possible.
Est il possible qu’il y ait des gens qui disent Dieu et pensent que ce soit un être qui leur est commun ?
Oui, c’est possible.
Vois ces deux écoliers, l’un s’achète un couteau de poche et son voisin, le même jour, s’en achète un identique et après une semaine, ils se montrent leurs couteaux et il apparaît qu’il n’y a plus entre les deux qu’une lointaine ressemblance tant a été différent le sort des deux couteaux dans des mains différentes ? Oui, dit la mère de l’un s’il faut que vous eussiez toujours tout et encore est-il possible que l’on croit posséder un dieu sans l’user ?
Oui, c’est possible ».
Mais si tout est possible, si tout cela n’a même qu’un semblant de possibilité, mais alors il faudrait pour l’amour de tout au monde, il faudrait que quelque chose arriva.
- Rainer Maria Rilke se pose les questions dans ´Les Cahiers De Malte Laurids Brigge
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
#one piece#zosan#black leg sanji#one piece zosan#roronoa zoro#fanfic#sanji#vinsmoke sanji#one piece fanfiction#french au#Lyon au#zoro
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9 milliards d’euros. C’est ce que coûteront les subventions aux éoliennes en mer et aux panneaux solaires en 2025. Et devinez qui va passer à la caisse ? Les Français, avec une hausse cachée sur la facture d’électricité (TIFCE).
Fabien Bouglé le martèle : Le nucléaire maintenait l’électricité abordable, mais maintenant, on vide vos poches pour des énergies subventionnées, inefficaces et profitables à quelques exploitants. Pendant que le gouvernement se vante de sa ‘transition verte’, c’est vous qui financez ce mirage énergétique.
www.youtu.be/tC8pwxpahT0
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Le fils lit un poème près de la fosse. C’est une petite feuille blanche qu’il avait mise dans la même poche que le mouchoir mouillé, de sorte que le poème sent le parfum et que l’encre a un peu déteint. Ce n’est pas à cause de cela qu’il lit si mal, c’est à cause des larmes. La poésie, il la sait par cœur. Peu à peu, il se ressaisit et les derniers vers marchent très bien. Sa voix est calme et assurée ; et peut-être bien un peu satisfaite d’elle-même. Le père aussi est satisfait. Il aime ce qui est beau. Il aime les beaux poèmes aux beaux enterrements. Il regarde le pasteur, mais le pasteur écoute et ne le regarde pas. Il écoute vraiment bien. Il est habitué à bien écouter les poèmes aux enterrements. Celui-ci est long – pourtant la feuille est petite – et lorsqu’il est terminé quelques-uns observent le pasteur pour voir ce qu’il pense de leur enterrement. Mais le fils se trouve soudain devant une feuille vide. Il reste là, près du trou ; il tient un papier à la main et sa main tremble. Il regarde le bas de la page en blanc et ne comprend pas. Son regard glisse par-dessus le bord de la feuille et descend, descend, s’accroche au bord gris et lisse de la fosse, puis au couvercle jaune et froid du cercueil, au rouge éclatant des fleurs. Il comprend enfin, et c’est dur de comprendre. Avancer d’un pas et puis pleurer. Encore un pas et savoir que c’est fini. Presser son mouchoir sur ses yeux et comprendre qu’aucun sursis n’est possible, qu’il n’y a plus d’annonces de décès à rédiger, plus de faire part à envoyer, plus de poème à composer la nuit quand on ne peut pas dormir ; quand il n’y a plus de consolation, plus de refuge, plus de fin et plus de commencement. Il n’y a qu’une réalité, vide comme un tombeau : sa mère est étendue là, morte, irrémédiablement absente. Absente pour les prières et les pensées, pour les fleurs et les poèmes, les larmes et les mots. Il pleure, appuyant son mouchoir sur un œil, puis sur l’autre ; il pleure le vide, il pleure, il pleure car le vide appelle avant tout les larmes. Stig Dagerman, L’Enfant brûlé, traduit du suédois par E. Backlund, Gallimard, 1956
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Always And Forever
Chapitre 8 -> Un voyage pas comme les autres
La cour réservée aux profs était calme, à peine troublée par le grésillement lointain des néons. Rosalia, adossée au mur, tirait sur sa cigarette, le regard perdu dans le vide. La fumée s'élevait doucement, se mêlant à la fraîcheur du matin.
Des talons résonnèrent sur le bitume. Jennifer apparut, un sourire amusé flottant sur ses lèvres.
— Tu sais, t'as un style vraiment canon . Ça te va bien.
Rosalia tourna légèrement la tête, soufflant la fumée par le nez, sans répondre tout de suite.
— Merci.
Jennifer s'approcha, feignant d'observer l'horizon, bien qu'il n'y ait rien à voir.
— Alors, tout est prêt pour le voyage ? Tu veux un coup de main ?
— Non, ça devrait aller.
Jennifer hocha la tête, mais ses yeux restaient fixés sur Rosalia, insistant.
— T'es sûre ? Parce que... je pourrais être utile. Enfin, dans beaucoup de domaines.
Le sous-entendu était clair. Rosalia baissa les yeux sur sa cigarette, la fit rouler entre ses doigts avant de tirer une dernière bouffée.
— Je gère, merci.
Elle écrasa la cigarette sous sa chaussure, sans ajouter un mot. Jennifer, un peu désarçonnée mais pas découragée, se contenta d'un petit sourire avant de reculer.
— Si jamais tu changes d'avis... je suis là.
Rosalia ne répondit pas, ses mains déjà dans ses poches, prête à retourner à l'intérieur. Jennifer ne bougea pas, un sourire en coin accroché à ses lèvres.
— Tu sais, t'as pas besoin de faire la dure. Ça peut être sympa de se faire... aider.
Rosalia haussa un sourcil, la cigarette à peine terminée encore entre ses doigts.
— Ah oui ? Et tu serais prête à faire quoi pour m'aider exactement ?
— Tout ce que tu veux. Je suis polyvalente.
Un rire léger échappa à Rosalia. Elle jeta le mégot dans un cendrier, croisant les bras tout en se tournant vers Jennifer.
— Polyvalente, hein ? Ça inclut quoi ? Ranger des sacs de couchage ou supporter des ados surexcités pendant trois jours ?
Jennifer s'approcha d'un pas, ses yeux pétillants d'une fausse innocence.
— Ça inclut surtout être une excellente compagnie.
Rosalia secoua la tête avec un sourire amusé.
— Et qu'est-ce que je ferais avec une "excellente compagnie" ?
— Oh, je suis sûre que t'as de l'imagination.
Cette fois, Rosalia rit franchement. Elle laissa un silence planer, comme si elle réfléchissait, avant de se pencher légèrement vers Jennifer, les yeux mi-clos.
— Ok, mais juste pour savoir... dans ton "offre polyvalente", est-ce que tu sais aussi faire le café ? Parce que si c'est pas le cas, c'est mort.
Jennifer éclata de rire, visiblement ravie de la tournure des choses.
— Le café ? Je te ferais le meilleur café que t'aies jamais bu.
Rosalia fit mine de réfléchir, son sourire joueur toujours présent.
— Hmm... intéressant. Je vais y penser.
Alors que Rosalia se préparait à entrer, Agatha arriva, sa démarche toujours aussi assurée. Elle remarqua immédiatement la proximité entre les deux femmes et s'arrêta un instant. Un léger sourire passa sur ses lèvres, mais elle ne dit rien, se dirigeant directement vers Rosalia avec des documents en main.
— Rosalia, voici les derniers détails pour le voyage, tu trouveras tout ce qu'il te faut là-dedans.
Rosalia se tourna vers elle, un sourire légèrement moqueur encore accroché aux lèvres, et prit les papiers.
— Merci, Directrice Harkness.
— Ah, j'adore quand tu m'appelles comme ça.
Jennifer, qui jusque-là observait la scène sans intervenir, lança un regard noir à Agatha. L'atmosphère changea instantanément, et elle sentit l'inconfort grandir. Elle sourit froidement, puis prit la décision de s'éclipser.
— Je crois que j'ai mieux à faire.
Elle se détourna, son pas rapide, presque précipité. Rosalia la suivit du regard, toujours avec ce sourire en coin, avant de se tourner vers Agatha, dont les yeux pétillaient de malice.
Une fois Jennifer partie, Agatha s'approcha un peu plus près de Rosalia, baissant légèrement la voix.
— J'adore quand tu m'appelles comme ça. Ça me donne l'impression que tu sais exactement comment jouer de tes atouts.
Rosalia se pencha légèrement, un brin espiègle.
— Et toi, Directrice, tu sais comment me rendre curieuse.
Agatha laissa échapper un petit rire, son regard s'attardant sur Rosalia, avant de chuchoter presque imperceptiblement.
— C'est un art... savoir garder un peu de mystère.
Agatha s'approcha un peu plus, son souffle léger effleurant presque l'oreille de Rosalia alors qu'elle la regardait intensément.
— Tu sais, Rosalia, j'ai l'impression que tu aimes tester mes limites.
Rosalia haussait un sourcil, un sourire taquin se dessinant sur ses lèvres. Elle se rapprocha légèrement, se pla��ant presque en face d'Agatha, leurs corps à quelques centimètres l'un de l'autre.
— Tu crois que c'est moi qui teste tes limites, Directrice ? Peut-être que c'est toi qui pousses les miennes.
Le regard d'Agatha s'intensifia. Elle s'humecta discrètement les lèvres, comme si elle savourait chaque mot prononcé par Rosalia.
— Ah, tu es bien audacieuse aujourd'hui. Mais je crois que tu sais très bien ce que tu fais... Tu veux vraiment savoir jusqu'où je peux aller ?
Rosalia se pencha légèrement vers elle, son visage juste assez près pour que l'atmosphère se charge d'une tension palpable. Elle laissa sa voix se faire plus basse, plus feutrée.
— Et toi, tu veux vraiment le découvrir ?
Agatha fixa ses yeux dans ceux de Rosalia, son sourire se faisant plus énigmatique.
— Peut-être. Mais tu sais, il y a des choses qu'il vaut mieux laisser... au mystère.
Rosalia fit une moue, un brin déçue mais amusée. Elle recula d'un pas, le regard toujours aussi insistant.
— T'es pas très joueuse, Directrice. C'est dommage.
Agatha la fixa un moment avant de répondre d'une voix basse et suave :
— Oh, crois-moi, Rosalia, parfois, il faut savoir rester dans l'ombre avant de révéler tout son jeu.
Un silence lourd s'installa un instant entre elles, et, à cet instant précis, toute la tension semblait presque insoutenable. Rosalia se mordit la lèvre inférieure, un sourire provocant sur les lèvres, avant de se détourner lentement, laissant Agatha dans une sorte de défi silencieux.
— C'est ça, laisse-moi deviner, Directrice. On verra bien qui dévoilera son jeu en premier.
Agatha la regarda partir, un éclat amusé dans les yeux.
— Je suis certaine que ce ne sera pas toi... Mais on verra bien, Rosalia. On verra bien.
Rosalia s'approcha lentement, ses pas feutrés, son souffle chaud effleurant la peau d'Agatha. La proximité entre elles devint presque insoutenable, et Agatha sentit un frisson lui parcourir l'échine. Le regard de Rosalia se fit plus intense, plus appuyé, alors qu'elle se plaçait à côté d'Agatha, presque trop près, si proche que leurs corps semblaient se frôler sans jamais se toucher.
Un frisson de désir traversa Agatha, bien qu'elle tentât de garder son calme. Rosalia remarqua la réaction, son sourire s'élargissant en conséquence. Elle baissa légèrement la voix, chuchotant à l'oreille d'Agatha, ses mots comme un léger souffle.
— Je vais remplir les papiers et te les ramener dans ton bureau.
Le ton de sa voix, à la fois doux et ferme, laissa Agatha dans un état de flou, complètement déstabilisée par l'intensité de l'instant. Elle resta là, immobile, son cœur battant plus fort dans sa poitrine, son esprit encore en proie à l'effet que Rosalia venait de produire sur elle.
Rosalia s'éloigna alors, un sourire taquin sur les lèvres, comme si elle venait de jouer une dernière carte dans un jeu qu'elle avait parfaitement maîtrisé. Elle se tourna une dernière fois vers Agatha avant de partir, marchant d'un pas assuré, mais laissant derrière elle une Agatha qui semblait presque en transe, secouée par la rencontre.
Agatha observa Rosalia s'éloigner, son esprit encore engourdi par la chaleur et l'intensité du moment. Elle se mordilla la lèvre, son regard dans le vague, se demandant si tout ça n'était qu'un jeu ou quelque chose de bien plus profond.
༺♡༻
Malia était assise seule sur un banc isolé, serrant ses mains l'une contre l'autre pour calmer les tremblements. Elle sentait cette faim en elle, ce besoin constant qu'elle essayait de refouler, mais qui revenait toujours plus fort. La nuit était fraîche, et la lumière blafarde de la lune ajoutait à son malaise.
Lilia, qui passait par là, la vit et s'arrêta, intriguée par l'expression de souffrance sur le visage de Malia.
— Bambina, tu vas bien ? demanda Lilia doucement en s'approchant, utilisant ce surnom affectueux qui faisait toujours sourire Malia, mais cette fois, elle n'eut aucune réaction.
Malia détourna la tête, ses yeux rouges brillant brièvement avant qu'elle ne cligne des paupières pour les dissimuler.
'
— Tu devrais partir, Lilia. Ce n'est pas une bonne idée de rester près de moi.
Lilia s'agenouilla devant elle, posant une main sur son genou.
— Hé, qu'est-ce qui se passe ? Tu sais que tu peux me parler.
Malia hésita, ses mains se serrant davantage, puis elle murmura :
— Je ne peux pas... Je suis dangereuse.
— Dangereuse ? répéta Lilia en fronçant les sourcils. Malia, tu n'as rien fait de mal.
Malia releva les yeux, cette fois incapable de cacher la lueur écarlate qui trahissait sa nature. Lilia recula légèrement, surprise, mais elle ne partit pas.
— C'est... c'est toi ? Un vampire ?
Malia hocha la tête, honteuse, ses larmes menaçant de couler.
— Oui. C'est pour ça que je t'ai dit de partir. Je ne veux pas te blesser.
Lilia resta silencieuse un moment, son esprit tournant à toute vitesse. Elle aurait dû être effrayée, mais au lieu de cela, une vague de compassion l'envahit. Elle tendit doucement la main, caressant les cheveux de Malia pour la rassurer.
— Écoute-moi, Bambina. Je ne vais nulle part. Peu importe ce que tu es, tu restes toi.
Malia releva les yeux, une lueur de surprise mêlée de soulagement dans son regard.
— Mais je pourrais te blesser... ou pire.
— Non, tu ne le feras pas, répondit Lilia avec une assurance calme. Je suis là pour toi. Tu n'as pas à gérer ça toute seule.
Ces mots touchèrent quelque chose de profond en Malia, une part d'elle qu'elle avait peur de laisser voir. Elle hocha lentement la tête, acceptant pour la première fois qu'elle n'était pas seule.
Lilia se redressa et tendit la main à Malia pour l'aider à se lever.
— Viens, rentrons. Et si tu sens que ça devient trop difficile, tu me le dis, d'accord ?
Malia hésita un instant avant de prendre la main de Lilia, une nouvelle lueur d'espoir dans ses yeux. Elle savait que ce ne serait pas facile, mais avec Lilia à ses côtés, elle se sentait un peu plus forte.
De retour chez Lilia, un silence réconfortant s'était installé. La pièce était baignée par la lumière douce d'une lampe, créant une atmosphère apaisante. Malia, encore nerveuse mais moins tendue qu'avant, s'était assise sur le canapé. Après un moment, elle se laissa aller et posa sa tête sur les genoux de Lilia.
Lilia, assise tranquillement, fut surprise au début mais ne dit rien. Elle observa le visage de Malia, marqué par la fatigue et une douleur qu'elle connaissait peu. Doucement, elle leva une main et commença à caresser les cheveux de Malia, ses doigts glissant avec soin dans les mèches brunes.
— Tu sais, Bambina, tu peux vraiment te détendre ici. Je ne vais pas te juger, murmura Lilia avec douceur.
Malia ferma les yeux, appréciant le geste réconfortant.
— Ça faisait longtemps que je ne me sentais pas en sécurité comme ça, avoua-t-elle dans un souffle.
Lilia esquissa un léger sourire, ses doigts continuant leurs caresses apaisantes.
— Alors reste autant que tu veux. Tu n'as pas à te battre seule contre ce que tu ressens.
Un silence chaleureux s'installa entre elles, brisé seulement par la respiration régulière de Malia. Sa tension semblait s'effacer petit à petit sous les gestes tendres de Lilia.
— Pourquoi tu fais tout ça pour moi ? demanda Malia d'une voix basse, sans rouvrir les yeux.
Lilia s'arrêta un instant, réfléchissant, puis reprit ses caresses.
— Parce que je tiens à toi, Malia. Peu importe ce que tu es ou ce que tu penses être, tu comptes pour moi.
Malia rouvrit les yeux, levant légèrement la tête pour croiser le regard de Lilia. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres.
— Tu me traites toujours comme une enfant avec ton Bambina, mais... je crois que j'aime bien ça.
Lilia rit doucement.
— Et toi, tu m'écoutes comme une enfant sage, alors ça te va bien, non ?
Malia roula des yeux, amusée, avant de reposer sa tête sur les genoux de Lilia.
— Peut-être. Mais juste avec toi, ajouta-t-elle doucement.
Le moment se prolongea, rempli d'une tendresse inattendue mais bienvenue. Pour la première fois depuis longtemps, Malia se sentait vraiment en paix, et Lilia semblait déterminée à lui offrir cet espace de répit aussi longtemps qu'elle en aurait besoin.
༺♡༻
Rosalia était assise à son bureau, les élèves partis depuis un moment, la salle de classe plongée dans un calme presque surnaturel. Elle se penchait sur un dossier que lui avait confié Agatha, son stylo glissant rapidement sur les feuilles.
La porte s'ouvrit doucement, et Agatha entra sans bruit. Elle s'approcha, un sourire énigmatique sur les lèvres, et s'assit sur le bord du bureau, juste à côté de Rosalia.
Rosalia sentit immédiatement le regard insistant d'Agatha posé sur elle. Elle tenta d'ignorer la distraction, mais après un moment, elle posa son stylo, leva les yeux, et soupira légèrement.
— Je ne peux pas me concentrer, quand tu me regardes comme ça.
Agatha pencha légèrement la tête, son sourire s'élargissant, et répondit d'une voix douce, légèrement taquine :
— Eh bien, vous devriez plutôt vous concentrer sur moi, alors...
Rosalia haussa un sourcil, un mélange de surprise et de défi dans son regard.
— C'est toi qui m'as donné ce dossier à remplir, tu te souviens ?
Agatha haussa les épaules, feignant l'innocence.
— Peut-être que c'était juste une excuse pour venir te voir travailler.
Rosalia secoua la tête, un sourire discret se formant sur ses lèvres malgré elle.
— Agatha...
Agatha se pencha légèrement vers elle, son ton devenant plus bas, presque murmuré.
— Oui, Rosalia ?
Rosalia détourna le regard, cherchant à dissimuler le rouge qui montait doucement à ses joues, mais elle ne pouvait pas empêcher un petit sourire de s'échapper.
— Tu es impossible, murmura-t-elle, reprenant son stylo.
Agatha resta là, immobile, savourant l'instant, un éclat malicieux dans les yeux, comme si elle avait déjà gagné une bataille invisible.
Agatha, toujours assise sur le bureau, tendit la main et repoussa doucement le dossier devant Rosalia, le faisant glisser hors de sa portée. Rosalia la regarda, surprise.
— Agatha, qu'est-ce que tu fais ? Je dois finir ça.
Agatha se redressa légèrement pour se mettre face à Rosalia, ses jambes croisées de manière nonchalante, mais son regard était tout sauf détaché. Elle était proche, très proche, et son sourire narquois illuminait son visage.
— Tu es bien trop tendue, murmura-t-elle. Tu travailles trop.
Rosalia haussa un sourcil, tentant de garder son sérieux malgré la chaleur qui montait en elle.
— Et tu penses que m'interrompre va m'aider ?
Agatha fit mine de réfléchir, son regard intense braqué sur Rosalia. Puis, elle se pencha encore un peu plus, jusqu'à ce que leurs visages soient presque à la même hauteur, leurs souffles se mêlant.
— Peut-être, répondit-elle, sa voix devenue presque un murmure. Après tout, tu as dit toi-même que tu ne pouvais pas te concentrer quand je te regardais comme ça... alors pourquoi essayer ?
Rosalia sentit son cœur battre plus fort. Elle détourna les yeux un instant, mais Agatha ne bougea pas, son regard brûlant de malice et d'intensité.
— Agatha... souffle-t-elle, presque implorante, comme si elle essayait de trouver un équilibre entre l'envie et la frustration.
Agatha, toujours aussi confiante, glissa un doigt sous le menton de Rosalia, la forçant doucement à la regarder à nouveau.
— Oui, mon cœur ?
C'en était trop. Rosalia perdit son combat intérieur. Elle laissa tomber son stylo sur le bureau, passa une main dans ses cheveux pour tenter de reprendre contenance, mais finit par rire légèrement, un rire à moitié nerveux, à moitié résigné.
— Tu es insupportable, Agatha.
Un sourire triomphant éclaira le visage d'Agatha.
— Insupportable... mais irrésistible, non ?
Rosalia ne répondit pas, mais son regard, ses joues légèrement rosies, et le petit sourire qui dansait sur ses lèvres trahissaient ses pensées. Elle posa sa main sur celle d'Agatha qui était encore sous son menton, la serrant légèrement, comme pour trouver un moment de calme dans le tumulte qu'elle ressentait.
Agatha, voyant que Rosalia ne reculait pas, fit un geste lent et doux. Elle se pencha légèrement et déposa un baiser sur ses lèvres, tendre mais empreint d'une certaine audace, comme si elle testait encore les limites. Rosalia répondit presque instinctivement, ses doigts serrant un peu plus fort la main d'Agatha.
Elles se séparèrent après un instant, leurs regards se croisant, à la fois surpris et émus. Rosalia soupira doucement, un sourire amusé sur les lèvres.
— Je ne suis pas sûre que tout ça soit très... pédagogique, murmura-t-elle, l'air faussement sévère.
Agatha eut un sourire malicieux, son visage toujours si proche de celui de Rosalia.
— Dis-toi que nous sommes en réunion pédagogique privée. Ça compte, non ?
Rosalia rit doucement, incapable de cacher son amusement face à la réponse d'Agatha. Elle posa sa main sur la joue d'Agatha, caressant doucement sa peau du bout des doigts.
— Tu es incorrigible, tu sais ça ?
Agatha ferma brièvement les yeux sous la caresse, son sourire s'adoucissant.
— Et toi, tu es beaucoup trop douce avec moi. C'est toi qui vas finir par me rendre incorrigible.
Rosalia secoua doucement la tête, amusée, et la tira légèrement vers elle pour un autre baiser, cette fois plus appuyé, plus assuré. Leurs respirations se mêlaient, et tout semblait s'arrêter autour d'elles.
Après quelques instants, elles se séparèrent à nouveau, et Agatha murmura, ses yeux brillant d'un mélange de désir et de tendresse :
— Tu n'imagines pas à quel point tu m'as manqué, Rosalia.
Rosalia baissa les yeux un instant, touchée par les mots, avant de répondre, sa voix douce mais ferme :
— Et toi, tu n'imagines pas à quel point tu m'as énervée... mais je t'aime quand même, Agatha.
Agatha rit doucement, un rire sincère et chaleureux. Elle attrapa la main de Rosalia et l'embrassa délicatement sur le dos, comme un geste de remerciement silencieux. Puis, elle chuchota avec un sourire joueur :
— Alors, ça veut dire qu'on peut planifier d'autres réunions pédagogiques privées, non ?
Rosalia roula des yeux, un sourire amusé sur les lèvres, avant de répondre :
— Tant que tu te comportes... à peu près bien.
Leur complicité emplissait la pièce d'une chaleur douce, un moment d'intimité volé entre deux âmes qui se retrouvaient enfin, malgré leurs différences et leur histoire mouvementée.
Agatha glissa doucement ses mains sur les bras de Rosalia, les caressant avec une tendresse qui contrastait avec l'intensité dans son regard. Lentement, elle se pencha à nouveau, ses lèvres effleurant celles de Rosalia dans un baiser qui se transforma en une étreinte plus passionnée. Les mains de Rosalia se posèrent instinctivement sur la taille d'Agatha, la tirant légèrement contre elle.
Agatha s'éloigna légèrement, juste assez pour murmurer contre sa peau :
— Tu sais que tu me rends complètement folle, n'est-ce pas ?
Rosalia ne répondit pas immédiatement, mais son sourire en disait long. Ses doigts traçaient doucement des cercles sur les hanches d'Agatha, tandis que cette dernière déposait une série de baisers le long de sa mâchoire, descendant lentement vers son cou. Rosalia pencha légèrement la tête, offrant davantage d'espace, ses yeux se fermant sous la douceur de ces attentions.
— Tu es incorrigible, Agatha... vraiment incorrigible, murmura-t-elle, sa voix légèrement tremblante.
Agatha sourit contre sa peau, son souffle chaud provoquant un frisson chez Rosalia.
— Et toi, tu es bien trop indulgente. Tu ne devrais pas me laisser faire...
— Peut-être que je n'ai pas envie d'arrêter, répondit Rosalia, son regard brillant d'une lueur malicieuse.
Agatha releva la tête, leurs regards se croisant à nouveau, avant de poser ses mains sur les cuisses de Rosalia, les caressant doucement, presque comme un test. Rosalia frissonna légèrement mais ne bougea pas, ses mains remontant le long du dos d'Agatha pour finalement se poser sur ses épaules.
— Tu joues avec le feu, Agatha, murmura Rosalia, ses lèvres s'étirant en un sourire en coin.
— Peut-être... mais j'adore ça, répondit Agatha, sa voix basse et pleine de promesses.
Rosalia secoua doucement la tête, amusée, avant de se pencher pour l'embrasser à nouveau, ses doigts s'enroulant dans les cheveux d'Agatha. L'intimité entre elles devenait de plus en plus palpable, chaque geste et chaque caresse renforçant le lien qui les unissait.
Les minutes semblaient s'étirer alors qu'elles restaient ainsi, entre baisers et caresses, oubliant tout ce qui les entourait. Le dossier sur la table était complètement oublié, tout comme le monde extérieur. C'était leur moment, rien qu'à elles, empli de tendresse et d'une passion douce mais irrépressible.
Agatha, toujours assise sur le bureau, rapprocha Rosalia encore davantage, glissant ses jambes autour de ses hanches pour l'enlacer. Leurs respirations se mêlaient, et l'atmosphère dans la pièce semblait s'être épaissie, chargée d'une énergie électrique et intime.
Rosalia posa une main sur la hanche d'Agatha, l'autre remontant doucement le long de son dos. Elle la regarda avec une douceur mêlée d'intensité, ses doigts s'attardant sur la courbe de sa taille.
— Agatha, murmura Rosalia, presque comme une prière.
Agatha pencha légèrement la tête, ses yeux ne quittant pas ceux de Rosalia. Elle semblait vouloir imprimer chaque détail dans sa mémoire, comme si ce moment avait une importance particulière.
Leurs corps se rapprochaient instinctivement, leurs mouvements devenant plus lents, presque comme une danse. Les mains d'Agatha dérivaient doucement, effleurant les bras, le dos, et descendant sur les hanches de Rosalia, tandis que celle-ci traçait des cercles paresseux sur la peau d'Agatha, à peine visible sous son chemisier entrouvert.
— Tu es une distraction dangereuse, souffla Rosalia, un léger rire dans la voix.
Agatha sourit, son regard pétillant de malice.
— Et toi, tu es beaucoup trop irrésistible pour ton propre bien.
Rosalia plongea son regard dans celui d'Agatha, décelant à la fois de l'espoir et une pointe de vulnérabilité. Elle ne répondit pas tout de suite, mais la manière dont elle resserra son étreinte autour d'Agatha en disait long.
La cloche du lycée retentit soudainement au loin, les ramenant brutalement à la réalité. Rosalia laissa échapper un soupir amusé, tout en se redressant légèrement.
— On dirait que l'école veut nous rappeler que ce bureau n'est pas tout à fait privé...
Agatha rit doucement, relâchant sa prise mais laissant ses mains effleurer celles de Rosalia une dernière fois.
— Ce bureau est à toi... et, techniquement, tu es à moi.
Agatha se redressa avec un sourire en coin, arrangeant légèrement son chemisier avant de se pencher une dernière fois vers Rosalia, leurs visages si proches que leurs souffles se mêlaient.
— Je comprends bien, dit Agatha doucement, son ton chargé d'une promesse à peine voilée. On finira ça ce soir, alors.
Rosalia, un sourire malicieux sur les lèvres, la regarda droit dans les yeux, ses doigts jouant distraitement avec un stylo posé sur le bureau.
— Bien évidemment, répondit-elle avec une fausse innocence, son regard laissant entendre tout autre chose.
Agatha ne put s'empêcher de rire légèrement, appréciant cette réponse et la tension légère qu'elle laissait planer. Elle se recula lentement, ajustant sa veste d'un geste gracieux.
— Alors, je te laisse travailler, professeur, dit-elle en insistant légèrement sur le titre, comme une taquinerie supplémentaire.
Rosalia secoua la tête, amusée, et détourna les yeux pour revenir à son dossier, tentant de retrouver sa concentration. Mais elle ne pouvait ignorer la chaleur laissée par la présence d'Agatha, ni l'anticipation qui grandissait en elle.
Agatha s'éloigna lentement, marchant vers la porte. Avant de sortir, elle se retourna, un sourire énigmatique sur les lèvres.
— À ce soir, murmura-t-elle, avant de disparaître dans le couloir.
Rosalia, un sourire discret sur le visage, posa le stylo et s'appuya légèrement sur le bureau, laissant échapper un soupir. Elle jeta un regard vers la porte, secouant la tête.
༺♡༻
Dans l'obscurité de sa chambre, Billy tenait fermement un ancien grimoire, les pages usées par le temps et l'usage. Il avait essayé tout ce qu'il pouvait pour sauver Westview, pour restaurer un semblant de normalité après les bouleversements magiques causés par Agatha et Wanda. Mais rien ne semblait fonctionner.
Désespéré, il se concentra sur une dernière incantation, une tentative d'inverser la magie qui régnait sur la ville, espérant que cela rétablirait l'équilibre. Il murmura les mots avec une conviction fragile, les gestes fluides mais tremblants, les yeux fixés sur les symboles anciens.
À peine les derniers mots quittèrent ses lèvres, un éclair de lumière bleue jaillit du livre. Un frisson parcourut l'air autour de lui, et avant qu'il n'ait pu réagir, un étrange nuage bleu foncé se forma dans l'atmosphère. La magie qui avait échappé à son contrôle se répandit rapidement à travers la ville, un tourbillon d'énergie déchaînée qui semblait se nourrir de tout sur son passage.
Billy sentit une pression intense dans l'air, comme si la ville elle-même réagissait à l'énergie qu'il venait de libérer. Il leva les yeux, horrifié, en voyant la brume bleue s'étendre, englobant chaque ruelle, chaque maison, et chaque coin de Westview. C'était une force qui échappait à tout contrôle, un pouvoir qu'il n'avait pas compris.
Les habitants de Westview commencèrent à sortir de chez eux, paniqués, se tenant la tête comme si la brume affectait leurs esprits. Certains avaient l'air confus, d'autres carrément désorientés, comme s'ils luttaient contre une réalité qui n'était plus la leur. La ville entière semblait vibrer sous cette nouvelle magie.
Billy, effrayé par ce qu'il venait de provoquer, se précipita dehors, mais il ne pouvait rien faire d'autre que regarder la ville changer sous ses yeux. Les bâtiments semblaient flous, distordus, les couleurs se mélangeant dans une fusion étrange et hypnotique. Ce n'était pas ce qu'il avait prévu. Il n'avait pas voulu causer une telle dévastation.
Le ciel au-dessus de Westview devint plus sombre, le vent se leva, emportant avec lui des murmures que Billy ne pouvait comprendre. Il avait tenté d'inverser la magie, mais ce qu'il avait libéré était quelque chose d'encore plus puissant, plus mystérieux, et peut-être plus dangereux que tout ce qu'il avait imaginé.
Et alors que l'étrange nuage bleu continuait de se répandre, une voix familière dans son esprit chuchota : "Ce que tu as libéré, Billy, n'est pas un sort, mais un portail."
༺♡༻
Le lendemain matin, les rayons doux du soleil perçaient à travers les rideaux, baignant la chambre d'une lumière dorée. Agatha se réveilla lentement, un sourire se dessinant sur ses lèvres en voyant Rosalia, déjà debout, occupée à préparer sa valise.
Toujours enveloppée dans les draps, Agatha la regarda un moment, admirant la concentration de Rosalia. Finalement, elle brisa le silence :
— "Tu devrais prendre cette robe pour l'Italie."
Rosalia se tourna vers elle, un sourire amusé aux lèvres.
— "Une robe pour aller camper ? Très pratique, Agatha."
Agatha roula des yeux, feignant l'exaspération, et se redressa pour s'asseoir sur le lit.
— "Je viens avec toi."
Rosalia s'arrêta, un sourcil levé.
— "Pardon ? Tu vas venir sur un voyage scolaire ? Avec des ados ?"
Agatha hocha la tête, un sourire malicieux illuminant son visage.
— "Eh bien, il faut bien quelqu'un pour superviser... les professeurs."
Rosalia soupira, mi-exaspérée, mi-divertie.
— "Agatha, ce n'est pas une de tes soirées mondaines. C'est un voyage éducatif."
Agatha quitta le lit et s'approcha d'elle, un sourire charmeur sur les lèvres. Elle glissa ses bras autour de Rosalia.
— "Je sais. Mais, soyons honnêtes, qui pourra résister à moi quand je serai en Italie ?"
Rosalia éclata de rire et la poussa gentiment.
— "Très bien, mais si tu viens, tu t'intègres. Pas de caprices, et tu suis les règles."
Agatha leva la main, feignant un serment solennel.
— "Promis. Et, pour te prouver ma bonne foi, je peux même porter un sac à dos."
Rosalia ne put s'empêcher de sourire à cette image absurde.
— "Très bien, mais tu te débrouilles avec les ados. Je ne veux pas être responsable de toi."
Agatha répondit en déposant un baiser rapide sur ses lèvres.
— "Ne t'inquiète pas, je suis toujours parfaite en voyage. Prépare-toi à être éblouie, mon amour."
Le reste des préparatifs fut ponctué de rires et de taquineries. Rosalia, bien que sceptique, savait au fond d'elle-même que ce voyage promettait d'être inoubliable avec Agatha à ses côtés.
༺♡༻
Le voyage c'était très bien passé, le compte mêle rapidement installée La nuit était tombée sur le campement, enveloppant la forêt italienne d'une ambiance mystérieuse. Le feu de camp crépitait doucement, projetant des ombres vacillantes sur les visages des enseignants et des élèves. Jennifer, assise près de Rosalia, racontait une histoire d'horreur avec une aisance qui captivait l'auditoire.
— "Et c'est alors que l'ombre s'est glissée derrière lui, un souffle glacé sur sa nuque..." continua Jennifer, jouant avec sa voix pour accentuer le suspense. Les élèves frémirent, accrochés à chaque mot.
Agatha, quant à elle, restait silencieuse, assise à quelques places de Rosalia. Elle observait Jennifer avec un mélange de méfiance et d'agacement à peine voilé.
Lorsque Jennifer termina son histoire, elle se tourna vers Rosalia avec un sourire charmeur.
— "Alors, Rosalia, tu crois aux fantômes ? Ou peut-être que tu préfères que je te protège des esprits ce soir ?" demanda-t-elle, son ton glissant vers une douce provocation.
Rosalia, gênée par l'attention, haussa les épaules en souriant.
— "Je pense que je peux gérer les fantômes toute seule, merci."
Jennifer ne sembla pas découragée et s'approcha un peu plus.
— "Oh, je suis sûre que tu es très indépendante, mais parfois, un peu de compagnie peut rendre les nuits froides beaucoup plus agréables."
Agatha fronça les sourcils, se redressant légèrement. Elle posa sa tasse de café sur le sol avec une lenteur délibérée, attirant l'attention de Rosalia.
— "Je ne savais pas que le but de ce voyage était de flirter autour d'un feu de camp, Jennifer," dit-elle avec un sourire poli, mais son ton trahissait une pointe de sarcasme.
Jennifer, prise au dépourvu, haussa un sourcil mais garda son calme.
— "Je ne savais pas non plus que tu étais la gardienne de Rosalia, Agatha. Ai-je franchi une limite invisible ?"
Rosalia soupira, sentant la tension monter.
— "C'est juste un feu de camp, pas besoin de faire une scène."
Mais Agatha, incapable de se retenir, se rapprocha ostensiblement de Rosalia, ses doigts effleurant discrètement son épaule.
— "Je ne fais pas de scène, ma chère. Je m'assure simplement que certaines personnes restent à leur place."
Jennifer éclata de rire, feignant l'amusement.
— "Très bien, je vais me contenter de raconter une autre histoire, alors."
Rosalia, désireuse d'apaiser la situation, changea rapidement de sujet.
— "Et si on laissait les élèves raconter leurs histoires, maintenant ? Je suis sûre qu'ils en ont de bonnes."
Les élèves applaudirent l'idée, et Jennifer, bien que légèrement vexée, s'éloigna pour laisser la conversation se recentrer sur le feu de camp.
Agatha, satisfaite, murmura à Rosalia avec un sourire en coin.
— "Je crois que je viens de sauver ta soirée."
Rosalia secoua la tête, mi-agacée, mi-amusée.
— "Sauver, vraiment ? "
Agatha haussa les épaules, visiblement ravie de son petit triomphe.
Malia s'avança légèrement vers le feu, son visage illuminé par les flammes dansantes. Elle avait cette aura mystérieuse qui captait immédiatement l'attention de tous. Les élèves, curieux, et les professeurs, amusés, se tournèrent vers elle.
— "D'accord," commença-t-elle d'une voix grave et posée, "cette histoire, je l'ai entendue d'un vieux conteur... ou peut-être qu'elle m'est arrivée, qui sait ?"
Un silence intrigué s'installa alors qu'elle jetait un regard perçant autour du cercle.
— "Il y a des années, dans un petit village isolé, vivait une famille ordinaire. Tout allait bien, jusqu'à ce qu'un étranger arrive. Il était beau, charmant, mais il avait quelque chose d'effrayant dans le regard, quelque chose qu'on ne pouvait pas expliquer. La nuit où il est arrivé, des animaux ont commencé à disparaître. Puis, ce fut au tour des villageois."
Les flammes semblaient danser en rythme avec ses mots, ajoutant une atmosphère sinistre à son récit.
— "Un soir, une jeune fille a juré qu'elle avait vu l'étranger marcher dans les bois, mais qu'il ne marchait pas comme nous. Ses pas semblaient glisser sur le sol, et ses yeux brillaient d'un rouge vif dans l'obscurité. Elle a couru chez elle, mais..."
Malia s'arrêta un instant, laissant un silence pesant planer.
— "...elle n'est jamais arrivée."
Les élèves frissonnèrent, et même certains professeurs échangèrent des regards inquiets.
— "Ce que les villageois ne savaient pas, c'est que l'étranger n'était pas humain. Il était un prédateur, un être ancien, assoiffé de sang. La famille qui l'avait accueilli était sa prochaine cible. Mais la mère de cette famille, une femme intelligente et courageuse, avait compris ce qu'il était vraiment. Elle avait préparé une arme, quelque chose qu'elle espérait suffisant pour le vaincre."
Les mains de Malia se serrèrent sur ses genoux, comme si elle revivait chaque détail de l'histoire.
— "La nuit où il est venu pour eux, elle l'a attendu. Mais... même si elle a réussi à le blesser, il a juré qu'il reviendrait pour sa descendance. Et depuis ce jour, certains disent que son ombre rôde encore, cherchant ceux qui partagent le sang de cette femme."
Un frisson parcourut l'assemblée.
Jennifer, cherchant à détendre l'atmosphère, rit nerveusement.
— "Eh bien, tu as l'imagination fertile, Malia. C'est une sacrée histoire."
Mais Agatha, qui avait suivi chaque mot, ne semblait pas trouver cela si amusant. Son regard resta fixé sur Malia, perçant et calculateur.
Rosalia, bien qu'intriguée, tenta de calmer l'ambiance.
— "C'était... intense, Malia. Mais ça reste une histoire, pas vrai ?"
Malia ne répondit pas immédiatement, son regard fixé sur les flammes. Puis elle leva les yeux et esquissa un petit sourire.
— "Oui, juste une histoire..." murmura-t-elle, laissant planer un doute qui fit frissonner tout le monde
.
༺♡༻
Le calme de la forêt fut brusquement brisé par un rugissement guttural qui fit vibrer l'air autour du feu de camp. Les flammes vacillèrent sous l'intensité de ce son inhumain. Les élèves se figèrent, leurs murmures s'éteignant, remplacés par une peur palpable.
De l'ombre des arbres surgit une créature monstrueuse, gigantesque, avec des crocs scintillants sous la lumière du feu et des yeux rouges comme des braises. Son apparence était une fusion cauchemardesque d'os, de griffes et de chair sombre.
Malia se leva instinctivement, son cœur battant à tout rompre. Lilia l'attrapa par le bras, mais son regard ne quittait pas la créature.
Rosalia, en revanche, resta calme. Elle s'avança, ses pas déterminés, et leva une main. Une aura scintillante et dorée commença à l'entourer, et des runes anciennes dansèrent autour d'elle.
Billy, Lilia, Malia et Agatha observaient en silence, stupéfaits. Rosalia murmura quelques mots dans une langue ancienne, et une onde d'énergie éclatante jaillit de ses mains, frappant de plein fouet le monstre. Celui-ci poussa un cri strident, reculant légèrement, mais il ne semblait pas prêt à abandonner.
Agatha, cachée parmi les arbres, observait attentivement. Elle semblait hésiter entre intervenir ou laisser Rosalia gérer la situation seule.
Billy murmura, presque pour lui-même :
— "Je crois qu'on doit parler..."
Lilia se tourna vers lui, les yeux écarquillés.
— "Tu crois ?!" répondit-elle d'un ton sarcastique mais tremblant.
La créature bondit à nouveau vers Rosalia, mais cette fois, elle intensifia son pouvoir. Un bouclier brillant apparut devant elle, repoussant le monstre avec force. Les flammes du feu de camp s'intensifièrent autour de la scène, projetant des ombres dansantes sur les visages terrifiés des spectateurs.
Agatha, finalement, fit un pas en avant.
— "Elle est forte, mais elle ne peut pas tenir seule éternellement." murmura-t-elle, plus pour elle-même que pour les autres.
Malia fixa Agatha, ses yeux emplis de questions, mais avant qu'elle puisse parler, Rosalia lança un dernier sort, envoyant une rafale d'énergie pure qui enveloppa la créature. Dans un cri déchirant, elle se désintégra en poussière, laissant derrière elle un silence pesant.
Rosalia se tourna alors lentement, son visage pâle mais déterminé. Elle balaya du regard les visages choqués qui l'entouraient, et ses yeux se posèrent finalement sur Billy.
— "Tu voulais parler ?" dit-elle, essuyant doucement une goutte de sueur sur son front.
Billy déglutit, conscient que cette conversation allait changer bien des choses.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
@sayresse17
@theonefairygodmother
#agatha all along#agatha harkness x reader#lilia calderu x reader#agatha x reader#lilia calderu#agatha harkness
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Chaque été depuis une trentaine d'années la descente graduelle de la Civilisation direction Afrique suit son cours. C'est comme le long déboutonnage d'un homme qui se rend compte peu à peu être un singe et n'y voit aucun problème, et au point où il se trouve cet été, un bouton de plus ou de moins, se dit-il, quelle différence ?
Ainsi nous aurons droit comme chaque année: - aux clandos psychiatriques déambulant cul nu en hurlant sur le bitume fondu, ne s'arrêtant que pour chier accroupis sur les poubelles publiques (toujours en hurlant). - à la stupéfaction des pachas de l'époque ottomane écrasés de chaleur dans leurs chaises de plage sur les seuils, ne parvenant à manier leur éventail qu'à deux mains - aux filles de gauche voix enrouée dans la file d'attente des épiceries de nuit: "mais meuf what deux fuck?" pour faire américaine- canaille toujours trop bronzées, pieds sales, irrécupérables. - aux bandes de cailleras à la recherche de "chose-kek à gratter", blédards à teinture vendeurs de clopes, bonobos vomissant leurs lèvres marchant bras dépliés et mains sous le genou - aux lapeuses de glace au sucre de 40 berges cheveux courts, surpoids, cette fois tout à fait répugnantes, qui ont déjà renoncé à l'effort parce qu'elles ont leur gosse à la maison, leur chose entièrement en leur pouvoir qu'elles vont malaxer tout leur soûl toute leur vie restante pour se venger de la vie - les bourges-"bohèmes" de plus en plus effeminés chaque année, de plus en.plus ambigus, toujours plus cocufiés, cambriolés, mais c'est justice. - aux transports en commun transformés en zoos roulants, bouillants, puants. - aux "événementiels", aux "fêtes", toujours les mêmes : un étal navrant d'objets à vendre sous une tente en toile cirée, une estrade vide avec des haut-parleurs crachant "du son", des brochures sur une table entourée de panneaux, c'est tout.
On ne le répétera jamais assez. Le processus d'extermination des Blancs est une guerre qui oppose non pas 2 fronts mais 3.
1/Le front des "vrais" avec les fas, les tras, "les petites gens les braves gens", les Gilets Jaunes, certains droitards, certains bourgeois, certains non-Blancs amis, nous, moi. 2/ le front des clandos, des envahisseurs, des colonisateurs, des métisseurs, des racailles, des profiteurs bien visibles, bien abrutis, identifiables, irréfutables. 3/ le front le plus méchant et le moins visible: bourges-bohèmes, planqués, banques, médias, synas, loges, PàB, boumeurs, antifas, élus, fonctionnaires, agents de l'étranger, bref toute la racaille du haut et de l'intérieur.
Il n'y a rien de pire que le front numéro 3, pas même la racaille même si elle était multipliée par clandestins au carré le tout au maximum de leur crasse en fermentation sous cagnard dans maillot de foot synthétique. Le grand espoir de ces émeutes de sauvage c'est que ces primitifs une fois rassasiés de leurs bâtonnets de surimi au Capri-Sun chourrés dans les Lidl forcés à la Porsche-bélier s'en aillent demander un supplément d'argent de poche aux bourges-bohèmes du front numéro 2.
Par pitié les fas ne sortez pas du bois alors que la fête bat son plein! Nul ne doit risquer une minute de GAV pour un immeuble de bureau cramé. Je suis sorti du bois en novembre 2005, GAV pour extinction de feux de voiture à Echirolles. La belle affaire... c'est fini ce temps-là. Intervenir signifierait une interruption catastrophique de l'affrontement entre le front numéro 2 et le front numéro 3.
Une idiote m'a dit que de toute façon tout le monde est bobo. Je lui ai dis non pas, pas les fachos. Et quand les bourges-bohèmes auront été bien détroussés, bien rossés, bien fessés, bien outragés par la racaille peut-être alors voudront-ils devenir des hommes c'est à dire, hélas pour eux, des fachos. "Mais nous on nique les fachos"... Teu teu teu petites putes, tout beau, tout beau. L'arrêt des hostilités réveille une insolence refoulée ? Qui va niquer qui? Toujours des promesses. On vous renvoie trois mille autres cailleras sur la gueule ou vous avez suffisamment de quoi faire avec les dégâts des dix mille de la semaine dernière ?
Certains ont discerné quelle fabuleuse aubaine offrait le déchaînement de tous ces primitifs: - tout d'abord ces rats se sont donnés à voir au monde tels qu'ils sont vraiment et non tels que le monde voudrait qu'ils fussent. - ils ont cassé les barreaux de la prison des Blancs, ils ont saccagé, ridiculisé, piétiné presque chaque mirador du camp de concentration où nous à jeté le front numéro 3: magasins de vêtements franchisés, panneaux publicitaires, restaurants industriels, écoles publiques, mediathèques de gauchistes, etc. - ils ont menacé physiquement les insolents collabos ordinaires du front numéro 3: boumeurs, gauchistes, "activistes", hurleuses en surpoids, salopards anti-Blanc, insolentes, bouches inutiles de toutes sortes.
Toutefois que ces singes avachis dans leur hamac de sieste perpetuelle ne s'imaginent pas avoir accompli un quelconque travail lucratif. Ces quadrupèdes branlomanes sous shit ont encore beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent à se faire s'ils veulent bien mettre momentanément en sourdine leur lâcheté de pillards opportunistes de caravanes et tourner leurs groins renifleurs vers les opportunités fabuleuses des segments de marché encore intacts de la société de consommation. "La manière dont tu comptes en dit long sur ce que tu as brassé, la manière dont tu pompes en dit long sur ce que tu as sucé".
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En Suisse ils rendent les impôts car l’Etat est trop riche !! C’est pas chez nous que ça arriverait !!!
C’est sûr que ce n’est pas chez nous que cela arriverait qu’une région, un canton ou un département nous rende de l’argent car les dépenses ayant été maîtrisées les impôts prélevés auraient été trop importants. Chez nous depuis le Covid c’est une épidémie de poches vides, de frigos vides et de caisses vides ! Continue reading En Suisse ils rendent les impôts car l’Etat est trop riche !! C’est…
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Storia Di Musica #302 - The Mahavishnu Orchestra with John McLaughlin - The Inner Mounting Flame, 1971
Mahavishnu: nella religione induista è uno dei nomi di Vishnu, e vuol dire all'incirca Divina compassione, potere e giustizia. Fu il maestro spirituale Sri Chinmoy, una delle figure più carismatiche e importanti nella diffusione delle filosofie indù in Europa e negli Stati Uniti, a dare questo nome al nuovo progetto di John McLaughlin. Il chitarrista era agli inizi degli anni '70 la nuova stella della chitarra jazz, uno dei personaggi decisivi e più incisivi nella nascita della jazz fusion. Era già famoso per il suo virtuosismo quando nella seconda metà degli anni '60 arriva negli Stati Uniti, dopo aver svezzato un'intera generazione di chitarristi inglesi (primo fra tutti un certo Jimmy Page). E fu quasi per caso che appena prima delle registrazione di In A Silent Way (1969): McLaughlin era negli USA da poche settimane per registrare con il fido batterista del secondo quintetto di Miles Davis, Tony Williams (il disco era Emergency! in power trio Williams, McLaughlin e Larry Young al basso), che con il suo fiuto eccezionale gli chiede di partecipare alle registrazioni. Ed è con il magone in gola per poter suonare con un suo mito che John inizia una collaborazione che lo porterà ad essere punta di diamante del successivo, e inimitabile, Bitches Brew, che fu registrato a poche settimane da In A Silent Way ma che vide la luce solo l'anno successivo. Nel mitico disco, una parte del suo assolo di chitarra in Bitches Brew fu isolato dal lavoro paziente e certosino di Teo Macero alla cabina di regia musicale e divenne un omaggio del maestro al suo chitarrista: John McLaughlin, dove Davis non suona nemmeno. Partecipa anche a On The Corner, ma già durane le prime registrazioni del 1969 fu lo stesso Miles a spingerlo alla carriera solista. Inizia con un gioiello: Extrapolation del 1969 lo vede in quartetto con John Surman (sassofono), Brian Odgers (contrabbasso) e Tony Oxley (batteria) in un disco che si lega ancora al bop ma che contiene già i semi di quell'albero fruttuoso che di lì a pochi anni inizierà a incantare una generazione di musicisti jazz. Nel 1971 fonda la sua band, come mentore Chinmoy, che fu influente consigliere anche di Carlos Santana, che diventerà grande amico e sostenitore del chitarrista inglese. La Mahanishnu Orchestra fu fondata insieme a Jan Hammer alla tastiera, Jerry Goodman al violino, Rick Laird al basso elettrico e Billy Cobham alla batteria, quest'ultimo anch'egli collaboratore di Miles Davis e uno dei più influenti batteristi di tutti i tempi per stile tecnica e innovazioni musicali.
Tutto è pronto per l'esordio. Presso i Cbs Studios tra la 49 East e la 52.ma strada in Midtown, Manhattan, in una sola e leggendaria sessione di prove ad Agosto del 1971, dopo averlo suonato solo un paio di volte in precedenza, viene registrato The Inner Mounting Flame, che esce prodotto da McLaughlin nel Novembre dello stesso anno. Sin da subito si capisce che la sintonia telepatica tra i musicisti è a livelli superiori, e rimarrà proverbiale negli anni a venire, e la scaletta sciorina il meglio della band e delle singole abilità dei musicisti. Meeting Of The Spirits è l'invocazione magica a colpi di assoluti istrionici di McLaughlin alla chitarra e Billy Cobham alla batteria, a cui si aggiungono pian piano quelle degli altri musicisti, in un incedere ipnotico e vorticoso. Con Dawn è come un momento di relativa pausa, un prendere fiato per ripartire con Noonward Race, rappresentazione clamorosa della velocità e della tecnica di Cobham e la chitarra che omaggia il da poco scomparso Jimi Hendrix di McLaughlin, sostenuti dal basso pulsante di Laird, il piano jazzato di Hammer e il violino “scanzonato” di Goodman. A Lotus On Irish Streams vede protagonista il violino di Goodman, grande colonna del brano, che disegna delle scie musicali che davvero fanno pensare al fluire liquido dell'elemento, in uno dei brani più sognanti dell'intero repertorio. Vital Transformation riporta sul groove funk e veloce di Noonward Race ma l'atmosfera cambia per The Dance Of Maya che parte misteriosa, poi diventa blues e finisce nella solita e proverbiale corsa a rincorrersi tra chitarra e batteria, vero marchio di fabbrica della banda. You know, You know, dalla struttura delicata, diventerà fornitura pregiata per molti artisti, ricordo David Sylvian in I Surrender, i Massive Attack in One Love, addirittura il rapper Mos Def, Cecil Otter e altri ancora. Awakening conclude con le tastiere di Hammer un disco dove la velocità e la potenza del motore musicale impressiona ancora oggi per precisione, vitalità e per la padronanza assoluta delle variazioni ritmiche, strutturali e sentimentali dei brani.
Il disco fu un successo, e venderà negli anni un milione di copie, uno dei più grandi successi del jazz. Il successo riporterà in classifica persino i primi esperimenti da solista di McLaughlin. La band si riproporrà con Birds Of Fire del 1973 (dove c'è un omaggio al Maestro in Miles Beyond), altra meraviglia, e si ritrova in studio a Londra, ai Trident, per registrare quello che secondo loro dovrebbe essere l'album definito del connubio jazz e rock. Ma la tensione è alle stelle e la band si scioglie a metà lavoro (qualcosa verrà pubblicato in Between Nothingness & Eternity). La band si scioglie, ma McLaughling continua e stavolta costruisce una nuova grande Orchestra con fiati, trombe e il violino di Jean Luc Ponty, fedele collaboratore di Frank Zappa, ed altri grandi musicisti per ampliare le visioni della musica che ha in mente, con risultati altalenanti. La Mahavishnu Orchestra avrà persino una terza rinascita a metà anni '80, e continuerà ad essere il sogno musicale di un eterno ragazzo inglese che una volta disse: Mia madre dovette sequestrarmi la chitarra per mesi perché stavo tutto il giorno a suonarla e andavo avanti nonostante mi sanguinassero le dita.
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Ha fatto anche cose
L'assessor Pignazzoni C'era una volta, neanche troppo tempo fa, un paesino di nome Ferbello. Ferbello aveva pochi abitanti, poche case, strade polverose, una chiesa col campetto da calcio e un bar. La gente si lamentava perchè a Ferbello si faticava ad andare avanti, i soldi erano pochi e le prospettive per il futuro erano incerte. Così un giorno al signor Pignazzoni venne in mente di farsi eleggere in consiglio comunale per cambiare le cose come diceva lui. Alle elezioni nessuno se lo filò, così iniziò a dare la colpa a destra e a manca inventando scuse sul perchè non fosse stato eletto. Successe però che le difficoltà di Ferbello impedirono al consiglio comunale di poter mettere mano ai molteplici problemi del paese, così gli abitanti di Ferbello dovettero tornare ad elezioni. Pignazzoni divenne assessore. "C'E' DA ASFALTARE LA STRADA!" disse. A chi gli faceva notare che i soldi non c'erano, lui rispondeva che li avrebbe trovati lui, poi si annotava il nome e cognome di chi lo aveva contestato e qualche tempo dopo quello o quella si trovavano con le ruote bucate, o le finestre rotte o il magazzino dato alle fiamme. Per asfaltare la strada Pignazzoni portò degli africani con la promessa che sarebbero diventati cittadini di Ferbello e li avrebbe pagati, in realtà non videro un soldo e quando la strada fu finita gli amici di Pignazzoni li picchiarono. Ora Ferbello aveva una strada asfaltata, Pignazzoni pensò che poteva essere il momento giusto per un gemellaggio oltre confine, magari con un paesino con una squadra di calcio più forte della Ferbellese che faceva abbastanza pena. Pignazzoni curò personalmente il gemellaggio con una squadra d'oltralpe che era famosa per essere forte, ma ancora più famosa per la sua tifoseria violenta. Fece arrivare gli ultras per il gemellaggio i quali appena misero piede a Ferbello andarono a picchiare i tifosi della squadra ospite contro cui stava giocando la Ferbellese. Tutti gli abitanti di Ferbello che non erano d'accordo con questa situazione vennero intimiditi o fatti trasferire, alcuni addirittura uccisi. Pignazzoni guardava la strada asfaltata e lo stadio con gli ultras ed era contento, però sentiva che mancava qualcosa a Ferbello. "UNA STATUA!" così chiese ai Ferbellesi di dargli tutto il ferro possibile, non importava smontare sedie, auto, trattori, finestre e porte. La statua si doveva fare. Fu così che la fonderia fece un'enorme statua di Pignazzoni che lui stesso inaugurò davanti al campo da calcio, ai bordi della strada asfaltata con la placca "All'assessore Pignazzoni, eroe di Ferbello". Gli ultras e gli amici di Pignazzoni però non avevano capito la situazione e credendosi imbattibili e intoccabili avevnao iniziato a cagare il cazzo anche ad altre squadre e tifoserie che poco o nulla avevano a che fare con Ferbello. Così un bel giorno, guardando fuori dalla finestra, Pignazzoni vide una ventina di pulman di tifosi di altre squadre, incazzati che volevano fare il culo a lui, a quelli del gemellaggio e ai suoi amici. Pignazzoni che era un codardo, si travestì e provò a scappare. Purtroppo per lui che non solo i ferbellesi, ma una moltitudine di persone ormai lo riconosceva e detestava, e tutti gli fecero fare una brutta fine. Una volta uscito di scena, a Ferbello si decise di rimuovere la statua e di fonderla con tutta la targa. Passarono gli anni e la memoria di quello stronzo di Pignazzoni si fece sempre più vaga. Così oggi ogni tanto qualcuno che passa da Ferbello dice "Eh però, bella strada asfaltata. Chi l'ha fatta?" "Pignazzoni" si sentono rispondere. "Bravo no?" "Ma quale bravo e bravo, ma vaffanculo a Pignazzoni e aquesta strada di merda."
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Estomac
Vaste poche musculo-membraneuse entre l'oesophage en crânial et l'intestin grêle en caudal.
1 à 2 L de capacité en moyenne.
25 x 8 x 2 cm à vide.
portion verticale (fundus + corps), et horizontale (antre)
incisure cardiale (angle de His) : bord supérieur de l'orifice cardial de l'estomac
petite courbure gastrique : bord médial, concave
grande courbure gastrique : bord latéral, convexe
cardia : orifice supérieur œsophagien
fundus (grosse tubérosité) : pôle supérieur de l'estomac
corps (petite tubérosité) : partie centrale, principale de l'estomac, de forme cylindrique
antre (antre pylorique) : portion horizontale de l'estomac
pylore : orifice inférieur duodénal
Bibliographie
Frank H Netter, Atlas d'anatomie humaine, 6e édition. Paris : Saunders Elsevier, 2014, 624p.
Casoli V, De Seze M, Midy D. Anatomie Appareil Digestif. Éditions Bergeret, 2014, 305p.
#DE#estomac#anatomie#physiologie#dessin#medecine#medblr#watercolor#science#pathology#gastroenterology#DZ
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