#verrière métallique
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Modern Sunroom - Sun Room Example of a mid-sized minimalist dark wood floor and brown floor sunroom design with no fireplace
#metallerie#aménagement sur mesure paris#verrière sur mesure#verrière métallique#verriere colorée#verre
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Paris Contemporary Sunroom Inspiration for a mid-sized, contemporary sunroom renovation with a light wood floor and beige walls but no fireplace and a regular ceiling.
#porte verrière#verrière métallique#verrière sur mesure#grande verrière#style industriel#style contemporain
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Contemporary Sunroom in Paris
#Inspiration for a mid-sized contemporary light wood floor and beige floor sunroom remodel with no fireplace and a standard ceiling verrière#verrière sur mesure#sur mesure#luminaire design#loft#porte verrière#verrière métallique
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Library in Paris Inspiration for a large contemporary open concept light wood floor family room library remodel with white walls, no fireplace and no tv
#decoration interieure#chaise plastique#verrière de toit#poutre métallique#bibliothèque gris#home design
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Le Grand palais et sa grande Verrière
Ouvrage d’art verrier :
La coupole
Le Grand Palais Histoire :
Situe à Paris 8 au aborde des Champs-Élysées en face du Petit Palais.
Le Grand Palais a été construit pour l'Exposition universelle de 1900, à l'image du Trocadéro ou de la Tour Eiffel qui avaient été édifiés pour les expositions universelles de 1878 et de 1889. Il a été édifié à partir de 1897 en lieu et place du Palais de l'Industrie (qui datait de 1855). A la suite d’un concours d’idées, sa construction a été confiée à quatre architectes qui ne purent être départagés : Henri Deglane, Louis Louvet, Albert Thomas et Charles Girault.
Ce bâtiment étais sensé être éphémère. Mais l’engouement autour de cette bâtisse à permit de la conserver .Actuellement ce très vaste espace de 72.000 m2 accueille régulièrement des salons et des expositions prestigieuses dans trois espaces distincts :
la Nef,
les Galeries nationales
et le palais de la Découverte.
La grande Verrière
La grande voûte métallique réalisée en fer et en verre est composée de deux grands berceaux surbaissés se rejoignant sur une coupole elle-même très basse.
“Au cœur du Grand Palais dont elle est l’emblème, la Nef attire tous les regards grâce à sa verrière, la plus grande d’Europe. Merveille de grâce et de lég��reté, chef-d’œuvre de technique et de proportions, l’armature métallique se dissimule sous un habillage de pierre tandis que sa voûte de verre s’épanouit dans le ciel parisien”.
La nef en quelques chiffres
Dimensions : longueur 200 m, largeur 50 m et 100m au droit du paddock, hauteur 35 m sous les nefs Nord et Sud, 45 m de hauteur sous le dôme, 60 m au niveau de la boule du Campanile. 13 500 m2 superficie de la nef (rdc).
– Surface de vitrage remplacé : 13 500 m2 pour la verrière de la nef, 16 000 m2 au total avec les- verrières latérales.
Poids global du vitrage changé :
– Pour la nef, le paddock et les les verrières attenantes aux Quadrige : 280 tonnes de verre
clair, feuilleté 44,2 d’une épaisseur d’environ 9 mm.
– Pour les galeries latérales périphériques : 65 tonnes de double vitrage " planitherm "
Sources :
http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/conferen/donnedieu/dpgrandpalais05.html
http://www.grandpalais.fr/
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Île de Ré, le 10 Août
Cher monsieur Roland,
Veuillez excuser mon oncle, la paresse qui m’a fait vous écrire si peu pendant le mois de Juillet. Plus encore que les cartes postales, ce sont les lettres de quatre pages sur papier léger que je regrette de ne plus écrire et de ne plus recevoir. Le charme des années quatre-vingt-dix c’était aussi l’écriture arrondie des petites amoureuses, à l’encre bleue clair, et les cœurs sur les “i”. On ne reçoit par voie postale de nos jours plus que des factures, toutes en points elles. Ainsi jusqu’au point final?
Ces vacances insulaires attendues toute l'année sont peut-être les dernières. Une atmosphère de lassitude flotte dans l'air, une certaine pression antivitale semble exercer son poids sur les épaules des gens de la bourgeoisie, jeunes et vieux, que je ne vois plus fleureter comme il y a seulement un an, ni s'habiller décemment, ni se parfumer, ni plus rien faire de leurs privilèges. Quelque chose écrase cette "bourgeoisie blanquette de veau" dont je ne suis pas, que je côtoie à la marge, et pour laquelle je n'ai pas cette haine des refoulés à l'entrée puisque vous m'y avez si souvent accueilli. Ce n'est pas pour vous ménager mon oncle! Si j'ai toujours béni le ciel de vous avoir pour protecteur c'est aussi sur des critères esthétiques. Vous êtes l'un des derniers représentants de cette classe de Français qui a terminé ses études avant mai 68, et j'aime tout de ce que vous m'avez appris à votre insu. Vos imparfaits du subjonctif et vos jurons, le Gaffiot et le Littré aux reliures défoncées posés sur la table basse, et l'intégrale de Tintin et Milou sur l'étagère, au milieu des "Pléiades" et des "Belles Lettres". C'est vous qui m'avez donné à voir ce que la France a produit de plus beau, comme technique de vie pratique incarné dans les manières, les bâtiments et les jardins, ce côté Septième arrondissement, Quai d'Orsay, le feutré mais aussi le direct, les beaux appartements anciens si bien pensés, mais aussi la cuisine de brasserie au Saint-Estèphe, tout ce savoir accumulé que l'on retrouve en tout ce que vous touchez familièrement, concentré, vibrant, pertinent (vous avez certainement bon go��t). Le Littré donne au mot usage une "pratique acquise par l'expérience". Depuis l'enfance je n'ai aimé que l'usage, les sentences des vieux, préférant sans même le comprendre, le classique à la mode. Par exemple le poli de la rampe d'escalier de votre immeuble de Guynemer, éclairé seulement par la verrière quand on éteint la minuterie, me laisse tout à fait rêveur et ce depuis l’âge de cinq ans. Je pourrais passer des heures à scruter les avenues du plan Truchet & Hoyaux encadré dans votre corridor. Une jeune fille bien habillée m'interpelle davantage qu'une jeune fille bien balancée. Le musée Guimet, l'aile Denon, les hauts volumes du palais de Chaillot, les détails ornementaux de la salle Pleyel, le laconisme, la citation sibylline, la diète, me semblent depuis que j'ai 5 ans les fragments des trois cariatides que j'ai trouvé chez Céline à 25 ans: la Légende, le Mystère, la Grandeur.
Si De battre mon cœur s'est arrêté dont je vous rebattais les oreilles en 2005 m'avait tant secoué c'est qu'il s'agissait du seul film où l'on pouvait apercevoir ce que j'avais entrevu chez vous, enfant. Du point de vue esthétique, des choix parfaits, sous-exprimés, voilés. Quant au personnage principal il représente le type même du Français tel que je me le suis toujours figuré, un Athos que sa sensibilité déchire parce qu'il vit dans un monde de brutes épaisses et de destructeurs, un fils qui aime son père contre un monde parricide, un artiste capable de prendre des risques physiques. Ce film prend quelques libertés avec la doxa, et les étrangers qu'on y voit sont tous des figures hostiles: le restaurateur carthaginois, le professeur de musique levantin, l'affairiste russe au nom de ville (Minsk-off, je crois que vous comprenez), autant de choix conformes à la réalité de terrain, et qui ne résisteraient pas à un décryptage vigilant. Dans ce monde où tout est contre lui, le personnage principal garde en-dedans sa ferveur pour la musique classique et ne se vend pas au monde, il reste dans la vigilance et dans une certaine santé xénophobe. Ces traits de caractères qui outragent le commun sont à bien y regarder autant de hautes vertus et les gens d'école de commerce m'ont toujours semblé des "brutes en tam-tam" fin prêt pour la colonisation par l'Afrique, à laquelle ils n'ont jamais rien trouvé à redire du reste. Lorsqu'à dix-huit ans on est à la fois de gauche sociétale et d'extrême-droite du fric on est déjà un vieux con et un N* mental, et comme j’avais dès cet âge l'instinct de cette dichotomie je truandais chaque année l'entrée du gala de l'école de commerce de Grenoble pour voler le champagne par caisses de douze en me faisant passer pour un renfort BDE, remplir les flûtes d’un liquide jaune et rosser les étudiants. J'avais contre eux une vraie haine et éprouve aujourd'hui encore davantage d'empathie pour la racaille que pour l'étudiant en école de commerce.
Je cherchais le monde des grandes personnes que j'avais entrevu enfant et il n'existait plus. Derrière vous il y avait la stabilité classique, lorsque les bourgeois français traduisaient Sophocle et Virgile pour entrer rue Saint-Guillaume, puis soudain partaient au combat outre-mer dans les guerres des années 50, comme vous l'avez fait. Quelqu'un a dit que "l'adolescence, dans les classes aisées, est fasciste d'instinct". Ce quartier vieillot de la rive gauche sera toujours pour moi le lieu de la plus pure jeunesse, et idem de ses comptoirs du littoral de l'ouest d'où je vous écris.
Je pardonne tout à la bourgeoisie blanquette de veau mais pas qu'elle se déboutonne, pas qu'elle s'encanaille, pas qu'elle souffle dans le didgeridoo et attrape un herpès. J'ai besoin de voir des gens qui se tiennent bien, et qui en étant exigeant pour eux-mêmes rehaussent les standards du maintien pour les autres, à une époque qui ne fait que s'avachir, et jouir de s'avachir toujours davantage. J'ai écouté du rap entre 1997 et 2001 pendant sa phase classique, où le fond était certes stupide, mais la rime exigeante (Akhenaton, Luciano...). Il aura donc fallu 20 années pour que ce mouvement marginal se répande aux adolescents de la bourgeoisie au point qu'ils n'écoutent plus que cela, même en vacances, même sur enceintes portatives, et qu'ils en adoptent les codes oraux. Mais il faut les plaindre plus que les détester car en se configurant ainsi aux racailles, loin de les neutraliser mentalement ils s'en font des donneurs d'ordre. Comment tout cela finira-t-il? On sent venir la dictature prédite par Céline, Morand, par tous les grands anciens. "Le côté obscur brouille tout" répond Yoda à une question sur l'avenir.
Quarante jours sur les routes de France chaque été m'ont déniaisé de la campagne. Oh certes, elle est superbe, et beaucoup plus belle que la campagne italienne (trop sèche) et que l'anglaise (trop mouillée), beaucoup plus variée aussi. Mais je ne puis supporter le saccage forcené, le quadrillage par stries métalliques du moindre horizon ouvert. Toute la Picardie ravagée de métal, éoliennes à perte de vue sur centaines de kilomètres. Les bords de Loire câblés de treillage imbécile, les hauteurs de Saumur, Montsoreau, toutes massacrées. Vierzon, Bourges: des ruines et des hangars, et des "migrants" à profil en escalier. Partout le singe, ou le robot. Il y avait un pré? Il n'y en a plus. Ici d'énormes pancartes: "Terrains viabilisés, 4 EUROS LE MÈTRE CARRE", c'étaient des mercantis qui faisaient un rabais sur la vente de leur propre mère à la criée.
"Mais quand l'astre du jour a banni ces vains songes, et que sa vive lumière ramène l'ordre dans les pensées et les actions des hommes, qu'elle les réveille et les met en mouvement selon l'expression de Démocrite, alors, ranimés par l'éclat nouveau du jour, et pris d'un vif désir de se voir et de s'entretenir les uns les autres, de renouveler un commerce qui fait le plus doux assaisonnement de la vie, ils se lèvent promptement pour vaquer, chacun de son côté, à leurs occupations particulières".
Plutarque, emprunté dans votre bibliothèque (je vous le rends bientôt!).
Les jours où je vais bien tout ce fatras est déposé au sol et la lumière penchée du soleil matinal me frappe en pleine face quand je m'extrais de la tente. Un thé et direction la plage en chantant Les Cosaques. Le ciel est bleu uni, les rais de lumière dans l'eau sont tantôt réfléchis en paillettes, tantôt traversent jusqu'au fond, et ce spectacle suffit à nous sentir enfin en vacances quand nous renouons avec la civilisation des thermes et du baptême par immersion. Ces aspersions d'eau lustrale nous recréent, l'eau nous soutient et nous entraîne, et nous flottons sans effort dans un monde prénatal où les sens sont détrompés. L'eau paraissait froide, elle est fraîche et tonique. La mer semblait obscure, elle est claire et nettoyée. La baignade nous sauve de l'abrutissement calorifère et de l'empâtement calorique, et lorsqu'après le plongeon nous crevons à nouveau la surface c'est pour renaître, et nous haletons et sourions dans les flots vert clair.
Les jours où je vais mal je manque dix fois de me faire massacrer dans une marave, de me noyer pendant une baignade trop hardie au-delà des bouées, d'être arrêté pour actes de ********. Ainsi de tous les hommes pressés, compressés dans ce sale carcan où le quidam se contraint de bonne grâce. Sustine et abstine? Tout m'agresse ici bas, je ne fais aucun progrès en sagesse, et ne puis passer un jour sans répliquer aux coups reçus par des coups donnés. Une journée réussie sous mes latitudes comporte au moins une heure de Sénèque, deux entraînements, une empoignades, trois réconciliations, un attentat sur pseudo-monument public, et un seul repas. Tout ce que vous ajouterez ou retrancherez d'un tel agenda m'est de la pâtée pour chiens d'un esclave soumis au Temps, et moi je veux soit n'avoir pas le temps, soit avoir tout le temps. Vous connaissez le démon qui est en moi quand il est réveillé? Ce n'est qu'après un minimum d'horreurs traversées en périlleux équilibre que je commence à regarder un tout petit peu le paysage. Vous connaissez le démon qui est en moi quand il est réveillé? Et le doigt pointé contre la poitrine, le doigt accusateur qui chaque matin vous redemande les intérêts du capital reçu à la naissance? "Prouve encore aujourd'hui que tu es un homme", voilà ce que ça dit chaque matin. Etre un homme et le rester me semble très au-dessus de mes forces. Regardez les statistiques du chômage, des dépressions, des suicides, des asiles, des accidents du travail, des accrocs aux drogues, des sans-domicile fixe... Bien examinés, ces chiffres disent tous qu'être un homme est 3 à 10 fois plus difficile qu'être une femme. Alors être un Blanc... J'ai tous les inconvénients du Blanc et aucun avantage de l'immigré (passerai-je les 40 ans à votre avis mon oncle?). C'est une chose terrible que d'exiger pour soi un certain maintien, mais c'est une chose bien plus terrible que de se déboutonner. Regardez le relâchement chez les femmes après 25 ans! Leur voix tabagique, leur langage ordurier, leur vêture, leur peau craquelée, boucanée, ravagée de bronzage "merde de chicanos", leur vulgarité, leur saleté... L'état de leurs jambes, l'état de leurs pieds! Et leurs petits compagnons chiens-chiens qui font la vaisselle pour ne pas divorcer, misère de l'homme pris au hameçon du Génie de l'Espèce! "Tu jetteras beaucoup de semence dans ton champ, et tu en recueilleras peu"... Misère de ces hommes rampant sous shit et whisky pour supporter l'esclavage de ces tyrans domestiques. Misère de ces hommes "ruisseau dans l'égout" qui rivalisent de "trail" et de "prote", esclaves de "muscu" qui se harnachent de lourdes charges pour un mollusque appelée compagne qui elle, engraisse, et coule comme une fin de cierge. Misère de l'homme seul, mais misère aussi de l'homme en couple, et du jaloux, et du repu, de l'eunuque, du queutard, misère de la fonction masculine toute entière dans une société femelle de mensonge et de manipulation où celles-ci ont tous les droits et ceux-ci tous les devoirs. Ils croient agir? Ils sont agis. Je veux bien mon oncle, être un fasciste, si c'est par romantisme, et je veux bien être un romantique, si c'est par quête d'une vérité perdue, cachée, confisquée, à la façon Baudelaire. Je veux bien "prendre des risques physiques pour la cause" mais en tant que poète et seulement ainsi. Je veux bien publier ici et là en rime et prose, mais en tant que combattant et seulement ainsi. De huit années de collège et de lycée je n'ai retenu que Cyrano, et je n'ai pas de distance critique avec la double fonction de Cyrano. Tout cela doit se vivre et s'incarner dans nos vies plutôt que se discuter. Mais vous savez tout cela mieux que moi et l'avez assez prouvé...
Je passe vous voir sur le chemin du retour, le 22 et 23. Vous qui savez prendre les gens par les sentiments, m'invitez-vous au Petit Vendôme que l'on se tape la cloche?
Affectueusement,
LD
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De retour de l’expo #11 : Paris romantique, 1815-1848 - Paris, Petit Palais
26 juin 2019
Il s’agit avant tout d’une déambulation dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : le découpage des salles ne relève pas d’une logique chronologique, ni vraiment thématique, mais avant tout géographique, selon une progression centrifuge. La visite commence donc par le cœur de la ville, qui est aussi celui du pouvoir : le palais des Tuileries. Entre le Consulat et le Second Empire, il s’agit en effet de la résidence permanente du chef de l’Etat. Si la vie de cour y est plutôt atone, quelques figures sont populaires : c’est le cas du duc d’Orléans (le fils de Louis-Philippe) et de la duchesse de Berry, veuve du duc assassiné en 1820. Une fille de Louis-Philippe, Marie d’Orléans, se distingue par ses talents artistiques. Formée par Ary Scheffer, elle s’oriente vers la sculpture : elle est notamment l’auteure de statuettes figurant Jeanne d’Arc, dont on peut admirer trois exemples. Amatrice du Moyen Age, elle décore son appartement dans le goût néogothique, tandis que ceux de sa famille sont meublés dans un style beaucoup plus éclectique, où le goût pour le Grand Siècle côtoie le style rocaille ou néo-Boulle, sous l’influence du décorateur Eugène Lami. A noter aussi : une toile de Viollet-le-Duc représentant un somptueux dîner aux Tuileries.
Toute en longueur, la deuxième salle nous transporte au Palais Royal. Construit en 1628 pour Richelieu, il devient ensuite la résidence de la famille d’Orléans. Un premier réaménagement à la fin du XVIIIe siècle en fait un lieu vivant et prisé, avant une complète r��novation entreprise sous Louis-Philippe. La scénographie reproduit la disposition des boutiques de luxe le long de la galerie d’Orléans, édifiée alors à la place des galeries de bois. Une gravure et deux très belles maquettes d’époque restituent l’élégance de ce lieu lumineux et moderne, doté d’un verrière métallique et de l’éclairage au gaz. On y trouve les articles de luxe les plus divers, que le visiteur peut admirer dans les vitrines le long desquelles il déambule. On dispose ainsi d’un bel aperçu de la mode et du luxe de l’époque : sacs à main, très jolis éventails (dont l’un orné de girafes), incontournables châles et chapeaux, gilets, cols-cravates et cannes qui font la tenue du dandy. J’y ai appris que la canne de Balzac avait fait sensation par ses dimensions hors normes... Les arts décoratifs ne sont pas en reste : porcelaine de Paris de Jacob Petit, très colorée et un rien kitsch, couleurs claires et mates des coupes opalines, en vogue sous la Restauration (il s’agit de verres au plomb mêlés à des colorants), ou encore pendules et cartels dorés aux styles éclectiques (orientalisant, néogothique, renaissance ou rocaille). Le Palais Royal est également un haut lieu de la gastronomie parisienne, grâce aux restaurants Véry, Véfour et des Frères Provençaux, dont la carte pléthorique est exposée, comportant un grand nombre de potages, hors d’œuvres, entrées, plats de viande et de poisson, rôts, entremets, desserts, vins et liqueurs !
Cette scénographie « mimétique » se poursuit dans la troisième section, consacrée au Salon, qui se tient dans le Salon Carré du Louvre depuis 1725. Le charme de la salle (carrée, donc) tient notamment à l’accrochage des toiles, à touche-touche. Presque toutes été exposées à l’un des Salons organisés, chaque année, pendant cette période. L’ingrisme, notamment représenté par Amaury Duval, et les scènes de genre et d’intérieur côtoient toutes les nuances du romantisme : l’orientalisme, le style troubadour, le goût pour le sujet historique, notamment pour la Renaissance, François Ier et Henri IV (voir aussi Cromwell et Charles Ier (1831) de Paul Delaroche, qui connut un grand succès par ses formats monumentaux, ses sujets anecdotiques et spectaculaires – voire, ici, macabres...), le mysticisme dépouillé (et presque pré-symboliste) d’Ary Scheffer (Saint Augustin et Sainte Monique), inspiré par les peintres mystiques allemands, le sens du sublime (impressionnant Trait de dévouement du capitaine Desse du peintre de marine Théodore Gudin). Le Christ au jardin des Oliviers de Delacroix (1826) domine l’ensemble, où se distinguent aussi Mazeppa aux loups d’Horace Vernet (1826), le Roland furieux (1831) de Jehan Duseigneur, œuvre manifeste du romantisme en sculpture et, pour ma part, l’onirique Rayon de soleil (1848) de Célestin Nanteuil. Dans un sous-bois pailleté de lumière, trois nymphes se fondent dans la clarté surréelle d’un rai de soleil, suggérant ainsi le rêve du jeune écuyer endormi... Le Salon y apparaît ainsi comme un lieu ouvert aux innovations, à un nouveau langage plus libre, plus exalté, plus « sentimental » - mais finalement très divers.
L’exploration des goûts et de la production artistiques du temps se poursuit dans une salle consacrée au néogothique, et particulièrement à Notre-Dame de Paris. Une incroyable pendule reproduisant la façade de la cathédrale ouvre la salle, où figure l’édition originale du roman de Hugo (1831) à côté d’une toile de Charles de Steuben, La Esméralda (1839). On peut aussi y admirer un étonnant polyptyque d’Auguste Couder, Scènes tirées de Notre-Dame de Paris. Réalisé seulement deux ans après la parution du roman, il témoigne de son succès massif et immédiat. Ce serait un peu l’équivalent d’une adaptation cinématographique, de nos jours... Notre-Dame est aussi le personnage central des aquarelles de l’Anglais Thomas Shotter Boys, qui mêle l’intérêt pour les vieux monuments à l’observation du petit peuple de Paris. Autre lieu parisien : l’hôtel de Cluny, où Alexandre du Sommerand installe en 1832 sa collection d’objets d’art du XIIIe au XVIIe siècle, rachetée à sa mort par l’État qui y ouvre un musée en 1843. Un beau choix de papiers peints, de meubles (chaises du salon du comte et de la comtesse d’Osmond), d’horloges, de coffrets, de candélabres et de divers bibelots en bronze doré, met en lumière la vogue des motifs gothiques, entre les années 1820 et la moitié du siècle : ogives, rosaces, pinacles, clochetons et quadrilobes issus des cathédrales font irruption dans le quotidien. L’inspiration n’est pas seulement formelle : des thèmes sont également empruntés au Moyen Age. Charles VI est ainsi présent deux fois dans l’exposition : dans les bras de sa maîtresse Odette de Champdivers, chez le sculpteur Victor Huguenin (1839), et dans un bronze d’Antoine-Louis Barye, Charles VI effrayé dans la forêt du Mans, qui connaît un vif succès au Salon de 1833.
L’aspect politique est brièvement évoqué dans la cinquième section, organisée autour du plâtre du Génie de la Bastille, qui se trouve au sommet de la Colonne de Juillet, élevée pour le dixième anniversaire des Trois-Glorieuses. L’expo insiste d’ailleurs sur la volonté d’apaisement et de concorde nationale menée par Louis-Philippe qui, en outre, achève l’Arc de Triomphe et érige le tombeau de Napoléon aux Invalides. Il est vrai que cette politique du consensus et du juste milieu demeure assez peu problématisée. C’est oublier un peu vite, me semble-t-il, que les romantiques ne furent pas que des dandys amateurs de Moyen Age, de théâtre et de jolies femmes, mais aussi des acteurs engagés dans leur époque, et que le « romantisme » est aussi, au sens large, une option politique. Le parcours se clôturera d’ailleurs sur une très rapide évocation de la Révolution de 48, uniquement présentée sous l’angle de la caricature (le Gamin des Tuileries qui s’enfonce dans le trône du roi, de Daumier) et de la désillusion (les pages ironiques de L’Éducation sentimentale sur le sac des Tuileries).
Il est vrai que chaque section, ou presque, présente des « portraits-charges » : la période apparaît ainsi comme un premier âge d’or de la caricature. L’allure excentrique des « Jeunes-France » est moquée : cheveux longs, barbes, vêtements colorés (le gilet rouge porté par Théophile Gautier à la première d’Hernani). La célèbre tête de Louis-Philippe en forme de poire côtoie le dessin beaucoup plus amer de Daumier où, sortant de leur tombe, les martyrs de 1830 soupirent avec dépit : « C’était vraiment bien la peine de nous faire tuer ! », en voyant les espoirs déçus des Trois-Glorieuses. De manière plus légère, les artistes sont la cible des petits bustes satiriques de Jean-Pierre Dantan : le plus irrésistible est peut-être celui de Berlioz, à la chevelure démesurée...
Si l’aspect politique est donc abordé avec parcimonie, la question sociale est à peine effleurée dans la sixième section, consacrée au quartier latin. Un tableau de Claude-Marie Dubufe (pourtant élève de David) représente ainsi deux jeunes Savoyards ayant quitté leur région, le temps d’un hiver, afin de s’engager comme ramoneurs à Paris. Mais la jeunesse qui est à l’honneur ici est davantage estudiantine. Les jeunes étudiants, accompagnés des « grisettes », ces « jeunes filles qui ont un état, couturière, brodeuse, etc., et qui se laissent facilement courtiser par les jeunes gens » (Littré), déambulent dans le Quartier Latin et fréquentent les bals publics. Ils sont le sujet principal des chansons de Béranger, le « poète national », des Scènes de la vie de bohème d’Henri Murger, des romans très populaires de Paul de Kock, et, surtout, des dessins plaisants de Paul Gavarni. Quelques toiles et caricatures évoquent les bals et les carnavals (notamment une Scène de Carnaval, place de la Concorde (1834) d’Eugène Lami, folâtre et enjouée), ou commémorent la fièvre de la polka, danse osée qui suscita, en 1844, une véritable « polkamanie » chez les jeunes gens.
Selon cette logique centrifuge, les deux dernières salles évoquent des quartiers plus neufs et périphériques, mais qui jouent un rôle central dans la vie intellectuelle et artistique. Si la Chaussée d’Antin est le quartier de la haute banque et des « nouveaux riches », la Nouvelles-Athènes (dans le 9ème arrondissement, là où se trouvent les musées de la Vie romantique et Gustave Moreau), plus récente, attire un grand nombre d’artistes. Géricault, Scheffer (dont une toile montre l’atelier, qui est justement aujourd’hui le musée de la Vie Romantique), Vernet, Isabey ou Delaroche s’y installent. Mais cette section est davantage consacrée à la musique. Deux alcôves dotées d’enceintes diffusent notamment des œuvres de Liszt, l’un des personnages principaux de cette salle. Il est aussi bien le sujet de portraits-charges caricaturant la virtuosité du pianiste, qui faisait courir tout Paris, que du portrait en pied d’Heinrich Lehmann, qui en capte la ferveur ascétique et l’aura toute romantique... Au milieu trône un piano Pleyel semblable à celui sur lequel jouait Chopin. Ainsi se dessine la géographie d’un Paris d’émigrés, celui de Chopin et de Liszt, mais aussi de Mankiewicz, de Heine et de la princesse Belgiojoso, patriote italienne dont le salon était l’un des plus courus. La section se clôt sur l’évocation de deux figures féminines très en vue dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : Marie Duplessis (la Dame aux Camélias de Dumas fils, qui meurt en 1847) et Olympe Pélissier, maîtresse d’Eugène Sue et d’Horace Vernet (dont elle était aussi la modèle) et seconde épouse de Rossini.
De la Nouvelle-Athènes on passe aux Grands Boulevards, quartier des théâtres. On y apprend que cette longue artère présentait des visages divers. De la Madeleine aux alentours de la Chaussée d’Antin, le boulevard traversait un quartier cossu et tranquille. La Chaussée d’Antin marquait le début du «Boulevard» par excellence, cœur palpitant du Paris de la mode, formé des boulevards des Italiens et Montmartre. On y trouvait de riches magasins d’orfèvrerie ou de porcelaine, les cafés, restaurants et glaciers les plus réputés (Café de Paris, Maison Dorée, Café Riche, Café Anglais, Tortoni, Café Hardy) et les grands théâtres subventionnés (l’Opéra, le Théâtre-Italien, l’Opéra-Comique, le Théâtre-Français). La présence de huit théâtres populaires, spécialisés dans les mélodrames, vaut au boulevard du Temple le surnom de «boulevard du Crime», qui disparaîtra dans les travaux d’urbanisme haussmanniens du début des années 1860.
Caricatures, portraits et objets témoignent de cet incroyable engouement pour le théâtre. Les truculents tableaux de Louis-Léopold Boilly en témoignent d’une manière piquante : voir L'Entrée du théâtre de l'Ambigu-Comique à une représentation gratis (1819). plus particulièrement du succès (et, déjà, de la médiatisation) des grandes comédiennes (Mademoiselle Mars ou Marie Dorval) et des grands comédiens (Frédérick Lemaître ou Talma). Un tableau amusant figure L’acteur Bouffé représenté dans ses principaux rôles (1848) : Victor Darjou a démultiplié la silhouette de l’un des acteurs les plus populaires du temps, Hugues Bouffé, en le représentant dans une vingtaine de rôles. Le monde du spectacle recouvre aussi l’opéra (le docteur Véron dirige l’Opéra de Paris de 1831 à 1835, lançant la vogue de l’opéra à la française) et la danse. Là encore, quelque figures se détachent : les chanteuses Laure Cinti-Damoreau, Maria Malibran et Henriette Sontag, dont les portraits ornent une série de vases de la Manufacture Darte, ou Marie Taglioni, grande ballerine romantique, qui porte à la perfection la jeune technique des pointes.
L’exposition est donc surtout didactique : les œuvres exposées le sont davantage dans un but documentaire qu’esthétique. C’est parfois un écueil : ainsi, dans la salle consacrée à Notre-Dame, un petit portrait de Mérimée n’est là que pour illustrer le propos sur la naissance des Monuments Historiques. Mais soyons juste : la salle dédiée au Salon est exceptionnelle, les pièces d’arts décoratifs remarquables et j’ai découvert ces artistes qui se font, par le pinceau, le burin ou le crayon, chroniqueurs de la vie parisienne, dans de plaisantes scènes de genre ou de mordantes caricatures : Jean Pezous, Paul Gavarni, Jean-Pierre Dantan, Louis-Léopold Boilly... La remarquable, scénographie, ambitieuse et soignée (les couleurs et l’éclairage de chacune des salles évoquent le cours de la journée, du petit matin aux Tuileries à la soirée sur les Boulevards) fait agréablement passer un propos roboratif mais passionnant. Même s’il ne fait qu’effleurer les questions politiques et sociales (qui, une fois encore, relèvent des deux axes de l’exposition, l’histoire du romantisme et l’histoire urbaine), il dresse un portrait vivant et enthousiasmant, servi par un grand nombre d’œuvres variées et de qualité, du Paris de la première moitié du XIXe siècle.
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JUSTINE
Elle ne doit pas rater le prochain. Arriver en retard est hors de question. Pas ce matin. Elle sait qu’elle aurait dû prendre le train d’avant, celui de 6h42, mais elle a mis plus de temps que prévu à se maquiller. Même si dans ce domaine, le maquillage discret et naturel est privilégié, elle a voulu en faire un tout petit peu plus, s’assurer d’être agréable sous tous les angles. La première impression est toujours la plus importante. Elle le sait bien. L’expérience le lui a appris, plusieurs fois à ses dépens.
Elle a rendez-vous à 08h00 au numéro 10 de la Rue de Hollande, 1211 Genève. Banque Havilland SA. En plein quartier des banques. Heureusement, ce n’est pas très loin de la gare. Son train devrait arriver à 07h48 précises, le tram 15, direction Palettes, devrait ensuite partir de l’arrêt Cornavin à 07h51, arrivé à Stand à 07h56, et elle devrait être devant l’immeuble trois minutes plus tard, soit juste une minute avant l’heure de son rendez-vous. Ce sera serré, mais ça devrait le faire.
Justine court. Elle sort du bus et elle court. L’escalier qui mène au tunnel sous voie se trouve exactement en face des portes latérales du bus. Quelle chance ! Elle descend les marches aussi rapidement que ses hauts talons le lui permettent et s’engouffre dans le tunnel. Il y a du monde à cette heure-ci. Presque tous des pendulaires. Tant de visages, tant de regards absents, tant de directions différentes. En face, en contre-sens, à gauche, à droite. De dos, devant elle. Ils ne vont pas assez vite. Ils ont dû mieux prévoir leur emploi du temps qu’elle, pour être si calmes et confiants. Justine, elle, n’a pas l’habitude de prendre le train, surtout aussi tôt. Elle n’aurait jamais imaginé que cela impliquait autant d’étapes, depuis la sortie de son appartement jusqu’au quai. Voie 8, une des plus éloignées. Forcément… Il est 7h11. Le train doit déjà être là.
Elle zigzague dans la foule, évite les gens et finit par atteindre le plan incliné qui monte au quai. Il y a moins de monde ici. Elle accélère, monte la rampe en quelques secondes seulement et saute littéralement dans le train. Elle n’a pas le temps de reprendre sa respiration que, derrière elle, la porte du wagon se referme dans un bruit métallique, fort et désagréable. Puis, un autre bruit, tout aussi violent et inattendu la fait bondir. Elle se retourne. Un homme énervé frappe frénétiquement sur la vitre de la porte. Ses poings la martèlent, mais la porte ne bouge pas, évidemment, heureusement.
Le train commence à s’ébranler et démarre. Un « Putain ! » étouffé, mais venant clairement du cœur, résonne sous la verrière de la gare, jusque dans le wagon. L’homme resté sur le quai ne sait plus quoi faire et regarde sa montre, le panneau d’affichage, les gens qui arrivent déjà sur le quai pour le prochain train, sur la voie d’à côté. Tout ça dans un ordre totalement aléatoire et désordonné.
Encore saisie, Justine ne le quitte pas des yeux, fascinée. Puis l’homme disparaît. À quelques secondes près, ç’aurait été elle. Un de ses amis pendulaires lui avait dit que deux tiers des trains, au moins, avaient du retard le matin. Ça l’aurait sûrement arrangé.
Justine choisit de ne plus y penser. Elle se sent déjà assez stressée comme ça. Elle entre dans le wagon et une autre porte, coulissante cette fois-ci, se ferme à nouveau derrière elle dans un bruit brutal et encore métallique. Elle fait quelques mètres dans le couloir central et s’assoit à la première place qu’elle trouve, à côté d’un jeune rivé à son téléphone et en face d’une femme italienne, qui discute au téléphone. Justine souffle. Dans exactement trente-six minutes, elle sera à Genève.
Cet entretien d’embauche est inespéré. Ça fait plus de six mois qu’elle cherche du travail et apparemment, même si les marchés financiers se portent bien, les emplois ne courent pas les rues. Peut-être est-ce la faute des logiciels et algorithmes prévisionnels qui prennent bien plus vite qu’on ne le pensait la place de l’humain. C’est déconcertant, certes, mais elle trouve ça logique. Néanmoins, les clients ont besoin de parler à de vraies personnes pour se sentir écoutés, pas à des machines. Surtout les clients de ce genre de banques.
Malgré cela, Justine a déjà passé plusieurs entretiens avant celui-ci, tous soldés par un échec. La plupart du temps, elle arrivait à comprendre ces refus, car elle répondait à toutes les annonces, toutes, mêmes à celles auxquelles ses compétences ne correspondaient pas exactement. Ainsi les recruteurs la voyaient souvent plus par curiosité qu’autre chose. Il faut dire que son curriculum vitae a de quoi éveiller l’intérêt : deux Master, l’un en Finance pure, l’autre en Comptabilité, Contrôle et Finance, tous deux obtenus à la HEC de Lausanne, Championne du Monde étudiant 2018 de l’analyse financière, stages effectués dans la célèbre banque privée J.P. Morgan de New York et à la HSBC de Londres, en pleine City, agrémentés des pléthores de recommandations qui vont avec. On lui a même parfois dit qu’elle était sur-diplômée, sur-expérimentée. Conneries ! Certaines fois pourtant, le poste pour lequel elle postulait correspondait parfaitement à ses compétences, mais finissait quand même par lui passer sous le nez. Il y en a eu plusieurs comme ça. Peut-être sept ou huit. Au début, elle ne comprenait pas. Elle avait tout ce qu’il fallait, et même plus, pour obtenir ce genre de postes. Puis elle a revu ses camarades de promo et certains bruits de couloir l’ont aidée à mieux comprendre.
Justine est une femme et elle est noire. Ce genre de critères compte apparemment encore aujourd’hui dans le choix de nouveaux employés. C’est du moins ce qu’on lui a raconté, que ce pouvait être une explication plausible et que certains recruteurs et recruteuses étaient connus pour ça. Ils s’en défendent d’ailleurs en disant que ce n’est pas eux qui veulent cela, mais leurs clientèles qui avec tout l’argent qu’elles ramènent aux banques peuvent bien se permettre d’être un peu racistes et sexistes.
Justine y est habituée. Elle s’y était depuis longtemps. C’est pour ça qu’elle a n’a pas traîné pour faire ses preuves. Dès le début de ses études, elle finit presque toujours première de sa promotion, et réitéra l’exploit dans tout ce qu’elle entreprit ensuite. Elle a toujours eu l’impression de travailler plus que les autres, car elle n’était pas partie sur les mêmes bases. Les siennes étaient plus basses, plus en arrière. Et cela se vérifie encore aujourd’hui.
De toute façon, que ce soit vrai ou pas, Justine s’en fout. Elle finira bien par trouver quelque chose, une place où on l’aura prise pour ses compétences et non pas pour ce à quoi elle ressemble. Finalement, elle est plutôt contente de ne pas être recrutée par des gens aux a priori si prononcés, car ce serait trahir ses convictions. Et puis elle en a marre de penser à ça. Elle ne peut de toute façon rien y changer pour le moment, assise ici dans ce wagon.
Alors elle regarde par la fenêtre. À gauche le lac, à droite les collines. Elle vit dans un beau pays quand même, un pays carte-postale comme on dit souvent. Mais elle aimerait voyager. Quitter temporairement ce beau pays. Voyager, vraiment. Ne pas passer qu’un week-end dans une autre ville européenne. Découvrir d’autres contrées, de nouvelles cultures, partir plusieurs semaines. Peut-être le pourra-t-elle si elle obtient ce travail. Elle pourra enfin souffler financièrement et s’offrir des vacances, car contrairement à ce que beaucoup pensent, faire des études et chercher du travail n’en sont pas, n’en ont jamais été.
Justine s’imagine déjà en Italie, par exemple, un pays qui l’a toujours attirée, un pays tout proche et pourtant si différent du sien. Elle pourrait découvrir Milan, Florence, Venise, Rome, Naples et terminer en Sicile ou dans les Pouilles. Elle adorerait ça. Et ce ne serait qu’un début. Il y a tant d’endroits à découvrir sur Terre qu’elle en a parfois le vertige. Mais savoir qu’elle ne pourra pas tout voir ne lui fait pas peur, au contraire, cela veut dire qu’il y aura toujours un nouvel endroit, une nouvelle culture, de nouvelles personnes à rencontrer et à découvrir.
Le soleil se reflète sur les eaux du lac. Le regard de Justine s’y plonge, jusqu’aux rétines. En face d’elle, la femme italienne est toujours au téléphone, mais Justine ne l’entend plus. Elle vit dans ses pensées, qui se reflètent aussi sur le lac et c’est comme si elle y était entièrement immergée, que tout son corps ne faisait plus son poids et qu’il flottait là au milieu des poissons.
Soudain, plusieurs bâtiments moches et carrés obstruent la vue et la remplacent aussitôt par un spectacle d’abord de ville quelconque. Puis c’est le Jardin Botanique de Genève qui s’étend rapidement sous ses yeux, la faisant à nouveau, mais brièvement, rêver. Puis un mur de béton gris recouvert de graffitis, puis des rails en cascade surplombés par des immeubles de verre et de métal. Une voix annonce l’arrivée très prochaine du train en gare de Genève Cornavin et comme par magie, tous les passagers jusqu’ici scotchés à leur téléphone s’animent, rassemblent leurs affaires, s’habillent et se lèvent pour se figer presque aussitôt devant la porte et attendre.
Justine sort de ses pensées. Elle doit se dépêcher. Que le voyage est vite passé. Tout ce qu’elle espère maintenant, c’est d’attraper le tram à temps et de tomber sur quelqu’un qui la jugera pour ses capacités et non pour ce qu’elle est. Car malheureusement, la suite de sa vie en dépend.
Prochain portrait : NOAH
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Façade métallique vitrée, escalier et verrière métallique vitrée #serrurerie #surmesure #artisanatfrancais #btp (à Neuilly-sur-Seine, France) https://www.instagram.com/p/CaX3mevrkN7/?utm_medium=tumblr
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Verrière métallique intérieure pour séparation avec porte coulissante. Profil tube à aile avec parecloses. Laquage blanc mat. Verre feuilleté 33-2 #metal #acier #verriere #verrière #verrierecuisine #portecoulissante #separation #artisanat #abmetalic #agde https://www.instagram.com/p/CDL4Ednj9r7/?igshid=3dxttwwdpgqw
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La Reine des galeries Saint-Hubert
La galerie de la Reine forme, avec la galerie du Roi et la galerie des Princes, le complexe des galeries Saint Hubert. Étant une des premières galeries commerçantes d’Europe, elle accueille plus ou moins 6 millions de visiteurs par an.
Figurant sur la « liste indicative » de l’UNESCO dans la catégorie patrimoine culturel, la galerie de la Reine est l’œuvre de l’architecte Jean-Pierre Cluysenaar. Inaugurée en 1847, cette galerie fait partie des plus anciennes d’Europe avec la galerie Vittorio Emanuele II de Milan. Autrefois appelée le « Parapluie de Bruxelles », elle a été construite en seulement 18 mois et avait pour but d’épurer un quartier populaire avec une combinaison d’habitations, de commerces, d’espaces culturels et de lieux de promenade.
D’une largeur de 8,30 mètres et d’une hauteur de 18 mètres, la galerie de la Reine liée à la galerie du Roi forme un couloir de 213 mètres de long. Elle est formée de pierres bleues au sol et d’immeubles à 3 niveaux. Son style est inspiré de la renaissance italienne grâce aux arcades situées aux rez-de-chaussée, aux baies serliennes et aux sculptures allégoriques. Les façades colorées de rose et d’ocre sont dues à de fausses plaques de marbre. La verrière a été fabriquée sur base d’une structure métallique autoportante faite d’arcs en plein cintre d’un seul tenant sur lesquels ont été placés environ 16500 carreaux de verre. Les styles architecturaux varient en fonction des étages des immeubles. Au rez-de-chaussée, l’ordre toscan est présent ; quant au deuxième niveau, c’est plutôt un ordre ionique qui règne et enfin, le troisième niveau est habillé de pilastres sans chapiteaux sur lesquels reposent la corniche sur laquelle la verrière est déposée.
Aujourd’hui, la galerie de la Reine est toujours occupée par le théâtre du Vaudeville mais aussi par la célèbre maroquinerie Delvaux, la chocolaterie Neuhaus et une pharmacie très convoitée. Le théâtre du Vaudeville, classé monument historique, est encore en activité dans le domaine des clubs privés et accueille des événements artistiques et des festivités. C’est une galerie très commerçante qui est composée de 14 enseignes plus populaires les unes que les autres, à savoir : la chocolaterie Pierre Marcolini, la Manufacture Belge de dentelles, la bijouterie Christian Lanckvrind, le glacier Häagen-Dazs, etc.
Situation ? La galerie de la Reine se situe entre la rue du Marché aux Herbes et la rue des Bouchers.
Horaires ? Les commerces sont ouverts tous les jours de 10h00 à 20h00 et quant à la galerie, elle est constamment ouverte.
Accès ? Tram : 3-4-51-92-94 Bus : 29-38-48-63-65-66-71-86-95 Métro : Gare centrale – Bourse Train : Gare centrale Parking : rue de l’Ecuyer, Grand Place
Prix d’entrée ? L’accès à la galerie de la Reine est libre et gratuite pour tous.
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Le peintre Benjamin Chasselon a réinventé avec court Selon comble la maison en compagnie de bruit enfance contre pendant établir sa famille puis pendant exposer ses immenses toiles dans bizarre dédurillon dépouillé. Cela convenablement vendu en adjudication notariale interactive , ces renseignements peuvent être obtenus auprès auprès avec l'étude notariale : Structurés dans avérés teintes avec noir, en tenant gris, de vert, ces 200 m2 profitent de capacité impressionnants. L'architecte Sophie Lallias a réinventé total l'intérieur en compagnie de cette vieille maison vichyssoise pour se l'approprier. Après bizarre coup en même temps que cœur ensuite un télescopage à l’égard de chance d’un complice, l’architecte Jean-Paul Arrivetz a construit rare retraite entre Corse ensuite Sardaigne sur l’îcela en compagnie de la Maddalena. Découvrez bizarre maison ultra contemporaine ouverte sur la naturel, avec cette Méditerranée près un piscine. Coup d'boule sur un mutation qui vaut le débeffroi ! >> A voir également >> Un étage Parmi davantage pour rare maison plus fonctionnelle À l'intérieur en même temps que cette maison, un héritage d'ouvertures régulières permet la collecte d'être extérieur. L'cohérence est recouvert d'un bardage minéral en compagnie de teinte naturelle gris-bleu s'accordant en compagnie de tonalité environnement. Cette discrétion levant cela Terme d'Disposition du projet. Donc l'composition assurés abords a été naturellement repris Pendant engazonnement après plantations additionnelles. L'forme ultime du projet présente un faciès harmonieux, frugal après circonscrit. Seul manoir Pendant confection de maison, qui n'Selon a en aucun cas rêvé ? Pendant tout malheur, Philippe Xerri comme a songé puis l'a réalisé. Gentilhommière tunisien du XVIIIe où Hussein 1er profitait certains plaisirs à l’égard de cette vie, levant devenu cette résidence du créateur en même temps que Rock the Kasbah. Semblablement à éclat diagramme créative, Philippe Xerri a décidé d'offrir bizarre mélange vrais genre à éclat demeure. Ces garde-personne à l’égard de l'escalier puis en même temps que cette trémie sont eux-autant traités en nasse tissage Altitudeés sur avérés corde Selon kevlar, conférant souplesse ensuite légèreté visuelle à l'unité. Cela déPouah majeur du projet fut en même temps que réaliser l'assortiment avérés travaux Selon trio mois et demi, sans posséder pu exécuter en même temps que sondage destructif en ascension. Ces agencement du plancher dominant avaient nettement fléchie alors nécessitaient un reprise complète, elles ont été renforcées chez l'addition en tenant bordureés métalliques, ce échelon du plancher supérieur a été rattrapé par cette mise Selon placette d'un couvercle sèche. Un bâtiment information avec de grandes bouche par Pyz Logement (le diagramme en même temps que l'étage) - L'étage levant composé en compagnie de trois autres chambres puis d'bizarre vide sur la Mansarde à avaler. Pyz Urbanisme Seul maison d'architecte visée souvent une architeture précédemment guardiste ensuite vrais terneériaux alors équipements à cette clou en même temps que ça lequel peut se produire. Défi relevé dans l’architecte lequel a imaginé une maison ultra simple, économique alors aisé à être. Sur ces altitude en tenant Megève, cela villa contemporain profite d’rare vue imprenable sur les pinacle. Dans à elles refuge aisance alors douillet, unique paire d’Aixois rassemble amis ensuite famille, fans également eux-mêmes avec grands espaces immaculés. Une habitation en tenant 800 mètres carrés dans cela Sud chez MMXI (cela diagramme en tenant l'étage) - À l'étage, bizarre réaction parentale, les pièces à vivre, rare Chambre avec gym après à l'extérieur une piscine garnitureée en bizarre ample terrasse. MMXI / Alexandre Nossovski après Emmanuelle Gaudillat architectes Rare maison spacieuse sur un petit esplanade selon Stéphanie Durand, cette-beau d'Logement (l'extérieur) - Cela contexte à l’égard de cette maison orient typiquement bizarre exercice avec davantage Parmi plus ordinaire : ce potager d'unique maison vendue pareillement bizarre parcelle Pendant aussi lequel tel nonobstant chez construire bizarre maison.a
Cette créatrice à l’égard de vogue Emma François s'orient installée dans bizarre maison typique en même temps que Marseille prolongée d'unique véranda dont ces verrières laissent entrevoir cette Méditerranée. Forcément, une maison d'architecte coûte davantage cher à construire qui'seul maison avec constructeur ou d'travailleur. Nenni seulement Parmi compréhension en compagnie de coût d'achat moins intéressants cependant aussi parce lequel la période en compagnie de univers orient plus couteuse après pareillement étant donné que ceci configuration ultime fait la ration gracieux aux beaux pâleériaux et aux ample issue. Cela total moyen d'rare maison construite dans bizarre architecte existera subséquemment aux alentours de 1800€/m2. Structurés selon certains teintes en même temps que black, à l’égard de gris, à l’égard de vert, ces 200 m2 profitent avec volumes impressionnants. L'architecte Sophie Lallias a réinventé rempli l'intérieur en compagnie de cette vieille habitation vichyssoise près se l'approprier. Nous avons recouvert Chez oeuvre certaines règles basiques à l’égard de l'architecture bioclimatique. Semblablement les baies vitrées ouvertes au sud et à l'levant auprès profiter avérés apports solaires, pendant qu'au Septentrion alors à l'Occident, les façades sont pratiquement aveugles. Grâça à cet urbanisme imaginé dans les architectes italiens Marco Romanelli alors Marcello Pinzero, Federica puis Luca, Totaux deux étudiants, profitent pleinement d’un système en compagnie de rangements fonctionnel après Stylisme lequel à elles permet en même temps que arranger avec facilité.
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Située dans la banlieue nord avec Johannesburg, la maison de Maïra Koutsoudakis est pleine à l’égard de charme. Seul subtil mélange Parmi charme, modernité ensuite authenticité. Avantage 2 : Cette maison d'architecte levant sur-mesure, ut'levant à exprimer qui'elle-même orient parfaitement adaptée à votre projet. Vous souhaitez unique très éminent séaurore ou bien rare cave aménagée Pendant Chambre à l’égard de billard ? Unique mezzanine sur votre salon ? L'architecte levant là contre comme rétransiger. Supposé que l’extérieur a seulement été rénové, l’intérieur a été totalement décloisonné près qui chacun ardente Chez complet liberté. “Embellir cette existence quotidienne ensuite raconter vrais histoires.” En plein cœur d’Amsterdam, l’faim affichée à l’égard de Droog Stylisme a pris dépouille dans seul maison du XVIIe siècle où ce collectif a réuni échoppe, galerie, restaurant, jardin alors seul premier Salle d’hôtel “laboratoire”. Unique parti-pris assumé pour garder les mêmes volmes intégral Dans créant deux entités fortes. Dans ces deux Lorsqueâtiments, seul interstice large ensuite aisé accueille ces pièces en tenant existence agglomération. ->> A parcourir aussi >> Construire bizarre alourdissement : 6 règles à connaître Nous recueillons vos données à caractère domesticité pour de toi occasionner ces services auxquels toi souscrivez puis notamment : assurer cette création alors cette gestion à l’égard de votre spéculation, le mésaventure échéant transmettre votre demande de chatouille à l’cagibi immobilière en compagnie de votre assortiment, vous Fixer Parmi témoignage avec certains réduit immobilières en France puis à travers cela univers, vous-même allouer certains Communication immobilières susceptibles à l’égard de vous-même intéresser, toi adresser nos newsletters d’récente alors autres prestation souscrits. Sensibiliser cela formé manifeste à l'Logement. C'orient dans cette optique lequel chaque année, à partir de 2011, le Total Urbanisme Bretagne invitation le commun à voter et déassiéger rare Montant. Do’est dans seul ancêtre industrie réhabilitée qui Paola a choisi d’établir ses pupitres au originel étage ensuite ses Logement au dernier. Ut'orient seul intérieur tout Parmi douceur que l'on découvre avec Paola. à elles dernier projet, Yoo Pune, orient rare habitation paradisiaque au doœur en compagnie de l’Inde, où quelque piècelui levant ponctuée d'un création signée Starck. Visite guidée.a
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En photo : Avantage de cette Gastronomie, ces solives formant l'ossature de cette corbeille sont restées visibles. Elles supportent ce même plancher Parmi pin pesant lequel'au rez-en compagnie de-potager. Entiers les murs sont habillés d'rare bardage bosquet à plaque horizontales lasuré blafard. Vincent Gremillet Cette aventure architecturale est d'entrée Celle-là d'bizarre rêve : celui-là en compagnie de changer de existence. Quitter la France contre s'mettre dans un campagne exotique à l’égard de l’océan indien. Quelques hectares agricoles en friche, vestiges d'bizarre vétéran glèbe en tenant canes, où Celui a fallu créer avec vigilance en tenant nouveaux murs Pendant limites du pays, sûrs hauts murets de Galette chers aux Balinais, également obstacles infranchissables aux batraciens ou aux serpents venimeux. d'unique bardage Dans mélèze, qui tranche en compagnie de ces menuiseries Pendant fer laqué noir. Ces clôtures ont également été reprises en mélèze quant à de souligner ce terre en pointe et d'Dans offrir unique décryptage homogèpas du tout. Cette maison indienne appartenant à l'architecte allemand Niels Schönfelder orient entourée selon cette brut en compagnie de ce caillou avec cette grève après les différents résineux. Dans patte industrielles alors allochtone, cet intérieur semble être unique véritable refuge de paix. Maison avec jardin après terrasse Quimper (29) Luminosité, Capacité puis Endroit….Tel sont ces maîtres terme près décrire cette maison d’architecte aux lignes épurées alors irréprochables nonobstant unique surface en même temps que 180 m². Toutes ces pièces sont orientées au Mi-journée contre offrir seul vue dégagée à Totaux les membres en même temps que la maison. Utôté Arctique, la façade orient quasi monastique, revêtue d'métal noir, avec quelques meurtrières contre préserver l'intimité assurés occupants. Cette maison d'architecte à toiture mince est à l’exclusion de nul doute celle lequel conseil ceci plus avec modernité. Ceci faîtage écrasé peut etre inacessible, végétalisé ou bien encore utilisé Chez terrasse. Do’orient à quelques kilomètres avec Rotterdam aux Contrée-Bas lequel l’architecte Rob Smits a remis au goût du aube plaques avec Sinonéton alors Canalisation métalliques d’échafaudage au sein même d’un logis. Visite guidée avec les propriétaires des rectos. Construite Dans sûr Période, cette maison en même temps que vacances au design minimaliste se compose aujourd’hui en tenant cinq amas. Repensée en l’architecte belge Halewijn Lievens, cette maison dont cette ligne en tenant conduite réside dans unique ramette peint black fleuri, a été conçue identiquement seul jeu avec abord, en tenant piècela Pendant piècelui-ci. Rare maison en même temps que cité à trio niveaux selon Agnès & Agnès architecture (le plan du 1er étage) - La fruit en même temps que la maison avec ce diagramme du 1er étage. Agnès & Agnès architecture Maison contemporaine avec piscine puis potager Ménerbes (84) MENERBES, MAISON D’ARCHITECTE Cette maison contemporaine datant en même temps que 1985 levant ancrée dans la rocher, en bordure du Ville. Si toi avez nécessité d'collaboration, n'hésitez enjambée à consulter cette page également publier rare projet. Catégories de projets Ce livre Maisons Cultes paraît cet automne, l'conditions en même temps que se pencher sur ces plus adorable créations architecturales en tenant 1900 à aujourd'hui. L'ouvrage est le résultat avec cette apport entre Dominic Bradbury, journaliste puis innovant britannique, ensuite Richard Powers, photographe, Finis deux spécialisés dans l'Urbanisme après le design. Ensemble, ils livrent seul transcrit après bizarre série de phototype à subdiviser cela exhalaison.a
Cette créatrice en tenant féminin Emma François s'orient installée dans une maison typique à l’égard de Marseille prolongée d'bizarre véranda de quoi les verrières laissent entrevoir la Méditerranée. Cette aventure architecturale orient d'bienvenue Celle-là d'rare rêve : icelui avec bouleverser avec vie. Abandonner cette France auprès s'disposer dans rare campagne exotique en tenant l’océannée hindou. Quelques hectares agricoles Chez friche, dégât d'bizarre doyen champ de canes, où Celui-ci a fallu créer en compagnie de vigilance à l’égard de nouveaux murs Dans limites du esplanade, assurés hauts murets en tenant Caillou chers aux Balinais, semblablement adversité infranchissables aux batraciens ou aux serpents venimeux. réactioncommentaire Vermeil puis d'démarche contemporaine, l'habitation écologique d'Isabelle alors Olivier s'intègre toutefois parfaitement dans cette campagne normande. Explication avec leur architecte. Un agrandissement contemporaine parmi Florence Gaudin (l'intérieur) - La différence entre cela Sinonâtiment doyen et ceci nouveau timbre si la discrimination entre l'joint enfants après icelui assurés ascendant. C'est ici malgré profiter à l’égard de cette vue que prennent place les pièces principales en tenant cette maison ; séaube, Repas, Emploi subséquemment lequel suite parentale puis Mansarde à l’égard de gymnastique.
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Réalisée par l'architecte Mélanie Rossi, cette maison à l’égard de patrie met à l'honneur le végétal après les couleurs dans un subtil Plaisir à l’égard de transparence ensuite d'épure. Ces maisons d'architecte, lequel'elles se situent à Lyon même, dans la région lyonnaise, dans cela Rhônon ou bien dans l'Ain, se caractérisent chez sûrs espaces très ouverts, avec étendu surfaces vitrées, assurés terrasses protégées du astéroïde en compagnie de vrais pergolas ou bien sûrs brises étoile, vrais hublots ou bien certains "meurtrières" modernes. Comme est-elle-même chauffée ?Ce mesure levant presque entièrement décloisonné puis cette mobilité en tenant l'visage est favorisée parmi une ventilation mécanique contrôlée (VMC). Le poêcela à bois fortune ensuite bruit élevé canal d'évacuation assurés fumées lequel monte jusqu'au faîtage suffit à maintenir un température agréable. Le PLU (Diagramme Local Urbanisme) imposant deux placette en tenant stationnement, ceci d’aplomb de construire orient en compagnie de 65 m2 au plancher. Exercice délicat lequel d'offrir certains contenance malgré complet ouverts ces uns aux autres, ensuite au moins 120 m2. Cette maison construite seulement sur 7m50 en compagnie de vaste, parait malgré cela généreuse puis coulant. Stéphanie Durand, la-beau d'architecture
Admirablement exister avec seul bon design. Do’levant avec cette dicton lequel’Selon 1999, le designer Philippe Starck et cela promoteur immobilier John Hitchcox ont courté Yoo, à elles Appartement à l’égard de Stylisme. L'utilisation sûrs plaque en même temps que bosquet permet en même temps que créer rare Plaisir à l’égard de transparences à la noir tombée. ça Plaisir de lamelles se retrouve également dans ceci Stylisme intérieur. >> A compulser tant >> Quel valeur près un accroissement Parmi boqueteau ? Agnès & Agnès Logement Le grand potager qui l’entoure puis ces pièces lequel offrent en compagnie de adorables volumes font avec celui endroit unique véritable appui en même temps que paix au sentiment à l’égard de cette City. Projet en compagnie de création d'un masion de 220 m² à Cette borie Selon Aveyron. Rénovation chargé d'seul doyen dépouille en tenant ferme (bergerie) puis accroissement contemporaine en vue en tenant créer rare Repas / ch /après terrasse extérieur Etude Pendant cours ++d'nouvelle sur Unique commun alliant luxe alors discrétion à Gex chez MMXI (l'intérieur) - L'succursale avec 220 m2 comprend une Cellule en compagnie de billard, bizarre Cellule de détente, une cuisine, avérés vestiaires, bizarre sauna alors un bain russe en compagnie de joint giboulée et piscine, seul poêle à bosquet puis Routeée. MMXI / Alexandre Nossovski après Emmanuelle Gaudillat architectesa
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Verrière Cuisine : L’Art de Fer – réalisation sur mesure de portes d’intérieures métalliques – Bretagne https://ift.tt/2JgRHzV
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Un petit coin des Grands Hommes qui semble idéal pour des photos. Les Grands Hommes, des reflets, de la lumière, des miroirs, cet endroit va devenir un passage régulier lors de mes balades photographiques.
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