#universitélaval

[cvsphotography]

Autumn!!! @ulaval (: Shot with the #nikon d7500, the 35mm #nikkor, f1.8, 1/60s, iso900 . . . . __________________________ #nature #quebecoriginal #universitélaval #fall #leaf #quebec #canada #theweekoninstagram #canadianart#visitcanada #montreal #water #jaworskyj #52wiesnerwochen #nikondeutschland #canon #weroamgermany #visualart#exploretocreate #explorecanada #imagesofcanada #enjoycanada#tourcanada #quebec #parcjacquescartier#quebeccite #nikonCA #unimannheimabroad (à Université Laval) https://www.instagram.com/p/BonjlBNn6vw/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1iwuxziepjzj6

[diploma8888-blog]

#universitéduquébecÉcolenationaled'administrationpublique #universitéduquébecinstitutnationaldelarecherchescientifique #universitéduquébectéléuniversité #universitélaval #firstnationsuniversityofcanada #universityofregina #universityofsaskatchewan #concordiauniversitycollegeofalberta #king’suniversitycollege #northernalbertainstituteoftechnology #southernalbertainstituteoftechnology #bowvalleycollege #grandeprairieregionalcollege #keyanocollege（在 Swinburne University of Technology Sarawak） https://www.instagram.com/p/B2ixmmABC7o/?igshid=1nguo8rjfxs59

[djeffegosselin]

[vv2637859758]

#主教大学#BishopsUniversity#Bishops #蒙特利尔大学#UniversitédeMontréal#UniversitydeMontreal#Montreal #拉瓦尔大学#UniversitéLaval#LavalUniversity#Laval #舍布鲁克大学#UniversitédeSherbrooke#UniversityofSherbrooke#Sherbrooke #魁北克大学#UniversitéduQuébec#QuebecUniversity#UQAM#Quebec #道森学院#DawsonCollege#Dawson（在 Bishop Grosseteste University）

[mathieugreco]

L’homme contre la patate.

[cusointernational]

Another great #throwbackthursday photo from John Callahan - the first #CUSO group to go to #LatinAmerica (#Ecuador, #Peru and #Bolivia) during their orientation on the campus of the University of #Laval in August 1965.  And we're still working with #UniversitéLaval today! Thanks for sharing John! #tbt

[hiverscanadofrancais]

rapide passage à l'université Laval de Québec ; toujours un plaisir de soutenir la recherche et surtout de voyager en train. short day trip to quebec city and laval university is always a pleasure especially to support biology and ecology research in north. #universitélaval #quebeccity #quebec #photography #architecturelovers #architecture #explorecanada #lavaluniversity (at Université Laval - Pavillon Ferdinand-Vandry)

[architecturesquebec]

Got lucky: the light in the belfry came on just as I was snapping the shot. Québec Seminary #Architecture de #Québec #MaCapitale #Écoledarchitecture #UniversitéLaval (at Séminaire de Québec)

[ignquebec]

Michel Cartier, professeur retraité, auteur et consultant

[radchel09-blog]

Sages paroles d'une fille au Bac en histoire #histoire #bac #universitélaval (à Le Fou Aeliés)

[emiliegoulet]

Ok this is the last one ;) Ok c'est le dernier :) #lifedrawing #dessin #drawing #man #modelevivant #homme #Universitélaval

[jjpanza]

#Recordando viejos tiempos. Yo con dos bellezas en #Université #Laval en #Quebec, #Canadá. #Canada #University #UniversitéLaval #WYC #WYC2008 (en Université Laval)

[djeffegosselin]

[elailai94]

Bienvenue à Université Laval! #universitélaval #laval #québec #canada (at Université Laval)

[quikjay]

@wdwfoodie, @liveinframes, & I's morning at #MagicKingdom, shooting a video for #UniversitéLaval #NoFilter #CinderellasCastle #OhCanada! #DisneyInternationalPrograms #RecruitmentMarketing #iLoveMyJob

[martinecantin]

Il y a des insultes qu'on n'oublie pas.

Pour une raison ou une autre ce matin je me suis levée tôt. Trop tôt en fait pour un dimanche matin mais voilà je n’avais plus sommeil et j’ai décidé de me lever tout simplement. Et puis comme il ne faisait pas trop chaud dans la maison et que le soleil n’était toujours pas levé je me suis mise à faire un peu de ménage dans la pièce qui est destinée à me servir de bureau mais qui est tellement encombrée qu’elle n’a pas agi à ce titre depuis belle lurette.

L’opération nettoyage a été plutôt réussie puisque je vous écris actuellement attablée à mon pupitre. Ça faisait longtemps! C’est plutôt bien puisque le soleil fait quelques incursions timides entre les nuages et que la fenêtre du bureau est du côté est. J’ai donc de petits rayons de soleil qui me réchauffent l’épaule et le dos à l’occasion. Il faudrait bien maintenant que j’essaie de garder l’espace dégagé pour pouvoir continuer de m’en servir comme il se doit.

Bref, pendant le nettoyage en question, j’ai été appelée à faire du classement et en cours de route, j’ai découvert une enveloppe brune que j’avais rapportée de ma dernière visite chez mon père à Hearst et qui renferme d’anciens bulletins, relevés de notes et autre paperasse connexe. Or, dans cette enveloppe, j’ai découvert quelque chose dont je croyais m’être débarrassée. Mais permettez-moi de retourner en arrière.

À la fin de mon secondaire, j’ai dû choisir une profession Je rêvais d’être pharmacienne, médecin et avocate. J’ai mis de côté le premier choix puisqu’il y en avait déjà un dans la famille étendue et que je souhaitais faire preuve d’originalité. J’ai également mis de côté le deuxième choix par esprit de contradiction (ma mère avait toujours rêvé d’un médecin dans la famille et n’a pas arrêté de nous pousser vers cette carrière qui selon elle était le nec plus ultra!)… et aussi beaucoup en raison du coût lié aux longues études. J’ai finalement mis le troisième de côté parce que plusieurs me disaient c’est parfait pour toi, cette profession est faite pour les gens qui n’ont pas de cœur… et moi je voulais leur montrer que j’en ai un cœur malgré ce que l’on pense! 

Il restait dans mon cercle d’intérêt l’histoire et les langues. Un bac en histoire ne conduisant pas nécessairement à énormément de choix de carrière, j’ai opté pour la traduction. J’ai donc fait des demandes à trois universités offrant ce programme d’études, l’Université Laurentienne à Sudbury, l’Université Laval à Québec et l’Université d’Ottawa.

Vous le savez peut-être, je détiens maintenant un baccalauréat en traduction de l’Université d’Ottawa. Il faut dire que le programme de traduction de l’Université d’Ottawa est celui qui détient la meilleure réputation au pays, et ce, depuis toujours. L’Université de Moncton, qui offre également ce programme, jouit également d’une excellente renommée. Les étudiants d’Ottawa sont triés sur le volet, après deux jours complets de tests en tous genres, depuis la contraction de textes jusqu’aux connaissances générales en passant par un test de traduction, une rédaction française, une rédaction anglaise, et des questions de grammaire et d’orthographe. Tout ça pour dire que j’ai réussi haut la main toutes les conditions d’admission, et que j’ai obtenu mon bac en travaillant à temps partiel, en siégeant au conseil étudiant et en faisant du tutorat auprès d’étudiants de première année en difficulté. J’ai ensuite connu une très belle carrière en traduction, en rédaction, en révision, en communication, laquelle carrière se poursuit mais a quelque peu bifurqué au cours des dernières années.

Or, j’avais aussi fait une demande d’admission à l’Université Laval. Et ce matin, c’est une note de cette université que je viens de trouver. La première réponse que j’ai reçue de cette université était à peu près la suivante : « Comme vous avez fait vos études en Ontario et que VOUS ÊTES PAR LE FAIT MÊME D’INTELLIGENCE LINGUISTIQUE INFÉRIEURE, nous ne pouvons donner suite à votre demande. » Oui, oui, vous avez bien lu. C’était le point de vue de cette université québécoise.

Inutile de vous dire que je fulminais! J’étais furieuse! Le souvenir fait encore monter ma pression parce que voilà, c’est ce genre d’étroitesse d’esprit que j’abhorre. D’autant plus que cette université exigeait des lettres d’appui de trois professeurs et que celles que j’avais présentées étaient impeccables pour ce qui est du français. Bref, j’avais apporté cette note à la direction de mon école secondaire qui avait écrit une très longue lettre de contestation que je n’ai jamais vue mais que j’imagine assez épicée. Ce que je vous cite ci-haut est en fait de mémoire (mais la partie en majuscule est ancrée dans mon esprit à jamais!) parce que j’étais tellement en colère qu’après en avoir fait faire une copie pour l’école secondaire, je l’ai regardé brûler, comme tout le dossier, dans la fournaise à bois chez mon père. Dixit les universitaires de la ville de Québec à l’étroitesse d’esprit qui porte des œillères et se prennent pour d’autres.

Ce que j’ai trouvé ce matin et que j’ai conservé de toute évidence après que ma colère se soit estompée, c’est une note de ladite université lavalloise centrée sur son gros nombril qui me disait qu’elle révisait sa décision après avoir reçu d’autres renseignements (la lettre de la direction de l’école secondaire de Hearst j'imagine donc) et qu’on daignait bien m’accepter, et là je cite pour vrai : « nous avons décidé de vous donner votre chance mais je vous prierais toujours que ce programme est très exigeant en français libre, à vous de choisir votre deuxième choix (…) votre préparation en français étant insuffisante pour ce programme (…) vous pourriez aussi faire une année de français pour non-francophones avant de transférer en traduction. » Côté qualité de la construction française on repassera! Et me classer dans la catégorie des non-francophones, non mais quel culot! Et allons-y, ajoutons l’injure à l’insulte! 

Inutile de vous dire que cette université n’a jamais eu et n’aura jamais ni mon argent, ni mon respect, peu s’en faut! Je peux tout de même dire aujourd’hui que ma carrière est jusqu’à maintenant plutôt brillante, et puis le tutorat que j’ai fait à l’Université d’Ottawa, je l’ai fait auprès de deux étudiants de Laval, entre autres. Et vlan les bouchés, ignares et méprisants!

J’ose espérer que l’attitude a changé depuis et que les hauts placés de cet établissement sont plus ouverts sur le monde. C'est d'ailleurs une attitude qui n'est pas digne d'aucune université canadienne... ou québécoise s'ils insistent! Mais je dois avouer qu’il y a des insultes qu’on n’oublie pas!