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L'Université de Tokyo se classe 28e dans le classement mondial des universités publié par Times Higher Education.
L’Université de Tokyo a progressé d’une place pour se classer 28e dans le classement mondial des universités de 2025, publié mercredi par Times Higher Education (THE). Il s’agit du meilleur classement pour une université japonaise depuis 2015. Kyoto University est restée 55e, tandis que Tohoku University est passée de la 130e à la 120e place, et Osaka University a progressé de la 175e à la 162e…
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Des étudiants s'entraînent avec une mitrailleuse légère d'entraînement de 6,5 mm – Tokyo – Japon – 1er mai 1943
Chaque université disposait d'une unité de formation militaire à laquelle tous les hommes valides devaient participer. En octobre 1943, tous les étudiants universitaires furent enrôlés.
#WWII#militarisation du japon#japan militarization#entraînement#training#étudiants#students#tokyo#japon#japan#01/05/1943#05/1943#1943
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Juin 2023
Dimanche 4: Sleepers, C. Douillard, dans le cadre de l’exposition "Hyper sensible. Un regard sur la sculpture hyperréaliste", Musée d’Arts de Nantes, Nantes
Du 9 au 11: Présentation du projet “Niwaki” de N. Beausonge, dans le cadre du Paris Ass Book Fair, Palais de Tokyo, Paris
Mardi 13: Atelier “L’acteur et son rôlet en jeu”, M. Longtin, dans le cadre de la journée d’étude “Jouer aux XVe et XVIe siècles / Jouer les XVe et XVIe siècles”, Sorbonne Université, Paris
Mardi 13: Atelier “Le Pet: parcours rhétorique”, C. Di Meglio, dans le cadre de la journée d’étude “Jouer aux XVe et XVIe siècles / Jouer les XVe et XVIe siècles”, Sorbonne Université, Paris
Jeudi 22: Je Trouve Le Titre: Plus Fort Que Moi, G. Dustan / Stan Briche, dans le cadre du séminaire “Les corps de Guillaume Dustan”, Université Sorbonne Nouvelle, Paris
Vendredi 23: Présentation Spring-Summer 2024 Svencum, dans le cadre de la Fashion Week, Galerie Artismagna, Paris
Dimanche 25: Cabaret-Salon “ GOLD, WUT & WAHNSINN /// " L'OR, LA COLERE, LA FOLIE" ”, Das Kollektiv Mahu, Le Truc du Père Lachaise, Paris
Lundi 26: Masterclass P. Pi, Le Regard du Cygne, Paris
Vendredi 30: Shooting photo A. Puzio, Bois de Vincennes, Paris
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Bref commentaire sur le nouveau roman de Murakami Haruki
Le vendredi 14 avril, le nouveau livre de Haruki Murakami, intitulé La Ville et ses murs incertains, a été publié à Tokyo. Les fans invétérés de l'écrivain, surnommés les "harukistes", se sont rués à la librairie de Shinjuku, mis en vente dès minuit, pour se procurer le livre. Les universités de Tokyo ont suivi le pas et ont disposé sur les étagères des exemplaires de l’ouvrage dès le premier jour de sa sortie.
Une nouvelle du même nom a été publiée en 1980 dans une revue littéraire (celle-ci est ponctuée : « La Ville, et ses murs incertains »). Mais, cette nouvelle est considérée comme culte par les fans, car l’écrivain l’a considérée comme une œuvre ratée et ne l’a incluse dans aucun de ses livres. En outre, elle a également servi de base à La fin des temps, et ce nouveau roman a été présenté avant sa sortie comme une réécriture de cette histoire. Comme je l’ai déjà lu, je vais faire un bref commentaire sur ce livre.
La diminution des noms propres et des références (à des romans, des morceaux, etc)
On dit souvent qu’il y a trop de noms propres et trop de références dans les romans de Haruki Murakami. Nombreux sont ceux qui reconnaissent la présence d’un grand nombre de titres musicaux de jazz, de musique classique et d'autres genres dans ses œuvres. Cependant, aucun nom propre n’apparaît dans la première partie du dernier roman (il est composé de trois parties). Dans l’ensemble, il y a également beaucoup moins de noms propres que dans La fin des temps. Si certains trouveront que cela facilite la lecture, cela pourra aussi attrister certains harukistes qui aiment son style d’écriture consistant à noyer le lecture sous les références.
Il convient de souligner qu'un passage du roman de García Marquez est cité dans la troisième partie, mais Murakami n'apporte aucune perspective critique nouvelle sur ce passage et semble l’avoir été inclus simplement pour justifier sa propre littérature.
2. Remise en question de son machisme
Murakami a été accusé par Mieko Kawakami d’avoir une vision sexiste de la femme et de les représenter comme des objets sexuels et des nymphomanes dans un entretien en 2017. Dans ce dernier roman, peut-être en réponse à Kawakami, l'auteur a changé de perspective à l’égard des personnages féminins. L’homme en jupe apparaît dans ce roman. Le héros et la femme qui en tombe amoureuse mais n’aime avoir de relations sexuelles entretiennent une relation platonique, et le héros est souvent d’accord avec l’opinion de sa partenaire sur les rapports sexuels. Cependant, ce changement de perspective n’est peut-être dû qu’au fait que le héros d’âge moyen ne désire plus sexuellement les femmes.
En outre, bien que la Russie et la Covid-19 soient évoqués brièvement dans ce roman, il ne s’agit finalement que d’une histoire d’amour entre un homme et une femme. Murakami, qui ne sait écrire que des histoires d’amour sans politique et n’est pas au niveau de Kenzaburō Ōe.
3. Trop de nostalgie
Le roman suit le parcours d'un personnage d'environ 40 ans qui navigue dans un monde imaginaire qu'il a créé lorsqu'il était adolescent avec sa petite amie de l'époque. Tout au long de l'histoire, la nostalgie de cet amour de jeunesse est présente et le héros tente même de retrouver sa petite amie d'antan à travers la propriétaire d'un café. Les traducteurs seront confrontés à un défi intéressant lors de la traduction de ce roman, car le narrateur utilise les termes japonais « Boku » pour représenter son moi adolescent et « Watashi » pour son moi adulte, tous deux étant des pronoms utilisés pour la première personne.
Cependant, lorsqu'il aborde la situation actuelle, l'auteur se borne principalement à faire la description de son propre monde imaginaire et occulte les questions sociales. Un autre reproche que l'on peut lui faire est le manque de représentation de la vieillesse, un thème important abordé par de grands écrivains japonais tels que Tanizaki, Kawabata ou Ōe à la fin de leur carrière. Son absence peut être interprétée de deux manières : soit comme un choix littéraire délibéré de l'auteur, soit comme une lacune. Pourtant, il est crucial de tenir compte de la vieillesse à notre époque.
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Discover the QS Best Student Cities 2025: Top Destinations for International Students
As the world of education continues to evolve, finding the right university is just one part of the journey for students. The QS Best Student Cities 2025 ranking highlights not only the best universities but also the best cities for student life. This year, London has claimed the top spot for the sixth consecutive year, followed closely by Tokyo and Seoul.
Key Insights:
1,335,878 Indian students are currently studying abroad, and choosing a city that offers a vibrant student experience is crucial. The QS ranking evaluates cities based on affordability, diversity, employment opportunities, student satisfaction, and academic excellence.
Top 10 Best Student Cities 2025
London, England
Top Universities: Imperial College London, University College London, King's College London
Employment Opportunities: 4th globally
Living Expenses: £1,100 - £1,300/month
Tokyo, Japan
Top Universities: University of Tokyo, Tokyo Institute of Technology, Waseda University
Desirability: 1st for quality of life
Living Expenses: ¥100,000 - ¥150,000/month
Seoul, South Korea
Top Universities: Seoul National University, Yonsei University, Korea University
Living Expenses: Approx. $6,300/year
Munich, Germany
Top Universities: Technical University of Munich, Ludwig-Maximilians-Universität München
Living Expenses: Approx. €300/year
Melbourne, Australia
Top Universities: University of Melbourne, Monash University
Living Expenses: $1,400 - $3,920/month
Sydney, Australia
Top Universities: University of Sydney, University of New South Wales
Living Expenses: $1,400 - $4,000/month
Paris, France
Top Universities: Université PSL, Institut Polytechnique de Paris, Sorbonne University
Living Expenses: €800 - €1,200/month
Zurich, Switzerland
Top Universities: ETH Zurich, University of Zurich
Living Expenses: CHF 1,500 - CHF 2,500/month
Berlin, Germany
Top Universities: Freie Universität Berlin, Humboldt-Universität zu Berlin, Technische Universität Berlin
Living Expenses: €800 - €1,200/month
Montreal, Canada
Top Universities: McGill University, Université de Montréal, Concordia University
Living Expenses: CAD 1,000 - CAD 1,500/month
Conclusion
These rankings provide a comprehensive guide for students seeking an enriching educational experience. With factors like affordability, cultural diversity, and strong employment prospects, these cities are not only great for academic pursuits but also for personal growth and exploration.
Whether you're considering studying abroad or just curious about the best student cities, this list is a valuable resource for making informed decisions!
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Attentat d'Aum Shinrikyō
« L'attentat au sarin dans le métro de Tokyo est un acte terroriste perpétré par des membres de la secte Aum Shinrikyō le 20 mars 1995. Il a fait un total de treize morts et plus de 6 300 blessés.
Lors de cinq attaques coordonnées, sur les lignes Chiyoda, Marunouchi et Hibiya du métro de Tōkyō, un membre de chaque équipe perce un sac posé au sol contenant des poches de sarin sous forme liquide avec la pointe d'un parapluie, laissant le gaz s'évaporer et se diffuser dans les cinq rames bondées à l'heure de pointe (8 heures du matin). Le bilan, relativement léger vu l'extrême toxicité de cette substance et les neuf millions d'utilisateurs quotidiens du métro, serait dû à la mauvaise qualité du produit, très difficile à synthétiser. Cela n'empêche pas que certaines victimes sont paralysées à vie, d'autres restant dans le coma des dizaines d'années.
L'attaque est dirigée contre les trains passant par Kasumigaseki et Nagatachō, qui abritent le gouvernement japonais. C'est le plus grave attentat au Japon depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le groupe Aum avait effectué une première attaque au sarin le 27 juin 1994, un camion modifié pour la circonstance lâchant du gaz sur le parking d'un supermarché de Matsumoto dans un quartier résidentiel, faisant sept morts et intoxiquant plus de 200 personnes.
Le bilan final est de treize morts et plus de 6 300 blessés, ayant notamment des problèmes temporaires de vision. »
« Aum Shinrikyō ou Vérité suprême d'Aum (オウム 真理教(しんりきょう), Ōmu shinrikyō) est une secte principalement implantée au Japon et en Russie, dont les membres ont commis plusieurs actes criminels au Japon entre 1989 et 1995. Elle est principalement connue pour l’attentat au gaz sarin dans cinq rames bondées du métro de Tokyo le 20 mars 1995 qui causa 13 morts et plus de 6300 intoxiqués. L'organisation est placée sur la liste officielle des organisations terroristes du Canada, de l'Union européenne et anciennement des Etats-Unis. »
« Aum, ou om̐, est une syllabe sanskrite représentant le « son primordial de l'univers », et shinrikyō signifie « enseignement de la vérité suprême ».
On la nomme aussi udgitha ou pranava mantra (« mantra primordial », le mot prāṇa signifiant également « vibration vitale »). D’un point de vue hindou cette syllabe représente le son originel, primordial, à partir duquel l'Univers se serait manifesté. »
« L’idéologie religieuse, d'inspiration principalement bouddhiste, comportait des emprunts à l’hindouisme, à l’apocalyptisme chrétien et au New Age ; un grand crédit était accordé aux prophéties de Nostradamus.
Bien qu'Isaac Asimov ait été un critique féroce de la religion et de la pensée New Age, la secte a été fortement influencée par sa série Cycle de Fondation, œuvre de science-fiction qui « consistait à rédiger un roman historique du futur ». Dans cette optique, la série ne met en scène que des humains et, plus rarement, des robots, mais aucune espèce extraterrestre.
Shōkō Asahara, un gourou, s'est exprimé comme un « parfait moksha-man », à travers les apparitions médiatiques sur les télévisions et les conférences dans les universités, et a rassemblé de nombreux croyants.
Moksha (sanskrit IAST : mokṣa ; devanāgarī : मोक्ष ; « libération ») désigne, dans l'hindouisme et le jaïnisme, la libération finale de l'âme individuelle ou jīva du cycle des renaissances, le saṃsāra. Le moksha est en quelque sorte l'équivalent hindou du nirvāṇa bouddhique
Sur le plan politique, le groupe, convaincu de la disparition rapide du gouvernement japonais qu'il jugeait corrompu, avait pour objectif de provoquer un Armageddon, devant survenir entre 1997 et 2003, et auquel survivraient les seuls membres de la secte qui pourraient alors prendre le pouvoir. Dans les années 1990, Asahara commença à justifier le meurtre sur des bases spirituelles. »
Armageddon ou Armaguédon (de l'hébreu : הַר מְגִדֹּו / har M'giddo, transcrit Ἁρμαγεδών / Harmagedốn en grec) est le nom du lieu de la bataille entre les rois de la Terre et le Dieu Tout-Puissant dans le texte de l'Apocalypse. Dans l’imaginaire collectif, ce nom peut aussi désigner le lieu du combat final entre le Bien et le Mal à la fin du monde, lors de la parousie de Jésus-Christ.
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Les termites envahissants : une menace mondiale qui frappe à la porte des grandes métropoles
See on Scoop.it - EntomoNews
"Les termites, souvent caricaturés comme des ravageurs voraces de bois, jouent en réalité un rôle clé en tant qu’ingénieurs écologiques au sein des forêts tropicales. Seule une fraction d'entre eux cause des dommages conséquents aux habitations. Pourtant, une étude récente parue dans le journal Neobiota, tire la sonnette d’alarme sur un changement significatif. Avec le réchauffement climatique et l'augmentation des interconnexions entre les villes et les écosystèmes proches et éloignés, les termites envahissants pourraient coloniser les villes du monde entier."
Publié le 2 mai 2024 – Mis à jour le 2 mai 2024
"Le changement climatique, poursuivant sa marche implacable, confronte le monde non seulement à des températures en hausse et à des conditions météorologiques extrêmes, mais aussi à une menace insidieuse pour nos maisons : les termites envahissants. Bien que le réchauffement climatique soit désormais un fait connu de tous, sa capacité à accroître le risque d’invasions de termites peut surprendre. Cette menace pourrait engendrer des coûts considérables, les dommages causés par les termites envahissants étant déjà estimés à plus de 40 milliards de dollars par an. Dans une étude publiée dans le journal en libre accès Neobiota, le doctorant Edouard Duquesne et le Professeur Denis Fournier du Laboratoire Evolution Biologique et Ecologie (Université libre de Bruxelles) dévoilent la réalité préoccupante de l'expansion potentielle des termites envahissants vers de nouveaux territoires. Leurs recherches révèlent qu’avec l’augmentation des températures et les changements climatiques en cours, des villes du monde entier pourraient bientôt être confrontées à ces ravageurs minuscules mais destructeurs, allant des zones tropicales chaudes telles que Miami, São Paulo, Lagos, Jakarta ou Darwin aux métropoles tempérées comme Paris, Bruxelles, Londres, New York ou Tokyo. Mais comment ces termites, habituellement associés aux climats tropicaux, parviennent-ils à envahir des villes au-delà de leur habitat naturel ? La réponse se trouve dans l'interconnexion de notre monde moderne. L'urbanisation, avec ses populations denses et les connexions entre villes et écosystèmes, fournit un environnement propice aux invasions de termites. De plus, le commerce mondial des biens, y compris les meubles en bois transportés par des navires privés, offre des voies insoupçonnées à ces envahisseurs silencieux pour voyager jusqu'à nos maisons. « Une colonie de termites isolée, tapie dans un petit morceau de bois, pourrait clandestinement voyager des Antilles jusqu'à votre appartement à Cannes. Elle pourrait par exemple se cacher dans des meubles à bord d'un yacht amarré au port de Cannes pendant le Festival du film. Les reines et les rois de termites, qui ont en charge la reproduction, s'envolent, se reproduisent et, attirés par les strass et la lumière, jettent les bases de nouvelles colonies pour conquérir la terre ferme ». Les recherches de E. Duquesne et D. Fournier mettent en avant la nécessité d'un changement de paradigme dans notre approche de la modélisation des espèces envahissantes. En intégrant des variables de connectivité telles que le commerce international, le transport ou la densité des populations, leur étude souligne l'importance de comprendre les interactions complexes qui facilitent la propagation des termites. À la lumière de leurs résultats, les chercheurs appellent à une action rapide de la part des décideurs politiques et des citoyens. Les grandes villes, quel que soit leur climat, doivent mettre en place des mesures strictes de contrôle des termites pour protéger les maisons et les infrastructures. « Les citoyens peuvent jouer un rôle crucial en utilisant la technologie, comme les applications assistées par l'IA telles que iNaturalist, pour détecter et signaler la présence de termites, transformant ainsi les résidents ordinaires en gardiens vigilants de leur environnement » soulignent les chercheurs. « Alors que nous faisons déjà face aux défis d'un climat en mutation rapide, la sensibilisation et les mesures proactives sont notre meilleure défense contre la menace rampante des termites envahissants » concluent-ils.
Connectivity and climate change drive the global distribution of highly invasive termites NeoBiota 92: 281-314.
[Image] Potential projected range shift for Incisitermes minor, Reticulitermes flavipes and Nasutitermes corniger between potential current suitability and the period of 2041–2060 under the SSP5-8.5 scenario
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29 avril : le jour où les Japonais honorent un criminel de guerre
Le 29 avril, c’est le Jour de l’ère de Showa, ou Shōwa no hi (昭和の日) une période qui va de 1926, année de l’avènement de Hiro Hito à sa mort en 1989. Le jour est férié depuis 1985. Le 29 avril est l’anniversaire de l’empereur Hiro Hito, né en 1901. C’est l’un des grands criminels de la Seconde Guerre mondiale. Il fut épargné par les Américains qui l’ont laissé sur le trône dépouillé de tous ses pouvoirs. Seuls son premier ministre, Hideki Tojo, et quelques hauts dignitaires furent condamnés à mort et exécutés. Chaque année, au Japon, des manifestants dénoncent cette célébration du personnage qui a mené le Japon et l’ensemble de l’extrême orient, au désastre. De 1989 à 2006, le 29 avril avait été instituée une fête de la verdure (Midori no hi ) car l’empereur s’intéressait à la botanique. Mais cette fête ayant été déplacée au 4 mai, le 29 avril ne fait plus aujourd’hui référence qu’à l’empereur Hiro Hito. D’où la colère d’une partie de l’opinion publique. D’autres, au contraire, se félicitent simplement d’être en congés ce jour-là.
Le 29 avril est en effet le premier d’une série de jours fériés que l’on appelle la Golden Week (ゴールデンウィーク) et que les Japonais attendent chaque année avec impatience. Lors de cette « semaine dorée » qui comprend quatre jours fériés répartis entre le 29 avril et le 6 mai, les écoles et les universités sont fermées, les entreprises tournent au ralenti et les routes aussi bien que les gares sont encombrées car les Japonais en profitent pour prendre plusieurs jours de congé. Cette année, le 29 avril étant un jeudi, en rajoutant 3 jours de congés, s’ouvre une période exceptionnelle de 11 jours de vacances. Las, comme la propagation des variants du coronavirus entraîne une hausse exponentielle des contaminations, l’état d’urgence vient d’être imposé à Tokyo et dans les départements de l’ouest du pays, au moins jusqu’au 11 mai. Ce qui va gâcher les traditionnelles vacances de printemps des Japonais.
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Top 10 Cities in the World to Study Abroad – 2024
As we approach 2024, the landscape of international education continues to evolve, presenting students with a range of exceptional studying abroad worldwide. These cities are not only renowned for academic excellence but also for the rich cultural experiences they offer, making them ideal for students seeking both educational and personal growth.
The decision to venture abroad for education goes beyond obtaining a degree; it involves immersing oneself in new cultures, gaining insights from diverse perspectives, and unlocking doors to endless possibilities. In 2024, the pursuit of knowledge transcends borders, and here is your guide to navigating this exciting journey in the top study destinations.
London, United Kingdom: London, the global education hub and capital of England, attracts students with institutions like Imperial College London and London School of Economics. Beyond academia, the historic streets of Covent Garden and the vibrant art scene at Tate Modern provide a cultural feast for inquisitive minds.
Melbourne, Australia: Often ranked among the most livable cities, Melbourne is a dream for international students. The University of Melbourne offers top-tier education, while the city's coffee culture, street art, and live music scenes make every day an adventure – a perfect blend of education and lifestyle.
Tokyo, Japan: Tokyo combines educational excellence with cultural richness and technological advancement, making it a top study destination. From the serene Meiji Shrine to the bustling streets of Shibuya, students have access to prestigious universities and a firsthand look at cutting-edge technology.
Montreal, Canada: Montreal stands out with its bilingual education system, welcoming students in both English and French. Beyond McGill University and Université de Montréal, the city's old-world charm and vibrant student life, complemented by events like the Jazz Festival, ensure well-spent study breaks.
Paris, France: Paris remains an evergreen destination for students, with Sorbonne University embodying academic excellence. Living in a city that's a masterpiece of art, history, and cuisine enriches the student experience, complementing the pursuit of knowledge.
Munich, Germany: Synonymous with engineering prowess, Munich, home to the Technical University of Munich, offers a balanced mix of academics and leisure. Oktoberfest, the Englischer Garten, and historic architecture provide a unique blend of study and fun.
Seoul, South Korea: Seoul pulsates with energy and innovation, establishing itself as a top study destination. World-class institutions like Seoul National University attract students interested in technology and design, while K-pop and Korean cuisine add excitement to student life.
Boston, USA: Rich in history and culture, Boston is a magnet for scholars with institutions like MIT and Harvard. The city's student-friendly atmosphere, historical landmarks, and sporting events contribute to a well-rounded educational journey.
Amsterdam, Netherlands: Celebrated for its liberal arts education and open-minded culture, Amsterdam ranks among the top study destinations. The University of Amsterdam offers diverse programs amidst a city known for its canals, museums, and bike-friendly streets, fostering creativity and free thought.
Singapore: A cosmopolitan city-state, Singapore serves as a crossroads of Asia for students. Its education system, marked by rigor and innovation with institutions like Nanyang Technological University and National University of Singapore, is globally acclaimed. The multicultural society adds a unique blend of culinary delights and cultural festivals to the educational experience.
Read for more info: https://overseaseducationconsultant.edublogs.org/2024/03/12/top-10-cities-in-the-world-to-study-abroad-2024/
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Concert "Quatuor Austrasia" à l’Eglise mennonite de la Prairie de Montbéliard
"Les Amis de l'Orgue de Saint-Martin" organisent un concert Quatuor Austrasia dimanche 12 novembre 2023 à 17h00 en l'Église mennonite de la Prairie de Montbéliard, Route de Grand-Charmont. Formés dans les meilleurs conservatoires en France et au Japon (Université nationale des Beaux-Arts et de musique de Tokyo, CNSM de Paris et Lyon, CRR de Versailles et Créteil), les membres du Quatuor Austrasia ont toujours partagé leur pratique professionnelle entre l’orchestre symphonique - Orchestre national de Metz dont trois d’entre eux en sont des membres permanents, Orchestre national du Capitole de Toulouse, Orchestre Philharmonique du Luxembourg - et la musique de chambre au sein de diverses formations telles que notamment Les Musiciens d’Hermès et le Quatuor de l’Armée française. infos > https://amisorgue-saintmartin.fr/manifestations.html Read the full article
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L'Université de Tokyo prévoit la première hausse des frais de scolarité en 20 ans face à la baisse des subventions publiques
L’Université de Tokyo prévoit la première hausse des frais de scolarité en 20 ans face à la baisse des subventions publiques Mardi, l’Université de Tokyo a annoncé une augmentation des frais de scolarité pour les nouveaux étudiants inscrits à partir d’avril prochain, en raison de la diminution des subventions publiques, marquant ainsi la première hausse en 20 ans. L’université nationale…
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COMME DES GARÇONS : LA PLUS FRANÇAISE DES MARQUES JAPONAISES
Qui en 2023 ne connaît pas Comme des Garçons ? Sur le devant de la scène internationale depuis plus de quatre décennies (!), la marque made in Japan continue de jouir d’une popularité éclatante, que ce soit en Orient ou en Occident, sur les podiums des défilés de mode ou dans la vie de tous les jours.
Et pourtant. Martin Margiela et Marc Jacobs ont beau la citer en tête de leurs influences, Rick Owens, Fear of God et Yeezy ont beau recycler à la chaîne ses designs et ses concepts, une aura de mystère l’entoure encore et toujours.
Un peu comme si tout le monde en avait un jour entendu parler sans pour autant en savoir plus que ça.
Il faut dire aussi que sa créatrice Rei Kawakubo n’y met pas franchement du sien pour éclairer les lanternes, elle qui, les très rares fois où elle accorde une interview, est du genre à déclarer « ne pas se sentir heureuse quand une de ses collections est trop bien comprise ».
Éternelle coupe au carré, veste en cuir arrimée sur les épaules, malgré sa dégaine reconnaissable entre mille, elle ne rentre dans aucune case, n’obéit à aucun diktat et, plus important, ne rend de compte à personne, l’empire Comme des Garçons lui appartenant à 100%.
Ainsi, raconter Comme des Garçons, c’est raconter une success story qui ne ressemble à aucune autre, mélange de lieux et d’imaginaires aussi singuliers qu’inattendus.
« Komu de Gyaruson »
Commençons tout d’abord par le commencement : mais pourquoi donc Comme des garçons (コム・デ・ギャルソン) s’appelle Comme des Garçons ?
L’énigme a longtemps plané, et il a fallu attendre 2015 pour apprendre que Rei Kawakubo s’était inspirée des paroles de la chanson de Françoise Hardy Tous les garçons et les filles sortie en 1962, la mélopée d’une adolescente que la solitude désespère (« Comme les garçons et les filles de mon âge connaîtrai-je bientôt ce qu'est l'amour... »).
Selon l’intéressée, n’allez cependant pas y chercher une quelconque signification ou dresser le moindre parallèle, il s’agit juste d’une question de sonorités... ce dont on peut se permettre de douter, tant le spleen que dégage Tous les garçons et les filles colle plutôt bien à certains aspects de sa biographie.
Née en 1942 à Tokyo, Rei Kawakubo connaît une enfance un peu à part. Fille aînée d’un père universitaire et d’une mère femme au foyer, ses parents divorcent lorsque sa mère prend un travail contre l’avis de son père. Dans un Japon encore extrêmement rigide où le mariage et l’autorité patriarcale ont quasiment valeur de loi, cet acte de défiance ne passe pas inaperçu.
Mise à l’écart de ses petits camarades à l’école, Rei n’en hérite pas moins d’un modèle féminin fort et se forge un goût pour l’indépendance qui désormais ne la quittera plus.
Si dans ses jeunes années le vêtement n’est pas sa passion première, sitôt diplômée en histoire de l’art à la prestigieuse université de Keio, elle émigre dans le fameux quartier d’Harajuku, épicentre de la mode tokyoïte, où elle est engagée au sein du département publicitaire d’un fabricant de tissu en acrylique, Asahi Kasei.
Guère intéressée par le marketing stricto sensu, Kawakubo obtient de ses supérieurs de pouvoir récupérer des échantillons de tissu afin de confectionner des ensembles et des costumes, et de cette façon promouvoir la marque à sa manière.
Malgré son manque de bagage technique en la matière, ses créations remportent très vite un joli succès d’estime, tant et si bien qu’elle se lance en 1967, à 25 ans, comme styliste en freelance. L’expérience va durer deux ans, le temps pour elle de parfaire sa technique et sa vision.
Et c’est ainsi qu’en 1969, Rei Kawakubo fonde officieusement Comme des Garçons, puis dépose officiellement les statuts de l’entreprise en 1973.
Big in Japan
Solide sur ses jambes, elle dote très vite la marque une identité forte, elle qui pense ses collections avant tout en termes de mobilité et de confort, et absolument pas pour séduire ou rechercher la validation des hommes –« Comme des Garçons est un cadeau pour soi, ce n’est pas quelque chose pour plaire ou pour attirer le sexe opposé » rappellera-t-elle dans Vogue en 1995.
[À ce titre, les premières boutiques Comme des Garçons ne comportaient aucun miroir.]
En résulte des couples amples, déstructurées, volontairement asymétriques qui donnent à la silhouettes un côté exagéré, quasi sculptural, à mille lieux des standards occidentaux.
Cet avant-gardisme ne fait cependant pas table rase de la tradition, bien au contraire : qu’il s’agisse d’embrasser ouvertement l’esthétique du wabi-sabi (la célébration de la perfection dans l’imperfection), ou de détourner à des fins décoratives la coutume du sashiko, cette technique de rapiéçage des vêtements longtemps utilisé par les ménages les plus modestes pour rallonger leur durée de vie.
Ça, et puis du noir. Beaucoup (beaucoup) de noir.
La tribu des corbeaux (烏族)
Fort de son originalité, Comme des Garçons réussit non seulement à s’imposer sur le marché japonais en quelques années (premier défilé en 1973, l’inauguration d’une ligne pour homme en 1978...), mais aussi et surtout à drainer autour de soi une véritable communauté de fans.
Surnommés les « karasu » (« les « corbeaux » en japonais), ces mi-goths mi-punks participent à faire de Comme des Garçons plus qu’une simple marque de vêtements.
Alors considérée comme une nouvelle papesse des tendances, Rei Kawakubo a beau se défendre d’avoir voulu initier une quelconque révolution (« Ce que je proposais était juste différent des autres »), forte de 80 employés et 150 boutiques franchisées au pays du Soleil levant, en 1980, le temps est venu pour elle de s’envoler vers de nouveaux horizons.
Direction la capitale mondiale de la mode.
Paris-Hiroshima
Lorsque Rei Kawakubo débarque à Paris pour la fashion week de 1981, elle est accompagnée de deux de ses compatriotes stylistes : le déjà légendaire Issey Miyake et Yohji Yamamoto (LE futur Yohji Yamamoto), son amour de jeunesse avec qui elle est en couple depuis quelque temps.
À eux trois, ils vont bouleverser les mentalités et élever Tokyo au rang de ville qui compte sur la carte de la haute couture.
Avec sa collection intitulée Lace présentée à l’hôtel InterContinental, Kawakubo provoque un vent d’incompréhension au sein de l’establishment : à une époque où le glamour des superwomen de Gianni Versace et Thierry Mugler règne (ambiance amazone, couleurs criardes et épaules larges), ses tenues tranchent en tout point.
Volume, absence de forme, androgynie, coutures apparentes, lambeaux... le contraste est tel que la presse, perplexe, qualifie le défilé de « Hiroshima chic ».
Qu’importe, un an plus tard, Kawabuko enfonce le clou en fusionnant toujours un peu plus le beau et le laid avec sa collection Printemps-Été 1983. Baptisée Destroy, elle s’inspire notamment de l’allure des sans-abris à coup de tissus rembourrés, de pantalons morcelés et de mailles trouées.
Décrié mais sur toutes les lèvres, Comme des Garçons profite de ce que l’on n’appelait pas encore le buzz pour ouvrir sa première boutique parisienne rue Etienne Marcel.
Chemin faisant, cette mode considérée par ses détracteurs comme importable finit toutefois par rallier les suffrages, que ce soit dans nos contrées (une exposition dédiée est organisée en 1986 au Centre Georges Pompidou) ou de l’autre côté de l’Atlantique (en 1987, l’institution Vogue prédit que Rei Kawakubo sera « la femme qui mènera la mode au XXIe siècle »).
Jean-Michel Basquiat en 1987. Défilé Printemps-Été.
La naissance d’un multivers
Dès lors, Comme des Garçons, ou « Comme » pour les anglophones, ne cesse d’élargir sa base.
Ce sont tout d’abord deux nouvelles lignes hommes qui voient le jour (Comme Des Garçons Homme Plus en 1984, Comme Des Garçons Homme Deux en 1987), puis une ligne de chemises en 1988 (Comme Des Garçons Shirt), puis, devant les résultats obtenus, Comme des Garçons Homme Plus Evergreen, Comme des Garçons Shirt Boys, Tricot Comme des Garçons ou encore Comme des Garçons Comme des Garçons.
[Et l’on ne parle ici que des lignes nées avant 1990... On dénombre à l’heure plus d’une vingtaine.]
À la manœuvre derrière cette stratégie de diversification, Rei Kawakubo met un point d’honneur, non pas à monopoliser la direction créative, mais à s’entourer de jeunes designers en devenir (Tao Kurihara, Fumito Ganryu, Chitose Abe...).
Parmi eux, il en est un qui se démarque tout particulièrement et qui va devenir l’un des têtes pensantes de la marque : Junya Watanabe. Repéré tandis qu’il travaillait comme patronnier, il prend les rênes de la ligne de maille Comme Des Garçons Tricot, avant de se voir offrir de lancer sa ligne éponyme (Comme des Garçons Junya Watanabe), puis de l’étendre à l’univers masculin en 2001 (Comme des Garçons Junya Watanabe Man).
Autre figure importante à émerger en coulisses : Adrian Joffe. Engagé comme directeur commercial, ce Sud-Africain parlant couramment le japonais participe activement à faire évoluer le modèle économique de Comme des Garçons, laissant là les mains libres à Kawakubo pour piloter l’artistique.
Le binôme fonctionne d’ailleurs tellement bien que, une chose en amenant une autre, les deux se marient en 1993 à Paris. Toujours ensemble à l’heure actuelle, s’ils n’ont jamais partagé le même toit, monsieur, en plus d’assumer la fonction de président du groupe Comme des Garçons, officie comme traducteur de madame lors de ses déplacements à l’étranger.
[Cette dernière lui a donné pour consigne « ne jamais répondre à une question directement ».]
Le logo qui change tout
Accessible-mais-pas-trop, mainstream-mais-pas-trop, Comme des Garçons continue de tracer son sillon.
Côté artistique, les collections se suivent et ne se ressemblent pas. Guidée par ses seules envies, Kawakubo vogue d’une année sur l’autre d’un univers à un autre, sans se soucier du moindre début de cohérence.
Côté distribution, le concept de Guerrilla Stores voit le jour en 2004 (des pop-up stores ouverts pour un an dans les périphéries de capitales comme Varsovie, Helsinki, Singapour, Stockholm, Athènes, Beyrouth, Los Angeles ou Reykjavik), suivi en 2006 par celui de Dover Street Market, de grands magasins aux faux-airs de salle d’exposition dédiés à la galaxie Comme des Garçons, ainsi qu’à des marques tierces triées sur le volet.
Reste que plus encore que la réputation patiemment bâtie par le déluge de collaborations initié dans les années 2000 (Nike, Supreme, H&M, Repetto, Louis Vuitton, Anti Social Social Club ...), c’est un presque détail qui va faire basculer Comme des Garçons dans une toute autre dimension.
L’avènement en 2002 de la ligne Play, une ligne qui lorgne ouvertement sur le streetwear (t-shirts à manches longues, sweats, hoodies...), est l’occasion d’estampiller d’un petit cœur rouge avec des grands yeux imaginé par l’artiste polonais Filip Pagowski.
En parfaite adéquation avec cette esthétique plus décontractée et ludique, ce logo rend Play immédiatement reconnaissable auprès d’un grand public pas éduqué aux subtilités de cette mode « pas nécessairement faite pour être portée » dixit Rei Kawakubo.
Et lorsqu’en 2009, le cœur rouge est apposé sur des Convers All-Star, la hype monte encore d’un cran, à tel point qu’encore aujourd’hui rares sont les placards des fashionistas qui n’en compte pas au moins une paire.
Plus répandue et plus accessible, Play connecte Comme des Garçons aux nouvelles générations sans pour autant brader son identité en tombant dans le prêt à consommer.
No Future
« Quel sera son héritage ? Elle n’y pense jamais. Elle s’en moque. Tout comme elle se moque de la postérité (...) Quand elle ne sera plus là, que rien ne lui survive l’indiffère. »
Voilà en substance comment Rei Kawakubo imagine Comme des Garçons après elle.
Qu’importe le demi-siècle qu’a duré cette épopée. Qu’importe le fait que le Metropolitan Museum of Art de New York lui ait exceptionnellement dédié une exposition en 2017, Art of the In-Between (« l’art de l’entre-deux »), la seule rétrospective que le musée ait consacrée à un designer vivant depuis Yves Saint Laurent. Qu’importe que comme beaucoup, l’historien de la mode Colin McDowell, auteur de La Mode aujourd’hui, juge son impact sur l’habillement « plus subtil et profond qu’aucune autre tendance de ces cinquante dernières années ».
Punk dans l’âme, malgré toute la passion et tout le travail qu’elle a dédié à Comme des garçons, elle n’est pas de ceux qui considèrent la mode comme autre chose que ce qu’elle est.
Ou pour reprendre ses propres mots : « Ce n'est pas un art, une œuvre d'art est unique. Les vêtements eux sont produits en série. »
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Les 5 bienfaits des câlins sur les enfants
Plusieurs études réalisées, entre autres, par les Universités de Toho à Tokyo, de Colombie Britannique au Canada, ou encore de Miami aux Etats-Unis… montrent l’intérêt de faire des câlins à son enfant, même si cela nous paraît évident ! 1. Le câlin ralentit le rythme cardiaque : lorsqu’un bébé est pris par ses parents dans leurs bras, son rythme cardiaque ralentit, s’apaise. Alors il ne faut pas…
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Ma vie, le CROUS et le wesh qui veut devenir keuf
To all my followers who can read french; sorry. ye I came back just to post this, no respecc anymore ==========================================
Ton père est fou amoureux de ta mère. Ta mère avait une obsession avec la France et tout naturellement tu finis par être envoyée dans une université française même si au final, le Japon, quand même, c'était mieux. Tous tes amis étaient là-bas mais voilà il a fallu que tu fasses honneur à ta mère et tu te retrouves éreintée devant l'immeuble des étudiants. De toute façon les hommes de ta famille sont cons comme des balais; toi seule avait compris que si ta mère aimait la France c'était uniquement pour la bouffe et pas le paysage.
Puis, le paysage tu l'as pas non plus en fait. Quand tu regardes le ciel tu ne vois que du gris et des nuages à perte de vue, sous tes pieds c'est tacheté de crottes de pigeons– ces oiseaux du démon– et en face de toi tu vois des HLM, ton appartement étudiant camouflé dans ce tas de béton et une bande de mecs chelou qui traîne avec un gorille.
Un gorille? Attends. Tu te frottes les yeux rigoureusement et avec une certaine angoisse tu comprends que c'était pas un gorille, mais un mec qui ressemblait à un gorille. Tu n'es pas vraiment allée aux zoos mais la ressemblance est frappante avec celui du Petit Robert et puis merde, comment un être humain pouvait être aussi poilu? T'es quasiment sûre qu'en rasant ses poils on pourrait en faire un manteau, des bottes et des gants assortis. Soudainement, tu te rappelles des conseils de ta mère, ton père, ton frère, Gintoki et ton chien: mieux vaut éviter de fixer les prédateurs et tu détournes le regard mais c'est trop tard. Ils viennent vers toi.
"Ni Hao," le gorille parle et tes oreilles saignent déjà. Tu baisses les yeux et glissent ton casque en espérant qu'ils abandonneront mais on te bouscule.
"Wesh la chinoise Kondo-san te parle," dit une voix terne. Il y'a quelque chose, un grain dans sa voix que tu ne supportes pas. Tu soupires et enlèves ton casque par dépit, ton plan pour te casser est foutu et tu te décides à regarder de plus près les clowns devant toi.
Le plus corpulent est le gorille, il n'a pas l'air si méchant que ça en vrai et est habillé relativement normalement. Derrière lui tu vois un mec qui fume du malboro à l'écart et il est presque attirant jusqu'à ce que tu remarques les deux bouteilles de mayo Amora format familial dans ses poches.
"Je parle français," tu réponds d'un ton froid. Ton interlocuteur se retrouve être le moins impressionnant de la bande: il ressemble à une sorte de Justin Bieber éco+ et porte un ensemble adidas noir et doré de mauvais goût et comme si c'était pas assez son calebard dépasse de quinze centimètres, tâtant la raie du cul. Tu hausses d'un sourcil et tu souris.
T'as affaire à une merde premier degré.
"Vazy comment tu parles," il s'approche et balance ses bras dans tous les sens.
Il t'arrives au menton.
Il recule.
"Hé euh fait ta maline toi ici c'est ma zone," tu as presque pitié de lui. Il te fait penser à un chihuahua– il crie beaucoup mais ne peut physiquement rien faire. T'es contente qu'il ait les yeux rivés sur ton minois sinon il aurait remarqué que tu portais des talons.
"Tu sais, je pense t'as fait un mauvais choix de caleçon aujourd'hui." Tu ris et te prépares à partir avec tes valises et cartons– le CROUS t'attends et c'est un ennemi bien plus grand que le "délinquant" que tu viens de croiser. T'avais entendu dire qu'il fut un temps, c'était la mode de montrer son slip mais tu t'attendais pas à un caleçon Oui-oui aussi. Le pauvre a l'air tout rouge et part en baissant la tête, cependant avant que tu puisses faire un pas de plus le gorille s'arrête.
"Je suis désolé pour son comportement, Sougo a un peu de mal avec les filles." Il fouille dans sa veste, sort un bout de papier et un stylo avant d'y gribouiller quelques choses. "Il est un peu comme mon fils," il te tend le papier, "il voulait juste te demander ton numéro. T'es nouvelle ici?"
Tu acceptes le numéro par politesse, mais honnêtement c'est pas ton type d'homme. Tu es aussi incrédule: cela faisait longtemps que tu avais vu autant de maladresse dans un flirt, même ton père était moins malaisant. "Je suis une étudiante en échange scolaire."
"Ah excuse-moi, je me suis pas présenté. Je suis Kondo Isao, le commissaire de police du coin et là-bas c'est mon collègue Hijikata." Il te fait une tape amicale, "bienvenue dans le 93, je sais que ça peut être un peu rude mais n'hésite pas si t'as besoin d'aide. Et puis, Sougo est étudiant aussi j'espère que vous allez devenir des bons amis."
Tu fais mines de l'écouter et vous discutez un peu avant qu'il t'aide à porter tes cartons. Il se trouve que tu as la chambre 404 juste à côté du dénommé Sougo, sans doute parti changer son sous-vêtement, et tu t'installes.
Tu vivais à Tokyo avec Gintoki auparavant, une très belle ville animée et tu retrouves maintenant à Bobigny en Seine-Saint-Denis dans un appartement miteux du CROUS. Au moins tu as ta chambre personne, gigantesque par ses dix mètres carrés mais c'est propre. Le forum de 18/25 aurait donc menti: aucun disque de pisse en vue ni d'excrément dissimulé, c'est mieux que rien. La fenêtre donne vue sur la cité et le lot de parking, tu soupires et déballes tes cartons.
Au final tu n'avais pas grand chose, des vêtements, ta couette, des fournitures scolaires et un pouf. Par contre, dans un coin tu es fière d'avoir ramener un sac de riz de soixante kilos et un fidèle cuiseur à vapeur: ça sera ta nourriture quotidienne à présent. Fatiguée, tu te laisses tombée contre ton lit et allumes ton smartphone pour regarder ton compte bancaire. Après tout il va te falloir acheter assez d'oeufs et sauce soja Maggi pour accompagner ton sac de riz.
Tu ne vois rien.
Le doute ancré dans ton coeur tu regardes tes mails et tu apprends que le CROUS, bien qu'ayant accordé ta chambre étudiante, a refusé de te donner la bourse pour crédits insuffisants alors que tu t'étais préparée à débuter ta L1 de commerce internationale. Tu n'as aucune idée de ce qu'à fait l'administration: tu leur souhaites juste une mort lente et douloureuse. Au même moment tu entends ton voisin s'énerver dans une marée de mots. Tu décèles "CROUS", "bourse" et "refusé" et tu es presque tentée de l'appeler pour lui demander la reste de la procédure.
Puis tu te souviens que t'es dans une chambre étudiante: nullement besoin de l'appeler car si toi tu peux l'entendre à travers ces murs en mousse il n'aura pas de mal à t'entendre toi aussi.
Franchement le chauve aurait pu faire mieux: tu décides de remplacer ses sérums repousse-cheveux avec de la javel la prochaine fois, ça aura au moins l'avantage de faire briller son crâne.
#okikagu#KEK#french#fanfiction#:)))))#weshAU#dont ask me when i update other fics#i only live to troll now
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Enterprise journal
#Enterprise journal full
and Kathryn Smythe Mapes, Alabama natives, who came to the Enterprise in 1908 and in 1931 acquired the business. Leonard, is southeast Texas' oldest business institution., The Beaumont Journal, founded in August 1889, by Robert Emmett Kelley, bears the distinction of being the second oldest newspaper in this area., The two papers, published under the same ownership since 1921, serve a Texas-Louisiana community extending from the Trinity River on the west to the Red River on the east, and from the Redlands on the north to the Gulf of Mexico., They attained national stature under auspices of James L. 6, 1880, the first Beaumont Enterprise came off the press.
All articles for this journal must be submitted using our online submissions system.Enterprise-Journal.
You can find more information on OA here.
There are no charges for publishing with Inderscience, unless you require your article to be Open Access (OA).
#Enterprise journal full
A full statement of our Ethical Guidelines for Authors (PDF) is available. All authors must declare they have read and agreed to the content of the submitted article.All our articles go through a double-blind review process.Briefs and research notes are not published in this journal.Conference papers may only be submitted if the paper has been completely re-written ( more details available here) and the author has cleared any necessary permissions with the copyright owner if it has been previously copyrighted.Submitted articles should not have been previously published or be currently under consideration for publication elsewhere.Yuan, Benjamin J.C., National Chiao Tung University, Taiwan, Province of ChinaĪ few essentials for publishing in this journal.Walsh, Steven T., University of New Mexico, USA.Vas, Alain, Universite Catholique de Louvain, Belgium.Themistocleous, Marinos, Brunel University, UK.Senoo, Dai, Tokyo Institute of Technology, Japan.Savall, Henri, University of Lyon, France.Salas, Vicente, Universidad de Zaragoza, Spain.Sahdev, Sunil, Indian Institute of Management Kozhikode, India.Rukstad, Michael, Harvard Business School, USA.Oviatt, Benjamin M., Georgia State University, USA.Mouritsen, Jan, Copenhagen Business School, Denmark.Motohashi, Kazuyuki, University of Tokyo, Japan.Martinez, Veronica, Institute for Manufacturing, University of Cambridge, UK.Macharzina, Klaus, University of Hohenheim, Germany.Luethge, Denise J., Northern Kentucky University, USA.Lee-Kelley, Liz, Cranfield University, UK.Lechner, Christian, Groupe ESC Toulouse, France.Lang, Rainhart, Chemnitz University of Technology, Germany.Khan, Shahadat, RMIT University, Australia.Javidan, Mansour, University of Calgary, Canada.Henderson, Joan B., Queen’s University Belfast, UK.Ha, Sungho, Kyungpook National University (KNU), South Korea.Gopinath M, Saji, Indian Institute of Management, India.Friel, Teresa L., Butler University, USA.Edvinsson, Leif, Lund University, Sweden.Echevarría, Santiago García, Universidad de Alcalá de Henares, Spain.Dagnino, Giovanni Battista, University of Catania, Italy.Colin, Jacques, Université de la Méditerranée, France.Chiu, Kuang-Hui, National Taipei University, Taiwan, Province of China.Byosiere, Philippe, Doshisha University, Japan.Bounfur, Ahmed, Univertsité Marne La Vallée, France.Antonelli, Cristiano, University of Turin, Italy.Ahmed, Pervaiz K., Monash University Malaysia, Malaysia.Paz, Universidad Autónoma de Madrid, Spain Bueno Campos, Eduardo, Universidad Autónoma de Madrid, Spain.Jain, Vipul, Victoria University of Wellington, New Zealand.Special Issues devoted to important topics within the aims and scopes of the Journal are also considered. Both theoretical and empirical papers are welcome as well as qualitative and quantitative studies. It presents strategies, resources, methodologies, tools, and techniques, aimed to unfold key aspects related to intellect and service technologies, relevant for research and practice. IJIE publishes high-quality original papers and it is double blind peer-reviewed. Libraries and information centres serving the needs of the above.Corporate leaders with bottom-line responsibilities.Chief Executive Officers, their advisors and strategy teams.The objective of the IJIE is to bring together a selection of new perspectives that, focusing on intellect as a core resource in producing and delivering value, analyse the new strategies and the organisations that support them. This demands the exploration of the nature of the corporation, the sources of its added value, and how it is embedded with other, co-dependent corporations in the environment. Leveraged intellect and its prime facilitator, technology, appear as key factors in the achievement of a competitive advantage for the firm.
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