#une heure de musique pour la motivation
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20 avril
pendant qu'on mangeait des lasagnes aux blettes l. nous racontait ses souvenirs d'enfance au bord de la pétrusse, la maison de sa tante avait une porte secrète à la cave qui menait dans la falaise de la ville mais elle a été détruite pour construire un mini golf. ça m'a un peu changé les idées, jusqu'à ce que la conversation tourne vers trouver un travail, ce qui m'a de nouveau donné envie de pleurer, parce que quand on me parle de travail j'ai envie de pleurer, c'est une loi de l'univers. surtout quand on m'en parle avec bienveillance. elle avait pas du tout l'air de me juger, alors que peut être qu'elle me jugeait un peu parce que juste avant elles parlaient de ces jeunes qui veulent plus travailler avec maman, comme si j'étais pas là à table avec elles, moi une jeune qui ne veut pas travailler. elle m'a demandé ce que j'aimerais faire dans l'idéal et j'ai dit je sais pas. dans l'idéal j'aimerais mourir. ou être rockstar, ou comédienne. ou écrivaine-femme au foyer. dans l'idéal j'aimerais être mariée. et être sur scène. un mix de tout ça. mais je pouvais pas lui dire ça elle m'aurait prise pour une frappadingue, même si elle a dit dans l'idéal, elle a pas dit dans une réalité alternative. elle m'a dit que mes cheveux étaient très jolis. je m'étais dit que mes nouveaux cheveux allaient me motiver à faire quelque chose de ma journée mais non je suis au lit et j'ai envie de rien et en plus j'ai mangé trop de lasagnes aux blettes.
hier soir r. m'a envoyé une vidéo d'un ado qui répète YOU MATTER devant une caméra de sonnette de porte et évidemment je l'ai pris personnellement et j'ai eu envie de jeter mon téléphone par la fenêtre. l'autre jour je lui ai raconté mon anecdote de la thérapeute qui m'avait envoyée chez le prêtre parce que d'après elle je manquais d'amour et qu'elle disait qu'elle pouvait plus rien pour moi et puis tant qu'à faire je lui ai aussi parlé de maman et du fait que je me sentais pas aimée et après je me suis dit putain mais moi c'est tout ou rien, ou je reste fermée comme une huître ou je me mets toute nue avec toutes mes blessures à la vue. et ça me rend malade qu'il soit extra gentil avec moi et me demande régulièrement comment je vais parce qu'il sait que je suis fragile, et maintenant il sait aussi que je suis complètement cassée, mais je veux pas être sa pote fragile et vaguement drôle qui aime la bonne musique et qui sait écouter les problèmes des autres avec bienveillance. je veux qu'il pense à moi 24/7 et qu'il ait envie de me voir tout le temps, je veux rencontrer sa fille et qu'on cuisine ensemble dans sa petite cuisine en enfilade, je veux prendre le train avec lui et m'endormir sur son épaule et me réveiller sur la côte belge parce que je sais rester réaliste dans mes fantasmes et me promener sur la plage avec lui en mangeant une glace, ou pas, je m'en fous, je veux juste être avec lui. je veux tellement être avec lui que j'en dors pas la nuit. même j. ne me rendait pas aussi malade. mais c'était y a dix ans, j'avais accumulé moins de solitude.
ce matin chez le coiffeur j'imaginais ce qu'il dirait si je lui racontais tout. et ça fait UN AN que ça dure?? et t'es toujours pas passée à autre chose? non brian. j'avais envie que tout le monde dans le salon de coiffure vienne me présenter ses sincères voeux de bon rétablissement ou juste sa compassion en me gratouillant la tête pendant que moi je gratouillais la tête du petit chien blanc qui dormait dans mes bras.
22 avril
j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. je suis sortie marcher pendant une heure pour prendre l'air et m'aérer le cerveau mais ça marche pas, je me retrouve exactement au même endroit en rentrant. je me demande si j'arriverais à écrire ailleurs. je crois que oui. le lundi après-midi maintenant maman ne travaille plus et ça me fait prendre conscience qu'une fois qu'elle sera à la retraite à la fin de l'année j'aurai plus le choix, je serai obligée de déménager parce qu'elle sera à la maison toute la journée et ce genre de cohabitation intense est inenvisageable. j'ai huit mois pour préparer mon départ. samedi l. disait qu'elle avait lu que l'état comptait embaucher 1500 personnes bientôt et j'ai dit ah ben oui je regarderai alors que non je regarderai pas. elle m'a aussi parlé de son amie écrivaine qui vit à vienne et qui gagne de l'argent en rédigeant des annonces publicitaires pour un journal (??) mais qu'elle gagne qu'une centaine d'euros avec ça et maman a demandé comment elle faisait pour vivre alors et l. a dit elle est mariée. i rest my case, je dois me marier.
23 avril
j'ai parlé de mes soucis d'occupation à a. hier soir et elle m'a dit pourquoi tu ferais pas des études d'océanographie? c'est ton truc non la mer? et puis elle m'a suggéré de faire du wwoofing, si jamais je me retrouve sans plan au mois de décembre, y a toujours le wwoofing. mon éternel plan de fuite que je ne déclenche jamais. mais je peux pas faire ça indéfiniment. je suis pas le genre de personne à pouvoir vivre de wwoofing et d'eau fraîche comme ces gens en commentaires dans les groupes fb que j'ai rejoint dans le but de me motiver. par exemple dimanche dans la forêt j'ai croisé une bande de jeunes avec des sacs à dos et une carte et un chien comme le club des cinq, ils avaient l'air un peu perdus et ils écoutaient de la musique sur un téléphone en fond sonore et y en avait un qui disait j'en peux plus je dois manger un truc et puis il a commencé à grêler et un peu plus loin j'ai croisé un couple de pré-retraités en doudoune fine à petits bourrelets avec des bâtons de marche et j'avais mille fois plus envie d'être eux que le groupe de jeunes avec leurs sacs à dos. c'est pas que j'avais vraiment envie d'être eux, mais je tendais plus vers eux, vers leur mode de vie, je sais pas, ils représentaient comme une espèce de réconfort, après avoir croisé les autres en train de galérer avec leur aventure. mais j'ai pas toujours préféré les vieux aux jeunes de toute façon? en fait je crois j'échapperai juste jamais à mon désir de vivre une vie de retraitée aisée dans ma jolie maison confortable.
j'ai l'impression que tous mes raisonnements tournent en rond et que je me cogne contre toujours le même mur, et que tant que je serai coincée ici tout ce que je dirai sera faussé. peut être que je devrais changer l'utilisation de mon journal et ne noter plus que les trucs positifs, et donc non faussés, plus de raisonnements et de plaintes et de jérémiades, que les choses qui sont bien et simples et concrètes et là et qui méritent d'être remarquées. alors: je suis toujours assez contente de me lever le matin même si je fais rien de particulier, en ce moment il fait soleil et c'est toujours mon moment préféré de la journée. hier soir a. m'a complimentée sur mes nouveaux cheveux. je lui ai prêté sabir et point de chute parce qu'elle voulait lire mes textes. j'ai échangé des sourires avec le chef de choeur et ça c'était bien aussi. pour une fois j'ai pas une seule fois plongé dans le puits de tristesse. peut être qu'il l'a remarqué. peut être qu'il a compris que j'avais rejoint cette chorale uniquement dans un but thérapeutique, vu comment je chante/chante pas quand j'en peux plus. enfin au début c'était pour chanter mais je me suis vite rendu compte que c'était au dessus de mes capacités vocales. j'ai aussi vu un cheval hier, ou un poney plus probablement, et puis en rentrant de ma promenade dans les champs j'ai mangé les restes de mon cheesecake de ce weekend. j'avais aussi fait une très bonne tarte pomme-poire à la cannelle parce qu'il me restait de la pâte et je l'ai finie hier soir devant c ce soir en rentrant de la chorale. voilà pour la journée d'hier.
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Hier en sortant d'espagnol je devais voir Jay mais enfait il est jamais venu, ni à 17h ni dans la soirée, c'est un peu dommage mais tant pis
C'était prévu que je passe la soirée avec Nathan de toute façon a la base, on devait regarder The Age of Innocence en buvant du vin comme on adore le faire hehe
Du coup à 17h j'ai rejoint Nath, il s'est préparé un peu, on a tous les deux retouché un peu notre make-up et puis on a été faire les petites courses avec une vraie dégaine de punk, c'était marrant. Finalement on a décidé de changer un peu du vin alors on a juste pris une bouteille de blanc pêche, mais du coup a côté on a pris une grosse bouteille de Martini et une bouteille de Pina colada
On est rentrés chez lui et on a commencé à boire tranquillou devant le film mais au final on parlait trop, tellement qu'on suivait plus du tout le film alors on a décidé de couper le film et de profiter de la soirée
On a dansé et ça m'a fait beaucoup de bien
Et puis à un moment il me dit "OH MAIS C'EST LA MUSIQUE DE THEO" alors comme j'étais bourrée, ni une ni deux je lui demande un partage de connexion et j'envoie des vocaux a Théo alors que la dernière fois qu'on s'est parlé c'était genre 2 jours après le festival mais C'EST PAS GRAVE
Au final on s'est envoyé des vocaux quasiment toute la soirée c'était super marrant et apparemment ça lui faisait plaisir d'avoir des nouvelles :) et puis je lui ai parlé des photos sur le site et il a été voir et il en a même trouvé d'autres hahahaha
J'ai réussi à motiver Nathan à sortir pour qu'on aille se promener un peu alors on a été se poser sur les quais et ça m'a rendue nostalgique, ça me rappelait les soirées de cet été
Je sais pas trop ce qui m'a motivé à le faire (enfin si: l'alcool) mais du coup j'ai aussi envoyé des vocaux à Jesse
Et il m'a répondu quasiment du tac au tac
On a parlé toute la soirée jusqu'à ce que j'aille me coucher et ça m'a fait super plaisir et puis j'étais trop touchée de voir vraiment à quel point il se rappelle des détails les plus insignifiants
Il m'a dit que finalement il laissait tomber avec Justine, que c'était trop compliqué et qu'elle était pas assez réceptive
Il m'a aussi dit que vendredi (donc demain) il devait voir une nouvelle fille au bar alors j'espère que ça se passera bien
(J'ai vraiment envie que ça se passe bien pour lui mais j'aurais encore plus envie que ça se passe bien pour nous, mais ça c'est mal)
J'ai hâte d'être à la pendaison de crémaillère
Ce matin le réveil était pas facile facile, j'avais l'impression d'avoir encore un peu la tête qui tourne à cause de l'alcool, et puis il faisait encore très sombre dehors à cause des gros nuages, j'aurais aimé pouvoir rester encore un peu au lit
C'était bizarre ça aussi
De me réveiller dans l'appartement sans lui
De me réveiller sans que le volet soit fermé complètement
De me réveiller et de devoir me préparer directement à partir sans pouvoir traîner des heures au lit
De pas regarder petits secrets entre voisins
De pas préparer de café avec l'odeur qui emplit l'appartement
De pas allumer l'enceinte pour écouter du rock
De pas lui dire d'aller se doucher en premier
De pas allumer mes cigarettes en sous vêtements pendant qu'il répond à ses copains
De pas préparer des pâtes une énième fois pour le repas du midi
C'était bizarre
C'était tout vide
Quoi qu'il en soit je suis allée en cours et y aller a pied m'a fait beaucoup de bien, j'aime bien marcher les matins frais
Ce midi j'ai mangé avec Nathan au Resto Universitaire c'était chouette, je suis rentrée juste après
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Liberté {Eustass Kidd x Reader} Parti 1
Je me réveille comme chaque matin, avec une lourde fatigue sur les épaules. tout dans ma vie allez de travers depuis la mort de ma mère il y a 2mois. les papier empilé, le courrier laisser au bas de la porte, un désordre complet dans un petit appartement de grande ville.
en prime de tout cela, ma relation ces brisée il y a 1 semaine, l'excuse de cette imbécile était ma dépression, mais les odeur qu'il porté sur lui chaque soir au retour de son bureau ne trompé pas. les autres femme aimée lui laisser leur odeur sur son colle de cravate.
quelque jours passé, avec ma routine habituel, remonté la pente était ma principale préoccupation. je suis une petite geek j'aime jouer au MMORPG de Pirate, mais je pratique aussi de la dance (pole dance, hot dance) cela reste un sport très physique et entretien à merveilles un corp. de plus offre du plaisir à dansé sur nos musique préféré.
la sonnette retentie dans l'appartement, je ne m'attendez pas a se qu'un notaire soit debout, face a ma porte.
Bonjour Mlle {Nom de famille} ?
Heu, Oui ? vous êtes ?
Je suis le notaire de vôtre Mère {Nom, Prénom}. je viens clore sont dossier et vous donné ces dernier bien laisser.
Dernier bien ? pardon mais... il me semble que j'ai déjà reçus mon héritage. faire un signe de sou avec les doigts.
Et bien actuellement nous parlons de bien, Matériel. il semblerais que vôtre mère possédé une grande parcelle de terrain de plus de 10 hectare, comptent a l'intérieur une maison de campagne, et un lac au milieu de ces bois.
heu.. entrée ! parlon a l'interieur. invitant le notaire a s'installé dans la cuisine.
après avoir signée les document restant, avec quelque explication et des renseignement sur ces lieu hérité. ma première réaction était de faire mes carton et de partir enfin de cette ville immense et pollué. remplis de personne indésirable..
Respirant grandement devant la porte de cette appartement maintenant vide, les clef a la mains et un petit sourire au lèvre, les souvenir revenant quelque instant, mais les balayant d'un geste de la mains.
Nouveau départ pour toi {Y/N} !
glisser la clef sous la porte de l'appartement suivant les consignes du propriétaire, même pas la décence de venir lui-même les récupéré. cliquant sur ma langue avant de descendre les escalier, ignorant les porte voisine, le rythme de mes pas s'accélérant vers l'excitation de découvrir cette héritage en personne. seul les photo était dans le dossier du notaire, donnant l'eau a la bouche de toute cette vue a couper le souffle, ces foret de pin a perte de vue, trônant en son centre le lac du nom de "Le lac Crystal". un nom curieux mais merveilleux.
s'éloignant de la grande ville, avec le camion de déménagement suivant la voiture de près, presque 12 heure de route était devant nous. cela allez être un long voyage, mais cela en vaudra la peine !
arrivant a 9 heure de route passé, les foret se fondé entre les champs, de plus en plus épais jusqu'à ne voir que des arbre de pin.
Donc la maison et au lieu de la foret ..? intéressant, je savais que tu avait toujours des gout particulier maman.. mais j'aime ton idée..
nous avons toujours eu des gout extravagant dans ma famille, surtout du coter des femmes, ma mère était attiré par se qui et mythologie, mystère et magie. j'ai hérité tout sa d'elle, mais j'ai aussi des penchant particulier pour se qui et du gore.. les films d'horreur des moment de torture mon toujours émoustillé, imaginé pouvoir faire se genre de torture au personne que l'on déteste m'intéresser. mais personne ne le sais.
Petit saut dans le temps. arrivé a la maison, le souffle coupé a la vue de la bâtisse dévoré par les plante grimpantes et le gazon qui avait poussé depuis son décès. le sourire grandissais sur mon visage et la motivation de pouvoir dompté mère nature m'as poussé a vite installée mes affaire, remerciant les déménageur de leur grande aides.
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La procrastination

La procrastination est ce petit démon intérieur qui nous pousse à remettre à plus tard ce que nous devrions faire maintenant. Que ce soit pour faire le ménage, réparer une fuite ou étudier, nous avons tou•te•s déjà cédé à la tentation de ne rien faire.
Les causes de la procrastination sont multiples. Il peut s'agir de la peur de l'échec, le fait de ne pas se sentir à la hauteur peut paralyser et inciter à remettre les choses à plus tard. Le perfectionnisme peut également empêcher de commencer une tâche, car la recherche de perfection absolue peut provoquer des angoisses à l'idée de ne pas pouvoir l'atteindre. Le manque de motivation est la raison la plus répandue de la procrastination. La plus grande cause de la procrastination est la procrastination elle-même, en effet, avec le temps, elle peut devenir une habitude et devenir chronique.
Il est possible d'être fatigué•e et de se dire que quelque chose peut attendre demain qu'on ait plus d'énergie, cependant lorsque la procrastination devient quotidienne, les conséquences peuvent être réelles. Elle peut provoquer du stress et de l'anxiété dus au sentiment de ne pas avoir le temps de tout faire. Il y a également une baisse de qualité du travail, car en reportant les tâches au dernier moment, nous sommes souvent obligé•e•s de travailler dans l'urgence. Les conséquences de la procrastination peuvent aller jusqu'à avoir un manque de confiance en soi, venant d'une impression de n'être pas capable d'atteindre ses objectifs.
La procrastination peut être cocasse pour la plupart des personnes, mais c'est un vrai problème pour d'autres qui pensent ne plus être à la hauteur. Cependant, la procrastination peut se travailler pour enfin la voir disparaître. Pour ça, voici quelques petits conseils :
⇲ Découpez vos tâches en petites étapes Une tâche complexe peut sembler insurmontable. En la divisant en plusieurs étapes plus faciles et rapides à faire, vous vous sentirez moins dépassé•e et donc votre non-motivation ne vous poussera pas dans votre canapé.
⇲ Créez un environnement de travail propice Eliminez les distractions et aménagez un espace de travail confortable et organisé. Vous pouvez également mettre de la musique entraînante, commencez à danser et dirigez-vous vers votre tâche à faire. Le fait d'être déjà en mouvement favorise l'activité. Personnellement, quand je manque de motivation et que je me sens fatiguée, je mets de la musique et j'attends son effet sur mon corps, et après "y a plus qu'à"
⇲ Utilisez des techniques de gestion du temps Il existe des applications qui consistent à travailler par intervalles de 25 minutes suivis de courtes pauses. ⚠️ Attention, cette technique ne convient pas à tou•te•s ! Personnellement, j'ai détesté, je préfère travailler de façon chaotique, du coup le fait de devoir finir une tâche en 25 minutes alors que j'en fais trois en même temps m'a énormément frustrée, vu que je n'y arrivais pas et ça a provoqué des petites crises d'angoisse.
⇲ Se récompenser ! Cette technique est ma préférée et en plus elle est efficace. Il vous suffit de vous récompenser de différentes manières une fois la tâche finie. ⚠️ La récompense doit être à la hauteur de la tâche ⚠️ Par exemple, vous avez réussi à rester concentré•e sur votre tâche plusieurs heures, une boisson chaude ne suffira pas. Personnellement, je m'accordais un épisode de 20 minutes d'une série que j'aimais à chaque fin de tâche et en fin de journée, c'était une heure, tranquille dans mon canapé avec un thé et quelques petits gâteaux devant une bonne série. Ça me permettait de me féliciter de ma journée et de me détendre avant de reprendre les tâches domestiques, entre autres.
La procrastination est un phénomène complexe qui peut avoir de nombreuses causes et devenir une vraie sale habitude. En comprenant les raisons qui vous poussent à procrastiner et en mettant en place des stratégies adaptées, vous pourrez améliorer votre productivité et atteindre vos objectifs. Souvenez-vous qu'une tâche faite n'est plus à faire, comme si vous arrachiez un pansement rapidement, la souffrance ne dure que quelques secondes. Vous souffrirez plus longtemps à remettre une tâche que de la faire tout de suite, vu que vous serez obligé•e de la faire tôt ou tard. Et surtout, n'oubliez pas que vaincre la procrastination demande du temps et de la persévérance. Soyez patient•e avec vous-même et célébrez CHAQUE petite victoire.
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Ces derniers jours ont été intenses. depuis que je suis arrivée ici la vie est mouvementée, souvent malgré moi, je me laisse emporter dans le tourbillon de personnalités hyperactives que j’arrive à équilibrer avec des jours plus calmes.
Vendredi après le travail je suis allée boire un verre avec du monde, on a commencé à parler des aurores (australes du coup) et il y a eu un grand mouvement de motivation pour aller les voir à la plage plus au sud, plus loin de la ville. C’était magnifique. Je n’avais jamais pensé dans ma vie que je verrais des aurores, ce n’était pas dans ma to do list et j’ai beaucoup de gratitude d’avoir eu cette chance, ce concours de circonstances d’avoir rencontré du monde, d’être à cet endroit dans le monde à ce moment là où le soleil s’est enflammé.
Hier je suis allée faire une mini rando avec mon coloc E et la Tasmanie c’est ça: tu fais 10-15 minutes de voiture, tu sors à peine de la ville et t’es dans la forêt, à la montagne, il n’y a que les cris stridents des oiseaux qui brisent le silence. Je fais du sport ~3 fois par semaine mais ma cardio c’est pas encore ça, j’étais complètement en nage et essoufflée par la montée haha j’ai toujours un peu honte mais bon tout le monde s’en fout je crois. L’après-midi j’avais un anniversaire et j’ai été un peu estomaquée des gens qui étaient là. J’ai pas envie de rentrer dans les détails mais on a fait une soirée pizzas et margarita maison, gros bordel dans la cuisine et vraiment personne n’a levé le petit doigt pour aider à ranger. Je m’affairais dans la cuisine à jeter, ranger, faire la vaisselle et frotter les surfaces et toutes les autres étaient assises à discuter ou juste sur leur téléphone (sauf Lulu, la seule que j’aime évidemment). C’est vraiment pas pour me jeter des fleurs!! mais je connais à peine D et pour moi c’est même pas envisageable de pas ranger alors qu’elle nous a accueillis et qu’elle a préparés plein de trucs, c’est mon éducation peut-être. Bref pendant toute la soirée c’était pas des personnalités agréables, on aurait un peu dit des ados au lycée mais avec 26/27 ans d’âge moyen c’est plus pareil. Heureusement il y n’y avait pas que ça mais je suis sortie de là un peu sonnée par ce groupe. Quand je suis rentrée on a parlé de musique avec Hugh et on s’est fait écouter des morceaux pendant une heure (il a adoré « je fume des clopes dans un blockhaus noir parce que je suis déprimé ») en buvant du thé ça m’a fait du bien.
Le décalage horaire avec l’Europe est dur à vivre, mes horaires libres ne coïncident pas bien du tout avec ceux de ma famille / amis / lover, c’est là que je ressens vraiment la distance vertigineuse qui nous sépare. Les lettres qu’on m’envoie mettent 1 mois à arriver.
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Cette année, je suis retournée au lycée. Après plusieurs années d'université et un service civique, j'ai décidé de m'investir dans un CAP Vêtement Flou au Lycée Adrien Testud (le Chambon Feugerolles, 42).
Cette année, notre classe de CAP a eu l’opportunité de faire partie des classes participantes au jury pour le prix Goncourt des Lycéens, visant à encourager la lecture auprès des lycéens et a élire un livre gagnant parmi une liste d’ouvrages parus durant la rentrée littéraire 2023. Nous avons démarré la lecture des livres en septembre 2023, et
participé à une conférence des auteurs à Lyon le 12 octobre 2023. Cet évènement a été mis en lien avec l’héritage de notre ville de Saint-Etienne : les rubans.
Dans le cadre du défilé de mode annuel du lycée Adrien Testud, notre classe a été chargée de réaliser des tenues uniquement en rubans, et sur le thème d’un livre choisi parmi la liste du prix Goncourt.
Lors d’une sortie au Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Etienne, nous avons eu l’opportunité d’en apprendre davantage sur cet héritage local qu’est la fabrication de rubans, voir des métiers Jacquard en action, et observer des pièces textiles réalisées uniquement en rubans. Mon choix s’est porté sur l’ouvrage le Grand Feu de l’autrice Léonore de Recondo.
Le récit prend place à Venise au XVIIème siècle, entre les murs de l’institution « la Pieta », un établissement visant à recueillir les jeunes filles abandonnées, et leur enseigner l’art de la musique. Notre personnage principale, Illaria, y est envoyée par ses parents afin d’apprendre le violon. Elle découvrira entre les murs de son école - mais également à travers ses différentes excursions chez son amie Prudenza - l’amour, la passion…
La contrainte des rubans a été sujette à de nombreuses réflexions lors de la construction du projet : comment créer sa matière ? Quel ruban, quelle couleur choisir ?
Après méditation, j’ai choisi d’axer mon projet sur les passages qui m’ont le plus marquée lors de la lecture du livre : le ruban rouge perdu par Illaria et ramassé par Paolo, le frère de Prudenza ; le liseré bleu dans l’ourlet de la robe d’Illaria ; le tissu mouillé de sa robe après sa baignade dans le canal avec son amie ; et les 32 lettres d’amour rédigées par
Paolo. Ces différents éléments ont été intégrés dans mon projet à travers la couleur, la texture et le placement.
Je suis particulièrement fière du travail réalisé sur cette tenue qui a nécessité de nombreuses heures de réflexion, travail à la machine comme à la main, et surtout de rendre hommage à l'héritage de ma ville.
Cette année à Testud m'a permis de renforcer mes compétences en couture de m'investir davantage dans mes projets, avec une grande motivation, ce qui m'a valu une admission en DNMADE Spectacle spécialité costume pour la rentrée prochaine !



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8 activités pour divertir les enfants sans écran
Bien sûr, il existe encore de nombreuses alternatives aux smartphones, tablettes et autres écrans de télévision pour divertir les enfants! Si vos enfants passent trop de temps dans le monde virtuel connecté, voici quelques idées pour qu'ils se divertissent autrement. Activités pour développer la fibre artistique Tous les enfants sont de petits artistes qui s'ignorent, donc il est bon de les aider à découvrir leurs talents. Dessin C'est un classique absolu, et aussi le plus simple à organiser. Le dessin est un moyen créatif de divertir vos enfants. Quelques crayons de couleur, des feuilles blanches et c'est parti ! Bien sûr, vous pouvez également investir dans un livre de coloriage, qui a l'avantage de guider les plus petits lorsqu'ils ne savent plus quoi dessiner. Et pendant que cette passion se développe, vous pouvez bien sûr aussi essayer la peinture et l'encre. Divertir les enfants en jouant d'un instrument Tous les grands musiciens ont commencé à s'amuser en faisant du « bruit » avant d'apprendre les techniques adéquates. Une flûte ou un piano sont des instruments simples que vos enfants peuvent utiliser pour découvrir la musique par eux-mêmes. Si cela leur plait, selon leur âge et l'instrument choisi, vous pouvez même les inscrire à des cours de musique. Activités pour se défouler Puisque les enfants sont pleins d'énergie, il est souvent nécessaire de trouver un moyen de leur permettre de faire de l'exercice physique. Corde à sauter pour divertir les enfants Elle a occupé des générations d'enfants et ne semble jamais devoir se démoder. Même si c'est devenu un vrai sport pour certains, cela reste avant tout une activité ludique qui permet de bouger et de s'amuser. Une fois que les enfants ont la coordination nécessaire pour l'utiliser, ils peuvent utiliser ces premières astuces que les débutants doivent apprendre. Châteaux gonflables pour les particuliers Bien loin des gigantesques châteaux gonflables des fêtes foraines, certains fabricants proposent des châteaux gonflables pour enfants qui peuvent être installés dans le jardin, comme sur https://bebopfun.fr/collections/all. Ces équipements de jeu sont idéaux pour que les enfants s'amusent comme des fous pendant des heures: il n'y a rien de mieux pour eux que de faire de l'exercice et de s'amuser en même temps. Activités pour apprendre à être créatif avec ses mains Quoi de plus satisfaisant que de créer quelque chose de ses propres mains? Les enfants adorent ça et ce peut aussi être utile. Pâte à sel C'est LA meilleure solution pour divertir les plus petits enfants. C'est facile à préparer à la maison, non toxique à ingérer (c'est de la farine et du sel) et elle peut être utilisée à partir de 2 ou 3 ans. Vous pouvez commencer avec des porte-crayons, puis réaliser des décorations de Noël, des citrouilles d'Halloween... Vous pourrez trouver des idées et des recettes pour des objets en pâte à sel dans ce guide. Cuisine, un excellent moyen de divertir vos enfants C'est un endroit idéal pour passer du temps avec votre enfant pendant qu'il apprend à cuisiner. De plus, vous ne pourrez pas refuser ces deux petites mains pour vous aider ! Pour motiver les plus petits au début, il n'y a rien de mieux que de cuisiner quelques desserts. Le gâteau marbré est une recette intemporelle, mais vous pouvez aussi préparer une mousse au chocolat, une crème anglaise ou même des meringues ! A voir : Choisir les vêtements enfants pour allier confort et mode ? Activités de socialisation Lorsque vous êtes en ligne, il est facile d'oublier ce que c'est que de socialiser dans la vraie vie et de vraiment passer du temps ensemble. Conversations au sein de la famille C'est tellement simple que personne n'y pense plus ! Nul n'est besoin de longues heures pour discuter des problèmes actuels, mais il est important de réserver du temps le soir pour parler en famille. C'est le moment de se raconter sa journée, de parler des projets du week-end... Cela aide les enfants à s'ouvrir, ce qui peut être un énorme avantage lorsqu'ils seront adolescents. Pour aller plus loin : Quels sont les meilleurs genres de livres pour les adolescents ? Jeux de société entre amis pour divertir vos enfants Bien sûr, les enfants préfèrent la console, et c'est aussi très bien. Mais de temps en temps, une partie de Trivial Pursuit, de Mastermind ou de tout autre jeu de société permet aux enfants de se parler. Les interactions humaines sont bien plus importantes ici que dans les jeux vidéo, et c'est encore une fois important eux. Read the full article
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Nostalgie. Qu'est-ce qui est le plus nostalgique pour vous ? Une odeur, une musique, une image, un lieu ? Je suis retournée, un peu par hasard, dans un lieu que je n'avais pas fréquenté depuis 10 ans. Je dirais que ce n'est pas un détail qui m'a frappé, mais plutôt cette ambiance globale qui régnait à ce moment et qui était déjà présente il y a dix ans. L'expérience était surtout visuelle, olfactive et gestuelle et se ressentait comme un tout. Elle réveillait en moi des souvenirs et expériences passées que non seulement j'avais oubliés, mais qui avaient contribué à construire ce que je suis devenue aujourd'hui. Je me suis revue longer les mêmes allées il y a dix ans. Je me suis replongée dans mon passé avec non seulement ce que j'effectuais dans ce lieu à ce moment-là, mais également la projection de qui j'étais à l'époque. Qui j'étais, ce qui me motivait et ce à quoi j'aspirais. La nostalgie du lieu amène avec elle le souvenir du chemin parcouru. Se crée alors un aller-retour constant entre le passé et le présent : ce que je suis devenue, ce que j'ai vraiment réalisé et ce qui me motive désormais. Il peut se jouer l'appréciation ou non du présent, l'envie de retourner dans ce passé révolu, l'envie peut-être aussi de recommencer, de ne pas faire les choses de la même manière, de prendre d'autres chemins. Que dirais-je à ce moi du passé ? Aurait-elle pu imaginer tout ce qui s'est déroulé ? Aurait-elle pu concevoir un tel futur ? En suis-je fière ? Je peux. Nous pouvons toujours être fiers. Rien que le fait de pouvoir se retourner dix ans en arrière et voir que nous avons réussi à mener notre barque jusqu'à aujourd'hui peut nous rendre fiers. Il n'y a pas besoin d'effectuer de grandes choses. On peut. Mais ce n'est pas obligé. J'ai donc ainsi croisé, histoire de quelques heures, mon moi du passé dans ce lieu dans lequel je ne pensais jamais retourner. J'ai pu voir à quel point j'avais moi changé dans ce lieu immobile que 10 ans n'avait pas altéré. L'expérience est amusante. Je pense qu'elle mériterait d'être effectuée à dose régulière. C'est ça, la magie de l'âge. Nous avons le privilège de pouvoir être nostalgiques d'un florilège de choses. #nostalgie #lieu
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Global Groove Show 003 w/ Neue Grafik Yazmin Lacey Blue November Joe Armon-Jones Madvilain Kin Kai and more
Global Groove Show 003 w/ Neue Grafik, Yazmin Lacey, Blue November, Joe Armon-Jones, Madvilain, Kin Kai and more Embarquez pour un voyage musical avec plus de deux heures de grooves mondiaux, une sélection éclectique où la soul rencontre le jazz et le funk dans une harmonie parfaite. Ce mix, soigneusement conçu, vous invite à découvrir des artistes de renom et émergents tels que Dips & Lo-Wu, dont les rythmes captivants se mêlent aux mélodies envoûtantes de Neue Grafik et Nubya Garcia. Laissez-vous séduire par la voix soul de Yazmin Lacey et les vibes innovantes de Blue November. Joe Armon-Jones apporte une touche jazzy, tandis que Madvillainy et Kin Kai ajoutent une dimension profonde et funky. Les amateurs de soul moderne seront ravis par 30/70 et The Soul Motivators, sans oublier les touches électroniques de Pyxis, Goldlink et Vikter Duplaix. El. Train, Henrik Schwarz, Ben Hauke et d'autres concluent ce voyage musical avec brio, offrant des sons qui enrichiront chaque moment de votre journée. Idéal pour accompagner vos trajets, votre travail ou vos moments de détente, ce mix est aussi le compagnon parfait pour vos soirées entre amis ou pour créer une ambiance unique dans un bar. Laissez-vous transporter par cette curation exceptionnelle, une véritable célébration de la diversité musicale. "Votre avis compte ! Laissez moi un commentaire pour partager votre morceau coup de cœur et n'hésitez pas à diffuser ce mix dans votre cercle. Plus on est de fous, plus on rit, et plus la musique résonne fort ! 💬👥" via Blogger https://ift.tt/thFVN3r March 24, 2024 at 06:00PM
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Mardi 7 mars 2023
Oh Caroline !
Encore une fois il a fallu que je me mette un coup de pied au cul pour me forcer à écrire ce soir. Ce n'est pas comme si je n'avais rien à dire mais la motivation n'est pas au rendez-vous. J'ai ouvert mon bloc notes virtuel et j'ai jeté un coup d'oeil à mes notes. Ca concerne essentiellement le concert auquel j'ai assisté il y a un peu plus de deux semaines lors du bond que j'ai fait à Paris.
Alors voilà, comme prévu, j'ai pris un train pour Paris où je ne devais rester qu'une journée pour voir ce fameux concert de Caroline Polachek et rentrer le lendemain après avoir passé une nuit à l'hôtel.
Le voyage en train s'est bien passé, j'avais de quoi lire, j'avais de la musique, aucun souci, en général j'apprécie les voyages en train et les trois heures et demi séparant Clermont-Ferrand de Paris sont passés plutôt vite.
Une jeune fille était assise à côté de moi durant tout le trajet. Elle avait un look intéressant et je me suis dit que j'aurai aimé faire sa connaissance, mais nous nous sommes échangés que quelques mots (je lui ai dit que si elle avait besoin d'utiliser la prise qui se situait de mon côté, elle n'avait pas à hésiter à me faire signe) et ce fut tout.
Arrivé à Paris, je suis allé acheter des tickets de métro (hors de prix) après avoir fait la queue pendant une demi heure interminable (je déteste attendre et j'ai aucune patience pour ces choses là). Puis ce fut direction l'hôtel, le même que celui dans lequel j'avais séjourné quelques mois avant. J'aime bien avoir mes marques, ce qui explique que j'ai choisi de séjourner encore dans cet hôtel relativement modeste.
Le soir venu, je me suis rendu à la salle de concert (salle Pleyel) après des trajets interminables en métro (j'exagère un peu).
J'ai immédiatement constaté qu'il y avait une queue importante devant l'entrée et je m'y suis mis, tout au bout. J'ai dû encore patienter relativement longtemps, ce qui est un peu idiot de ma part, puisque j'avais une place assise et numérotée, alors, nul besoin d'arriver avant tout le monde. Whatever...
Ce qui m'a sauté aux yeux, en voyant tous ces gens venus assister au concert, c'est la nature flamboyante de ces jeunes gens. Ils avaient presque tous des tenues extraordinaires, parfois complétée par un maquillage du même acabit, chez les filles comme chez les garçons. J'ai alors réalisé qu'il s'agissait d'un public essentiellement queer. Naïf comme je suis, je n'avais alors pas encore réalisé que Caroline Polachek était une sorte d'icône gay !
Ce public, je n' l'oublierai jamais parce qu'il était vraiment intéressant, complètement différent de celui que j'ai l'habitude de côtoyer lorsque je vais à mes habituels concerts de rock composés essentiellement de mâles hétérosexuels de plus de 50 ans au look tout ce qu'il y a de plus convenu.
Le fait seul de regarder tous ces jeunes gens extravagants était un divertissement en soi, mention spéciale à ce grand Noir au blouson de moto en cuir qui portait d'immenses platforms shoes, très impressionnant ! Et à côté, il y avait moi, me sentant comme un con dans mon vieux jean et avec mes vieilles Converses... Heureusement, en haut, j'étais vêtu d'un sweat-shirt à l'effigie de David Bowie : l'honneur fut sauf !
En entrant dans la salle Pleyel, j'ai encore eu le loisir d'observé encore un peu plus la faune locale et j'ai même pu croiser Pi Ja Ma, la chanteuse... Je suis très observateur, et il n'est pas rare que je repère des personnalités lorsque je me rend à des concerts parisiens (souvenir de cette fois où à l'Olympia j'avais repéré Pénélope Bagieu).
Ce fut ensuite le moment pour moi de me rendre à ma place située au premier balcon. J'étais en avance et j'ai eu tout le temps d'assister à la prestation de la première partie, une dj mixant de la musique électronique pendant un bon moment. Ca allait, c'était relativement agréable, même, j'avais vu pire, comme premières partie.
Et le moment qu'on attendait tous est arrivé, Caroline Polachek a fait son entrée en entonnant le titre qui ouvre son nouvel album sous les acclamations d'un public complètement fou de joie. L'album était sorti il y a moins d'une semaine avant et les gens connaissaient et chantaient les paroles par cœur, ce qui m'a bluffé.
J'ai vraiment beaucoup aimé le concert et j'ai pris un pied pas possible au moment ou Caroline a chanté So Hot You're Hurting My Feeling (et je n'étais pas le seul). Je dois même avouer qu'au cours de la chanson, un frisson a parcouru mon corps, chose qui m'arrive rarement, en concert (la fois précédente c'était en écoutant Pete Townshend chanter « don't cry, don't raise your eye, it's only teenage wastland »). Après tout, cette chanson était la chanson que j'avais le plus écoutant depuis quasiment quatre ans, alors, de l'entendre comme ça en live, ça m'a fait quelque chose (je suis un être sensible, vous savez).
Le concert s'est achevé et, comblé, j'ai filé très vite prendre un Uber pour rentrer à l'hôtel (il n'était pas question pour moi de faire le trajet en métro, vous comprenez, j'aime avoir mon petit confort et le taxi est le genre de luxe que je m'octroie à l'occasion).
Je n'ai rien à ajouter concernant ce séjour rapide à la capitale, si ce n'est que j'ai hâte de m'y rendre à nouveau.
Il faut que je prenne le temps d'adresser un clin d'oeil à Gladys qui est une fidèle lectrice (il m'en reste une poignée, je crois) et qui est la seule à me faire part de son attente lorsque je ne poste rien pendant une certain temps : Gladys, merci de me lire !
A la fin de la semaine, je suis censé voir Morrissey à Lyon en compagnie de Justine, alors je suppose que mon prochain récit sera consacré à cet événement.
Bande son : The Fine Art Of Self Destruction, Jesse Malin
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Il me trainait déjà dans la tête depuis un moment mais je m’y suis enfin mise : voici ma version du prompt des sept personnalités de @madame-claude. Sauf que c’est pas dans l’ordre, parce que bah l’inspiration non plus elle vient pas dans l’ordre et je suis pas en état de forcer au risque de bloquer ou d’écrire n’importe quoi.
Jour 1 : Prof
Le cerveau embrouillé et à moitié avachie sur sa chaise, Séli venait de refaire une découverte importante : Dans la vie il y avait pire que l’ennui de ne rien faire, il y avait aussi l’ennui scolaire. Pire encore : l’ennui scolaire quand vous aviez vingt ans et que vous deviez vous farcir votre conjoint fraîchement épousé en guise de tuteur.
Séli avait longtemps convoité un trône, que ce soit celui des pictes ou celui de Carmélide, mais jamais elle n’avait imaginé que pour devenir reine il fallait passer par un tel apprentissage. Les titres de tout le monde, même du plus petit chef de clan ainsi que toutes leurs terres. L’étiquette, comment saluer ou se faire saluer, quoi porter et avec qui, quoi dire et quand. Les langues, qui devaient être maîtrisées au nombre minimum de trois, avec pour obligatoire le brittonique et le francique. Elle avait d’ailleurs échappé au latin grâce à la haine que vouait Goustan aux romains, mais avait manqué de justesse de devoir se farcir l’ancien celte à la place. Il y avait aussi la géographie, son point faible. Il y a six mois de cela elle ne savait même pas tout ce qui pouvait bien se cacher au-delà du mur d’Hadrien, alors qu’on ne vienne pas lui demander quels duchés pouvaient bien se trouver sur le continent.
Il avait aussi fallut que ce soit Léodagan qui se dévoue pour lui apprendre tout ce merdier. On lui avait proposé d’appeler un précepteur mais elle avait refusé, c’était déjà humiliant devant son mari, s’aurait été bien pire devant un parfait inconnu qui aurait pu courir le royaume tout entier pour dire à qui le veut que la nouvelle princesse n’était rien d’autre qu’une grosse gourdasse.
Elle le regardait donc, caché derrière le tas de bouquins trainant sur la table le nez enfoui dans un manuel de politique, appréhendant sa prochaine question. Elle avait reçu une éducation chez les pictes, mais on ne l’avait jamais poussée autant : un minimum de littérature ainsi que l'essentiel des sciences, un peu de musique et de politique mais ça s’était arrêté là. On lui avait surtout appris à se battre, à chevaucher et pas mal de stratégie militaire. L’historique familial du roi d’Orcanie ou l’étendue des terres de Tintagel, ça lui était passé au-dessus.
Léodagan mit fin à la rêverie de Séli en lui tendant le livre qu’elle prit avec peu de motivation.
“Il est à qui le blason là ?”
Séli fixa la page avec désespoir, tentant tant bien que mal de se remémorer les cours qu’elle avait subis les semaines passées. Un fond blanc, des diagonales rouges…si simple et pourtant elle n’arrivait pas à remettre le doigt dessus.
“… De Gaunes ?”
“Raté. Le roi Ban.”
Séli balança le livre sur la table, encore une mauvaise réponse. Elle était assise là depuis des heures et rien n’avançait, elle en avait marre.
“C’est son frère, c’est pareil !”
“Non c’est pas pareil, y’a des détails noirs sur celui de son frère. Et quand vous l’aurez en face de vous, il vous donnera pas son petit nom alors vous avez plutôt intérêt à pouvoir le reconnaître !”
Elle leva les yeux aux ciel et croisa les bras sans prendre la peine de lui répondre. Il avait raison et ça l’aurait trop fait chier de l’admettre à voix haute.
“Ah non mais vous allez pas faire la gueule en plus hein ?! Non mais franchement, si déjà vous avez reçu une éducation militaire, vous pouvez pas me dire qu’on vous a jamais appris les blasons et les pavillons ?!”
“Si … ! Mais j’ai pas tout retenu ! Et puis moi ce qu’on m'a appris c’est que le premier type pas picte qui se pointe sans qu’on l'ait invité, et bah il se prend une lance dans sa tête ! On s’embêtait pas avec les bannières ! ”
Léodagan souffla d'exaspération et récupéra son livre avant de se remettre à le feuilleter frénétiquement. Il n’avait pas le temps pour les jérémiades de sa femme, le manuel contenait vingt chapitres que Goustan voulaient retenus avant la fin de la semaine pour une visite diplomatique imminente.
“Bon, ensuite-”
Séli se redressa subitement sur sa chaise. Elle était à bout, tout ce qu’elle voulait c’était aller prendre l’air, pas passer l’après midi à déchiffrer des armoiries pourries.
“Ah non ! Moi je laisse tomber ! Toute façon j’y arrive pas alors je vois pas pourquoi on s’obstine.”
Léodagan jeta un oeil à sa femme, son propre énervement s’évanouissant à la vue de la mine boudeuse qui lui faisait face. Il savait très bien que ces leçons la faisait plus chier qu’autre chose, il savait aussi qu’elle n’avait pas vraiment le choix mais pouvait comprendre sa lassitude. Après tout la Carmélide était réputée pour avoir les règles les plus strictes après celles de Tintagel. Mais il avait confiance, Séli finirait par retenir et elle ferait une merveilleuse future reine pour ses sujets.
“Mais non faut pas dire ça… Moi aussi j’ai galéré quand j'étais petiot, bon bah ça a bien fini par rentrer hein… ‘puis vous êtes adulte ça apprend pas pareil. Bon on fait une pause, ça peut pas faire de mal.”
Séli se leva sans demander son reste, son mari à sa suite. Une fois dans le couloir il embrassa sa femme dans une tentative de réconfort et celle ci n’y vit aucune objection jusqu’à ce que les minutes passent et que les lèvres de Léodagan divaguent lentement mais sûrement de sa machoire jusqu’à son cou, une main discrète se posant sur sa taille. Il fut stoppé net dans ses avances, repoussé par les mains de Séli sur son torse.
“Vous, rêvez pas trop.
Je couche avec les princes de Carmélide moi, pas les profs de géopolitique.”
#Les mille mots par contre c'est de la torture c'est pas gentil#Léodagan#Séli#Léodagan x Séli#Kaamelott
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Souvenir du gars Léon
Relisant une énième fois Thessaloniki antifa, au fond de ma chaise longue dans ma chambre de Lannion, je repense à la Grèce. Un souvenir me vient à l'esprit : celui de mon ami Léon.

Nous devions être un mardi du mois de mars. Je n'avais pas encore emménagé dans mon second appartement. Je ne sais pas comment j'ai réussi à trouvé la motivation de sortir ce soir là. Il faisait encore très froid et la bruine humidifiait l'atmosphère. Peu importe, après quelques coups de téléphone je retrouve mes ami-es Sıla et Selo à l’arrêt de bus de Kamara, direction Yfanet pour une soirée Punk.
L'ambiance est top, on pogote comme il faut en s'enfilant des cannettes prix libres. J'avais dit que je ne boirai pas : c'est raté. Tragédie, es deux ami-es turcs ont une sortie de prévue demain, ils me laissent donc en plan à la soirée. Je vais me resservir pendant l'entracte histoire de ne pas me déshydrater.
Mon coloc de l'époque Emi est sensé arriver "bientôt". Je me pose sur rampe de BMX prévue à cet effet pour siroter ma canouche. Un étrange type, manteau long, coupe de cheveux approximative s'approche et s’adresse à moi avec son meilleur anglais pour me demander l'heure. Étrange. A sa grande surprise nous sommes tous les deux dans la même situation, c'est à dire seul et pas du coin.
J'en profite pour papoter. J’apprends qu'il est estonien - pas commun - et qu'il s'appelle Léon. Le type est vraiment louche mais sympa. J'essaye de lui tirer les verres du nez pour comprendre ce qu'il fou là. Malheureusement il n'est pas très bavard. On se quitte, il va pisser et je pars retrouver toute ma team.
Après avoir bien saigné la piste de danse et perdu quelques points de vie dans les pogos, on en profite, avec Emi et Lounes, pour discuter avec deux camarades de camarades grecques rencontrer sur le tas. Une d'entre elle nous demande à partir de quand on se considère "ami" avec les personnes qu'on rencontre ici, loin de chez nous. Sa question nous laisse perplexe, on se sent con. Nous en général on considère qu'on est pote avec tout le monde.
Bref, en sortant on retombe sur ce bon vieux Léon qui était parti pisser pendant des heures. Il est toujours chauds pour faire la fête. Dommage pour lui à Yfanet le son se coupe à maximum 2h à cause du voisinage - c'est déjà pas mal pour un truc interdit.
Vu le manque de perspective de cette soirée de pleine semaine, tout le monde rentre chez soi. Je me retrouve à partager ma route avec ce vieux Léon. Il doit être 3h du matin. On discute de tout et de rien en anglais élémentaire. Il est plus bavard que tout à l'heure. En passant au niveau du restaurant universitaire, Léon me dit qu'il y mange matin-midi-soir. Vous vous demandez sûrement ce que ce mec fou à Thessalonique pour connaître tous les bons plans : moi aussi !
Léon est tout simplement là. Sans raison particulière. C'est son dernier soir en ville, ça fait deux semaines qu'il est là. Il crèche chez un gars rencontré au hasard lors d'un autre voyage - si j'ai bien compris. Son but c'est de voyager sans frais un peu partout où il peut. Ça fait plus d'un an qu'il fait ça.
Mon ami estonien me traîne dans les dortoirs de l'université - pas du tout sur ma route pour rentrer dormir. Selon lui il y a des soirées tous les soirs sur le toit. Le bâtiment est plus lugubre que n'importe quel bâtiment du Crous. Il fait bien dix étages et est entièrement tagué - à l’extérieur comme à l’intérieur.
On rentre dans l'immense hall ambiance soviétique. Le garde fait mine de ne pas nous voir. De grandes banderoles revendicatives sont déployés depuis les étages supérieurs. De la musique raisonne dans le bâtiment. On trouve l'ascenseur pour accéder au dernier étage mais on comprend très vite qu'il ne va pas falloir compter dessus. J'ai du mal à imaginer que des gens habitent ici vu la gueule des couloirs.
Arrivé sur le toit, c'est le calme. Dans la nuit noir, les lumières de la ville côtoient celles des portes conteneurs amarrés dans le golf. Pas de soirée en perspective mais un très bon spot pour admirer le couché du soleil. Il faudra y revenir plus tard. Mon ami se met en quête de trouver la source de la musique. On redescend donc au 3ème étage. Dans une pièce, à la porte d'entrée cassée, quelques étudiant-es profitent de leur after, le son à fond. Après avoir tergiversé, Léon rentre dans la pièce et salut ses occupants. Il sort une minute plus tard. Malaise, on s'en va.
Je ne comprends pas bien pourquoi il est rentré dans la pièce. Il me dit : "à chaque fois c'est comme une douche froide, on ne s'y habitue jamais". Je pense qu'avec le temps on prend l'habitude de ce genre de pratique. Apparemment pas Léon. On a le même âge. Il a fini ses études il y a un peu plus d'un an. Il pensait qu'en faisant une licence de chinois il finirait bien pas tirer son épingle du jeu. Que nenni, il me dit en rigolant "et je parle même pas chinois" !
On reprend notre route. Je suis exténué. Léon n'est pas en reste puisqu’il va tenter d'aller à une autre fameuse soirée "underground". Un club dont il a entendu parler. Pour y rentrer il faudrait selon lui trouver au hasard d'une rue, des gens qui attendent devant et pousser la porte.
(Plus tard j'irai dans ce club, le Lula, qui n'est pas si underground car trouvable sur instagram, mais qui vaut clairement le détour. On y croise tout genre de personnes : punks, tecno-freaks, marginaux en tout genre. La musique y est bonne, la bière pas chère et l'endroit vraiment glauque. J'ai croisé là bas un jeune Dj tunisien et vieux rockeur suisse avec qui j'ai passé la soirée. Je n'ai pas eu la chance d'y retourner mais si je pouvais j'irais à nouveau)
Bref, on continue à parler. Il me raconte que dans deux jours il a un vol pour Budapest avec un jour d'escale à Vilnius. Le vol le moins cher. Il s'envole pour la Hongrie pour "assister" aux élections présidentielles. Il me dit que dans tous les cas il est gagnant : soit Orban est réélu et la colère va s'exprimer dans la rue (ça ne sera pas le cas), soit Orban perd face aux cartels de l'opposition et ça sera une énorme fête partout. Drôle de concept.
Notre discussion arrive à sa fin. Je salut mon ami une dernière fois et prend son contact au cas ou. Il est environ 6h du matin. Léon m'a envoyé un message quelques heures plus tard en me disant qu'il avait adoré le Lula même s'il n'y avait plus de musique et plus de personne.
Un chic type Léon comme on en croise pas tous les jours !
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DNMADE
Bonjour, je m'appelle Charlotte Murat et je suis en Terminale Générale et j'ai décidé de postuler dans votre école car les sujets comme l'art et le design m’intéresse beaucoup et j'aimerai me perfectionner dedans si possible.
Grâce au confinement de mars 2020 je me suis découvert différents passe-temps.
Tout d'abord j'ai regardé énormément de films et séries surtout dans la catégorie horreur, actions et animé. Le graphisme dans les films et toutes la technologies mise derrières me fascinent depuis toutes petites surtout dans des films comme Avatar ou encore les Marvel qui sont des films utilisant beaucoup de fonds verts et autres types de technologies. J'ai aussi commencé à m'intéresser aux
animés qui eux aussi cache un énorme boulot derrière avec tous les dessins et l’animation parfaite lors de combats ou on ne voit aucune coupure tel que dans l'animé « Attack On Titan » ou encore dans « My Hero Academia ».
Mais j'ai des passes-temps qui sont présent depuis ma plus tendre enfance comme la coiffure, n'aimant pas avoir mes cheveux non préparé j'ai du apprendre très tôt à le faire moi-même.
Le vernis est aussi devenus une sorte d'art pour moi lorsque je m'ennuie et que je ne sais quoi dessiner. Mais le maquillage reste la forme d'art (avec la tatouage) que j'adore pratiquer sur moi, j'aime exploré de nouvelles choses même si ce n'est pas toujours une réussite, j'en apprends toujours pour la prochaine fois.
Le sport est aussi l'un de mes centres d’intérêts que je pratique depuis toujours et que je n'arrêterai jamais de faire je pense. Ayant pratiqué de l'équitation en compétition (CROSS, CSO et dressage) depuis toujours et étant en contact avec des animaux de puis ma naissance j'ai toujours apprécié la nature et leur présence. J'ai ensuite changé de sport et suis passé à la boxe anglaise, étant casse-coup de nature cela n'a pas étonné ma famille qui m'a tout de suite suivie dans ma passion que je pratique depuis maintenant 4/5 ans, j'ai d'ailleurs décidé si possible de continuer à en faire en tant que professionnel et en tant que métier mais si cela s'avère impossible me rabattre sur entraîneuse et succéder à mon entraîneur (métier qui ne me prendra pas tout mon temps c'est pour cela que je veux faire d'autre étude).
En plus des films, les jeux-vidéos sont un de mes passe-temps qui se rapproche beaucoup aux graphisme et qui m’intéresse beaucoup surtout les jeux-vidéos narratifs tels que « Beyond two soul », « Heavy Rain » ou encore « Detroit » et « Spiderman », je les ai tous finis. Les histoires faites à l'intérieur et le concept de pouvoir changer l'avenir selon nos choix me plaît beaucoup et m'intriguent.
Ma sorte d'addictions à la technologies perd mes parents qui sont peu doué dans ce domaine mais qui sont tout autant fasciné que moi.
Hélas pour eux, l'une de mes plus grande addictions est la musique que j'écoute à longueur de journée si je le peux, de tous les styles et à toutes heures.
Comme je vous l'ai dis au départ je suis en spécialités Mathématiques et Biologie-Ecologie. J'ai choisi les maths car c'est une matière que j'affectionne tout particulièrement. Et la Biologie car je m’intéresse beaucoup au corps humains et au cerveau humain, c'est aussi une matière qui me permet de comprendre mon propre corps ce qui s'avère bénéfique en tant que sportive. De plus, c'est une matière qui demande beaucoup de minutie.
J'ai décidé de vous parlez en dernier de mes dessins car je vais surtout vous les montrez, étant donné que je vous ai tout dit dessus dans ma lettre de motivation.
Ce ne sont que mes travaux les plus réussis.
Au-revoir, en espérant vous en avoir assez appris sur moi.




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💙 Meet the artist ! 💙
Bonjour !! Ce premier post est un "Meet the artist" pour que vous en sachiez d'avantage sur moi ! 😊

J'ai créé cette image ( grâce à ma tablette graphique ) en m'inspirant du concept "Meet the artist" que j'ai pu voir quelques fois sur cette plateforme, consistant à donner des informations sur moi pour mieux me connaître, moi et mes approches artistiques ! Ici, j'ai collé un dessin de moi réalisé en quelques heures avec mon logiciel Clip Studio Paint ( où j'ai pu y intégrer des éléments essentiels de mon style comme les t-shirts amples, mon eye-liner, ma boucle d'oreille en forme de croix, mes longs cheveux blonds... ), et j'ai ajouté un premier fond en marbre bleu rappelant ma couleur préférée ainsi que quelques informations importantes sur moi dans les bulles ! 🍀
- Les informations dans la bulle "ce que j'aime" représentent aussi ce qui m'inspire dans la création de dessins ou ce qui m'aide à me concentrer et à garder de la motivation pour des dessins complexes pour mon niveau, c'est le cas pour la musique !
- Les informations dans la bulle "dessin" représentent les genres artistiques que je pratique, du moins les principaux. Pour ce qui est du style "manga", je suis actuellement en train d'essayer de faire le mien en créant donc tous mes personnages, leurs apparences, un univers qui me parle et me fait voyager...j'aime dessiner dans ce style car c'est donc ma passion, et je trouve ça vraiment formidable de savoir dessiner pour pouvoir poser une image sur l'histoire que je suis en train d'imaginer !
Ci dessous, des petits exemples de mes brouillons sur lesquels je travaille le design de mes personnages

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Bons ou pas, les jeux vidéo?
Petite famille quelque peu marginale vivant à l’orée de la forêt, pratiquant la permaculture et faisant de la cueillette de petites baies sauvages une activité en soi, nous privilégions les soirées de jeux de société. Le peu de télévision que nous écoutons se fait à l’aide d’une connexion internet instable et peu rapide. Une fois par six mois, quel privilège !, on offre à nos trois filles de jouer à Mario Kart sur le vieux GameCube de mon chum. La joie ! Mais voilà que j’apprends, de la très crédible émission Découverte à Radio-Canada, que les jeux vidéo pourraient être bénéfiques pour le développement du cerveau de mes enfants.
Bénéfiques ou pas ?
D’un côté, on nous vante le fait que les jeux vidéo augmentent, chez les adeptes, leur rapidité de réaction, leur concentration, leur vision périphérique, leur capacité à effectuer plus de deux tâches en simultané, bref, quel parent voudrait priver son enfant de tous ces bienfaits ? D’un autre côté, on nous parle abondamment des risques de dépendance reliés à la pratique de jeux vidéo. Or, j’ai tenté de me faire une nouvelle opinion sur le sujet puisque je me suis donné, il y a quelques années, la mission de faire vivre une panoplie d’expériences variées à mes enfants afin de favoriser l’émergence de leurs passions et de leurs talents. Au programme : voyages, musées, sciences, lecture, cours de musique, cours de danse, gastronomie chez tante Élisabeth, mais jamais je n’ai pensé les faire jouer à des jeux vidéo…
La Société canadienne de pédiatrie recommande de bien gérer l’utilisation des écrans et d’en faire une utilisation constructive. Il est suggéré de favoriser les relations interpersonnelles, de faire des activités physiques et d’avoir une bonne hygiène de sommeil. Pour ma part, je constate que mes enfants passent, en moyenne, trois heures par jour devant le tableau numérique interactif en classe[1]. Combien de temps reste-t-il pour la télévision, l’ordinateur, la tablette ou les jeux vidéo à la maison ? Disons qu’une bonne partie de tague au grand air sera bien bénéfique !

Jeune enfant qui joue à un jeu vidéo. Photo : Sigmund sur Unsplash
Au fil de mes lectures sur le sujet, une certaine contradiction m’est apparue. D’une part, les jeux vidéo favorisent la vitesse de traitement de l’information, la motivation et la concentration[2], mais, en contrepartie, ils ont pour effet d’écouler la réserve de dopamine du corps, ce qui rend la personne moins attentive, plus émotive et parfois même agressive pour quelques heures, le temps que la réserve se refasse[3]. Pour moi, mère jusqu’ici néophyte sur tout ce qui touche à ce domaine, l’équation n’est pas bonne. Game over.
Quels jeux vidéo choisir ?
Véronique Bohbot, professeure au Département de psychiatrie de l’Université McGill et chercheuse à l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, a observé lors de sa dernière recherche[4] que les jeux d’action tels que les jeux de tir à la première personne stimulaient le développement des noyaux caudés (structure du cerveau reliée au système de récompense et donc aux automatismes), et ce, au détriment de l’hippocampe (partie du cerveau qui aide les gens à s’orienter et à se souvenir de leurs expériences passées). Malheureusement, un petit hippocampe est associé à un facteur de risque de dépression, de schizophrénie, de syndrome de stress post-traumatique et d’Alzheimer. Il est aussi présent chez les personnes ayant des troubles obsessifs compulsifs, des troubles bipolaires ou un TDAH. Plus il y a de matière grise dans l’hippocampe, plus l’ensemble du cerveau est en bonne santé. Pour développer l’hippocampe, et non les noyaux caudés, il faut choisir des jeux de plate-forme qui vont stimuler la mémoire et l’attention en offrant, entre autres, les éléments suivants : création d’images mentales de l’environnement, exploration spatiale, logique et rapidité de réaction.[5]
On se lance ?
Donc, si on résume, on joue à des jeux vidéo de type plate-forme, pas trop longtemps puis après on va jouer dehors pour refaire notre réserve de dopamine en faisant de l’activité physique à l’air frais. Je suis prête à l’essayer et vous ?
— Les enfants ?…

Enfants jouant dehors. Photo : Annie Spratt sur Unsplash
[1] Marine CORNIOU. « Temps d’écran: que se passe-t-il à l’école et dans les services de garde? », Québec Science, 28 mars 2019.
[2] Marie-France HAINEAULT (révision scientifique) et équipe de rédaction de Naître et Grandir, « Le pour et le contre des jeux vidéo », mars 2015.
[3] Olivia LÉVY. « Attention aux écrans », La Presse+, 19 décembre 2016.
[4] Philippe MERCURE. « Les jeux vidéo peuvent attaquer la matière grise », La Presse+, 8 août 2017.
[5]Michèle SIROIS. « Jeux vidéo : Peuvent-ils améliorer notre mémoire ? », Le groupe Maurice, 24 avril 2019.
Webographie
CORNIOU, Marine. « Temps d’écran : que se passe-t-il à l’école et dans les services de garde ? », Québec Science, 28 mars 2019.
HAINEAULT, Marie-France (révision scientifique) et équipe de rédaction de Naître et Grandir, « Le pour et le contre des jeux vidéo », mars 2015.
LÉVY, Olivia. « Attention aux écrans », La Presse+, 19 décembre 2016.
MERCURE, Philippe. « Les jeux vidéo peuvent attaquer la matière grise », La Presse+, 8 août 2017.
SIROIS, Michèle. « Jeux vidéo : Peuvent-ils améliorer notre mémoire ? », Le groupe Maurice, 24 avril 2019.
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1ère observation à l’école maternelle Charles Perrault :
Vendredi 13 novembre - 14h25
Je suis arrivée juste après la pause déjeuner des élèves, et donc au début de l’après-midi. J’étais dans une classe de grande section de 21 élèves, les enfants avaient donc tous environ 5 ans, hormis quelques-uns qui avaient redoublé. J’étais dans la classe de la directrice de la maternelle, l’enseignante avec qui j’avais pris rendez-vous. En plus de l’enseignante, il y avait une aide pour un enfant handicapé, qui est malentendant et une étudiante exerçant un service civique. Aujourd’hui, il n’y avait pas d’ATSEM car elle était en congé maladie.
La classe est bien organisée et est séparée en différents coins. Effectivement, il y a par exemple un petit coin bibliothèque, avec des livres et des peluches. Il y a aussi un coin jeu, où il y a de la dinette, des poupées, un tapis de petites voitures… Mais, il y a aussi un grand tableau, comme il y aura à leur arrivée en primaire, avec l’alphabet au-dessus, des suites de chiffres, une affiche expliquant comment tenir son stylo… Je remarque aussi un “tableau des services” permettant aux enfants tour à tour de rendre un service à la classe et d’avoir des responsabilités. Ils doivent alors gérer la lumière, effacer le tableau, décrire la météo, distribuer les cahiers et les feuilles, sortir et ranger le matériel, écrire la date et même nourrir les poissons. Le fait d’avoir des animaux dans la classe instaure aussi une bonne ambiance.
Au niveau des mesures sanitaires, il y avait 5 grandes fenêtres et deux portes, une bonne aération était alors possible. Il y a aussi des affiches du ministère de la santé au niveau du portail et de la porte d’entrée, avec les rappels des gestes barrières. Il y a également un grand flacon de gel hydroalcoolique pour les adultes. Les enfants doivent toujours se laver les mains à chaque fois qu’ils changent de pièce, qu’ils éternuent ou qu’ils se traînent par terre. Toutefois, la maîtresse redit souvent qu’il faut éternuer dans son coude. Toutes les tables et les objets utilisés par les enfants sont désinfectés ou mis en quarantaine. De plus, ils n’ont pas le droit de sortir des objets provenant de la maison en classe. Alors, même s’il est plus difficile de respecter les gestes barrières avec une classe d’enfants en bas-âge, l’école prend beaucoup de précautions. Sabrina m’a même dit qu’il n’avait pas eu un seul cas positif sur les 86 élèves de l’école.
Les enfants m’ont très bien accueillis, ils étaient tous au courant de ma présence. En effet, l’enseignante avait créé une étiquette à mon nom pour me présenter et elle leur a expliqué ce que je faisais. Toutefois, ma présence les a perturbés, en particulier une élève. Pour cause, la maîtresse lui a fait une remarque sur son changement de comportement, à cause de ma présence. Elle se mettait à parler “comme un bébé” et demandait tout le temps son “doudou”.
Dès que je suis entrée dans la classe, ma première surprise fut que les enfants arrivaient à voir nos expressions à travers le masque. En effet, je leur souriais beaucoup et il réussissait à le capter et me le retournait. Ainsi, ils arrivent à comprendre les expressions de leur maîtresse, ce qui est déjà un bon point dans leur relation. On voit alors une certaine habitude, ils arrivent à s’adapter. En effet, il faut se souvenir que les enfants de maternelle étaient les premiers à revenir à l’école en mai. J’ai également remarqué qu’il y a des enfants beaucoup plus réceptifs que d’autres, certains voient mon sourire mais sont intimidés par une nouvelle personne.
L’activité de l’après-midi était de faire écrire aux enfants leur prénom avec premièrement des “kapla”, des petites pièces de puzzle appelées “clips” et des sortes de tiges en plastique. Cet exercice présentait un aspect créatif. Effectivement, les enfants avaient tous une manière différente de former leurs lettres et certains faisaient attention aux couleurs des pièces de puzzle qu’ils utilisaient, pour créer une certaine harmonie. Toutefois, cette activité leur permettait aussi de mieux manier la langue, en apprenant à comment former les lettres capitales et à bien maîtriser les sons et les lettres de leurs prénoms. L’enseignante, à la demande d’un élève, a mis de la “musique douce”, ce qui a apaisé les enfants. Cela leur permet de se mettre dans une bonne ambiance de travail.
Cette activité se faisait de manière individuelle, toutefois, les enfants sont installés en petits groupes, peut-être pour créer des liens avec les autres à l’aide de l’exercice. En effet, il ne faut pas oublier que l’école maternelle inculque l’esprit du “vivre-ensemble” et a pour but de socialiser les enfants.
On sent à travers l’attitude et les expressions des enfants qu’ils apprécient beaucoup leur maîtresse. Pour cause, ils n’hésitent pas à lui demander de l’aide et lui sourit beaucoup. Néanmoins, j’ai remarqué que les enfants timides demandaient beaucoup moins d’aide à la maîtresse quand ils en ont besoin. Par exemple, une, qui est venu s’installer à côté de moi pour écrire son prénom avec les clips, n’arrivait pas à finir son prénom, et ne demandait aucune aide. Elle se mettait aussi beaucoup à l’écart vis-à-vis de ses camarades. Mais, en règle générale, les enfants allaient demander de l’aide à la maîtresse, qui est beaucoup plus douce et proche d’eux, plutôt qu'à l'étudiante qui était beaucoup plus froide. Par exemple, quand j’ai proposé mon aide à un élève, car il ne réussissait pas à faire son S, elle haussa le ton avec lui, ce qui lui donna les larmes aux yeux. Il a alors fini son travail en silence.
Lors de l’activité, l’enseignante était constamment en mouvement, et allait voir tous les élèves un à un. Elle encourage tout le monde à participer et à demander de l’aide quand ils en ont besoin. Elle reprend d’ailleurs les enfants quand ils essaient de parler à la place de leur camarade. Quand les enfants ne réussissent pas, elle les soutient et les encourage à réussir seul. Ce n’est que plus tard, quand ils sont réellement bloqués qu’elle les aide vraiment en les accompagnant dans l’exercice. Ainsi, elle préfère laisser chaque enfant aller à son rythme mais à être assez autonome. Quand ils réussissent, elle les félicite et leur caressent les cheveux, ce qui les motive à poursuivre les ateliers. Elle utilise aussi souvent l’humour pour détendre les enfants et les recadrer gentiment quand ils commencent un peu à se dissiper. A la fin de l’exercice, elle prend en photo leur prénom, ce qui les pousse aussi à finir l’exercice, puisque leur travail est valorisé. La maîtresse m’a expliqué que c’était un moyen d’évaluer les enfants. En effet, il possède un carnet d'évaluation avec toutes les photos des exercices accomplis. Quand un enfant ne réussit pas totalement l’exercice, au lieu de marquer : “Je n’arrive pas à”, elle marque : “J’essaie de”. Quand ils ont fini de faire tous les ateliers, ils peuvent aller se détendre dans le coin bibliothèque et lire tranquillement. Cette récompense les encourage aussi à travailler. A la fin de la journée, l’enseignante lit une histoire à tous les enfants, même ceux qui n’ont pas terminé l’exercice, afin de récompenser tout le monde. Ce moment est très apprécié par les élèves. De plus, elle prend le temps de faire réciter à un des élèves les couleurs qu’il observe sur le livre.
Au fil du temps, on voit que certains enfants n’arrivent plus à tenir en place et à rester sur leur chaise tranquillement et à continuer l’exercice. La classe est alors beaucoup plus agitée et la maîtresse doit les “gronder” un peu pour garder le calme. Toutefois, comme les enfants ont l’air de bien s’entendre avec elle, ils se tiennent plutôt bien et se remettent à leur travail. Aucun élève n’a de comportement agressif ou essaie de rentrer en conflit avec elle ou un autre enfant. Ainsi, malgré un long moment à la maison, sans retourner à l’école, les enfants n’ont aucun mal à être en collectivité et sont encore très proches de leur maîtresse. Elle m’a expliqué que ces élèves-là, qui étaient en moyenne section l’année dernière, ne revenaient qu’une semaine sur deux, pendant la période mai/juin. De plus, on observe pas vraiment de décrochage, tous les élèves essaient, même si certains abandonnent plus vite.
Je me suis également rendue compte que le geste barrière de la distance est impossible à appliquer en maternelle. Pour cause, les enfants ont toujours besoin d’avoir un contact avec les autres, que ce soit avec leurs amis, ou leur maîtresse.
On voit aussi au fil du temps, que certains élèves ont beaucoup plus de difficultés que d’autres. Pour cause, certains ont tourné sur les 3 ateliers en moins d’une heure, tandis que d’autres n’ont pas terminé dans les deux heures. L’enseignante me dit alors qu’au bout d’un moment, elle se concentre sur les élèves en difficulté et laisse en totale autonomie les élèves les plus à l’aise. Et effectivement, en l’observant, je vois que c’est ce qu’elle fait. Par exemple, elle ignore une élève qui abandonne l’exercice et qui se laisse tomber sur sa chaise, car elle dit qu’elle n’a pas besoin d’aide, qu’elle fait juste preuve de mauvaise volonté pour cet exercice.
Au niveau de la relation avec les autres enseignants, la maîtresse est partie intervenir dans l’autre classe quand elle a entendu beaucoup de bruit. On voit alors qu’il y a une certaine entraide avec ses collègues. De plus, l’autre prof, est venue voir la directrice pour se plaindre du masque qui était trop grand pour elles et ont donc passé quelques minutes à rigoler ensemble. On voit alors que les deux profs s’entendent bien. De plus, avant de reprendre les cours l’après-midi, l’enseignante a demandé des nouvelles de sa collègue (elle aussi institutrice dans l’école) pour lui demander comment s’était passée son opération.
A la fin de l’après-midi, j’ai vu que chaque élève avait un cahier de vie. L’enseignante m’a expliqué qu’il servait à raconter les choses un peu “exceptionnelles” qu’ils ont faites dans la semaine, comme aller au cinéma, aller à la bibliothèque… Toutefois, vu la situation actuelle, le cahier de vie n’est pas très rempli. Ce sont alors les enfants, à l’aide de leurs parents, qui racontent s’ils le souhaitent ce qu’ils ont fait le week-end. Ainsi, on voit que les parents ont un rôle dans la scolarité de leurs enfants. On peut imaginer voir émerger certaines divergences en regardant les cahiers de vie des enfants, avec des activités très différentes, ou avec des cahiers moins remplis que d’autres.
Mon observation s’est terminée à 16h25, heure où tous les enfants sont partis soit avec leurs parents, soit à la garderie. Les enfants avant de partir me racontaient qui venait les chercher et si j’allais revenir les voir.
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