#trois militaires
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kingonews · 2 years ago
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PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE: TROIS MILITAIRES DE LA GARDE RÉPUBLICAINE EN DETENTION PRÉVENTIVE POUR AVOIR VOLÉ DE L'ARGENT.
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE: TROIS MILITAIRES DE LA GARDE RÉPUBLICAINE EN DETENTION PRÉVENTIVE POUR AVOIR VOLÉ DE L’ARGENT.
Trois militaires en fonction à la présidence sont en détention préventive pour avoir volé de l’argent. Détenus après présentation au procureur près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), ils étaient en audience lundi dernier, mais seront jugés en décembre prochain.En audience le lundi 21 novembre 2022, il a été révélé, selon les fait relatés par un chef…
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vicnormansstuff · 4 months ago
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🏴‍☠️L’orgueilleuse devise des formations d’assaut italiennes durant la grande guerre : « Me ne frego » (Je m’en fous), écrite sur le pansement d’une blessure, n’est pas seulement une profession de philosophie stoïque et le résumé d’une doctrine purement politique : c’est l’entraînement à la lutte, l’acceptation des risques qu’elle comporte ; c’est un style nouveau de vie italienne. C’est accepter et aimer la vie, ignorer le suicide et y voir une lâcheté ; c’est comprendre la vie comme un devoir, une élévation, une conquête : la vie doit être haute et pleine : vécue pour elle-même, mais surtout pour les autres, proches et lointains, présents et futurs…
Le 15 juin 1918, le commandant Freguglia convoqua le capitaine Pietro Zaninelli et ordonna une attaque contre les Autrichiens retranchés à la " Casa Bianca " de Montello. Il était essentiel de conquérir le bâtiment mais, et le major l'a bien précisé, c'était une mission suicide. Zaninelli a répondu - et est-ce une légende ou une histoire ? Le courage et l'abnégation doivent être estimés : "Monsieur le commandant, je m'en fous (Me Ne Frego), faites ce que vous avez à faire pour le roi et la patrie".
Et c'est ce qu'il a fait, obtenant la médaille d'argent de la valeur militaire pour sa mémoire avec cette motivation : "Il a été mortellement blessé par une mitrailleuse ennemie à la tête de l'Arditi de sa compagnie, après les avoir menés à trois reprises à l'assaut d'une position ennemie au chant de l'hymne du bataillon"…
Via la cagoule 1937
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hastalavistabyebye · 2 months ago
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Les clones et Mandalorians devraient avoir trois types de chants : des chants militaires/haka, des chansons à boire et des chansons paillardes.
Peut-être que les Mandos ont moins de chansons paillardes et plus de chants militaires (et contines pour enfants) que les clones. Mais ça devrait être la base de leurs cultures musicales.
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francepittoresque · 4 months ago
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2 août 1802 : Bonaparte est nommé consul à vie ➽ https://bit.ly/Bonaparte-Consul-Vie En exerçant le consulat, Bonaparte faisait l’empire. Faisant marcher de front trois grands projets, qui tendaient au même but, il voulut constituer le clergé, qui n’avait encore qu’une existence religieuse ; créer un ordre militaire, permanent dans l’armée ; rendre son propre pouvoir, d’abord viager, ensuite héréditaire
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claudehenrion · 1 month ago
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Le trou...
Cela fait deux ou trois jours que je vous parle de ce ''trou'' gigantesque qui, si j'ose m'exprimer ainsi, a... fait surface ( ce qui est rare, pour un trou !). Au début, personne n'y a porté la moindre attention : au point d'effondrement où en est la France, un trou de plus, un trou de moins... c'est kif-kif, comme on dit dans nos banlieues exfiltrées des ''territoires de la république'' (comme on dit sous les ors des plafonds de nos palais nationaux).
Mais tout de même, la taille pratiquement illimitée de celui-là a fini par exciter trois ou quatre sénateurs de Droite, et ce trou s'est transformé en ''bulle d'air'' qui, elle, est remontée lentement à la surface. Parce que 52 milliards, et en euros, en plus, ''c'est pas rien'' ! Ça se compte en plein de tranches de trois zéros accolés, dans le genre 000 000 000... C'est un nombre que l'esprit humain est bien incapable de se représenter. Alors... comme Bruno Le Maire et ses (très mauvais) conseillers ne sont plus là pour faire blocage et nous expliquer que c'est nous qui sommes très cons de ne pas passer tout notre temps à les admirer, une timide commission d'enquête va se mettre à ... ''commissiond'enquêter'' sur le pourquoi et le comment de ce miracle à l'envers.
''Le mystère du trou''... Quel beau titre cela serait, pour un ''thriller'' d'Alfred Hitchcock... Dommage que ce ne soit pas du tout ce dont il s'agit ! Les nombreuses questions tournent toutes autour de ''qui a fait ce trou, quand, comment, pourquoi ou pour qui''... et aussi : ''Comment se fait-il que personne, absolument personne, ne se soit aperçu de cette anomalie et ne se soit demandé ce qu'il y avait dedans et où avait bien pu passer sa juteuse moelle''? Car tout ce qu'on en a retiré (de ce trou, d'abord en formation puis dans la gloire de sa maturité), à quoi est-ce que ça a servi, et où est-ce que ceux qui l'ont creusé ont-ils bien pu foutre tout ce qu'ils en ont retiré en le creusant ?
Et qui me dit, à moi --car ''in fine'', c'est quand même moi qui vais être volé par le fisc encore plus que je n'aurais dû, pour le combler !-- qu'un autre creuseur de trou (quel beau métier... et quel beau débouché pour un ex-énarque !) n'est pas en train d'en creuser un autre ? Je ne peux pas m'empêcher de ressasser cette vieille phrase courtelinesque que j'ai apprise à mes dépens (déjà !) pendant mes ''33 mois et 26 jours'' (sic ! Comptés un par un au cri de ''La quille, bordel'' !) de service militaire dit prolongé : ''Pour boucher un trou, il suffit d'en creuser un autre, plus grand, juste à côté''...
Mais j'ai plein d'autres questions pour le ou les creuseur(s) de ce trou (car on peut exclure d'ouverture d'enquête qu'il se soit creusé tout seul !): Où a-t-il ou ont-ils mis tout ce qu'ils en ont extrait, de ce trou ? Car ce n'est pas un trou ''comme ça'', un trou normal, quoi : c'est un trou dans les comptes de la Nation. Et quand on sait avec quelle hâte les services de la con-FISC-ation peuvent vous pourchasser au premier sou mal ou trop arrondi... on se dit que celui-là devait être bien protégé pour faire tant de dégâts sans éveiller la suspicion de nos suspicieux professionnels !
Question subsidiaire : était-il régulièrement déclaré, salaire + heures sup + dépassement d'horaire, ou a-t-il fait ça ''au black'', ce qui, alors, deviendrait très grave et mettrait en branle une sous-commission de l'inspection de travail. Sans compter que un mec qui fait un trou de cette taille, ça doit se voir, et il y a donc un autre mec qui a vu, et a fermé les yeux... Ça va loin ! On est en droit de se poser la question que se posait Coluche : ''Mais que fait la Police ?''.
Comme le dit ma chère amie Madame Michu, ''Moi, j'vous l'dis : 'faut s'méfier qu'la vérité finisse pas au fond du trou ! Peut-être que, comme l'a déclaré hier Bruno Le Maire avec son regard acéré de merlan frit : ''La vérité sortira un jour''--sic ! (NDLR : question sur les questions : ''Il se foutrait pas de notre gueule, en plus, ''des fois'', çui-là ?). Espérons que nous aurons la réponse, un jour, et que nous allons peut-être bien nous marrer devant la déconfiture de la mafia de prétentieux qui se croyaient intelligents et qui ont, en meute ou en gang (c'est selon), pourri notre vie pour plusieurs décennies, en sachant qu'ils le faisaient...
H-Cl.
PS- C'est sur cette question à ... 52 milliards d'euros que nous allons nous quitter, comme tous les 2 ou 3 mois depuis 11 ans pile : voici revenu le temps des vacances --cette fois, c'est pour la Toussaint, belle fête s'il en est. Mais je vous dois des excuses anticipées : à partir de ce jour et pour près de 2 mois, la régularité de mes ''éditoriaux'' va prendre un grand coup dans les dents : en plus d'un rituel séjour saisonnier sur mes terres montagnardes --ou repose ma regrettée Evelyne, sous les frondaisons de ces grands sapins qu'elle aimait tant-- je vais enchaîner sur un mariage (une ravissante petite-fille qui épouse un charmant garçon... à l'île Maurice --où je pars, dans quelques jours, pour un mois), puis des festivités dues à mon entrée officielle dans la tranche ''nonagénaire'' de ma vie (non-agenaire veut dire ''sans âge''), suivi du rythme normal de Noël... Pendant cette longue période, je ne peux absolument pas dire autre chose que : ''je ferai de mon mieux pour ne pas tarir nos échanges... mais cela ne va pas être facile ! Heureux si j'arrive à 1 ou 2 ''éditos'' par semaine !''. Bonnes vacances à tous, et... à bientôt, si Dieu le veut...
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unesimplevie · 7 months ago
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Rire de tout?!
18 avril 1988 mort de Pierre Pierre Desproges
Humoriste français réputé pour son humour noir, son anticonformisme et son sens de l'absurde. Célèbre pour son humour grinçant, mis en valeur par une remarquable aisance littéraire, il s'est notamment illustré avec des thèmes souvent évités par les autres humoristes de son époque, prenant à contre-pied certaines positions convenues dans la société. Il est notamment l'auteur de la maxime suivante : « On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui. ». Auteur de spectacles, il a aussi présenté l'émission humoristique « La Minute nécessaire de monsieur Cyclopède » sur la chaine de télévision FR3.
Pierre Desproges (né le 9 mai 1939 à Pantin et décédé le 18 avril 1988 d'un cancer) était un humoriste français. Célèbre pour son humour grinçant mis en valeur par une remarquable aisance littéraire, Desproges s'est souvent illustré par ses sujets de plaisanterie inhabituels : comme il le disait lui-même, « On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui ». Ses traits d'humour reflètent ses positions antimilitaristes (« Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires ») ou anticommunautaristes (« Il y a plus d'humanité dans l'oeil d'un chien quand il remue la queue que dans la queue de Le Pen quand il remue son oeil », « Anne Sinclair a déclaré qu'elle n'aurait jamais épousé un non-juif ; on pourrait y voir comme une sorte de racisme »).
Il n'hésita pas à s'attaquer aux sujets les plus sensibles, comme la religion (« Dieu a dit : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, c'est vrai. Mais Dieu ou pas, j'ai horreur qu'on me tutoie, et puis je préfère moi-même, c'est pas de ma faute »), la Seconde Guerre mondiale (« L'embêtant dans la collaboration, c'est qu'il fallait dénoncer des juifs. C'est pas très joli comme occupation de dénoncer les juifs. Oui mais... dans la résistance, on dénonçait pas les juifs... mais fallait vivre avec ! ») et même sa propre maladie (« Plus cancéreux que moi, tumeur ! »).
Il excellait à prendre son public à contre-pied des positions convenues : « Quand je pense que je gagne en une soirée l'équivalent de trois mois de salaire d'un ouvrier spécialisé alors que tout près d'ici, et en ce moment même, Guy Bedos gagne en une soirée six mois de salaire d'un cadre supérieur ! ».
La légende voudrait qu'il ait tourné son propre décès en dérision en rédigeant lui-même la dépêche annonçant sa mort : « Pierre Desproges est mort d'un cancer. Étonnant, non ? » en référence à la phrase de conclusion rituelle de sa Minute nécessaire de Monsieur Cyclopède. À la base, celle-ci devait être « Pierre Desproges est mort d'un cancer sans l'assistance du professeur Schwartzenberg », proposée par Héléne Desproges, mais les médecins lui ont fait savoir qu'elle risquait d'aller au devant d'une polémique. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris (juste en face de Frédéric Chopin).
Son humour me manque 😢
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icariebzh · 9 months ago
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"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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de-gueules-au-lion-d-or · 6 months ago
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Le rappel de Mai 68 fait remonter à ma mémoire d'autres mois de mai.
Mai 40. Mon père s'évanouit en apprenant les nouvelles terribles de l'avancée allemande. Les premiers réfugiés arrivent. La valse des voitures officielles commence. Le gouvernement se replie sur Bordeaux. C'est l'affolement. Le monde de nos parents s'effondre. Tout ce qui paraissait établi, solide, solennel, respectueux, implose en quelques semaines. Nous avons dix-huit ans et nous apprenons que le pouvoir est mortel et que les puissants sont fragiles !
Mai 45. Dans une baraque d'un camp de concentration, j'agonise parmi les cadavres. Une villageoise allemande entre, puis recule devant le spectacle du charnier. Des insultes l'accueillent. Elle me regarde avec pitié et peut-être une forme d'amour. Je sombre dans le coma. Trois semaines plus tard, je suis autorisé à sortir de l'h��pital pour la première fois. La ville de Magdebourg est défoncée par les bombardements. Cauchemar, étonnement… Sur notre convoi de mille déportés, nous sommes une poignée de rescapés. Où sont les mois de mai de notre enfance, insouciants et gorgés de sève ? Nous avons vingt ans et nous portons déjà trop de morts.
Mai 54. Avec mes camarades, nous suivons avec douleur et colère la chute de Diên Biên Phu. Derrière chaque article, nous voyons un visage, un ami, des souvenirs de parachutage ou d'embuscades à la frontière de la Chine. Je reviens au Tonkin. L'avion atterrit à Hanoï, le temps d'une escale. Je dois prendre le commandement de ce qui reste du 1er BEP. Je marche une soirée et une nuit dans cette ville tant aimée, suspendue entre deux mondes, plus belle encore que dans mon souvenir. C'est la nuit du Vietnam, envoûtante, bruissante, faite de frôlements et de chants murmurés. Une part de nous-mêmes restera là, toujours, je le sais.
Mai 58. Dans le palais du gouverneur à Alger mis à sac par les insurgés, je vois mon patron, le général Massu tenter de contenir la foule. La passion est palpable. La IVe République est à bout de souffle. L'armée est prise dans un terrible engrenage. Je suis inquiet. Le 16 mai, encouragée par les militaires, une manifestation de musulmans s'avance vers le Forum. Des pieds-noirs les attendent. Lorsque les deux cortèges se rencontrent, des clameurs s'élèvent, des accolades sont rendues. Les martinets volent haut dans le ciel pur d'Alger. Je pleure de bonheur. La Résistance, la déportation, trois séjours en Indochine, l'Algérie, Suez… Les épreuves de notre génération semblent soudain justifiées.
Mai 61. Dans une cellule de la prison de la Santé, je prépare mon procès. Lors du putsch d'Alger, j'ai suivi le général Challe et je suis devenu un officier rebelle. Dans les jours suivants, je peux être fusillé ou lourdement condamné. Je ne cesse de faire et refaire l'engrenage des événements, des rencontres et des engagements imbriqués qui m'ont conduit entre ces murs. Alors j'écris, je lis, je fixe des heures durant le mur lépreux, je pense à ces hommes que j'ai entraînés dans la révolte. C'est un mois de mai lourd et sombre. La beauté et le ciel appartiennent à d'autres.
Mai 68. Responsable du personnel de plusieurs usines dans la région lyonnaise, je porte un costume civil après cinq ans et demi de détention criminelle. L'usine est en grève. Comme à Alger dix ans plus tôt, l'esprit de révolution souffle sur les hommes. J'en connais les dangers et les illusions. Mais je comprends en partie cette jeunesse qui porte l'espérance d'un monde meilleur.
Les mois de mai se confondent désormais dans ma mémoire. Comme tous ceux qui ont eu vingt ans, il y a si longtemps, je vois chaque année à cette époque renaître les souvenirs entremêlés. Des ombres nous accompagnent : espérances fracassées, camarades oubliés, engagements incompris, souffrance du corps usé. Mais le chant du monde est là, étranger à la lâcheté et à la cruauté des hommes. La beauté est fragile et mystérieuse. Des enfants passent dans la rue, courent dans le jardin. Tout leur est offert. Qu'en restera-t-il ? Tout nous a été donné. Qu'en reste-t-il ? Peut-être simplement le besoin de la contemplation. C'est l'éblouissement et l'espérance des derniers mois de mai.
Hélie de Saint-Marc . Le Figaro (Mai 2008).
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aurevoirmonty · 9 months ago
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
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lepartidelamort · 9 months ago
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Comprendre la contre-insurrection des démocraties juives en vue de la guerre contre la Russie
 La présence des forces de l’#OTAN en Ukraine n’est pas impensable. J’apprécie l’initiative du président Emmanuel Macron, car il s’agit que Poutine ait peur, et non que nous ayons peur de Poutine.
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La nouvelle majorité homo-féministe au pouvoir en Pologne à trois priorités : intensifier l’immigration non-blanche, imposer l’anal à l’école et déclarer la guerre à la Russie. Bref, faire ce que font les démocraties juives occidentales en général.
Ce Sikorski est le nouveau ministre des Affaires étrangères polonais et, comme vous le voyez, il se consume d’impatience à l’idée de voir la Pologne débitée en morceaux par la Russie.
C’est certainement un penchant BDSM qu’ont les Polonais.
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Sikorski avait déjà été ministre des Affaires étrangères entre 2007 et 2014. À ce poste, il avait participé au putsch de 2014 à Kiev aux côtés de la CIA.
La seule chose qu’il y a à savoir sur Sikorski, c’est l’identité de sa femme : la juive Ann Applebaum. Elle est notamment membre de l’Atlantic Council, la vitrine politique de l’OTAN chargée de coordonner les gouvernements fantoches des démocraties.
L’Atlantic Council est dirigé par 7 ex-directeurs de la CIA.
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Anne Applebaum
On l’a retrouvée dans diverses initiatives secrètes de la CIA et de son bras militaire qu’est l’OTAN via le MI6 britannique. Notamment une, depuis Londres, qui consistait à déployer la censure militaire sous un vernis civil pour contenir toute opposition, l’Integrity Initiative.
En 2018, les agents des cellules de ce réseau britannique chargée de la guerre psychologique ont été identifiés.
Voici les agents de la zone France :
Francoise Thom
Jusin Vaisse (ministère des Affaires étrangères)
Thomas Bertin (Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale)
Caroline Gondaud (ministère des Affaires étrangères)
Guillaume Schlumberger (ministère de la Défense)
Raphael de Lagarde (ministère des Affaires étrangères)
Roland Galharague (ministère des Affaires étrangères)
Martin Briens (ministère des Affaires étrangères)
Jean-Christophe Noel (ministère des Affaires étrangères)
Laurent Rucker (ministère des Affaires étrangères)
Alexandre Escorcia (ministère des Affaires étrangères)
Nikola Guljevatej (ministère des Affaires étrangères)
David Behar (ministère des Affaires étrangères)
Claire le Flecher (ministère des Affaires étrangères)
Remy Bouallegue (ministère des Affaires étrangères)
Paul Zajac (ministère des Affaires étrangères)
Nicolas Roche [email protected] (commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives)
Manuel Lafont Rapnouil (European Council on Foreign Relations)
Laurent Rucker (ministère de la Défense)
Patrick Hardouin
Etienne de Durand (ministère de la Défense)
Janaina Herrera (ministère des Affaires étrangères)
Ces cellules étaient activées pour déclencher des campagnes médiatiques contre des cibles politiques réputées « pro-russes », catégorie très flexible où tout opposant aux menées des juifs était classé.
Si un membre d’une cellule apprenait qu’une cible devait mener une action, il alertait les autres membres de la cellule. Ceux-ci informaient les médias, tous sous contrôle gouvernemental, puis lançaient une campagne sur Twitter, à l’époque sous le contrôle de la CIA.
Un exemple en Espagne :
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C’est comme ça que l’information – la désinformation donc – fonctionne vraiment dans les démocraties. Récemment, c’est Dominique de Villepin qui en a été la victime.
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Cette opération particulière s’inscrivait dans le déploiement dans l’ensemble des pays de l’OTAN d’un système militaire clandestin de contrôle politique des masses par l’usage combiné des réseaux sociaux, des médias conventionnels, de divers agents d’influence, d’organisations, de structures gouvernementales.
Avec la victoire de Trump en 2016, le gouvernement américain, et les juifs qui le contrôlent, ne s’attendait pas à affronter une réelle révolution non-violente, par la voie électorale. Le principal problème que pose Trump à l’oligarchie en place est son opposition, sinon active au moins passive aux guerres que veut ce système.
Toute victoire populaire selon les règles du jeu en vigueur est désormais qualifiée de « populiste », c’est-à-dire d’illégitime. La CIA a donc mis au point la technique de la contre-révolution de couleur. Elle consiste à accuser le vainqueur légitime d’une élection d’avoir perdu l’élection tout en truquant le suffrage. Il faut préventivement censurer la contestation avant la tenue des élections et mobiliser l’appareil médiatique pour l’écraser.
En 2019, en préparation des élections américaines de 2020, la CIA et l’armée américaine ont mis en place la censure verticale de toutes les plateformes occidentales. C’est pourquoi à l’époque, subitement et de manière coordonnée, des tas de personnes ont été censurées sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, etc., y compris en France.
Même Trump en a été la cible. LCI, la chaîne de l’OTAN, comme tous les médias sous contrôle, justifiait cette opération de contre-insurrection clandestine.
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Après la victoire de Trump en 2016, le gouvernement américain, largement dominé par les juifs, a en fait déployé sur le territoire des USA le système des « révolutions de couleur » que la CIA n’employait alors qu’à l’étranger, comme à Kiev en 2014.
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Ils ont perfectionné le système en créant des techniques de « contre-révolution de couleur ».
Une révolution de couleur est une fausse révolution populaire organisée par la CIA via l’internet, des ONGs, les médias occidentaux, des agents infiltrés, etc., pour renverser un gouvernement jugé hostile par le gouvernement US.
La CIA accuse un gouvernement ennemi de truquer l’élection du moment, d’organiser parallèlement des rassemblements de masse, souvent au prétexte de concerts, de générer des violences de rue et de faire tomber le gouvernement avec l’aide des partis et figures présélectionnées.
Le dernier exemple a eu lieu en Biélorussie. Parmi les techniques employées, l’usage extensif des femmes et des réseaux sociaux, le tout amplement relayé par la machine de guerre médiatique occidentale.
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Une contre-révolution de couleur utilise les mêmes méthodes, mais pour défendre un gouvernement au lieu de le détruire.
Cette technique a été employée par la CIA, le Pentagone, la NSA, le FBI, les ministères de la Justice, de la Sécurité Intérieure, des Affaires étrangères en 2020 pour empêcher Trump d’être reconduit à la Maison Blanche.
Il ne suffisait pas de truquer les élections, il fallait empêcher que l’opposition puisse s’organiser. Pour cela, il fallait étroitement contrôler les réseaux sociaux où ils s’organisent.
C’est pourquoi Obama, lors de son dernier déplacement en Grèce en novembre 2016, alors qu’il était encore président, avait déclaré que la raison de l’élection de Donald Trump était à rechercher dans les « fake news ».
Ce terme, jamais entendu auparavant, était une fabrication de la CIA pour délégitimer l’élection de Trump, l’accuser d’être un agent russe et paralyser son action politique, ainsi que toute opposition.
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Dans le cadre de cette opération de contre-insurrection globale, des « fact checkers » astrosurfés par les GAFAM ont été sélectionnés par la CIA et ses différents états vassaux pour mener le travail de désinformation et de censure sur les réseaux sociaux.
Soudainement, tous les médias français se sont alors dotés de « fact checkers ». Ce n’est pas une « incroyable convergence des esprits », mais le résultat d’une opération de guerre psychologique dirigée depuis Washington.
Qui se souvient des « décodeurs du Monde » et de tous leurs équivalents déployés dans chaque média ?
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Nous retrouvons les juifs Mendès et Reichstadt dans ce travail de censure sous couvert de lutte contre la « désinformation ». Peu importe l’agenda du système – élections US, Covid, guerre en Ukraine – ils sont déployés pour organiser la censure des réseaux sociaux. Avec l’arrivée de Musk, l’accès de la CIA à Twitter a cependant été largement réduit et leur capacité de nuisance largement diminuée.
Là où en 2022, Mendès pouvait désigner un compte à supprimer, il ne peut plus que s’en lamenter au pied de son mur aujourd’hui.
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Le Covid et les mensonges d’état qui l’ont accompagnés ont largement discrédité ces « fact checkers » sous-traitant pour l’OTAN.
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À l’époque, nous avons également vu surgir à l’extrême-droite des gens se revendiquant de « l’anti-conspirationnisme » et adopter automatiquement des positions pro Pfizer, pro Ukraine. Ne cherchez pas trop loin qui les prend en mains.
Le parlement américain a publié un rapport sénatorial sur ce dispositif contre-insurrectionnel mis en place par la CIA pour truquer les résultats d’une élection nationale américaine.
Cette méthode sera à nouveau utilisée en 2024 par le gouvernement américain pour tenter d’empêcher Trump d’être élu, mais sans le contrôle de la CIA sur Twitter, l’opposition pourra s’organiser. La riposte de la CIA devra être beaucoup plus directe, donc beaucoup plus brutale et surtout, visible.
Le putsch est déjà en cours.
John Brennan, ex-directeur de la CIA, ancien membre du Parti Communiste des USA, explique que les services de renseignements américains (CIA, NSA, FBI, etc..) ne coopéreront pas avec Trump, que ce soit légal ou non.
Irréel ! L’ancien directeur de la CIA, John Brennan, déclare à MSNBC que la communauté du renseignement cachera des informations clés à Trump après qu’il aura accepté l’investiture républicaine cet été. Nous devons mettre la communauté du renseignement au pas. Il s’agit d’un canular russe 2.0, écrit en toutes lettres.
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La guerre civile est ouverte aux USA et elle deviendra inévitablement violente à la faveur des élections de novembre 2024 quand le gouvernement fédéral interviendra pour empêcher la réélection de Donald Trump.
Anne Applebaum et Radek Sikorski sont au coeur de cette machine qui fait la guerre, tant intérieurement qu’extérieurement, à toutes les forces qui constituent un obstacle, que ce soit volontairement ou non. Face au blocage du soutien à l’Ukraine au Congrès par les Républicains, Macron, comme fantoche de cette machine juive globale, est mandaté pour prendre le relais jusqu’en novembre 2024, le temps que Trump soit écarté de la Maison Blanche et que le Congrès soit neutralisé.
Cela implique une mobilisation autoritaire et verticale de l’opinion française contre la Russie par les agents d’influence usuels et la délégitimation de l’opposition à la guerre comme une « cinquième colonne » aux ordres de Moscou. Typiquement, l’accusation de « trahison » avec l’habituel usage du patriotisme de comptoir pour clore la discussion.
Le système dispose à cet effet d’agents bellicistes, tant à droite qu’à gauche, pour attaquer l’opposition (non-juive) à la guerre.
La situation est effectivement révolutionnaire, avec une jonction de plus en plus forte entre l’effort de guerre des démocraties juives contre les adversaires systémiques extérieurs et celui qu’elles poursuivent contre ceux de l’intérieur. Du point de vue du système, il n’y a pas de différence qualitative. Si le système perd la guerre en Ukraine, il anticipe un affaiblissement systémique qui renforcera les forces d’opposition intérieure qu’il qualifie de « populiste ». Pour cette raison structurelle, plus le temps passe, plus il devient impossible, de son point de vue, de distinguer entre la Russie, l’Iran et, par exemple, un électeur RN ou LFI.
Il faut se préparer à une possible, sinon probable, censure de guerre des moyens de communication à partir de 2024.
Nous appelons nos lecteurs à participer à l’agitation révolutionnaire en désignant l’ennemi aux masses par voie de tractage. 
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francaistoutsimplement · 2 months ago
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VERY GOOD DEAL , THANKS VLAD !!
MiG30K and Hypersonic russian Kinzhal (F-16 of the left corner)
Reports from a number of European sources have indicated that an attack on an airbase in Ukraine destroyed FOUR newly supplied F-16 fighter aircraft on the ground. The report was followed by reports from Russian sources that Kinzhal ballistic missiles were launched at an airfield in Strakonstantinov in Western Ukraine.
L'OTAN encaisse un coup massif en Ukraine. Le bombardement russe sur la base de Starokonstantinov ne s'est pas contenté de détruire du matériel militaire dont 4 F16. il a aussi frappé au cœur des opérations secrètes de l'Alliance. 9 officiers des forces aériennes de l'OTAN, dont 6 Américains et 3 Français, éliminés, des F-16 réduits en cendres et des missiles Storm Shadow britanniques et SCALP-EG français anéantis. Ces agents opérant depuis l'ombre pensaient pouvoir agir impunément sur le sol ukrainien. Moscou avait prévenu et vient de montrer entre autre à Macron que les renforts de l'OTAN ne sont pas à l'abri.
La distance entre Donetsk et la base bombardée est proche de 800kms donc l'armée russe dispose d'informations très précises très loin de leur zone d'opération.
À Starokonstantinov, 9 officiers du quartier général de l'armée de l'air de l'OTAN arrivés de Rammstein via Chisinau vers l'Ukraine ont été tués dans un bunker de stockage des missiles Storm Shadow et SCULP. Ils ont assuré la coordination et le guidage avec l'aide des avions AWACS de l'OTAN pour le lancement de missiles depuis les combattants des forces armées ukrainiennes. Six des neuf personnes étaient des citoyens américains d'origine ukrainienne et trois étaient FRANÇAIS. Selon les données préliminaires, 7 instructeurs britanniques et 6 spécialistes techniques néerlandais ont été grièvement blessés. Deux missiles hypersoniques russes n'ont pas été détectés par les forces de défense aérienne ukrainiennes, entraînant la destruction de chasseurs F-16 et un SU-24, ainsi qu'au moins 15 missiles SS et Scalp.
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Et voilà et ce n est pas fini. Bravo à la Russie. 3 Français seraient du lot des victimes..............Ils sont allés de leur plein gré défendre les intérêts Américains en Ukraine..
(Premièrement sur les 3 missiles kinzhal les ukrainiens en ont abattus 4 donc il n'y a pas eu d'explosion. Et deuxièmement il n'y a pas de soldats français en Ukraine car le parlement n'a rien vu et c'est Macron qui le dit. C'EST CA LA VÉRITÉ MERCI DE BIEN PENSER!)
Les russes n'ont jamais perdu une guerre ....ce n'est pas face à ces gens qu'ils perdront cette fois ......une réalité est là, Détruire ces malades wokes nazis de l'ouest est une priorité.
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vicnormansstuff · 12 days ago
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La ministre néerlandaise de la Santé : la pandémie de Covid était une opération militaire de l’OTAN
Iustina Filimon
📍Un membre du gouvernement néerlandais a admis que la pandémie de Covid était une « opération militaire », révélant que pendant la pandémie, son pays recevait les ordres de l'Alliance de l'Atlantique Nord.
La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a révélé que « l'opération militaire » était dirigée par l'OTAN et le coordinateur néerlandais pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV).
📍 english.nctv.nl
NCTV est l'agence de sécurité nationale des Pays-Bas.
Dans un discours prononcé au parlement néerlandais et cité par SlayNews,  Agema a admis que la politique pandémique des Pays-Bas est menée "sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense" . Elle a souligné que le gouvernement néerlandais a répondu à la pandémie conformément aux « obligations de l'OTAN ».
📍 slaynews.com/news/dutch-gov…
Ainsi, l'Agema a confirmé que la politique de lutte contre la pandémie était un « coup d'État » exécuté par NCTV.
La célèbre médecin néerlandaise Els van Veen a déclaré qu'elle comprenait enfin ce qui lui était arrivé - ainsi qu'à d'autres médecins éminents - pendant la crise de Covid. Dans un  article sur X , van Veen dit : « C'était une opération militaire. Le ministère de la Santé obéit à l'OTAN et à NCTV" .
L'intervention de la ministre Fleur Agema, jeudi 24 octobre, était une première : elle est la première ministre de la Santé de toute l'histoire du Parlement à expliquer son action en mettant en cause "les obligations de l'OTAN". Et il ne l'a pas fait une seule fois, mais six fois, comme l'a souligné le député Pepijn van Houwelingen (FVD).
Une vidéo de trois minutes dans laquelle l'Agema déclare devant le Parlement que la préparation à une pandémie est liée aux obligations du traité (OTAN) et que l'agence de sécurité NCTV est à la tête de l'ensemble de l'action est devenue virale sur la plateforme X. Van Houwelingen a promis de réagir immédiatement aux questions posées par les parlementaires.
L'Agema a fait ces révélations lors d'un débat sur la "résilience". Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie » . Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire , a-t-elle déclaré, ajoutant :
"Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous présenterons au printemps un plan d'action."
Agema a expliqué que peu de temps après avoir pris ses fonctions de ministre, elle a été informée de la résilience et des obligations envers l'OTAN :
"Depuis ce briefing, nous travaillons avec des collègues du ministère pour déterminer ce dont nous avons besoin pour remplir nos obligations envers l'OTAN. Nous faisons tout cela sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères y participent. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience et on m’a répondu que oui. »
Elle a ajouté :
"Nous voulons disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions du avoir pendant la crise du Corona."
La vidéo entière peut être vue ici :
x.com/veen_els/statu…
Dans un article sur X, le chercheur Cees van den Bos, qui utilise des ressources obtenues dans le cadre de la loi néerlandaise sur la liberté d'information (Woo), a répondu à ces révélations, affirmant que la pandémie était un "coup d'État" .
Il a qualifié NCTV de marionnette de l’OTAN.
« Ce pays ne sera pas libre à moins que NCTV ne soit complètement aboli et que ce genre de gouvernement fantôme ne soit plus jamais autorisé à exister.
"C'est le plus grand obstacle à la démocratie."
Van den Bos a ajouté qu'il n'y a aucun contrôle sur NCTV :
"NCTV a carte blanche comme on l'a également vu pendant la crise corona". 🔽
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lupitovi · 2 years ago
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Que nous apprend le projet politique qu’on appelle néolibéralisme ? Puisant ses racines idéologiques dans La Route de la servitude de Friedrich Hayek et les développant au sein de l’École de Chicago, le néolibéralisme a atteint l’Europe à la suite des luttes ouvrières des années 1970. Le cadre a été fixé par les représentants politiques du grand capital. En Grande-Bretagne, ce fut le gouvernement de Margaret Thatcher. Liberté et capitalisme, dit-on, sont indissociables. La moindre intervention de l’État pour modérer le « libre » marché serait le premier pas sur la voie de la dictature. En conséquence, le capitalisme doit réussir et les profits doivent être garantis. Cela signifie, inévitablement, un effort constant pour accroître l’exploitation de la classe ouvrière. Thatcher s’est employée à cette tâche avec une précision militaire en menant son attaque sur trois fronts : retirer les subventions de l’État aux industries défaillantes et permettre une augmentation massive du chômage ; promulguer des lois afin de restreindre la capacité des syndicats à résister ; et provoquer des grèves que le gouvernement savait pouvoir briser. Les choses se sont passées comme prévu. Alors que les usines étaient obligées de fermer les unes après les autres et que les industries tombaient en faillite, le chômage augmentait rapidement. La plupart des dirigeants syndicaux, des sociaux-démocrates de droite, ont choisi de ne pas mobiliser les militants alors que beaucoup étaient prêts à se battre. Cet échec, largement passé sous silence dans l’histoire écrite par la classe dominante, a joué un rôle important dans le succès de Thatcher. Avec tant de personnes sans emploi, il était plus difficile de défendre les salaires et les conditions de travail. « Si vous ne voulez pas travailler dans ces conditions, dix autres personnes sont prêtes à prendre votre place. » Les nouvelles lois ont été violentes. Les travailleurs ne pouvaient pas décider la grève lors d’une assemblée générale. On devait voter par correspondance, l’employeur se donnait ainsi le temps de se préparer et la presse pouvait faire campagne contre un éventuel débrayage. Seule une poignée de piquets de grève pouvaient s’opposer aux briseurs de grève lorsqu’ils essayaient de se rendre au travail. Le rapport de force entre classes sociales tournait fortement à l’avantage des employeurs. Les grèves étaient manipulées de telle sorte que les syndicats les plus fragiles étaient entraînés dans des combats qu’ils ne pouvaient pas gagner, à commencer par les sidérurgistes. Le syndicat le plus puissant et le plus politisé a été le dernier à rendre les armes. La grève des mineurs, en 1984, a duré un an et cette bataille a été cruciale. Le mouvement ouvrier a bénéficié d’un grand soutien de la base, mais, là encore, les leaders syndicaux se sont tenus à l’écart. Les dirigeants du parti travailliste, Neil Kinnock et Roy Hattersley, ont refusé d’apporter leur soutien aux grévistes. Ils se sont joints à la longue et honteuse liste de ceux qui ont accédé au pouvoir sur le dos des travailleurs et des travailleuses, mais qui les ont abandonnés quand ceux-ci avaient besoin d’eux. Les mineurs ont été vaincus. Et le néolibéralisme s’est poursuivi sans autre obstacle sur sa route. Les leçons ? Premièrement, le conflit entre les intérêts du capital et ceux du travail est au cœur même du capitalisme. Le grand capital cherchera toujours de nouvelles façons d’exploiter les travailleurs. C’est dans son ADN. La coexistence pacifique est vouée à l’échec. Le marché à vocation sociale est un mythe. Deuxièmement, le peuple se défendra toujours. La pauvreté, l’injustice, l’inégalité et le fait de savoir que l’on vous trompe – tout cela fera l’objet de résistances. Le peuple est courageux et a le sens de ce qui est juste et équitable. Mais cet engagement n’est pas suffisant et conduit à la leçon suivante... Troisièmement, il est essentiel qu’un mouvement de rupture avec le néolibéralisme soit guidé par de solides principes tout en ayant une stratégie politique avisée. Les responsables de ce mouvement doivent comprendre que la classe dominante est impitoyable. Toutes les avancées que les travailleurs peuvent conquérir doivent être consolidées et sécurisées et, en fin de compte, ne peuvent être sauvegardées que par la prise du pouvoir politique. Nos acquis de 1945, à savoir les nationalisations, le service de santé publique, l’éducation gratuite pour tous et bien d’autres choses encore, ont soit disparu soit sont en train d’être balayés à mesure que le capital continue de se développer. Le militantisme sans un puissant mouvement politique de rupture est comme la vapeur d’une bouilloire, il se dissipe dans l’air. Quatrièmement… pourquoi faut-il garder espoir ? Le capital n’est jamais rassasié. Il peut gagner une bataille, trouver de nouveaux modes d’exploitation, mais la concurrence acharnée oblige les gros employeurs à toujours trouver d’autres moyens de tirer des profits. Il faut alors mener une nouvelle lutte. Le cycle se répète sans cesse. Chaque tour de roue est donc une opportunité. Pouvons-nous nous organiser, nous défendre et gagner la prochaine fois ? Et, pour finir, mon avertissement. Il n’est plus possible que cette lutte se poursuive indéfiniment. Le changement climatique et la menace qui pèse sur l’environnement nous mettent en danger de façon imminente et rendent d’autant plus urgente la nécessité d’un changement fondamental. Rosa Luxemburg posait cette question : « Socialisme ou barbarie ? » Aujourd’hui, la question est celle-ci : Le socialisme ou la mort ?
Ken Loach - Socialisme ou la mort ? 
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gavroche-le-moineau · 1 year ago
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Lamarque's Funeral
Below are excerpts of a translation I did in college from Alexandre Dumas' account of General Lamarque's funeral, an inciting event for the June Rebellion of 1832. The full French text can be found here.
"Mais il y avait une telle ardeur dans ces jeunes têtes politiques qui formaient le parti républicain, que, lorsque le briquet touchait le caillou il fallait que l'étincelle en jaillît, l'étincelle dût-elle mettre le feu à la poudrière, et la poudrière dût-elle nous faire sauter tous."
But there was such a fervor in these young political minds who formed the republican party, that as soon as the flint hit the stone it had to spark, the spark had to set fire to the gunpowder, and the gunpowder must make us all go up.
"Joignez à ces dispositions une chaleur étouffante, une atmosphère chargée d'électricité, de gros nuages noirs roulant au-dessus de Paris, comme si le ciel, en deuil, eût voulu prendre part à la fête funèbre par le roulement de son tonnerre."
Add to these circumstances a stifling heat, an atmosphere charged with electricity, heavy black clouds rolling in over Paris, as if the sky, in mourning, wanted to take part in the funeral cortege by the rolling of its thunder.
Arago ne se le fit point répéter ; il s'élança à son tour sur l'estrade. Un étudiant avait succédé au général Saldanha, il prend la place de l'étudiant et s'écrie : –Assez de discours comme cela ! Quelques mots doivent suffire, et, ces mots, les voici : C'est au cri de « Vive la République ! » que le général Lamarque a commencé sa carrière militaire, c'est au cri de « Vive la République ! » qu'il faut accompagner ses cendres. –Vive la République ! Qui m'aime me suive ! Pas un mot de l'allocution n'a été perdu ; à peine a-t-on vu un lieutenant d'artillerie prenant la parole, que tout le monde, fait silence. Puis le nom d'Arago, nom si populaire, a circulé tout bas au milieu d'un immense cri de « Vive la République ! ». Aux derniers mots de son discours, Arago s'est emparé d'un des drapeaux de l'estrade et – le drapeau à la main, Guinard et Savary à ses côtés – il s'est élancé vers notre batterie. Mais dans le mouvement qui avait suivi l'allocution, la foule avait rompu les rangs des artilleurs ; de sorte que les trois chefs, suivis d'une trentaine d'hommes seulement, avaient disparu aux yeux de leurs autres compagnons. En ce moment, quelques coups de feu retentissaient sur le boulevard Bourdon.
Arago did not need to repeat himself; he jumped up onto the platform. A student had replaced General Saldanha, he took the place of the student and cried out: –Enough of that talk! A few words should suffice, and the words are these: It is to the cry “Long live the Republic!” that General Lamarque started his military career, and it was to the cry of “Long live the Republic!” that his ashes must be accompanied. –Long live the Republic! Who loves me follows me! Not a word of the speech was lost; as soon as people saw that a lieutenant of the artillery was speaking, everyone was silent. Then the name of Arago, a very popular name, circulated in a whisper in the middle of an immense cry of “Long live the Republic!” With the last words of his speech, Arago seized one of the flags on the platform and – flag in hand, Guinard and Savary at his sides – he dashed towards our battery. But in the movement that had followed the speech, the crowd had broken the ranks of the artillery; such that the three leaders, followed by only about thirty men, had disappeared from the eyes of their other companions. At this moment, some gunshots rang out on the boulevard Bourdon.
I did this translation quite a long time ago and I posted without much revision so as always, corrections and feedback are welcome!
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alain-keler · 11 months ago
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Vendredi 18 novembre 2005.Cisjordanie. Extraits de mon journal.
On rejoint Erella et Ehud au Kibboutz Shaval. (Erella, Ehud et Ezra sont des israéliens qui aident les palestiniens. Sur la photo d'aujourd'hui on voit Erella et Ezra avec un palestinien).
De là nous allons dans ce qu’ils appellent les montagnes d’Hébron, situées dans le sud de la Cisjordanie. Magnifique paysage désolé de collines recouvertes de pierres.
Nous sommes pris en charge par Ezra qui nous emmène dans deux ou trois villages palestiniens soumis aux tracasseries des colons.
Ezra Nawi est un plombier de 53 ans de Jérusalem. Il est devenu une institution à lui tout seul et passe tout son temps de libre à aider et essayer de protéger les palestiniens troglodytes des collines au sud de Hébron.
Dans les villages que nous visitons, Ezra explique que les colons empoisonnent les champs pour tuer les moutons et faire partir les villageois qui s’arque boutent à leur terre, que l’armée ne s’occupe pas des colons car ils sont citoyens israéliens et qu’ils dépendent de la police dont nombre de leurs membres sont eux-mêmes colons. Il y a 2 systèmes de lois : la démocratie pour les colons, la loi militaire pour les palestiniens.
Près des villages que nous visitons il y a des colonies « légales » et une colonie illégale Avigaï faite de quelques bâtiments et d’un vieux bus que 2 hommes retapent. Nous nous y rendons, un peu par provocation, dit Ezra. Cette colonie a beau être illégale, l’eau et l’électricité ont immédiatement été raccordées. Un jeune colon portant son enfant vient à notre rencontre. Il n’a aucune agressivité à l’égard de Ezra, qu’il semble connaître. En fait tous les colons et militaires de la région connaissent Ezra qui passe son temps à essayer de faire respecter les droits les plus élémentaires pour ces paysans palestiniens...
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necroseigneurart676 · 7 months ago
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Je commence ma première publication sur ce réseau avec des dessins représentant les soldats de base du ISC (Interstellar Security Command, un gouvernement militaire et supranational), c'est l'armée terrestre et les soldats portent le nom de "Guard Assault".
Ils ont pour devoir de protéger le "Nouvel Ordre de l'Humanité", le nom que l'on donne à l'union ultime entre toutes les nations Humaines et leurs alliés.
Leur rôle est principalement l'expansion, la conquête, la revendication de nouvelle planète et l'annihilation totale de leurs nombreux ennemis.
En premier et deuxième dessin nous avons deux Humains, ces derniers sont de toutes origines (Il y a en tout 5 nations Humaines que je détaillerais dans une autre publication) ce sont généralement des volontaires mais il y a aussi quelques conscrits.
Les Humains de cet univers ne sont pas exactement les mêmes que ceux de notre monde, les hommes font en moyenne 2m15 et les femmes 1m95 et ils sont plus forts physiquement, aussi chez certaine nation ils ont une apparence différente, voir terrifiante que je présenterais plus tard. Après un incident ayant conduit à la destruction de la Terre (chaque espèce est liée psychiquement à sa planète d'origine) ils se sont retrouvés déstabilisés psychiquement et en conséquence ils sont beaucoup plus cruels et sans pitié. Ils ont une totales aversions envers les Aliens, exception pour deux espèces les ayant rencontrés avant cet accident.
Et les trois derniers dessins sont les seuls aliens alliés et égaux aux Humains : Les Daemonias et les Tarkhans. Comme pour les nations humaines j'expliquerais leur lore dans une autre publication.
Je sais pas si c'est le meilleur endroit ou dire ça, mais quand je réfléchis aux designs des factions humaines j'ai des mots clés en tête : militarisme, mort, gothique, noblesse et démon, tout ce qui va suivre après cette publication sera dans ces idées.
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