#toile d’araignée
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jeanfrancoisrey · 1 year ago
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La toile…
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skate-tautoloandsym · 7 months ago
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2024年5月21日。21 mai.
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club-tissus · 7 months ago
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Magnifique broderie toile d’araignée par ThreadHandedJill 🕸
Stunning spiderweb embroidery by ThreadHandedJill 🕸
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Tutorial on Etsy Here (english only):
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calimera62 · 2 months ago
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Trick or treat !
Voici un WIP Ça/IT que j'avais commencé à écrire quand Ça part 2 est sorti, mais que je n'ai jamais terminé. J'ignore si je m'y remettrais un jour, mais en attendant, profite de cet extrait ;)
Le clown frappa une fois sa tête contre la vitre, puis deux fois, puis trois.
Boum.
Boum.
BOUM !
Le bruit était d’abord lent et espacé, chaque coup résonnant comme l’aiguille d’une horloge, d’un compte à rebours inquiétant. Celui qui se terminerait inévitablement par la destruction de la vitre.
Puis, à la plus grande horreur de Bill, la vitre commença à se fissurer. Légèrement, puis de plus en plus, s’agrandissant comme une toile d’araignée, et Ça continua à frapper sa tête contre la vitre de plus en plus fort, de plus en plus rapide, faisant trembler la vitre et doubler la peur de Bill et du jeune Dean.
Boum, boum, boum, boum, boum !!
Bill frappait plus rapidement, plus désespérément la vitre de ses mains, espérant la briser. Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, presque synchroniquement avec les coups que donnait le clown.
Face à lui, Dean hurlait, ses yeux fixés sur le clown avec une expression de pure terreur et Bill eut l’impression qu’on lui enfonçait un couteau en plein cœur.
Si la situation n’avait pas été si urgente et angoissante, ce cri lui aurait fait penser à Georgie. À ce que Georgie avait vécu lors de sa rencontre avec Ça. Le cri qu’il avait du pousser dans ses derniers instants.
Un autre coup, plus violent. Le cœur de Bill bondit dans sa poitrine.
– Arrête, arrête ! cria Bill, désespéré. Je ferai n’importe quoi !
Il s’attendait à un nouveau coup, mais il n’y eut qu’un silence soudain. Bill leva les yeux.
Pennywise le fixait avec un regard étrange, puis son sourire s’élargit. Un sourire révélant une multitude de dents pointues. Immense, inquiétant, affamé.
– N’iiiiiimporte quoi, Billy ?
Send me a "trick or treat" ask!
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nereidestuff · 1 year ago
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la isla blanca; sixième mise à jour 💕 cinq mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes petits coeurs de co-admins, @themuseparadox, @erinye-stuff, @romystigri, @gerard-menjoui & moi-même venons vous présenter sa septième version.
l'intrigue du mois; il fut un temps où les murmures se dissipaient, envolés par les vents enragés, comme si rien n’avait existé. comme s’il n’avait pas existé. il est à présent un temps où les palabres naissent en écho, résonnent lentement entre les murs sacrés d’une île perdant sa couleur ocrée. jamais loin, jamais parti, estafador n’est qu’un souvenir qu’on pensait enfoui. alors, en silence, lorsque les cieux osent se teindre d’une poussière étoilée, si scintillante, la silhouette s’échappe de sa cage dorée, glane la myriade de petits secrets cachés avec ferveur par les esseulés qui peuplent les blanches ruelles. êtes-vous naïf à ce point-là ? pensiez-vous que tout se terminerait comme ça ? cette fois, vous n’y échapperez pas. à la renaissance, il ose chanter, l’enjoliveur de vos mensonges dévoilés, dépliant sa jolie toile d’araignée. vous ne voyez donc pas ces caméras qui vous épient depuis un mois déjà ? on raconte qu’elles sont à l’initiative du maire, on dit qu’elles sont apparues un soir, loin des regards. les manigances s’entremêlent pour vous piéger, les pixels se dérobent pour se dépêcher de vous immortaliser. entre mensonges et vérités, demandez-vous sincèrement à qui vous pouvez vous confier en ces temps troublés. le vilain loup est de retour, sans doute pour vous jouer encore, un mauvais tour. soyez donc proches de vos amis, encore plus de vos ennemis, les cartes sont jetées, telle est la façon d’estafador de vous souhaiter une excellente année.
– la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/
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tournevole · 1 year ago
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Annihilation (Live)
Qu’en est-il de ces heures troubles et désabusées Où les dieux impuissants fixent la voie lactée ? Où les diet nazi(e)s s’installent au Pentagone Où Marilyn revêt son treillis d’Antigone ? On n’en finit jamais de r’faire la même chanson Avec les mêmes discours les mêmes connotations On n’en finit jamais de rejouer Guignol Chez les Torquemada chez les Savonarole
Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ? Les hurlements furieux de la nuit dans nos têtes ? Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ?
Lassé de grimacer sur l’écran des vigiles Je revisite l’Enfer de Dante et de Virgile Je chante des cantiques mécaniques et barbares À des poupées Barbie barbouillées de brouillard C’est l’heure où les esprits dansent le pogo nuptial L’heure où les vieux kapos changent ma pile corticale C’est l’heure où les morts pleurent sous leur dalle de granit Lorsque leur double astral percute un satellite
Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ? Les hurlements furieux de la nuit dans nos têtes ? Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ?
Crucifixion avec la Vierge et dix-sept saints Fra Angelico met des larmes dans mon vin La piété phagocyte mes prières et mes gammes Quand les tarots s’éclairent sur la treizième lame On meurt tous de stupeur et de bonheur tragique Au coeur de nos centrales de rêves analgésiques On joue les trapézistes de l’antimatière Cherchant des étoiles noires au fond de nos déserts
Qui donc pourra faire taire les grondements de bête Les hurlements furieux de la nuit dans nos têtes ? Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ?
Je dérègle mes sens et j’affûte ma schizo Vous est un autre je et j’aime jouer mélo Anéantissement tranquille et délicieux Dans un décor d’absinthe aux tableaux véroleux Memento remember je tremble et me souviens Des moments familiers des labos clandestins Où le vieil alchimiste me répétait tout bas : Si tu veux pas noircir, tu ne blanchiras pas
Qui donc pourra faire taire les grondements de bête Les hurlements furieux de la nuit dans nos têtes ? Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ?
Je calcule mes efforts et mesure la distance Qui me reste à blêmir avant ma transhumance Je fais des inventaires dans mon Pandémonium Cerveau sous cellophane coeur dans l’aluminium J’écoute la nuit danser derrière les persiennes Les grillons résonner dans ma mémoire indienne J’attends le zippo du diable pour cramer La toile d’araignée où mon âme est piégée J’attends le zippo du diable pour cramer La toile d’araignée où mon âme est piégée
Qui donc pourra faire taire les grondements de bête Les hurlements furieux de la nuit dans nos têtes ? Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ? Qui donc pourra faire taire les grondements de bête Les hurlements furieux de la nuit dans nos têtes ? Qui donc pourra faire taire les grondements de bête ? Qui donc ?
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aurevoirmonty · 11 months ago
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"[…] la finance a transformé les nations en d’immenses toiles d’araignées de dettes dans lesquelles toute la population occidentale est attrapée ; par-dessus tout, le chauvinisme fanatique a détruit toutes les anciennes patries et les a livrées à l’occupation des forces extra-européennes, celles de la barbarie et des déformeurs de Culture."
Francis Parker Yockey, « Proclamation de Londres du Front Européen de Libération » (1949)
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philippelallemant · 1 year ago
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Le cadenas et la toile d’araignée (816) - 20 novembre 2023 © @philallemant
Aquarelle et encre de Chine librement interprétée à partir d’une photo publiée par @scolorpio que je remercie pour l’inspiration.
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bondebarras · 2 years ago
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One book a day keeps the doctor away
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“La liste des facteurs qui président à l’arrivée d’un livre entre nos mains est aussi longue que complexe, et même si l’on se croit seul dans le face-à-face avec la page, une fois venu le moment - intime - de la lecture, le livre n’en reste pas moins chargé, tel un souvenir freudien, d’une myriade de parasites.
Qui nous l’a offert, quelle était notre humeur quand nous l’avons acheté en librairie, qui nous l’a prêté et surtout pourquoi, combien de temps l’avons-nous laissé prendre la poussière, pourquoi l’avons-nous arraché à sa poussière, pourquoi à ce moment-ci, et pourquoi n’avons-nous pas dépassé la première page, etc. On pourrait ajouter à ces conjectures d’autres paramètres, plus culturels : connaissons-nous l’auteur, avons-nous d’autres livres du même auteur, est-ce le thème (signalé quelque part, en quatrième de couverture, dans la presse, etc.) qui nous a poussé vers lui, est-il publié par un éditeur en qui nous avons confiance ou au contraire dont nous n’avons pas aimé la dernière publication ? Il faudrait parvenir à dessiner la toile d’araignée au centre de laquelle nous nous recroquevillons avec le livre-mouche. Mais peut-être est-ce nous, la mouche, auquel cas ce serait le livre qui, usant des vibrations des nombreux fils au moyen desquels nous avons cru le ligoter, a réussi à nous enrober dans sa chitine d’encre et de papier.”
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philoursmars · 2 years ago
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Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes).  Plus trop loin du présent….  
2016.Retour dans le Nord. Sortie scolaire à Abscon.
Une cardère, les cynorrhodons rouges d’un églantier, des champignons (nom ??), une toile d’araignée couverte de rosée et une aeschne.
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christophe76460 · 11 days ago
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MÉDITATION DU SOIR PAR LE SERVITEUR DE JÉSUS CHRIST ÉVANGÉLISTES NOËL
Je repère une toile d’araignée accrochée aux herbes au-dessus de l’eau d’un ruisseau de montagne. Un insecte se prend dans la toile. à force de s’agiter, il parvient à se libérer de ce piège mortel. Comme ses ailes sont engluées par le fil arachnéen, il tombe à l’eau. Il est alors dévoré par une truite qui s’est élancée de son poste de chasse.
Cette scène est l’illustration du combat contre l’ennemi de nos ames avec nos seules forces : nous échappons à grand-peine à un danger pour succomber à un autre.
Notre adversaire n’est pas un être humain comme nous. C’est au contraire une redoutable puissance spirituelle, puissance qui a été vaincue par Jésus à la croix. Seul Jésus, habitant notre c?ur, nous donne les bonnes armes, afin de gagner notre combat contre un tel adversaire, appelé dans la Bible le menteur, le tentateur, ou le prince de ce monde. Il nous appartient de maintenir une relation vivante avec le Christ, afin de tenir cet ennemi en respect, et déjouer toutes ses ruses.
PRIÈRE
Seigneur Jésus,
donne-moi la force
de prendre des risques,
Et surtout de prendre le risque de croire en toi
Quand le monde m'entraîne dans l'autre sens ;
De prendre le risque de répondre à l'agressivité
par la douceur,
À l'égoïsme par la générosité.
Amen.
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renatoferreiradasilva · 20 days ago
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Dans un petit café de Tunis, par une journée chaude où l’on rêvait sans cesse d’une brise marine, Lucie et Henri étaient plongés dans une conversation remplie d’énigmes et de métaphores. Amoureux et intellectuels curieux, le monde autour d’eux servait de terreau fertile pour leurs discussions.
« Bonjour, mon petit amour ! » dit Lucie avec un sourire espiègle, regardant Henri par-dessus sa tasse de café fumant. « Tu as l’air pensif ce matin… Impossible de deviner ce que tu mijotes ! » ajouta-t-elle en remuant sa boisson comme si elle cherchait à déchiffrer ses pensées.
Henri, éternel sceptique, laissa échapper un léger rire. « Bonjour, ma chérie ! Lis plutôt ça, ton café va refroidir avant même que tu aies fini ! » dit-il en lui montrant un article sur son téléphone. « Un mystère économique à Shanghai, apparemment. Une grosse fusion en vue, peut-être ? Ou un scandale financier ? Personne ne sait vraiment ce qui se passe… »
L’article parlait d’une rumeur persistante concernant un bouleversement majeur dans le monde des affaires à Shanghai. Les autorités gardaient le silence, alimentant les spéculations et l’incertitude sur les marchés.
« C’est fascinant, non ? » s’exclama Lucie. « Qui tire les ficelles dans l’ombre ? Un gros poisson, un requin prêt à dévorer ses concurrents ? Ou bien ce sont les petits poissons, comme nous, qui se feront prendre dans les filets sans comprendre ? »
Henri, toujours analytique, se lança dans une série d’hypothèses, tandis que Lucie réfléchissait aux rouages du système économique mondial.
« Tu sais, Henri », dit-elle soudain, le regard lointain, « je me demande souvent qui sont les vrais requins dans cette histoire. Est-ce que ce sont ceux qui contrôlent tout – les grands financiers, les multinationales – ou bien est-ce que le vrai requin, c’est le système lui-même… »
Henri la regarda, intrigué. « Le système ? Tu veux dire… »
« Le capitalisme mondial, cette immense machine qui écrase tout sur son passage », continua Lucie. « Milton Santos, le géographe brésilien, disait que la mondialisation crée un espace vide où les gens ne sont plus que des chiffres, où les villes deviennent des îlots d’opportunités pour une minorité et des déserts pour les autres. »
« C’est vrai », acquiesça Henri, pensif. « Ce que nous voyons n’est pas une économie mondiale fluide et juste, mais une immense toile d’araignée où les capitaux se déplacent comme des proies, tissée par des forces invisibles. Santos avait raison : la ville n’est pas seulement un lieu d’échange, mais un lieu de contrôle, de manipulation. Le capital spéculatif ignore les besoins réels des populations ; il ne cherche qu’à s’enrichir. »
« Et le pire », ajouta Lucie, « c’est qu’il crée l’illusion de la liberté, de la croissance, tout en dévorant des villes entières. Ce qui se passe à Shanghai n’est qu’un exemple parmi d’autres. Le café va refroidir, mais le système, lui, ne s’arrête jamais. Ce ne sont pas les nouvelles ou les changements visibles qui comptent. Ce qui importe, ce sont les mouvements invisibles, les flux qui alimentent le jeu. »
La conversation se poursuivit pendant des heures. Tunis, avec ses rues tranquilles et son ciel bleu, semblait figée dans le temps. Le café était froid à présent, mais l’inquiétude de Lucie ne faisait que grandir. Elle savait que leurs paroles n’étaient que le début d’une vérité qui, comme le capital, circulait presque invisiblement.
L’après-midi s’étirait lentement, les ombres s’allongeaient sous les vieux arbres du café, mais pour Lucie et Henri, le temps semblait suspendu dans un espace fait de mots et de réflexions. Henri, toujours plongé dans ses pensées, laissa échapper un soupir. Il comprenait bien la vision de Lucie. Il savait que derrière les apparences, quelque chose de bien plus profond était en jeu.
« Tu sais, Lucie, ce que tu dis sur la mondialisation me fait penser à ce que disait Jean Baudrillard, ce philosophe français. Il parlait d’un monde où la réalité est remplacée par des simulacres. Tout est devenu une image, une représentation. Les villes, les marchés, les flux financiers, tout est devenu une scène où les acteurs ne jouent plus des rôles, mais se sont eux-mêmes dissous dans des mouvements et des signes. » Henri marqua une pause, cherchant ses mots. « Ce qui se passe à Shanghai, ou ailleurs, c’est un autre reflet de cette réalité simulée. La finance n’est plus seulement un échange de biens ou d’argent. C’est un spectacle où les illusions dominent. »
Lucie hocha la tête, absorbant ses paroles. « Un spectacle où nous jouons tous des rôles, inconscients de ce qui se cache derrière le décor », murmura-t-elle. « Mais Henri, ne crois-tu pas qu’il existe des résistances, des espaces de liberté dans ce système ? Des endroits où l’on peut encore se battre pour quelque chose de réel ? »
Henri sourit légèrement. « Bien sûr qu’il y en a. Mais ces espaces de liberté sont souvent des îlots de résistance, des microcosmes de lutte contre le système. Ils existent, mais ils sont noyés dans une mer d’indifférence. Et parfois, ce sont ces petites résistances qui, d’une manière ou d’une autre, alimentent ce même système qu’elles combattent. »
Leurs regards se croisèrent un instant, comme s’ils cherchaient à se comprendre au-delà des mots. Lucie était consciente de cette vérité douloureuse : le système, aussi inhumain et destructeur qu’il puisse paraître, avait une manière d’absorber tout, même les formes de résistance. Mais elle refusait de croire que tout était perdu.
« Tu ne crois pas, Henri, qu’il y a encore des moyens de sortir du jeu, de ne pas être simplement une partie de la machine ? » demanda-t-elle, le regard perçant celui d’Henri.
Henri se frotta le menton. « Peut-être. Mais il faut une vision claire, un projet cohérent. Nous devons être capables de désirer autre chose, et pas seulement nous laisser porter par le courant des événements. Mais même ce désir peut être récupéré, et transformé en une autre marchandise. »
Lucie, en silence, regarda les rues animées de Tunis qui s’étendaient devant eux. Chaque rue, chaque coin de la ville semblait être l’image même de ce qu’ils venaient de décrire : un espace entre l’illusion et la réalité, entre l’espoir et la résignation.
« Je crois qu’on doit d’abord commencer par nous-mêmes », dit-elle après un moment. « Repenser ce que signifie vivre librement. Peut-être que la résistance ne réside pas seulement dans de grandes actions, mais aussi dans la manière dont on choisit de vivre au quotidien, dans les petites choses que l’on fait, dans la manière dont on garde notre humanité intacte face à tout cela. »
Henri acquiesça lentement, les yeux perdus dans les ruelles de la médina. « Tu as raison. Peut-être que tout commence par là. Refuser de se laisser réduire à des chiffres, à des marchandises. C’est une petite résistance, mais elle est réelle. »
Leurs conversations continuèrent à glisser entre métaphores et réflexions. Le café, bien que froid maintenant, n’était plus qu’un prétexte pour explorer des questions infinies, tissant de nouveaux fils invisibles entre les grandes idées et la vie ordinaire.
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skate-tautoloandsym · 2 years ago
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Looks like a spiderweb 🕸. On dirait une toile 🕸 d’araignée. スパイダーウェブに似ている 🕷。
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justinboisco · 2 months ago
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Et maintenant il y a toi. Cet homme aux yeux céladon. A la fois fort et fragile. Doux, émotif et humble. Cet homme a l’enfance plus terrible encore que la mienne. Tu aurais pu te revêtir d’une armure, porter le glaive haut, prêt à tracher la tête de toutes les femmes qui se trouvent sur ton chemin, en réponse à celle qui t’a laissé dans ce centre avec tes frères et n’est jamais revenue te chercher, mais aussi à celle qui t’a accueilli sans jamais ouvrir la porte de son cœur. Dans ton malheur, tu as eu la chance de rencontrer des hommes qui t’ont montré un chemin, t’ont embarqué avec eux, t’ont protégé comme ils ont pu. Ces mains tendues t’ont donné l’élan, la confiance, l’affirmation et la valeur de l’engagement. Les premières femmes de ta vie quant à elles, ont laissé un vide que tu peines à combler. Ce besoin de réassurance sur l’amour qu’on te porte est omniprésent, omnipotent. Il me faut vivre avec, alors même qu’il me renvoie à mes peurs de te pas être capable d’aimer, à mes peurs de m’attacher puis me lasser, de me tromper, me fourvoyer, de m’emballer trop vite, à mes peurs de créer un lien qui serait une toile d’araignée qui m’emprisonne. Mes besoins sont différents des tiens. J’ai appris à ne compter que sur moi-meme, à ne faire confiance à personne, à ne jamais baisser les armes. Je n’ai pas eu droit non plus à l’amour d’une mère, ni la protection d’un père. Et celui qui aurait pu réparer ces blessures, en a créé une béante. Alors j’ai dû apprendre à faire confiance malgré mes réflexes de protection. C’est un travail long et sans cesse fragilisé. J’ai toujours oscillé entre la confiance et la protection. Comme si je me mettais en danger pour confirmer ce que mon mental me ressasse : “ne fais pas confiance aux hommes”.
J’ouvre mes portes en grand, puis mon mental se souvient et le doute se faufille et me déstabilise. Parfois je ressors mon bouclier avec toi. Je n’ai pas aimé cette première relation sexuelle sans protection. Je n’aime pas quand tu t’imposes, quand tu insistes, quand tu “t’installes”, laisses tes affaires comme on marque son territoire. Il m’est très difficile de distinguer si je laisse faire pour affronter mes peurs ou si je répète mes erreurs. Une part de moi a envie de lâcher prise, de se faire confiance et faire confiance à l’autre, une autre part se méfie, se contracte, rétracte, met de la distance, de la froideur, de la réflexion, des interrogations, de l’analyse. Une part de moi essaie de se convaincre que l’autre est respectueux, interessant, aimable et aimant, l’autre lui cherche des poux dans la tête. Tout cela m’empêche de vivre pleinement le moment présent et l’Amour que je te porte.
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das-coven · 2 months ago
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Samain : La fête celtique des mystères et des esprits
Bien avant que les sorcières en plastique, les toiles d’araignée en coton et les citrouilles sculptées n’envahissent nos maisons à la fin d’octobre, les peuples celtes célébraient Samain (ou Samhain, prononcé « Sa-win »). Plus qu’une simple fête, Samain était un moment sacré où les frontières entre le monde des vivants et celui des morts devenaient fines, presque poreuses. C’était une nuit…
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yespat49 · 2 months ago
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Inexorablement les Frères musulmans poussent partout leurs pions
Michel Festivi Refuser de voir que les Frères musulmans tissent leurs toiles d’araignées en France et en Europe, c’est soit être aveugle, soit être d’une mauvaise foi absolue. Que les pires islamogauchistes de la France insoumise et les gauches en général, pour les plus basses raisons politiciennes, fraient avec les totalitaristes musulmans est une chose, mais que des macronistes, des centristes,…
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