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darthtalon89 · 4 years ago
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ieatmovies · 6 years ago
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THE COLLECTION (2012) La suite du mémorable THE COLLECTOR (2009) est indissociable de son prédécesseur, seconde face de la même pièce: toujours réalisé par Marcus Dunstan, le film nous emmène cette-fois ci... dans l’antre du Collectionneur. Changement de décor donc, où THE COLLECTION dévoile enfin le repaire du serial-killer, là où THE COLLECTOR se “contentait” de nous présenter le personnage sur son terrain de chasse: ici, la découverte est de taille, importante de par la conclusion qu’elle amène à l’histoire de cette relation indissociable entre Arkin -l’antihéros ayant survécu au premier film- et l’emblème terrifiant qu’est l'antagoniste masqué ayant donné son nom à la saga. A peine remis de son échappée, le cambrioleur se voit recruté par une équipe de mercenaires engagés pour retrouver Elena, dernière victime en date l’ayant croisé au cours de sa capture: mandatée par le père de cette dernière, la team apporte à THE COLLECTION une approche plus musclée, comme le fit James Cameron avec ALIENS (1986), ou plus récemment le REC.2 (2009) de Jaume Ballaguero et Paco Plaza. Une méthode prouvée et efficace, qui ajoute une dose d’action non négligeable au genre horrifique qu’est le dyptique de Dunstan: toutefois, l’aspect torture/huis clos est conservé, le scénario de THE COLLECTION se déroulant dans l’immense hôtel abandonné qui fait office de repère au Collector. En effet, là où la surprise tétanisante de THE COLLECTOR nous clouait dans notre siège, c’est avec encore plus d’effroi que se dévoile le cœur de cet esprit tordu et machiavélique. Transition judicieuse, car on passe de l’”apprentissage” de l’antagoniste à la compréhension totale de son mode opératoire, qui réserve bon nombre de révélations stupéfiantes quant à ce sujet: agrandissant l’échelle de son terrain de chasse, THE COLLECTION s’ouvre sur une véritable boucherie ayant lieu pendant une rave party privée, qui ferait pâlir BLADE (1998) lui-même. De plus, on découvre que le Collector est craint par la population locale, via ces extraits de journaux télé où les médias relatent le danger invisible mais bien réel, en énonçant un nombre affolant de disparitions: Arkin -toujours joué par Josh Stewart-, forcé à pénétrer avec ce groupe surarmé pour sauver Elena, va devoir revivre son calvaire pour le guider vers la jeune femme -ça rappelle aussi une peu la formule de THE DESCENT: PART. 2 (2009), où la seule survivante du carnage revenait sur le lieu de l’atrocité pour y reconstituer les événements-. Obligé de collaborer avec les mercenaires, ce survival horrifique lorgne parfois vers l’actioner, mais jamais sans céder à un “bourrinisme”, et ce grâce au talent de braconnier du Collector, toujours aussi brillant dans sa conception de pièges mortels: comme dans THE COLLECTOR, THE COLLECTION déploie une esthétique jusqu’au-boutiste, que ce soit par l’harmonie de ses couleurs, ou ses designs incroyables. On voit enfin la “Collection”qui était auparavant évoquée dans la saga, aussi magnifique que macabre que les œuvres choquantes que l’on pouvait apercevoir dans l’esprit du serial-killer du sublime THE CELL (2000) de Tarsem Singh. Mais heureusement, THE COLLECTION conserve les qualités de THE COLLECTOR, se dirigeant sans temps mort vers un climax et un ending fidèles à l’esprit de cette licence sombre et unique. Toujours aussi effrayant, le Collector n’a pas perdu cette lueur blanchâtre/morte dans ses yeux de psychopathe mutique, ni cette minutie calculatrice quant à l’élaboration de ses actes ignobles: Dunstan se lâche, laissant libre cours à son imagination, qui figerait sur place un certain Jigsaw de par cette inventivité folle de cruauté. Le point d’orgue de THE COLLECTION est indiscutablement cette scène culte, où Arkin et Elena s’échappent du bâtiment en proie à l’incendie où se cache la “galerie des horreurs” du Collector, où le compositeur Charlie Clouser en réhausse le niveau, grâce au morceau Out Of The Fire, on ne peut plus adapté pour en icôniser cette scène mémorable. THE COLLECTION est l’apogée du thème de THE COLLECTOR, final éclaboussant d’hémoglobine l’écran, et anoblissant de manière épique la noirceur terrifiante le premier film: pour couronner le tout, la “vraie” fin -ou “fin alternative” selon le regard que vous avez- se dissimule dans les scènes coupées disponibles sur le blu-ray; baptisée “8MM”, cette courte séquence dynamique est filmée -merci Captain Obvious- en caméra 8MM donc, où Arkin et Elena réservent un sort bien précis au Collector. Génial. Mieux, le making-of du long-métrage met en lumière le tournage de THE COLLECTION sans monter sur ses grands chevaux, révélant un réalisateur ultra impliqué, et une équipe à fond dans le projet: figurants, acteurs, responsables des effets spéciaux, tous semblent y trouver leur compte, et nous aussi. Presque qu’on en viendrait à espérer un chapitre final en mode “héritage”, ou pire, “origins”: d’ici là, Dunstan nous a offert un coup double de qualité indéniable, qu’on aurait tort de refuser tant c’est bon. Le Collector a gagné ses galons de croquemitaine légendaire du cinéma, son titre de boogieman de légende. “Perfect!” DUNSTAN /20
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