#texteperso

[korrikoko]

Option

Et puis un jour, tu comprends que c’est nocif pour toi

Que les dés étaient pipés dès le commencement

Que tout ce en quoi tu as cru, ce n’était que du vent

Que tous les efforts que tu as fais avec maestria

N’ont servis à rien, à part te bercer d’illusions

Tu prends conscience que l’on t’a bien pris pour un con.

Tu as retourné l’histoire dans ta tête mille et une fois

Analysé le moindre mot, la moindre émoticône

Au début, t’as pensé qu’y avait plus qu’une friendzone

Au fur et à mesure, t’as compris que ça venait que de toi

Là où le bas blesse, c’est que toi, tu veux aider les gens

Alors qu’eux, c’qu’ils veulent, c’est qu’t’apaise leurs tourments.

Quand t’as voulu prendre des distances, l’autre revenait

T’as forcément espéré, t’étais en transe, tu t’es dit cool

Mais l’autre ne voulait rien de plus qu’une amitié

Tu t’es voilé la face, un bon moment, t‘as eu les boules

Mais la vie est bien faite, t’as mis du temps, mais tu as compris

Que continuer comme ça au fond, c’était que de la connerie.

T’as mis du temps à atterrir, à te dire qu’il fallait passer à aut’ chose

Tu sais qu’ça t’faisait trop souffrir, t’as arrêté en arrivant à l’overdose

Tu as trop vécu ça, trop de fois eu des sentiments pas réciproques

Tu t’aimes trop pour ça, tu en as trop marre de baisser ton froc

Alors tu t’es dis merde, moi je ne veux plus qu’on me prenne pour un con

Je vaux mieux que ça, je n’ai pas envie d’être une putain d’option.

@korrikoko

[momomoose10]

Décadence..

De plus en plus noir, de plus en plus seul , que faire? comment empêcher cette chute en enfer .. je pense que c'est impossible, je vais continuer à sombrer dans se vide, continuer à me blesser en me heurtant au parois de se trou sans fin.. ou alors il y a un fond, il y a un terminus mais qu'est ce que j'obtiendrai une fois touché ..? De l'en durcissement ? Du courage? De la joie ? Rien de tous ça je pense .. se serrai plutôt de la peine .. du malheur .. et de la mort .. oui la mienne .. je disparaîtrais de se monde en ne laissant aucune trace .. aucune personne triste .. se serra juste comme si je n'avais jamais exister .. et tous ça.. tous se mal .. ne proviens que d'une seul personne .. qui ma tous donner et tous repris .. oui toi qui peux sûrement voir ça car tu regarde encore mon Tumblr .. je le sais .. mais jamais tu viendra parce que tu te crois supérieur.. tu te crois forte .. mais sache que je t'ai donner tous se que j'avais et que j'aurai pus te donné encore bien plus .. mais tu tu t'es débarrassé de moi comme une vieille loque dégeulasse et tu t'es foutue de moi .. et je me retrouve dans se trou, se vide infinie qui ne cesse de me blesser et me faire souffrir sans arrêt ..

[korrikoko]

20/09/2020

C’est malsain de jouer avec les sentiments des gens

Surtout si on ne souhaite pas leur laisser une chance

Ce n’est pas correct, ce n’est pas respectueux, c’est bas

Bien que le jeu de la séduction soit bon et enivrant

Il fait s’mettre à la place de l’autre, lui accorder de l’importance

Ne pas penser qu’à son propre plaisir, ne pas penser qu’à soi.

L’époque actuelle n’arrange pas les choses, ça empire

La société nous incite à consommer, à être individualiste

On perd peu à peu la sincérité, la bonté, la franchise

On se soucie de moins en moins des autres, de leurs désirs

On consume nos semblables comme on consomme des friandises

On a perdu le goût du devoir et on est plus hédoniste.

Je suis d’accord sur le fait qu’il faut vivre pour soi

Se faire plaisir, faire les choses d’ont on a envie

Pas au détriment des autres, pas en leur roulant dessus

C’est de la manipulation mentale, attention au karma

Faut pas juste faire ça parce qu’on s’ennuie

Ce qu’on crée nous revient et il est parfois violent le rendu.

[korrikoko]

Attentes

Bonjour à vous le réseau, j’ai envie d’aborder un nouveau sujet today

Les attentes, ce que nous attendons des autres, ce que nous croyons qu’on aimerait

Vaste sujet me direz-vous, en effet, les relations humaines sont bien compliquées

On s’enflamme pour un regard, un geste, des mots qu’on comprend de travers

Auxquels on s’attèle à mettre des sentiments, des intentions ou des sens cachés

Et quand on s’aperçoit que ce n’est pas ce qu’on croyait, on passe en mode colère.

Je pense qu’il est préférable de ne rien attendre, mis à part bien sûr le respect

Il faut être l’artisan de sa vie sans rien espérer des autres, juste de nous

Se comporter avec eux comme on aimerait qu’ils le fassent avec nous, peu ou prou

Ce qui est fondamental, c’est d’être droit dans ses bottes et d’être vrai

Ne pas se mener soi-même en bateau, sinon on peut pas être franc

Poser des mots sur c’qu’on ressent et surtout être apte à en parler aux gens.

C’est pas chiadé à concevoir, faut arrêter d’se dire qu’les aut’ ne pourraient pas recevoir

Nos mots tels qu’on souhaiterait les livrer, c’est pas à nous de les interpréter

L’essentiel, c’est qu’ils ne restent pas en nous, qu’ils puissent sortir fait un bien fou

Si ça blesse, si ça brasse au passage, faut surtout pas culpabiliser, ni s’en vouloir

On est pas responsable de ce que l’autre ressent, ça lui appartient, c’est sa vérité

Du moment que les choses sont dites, vous verrez que ça sera mieux pour vous.

[korrikoko]

06/07/13...

Mais où est mon esprit ? Il dérive vers des univers parallèles

Il se joue de moi, se crée des merveilles, l’inspiration est fidèle

Mes muses me susurrent à l’oreille, d’inaudibles chants de sirène

Mes sens sont aux aguets, mon intuition décuplée, mon cœur vide de haine

Je suis heureuse, respire la vie, j’ai le sourire et plein d’envies

Je n’en cherche pas la raison, je me laisse porter et j’apprécie.

Je me sens en harmonie avec la terre, avec les éléments, avec l’air

Envahie d’allégresse, de sérénité et de sagesse, par quel mystère ?

Le moment est parfait, le bonheur repose en moi, rayonne comme le soleil

C’est comme une renaissance, une acceptation, la fin d’un long sommeil

Un nouvel équilibre, une initiation au relativisme, un accouchement

Comme une naissance, cet événement est à la fois douloureux et troublant.

Je suis vulnérable, je l’accepte, je vois chaque chose comme si c’était la première fois

Mon côté enfant, la spontanéité, l’enthousiasme et la gaieté font partis de moi

Je crois aux fées et aux sorcières, aux envoûtements et aux charmes

Au monde féerique, aux prêtresses vaudou, aux maléfices, aux chamans.

[korrikoko]

28/09/2020

Deux nuits complètes et mon sommeil est de nouveau perturbé

C’est quand on prend du recul que les gens reviennent vous hanter

Quand on décide de s’en foutre qu’ils reprennent contact avec nous

Quand ils vous perdent qu’ils s’aperçoivent qu’ils tenaient à vous

C’est toujours la même histoire, le jeu du chat et de la souris

C’est le fameux “Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis”

Sauf que merde là, je le redis, je ne suis pas Mère Térésa

Je veux bien aider les gens, leur donner des clés pour avancer

Mais pas si je dois prendre cher au passage, non, tout mais plus ça

C’est trop facile de venir chouiner, raconter ses soucis, sans en retour donner

Je ne suis pas le bouche-trou de service, l’épaule sur laquelle on vient pleurer

Non, ça serait trop simple ça, les relations, ça va dans les deux sens

Si on sait qu’on va faire du mal, on se barre pour lui éviter trop de souffrances

Ça peut être une notion abstraite, mais ça s’appelle le respect.

[korrikoko]

02/09/2020

T’as gagné en effet ! Et comme je te l’ai dis, je te laisse la victoire

Je n’ai plus envie de jouer avec toi, ça ne m’amuse plus du tout

Ça a été sympa, on s’est bien marré mais je ne peux pas t’avoir

Alors je rends les armes, je laisse tomber, j’enfoncerai pas le clou

Un dernier texte, pour te dire que la balade était agréable et excellent

Tu comprendras qu’elle s’arrête là comme tu ne veux pas qu’on tente.

Sache que tu es une belle personne, tu mérites d’être heureuse et épanouie

Écoute-toi plus, fais-toi confiance et surtout profite à fond de la vie

Elle est courte et précieuse, savoure-la au max, jouis ta vie bordel

Je te souhaite tout le bonheur du monde, que tes yeux gardent leurs étincelles

Ne baisse jamais les bras, sois courageuse, plein de belles choses t’attendent

Et surtout, soi toi-même, fais en sorte de ne jamais te méprendre.

[korrikoko]

13/08/2020

Je n’ose plus écrire sur toi, je ne sais pas comment faire

Mais j’en ai trop envie et je crois que ce n’est pas un mystère

Je pense à toi tout le temps, je me réveille, je veux te parler

C’est comme si tu étais tout le temps là, pas que dans mes pensées

Obligé de fermer messenger, sinon je t’écrirai toute la journée

D’accord, bon j’avoue que c’est déjà ce que je fais

Je dors beaucoup mieux quand on discute avant que je me couche

Et j’essaie de ne plus penser à toi quand je vais à la douche

Chaque fois que je veux faire une sieste, mon esprit revient à toi

J’ai des pensées coquines et pour pour m’endormir, j’t’imagine contre moi

Tu m’as réveillé de ma torpeur, qu’est-ce que je me sens vivante

Je cherche pas à savoir où ça va me mener, je sais que je suis chiante

Des fois, je sens tes lèvres sur les miennes, si seulement t’étais là

Je crois que je te sauterai direct dessus, je te prendrai dans mes bras

Je préfère me dire que c’est pas possible, mais au fond de moi j’espère

Et je sais qu’il n’y que toi qui seras capable de me faire taire

J’en ai plus rien à foutre des autres, je te veux toi seulement

Mais tu le sais déjà, je sais très bien que toi aussi tu me sens

Je ne les ai plus ces putains de barrières et c’est tant mieux

Sache que ma porte t’est grande ouverte, c’est quand tu veux.

[korrikoko]

Texte perso : A A... janvier 2013

[korrikoko]

24.12.20 2

Y a des mots qu’on prend pour des promesses

Alors qu’on les dit seulement dans l’ivresse

Le problème, quand on se souvient de quasi tout

C’est de faire le vide pour pas devenir fou.

Faut choisir quoi oublier et quoi retenir

Les mots et les intentions sont pénibles à définir

Dans l’absolu, faudrait pas dire c’qu’on pense

Pas s’compliquer la vie, rester sur la défense.

Quand on forme des paroles avec sa bouche

Faut bien se dire qu’elles vont être comprises

Car entre ce qu’on dit et ce qui fait mouche

Ça arrive qu’il y ait une totale méprise.

D’où l’importance de bien se faire comprendre

Pour éviter que les autres puissent se méprendre

Les mots peuvent être pires que des coups de surin

Parfois, il en faut peu, pour perdre son chemin.

Ce qui est dit est dit, on ne peut pas revenir en arrière

On sait très bien que ça ne cache pas tout les œillères

Il y a des lettres qui restent gravées dans les esprits

Des invectives qui font écho au point que ça nous étourdit.

[korrikoko]

24.12.20

Je fais tout pour ne plus écrire sur toi et c’est pas facile

Je pense qu’à partir du nouvel an, ça devrait aller mieux

Nos discussions résonnent encore dans mon esprit

Alors c’est vrai qu’on peut parler autant et que ça soit stérile ?

Perso, j’sais pas faire ça, il n’y a pas d’entre-deux

Mais parfois les gens dialoguent juste pour être polis.

Des mots me reviennent en mémoire, des idées, comme ça

C’est à cause d’eux que je me perds, ils me trompent

Me font croire des histoires et miroiter de l’espoir

Quand on y pense, on s’accroche vraiment à n’importe quoi

Avec le temps, on change les significations ou elles s’estompent

Et des fois, tout ce dont on a besoin besoin, c’est de rester dans le noir.

C’est chelou quand même, les relations humaines pour moi

J’vous assure qu’après avoir fait l’ermite aussi longtemps

Ce n’est pas simple de décoder les messages et intentions d’autrui

On fait juste tout en fonction de ce qu’on nous dit et ce en quoi on croit

A partir de là, on se construit notre vérité, on s’fait nos plans

Et ça s’passe généralement pas comme on avait envie.

Quand on a pas l’habitude de faire dans la demie mesure

Tout se complique vite, ça prend des proportions qui nous dépassent

On fait d’un rien toute une montagne, un truc plus lourd que ça ne l’est

Notre cervelle aime bien se faire des films et se torturer

Se bercer d’illusions jusqu’à l’excès, jusqu’à l’usure

Le réveil est violent quand une à une on les supprime, on les efface.

On s’inflige tout de même bien des souffrances vaines et inutiles

La plupart du temps, au final, on se prend juste pour des débiles

Et dire qu’au départ, je croyais qu’il venait de moi le problème

Je fais des efforts pour être claire et moins chercher les sens cachés

Maintenant, j’ai plus l’impression que c’qui merde, c’est tout le système

Je préfère cent fois rester dans ma bulle, mon monde et mes pensées.

[korrikoko]

23.12.20

Veille de Noël, même pas envie de le fêter

Et fêter quoi ? La prochaine année de merdes à venir

J’vois trop pas pourquoi on veut marquer le coup

On a beau essayer de se donner et positiver

On est les seuls à savoir quel cap tenir

La plupart du temps, quand on est seul, on devient fou.

Mais tout va bien, j’ai mes amis imaginaires

Ils me rassurent, en ce moment, j’ai le cafard

J’avoue que je picole beaucoup, c’est mon remède

C’est la saison qui veut a, j’tire les volets, allume les luminaires

J’le dis encore, ça manque de neige sur les trottoirs

J’ai tellement chaud, qu’j’sors plus les pulls et les plaids.

Mes 40 ans n’auront pas valu plus le détour que mes 20

C’est moche, mais c’est la life, le conaro, la connerie

Je ne suis pas la seule responsable, mais ça me chagrine

Un gros tas de misère va p’t’être arrêter le cycle de pourri

Et puis au fond, c’est comme tout, ça passe le spleen.

[korrikoko]

Option ( 28.10.20)

Et puis un jour, tu comprends que c’est nocif pour toi

Que les dés étaient pipés dès le commencent

Que tout ce en quoi tu as cru, ce n’était que du vent

Que tous les efforts que tu as fait avec maestria

N’ont servis à rien, à part te bercer d’illusions

Tu prends conscience que l’on t’a bien prit pour un con.

Tu as retourné l’histoire dans ta tête 1001 fois

Analysé le moindre mot, la moindre émoticône

Au début, t’as pensé qu’il y avait plus qu’une friendzone

Au fur et à mesure, t’as compris que ça ne venait que de toi

Là où le bas blesse, c’est que toi, tu veux aider les gens

Alors qu’eux, c’qu’ils veulent, c’est qu’t’apaise leurs tourments.

Quand t’as voulu prendre des distances, l’autre revenait

T’as forcément espérer, t’étais en transe, tu t’es dit cool

Mais l’autre ne voulait rien de plus qu’une amitié

Tu t’es voilé la face, un bon moment, t’as eu les boules

Mais la vie est bien faite, t’as mit du temps, mais t’as compris

Que continuer comme ça, au fond, c’était de la connerie.

T’as mis du temps atterrir, à te dire qu’il fallait passer à aut’ chose

Tu sais qu’ça t’faisait trop souffrir, t’as arrêté en arrivant à l‘overdose

Tu as trop vécu ça, trop de fois eu des sentiments pas réciproques

Tu t’aimes trop pour ça, tu en trop marre de baisser ton froc

Alors tu t’es dis merde, moi je ne veux plus qu’on me prenne pour un con

Je vaux mieux que ça, j’ai pas envie d’être une putain d’option.

[korrikoko]

Catherine, je viens de t’avoir au téléphone. C’est cool ce reconfinement finalement !

[korrikoko]

Sortir (08/02/2017)

J’en viens à vouloir parler aux gens

Pas forcément ceux que je connais déjà

Je trouve ça bizarre et puis troublant

Mon style, c’est limite mode agora.

Furieuse envie de voir de nouvelles têtes

Besoin irrépressible d’originalités

J’me sens seule, dans mon antre de bête

Plus je vieillis et plus je veux partager.

 Je sais que j’ai du mal à garder contact

Il y en a plein que j’aimerai revoir

Mais j’ose pas appeler, putain de trac

Et je sais que ça doit les décevoir.

C’est comme si j’avais un sac de bonbons

Que je ne pouvais partager avec personne

C’est dommage, pourtant, ils sont bons

Aller, qui c’est qu’en veut, je les donne.

Et puis, cuisiner pour moi toute seule

Je trouve ça triste, ça ne me motive pas

Du coup, la bouffe, j’lui fais la gueule

Je grignote et j’fais pas de p’tits plats.

Ce n’est pas l’envie qui me manque

De faire la gentille femme au foyer

Ça me ferait sortir de ma planque

Là, je suis prête à tout risquer.

[korrikoko]

03/10/2016

Je le savais au fond de moi, qu’un jour, t’appellerais

Si tu m’demandes pourquoi, je ne saurai l’expliquer

Je ne pensais pas, à quel point, ça me déstabiliserait

Je me disais qu’après ça, tu m’ferais jamais plus d’effet

Mais je me rappelle à présent, tout ce que tu m’as enlevé

Tes coups de vices, tes caprices, et toute ta perversité

Toi, sortant d’la douche à poil, sans aucun effet

Moi, sur l’ordinateur, surtout ne pas regarder

J’ai résisté, jusqu’au bout, que j’t’ai vu déménagé

Ce jour-là, c’est le plus beau souvenir que j’ai gardé

Le rêve ! De toi, j’étais enfin débarrassée

Assez de tes coups de délires, tes regards mauvais

Ta pudicité feinte et de tes envies de te faire toucher

Bye bye la souris masochiste et la chatte mijaurée

Ton emprise malsaine, tu peux te la garder.