#techniques de composition pour orgue
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lucdupuis · 1 year ago
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Website: https://www.lucdupuis.org
Luc Dupuis, organiste et compositeur belge né en 1954, est reconnu pour son expertise dans la musique pour orgue, notamment les œuvres de Widor et Handel. Professeur émérite au Conservatoire royal de Bruxelles, Dupuis a grandement contribué au domaine musical avec ses méthodes d'enseignement innovantes et ses compositions. Ses offres incluent une gamme de symphonies pour orgue, de concertos et de matériaux pédagogiques, séduisant les amateurs et les musiciens professionnels. L'œuvre de Dupuis se caractérise par un mélange de savoir-faire traditionnel et d'interprétation contemporaine, rendant ses compositions et transcriptions une ressource précieuse pour les aficionados de la musique pour orgue.
Luc Dupuis, a distinguished Belgian organist and composer born in 1954, is renowned for his expertise in organ music, particularly the works of Widor and Handel. As a professor emeritus at the Royal Conservatory of Brussels, Dupuis has significantly contributed to the field of music through his innovative teaching methods and compositions. His offerings include a range of organ symphonies, concertos, and educational materials, appealing to both enthusiasts and professional musicians. Dupuis' work is characterized by a blend of traditional craftsmanship and contemporary interpretation, making his compositions and transcriptions a valuable resource for organ music aficionados.
Luc Dupuis, ein renommierter belgischer Organist und Komponist, geboren 1954, ist bekannt für seine Expertise in Orgelmusik, insbesondere den Werken von Widor und Händel. Als emeritierter Professor am Königlichen Konservatorium Brüssel hat Dupuis einen bedeutenden Beitrag zum Musikbereich durch seine innovativen Lehrmethoden und Kompositionen geleistet. Sein Angebot umfasst eine Reihe von Orgelsymphonien, Konzerten und Bildungsmaterialien, die sowohl Enthusiasten als auch professionelle Musiker ansprechen. Dupuis' Werk zeichnet sich durch eine Mischung aus traditionellem Handwerk und zeitgenössischer Interpretation aus, was seine Kompositionen und Transkriptionen zu einer wertvollen Ressource für Orgelmusikliebhaber macht.
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nnjzz · 2 months ago
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KUNTARI + MAQ / OTOS ++ SARAH TERRAL + NICOLAS DEBADE
BONJOUR / BONSOIR / / HELLOOO)))
MARDI LE 26.11
Le Non_Jazz
KUNTARI  id MAQ + OTOS  arg / fr SARAH TERRAL fr NICOLAS DEBADE fr
OLYMPIC CAFÉ 20 rue Léon 75018 M° Château Rouge
20:00 portes 20:45 ACTION!
P.A.F. 6€ KUNTARI  id Duo de " primal-core " ( néologisme conçu par le leader et l'initiateur du projet Tesla Manaf), originaire de Bandung en Indonésie.
Leur musique s'inspire autant de sons de la nature ( avec une prédilection particulière pour les cris d'accouplement d'animaux sauvages - y compris ceux de gigantesques créatures imaginaires ) que de rythmiques et de textures des musiques balinaises et / ou chinoises traditionnelles.
Guitare / batterie / instruments traditionnels / électronique ou encore cornet ou trompette ( joués avec une technique non-orthodoxe appliquée aux embouchures ), produisent des textures et des climats sombres et soutenus, tissant la bande-son d'un mystérieux rituel, se déroulant dans une ambiance moite et onirique.
Le groupe a collaboré notamment avec entre autres, Keiji Haino, Fuyuki Yamakawa, Rully Shabara, Arthur Hnatek, Morgue Vanguard, Jonas Engel, Luigi Monteanni, Yuji Ishihara and Yasushi Yoshida.
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MAQ + OTOS  arg / fr Duo inédit et transatlantique. Macarena Aguilar Tau ( aka  MAQ) - qui vit et travaille à Buenos Aires - est artiste sonore, chef d'orchestre, compositrice et productrice dont le travail se concentre sur l'expérimentation combinant éléments acoustiques, électroacoustiques et électroniques.
Elle compose de la musique pour des ensembles instrumentaux, bandes-son ( musique et / ou sound design ) pour films, podcasts, pièces de théâtre, installations, dispositifs de  réalité virtuelle et se produit aussi - solo ou en collaboration avec d'autres - sur scène en réalisant des performances électroniques en direct.
OTOS est une nouvelle facette du travail de la violoncelliste / contrebassiste / compositrice-improvisatrice Félicie Bazelaire.
Avec ce nouveau projet, elle a développé un dispositif électro-acoustique lui permettant d’improviser à partir de ses propres sons de contrebasse préalablement enregistrés.
Elle envisage ce jeu musical comme une extension polyphonique de son instrument et peut ainsi créer des paysages sonores où rythmiques organiques et harmonies flottantes cohabitent.
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SARAH TERRAL fr Un des multiples projets de Clément Vercelletto ( Orgue Agnès, Kaumwald, Engoulevent ), ici à la synthèse modulaire.
" Habitué à façonner des sons fourmillants, qu’ils soient organiques ou technoïdes, on le retrouve ici face à une approche minimaliste et épurée. Chaque séquence, chaque note est posée dans un espace évanescent et impalpable. Les modulations électroniques sont précises et l’histoire que nous raconte le musicien est limpide et sans fioritures. "  ( Instants Chavirés )
NICOLAS DEBADE fr Que ce soit pour ses compositions ou ses lives ( " à base d’oscillateurs, pédales d’effets, synthés et feedbacks, puisant dans la matière noire et toutes autres sources d’intérêt pour les musiques obscures et énergiques" ), ses influences se situent autant du côté des musiques improvisées que des pionniers électroacoustiques, des bruitistes et expérimentateurs en tout genre.
Musicien, compositeur, chercheur. A fait partie du duo de noise marseillais Ohmodron,et a par ailleurs pu se produire en solo ou a participé à d'autres groupes.
Après des années passées à Marseille à côtoyer les scènes conventionnelles ou interlopes, après des études de piano en conservatoire et dans le son, jusqu’à un doctorat en sciences de l’art et sociologie, il rejoint fin 2019 l’équipe du GRM.
Fly - Jo L'Indien
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llzrabin · 1 year ago
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The Kills, jeu dévoué
La série de photographies intitulée Dogs Chasing My Car in the Desert, réalisée entre 1996 et 1998 par l'artiste américain John Divola, capture l'instant pendant lequel des chiens poursuivent sa voiture lancée à pleine vitesse sur une route désertique de la Californie du Sud. Toute la puissance existentielle de cette série tient précisément dans la fugacité du moment saisi, celui où le chien atteint la fenêtre du conducteur pour capter son regard, dans l'espoir vain de rattraper la voiture. À propos de ces photographies, John Divola déclare : « Contempler un chien poursuivant une voiture invite à de nombreuses métaphores et juxtapositions : la culture et la nature, le domestique et le sauvage, l'amour et la haine, la joie et la peur, l'héroïsme et l'idiotie. Ici, nous avons deux vecteurs et deux vitesses, celle d'un chien et celle d'une voiture et, étant donné qu'un appareil photo ne capturera jamais la réalité et qu'un chien n'attrapera jamais une voiture, c'est la preuve d'une dévotion à une entreprise sans espoir. »
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John Divola, D05F23 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
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John Divola, D10F15 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
The Kills ont toujours fonctionné en double et en antagonisme. Alison Mosshart et Jamie Hince sont les deux faces d'une même pièce. C'est la tension entre l'isolement et le désir qui est leur moteur de création. La juxtaposition des opposés – domestique et sauvage, héroïsme et idiotie, joie et peur – est manifeste jusque sur la pochette de God Games, où matador et taureau s'affrontent.
À l'écoute de ce disque, le temps passe à une vitesse folle. C'est le temps d'un regard à 130 km/h derrière soi pour y apercevoir un animal à bout de souffle. Non pas parce que ses chansons sont courtes, mais parce qu'il n'y a rien d'aussi immédiatement obsédant que dans Keep On Your Mean Side, No Wow, Midnight Boom, ou même Blood Pressures et Ash & Ice (qui s'essoufflait déjà parfois). Bien sûr, les premiers morceaux des Kills visaient plus juste par leur proximité avec l'ethos DIY, un beat rustique sur une boîte à rythmes bâtarde, un riff à la manière d'un bluesman aveugle, des paroles crachées avec droiture et l'urgence punk dans la voix. Écouter Keep On Your Mean Side, c'est comme lire un fanzine trouvé à prix libre dans une cave où joue un concert de garage rock en 1997 : Xerox ou 4-pistes, même combat.
L'album God Games, lui, fait plutôt l'effet de séquences de films contemplatifs, se voulant artistiques et en marge des tendances, mais avec un très bon budget alloué au montage. Ce qu'il y gagne en production, il le perd en expressivité personnelle et en saleté sincère. Dans un paradoxe un peu fâcheux, les premiers singles révélés cet été, New York, LA Hex et 103, distillaient jusqu'au gimmick toute la substance de leur univers garage et indie rock, sans produire cet effet accrocheur des anciens tubes. Il y a ici de bonnes idées et quelques fulgurances mais, à rebours du récit promotionnel vendu par le label et le groupe lui-même dans les nombreuses interviews récemment données à la presse, qui promet un changement de son, une liberté absolue et une approche expérimentale de la composition, il est intéressant de constater que les meilleurs morceaux de l'album – j'entends par là, les plus réussis soniquement, ceux dans lesquels on entend l'aisance technique, la facilité de l'habitude – sont ceux qui sonnent comme leurs précédents morceaux.
En cela, la deuxième partie de l'album, de Wasterpiece à Better Days, se réécoute avec plaisir, rappelant les beaux jours de Ash & Ice. Et les chœurs gospel de LA Hex sont une réminiscence des chœurs de Satellite. Mais les synthés, les orgues et le mellotron, ce clavier polyphonique vintage, étaient aussi déjà en usage dans Blood Pressures. Quant aux paroles d'amour-haine, poèmes haletants où tendresse et violence se confondent, histoires d'amours et d'errances qui puent l'essence, elles ont toujours été la pulsation de leur son. Difficile de comprendre en toute bonne foi où se situe le potentiel infini de possibilités musicales dans le processus d'écriture de ce nouvel album, dont le duo parlent pourtant régulièrement. Et la ligne entre référence et paresse de se troubler progressivement. L'adage des Kills, incandescents, qui est de ne jamais regarder en arrière, sonne faux.
Il est des groupes qui mettent des années à trouver leur son, ou bien des artistes dont la signature est justement l'identité caméléon, toujours en mouvement. The Kills, quant à eux, ont trouvé leur signature sonore dès leur rencontre en 2001, scellée par le pacte de ne plus jamais se quitter et de se consumer ensemble par la musique.
Je n'ose pas parler de confort, pourtant il y a toujours eu un peu de cela dans leur musique. C'est d'ailleurs bien ce qui a contribué à créer la formule magique du duo : le confort musical de ce « vieux couple marié » (ce sont les mots de Jamie Hince), c'est la complicité évidente, totale et fusionnelle dès les débuts, alors qu'Alison et Jamie se connaissaient à peine.
Alors, maintenant, quoi ?
Dans la langue anglaise, le proverbe 'to be like a dog that caught the car' désigne quelqu'un ayant atteint son but et ne sachant pas quoi faire de cette victoire. C'est une course vide de sens : le chien n'est pas censé rattraper la voiture. Cette « dévotion à une entreprise sans espoir » dont parle John Divola, c'est peut-être ce qui constitue le moteur créatif des musicien.ne.s, ce point de fuite imaginaire destiné à aider un groupe à construire son œuvre en perspective. Pour mieux s'en affranchir ensuite.
Il me semble que la musique des Kills en 2003 contenait infiniment plus de matière expérimentale et de liberté de création que celle de 2023 engluée dans sa narration de fausse naïveté magique. Comme s'il n'y avait plus rien à raconter au monde. Que faire quand on a déjà atteint la voiture vingt ans plus tôt ? Admettre de ne pas avoir su se renouveler n'est pas gage d'agonie, ce n'est même pas une faute. The Kills peuvent bien poursuivre leurs aventures de rock crade-classe, d'élégance musclée et arty bien à eux (d'aucuns parlent de posture, je ne suis pas de ceux-là, je crois leurs origines punk sincères), leur avenir y est faste. Il n'est pas besoin de maquiller ses intentions, ses faiblesses ou sa constance derrière une légende marketée quand la musique leur colle autant à l'âme.
Originally written for Dans Ta Face B, November 2023.
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cercledenikine · 4 years ago
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MISERERE MEI DEUS, LA MARQUE DES ANGES D’ALLEGRI
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An de grâce 1639, le 2 avril. Nous sommes au cours de la semaine Sainte. Le Pape Urbain VIII est assis dans la chapelle Sixtine à Rome. Sa Sainteté n’a pour l’instant pas connu un règne pontifical des plus reposants : les famines successives en Europe, les mauvaises récoltes qui s’enchaînent, les séquelles des guerres de religion qui sont encore présentes, le procès de Galilée et l’acharnement de l’Inquisition d’Espagne...
Un compositeur aux frontières du génie  
Un homme est présent dans la chapelle sixtine, et dirige un chœur scindé en deux groupes, l’un de 4 choristes et un autre de 5 choristes. Cet homme, qui est plus exactement un prêtre, un chantre d’église, Maître d’Eglise de la chapelle sixtine depuis 1629 qui depuis 1638 travaille et compose l’œuvre majeure de sa vie mais également de toute l’histoire de l’art baroque : il s’agit de Gregorio Allegri.
Né à Rome en 1582, frère cadet de Domenico, Gregorio Allegri reçoit une éducation pieuse et solide, recevant avec son frère un enseignement théologique mais aussi musical. Les deux frères vont donc logiquement embrasser la vie ecclésiastique et sacerdotale.
Gregorio Allegri fut également compositeur à la basilique, avant de devenir en 1629 jusqu’à sa mort Maître de la Chapelle Sixtine, un honneur et une fonction occupée par quelques rares personnes appartenant à une élite musicale.
Incontestablement, son génie musical et son travail acharné vont profondément marquer les esprits, à commencer par ses contemporains mais aussi l’Histoire de la musique et de l’art baroque. Mais les premières remarques à son encontre venant de ses contemporains en font d’abord ressortir un homme profondément agréable et très simple, d’autres ne craignent pas de souligner qu’un tel travail est à la frontière du génie en matière de polyphonie baroque, alors même que cette pratique passait de mode.
Une œuvre unique d’une maîtrise absolue
Quand il entend le Miserere pour la première fois, sa Sainteté le Pape Urbain VIII n’en revient toujours pas, que ce soit au niveau du contenu du Miserere ou de sa maîtrise musicale par Allegri.
Le Miserere qu’Allegri a mis en composition se chante a capella, c’est à dire sans orgues ni accompagnement. Il est chanté à neuf voix, cinq hommes et quatre femmes. La règle ne permettant pas la présence de femmes lors de cette cérémonie dans la Chapelle Sixtine, Allegri a l’idée de les faire chanter du haut d’un perron de la chapelle, alliant à la fois le respect de la règle et la prestation de son œuvre géniale.  
Le Miserere est avant tout un psaume, plus précisément le psaume 50 du Roi David, que l’on trouve dans le livre des Psaumes dans l’Ancien Testament. Allegri va en composer le thème de chant en l’an 1638, soit neuf ans après sa prise de fonction en tant que Maître de la Chapelle Sixtine. Au fur et à mesure des années, le Miserere devient incontestablement l’œuvre de l’époque baroque la plus écoutée et la plus enregistrée ; dans le chant a capella, un verset sur deux était psalmodié d'une manière spécifique, dite monodique (comme cela se pratiquait depuis des siècles), à la fin de l'Office des Ténèbres, alors que les cierges qui éclairaient la chapelle étaient progressivement éteints.  
Lorsque le Miserere était chanté en présence du pape et des cardinaux, agenouillés, les chantres de la chapelle improvisaient de somptueux ornements sur la psalmodie, inscrite dans un canevas polyphonique, en style de faux-bourdon, une méthode relativement simple pour la musique baroque mais d’une efficacité redoutable et d’une très grande beauté. Ainsi il n’est pas habituel de ressentir l’impression d’entendre un instrument de musique qui accompagnerait, mais il n’en est rien, chaque voix a sa propre place. Thomas Tallis utilisera le même procédé pour la composition d’une autre œuvre sublime de l’art baroque, le Spen In Allium.
Nous sommes donc en présence d'une mise en forme post-tridentine basée sur une rhétorique baroque, d'une maîtrise absolument parfaite, cette maîtrise résultant que  Gregorio Allegri lui-même était chantre et prêtre.  
Une décision sévère du Vatican
Le résultat ne se fait pas attendre, face à un tel succès et un tel travail le Pape instaurera une règle très stricte à Allegri : désormais il est interdit que le Miserere soit chanté en dehors de la Chapelle Sixtine, et il devra être chanté uniquement deux fois dans l’année liturgique, le Mercredi Saint et le Vendredi Saint. Dure, très dure décision pour une œuvre musicale aussi géniale d’Allegri.
L’explication d’une telle décision des instances ecclésiastiques de Rome est assez simple, le Pape veut absolument garder le caractère unique et exclusif, interdisant également sa reproduction.  
À l'époque, le concept, l'idée même de droit d'auteur n'était pas encore née, et il n’était pas rare d’entendre que le transcrire ou le chanter ailleurs qu'en ces lieux, en dehors de la Chapelle Sixtine aurait été puni d'excommunication, et plus spécialement pour les choristes qui étaient les seules personnes à même de diffuser l'œuvre dans son intégralité. Celle-ci était alors propriété du commanditaire et de la chapelle musicale du Vatican, puisque aucun artiste n'exerçait de manière indépendante.
“Prends pitié de moi Seigneur”
Il est inévitable de ne pas prendre le temps de lire et de méditer sur le contenu de ce psaume, ô combien magnifique :
Miserere mei, Deus : secundum magnam misericordiam tuam.
Et secundum multitudinem miserationum tuarum, dēlē iniquitatem meam.
Amplius lavā me ab iniquitate mea : et peccato meo mundā me.
Quoniam iniquitatem meam ego cognōscō : et peccatum meum contra me est semper.
Tibi soli peccāvī, et malum coram te fēcī : ut justificeris in sermonibus tuis, et vincās cum judicaris.
Ecce enim in iniquitatibus conceptus sum : et in peccatis concepit me mater mea.
Ecce enim veritatem dilexisti: incerta et occulta sapientiæ tuæ manifestasti mihi.
Asperges me, Domine, hyssopo, et mundābor : lavābis me, et super nivem dēalbābor.
Auditui meo dabis gaudium et lætitiam : et exsultabunt ossa humiliata.
Averte faciem tuam a peccatis meis : et omnes iniquitates meas dele.
Cor mundum crea in me, Deus : et spiritum rectum innova in visceribus meis.
Ne projicias me a facie tua : et spiritum sanctum tuum ne auferas a me.
Redde mihi lætitiam salutaris tui : et spiritu principali confirma me.
Docebo iniquos vias tuas : et impii ad te convertentur.
Libera me de sanguinibus, Deus, Deus salutis meæ : et exsultabit lingua mea justitiam tuam.
Domine, labia mea aperies : et os meum annuntiabit laudem tuam.
Quoniam si voluisses sacrificium, dedissem utique : holocaustis non delectaberis.
Sacrificium Deo spiritus contribulatus : cor contritum, et humiliatum, Deus, non despicies.
Benigne fac, Domine, in bona voluntate tua Sion : ut ædificentur muri Jerusalem.
Tunc acceptabis sacrificium justitiæ, oblationes, et holocausta : tunc imponent super altare tuum vitulos.
Voici le texte sacré dans sa traduction française :
Pitié pour moi, mon Dieu, dans Ton amour, selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute, purifie-moi de mon offense.
Oui, je connais mon péché, ma faute est toujours devant moi.
Contre Toi, et Toi seul, j’ai péché, ce qui est mal à tes yeux, je l’ai fait.
Ainsi, Tu peux parler et montrer Ta justice, être juge et montrer Ta victoire.
Moi, je suis né dans la faute, j’étais pécheur dès le sein de ma mère.
Mais Tu veux au fond de moi la vérité ; dans le secret, Tu m’apprends la sagesse.
Purifie-moi avec l’hysope, et je serai pur ; lave-moi et je serai blanc, plus que la neige.
Fais que j’entende les chants et la fête : ils danseront, les os que Tu broyais.
Détourne Ta face de mes fautes, enlève tous mes péchés.
Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu, renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de Ta face, ne me reprends pas Ton Esprit Saint.
Rends-moi la joie d’être sauvé ; que l’esprit généreux me soutienne.
Aux pécheurs, j’enseignerai tes chemins ; vers toi, reviendront les égarés.
Libère-moi du sang versé, Dieu, mon Dieu sauveur, et ma langue acclamera Ta justice.
Seigneur, ouvre mes lèvres, et ma bouche annoncera Ta louange.
Si j’offre un sacrifice, Tu n’en veux pas, Tu n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ; Tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
Accorde à Sion le bonheur, relève les murs de Jérusalem.
Alors Tu accepteras de justes sacrifices, oblations et holocaustes ; alors on offrira des taureaux sur Ton autel.
Une difficulté à maintenir une prestation parfaite
La prestation du Miserere ne peut être éternelle car il faut bien changer et remplacer les choristes, qui ne donnent pas toujours le résultat initial.
Progressivement, la technique vocale des membres de la chapelle perdant en éclat et leur capacité à improviser de savants contrepoints s'étiolant, les ornements disparurent et à la fin du XVIIIe siècle il ne restait plus, des ornements, que les plus aigus : ceux qui étaient réservés aux castrats et qui étaient appris par cœur par deux sopranos. Ces derniers, avec le reste de la partition, ont été publiés par le biais de la première publication, faite par Charles Burney, en 1771.
Le “vol” et la reproduction “approximative” du Miserere
L'individualisme musical finira par apparaître à la fin du XVIIIe siècle, avec des compositeurs comme Joseph Haydn et Mozart, mais ne se développera réellement qu'au XIXe siècle.
Malgré toutes les nombreuses transcriptions supposées du Miserere parmi les cours royales d'Europe, jamais aucune n’a pu atteindre la qualité de la partition qui était chantée à Rome. Selon de nombreuses lettres, en 1770, Mozart, âgé de quatorze ans, réussit à retranscrire l'œuvre après seulement une ou deux écoutes. Alors qu'il visitait Rome, avec son père Leopold, il eut la chance de pouvoir écouter le Miserere le mercredi de la Semaine sainte, le 11 avril. Le soir même, il retranscrivait le morceau uniquement de mémoire. Il l'écouta encore une fois le vendredi qui suivit pour pouvoir faire quelques modifications. Le Miserere obtenu fut publié en 1771 à Londres par le Docteur Burney, historien de la musique et voyageur renommé et l'interdiction papale levée. Malheureusement cette version n'incluait pas l'ornementation baroque qui faisait une grande partie du succès et de la beauté du chant.
Mozart fut accusé d'avoir volé la partition car il paraissait impossible qu'un enfant de quatorze ans pût, en aussi peu d'écoutes, retranscrire la partition. La polyphonie était tout de même d'une relative simplicité et les aspects répétitifs de l'œuvre, nés de la succession des nombreux versets du psaume, avaient facilité le travail du jeune homme.
Felix Mendelssohn fit une autre transcription en 1831 tandis que le prêtre Pietro Alfieri transcrivit les fioritures en l’an 1840. L'édition avec ornementation jouée actuellement est un mélange assez réussi de ces deux transcriptions.
Le Miserere au XXIème siècle
Le Miserere a conservé une réputation de mystère et d'inaccessibilité pendant les siècles écoulés depuis sa composition jusqu'à l'époque moderne, surtout par le caractère exceptionnel d'une méditation qui semble imiter les voix angéliques, avec une certaine et remarquable magnificence, sur un schéma musical très simple et atteignant très régulièrement le suraigu, il s’en dégage un grand et profond sentiment de pureté. Il reste aujourd’hui une œuvre unique de l’art baroque, sans doute le plus représentatif de l’art religieux et sacré. La prouesse d’Allegri, laissant apparaître un génie comme il est difficile d’en trouver, a su traverser les âges et les siècles pour laisser en émoi chacun qui écoute et découvre une œuvre d’une telle beauté.
Chronique de Monsieur James-Olivier ARMIEGNOLA
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turangalila · 5 years ago
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György Kurtág (1926)
 Játékok (1973-2010) pour piano, piano à quatre mains, et deux pianos          [Jeux]  
Játékok, VI/5: Versetto. Dixit Dominus ad Noe: Finis universe carnis venit
Játékok : une œuvre qui s'enrichit sans cesse depuis 1973 (elle comprend actuellement des centaines de pièces), et qui se définit justement par l'acceptation de tous les éléments musicaux possibles, de tous les styles, ainsi que par la mise à l'épreuve, l'utilisation et l'appropriation de solutions et d'habitudes techniques caractéristiques d'autres compositeurs.
Les Játékok ont d'abord été conçus comme un recueil pédagogique pour le piano (une entreprise semblable à celle du Mikrokozmosz de Bartók, quelques décennies auparavant) : il s'agissait de familiariser les enfants avec les procédés et la pensée de la musique contemporaine, dès leurs premiers contacts avec l'instrument. Certains éléments techniques de la nouvelle musique (le cluster, les sonorités obtenues avec la paume ou l'avant-bras, les glissandi) n'exigent pas nécessairement d'être attentif à l'exactitude des hauteurs, plutôt à l'intelligibilité du flux musical issu de leur construction. Si bien que ces éléments peuvent aussi faciliter l'approche du jeune pianiste : il travaille dès lors avec des moyens qui lui sont en quelque sorte déjà donnés, ou tout au moins, qu'il peut aisément s'approprier. Et tandis qu'il s'occupe de ces principes élémentaires – qu'il les expérimente –, il fait connaissance, presque sans s'en apercevoir, avec son instrument : avec ses dimensions, ses réactions, avec l'énergie nécessaire à la production du son, avec son économie. Les possibilités acoustiques du piano se dévoilent à lui une à une. La série des Játékok est donc à la fois moins et plus qu'une pédagogie du piano. Moins, car elle n'établit aucun dogme de méthode ; plus, car il s'agit d'une introduction non seulement au jeu pianistique, mais aussi au faire musical et à la pensée compositionnelle.
En effet, les Játékok, de par la recherche systématique qui s'y fait jour, sont aussi un terrain d'étude pour le compositeur. Si les principes élémentaires du jeu pianistique sont séparables, alors ils peuvent devenir, en eux-mêmes ou au sein de n'importe quelle combinaison, un matériau brut pour la composition. Mais pour cela, il convient aussi de soumettre la composition elle-même à cette démarche analytique, de rechercher ses fondements, c'est-à-dire les relations les plus simples que l'on perçoit dans la structure de toute oeuvre musicale, celles qui constituent la suite des événements sonores en composition.
Les Játékok sont une encyclopédie de la pensée de Kurtág ; on y trouve toutes les marques stylistiques qui signent les autres pièces de son œuvre, toutes ses tournures caractéristiques, tous ses fondements gestuels (tant dans l'univers mélodique que dans le travail de la forme). Il s'agit d'un véritable journal de compositeur : une collection d'idées, d'essais, de variantes, mais aussi de réflexions sur la musique populaire, sur les oeuvres écoutées-jouées d'autres compositeurs (un des fils conducteurs de cette collection est la série des hommages). On y rencontre également des références importantes à d'autres pièces de Kurtág – notamment dans la série emblématique de Virág az ember... (L'Homme est une fleur...) –, ainsi que des objets trouvés, des éléments de base qui sont déjà presque des compositions toutes faites, qu'il suffisait de remarquer.
Les Játékok ne sont pas pour autant de simples chutes, de simples études ou notations marginales : chaque mouvement a sa validité propre, chaque mouvement est en lui-même une composition. Il n'est peut-être pas exagéré de dire qu'avec ces pièces, Kurtág a créé un genre pour son propre usage. Un genre qui n'est toutefois pas sans précédent, si l'on pense aux bagatelles de Beethoven, aux pièces lyriques de Grieg, aux préludes de Scriabine ou (encore une fois) au Mikrokozmosz de Bartók. Les Játékok sont une œuvre ouverte, non une série close : ils peuvent accueillir n'importe quel type de composition, car ils ne sont liés à aucune logique cyclique (à partir des pièces initialement écrites pour piano, il existe des transcriptions pour différents effectifs instrumentaux ; et l'on voit se constituer, depuis quelques années, des Játékok pour instruments à cordes ou pour formations de chambre).
   András Wilheim, programme du Festival d'Automne à Paris, cycle Kurtag. 
 Ligature e versetti (1990) pour orgue        
les Ligature e Versetti étaient pensés comme une série d'interludes pour un enregistrement de plain-chant (par la Schola Hungarica, direction : László Dobszay et Janka Szendrei, pour le label QUINTANA, QUI 903032). Le disque, intitulé D'Adam à Abraham, contient des enregistrements par György Kurtág à l'orgue ;
seuls quatre Versetti (n° 1, 8, 10 et 11) ont reçu l'autorisation d'être joués en dehors de leur contexte original. Ces quatre pièces ont été ajoutées aux volume VI des Játékok et peuvent être jouées à l'orgue ou au piano.
Gábor Csalog, piano.
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beatlesonline-blog · 2 years ago
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eglise22 · 5 years ago
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BOURBRIAC vendredi 9 août : concert orgue et bombarde (20 h 30) avec Titom, Stéphanie Ollier et deux organistes
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Le vendredi 9 août, calé entre les festivités du Festival Plinn, aura lieu, à l'église de Bourbriac, un concert orgue et bombarde, certes, mais aussi voix et bombarde !
Orgue et bombarde
Titom (basilique Notre-Dame de Bon Secours - Guingamp. Photo L'or Breizh)
Le couple orgue et bombarde est composé de l'organiste Fabien Robbe et du célèbre sonneur de bombarde Titom (Thomas Lotout pour l'état civil), l'un des plus originaux et des plus talentueux musiciens bretons de sa génération. C'est un véritable virtuose qui fit jadis ses premières armes au concours du Danouet, et qui désormais s'affirme comme l'une des locomotives de la musique bretonne. Au programme : différentes œuvres empruntées à la traditions bretonne des pays Plinn, vannetais et autres, sans compter des compositions personnelles de Thomas. Une musique actuelle et… énergique !
Chants bretons et chanteuse lyrique
Stéphanie Olier & Olivier Struillou
L'autre duo proposera un programme différent mais tout aussi original. À l'orgue, cette fois, Olivier Struillou. Il accompagnera la chanteuse lyrique (mezzo-soprano) Stéphanie Olier. C'est assez rare d'entendre des chants bretons traditionnels (en l'occurrence divers cantiques à saint Gildas) interprétés par une voix dont le timbre et la technique vocale diffèrent énormément de ce qu'on entend habituellement dans les concerts bretons. Stéphanie Olier interprétera également des œuvres lyriques (d'Edward Elgar, G.Fauré, H.Purcell). De leur côté, les deux organistes joueront sur orgue Leclère-Vialle (1989) des morceaux destinées à cet instrument. Les œuvres seront brièvement commentées par les artistes.
Vendredi 9 août, église de Bourbriac, 20 h 30. Concert organisé par les Amis de l'Orgue, en lien avec le Festival Plinn. Entrée 10 € (gratuit en-dessous de 15 ans).
via Paroisse de Bourbriac-St-Briac https://ift.tt/2YDjHjE
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i-ozone76bmp-richy-world · 5 years ago
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janvier 2018   OZONE   2   LA PERIODE  ESOTERIQUE
dz. : le fondateur, le percussionniste, le team player
m. : le bassiste
s. : le guitariste
bmpr  : le claviériste, le compositeur  
AUTOMNE-Hiver 1976. alors qu’ozone1 s’installe aux prémontrés, dz évoque l’idée d’être rejoint par un organiste. un musicien supplémentaire, un « clavier », cela s’impose, un vrai groupe se verrait ainsi constitué. Dz pensant évidemment à bmpr., à son orgue électronique, ce garçon de leur âge habite un village un peu « caché » sur la rive gauche de la sinueuse route de paris, mamey.  Car dz., en percussionniste débutant, et son frère françois, bassiste, faisaient partie de « caravansérail », et là déjà il y eut une montée à Mamey ! pour s’adjoindre le jeune villageois, ce qui avait été jugé bienvenu par ce dernier !, au printemps 75 sans doute.
[Caravansérail. Un groupe formé à blenod-les-pont-à-mousson début 1975 autour d’un guitariste, laurent ragni ;  à son initiative, cette formation  ne commettait que des reprises de santana, vu la passion exclusive, excessive, de ce surdoué guitariste pour le mexicain, or bmpr avait donc été repéré bientôt…, & jouer du santana !, bmpr est 100% pour, répertoire évidemment riche aussi en orgue ! ; caravansérail  allait répéter bientôt à mamey.  
(voir les bios autorisées de bmpr sur facebook)
l’orchestre s’était assez vite sabordé (notamment car n’apparaissait plus possible de faire du bruit dans le grenier investi, du fait des voisins, les nommés denis, qui avaient bien raison.. ; (à noter : dz, eut le temps quand même de venir quelquefois, certains après-midi de relâche, en douce à mamey-city pour s’exercer sur la batterie flambante neuve du batteur de caravansérail) ; une des rares apparitions publiques de carav : le dernier jour de l’année scolaire 75, un samedi après-midi au lycée technique de pont.-à-mousson, & laurent r. et bmpr connaitront ensuite une aventure balistique, & bmpr rejoindra ensuite -durant quelques mois- le groupe ketchup de nancy, à la durée de vie, limitée aussi]  
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novembre1976. du côté cette fois d’un certain caveau des..  Prémontrés, le bassiste, curieusement, freine un peu, à nouveau !, mais la proposition d’un 4éme ozone s’impose évidemment. Une visite, est planifiée à mamey-city par de nouveaux, deuxièmes complotistes !; et, comme prévu, c’est ok pour une association, puisque bmpr, depuis quelques temps : un… compositeur pop !, avec plusieurs pièces musicales qui n’attendent plus qu’à être interprétées, expérimentées, mais cela, donc, vraiment assez neuf, & bmpr n’avait encore fait aucune démarche, pour avancer dans cette direction logique, tout encore à son euphorie d’avoir réussi à passer de l’impro à la composition, or il n’y avait donc même pas besoin de se déplacer, à nouveau on venait à lui, cela, assez confortable et de bon signe !, finalement, de quoi oublier ses « déboires » récents, de plusieurs sortes, d’ailleurs.
le maintenant batteur  dz, bmpr sait qu’il joue spectaculairement (à la jazz rock !) pour l’avoir rencontré à nouveau quelques mois + tôt, car tel samedi après-midi laurent et bmpr s‘étant rendus au café-qg de l’orchestre de bal qu’ils avaient donc joint, & cette fois accompagnés de dz, et dz avait pu montrer, durant quelques minutes, son spectaculaire jeu sur la batterie installée du cafetier, en  un duo laurent-dz ; or si dz est avec ces 2 autres types, c’est qu’ils sont intéressants, et en effet, s. et
m., étonnants, comme ça à priori ; les deux gus, jamais vus ! à p-à-m,  formant un binôme des + curieux, sans doute peu expérimentés mais dont le côté décidé s’annonce déjà positif. De +,  les trois pieds nickelés vus comme assez malins (et donc fréquentables) pour avoir réussi à investir les Prémontrés !, un des lieux les + prestigieux de la région, un peu « le château » de kafka »…
surtout, celui qui aime être nommé bmpr comprend : ozone s’annonce comme un groupe in partibus, sans répertoire, il s’agit d’en constituer un en urgence, et lui, là : soudain, en effet, celui qui pourra être « la solution », lui-même voilà peu connaissait donc ces affres de quelqu’un « sans qualité », sans compositions originales, donc l’organiste comprend bien : la situation, bienvenue, lui était déjà positive, rêvée !
[à savoir encore : s., et bmpr, s’ils s’étaient rencontrés ailleurs auraient dû s’ignorer, quand ils se trouvèrent en des frères en création ; en effet le guitariste s., par bien des aspects se montre aux antipodes de bmpr, or déjà, : s., dit « le sylve », aussi une sorte de « proche » !!! Oui, le campagnard que figurait bmpr donc, durant toutes les années précédentes (et cela continuerait jusqu’à ce qu’il émigre déjà à… paris16, grâce à une amie proche du groupe, a.l. v.), transitait souvent par une « maison de ville », celle longtemps occupée pars ses grands-parents maternels, ces parents la gardèrent longtemps en l’état (sans y faire le moindre travail d’entretien, de consolidation !), une de ses sœurs durant un temps, puis lui-même se l’appropriant régulièrement, lui pour y garer sa mob, ou y dormir (seulement quand il ne pouvait remonter à son village en stop pour cause d’heure indue ; en effet : peu idéal de séjourner là, jamais n’étaient ouverts les volets etc., le toit laissant passer irrésistiblement une assez conséquente quantité d’eau de pluie dans la pièce voisine de la chambre à coucher, ce qui faisait de cette maison un lieu assez tragique !), la petite maison borgne menaçait doucement ruine, rue de la Poterne (la rue aussi du musée de la ville), maudite chaque jour par les voisins tant elle leur gâchait la vie dans un quartier non spécialement riant déjà par ciel gris, et quelques fois maison squattée par d’autres visiteurs de la nuit qu’un jour bmpr surprit, et dût virer avec un peu de subtilité, car il s’agissait d’un gitan et de sa dulcinée (mais  n’était-il pas lui-même gitan, venant de l’Inde voilà si longtemps…), et cela s’était bien passé, possiblement car le type était encore un peu endormi ! Or une maison sise quasiment, à mi-chemin de celle des parents du guitariste et de la Moselle, ainsi le villageois venait si souvent dans un lieu situé à 3 minutes où résidait le citadin ! (bmpr décorerait la salle de séjour, la dynamisant enfin en tapissant les murs des pages de 2 exemplaires du mag américain rolling stone (une célèbre couverture avec carlos santana, le numéro où il fait visiter son humble demeure), et l’entrée fut psychedelisée également : d’ailleurs on verra Ozone5 posant dans cette pièce, photographié par la presse locale lorsque le groupe présente son disque publié au Canada !, posant à côté d’un poste de radio luxueux de naguère hérité d’une sulfureuse grande tante de bmpr, lequel pourra être vu dans le clip « tristan vox » sur youtube]
bmpr, à mamey, dans une de ses chambres-laboratoire, il occupe, la plupart du temps,
tout un étage de la ferme familiale (son frère & ses 2 sœurs habitent maintenant ailleurs), laquelle connait d’ailleurs ses toutes dernières années d’existence, où, à son haut étage l’on domine sûrement un ample et long paysage de champs et de forêts, jusqu’à encore un autre horizon + lointain ; une thébaïde secrète…alors, , et en même temps une sorte de phare, tant dominant les environs, l’ouest, la direction de paris…,( & c’est de là d’ailleurs qu’il apercevra le mercredi 19 octobre 1977, autour de 23h20, « un signe dans le ciel ».., le jour où il sauve de la mort le maire de son village !, tout ceci raconté ailleurs), là il leur interprète notamment la pièce inaugurale dont il s’affiche le + fier, « liturgie » sur son orgue électronique, le VIP 255 (si on veut le voir en majesté, cet orgue, il faut visionner une captation live de la chanson «black juju » d’alice cooper, son organiste l’utilise, et en semble très content, un orgue très bien dessiné, se montrant assez complet quand on voit le nombre de jeux drapant les 2 claviers, lesquels un peu courts, en fait mieux vaut un seul très grand clavier !, mais à l’aspect un peu fermé aussi, ce qui n’est pas amusant en live) et puis, il les emmène à l’église du village (où le voici quasiment, aussi, chez lui !), car sur le puissant harmonium de celle-ci, le co-organiste liturgique officiel (son père : le titulaire !) du lieu, tous soufflets actionnés, peut donner sa force mythique à, cette fois, « prophétie atomique », une suite, déjà, de 1O minutes, celle de quelqu’un marqué par les structures totalitaires de Magma, les planances avant-gardistes autant qu’ésotériques du bien nommé « agharta » (de miles davis, selon bmpr, le disque le + important de l’histoire de l’humanité !, en ce sens qu’il pourrait figurer la soundtrack du commencement du monde), ou encore par les envolées fulgurantes de synthé du ‘’tale spinnin’’ (weather report, cette fois, ce lp tout en compostions fulgurantes, & qui ne pourront être égalées, un des plus hauts sommets de la musique) ; une suite donc de séquences permettant une forte implication des musiciens qui auraient à les enrichir. Les 3 visiteurs : preneurs !
car les 4 musiciens ont un point commun, ils se reconnaissent en consommateurs d’une musique se situant le + loin possible du rock basique, du blues avec ses trois accords…(sauf quand s. dérape, et se lance dans une saillie hard) ; ils écoutent, sous toutes leurs formes, du rock progressif, du jazz-rock… mais aussi tant d’autres musiques inventives du passé ou bien contemporaines…
l’autre point commun, les 4 : avec le même regard d’extra-terrestres sur le monde dans lequel ils ont été plongés à quelques mois d’écart, et cela fait souvent du temps passé en commun : un temps d’échange sous forme de commentaires -ou d’actions- du genre psyché, space ; on comprendra mieux en se souvenant de cette volonté, conceptualisée par brecht, « de découvrir l’insolite derrière le quotidien pour mieux comprendre ce quotidien » et l’insolite…, et bien sûr cela prend certaines proportions avec ces lecteurs -à la suite de bmpr qui a les 1ers numéros du magazine- du bientôt mensuel de science-fiction « Métal Hurlant » (mag qui a commencé à mettre sous son influence quelques centaines de milliers de jeunes gens d’alors, magazine surtout alors déifié du fait de l’apparition, là, des presque 1ères planches de Moebius, ce bien + que dessinateur devenant le guru absolu pour les planeurs de l’époque, qui avaient commencé à visiter efficacement le cosmos avec Pink Floyd) (ces 1ers numéros de Métal, prêtés par bmpr et dont il n’a jamais revu la couleur, se plaint-il ! / à savoir encore : bmpr, en tant notamment que journaliste à paris, rencontrera Moebius  plusieurs fois, notamment dans son atelier !).
ainsi tous les 4 réunis semblent fin prêts à se précipiter dans le feu sacré de la musique, celle qu’ils vont inventer à partir notamment des esquisses de l’organiste
ce quatuor va élaborer petit à petit une dizaine de pièces en habillant, arrangeant d’une part des structures « écrites » et proposées par bmpr, comme donc « liturgie », « auri sacra fames », autant de « prêt-à-être joué » ; ou bien, d’autre part, en suivant des séquences lâches, quand même toujours surtout dues à l’organiste en fait (improvisées donc sur place par lui !), sur lesquelles les 3 autres brodent, permettant une musique relativement évolutive (le cas pour « froid organique » ou « morceau en ré »), sans jamais heureusement tomber dans le free : il est toujours question de s’en tenir à des harmonies belles, d’arriver aux satisfaisants passages « climax », ceux-ci finissent toujours par (relativement, car leur matériel les freine) s’installer, donnant une justification à la progression mise en route.
« prophétie atomique »
s’impose aussitôt, comme prévu, en tant que leur monument, assez spectaculaire de par son énergie intérieure, ses surprenantes métamorphoses, sa variété de climats. Un prologue bizarre (un son cosmique inédit sorti on ne sait comment de l’orgue, en fait  un dysfonctionnement de la pédale dite « slalom »). « prophétie », avant plusieurs rajouts : une wagnerienne entrée en matière, une 1ère partie magmaïenne intense et froide (sur laquelle s. se place aussitôt en solo, d’une telle façon que l’apprenti compositeur pop bmpr sait aussitôt : le guitariste apprenti figure quelqu’un d’inspiré), un passage dit exotique entremêlant les solos d’orgue percussif et de guitare façççççççon hawaïenne, puis une envolée jazzy-rock à la Zawinul (periode « Tale Spinnin » donc), et enfin un final.  Ces différents développements, tous arrivant pour surprendre encore et encore, donnant l’impression à l’auditeur d’une traversée d’une superstructure initiatique.
« auri sacra fames »
(très fun) se veut donc, au contraire, une assez courte suite instrumentale bien structurée, elle : de mieux en mieux arrangée par le groupe. Un évident hommage du compositeur à santana et que s. à la guitare ne peut que confirmer, mais, sa construction en fit aussi du pur bernard richy ! Une pièce qui pouvait être appréciée par tous les publics et montrait : Ozone donc capable, (à côté de plusieurs, majoritaires) pièces ésotériques, d’élaborer une musique « normale », quoique instrumentale.  (bien + tard   bmpr comprend : les différentes séquences de « ASF »  auraient pu  être interprétées par  2 groupes  qui  joueraient à tour  de rôle une séquence et l’un l’aurait « passée » à l’autre…., puis les 2 groupes faisant ensemble la séquence  finale,  cela aurait été  fabuleux !)
malheureusement tout le répertoire spécifiquement « ésotérique » (plusieurs suites instrumentales donc, + ou - composées) : délaissé 2 ans + tard sans que des enregistrements
viennent l’immortaliser dans un état acceptable (lorsque ce répertoire arrivait enfin dans une 1ère phase d’aboutissement).
le seul« ‘’’passage exotique’’  de « ‘’’prophétie »’’, restant directement écoutable et il pourrait être posté sur le net ; ce court moment avec le mérite de bénéficier d’un tempo moyen, ainsi supportable dans son état inachevé, un petit moment de bonheur musical primitif pour qui saura l’apprécier.
également « Indicatif 38 », peut être divulgué. Un court titre sur une idée de bmpr qui depuis le + jeune Age a été un fan des indicatifs, & notamment de celui de Radio Vatican.
(une impro de groupe pourra sans éventuellement aussi illustrer cette période, mais pour des auditeurs prêts à tout !)
‘’liturgie (a sentimental journey)’’ /
bmpr a donc longtemps attendu le déclic pour composer, mais sa 1ère compo sera si particulière…, un petit chef d’œuvre : bmpr découvrira + tard : il s’agissait, là, de transposer la liturgie de la messe (qu’il accompagna tant de fois en organiste liturgique junior, en improvisant si souvent, pour un public en pleine expérience transcendantale !, dans des condition quasi ésotériques, dans le cadre des rituels de la secte catho) sur le terrain amoureux car à ce moment un être féminin se lia à lui, d’une façon étonnante, laquelle le déstabilisa autant qu’elle l’inspira, aussi faut-il comprendre le titre « liturgie » comme « liturgie amoureuse », d’où « a sentimental journey » dans le titre, pour ne pas se tromper, double contexte.
une pièce intemporelle, elle ne ressemble en fait à rien de connu (bmpr dit  « c’est mon petit « rio grande » à moi », en évoquant la magistrale suite de brian wilson, apparue dans les années 80, elle un peu + longue) et pour longtemps, par définition ! (« particulière », on comprendra pourquoi en lisant, pour cela aussi, les bios de bmpr,  facebook, photos, dossiers) ; baroque, mais d’un néoclassisisme complétement « intégré », déplacé, on pourrait parler, de l’éternelle classicité musicale (cela écrit sur le modèle bien sûr de l’éternel féminin) ; baroquisme, oui, car suite de séquences richement ornées, différentes les unes des autres jusqu’au dissemblable, ici on flirte avec les clichés, mais à dessein, une façon de se rattacher à des archétypes donc sempiternels, & pourtant une ligne continue incontestable se forme bien, et donc… si romanesque, si évocatrice de scènes de la vie sentimentale,  et ce ton donné évidemment par la précieuse mélodie qui ouvre et clôt
[dont bmpr  dit : « je ne sais pas si elle, cette mélodie, est vraiment de moi, trop sublime…, je la pense de moi sous réserve, même si jamais je ne l’ai entendue ailleurs » / antoine domino à propos d’une possible invention de lui, qui changea l’histoire de la musique répétait, lui : « je ne dirais pas que je suis à l’origine de ce truc, mais je ne me souviens  pas avoir entendu auparavant quelqu’un d’autre le jouer » /« en tout cas c’est cette mélodie longuement préméditée [10 ans, puisque bmpr commença à apprivoiser un clavier, vers 5 6 ans] qui figurera pour moi le… déclic, la première mélodie retenue par moi, dans le cadre de la composition, et déjà ce qu’elle a entrainé fit naitre une pièce musicale complète, puis toutes mes autres compositions…»]  
une autre pièce bien loin également des longues structures musicales qu’ozone travaillait ou bien de leurs longues-confuses (bien sûr indispensables, elles aussi, qui donnaient une part + importante à la créativité des 3 autres musiciens) improvisations. En tout cas, cette pièce inattendue donc, montre ainsi un groupe, plein de ressources
en interprétant donc ‘’liturgie’’, le quatuor sera filmé, figurant -avec leur tenue jaune et rouge de cérémonie !, les couleurs de la lorraine- dans le chœur de la grande église, grande mais sépulcrale, quand non investie par les arts vivants (heureusement, tant d’événements étaient programmés, comme on l’a dit déjà), des prémontrés, filmé par les caméras de bbc newcastle, les réalisateurs avaient homologué l’envie du groupe de choisir cette chanson, invité à investir la fameuse église de l’ancienne abbaye, laquelle tout à coup elle aussi prenait toute la lumière, le groupe sonnait en fin de compte comme un petit orchestre de chambre qui aurait été planté là, & quelle modernité avec ozone, le synthé en invité ultra moderne, en  grand vedettariat !, et pourtant lui aussi raccord de par sa sonorité liturgique justement,  une continuité assez magique ainsi creée par l’image, le son ; cette chaine  régionale anglaise de la ville jumelée à nancy, tournait en 78 un long documentaire sur la lorraine et ne pouvait pas ne pas passer bien sûr par les Prémontrés.
« liturgie’’ aussi sera enregistrée -trop tôt- et diffusée aussitôt par radio nancy, ce qui leur est certes un encouragement, mais les freinera ensuite alors qu’ils auraient pu solliciter + la chaine radio tv régionale plus tard ; cet enregistrement dans les studios à nancy se passa assez mal, l’animateur-producteur jugea leur jeu non assez carré, et des 2 morceaux à enregistrer un seul le fut, « liturgie », l’autre (« auri ») n’apparaissant pas assez au point à l’estime de l’animateur ; le groupe prit assez mal les critiques de leur hôte !,  le quatuor encore trop dans cette période d’autosatisfaction…, (autosatisfaction malheureusement obligatoire car bien sûr cette non lucidité permet le démarrage d’un projet). ozone2 ? vraiment non prêt pour des « sorties publiques » (mais le groupe ne jouera en fait jamais vraiment super carré, un de ses gros défauts).
sur « liturgie » bmpr, encore, en 2017 : « j’ai progressé dans sa compréhension, 40 ans après sa composition, le morceau avait pas mal perdu en sa transcription au piano, mais l’ayant joué si souvent au piano, et cela semblant alors attirer toute l’attention des auditeurs, ayant bien compris qu’un petit drame se jouait là, & combien cela était vrai !, j’en avais oublié, cette pièce musicale n’était pas destinée à cet instrument, bien sûr, sa reprise avec un synthé polyphonique yamaha standard mais si généreux en gros sons, m’a fait enfin entrevoir sa richesse & des possibilités d’interprétations nouvelles, il était temps, une pièce qui demande une interprétation à la « symphonique », soit par le studio multipiste ou un grand orchestre »  
heureusement, bmpr, au temps de soundcloud.., soit bien + tard, réussira donc à rejouer assez correctement cette pièce, en la customisant un peu, et avec les sons qu’elle méritait, mais elle pourra bien sûr faire l’objet de reprises par un petit orchestre de chambre
« élégie (à b.) »
« liturgie » suivie bientôt, déjà, d’une seconde partie, enrichie par bmpr semaine après semaine, restant au répertoire d’ozone quand le groupe passe à sa période 3, et cela s’appellera déjà « le slow » (puis donc « élégie 78 (à b.) »), & bmpr confirme là –par un certain baroquisme encore- la richesse de son inspiration pop, hors des canons rocks
le service militaire / et des fâcheux
à peine formé : le groupe voit sa cohésion et sa progression abimées, car les obligations militaires des musiciens éloignent 3 d’entre eux, de p-a m, et le groupe vivotera dans les 2 années de cette période 2, heureusement bmpr a pu se faire  reformer de l’armée & ainsi un fil fut maintenu, cela  apparaissait comme primordial, de maintenir une présence continue aux Prémontrés alors, & bmpr a en fait commencé à composer ce qui sera tout le répertoire3 pendant le temps ainsi gagné, & semble-t-il, le bassiste a réussi (croit se souvenir encore le clavier), lui, à quitter un peu plus tôt que prévu les territoires militaires, le dernier à s’être présenté sous les drapeaux.
de + : pas de chance dans leur chance de grandir aux prémontrés, leur nouveau, et définitif, local fixe au bord de la moselle : régulièrement occupé par  un couple de coachs assez allumés sans doute, escrocs de la formation permanente, comme il en est tant dans cette discipline?-  et qui ne réservent pour les séminaires qu’ils dirigent  pratiquement que cette salle… ; quand ils se posent aux prémontrés durant une semaine, cette salle un peu excentrée,    ; que de temps de répétition perdu…, mais bmpr essaiera de faire coïncider cela pour composer ou jouer du piano, ou avec ses voyages de prospection à Paris lors des périodes suivantes, car pour le moment, lors de la période 2 le groupe se sait non encore prêt pour quoique ce soit de discographique !)
Les concerts.
seulement 3 mois à peine… après l’arrivée de bmpr : Ozone veut se faire entendre ! Une folie. 4 musiciens bien trop complaisants avec ce qu’ils sortent de leurs instruments, d’autant que leur matériel de sonorisation : du genre sommaire (le bassiste jouant sur le bel ampli Falcon de l’organiste par exemple). Surtout une manière d’exister, d’avancer et surtout, obligatoirement, d’envoyer un signal fort à ceux qui les hébergeaient : « le groupe que vous aidez existe, il est apprécié ». De +, les Prémontrés compte tellement de salles de concert……...
Ce 1er ou deuxième concert aura lieu dans l’ultra-moderne salle des  conférences, 200 sièges (leur musique se serait bien mieux accordée à la salle voûtée en dessous, mais cela ils ne le comprirent pas). L’étrangeté, la sincérité aussi, de leur musique a surpris et même enthousiasmé une partie de leur public, semble-t-il. Ils font  salle comble grâce la présence de la famille de chacun des musiciens déjà et de camarades, cela fit plus de 200 spectateurs.
Point faible, et même handicap complet, le bassiste joue, et jouera durant de longs mois, sur une basse fabriquée par lui-même, une basse voulue sans barrettes… Les son que M. sort de cet instrument, guère agréables à entendre, ils n’ont que le court mérite d’étonner, court moment car aussitôt après ils dérangent !, ils sonnent « primitifs »
une basse, divagante, jouée si fortement et extrêmement bavarde, impérieuse, ambitieuse, ne bénéficie que de son– volontarisme pour se faire pardonner
ozone 2 se produira ensuite dans différents lieux de la région lorraine, St Avold, Pompey (avec un évident « ‘’’Ozone à Pompey’’ sur leurs affiches  cette fois-là !!!!, clin d’œil à Pink Floyd bien sûr, mais quasiment juste devant les ex-Ketchup qui avaient eu vent de ce déplacement d’Ozone, et dans des mini festivals. Autant de galères, autant de fois où sans nul doute un auditoire  aura perçu leur création avec beaucoup de circonspection
une période d’Ozone 2  à partager en 2 : celle sans synthé, celle avec synthé. Avec le synthé leur musique devenait un peu + audible, ce clavier prenant un peu la vedette régulièrement et faisait donc oublier le bassiste.
le groupe acquiert à pigalle, le haut lieu de la vente d’instruments à Paris, ce synthé ; quoique monophonique, ce Roland : une petite merveille, d’ailleurs joué par vangelis ou des groupes de synthépop (les synthés duophoniques : encore assez chers, tel le Korg 800DV, trop chers pour eux ; les premiers synthés polyphoniques, eux, resteront longtemps encore du seul domaine du rêve tant ils s’annoncent ruineux même pour les musiciens professionnels français. A savoir : l’arrivée du fabuleux Polymoog, date de 1976, quand le groupe se crée et avait tellement besoin d’un tel instrument !, or cet instrument magnifique n’est même pas au point, un stevie wonder ou un john paul jones lui préfèrent les synthés yamaha, certes, l’un de ceux-là, fait aussi rêver bmpr)
bmpr s’en sert avec parcimonie, pour des solos, pour renforcer des thèmes, faisant ainsi déjà un tout petit peu oublier le farfisa ; car si l’orgue possède 2 claviers et plusieurs sections particulières de jeux, il ne permet vraiment de multiplier les sonorités en live que dans de bonnes conditions de sonorisation, et –seulement si l’écouteur fait attention à ce que l’organiste produit ; lorsque cet orgue est utilisé pour un enregistrement non pro, alors cette palette sonore pâlit. Et si bmpr a si peu pris de solos avec Ozone, c’est que le Farfisa l’interdirait presque, on se trouve loin à la fois de la beauté qu’amène un simple accord plaqué sur un orgue Hammond, et aussi loin de la force -par nature-- d’un solo lancé sur un tel instrument (surpuissant dès la 1ère note).,,, bien sûr, si ce farfisa avait été relié à une cabine leslie, cela aurait été tout différent
ce synthé Roland affecté d’un déjà énorme défaut ! non deviné à l’achat, il faut l’accorder souvent !!!, + capricieux qu’une guitare ! Catastrophique. Et puis l’absence de présélections amène à l’emploi des sons les + prioritaires. Mais ,bmpr, puriste, avait décrété : surtout pas se synthé à présélections, ce qui est aberration, oui, mais en fait, s’agissant d’un son de violon, par exemple, un tel synthé est incapable de le sortir, alors qu’un petit synthé farfisa (synthorchestra), là, aurait fait merveille
en fait, il aurait fallu déjà un second claviériste pour étoffer  les arrangements claviers, ou bien un flutiste qui aurait aussi joué des claviers, mais cela bmpr le comprendra seulement bien + tard (bmpr fera des miracles avec ce Roland lorsqu’en effet la partie orgues pourra être jouée par un autre musicien durant la 0période Ozone 5 ; B. utilisera le synthé alors à la fois comme basse ou (et) instrument de soliste. Avec le prénommé Claude cohu en second claviériste : créer de la musique instrumentale deviendra bien + intéressant).
l’acmé de cette période signifiera aussi sa fin. Le groupe travaille alors «un nouveau assez long morceau (proposé par bmpr, qui a eu le temps de le composer quand ses copains crapahutent, voir + haut), lequel apparait aussitôt, par la beauté de ses thèmes (et une structuration + fine car cette fois + inspirée, alors que « prophétie », avait été difficilement, + artificiellement assemblée), comme le mettant au niveau auquel il aspire à ce moment-là. Cette composition, si convergente à une joie presque mystique, leur donne soudain une immense foi en eux.
le titre vite trouvé, s’impose : «’’Incandescence’’.
du pur jazz rock, mais pas du côté de la série b, à nouveau, mais côté musique sacrée, sur le même plan que mahavishnu orchestra, et bmpr peut l’être sur ce plan !, avec son passé ésotériste, au sein de la secte chrétienne qui l’avait vu naître & voici ce qui termine en beauté spirituelle la période 2 d’ozone, quelque chose de quasi alchimique (come ce qui s’était déjà passé pour « liturgie »), là cette fois, l’alliage, c’est l’union des 4 ozone
les 3 autre, comprendront aussitôt, ont vu la pièce de bmpr comme parée d’une haute spiritualité, celle en fait cherchée pendant des mois sur son petit harmonium ; l’organiste savait : il y avait quelque chose à trouver !, il fallait aller + haut que « prophétie atomique », mais  dans cet exact sens-là & cela avait été trouvé !, et les 4 n’en revinrent pas !, bmpr proposait cela encore !, même dan zach, le batteur (qui avec un peu d’ironie, une ironie de bon aloi, laissera à bmpr toujours ses trop grands enthousiasmes, pour ne pas lui reconnaitre trop de pouvoir !, par superstition aussi, pour ne pas fâcher les dieux) le reconnaissait, c’était là quelque chose de haut pensait-il, et ce fut une sorte de fête secrète pour ses interprètes,  secrète, qui leur appartenait à eux seuls, à eux en tant qu’alchimistes, offerte, secrète oui, cela peut être écrit ensuite, car secret jusqu’à la perte complète de cette pièce donc assez longue (dont bmpr lui-même ne réussira pas à garder la moindre trace, cherchant en vain dans ses bandes les quelques thèmes naissants enregistrés sur son remco, car à l’époque le processus de compo, n’avait plus besoin de ce genre d’enregistrement)
Une fois répétée, assez bien interprétée, ils tiennent là leur masterpiece, une sorte de récompense, celle d’avoir osé se diriger dans la pure recherche durant les longs mois précédents, et avec les moyens du bord, il faut penser ici à « l’exigence radicale de perfection », qui fut chère aux messaliens !, & que l’on peut évoquer pour cette recherche de la musique progressive de cette décennie, pop et jazzz rock, tous compositeurs, clairement «  en quête », en quête d’un retour au spirituel, & cette fois bmpr a atteint une lumière, &
personne n’a ri quand le morceau a été nommé « incandescence », aucune prétention malvenue, là. Aussi, cette fois, la composition pourrait être une de celles du jazz-rocker ésotériste François Cahen de Zao (groupe qu’a particulièrement suivi bmpr) voire donc du mahavishnu orchestra.
pourtant, c’est hélas aussi à ce moment qu’ils vont changer de répertoire. bmpr va proposer plusieurs nouvelles compos !, entrant dans un processus … effréné ! , lesquelles font +  suite, à l’évidence,  aux morceaux + courts tels que « auri SF» et « liturgie ». Lesquelles compos vont, sans qu’il y ait à le décider, à en parler, renvoyer aux oubliettes tout ce qui a été créé auparavant dont « incandescence », à peine ébauché et enregistré.
Même ’’Incandescence’’, stupidement mis de côté !, surtout car ce titre a été créé en plein disloquement du fait du service militaire, période troublée ne demandant qu’à être oubliée.  Voilà pourquoi cette pièce maîtresse n’a été enregistrée qu’une seule et anecdotique fois,  en tant que work in progress quand le groupe l’interprétait régulièrement. Comble de malchance ou de malveillance, cet unique enregistrement a été tel jour effacé par le bassiste, sans permission bien sûr ; l’iconoclaste a bien + tard  informé son toujours copain s. de cela, en s’en vantant ! puisqu’il venait de faire, comprit-il ?, un acte d’envergure ! ; marc   ce jour-là en… manque de bande magnétique pour enregistrer un de ses essais effaça le cher d’œuvre / cette confession un jour qu’avec lui S. évoquait la splendeur d’« incandescence », cette confession quand m. ne faisait plus partie du groupe… ; certes m., quand il effaça le titre, ne savait pas que cela figurait la seule trace de morceau dans les archives Ozone2 et ne pouvait savoir : bmpr n’avait pas enregistré sa version primordiale inventée sur son harmonium (en fait, car il avait cru l’avoir fait, et comme pour d’autres, lorsqu’il réécouta ses cassettes de sauvegarde, il y avait eu des oublis…, bmpr, en effet en une désinvolture toute gitane, dont on dit qu’elle approche même le métaphysique !), M. ne savait pas qu’il commettait là l’irréparable, juste il a dû prendre un peu de satisfaction à effacer du bernard richy sur une bande ! En tout cas bmpr, non très éloigné de penser que si, si, si m. était effectivement malveillant, alors sa malveillance a machiavéliquement abouti puisque ne resterait-il donc rien de la +
spirituellement aboutie pièce musicale du compositeur d’ozone (à moins que cette pièce musicale soit retrouvée un jour…, car un enregistrement live a été réalisé par un alors jeune spectateur lors d’un concert en plein air, non loin de Pont-à-Mousson, du côté de Charmilly possiblement, sur un radio cassette stéréo ; si cette personne se reconnait…, qu’elle contacte en priorité: bernard  m p richy, facebook svp.    
Rédaction, mise en forme : E.S. + H.S.    (d’après des interviews de  bmpr  par H. Sinteuil,), + avec des notes écrites éparses de bmpr sur la période / relecture, réadaptation 2017 par bmpr
              Fin ozone2
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revuedepresse30 · 6 years ago
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Les 4 albums à absolument écouter cette semaine
Idles – Joy As An Act Of Resistance
Dans la lignée du fracassant Brutalism, leur premier long format paru en mars 2017, les énervés de Bristol livrent une suite remarquable. Avec Joy As An Act Of Resistance et ses 12 morceaux d’une efficacité sans pareille, les Idles continuent de déverser leur rage communicative tout en prenant soin de distiller quelques touches d’humour.
Colossus donne le ton dès l’ouverture. Le morceau s’étire progressivement pour permettre à Joe Talbot de sortir ses tripes. Remontée à bloc, la bande s’attaque sans plus tarder aux maux les plus significatifs d’une société à la dérive. Danny Nedelko et son refrain accrocheur mettent le sujet de l’immigration sur la table. Samaritans abat un à un les clichés autour de la masculinité.
>> A lire aussi : Les Anglais Idles signent avec fracas le grand retour du rock
Si les Idles ont bien conscience qu’ils ne changeront pas le monde, ils engagent la discussion sur une rythmique empruntée au post-punk et lancent quelques pistes de réflexion avec bienveillance. Surtout, le groupe laisse transparaître ses faiblesses en évoquant des drames plus personnels. Si l’album distribue les claques, le morceau June et son orgue sépulcral, qui font référence à la mort du nouveau-né de Joe Talbot, nous mettent K.O. Joy As An Act Of Resistance frappe juste et s’affirme comme l’un des grands albums de l’année.
Joy As An Act Of Resistance est à écouter sur Apple Music.
Wild Nothing – Indigo
L’une des signatures majeures du label indie Captured Tracks est de retour avec un quatrième album à fort potentiel addictif. Après avoir vécu à New York et Los Angeles, Jack Tatum est revenu s’installer à Blacksburg dans l’état de Virginie, sa ville d’origine. De ce retour aux sources est né Indigo, un long format qui fleure bon la dream-pop et les années 1980.
>> A lire aussi : notre rencontre avec Jack Tatum
Si Tatum est devenu l’un des maîtres du genre depuis la sortie du premier album de Wild Nothing, Gemini, l’Américain continue d’arpenter son terrain de prédilection en y ajoutant une touche de modernité technique. Loin de l’aspect lo-fi de ses débuts, des titres comme Partners in Motion et The Closest Thing To Living, avec leurs productions extravagantes et leur sonorités voluptueuses, accentuées par un saxophone des plus smooth, confirment l’idée de départ de Jack Tatum : faire de son quatrième album un classique instantané et intemporel. À l’écoute de ses onze titres finement ficelés, le dernier Wild Nothing prouve que sa tête pensante est à la hauteur de ses ambitions.
Indigo est à écouter sur Apple Music.
Kiddy Smile – One Trick Pony
À l’occasion de la fête de la musique, le 21 juin dernier, le boss du label Ed Banger, Pedro Winter, avait convié Kiddy Smile pour un set mémorable sur le perron de l’Élysée. En arborant un t-shirt "Fils d’immigrés, noir et pédé" durant son concert, la figure emblématique du voguing parisien énonçait clairement le caractère politique et engagé de sa démarche artistique.
>> A lire aussi : Des soirées voguing à l'Elysée, rencontre avec Kiddy Smile, pour One Trick Pony, son premier album dansant et politique
Avec la sortie de son premier album, One Trick Pony, Kiddy Smile entérine son positionnement militant. Chanteur, danseur et performer noir et gay, l’artiste aux multiples facettes trouve dans ses compositions house un medium pour dénoncer le racisme, l’homophobie et remettre en question le regard de la société sur la communauté Queer. Pour son premier long format, il s’inspire de son expérience personnelle pour y évoquer l’amour (Dark Knight), le sexe (Dickmatized) et le coming-out (Be Honest) sur des instrus taillées pour les dancefloors.
One Trick Pony est à écouter sur Apple Music.
Anna Calvi – Hunter
Cinq ans après One Breath, l’Anglaise est de retour avec un album-manifeste. Ouvertement politique, Hunter permet à Anna Calvi de s’affirmer davantage dans ses textes, où elle se fait porte-parole LGBTQI. Au fil des dix morceaux, sous tension permanente, la multi-instrumentiste s’interroge sur les relations femme/homme, livre sa propre réflexion sur le genre et la sexualité. Elle brouille les pistes avec Chain – "Je serai le garçon, tu seras la fille", s’exclame-t-elle sur le refrain –, divise pour mieux régner sur Alpha et s’affirme sur Don’t Beat The Girl Out Of My Boy.
>> A lire aussi : rencontre avec Anna Calvi
Anna Calvi se libère de toute contrainte et offre un album puissant qui donne lieu à des envolées vocales exquises (Swimming Pool) et des instrumentations admirables. Au détour du disque, le séducteur et rugissant Indies & Paradise prouve que l’Anglaise n’a rien perdu de son talent indéniable de guitariste. Avec ce troisième album, Anna Calvi délaisse le rock brut pour flirter plus volontiers avec la pop. Elle assume pleinement son rôle de porte-voix et évite de tomber dans le piège du concept, une erreur qui aurait pu lui coûter d’être jugée d’opportuniste.
Hunter est à écouter sur Apple Music.
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es2-mix · 8 years ago
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Labo - 2 - analyse de On The Run
La composition ¨On The Run¨ ce caractérise par la position proéminente du synthétiseur VCS 3. Le synthétiseur est utilisé à son plein potentiel dès les premières secondes de la composition. On ce trouve dès le début transporté par un motif rythmique qui nous entraine dans un univers psychédélique rappelant celui de la chanson ¨momy is blue¨ du groupe ¨faust¨. Ce motif évolue au fil de la composition et ressort aux moments ou l’attention de l’interlocuteur vient à décrocher. Cette même mélodie ce trouve suivie d’une poursuite entre les pas d’un homme et divers effets sonores installant un sentiment d’oppression. C’est aussi dans cette optique de fuite que le rythme est intéressant de part sa composition soutenue et rapide. L’évolution des éléments dans le temps mérite aussi d’être écouter attentivement puisque bien que les élèments de base restent les même tout au long de la chanson, leur évolution ce trouve intéressante de par son cycle régulier. Ce mouvement de vague cyclique créer emporte la personne qui l’écoute dans cette univers en déplacement sant toute fois que ses changements soient brusque. 
PINK FLOYD
David Gilmour : Composer, Guitar, VCS 3 Synthesizer, Vocals
Roger Waters : Composer, Guitar (Bass), Lyricist, Tape Effects, VCS 3 Synthesizer, Vocals
Richard Wright : Composer, Keyboards, VCS 3 Synthesizer, Vocals
Nick Mason : Composer, Percussion, Tape Effects
*
MUSICIENS ADDITIONELS
Lesley Duncan : Vocals (Background)
Barry St. John : Vocals (Background)
Liza Strike : Vocals (Background)
Dick Parry : Saxophone
Clare Torry : Composer, Vocals
Doris Troy : Vocals (Background)
*
ÉQUIPE TECHNIQUE
James Guthrie : Mastering
Joel Plante : Mastering
Alan Parsons : Engineer
Chris Thomas : Mixing Supervision
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PHOTOS
Storm Thorgerson : Photography
Tony May : Photography
Richard Wright utilise une Cabine Leslie sur un orgue Hammond pour crée un effet de bourdonnement — semblable au bruit des élise d'un hélicoptère — audible à partir de 1 minutes 52 seconde
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Le EMS VCS 3 qui servit à Roger Water pour crée la ligne de synthétiseur principale de la chanson. Il l'utilisa également pour crée des effets particulier tel qu'un bourdonnement — audible à partir de 2 minute 16 — rendu avec le Noise Generator inclus dans l'appareil. Tout au long de la composition, l'usage du filtre se fait apercevoir, notamment lors des montée effectué par les autres musiciens, où Water laisse uniquement les basses fréquences pour crée une sorte de tapis pour appuyer les autres musiciens.
Le EMS Synthi AKS : séquenceur utilisé par David Gilmour pour les percutions.
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