Hergé’s original drawing for ‘The Blue Lotus,’ 1936,
In four colors, this gouache was to illustrate the cover of the first edition of the “Blue Lotus” but had been refused by Casterman editions because of the printing costs of the time.
The canvas was inspired by a picture of Anna May Wong, the Chinese-American actress who appeared with Marlene Dietrich in the 1932 film Shanghai Express.
In 1934, Hergé met Chinese sculptor Tchang Tchong-Jen, the only real person besides Al Capone to be integrated into the Tintin comics.
The story of the Blue Lotus involves Tintin heading for China in the hope of dismantling the opium trafficking industry.
Indian ink, watercolor and gouache on paper (35×35 cm)
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i know this is like. not true to canon, but i think Chang is very much the type of character who would just always have his eyes shut for no reason. it would give every shot of him this aura of serenity and wisdom, but with self-awareness (cause he could just open his eyes if he wanted to yknow). i think it’d be neat.
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HERGÉ (Georges Remi dit)
1907-1983
Les Aventures de Tintin reporter en Extrême-Orient
Le Lotus Bleu
Encre de Chine, aquarelle et gouache sur papier doublé sur papier japon pour le projet d'illustration destiné à la couverture de l'édition originale du Lotus Bleu de 1936. Une large pliure verticale et deux larges pliures horizontales.
34 x 34 cm
Provenance :
Collection Jean-Paul Casterman, Belgique,
aux propriétaires actuels par descendance.
Exposition :
Bruxelles, Musée d'Ixelles, Hergé dessinateur, 60 ans d'aventures de Tintin, exposition du 23 décembre 1988 au 15 janvier 1989.
Bibliographie :
- Philippe Goddin, Hergé, Chronologie d'une œuvre, Tome 3, 1935-1939, éditions Moulinsart, 2002, reproduit page 47 (coll. particulière)
- Jean-Michel Coblence, Tchang ! Comment l'amitié déplaça les montagnes, Moulinsart, 2003, reproduit page 83
- Lire hors-série n°4, Tintin - secrets d'une œuvre, 2006, reproduit page 58
- Pierre Fresnault-Deruelle, Les Mystères du Lotus Bleu, éditions Moulinsart, 2006, reproduit page 3
- Centre Pompidou, Hergé, catalogue de l'exposition, Centre Pompidou/ éditions Moulinsart, reproduit page 332 (collection particulière) – commissaires d'exposition : Laurent Le Bon, conservateur au Musée national d'art moderne et Nick Rodwell, administrateur délégué des Studios Hergé.
- Marcel Wilmet, Tintin noir sur blanc, l'aventure des Aventures, éditions Casterman, 2011, reproduit page 73
- Musée Hergé, Musée Hergé, éditions Moulinsart, 2013, reproduit page 106 (collection particulière)
Les dessins en couleurs directes sont extrêmement rares dans l'œuvre de Hergé. Il utilisa cette technique principalement pour les couvertures des cinq premières aventures de Tintin. La correspondance entre Hergé et le directeur adjoint des éditions Casterman, Charles Lesne, montre la volonté des deux hommes d'introduire de la couleur dans les albums et ce malgré des procédés techniques encore onéreux à l'époque. Hergé relève ce nouveau défi et réalise ce projet de couverture très travaillé dominé par un magnifique dragon rouge.
Si le projet de couverture semble avoir été reçu avec enthousiasme par l'éditeur adjoint, il se révélera trop compliqué et coûteux à reproduire en couleurs. La version finale montre une simplification des éléments décoratifs et du fond. L'image est d'abord imprimée sur papier, puis collée sur la couverture donnant ainsi son nom à l'édition dite « petite image collée ».
Le Lotus Bleu est le premier album à utiliser cette maquette qui servira jusqu'en 1941. Un compromis est trouvé pour ajouter, pour la première fois, de la couleur dans les pages intérieures. Hergé réalisera cinq grandes illustrations couleur, les hors-textes, qui seront insérés dans l'album. Pour la première fois un papier blanc de qualité supérieure est utilisé, faisant de cet album le premier à ne pas prendre un aspect plus terne avec le temps.
En 1934, alors que Hergé s'attelait à son nouvel album, Le Lotus Bleu, on lui présenta un jeune diplômé des Beaux-Arts de Bruxelles : Tchang Tchong-Jen. Leur rencontre et leur collaboration auront une influence décisive non seulement sur le style de Hergé, qui devient plus fluide, mais également sur le contenu des albums. Une atmosphère historique proche du documentaire règne sur Le Lotus Bleu : les sinogrammes sont lisibles, l'atmosphère d'oppression palpable, réaliste et on y retrouve Tchang, seul personnage de Hergé inspiré de sa vie personnelle. Le Lotus Bleu est le premier album où Hergé prend conscience qu'il a une vraie responsabilité vis-à-vis des lecteurs.
En 1981, Jean-Paul Casterman
prête le dessin à la Maison Casterman pour réaliser une lithographie qui sera offerte par l'éditeur à l'occasion des retrouvailles de Hergé et de Tchang. Une cinquantaine d'exemplaires de cette lithographie sont alors cosignés par Tchang et Hergé. Tchang quitte la Belgique peu après avoir travaillé sur Le Lotus Bleu. Il rentre en Chine en 1936 et ne pourra revenir à Bruxelles qu'en 1981.
En 1988, ce dessin est exposé au Musée d'Ixelles dans le cadre de l'exposition Hergé dessinateur, 60 ans d'aventure de Tintin coproduite par la Fondation Hergé, Baran International Licensing et le salon international de la bande dessinée à Angoulême.
L'album, paru en 1936, est édité en premier tirage à 6000 exemplaires vendus 20 Fr pièce par les éditions Casterman. C'est un tirage conséquent et un véritable pari sur l'avenir des Aventures de Tintin. Le Lotus Bleu est le deuxième album de Hergé publié par cette vénérable maison d'édition crée en 1776 à Tournai. La Maison Casterman reprend en 1934 la publication et distribution des albums précédemment édités par les éditions du Petit « Vingtième ». Le Lotus Bleu scelle leur deuxième collaboration et engage Hergé sur le chemin de la modernité. Tout au long de sa vie professionnelle Hergé gardera des relations empreintes de confiance avec la Maison Casterman. Il restera fidèle à l'éditeur jusqu'à son décès.
Traduit en plus d'une centaine de langues, le petit reporter continue de fasciner les auteurs contemporains.
Joost Swarte, graphiste et grand spécialiste de Hergé, dont il admire les albums, a pour Le Lotus Bleu une prédilection particulière :
« Le Lotus Bleu est l'un de mes préférés. C'est formidable parce que c'est le premier livre qu'il a fait sur une autre culture pour lequel il a fait des recherches très sérieuses. [...] C'était un très beau livre. [...] C'était à une époque, un moment du XXe siècle où tout le monde ne pouvait pas aller au cinéma, parce que c'est assez coûteux. Hergé voulait faire une sorte de cinéma pour les enfants. » Interview pour The Comics Journal, 2012.
Le Lotus Bleu est largement considéré comme l'album de la maturité narrative et politique d'Hergé, pour lequel il se documente en véritable sociologue et journaliste. Cette évolution signe le tournant humaniste de la série Tintin tout comme le perfectionnement du caractère cinématographique de l'image et du récit. Hergé fait entrer sa série dans une autre dimension.
Le dessin que nous présentons est certainement la plus belle œuvre de Hergé encore en mains privées. C'est un chef d'œuvre à juste titre.
Estimation 2 200 000 - 2 800 000 €
Lot 18
HERGÉ (Georges Remi dit)
1907-1983
Estimation 2 200 000 - 2 800 000 € [$]
(via L’univers du créateur de Tintin | Vente n°4085 | Lot n°18 | Artcurial)
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Hergé - la construction d'un style et d'un auteur
Hergé - la construction d'un style et d'un auteur, un article par Elric qui propose notamment une comparaison entre les dessins d'Hergé et le manuel de peinture chinoise offert par Tchang.
Cet article est le résultat de ma recherche dont le but était de mieux comprendre l’évolution graphique d’Hergé, de ses débuts jusqu’à son influence de l’art chinois via son ami Tchang Tchong-jen.
Il est aussi un pas supplémentaire dans mon approche tendant à lier la ligne claire et le japonisme.
La majorité des citations d’Hergé sont tirées des entretiens avec Numa Sadoul (Entretiens avec…
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