#synagogue du Jubilé
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Immunisé contre la peur
Le remède !
L’évangéliste Reinhard Bonnke a raconté un jour l’histoire d’un homme qui lui avait confié être également un « conseiller spirituel ». Néanmoins, cet homme ne croyait pas que Jésus Christ était le Fils de Dieu, ni que la Bible était la Parole de Dieu. Reinhard se demanda comment cet homme pouvait conseiller qui que ce soit, alors il lui posa la question : « Ces gens qui viennent vous voir repartent-ils avec le cœur brisé ? ». « Oh, non », lui certifia-t-il, « je ne fais que les apaiser ». Reinhard le regarda droit dans les yeux et lui dit : « Monsieur, un homme sur un bateau lors d’un naufrage a besoin de bien plus que d’un tranquillisant. Ne faites pas que le calmer. Il est déjà en train de couler ! Quand Jésus vient vers un homme en plein naufrage, Il ne lui fait pas avaler un cachet de Valium en lui disant : « Meurs en paix ». Il tend Sa main marquée par des clous, le saisit, le relève et lui dit : « … parce que je vis, vous vivrez aussi » (Jean 14:19). C’est cela l’Évangile de Jésus Christ qui doit être prêché ! Jésus est le Sauveur de notre monde. Lui seul apaise toutes les peurs ! Son message est la vie, la paix, l’espérance, et la santé pour l’esprit, l’âme et le corps ! L’Évangile est le remède !
L’Évangile de Luc, chapitre 4, décrit le jour où Jésus se tint dans une synagogue remplie de gens et lut un passage d’Ésaïe. Il dit : « L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur » (Luc 4:18-19). C’est « une année de grâce du Seigneur ».
Dans chaque nation, les esclaves sont légion – esclaves de toutes les habitudes méprisables, esclaves de la peur, esclaves du doute, esclaves de la dépression. Le diable ne met personne en liberté conditionnelle. Partout les gens sont enclins à l’échec, au péché, sont moralement défectueux et spirituellement liés. Mais la trompette du jubilé a déjà sonné ! Le prix de leur liberté a déjà été payé. C’est ce que nous devons prêcher, car les gens l’ont oublié. Ils ont oublié que le Christ est venu, et ce que cela signifie vraiment pour nous.
Nous ne sommes pas dans l’ère préchrétienne. Nous n’attendons pas la venue de Christ pour vaincre l’ennemi. La guerre est déjà finie ! La liberté nous appartient ! Jésus a ouvert la porte vers le royaume de la liberté et a fait résonner la trompette de la libération lorsqu’Il s’est écrié sur la croix : « C’est accompli ! ». Des gens qui devraient être mieux informés, appellent notre époque « l’ère postchrétienne ». Comme si l’œuvre du Christ n’était que pour une époque révolue ! Cela n’est certainement pas vrai ! Christ a ouvert les portes des prisons pour toujours, pas seulement pour une certaine période dans le passé. L’œuvre de Jésus ne peut être limitée ou réduite à néant. C’est la plus grande force rédemptrice à l’œuvre sur terre aujourd’hui. Jamais plus les portes des prisons ne pourront être fermées sur des êtres humains. Lorsque Jésus ouvre une porte, personne ne peut la fermer. Alors pourquoi des millions languissent-ils inutilement dans les camps de concentration du diable ? Aujourd’hui est le jour du pardon. Celui qui a vaincu a enfoncé les portes ; le secours est arrivé.
Le plus célèbre artiste de l’évasion était Houdini, artiste notoire du show business. La police l’enfermait dans une cellule, et lorsqu’ils partaient, il les suivait déjà – s’étant libéré en quelques secondes. À l’exception d’une fois. Une demi-heure s’était écoulée et Houdini fulminait encore contre la serrure. Puis un policier vint et poussa simplement la porte. La porte n’avait jamais été verrouillée ! Houdini avait été dupé et avait essayé de déverrouiller une porte qui n’avait jamais été fermée à clé.
Christ s’est introduit dans l’immense forteresse du désespoir. Il a les clés de la mort et de l’enfer, et Il a ouvert les portes. Alors pourquoi des millions font-ils des efforts inouïs, en essayant toutes les astuces pour se libérer de leurs liens ? Ils se joignent à de nouveaux cultes ou à des religions païennes, entendent de nouvelles théories et vont voir des psychiatres. Mais pourquoi ? Jésus libère les hommes. Il le fait tout le temps. C’est cela l’Évangile ! Vous ne prêchez pas à ce sujet et n’offrez pas son contenu pour qu’il soit débattu. L’Évangile n’est pas un sujet à discussion. C’est une proclamation de délivrance. L’Évangile n’est pas sujet à la modification. C’est un décret impératif, royal et divin. Certains systèmes et théories de délivrance sont des liens en eux-mêmes, pleins de devoirs et d’exigences. Seul Jésus sauve ! Nous devons en faire part au monde.
Si vous êtes déprimé, la pire chose que vous pourriez faire est de vous concentrer sur votre dépression. Si vous souffrez de la solitude, la pire chose serait de vous polariser sur votre solitude. Et si vous avez peur, la pire chose que vous pourriez faire est de vous focaliser sur votre peur. Au lieu de porter vos regards vers l’intérieur, commencez à regarder vers l’extérieur, vers un monde qui a besoin d’un remède pour sa dépression, sa solitude, ses peurs – et VOUS avez la réponse ! Pas un simple tranquillisant ! L’Évangile est le remède de Dieu pour les problèmes dont le monde est si profondément conscient en ce moment. Ne le gardez pas pour vous ! C’est le moment de briller !
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Lundi 31 août 2020 : commentaire Saint Jean-Paul II
« Nous te rendons grâce, Seigneur Dieu, Maître de tout » (Ap 11,17)... Cette dimension de louange est de première importance. C'est en effet de là que part toute réponse authentique de foi en la révélation de Dieu dans le Christ. Le christianisme est grâce ; c'est la surprise d'un Dieu qui, non content de créer le monde et l'homme, s'est mis à la hauteur de sa créature et « après avoir, à maintes reprises et sous maintes formes, parlé par les prophètes, en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par son Fils » (He 1,1-2). En ces jours ! Oui, le Jubilé nous a fait sentir que deux mille ans d'histoire ont passé sans atténuer la fraîcheur de cet « aujourd'hui » par lequel les anges ont annoncé aux bergers l'événement merveilleux de la naissance de Jésus à Bethléem : « Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur » (Lc 2,11). Deux mille ans ont passé mais plus que jamais reste vivante la proclamation que Jésus a faite de sa propre mission dans la synagogue de Nazareth devant ses compatriotes stupéfaits, s'appliquant à lui-même la prophétie d'Isaïe : « Cette parole de l'Écriture que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit ». Deux mille ans ont passé, mais les pécheurs qui ont besoin de miséricorde –- et qui n'en a pas besoin ? –- trouvent toujours une consolation dans cet « aujourd'hui » du salut qui, sur la croix, a ouvert les portes du Règne de Dieu au larron repenti : « Amen, je te le déclare : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis » (Lc 23,43).
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1 Corinthiens 2,1-5. Frères, quand je suis venu chez vous, je ne suis pas venu vous annoncer le mystère de Dieu avec le prestige du langage ou de la sagesse.Parmi vous, je n’ai rien voulu connaître d’autre que Jésus Christ, ce Messie crucifié.Et c’est dans la faiblesse, craintif et tout tremblant, que je me suis présenté à vous.Mon langage, ma proclamation de l’Évangile, n’avaient rien d’un langage de sagesse qui veut convaincre ; mais c’est l’Esprit et sa puissance qui se manifestaient,pour que votre foi repose, non pas sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu. Psaume 119(118),97.98.99.100.101.102. De quel amour j'aime ta loi : tout le jour je la médite !Je surpasse en habileté mes ennemis, car je fais miennes pour toujours tes volontés.Je surpasse en sagesse tous mes maîtres, car je médite tes exigences.Je surpasse en intelligence les anciens, car je garde tes préceptes. Des chemins du mal, je détourne mes pas, afin d'observer ta parole.De tes décisions, je ne veux pas m'écarter,car c'est toi qui m'enseignes. Luc 4,16-30. En ce temps-là, Jésus vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :‘L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés,annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.’Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. »Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Ils se disaient : « N’est-ce pas là le fils de Joseph ? »Mais il leur dit : « Sûrement vous allez me citer le dicton : “Médecin, guéris-toi toi-même”, et me dire : “Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm ; fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !” »Puis il ajouta : « Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays.En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ;pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère.Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien. »À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux.Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas.Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin. « C'est aujourd'hui » « Nous te rendons grâce, Seigneur Dieu, Maître de tout » (Ap 11,17)... Cette dimension de louange est de première importance. C'est en effet de là que part toute réponse authentique de foi en la révélation de Dieu dans le Christ. Le christianisme est grâce ; c'est la surprise d'un Dieu qui, non content de créer le monde et l'homme, s'est mis à la hauteur de sa créature et « après avoir, à maintes reprises et sous maintes formes, parlé par les prophètes, en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par son Fils » (He 1,1-2). En ces jours ! Oui, le Jubilé nous a fait sentir que deux mille ans d'histoire ont passé sans atténuer la fraîcheur de cet « aujourd'hui » par lequel les anges ont annoncé aux bergers l'événement merveilleux de la naissance de Jésus à Bethléem : « Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur » (Lc 2,11). Deux mille ans ont passé mais plus que jamais reste vivante la proclamation que Jésus a faite de sa propre mission dans la synagogue de Nazareth devant ses compatriotes stupéfaits, s'appliquant à lui-même la prophétie d'Isaïe : « Cette parole de l'Écriture que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit ». Deux mille ans ont passé, mais les pécheurs qui ont besoin de miséricorde –- et qui n'en a pas besoin ? –- trouvent toujours une consolation dans cet « aujourd'hui » du salut qui, sur la croix, a ouvert les portes du Règne de Dieu au larron repenti : « Amen, je te le déclare : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis » (Lc 23,43).
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Précisions chiffrées troublantes sur le compte à rebours final
Note : Une précision utile car si l’on constate que certaines prophéties sont en train de se réaliser, il manquait certains signaux : l’arrivée de l’impie et les 2 témoins.
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Il a donc été démontré que la lecture biblique, associée au calendrier naturel juif non manipulé, permettent de situer exactement les événements prophétiques par rapport aux années, aux mois, aux jours et même aux heures où ils se sont déroulés. Ces outils de référence ont révélé les dates de la conception, suivie de 39 semaines, puis les 12.000 jours qui couvrirent la naissance, l'enfance, la vie d'homme, le ministère, la mort sacrificielle physique et la résurrection du Messie et Roi des Juifs.
Ce laps de temps se situa exactement entre le Zikhron Troua de l'an -8 et le Pessah de l'an 27.
Pour exprimer précisément cette période entre dates grégoriennes: - entre le 5/9/-8 (Zikhron Troua) et le 6/6/-7 (Pentecôte) = 39 semaines; - entre le 6/6/-7 (naissance) et le 13/4/27 (résurrection) = 12000 jours. De plus, la vraie année du 80ème Jubilé : an 25 (= 4.000) au printemps de laquelle il inaugura (à sa façon !) le temple d'Hérode, mis en chantier 46 ans auparavant, avait été annoncée et proclamée par Lui-même au shabbat des Expiations de l'automne 24 (= 3.999) dans la synagogue de Nazareth. Cet ensemble de données chiffrées et dates nous font comprendre que le Grand, l'unique de l'Histoire, le véritable et 120ème JUBILE final de l'an 6.000, qui sera accompli avec force par Yéshoua lui-même, est le rosh ha shana (le nouvel an) du printemps 2025. Il en découle donc que 2018 devrait être en principe la première des 7 dernières années de la semaine de Daniel. Et que voit-on ? Les soubresauts violents, que l'on voit survenir depuis peu de temps dans ce monde devenu fou, ressemblent à la fureur démentielle qui de tous temps a précédé les guerres de religions.
Cependant, il faut reconnaître que nous ne savons pas si les acteurs prophétiquement annoncés pour accompagner cette dernière "semaine" sont en place ou pas encore.
On parle ici de la bête et des deux témoins.
Et l'année 2018 a véritablement commencé le 17 mars (1er jour de Nissan).
C'est dans la fourchette de 7 ans que devraient s'accomplir les événements prophétiques de la première et la deuxième moitiés de cette dernière "semaine". La première moitié, 3 ans et demi, doit correspondre à l'apparition de la bête (l'homme impie) dans sa nature séductrice, qui prendra autorité par la ruse et par prodiges sataniques sur le monde entier. Cette même période doit également couvrir le temps du témoignage des deux oints pendant 1260 jours, jusqu'à leur mort par assassinat au milieu de la "semaine". Ouvrons une parenthèse par un petit rappel. Le 10ième jour du premier mois est la date qui marqua sous Moïse le choix de l'agneau destiné au sacrifice propitiatoire. Cette même date marqua le baptême de Yéshoua à l'époque messianique (Psaume 40 : 8 - 9 et Jean 1 : 29). Ce jour particulier de Nissan devrait aussi correspondre à l'engagement des deux témoins en début de leur ministère. Pour le temps final, en partant d'un 10ème jour du premier mois, il s'agit de compter précisément 1.260 jours jusqu'au Zihron Troua, exact milieu de la semaine. Autre chiffre prophétique précis : "2.300 soirs et matins et le sanctuaire sera purifié" :
Il s'agit des 1.150 jours complets de formation du peuple nouveau né à l'appel du témoignage et que constituent les 144.000 Hébreux, rassemblés de toutes les nations à Jérusalem pour être marqués par l'esprit de Yéshoua à la Pentecôte, qui précédera de 110 jours le milieu de la semaine. Toujours en partant du 10ième jour du premier mois, il s'agit donc de compter 1.150 jours pour aboutir à une Pentecôte. C'est ici que nous apparaît un détail chiffré troublant. En consultant le calendrier naturel comme outil de vérification, on constate que c'est seulement à partir du 10ième jour du premier mois de l'année 2020 (3/4/2020) que l'on trouve :
- 1.260 jours jusqu'au Zikaron Troua 2023 (15/9/2023) - 1.150 jours jusqu'à Pentecôte 2023 (28/5/2023) Bien qu'il ait été démontré que l'année 2025 correspond bien aux 6.000 ans, si retard de 2 ans il y a pour le commencement de la dernière "semaine", la seule raison plausible est que la volonté du Père céleste serait de laisser s'écouler 2.000 années entières depuis la mort sacrificielle de Yéshoua, le Messie et Roi des Juifs, jusqu'à son avènement et son règne sur le septième millénaire. Il faut aussi reconnaître que ce n'est qu'après Sa résurrection que Yéshoua fut déclaré Souverain Sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek par le Père céleste, qui l'a fait asseoir à Sa droite. Ps 110. Ce pourrait donc être pour cette raison que l'on n'aie pas encore vu s'ériger le système séducteur de l'homme impie, ni encore entendu parler des deux oints, qui n'auraient pas encore commencé leur ministère de 1.260 jours. Autres détails et résultats, obtenus par extrapolation jusqu'à nos jours du cycle "Méton" constaté pendant le temps messianique : Si, à partir de l'an 24, qui fut celle du baptême de Yéshoua et du début de son ministère, on ajoute un nombre entier de fois le "cycle Méton" de 19 ans, on obtient pour le temps final, qui serait calqué sur l'an 24 d'après ce cycle et pour le début du témoignage : 24 + (105 x 19) = 2019.
Auquel cas, le retard serait de seulement 1 an sur 2018. Qui vivra verra et dans tous les cas : heureux ceux qui auront cru sans avoir vu. Car, comme Yahvé le dit au prophète Habakuk :
"Ecris la prophétie, grave-la sur des tables, afin qu'on la lise couramment, car c'est une prophétie dont le temps est déjà fixé. Elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas; Si elle tarde, attends-la, Car elle s'accomplira, elle s'accomplira certainement."
Source : Les mensonges religieux dévoilés
via le Blog de Fille de Roi
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Lecture des Écritures, Ésaïe 61: 1–4, 8–11
Par l'Esprit de Dieu omniscient et infiniment sage, Ésaïe le prophète a fait des annonces d'un grand Sauveur qui devait venir des siècles plus tard et qui est maintenant venu dans le monde. Dans un langage très poétique, de belles descriptions de ce Sauveur apparaissent, qui peuvent maintenant être comprises plus clairement que lors de leur première rédaction.
Lisez le texte des Écritures. [Après lecture.] Veuillez vous asseoir.
Les premiers versets nous sont plus familiers parce que le Nouveau Testament les enregistre comme des mots que Jésus a interprétés comme étant à propos de lui-même quand il a parlé à une occasion dans une synagogue, Luc 4. Pour les chrétiens, la parole de Jésus dans les évangiles est certaine et définitive.
Jésus a été équipé par le Saint-Esprit pour accomplir la mission messianique qu'il a reçue de Dieu le Père. Ce n'est que par la puissance de l'Esprit que Jésus pouvait prêcher l'Évangile avec l'effet qu'il transformerait les cœurs et les vies, et finalement, rachèterait toute la création. Il guérit ceux qui ont le cœur brisé, rend les personnes libres asservies au péché et annonce l'année du jubilé, c'est-à-dire les jours où les pécheurs du monde entier seraient sauvés par la miséricorde de Dieu. Jésus rétablit également spirituellement ces personnes sauvées en une grande foule d'adorateurs joyeux, rétablissant un paradis spirituel, reconstruisant un temple spirituel et rétablissant le royaume éternel de Dieu, un royaume de grâce et de gloire. C'est la substance des quatre premiers versets d'Isaïe 61.
En revenant aux versets 8 à 11, nous voyons que c’est l’amour du Seigneur pour la justice, la haine du péché et la fidélité aux promesses de son alliance qui expliquent l’accomplissement de ce grand salut. Les gens que le Seigneur sauve seront connus dans le monde entier. Notre Sauveur le Seigneur Jésus-Christ savoure sa réussite spirituelle. Il témoigne qu'il est entièrement équipé par le Seigneur Dieu pour apporter un salut aussi prodigieux aux peuples du monde. Il est glorieusement revêtu de la justice nécessaire pour être notre Sauveur, comme un marié ou une épouse est revêtue de beaux vêtements pour le jour de leur mariage. Et parce qu'Il l'est, ce salut est absolument certain d'arriver à sa réalisation totale. Tout comme le Seigneur donne l'augmentation des plantes qui bourgeonnent, fleurissent et produisent du fruit, de même le fruit spirituel si agréable à Dieu - la justice et le vrai culte - est lié à atteindre la complétude que Dieu a planifiée tout au long. La nouvelle création pour les rachetés du Seigneur arrive à coup sûr, frères et soeurs ! Tous les élus de Dieu seront sauvés de tous les maux ! Nos péchés, tous partis ! Nos âmes, rendues justes comme Jésus ! Nos corps, ressuscités à l'immortalité ! Tous les saints se sont rassemblés devant le trône de notre Sauveur glorifié pour toute l'éternité, afin que nous puissions le louer et le remercier sans cesse pour son triomphe et notre salut!
Ces choses sont déjà partiellement accomplies. Jésus est venu il y a 2000 ans et s'est avéré être le Messie habilité par l'Esprit qu'Isaïe a prédit. Il est mort pour les pécheurs, est ressuscité pour notre justification, est monté au ciel, a déversé son Saint-Esprit et a appelé des multitudes par la prédication de l'Évangile dans son Église où il est confessé comme Seigneur et loué comme notre Sauveur. Avec une si grande partie de l'ancienne prophétie déjà accomplie à la lettre, comment pouvons-nous douter un instant que chaque lambeau de ce qui n'est pas encore accompli se produira exactement comme la Sainte Parole de Dieu l'a promis ? Êtes-vous troublé aujourd'hui ? Découragé ? Vous doutez ? Écoutez cet évangile du Seigneur Jésus-Christ et croyez-le, réjouissez-vous, prenez courage et ne doutez plus ! Notre salut complet est à portée de main. Relevez la tête, car votre rédemption approche !
Amen
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Lundi 31 Août 20, 22e semaine du temps ordinaire.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 4,16-30.
En ce temps-là, Jésus vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.
On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :
‘L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés,
annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.’
Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.
Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. »
Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Ils se disaient : « N’est-ce pas là le fils de Joseph ? »
Mais il leur dit : « Sûrement vous allez me citer le dicton : “Médecin, guéris-toi toi-même”, et me dire : “Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm ; fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !” »
Puis il ajouta : « Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays.
En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ;
pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère.
Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien. »
À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux.
Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas.
Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin.
Homélie
« C'est aujourd'hui »
« Nous te rendons grâce, Seigneur Dieu, Maître de tout » (Ap 11,17)... Cette dimension de louange est de première importance. C'est en effet de là que part toute réponse authentique de foi en la révélation de Dieu dans le Christ. Le christianisme est grâce ; c'est la surprise d'un Dieu qui, non content de créer le monde et l'homme, s'est mis à la hauteur de sa créature et « après avoir, à maintes reprises et sous maintes formes, parlé par les prophètes, en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par son Fils » (He 1,1-2).
En ces jours ! Oui, le Jubilé nous a fait sentir que deux mille ans d'histoire ont passé sans atténuer la fraîcheur de cet « aujourd'hui » par lequel les anges ont annoncé aux bergers l'événement merveilleux de la naissance de Jésus à Bethléem : « Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur » (Lc 2,11). Deux mille ans ont passé mais plus que jamais reste vivante la proclamation que Jésus a faite de sa propre mission dans la synagogue de Nazareth devant ses compatriotes stupéfaits, s'appliquant à lui-même la prophétie d'Isaïe : « Cette parole de l'Écriture que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit ». Deux mille ans ont passé, mais les pécheurs qui ont besoin de miséricorde –- et qui n'en a pas besoin ? –- trouvent toujours une consolation dans cet « aujourd'hui » du salut qui, sur la croix, a ouvert les portes du Règne de Dieu au larron repenti : « Amen, je te le déclare : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis » (Lc 23,43).
Les lectures du jour.
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 2,1-5.
Psaume 119(118),97.98.99.100.101.102.
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Lecture proposée : Luc 4.16-21
L’Esprit du Seigneur, l’Éternel, est sur moi, car l’Éternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance ; pour publier une année de grâce de l’Éternel…
Ésaïe 61.1-2
JUBILÉ MESSIANIQUE
En automne¹ en Israël, le jour des expiations, le peuple est appelé au repentir. Tous les cinquante ans², à cette même date, la trompette annonçait l’année du jubilé. C’était la liberté pour ceux qui s’étaient loués comme esclaves et le recouvrement des biens par les anciens propriétaires. C’était l’année de la restitution qu’Ézéchiel appelait celle de la liberté³!
Quand le prophète Ésaïe annonce la publication d’une année de grâce de l’Éternel, il fait allusion au jubilé ! Il prophétise l’avènement du Messie, l’Oint de Dieu, introduisant la délivrance des prisonniers, la consolation des affligés, la guérison des cœurs brisés, la bonne nouvelle, la liberté… Dans la synagogue de Nazareth, après la lecture de cette prophétie, Jésus dira : Aujourd’hui cette parole de l’Écriture, que vous venez d’entendre, est accomplie. Oui, l’année de grâce est arrivée ! L’expiation de nos fautes sur la croix, nous délivre de l’esclavage du péché et nous conduit, libres, vers l’héritage céleste. Par la foi en Christ, nous sommes dans le jubilé de la grâce de Dieu !
Dominique Moreau
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¹ Lévitique 23.27 ² Lévitique 25.8-10 ³ Ezéchiel 46.17
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