#spontanéité
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Je pense que l'élection d'Obama n'est pas un fait spontané. C'est quelque chose qui a été mis sur orbite, un peu comme l'élection de miss France cette année [...] Ce n'est pas un noir américain. C'est un métis, donc en ce sens, c'est un mondialiste. Ce n'est pas un personnage interne à la politique américaine comme pourrait l'être un Noir américain, un pasteur du type Farrakhan ou quelqu'un d'autre. Obama est un drapeau. JM- lP
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La Spontanéité : L'Art de Vivre sans Filet
Dans une époque où tout semble planifié, orchestré, et calculé au millimètre près, la spontanéité apparaît comme un acte de rébellion douce, une libération des contraintes de la routine. Être spontané, c’est vivre l’instant présent, laisser libre cours à ses émotions et ses envies sans s’imposer de filtre ou de barrière. Mais que signifie vraiment la spontanéité et comment peut-elle enrichir…
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Cercles d'onde - Roger JUDRIN - 2023 - Serge Safran Ed.
Quatrième de couverture Roger Judrin, discret par méthode, a laissé à sa mort quelques trésors dans son écritoire constituée comme un balcon au-dessus du monde. On délivre aujourd’hui l’un d’entre eux : mosaïque d’aphorismes portant sur Dieu, l’amour, les écrivains, l’histoire… Ces réflexions lapidaires jaillirent dans un mouvement poétique « à sauts et à gambades », selon les mots (Essais, III,…
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#adage#aphorismes#aventure#esprit#héritage#instalire#instalivres#leeham#leitmotiv#leschroniquesdeleeham#littérature#ondes#ouverture#pensée#réflexions#ricochets#romans#sergesafranediteur#spontanéité#vérité
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Le Tao comme éthique
Traduction libre de l’article Essay: Dao as the Basis for Morality de Yuka Kamamoto paru dans The Nanyang Philosophy Review. Introduction Dans la philosophie morale chinoise, le taoïsme (道教 dào jiào) est souvent mal compris comme nihilisme moral ou anti-moralisme en ce qui concerne le passage suivant du chapitre 18 du Livre de la voie et de la vertu (道德經 dào dé…
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the pro-Palestine protests bursting spontaneously every single night in the streets are the only thing keeping me sane these days
#tu sors du taf petit rassemblement modeste de milliers de personnes puis départ en sauvage et si tu t'arrêtes au bar 1h ou 2 t'es#sûr de retrouver une autre équipe déter dans n'importe quel autre quartier#c'est tellement beau cette spontanéité organisée
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Cela fait maintenant 1 an que Eimadolly a arrêté youtube et tous ses réseaux. Et je dois avouer que les rendez-vous du mardi et vendredi soir 18h me manquent.
#jezatalks#apparemment elle va super#j'aimais beaucoup ses vidéos#on ressentait beaucoup sa spontanéité et honnêteté
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Ahlala c'est beau
dailymotion
@pigeonneaux j'ai pensé à toi, c'est Goldman ET Renaud qui se vannent sur scène.
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Ça y est. Le carnet aux pages parsemées de points a été fini. Celui-là même qui se réservait l'exclusivité de mes autoportraits quotidiens. Ma conclusion est que ce qui a compté n'est pas tant l'énergie et le temps dispensés dans chaque dessin, mais plutôt, la régularité à la tâche, vers une forme d'acharnement grisant, finalement.
Le projet s'est changé en une sorte de vilaine addiction. Facilitant la naissance d'une curiosité sous-jacente : celle qui concerne les autoportraits à venir. Quels traits, quelles couleurs auront-ils ? Il me semble d'ailleurs atteindre de plus en plus une relative ressemblance ; la réalité de mon visage et la spontanéité dans le trait semblent s'abréger. Comme si cela devenait plus facile, et encore plus plaisant, plus ludique.
Je me demande parfois, en toute transparence, si ce rituel quasi quotidien ne vire pas à l'obsession quasi narcissique... Et il détient quelque chose d'un ordre insoutenablement introspectif aussi, il me semble. Quelque chose au-delà de l'image, de la façade, de la vitrine.
J'ai aimé, tant aimé ce chemin que j'ai entamé un nouveau carnet. Plus grand (pour encore moins se complaire dans les dimensions de mon scanner), et sans points, pour le fond de ses pages. Cela a commencé en peinture, et peut-être que je vais essayer d'allouer ma patience et ma persévérance aux couleurs, aux jolis pâtés glissés d'un coup de pinceau... Peut-être. Sans oublier de varier un peu, de temps en temps. Rendez-vous bientôt, semblerait-il. Sans doute pas avec des scans. Tout ceci doit encore mûrir, et advenir, prendre vie à travers mon regard, et sur la page.
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"Mais faut pas oublier l’Elite ! Elle existe ! Bordel ! Elle existe ! D’où qu’elle vient celle-là ? Elle vient de son village de même. Elle arrive à se faire consacrer… Humer l’atmosphère parisienne… la sophistication des choses, l’astuce, l’entendu raffiné… l’élégance qui s’improvise pas… Comment c’est la consécration ? C’est la maîtrise de faire : peutt ! peutt !... C’est pas si simple que ça a l’air… C’est toute une carrière, des épreuves… Faut d’abord aller à l’école. Sauter dans le bachot… La navigation commence !... Passer les éliminatoires… S’y reconnaître en géographie… en algèbre… en agronomie… se faire injecter les Pandectes… La Science Politique… Apprendre au poil l’Histoire de France bien juive et maçonne et pourrie, bien faisandée, bien contrefaite… Sortir de tout ça licencié… Déjà bien vache en petites lumières, babillard du pour et du contre… Le rudiment de la muflerie… le scepticisme élémentaire… le cœur déjà pas très vaillant de race épargnante et salope, se le racornir encore un peu… se le ratatiner forme bourse qu’il tinte vraiment plus que pour les sous… grâce à l’instruction frigidante, rationnelle et papyracée… Voici l’adolescent d’élite au point pour les cent mille profits, bien défendu contre sa jeunesse, contre les emballements de son âge… ayant bien retenu la morale de papa-maman… l’horreur des spontanéités… le déshonneur du sacrifice… Voici l’adolescent d’élite à point pour les cent mille profits… petit wagon pommes première classe… villageois snob montaignisé… cent fois plus avide que son père qu’était pourtant un fameux crabe… qui laissait pas grand’chose sur l’os… Voici fiston reniflant la ville… Dents longues, ficelle, yeux faux-fuyants. Il va entrer dans les relations, il va fréquenter les salons, la Loge des "Hirsutes réunis" (affiliée Brith-Brith), deux, trois bars en vogue. C’est lancé ! Là alors c’est du vrai peutt ! peutt !"
Louis-Ferdinand Céline, Les beaux draps, 1941.
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Instantané du 10 septembre 2024 : ‘’une page de la vie’’. Merveilleuse Pauline, elle jouait avec l’objectif, elle défiait le photographe dans une suite de gestes, de postures, d’exhortations intimes qui lui étaient personnelles : elle jouait profondément son personnage, elle était plus que naturelle, elle rejetait dans ces moments le mal-être qu’elle vivait. Elle surprenait par sa spontanéité. Dans ces moments-là elle était gaie, dominante. Elle aimait ces moments de complicité et d’évasion. Ici au Domaine de Beaulieu 79F. Une page de la vie qui se termine en drame. ©Michel Hénot Snapshot Photographer. Photographe toutes images Reblog avec source
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J'aime les gens authentiques et sincères, qui se laissent toujours porter par la passion et de la spontanéité...
Celles capables de donner des sourires et des émotions, qui ne font jamais rien par calcul, mais tout avec le cœur...
Agostino Degas
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Keep My Soul
Un petit cadeau qui avait été fait avec beaucoup de spontanéité et d'amour pour Keep my soul.
#ressources#rpg ressources#ressource#a devious route#design forum#forum design#design-forum#forum banner#forum rpg#header forum#header#headers#random headers#keep my soul#forum-design#french rpg#ressources rpg#ressources graphiques
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C...comme caresse !
Ceci est une caresse. Pourquoi est-ce si bon de parcourir la peau des gens qu'on aime ? De caresser les joues de son bébé ? De se blottir dans le cou d'un ami ? De sentir une main sur la nôtre, puissante et chaude ? De pleurer dans les bras d'un inconnu ? De masser les pieds de quelqu'un de malade ?
Le point commun de cela, c'est bien le toucher et sa force infinie. L'étymologie indique que le terme vient de "toccare", qui signifie frapper à la porte. C'est une aventure particulière de toucher l'autre, cela suppose de trouver le juste milieu entre la spontanéité et l'autorisation, cela impose d'être pleinement attentif à celui qu'on touche, d'avoir la délicatesse de la demande. L'autre jour, je lisais ceci : "toucher, c'est investir le seuil de l'autre et lui signifier sa présence". C'est parler sans dire, c'est raconter. C'est faire de cette communication muette une fusion, une absolue concentration, qui ne demande qu'à se poursuivre, qu'à s'étirer vers ce qu'il nous reste d'infini. Toucher, n'est pas posséder. Toucher, c'est aussi être touché. C'est faire de cette réciprocité le plus grand des enjeux relationnels, la double expérience simultanée d'un être objet et sujet. Car l'acte de toucher n'est pas neutre, il implique la personne dans sa globalité physique, dans ses capacités sensorielles et perceptives et dans sa présence humaine. Ainsi, l'expérience de toucher est une expérience de l'humain ; le toucher est un toucher de l'autre, la rencontre avec une personne, mais aussi la rencontre avec l'humain, l'humain de soi et l'humain de l'autre. Le toucher renvoie à l'haptique, qui désigne la dimension tactile du monde, mais qui contrairement à l'optique ou l'acoustique, ce mot n'est presque jamais utilisé. Claire Richard, dans un livre, ivre de sensibilité, écrit ces mots : "on se touche de moins en moins dans la civilisation des écrans. Au point qu'au Japon, des bars à caresses ont ouvert où l'on peut commander un câlin en même temps qu'un moka".
#philosophie de vie
J'aimerais qu'en cet instant, le flux du monde s'arrête et qu'on puisse se donner la main.
Je vous souhaite toute la douceur du monde pour aujourd'hui comme pour demain !
#au-jardin-de-mon-coeur
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« Le fascisme est un art, car lui aussi est un mouvement original de l'esprit et n'est pas une déduction mais une création et même dans l'action, il repose sur une inspiration géniale plutôt que sur des conclusions étroitement tirées par le raisonnement. Certainement, en raison de sa spontanéité et de son originalité, le fascisme est un art. »
Herbert W. Schneider, La Création de l'État Fasciste (1928)
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Décors de Bois
Maisons traditionnelles en Norvège
Solvi dos Santos
Traduit du norvégien par Magny Telnes-Tan et Hélène Hervieu Adaptation de Sabine Arqué
Valmont Editeur, Paris 2000, 200 pages, 25x26cm, ISBN 9782908071788
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Dire que la Norvège est le pays du bois ne surprendra personne ! Et ce n'est pas un hasard si les Norvégiens sont passés maîtres dans l'art de travailler le bois, de le sculpter, le peindre, le décorer. .. Irremplaçable richesse naturelle, le bois des forêts norvégiennes a joué un rôle clé dans le développement économique et culturel du pays, particulièrement au début du XIXe siècle lorsque les émigrants venus de toute l'Europe s'installèrent, bâtissant, dans le style de leurs pays d'origine, des maisons en bois. Ainsi, cabanes de bûcherons et maisons de pêcheurs, églises et grandes demeures hanséatiques se côtoient, dans une étonnante diversité d'architectures et de décorations intérieures, où le bois omniprésent, laissé à l'état brut, teinté, blanchi ou vivement coloré se niche dans les moindres recoins, habille tout de sa vivante chaleur. Fresque de la vie quotidienne, simplement racontée par le biais d'anecdotes, "Décors de bois" est un récit passionnant qui couvre trois siècles d'histoire. C'est aussi un regard : celui de la photographe norvégienne Solvi dos Santos sur les décors inscrits dans sa mémoire, revisités, redécouverts pour donner à voir un art de vivre à la spontanéité naïve et vigoureuse, à la fraîcheur intacte, au naturel plus que jamais convoité.
29/12/23
#Norvège#maisons traditionnelles#Solvi dos Santos#Tapisserie ameublement#interior design#décors de bois#Norway#Norvegia#designbooksmilano#fashionbooksmilano
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Pierre Gillard, describing his first impressions of the eldest daughters of Nicholas II, whom he met in 1905:
L’aînée des grandes-duchesses, Olga, fillette de dix ans, très blonde, yeux pétillants de malice, nez légèrement relevé, m’examinait avec un regard qui semblait chercher dès la première minute le défaut de la cuirasse, mais il se dégageait de cette enfant une impression de pureté et de franchise qui vous la rendait de prime abord sympathique.
La seconde, Tatiana, âgée de huit ans et demi, aux cheveux châtains, était plus jolie que sa sœur mais donnait l’impression de moins d’ouverture, de franchise et de spontanéité.
Trans:
The eldest of the grand duchesses, Olga, was a child of ten years. Quite blonde, eyes sparkling with malice, her nose delicately lifted, she examined me with a gaze which seemed to be searching, from the very beginning, for even the smallest of faults. Yet there was an impression of purity and of frankness from this child, which rendered her immediately agreeable.
The second daughter, Tatiana, aged eight and a half, with chestnut hair, was prettier than her sister. Yet she gave the impression of less openness, less frankness, and less spontaneity.
Quote: Treize Années à la cour de Russie (trans: Thirteen Years at the Russian Court) by Pierre Gilliard (translated by me).
Photo source: x
#romanov#olga nikolaevna#tatiana nikolaevna#otma#russian history#imperial russia#20th century#royalty#quote#sorry if the translation is a bit weird I rarely translate#mine
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